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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 08:59
La patronne de l'OMS juge dangeureux le manque de générosité des donateurs

 

GENEVE - La directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan, qui sera mercredi la seule candidate à sa propre succession, a annoncé craindre le manque de générosité des pays donateurs.

S'exprimant lundi à l'ouverture de la 65ème assemblée générale de l'OMS, qui réunit jusqu'au 26 mai à Genève près de 3.000 participants venus de près 178 pays (sur les 194 Etats membres de l'OMS), Mme Chan a estimé dangeureux ce manque de fonds.

Nos traditionnels bailleurs de fonds subissent d'intenses pressions internes pour démontrer que l'aide publique au développement est sagement investie, a dit la haute responsable.

Les contribuables et les parlementaires veulent voir des résultats rapides, tangibles et mesurables, a-t-elle ajouté.

Cela peut être dangereux, surtout pour une maladie comme le sida, a-t-elle déclaré, soulignant que nous avons de bonnes raisons de croire que la cible de l'ONU de 15 millions de personnes sous traitement d'ici à 2015 ne sera pas atteinte.

La progression des maladies non transmissibles, comme le diabète ou encore l'obésité qui a doublé dans le monde entre 1980 et 2008, mène aussi les systèmes santé au point de rupture, a par ailleurs averti Mme Chan.

Les maladies non transmissibles sont actuellement responsables de près des deux tiers de la mortalité dans le monde, selon l'OMS.

Des travaux sont actuellement en cours pour élaborer un cadre mondial de suivi et un ensemble de cibles volontaires pour la lutte contre ces maladies qui touchent de plus en plus les pays à revenus moyens.

L'excès de nourriture, les plats cuisinés industriels, l'excès de sel sont autant de facteurs à risques pour les maladies cardiovasculaires et le cancer, selon l'OMS.

Mme Chan est la seule candidate à sa propre succession. Son second mandat devra être approuvé mercredi par l'assemblée générale de l'OMS.

 

Source: Romandie

 

Incroyable : après avoir abondamment gaspillé l’argent des contribuables en exhortant de façon irresponsable les dirigeants nationaux à acquérir dans la précipitation des vaccins expérimentaux inutiles et risqués, voilà que l’OMS vient déplorer le manque de fonds ainsi que les demandes de justifications de ses investissements ? C’est vraiment l’hôpital qui se moque de la charité !

Mais généralement, une règle est appliquée : plus c’est gros, plus ça passe.

Et de fait, l’OMS a encore l’impudence d’évoquer la proportion majoritaire des maladies non transmissibles alors que sa première priorité est LA VACCINATION… cherchez l’erreur ! La réalité, c’est que ces maladies non transmissibles, comme le diabète, ont plus que doublé ces vingt dernières années, période endéans laquelle les vaccinations administrées ont-elles aussi plus que doublé. Ainsi, après avoir contribué à majorer les problèmes sanitaires par le biais de campagnes vaccinales aveugles et massives, l’OMS tente d’utiliser cette situation comme prétexte culpabilisateur vis-à-vis de ses donateurs. On aura vraiment tout vu.

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 20:53

Une vidéo que des gens de l'ONE, comme le Dr Mauroy, seraient bien inspirés de regarder en face car ce cas est potentiellement celui de chacun de nos enfants lorsqu'ils perdent à cette sinistre roulette russe vaccinale.

 

ERIC, né en parfaite santé en 1991. Eric, depuis ses vaccinations d'enfance (il avait 17 ans dans cette vidéo de 2009). Son père vous conseille de VOUS INFORMER avant, histoire de ne pas vous arracher les cheveux après, comme d'innombrables parents à travers le monde:

 

 

 "La vaccination, ce n'est pas un drame, ce sont d'innombrables drames. Des enfants gravement abîmés par un vaccin devront, jour après jour, leur vie durant, en supporter les conséquences. Bien souvent, à leur handicap physique, s'ajoutera la douleur morale de n'être ni compris, ni soutenu dans leur démarche de faire reconnaître ce vaccin comme la cause de leur drame. " 

 

"Omissions, mensonges ou tout simplement ignorance, se retrouvent dans les discours de certains défenseurs des vaccins, et tout cela est curieusement mélangé à des considérations philanthropiques. Pour ces défenseurs-là de la vaccination, l'obligation vaccinale est une nécessité."

 

"Etre obligé de subir une vaccination potentiellement dangereuse est inadmissible. Nous devons demander la suppression de l'obligation vaccinale. Nous devons exiger des pouvoirs publics la liberté de se faire vacciner ou de ne pas se faire vacciner. Que chacun puisse, après s'être informé des avantages et des inconvénients de la vaccination, décider, en âme et conscience, de se faire vacciner ou de ne pas se faire vacciner. Appliquons le premier principe d'Hippocrate: "Primum non nocere"- "D'abord ne pas nuire".  (Dr Jean Pilette)

 

 

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 23:44

Voici un extrait exceptionnel de l'excellent livre "Vaccinations, le marché de l'angoisse", du Dr Gherard Buchwald, un médecin qui a passé plus de 40 années de sa vie à étudier la question des effets secondaires de vaccins.

 

Cet extrait constitue un précieux cadeau pour les nombreux parents qui hésitent à vacciner mais aussi pour ceux qui ont déjà opté pour la vaccination, et qui se trouvent face à des effets secondaires qu'ils n'arrivent pas toujours bien à identifier, au risque de revacciner l'enfant et d'empirer encore son état.

 

Des séquelles profondes sur l'enfant et sur ses capacités d'apprentissage suite à des vaccinations en bas-âge? Une cassure brutale de la courbe de croissance au moment clé d'une vaccination? Des troubles du sommeil et des formes d'épilepsie caractéristiques lorsqu'ils sont provoqués par les vaccinations?

 

Le Dr Buchwald vous livre son analyse et ses explications, issues d'une grande expérience clinique. Explications qui bénéficieront non seulement aux patients mais aussi à leurs médecins, totalement ignorants pour la plupart de ces données concrètes pourtant hautement utiles dans le cadre de leur pratique quotidienne.

 

NB: Le Dr Gherard Buchwald était un des intervenants au colloque sur la Vaccination organisé en 2002 au Parlement européen, sous l'impulsion de l'ex eurodéputé Paul Lannoye.

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 21:03

Après les vaccins "à base de plantes" de Medicago contre la grippe aviaire et les projets de vaccin universel contre la grippe saisonnière, voici venu le temps du futur vaccin universel contre différents sous-types de grippe aviaire.

 

Cette si chère grippe aviaire! On l'aurait presque oubliée....

 

La firme pharmaceutique Inovio, à l'origine de ces recherches, parle bien sûr de son vaccin SynCon en termes très enthousiastes (comment pourrait-il en être autrement?), un vaccin dont la prétendue utilité ne repose QUE sur sa seule capacité à induire des anticorps alors que:

 

- la littérature médicale a montré qu'on peut faire la maladie malgré la présence d'anticorps vaccinaux.

 

- des chercheurs ont récemment démontré le caractère non indispensable des anticorps dans la défense de l'organisme contre différents virus.

 

Chose intéressante, et qui ne devrait pas non plus échapper au lecteur, c'est que cet article de News-medical.net du 17 mai dernier poursuit un but de préparation progressive de l'opinion publique, en recourant aux prétextes suivants:

 

- le réassortiment possible entre le H5N1 et une souche comme le H1N1

 

- plusieurs études controversées récentes ont démontré qu'on pouvait rendre les virus H5N1 plus transmissibles.

 

Et à partir de ces deux prétextes (prémisses de la fausse démonstration), de conclure alors , comme par hasard: "Il y a, par conséquent, un besoin clair de vaccins antigrippaux universels, capables de protéger contre de multiples et changeantes versions du virus grippal."

 

Le vaccin d'Inovio est un vaccin à ADN synthétique codant pour 3 antigènes grippaux (hémaglutinine/HA- Neuraminidase/NA & nucléoprotéine/NP). Il est important de mentionner le caractère aléatoire et incontrôlable de ce type de technologie (personne ne pouvant assurer que cet ADN n'interférera pas de façon préjudiciable avec le nôtre), bien qu'Inovio, avec son enthousiasme commercial prévisible, affiche déjà fièrement une prétendue bonne tolérance avec seulement... 17 personnes à ce stade qui ont reçu un schéma vaccinal complet en deux injections intra-musculaires avec vaccins à triple antigènes, suivies de deux injections intradermales avec vaccins à un seul type d'antigène.

 

Ce vaccin induirait soi-disant une forte réponse, spécifique, impliquant les lymphocytes (T) de l'immunité cellulaire.  Toutefois, nous ne devrions pas oublier que les risques de ces nouveaux jeux d'apprentis sorciers se mesurent déjà aujourd'hui avec la survaccination et l'immersion toxique de notre monde actuel (métaux lourds, OGM, etc), un sujet que le Dr Jean-Pierre Willem évoquait encore dernièrement dans une vidéo, en rappelant à quel point chaque transgression des lois naturelles se paye cash!

 

Source: News-medical.net

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 20:48

Voilà une interview rafraîchissante du Dr Jean-Pierre Willem qui aborde plusieurs aspects incontournables comme l'absence de liberté thérapeutique, l'impact négatif des vaccins, la sanction inévitable quand les lois naturelles sont transgressées, le mythe de l'allongement de l'espérance de viela hausse alarmante de diverses maladies chroniques et auto-immunes, l'inertie du monde politique et la collusion avec les industries, etc...

 

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19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 23:59

Découvrez les propositions concrètes d'Initiative Citoyenne et relayez-les auprès de vos médias, de vos élus et à vos contacts pour atteindre ces nouveaux objectifs très nécessaires!

 

+ de SECURITE, + d'INFORMATION, + de LIBERTE en matière de vaccination:

QUI peut dire NON à cela?

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:25
17 mai 2012
 
BRUXELLES - Le Conseil d’État a rejeté, mercredi soir, la demande en suspension émise par Benjamin Labricque contre la décision de la ville de Bruxelles d’exclure son fils de la crèche pour un défaut de vaccination, a annoncé l’avocat de la ville Maître Van De Gejuchte.
 
Benjamin a refusé que son fils Raoul, âgé de huit mois, reçoive la troisième injection de vaccins, obligatoires dans les milieux d’accueil de la communauté française, sur l’avis de son médecin qui a constaté des réactions secondaires. Le pédiatre de l’ONE a jugé sur dossier que les motivations n’étaient pas suffisantes pour la procédure dérogatoire. Le 2 mai, Raoul n’a pas pu être accueilli dans sa crèche.
 
Le Conseil d’État devra encore se prononcer, d’ici quelques mois, sur la demande en annulation. Me Vanlangendonck, l’avocat de Benjamin, précise que la procédure dérogatoire de l’ONE pourrait alors, plus particulièrement, être mise en cause par l’ajout de pièces au dossier.
 
Des analyses réalisées sous peu

Ainsi, l’avis du Conseil de l’ordre des médecins devrait être rendu prochainement en réponse à la plainte déposée contre le pédiatre de l’ONE et les analyses de sang de Raoul en rapport avec les métaux lourds et les réactions allergiques devraient être réalisées sous peu. Me Vanlangendonck se réserve le droit de demander une révision du rejet de la demande de suspension après l’émission de ces nouveaux éléments.
 
Source: Vers l'Avenir
 
 
      JT de RTL du 17 mai 2012:
 

 

 

Dans un système judiciaire qui serait véritablement au service des citoyens, il faudrait assurément pouvoir demander la révision IMMEDIATE de ce refus de suspension compte tenu des toutes récentes déclarations de l’ONE ce mercredi dans la presse :

 

- 1% des enfants seraient non vaccinés dans les crèches francophones et l’ONE attribue d'emblée cela à "des choix délibérés des parents" (sans donc même envisager l'hypothèse des contre-indications médicales, comme si ça n'existait pas donc!)
 
- l'ONE dit qu'avec un seuil de 95%, il ne risque pas d'y avoir d'épidémies donc s'il n'y a qu'1 seul % de non vaccinés, Raoul n'est donc certainement pas un danger avec sa situation INDIVIDUELLE entrant dans le cadre des dérogations!

 

Il semble assez évident que la décision du Conseil d’Etat était « courue d’avance », exactement comme celles que la « justice » a rendues au cours de la fausse pandémie de H1N1, allant même jusqu’à déclarer « non urgente » notre demande, en appel, de la publication du contrat secret d’achat de vaccins alors qu’une fois révélé, en mai 2010, celui-ci a pourtant démontré que toutes nos demandes étaient extrêmement fondées et que le vaccin était bel et bien expérimental. La raison de ce verrouillage ici prévisible au Conseil d’Etat réside dans le fait qu’une décision contraire aurait tout simplement « ouvert une boîte de Pandore » pour beaucoup d’autres parents confrontés aux mêmes genres de diktats inacceptables, en violation du propre règlement de l’ONE. Il fallait donc rebuter un maximum de parents d’entamer le même genre de procédures judiciaires, de façon à retarder encore un peu la chute du dictateur vaccinal « ONE ». Les parents dans la même situation ne devraient au contraire pas se décourager mais persévérer car en ne respectant pas son propre règlement, le seul coupable, le seul qui soit EN TORT, a un nom qui tient en trois lettres.

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:02

Un article du Monde du 17 mai vient encore démontrer tout le caractère hasardeux de l'administration de produits chimiques (donc fort logiquement aussi de vaccins) dans la très sensible période pré et post-natale. Cette exposition aux produits chimiques étant donc susceptible de modifier l'expression de certaines gènes et donc d'engendrer des maladies graves, dont l'apparition est parfois retardée, ne se déclarant alors qu'à l'âge adulte.

 

Bien évidemment, l'article ne cite pas le mot "vaccin", tabou oblige, mais il est pourtant clair que sont donc AUSSI concernés les vaccins administrés aux femmes enceintes ainsi que ceux faits aux tous jeunes enfants, puisque ceux-ci contiennent de nombreux produits chimiques notoirement toxiques, même à des doses dites "infimes".

 

Et lorsqu'on lit par exemple qu'ils "ne savent pas encore si un produit chimique entraîne une maladie particulière.", cela ne peut que nous faire froid dans le dos de constater que ces officiels recommandent malgré tout aveuglément l'administration aussi précoce et aussi répétitive de cocktails vaccinaux aussi mal évalués!

 

Il ne faut pas être un surdoué pour comprendre que des produits chimiques qui n'ont aucune place prévue dans l'organisme sont tous susceptibles, en fonction des seuils de tolérance individuels, de donner lieu à de véritables catastrophes sanitaires, à fortiori si on en arrose les individus en plein développement, dès le berceau ou même encore avant, dès le ventre de la mère. Mais pour l'establishment, il semble que le plus important soit de voir si tel ou tel produit chimique peut induire une entité pathologique bien individualisée et non d'éviter en priorité que divers poisons ne produisent un magma d'effets débilitants hélas parfois très peu spécifiques avec, à la clé, un véritable nivellement par le bas de la santé publique.

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 21:55

Alors que le package pharmaceutique de l'Union européenne constitue un beau cadeau aux pharmas qui sont les principaux gérants des données de pharmacovigilance, ne devant plus que mettre en place de simples "plans de gestion des risques" (qui n'interviennent donc qu'après coup, quand on a bien expérimenté sur le public), des députés européens se rendent compte tout d'un coup, après moult scandales sanitaires, qu'il faudrait peut-être essayer d'améliorer le système.

 

C'est ainsi qu'on pouvait lire le 10 mai dernier, sur le site du Parlement européen, que "Le 8 mai, la commission de la santé publique a demandé une amélioration de la détection des médicaments potentiellement dangereux et une accélération de leur retrait du marché."

 

La commission de la Santé du parlement européen (ENVI) a alors approuvé trois amendements, prétendument "phares":

 

"Ces amendements visent à clarifier la procédure et à renforcer la transparence. Ils prévoient une procédure d'urgence à caractère automatique entraînant le retrait d'un médicament du marché lorsqu'une entreprise décide de ne pas renouveler une licence de mise sur le marché pour des raisons de sécurité.

 

De plus, toute entreprise qui procède au retrait volontaire d'un médicament sur le marché doit déclarer expressément si elle le fait pour des questions de sécurité.


Enfin, la liste noire des médicaments soumis à une surveillance supplémentaire devrait inclure systématiquement tous les médicaments ayant fait l'objet d'une étude de sécurité post-autorisation."



Toutes ces mesures sont des mesures à posteriori, quand le mal est déjà fait. C'est à noter!

En outre, il est particulièrement naïf de compter sur l'honnêteté des pharmas pour reconnaître que le retrait du médicament a pour cause un défaut de sécurité. On l'a vu avec le vaccin Hexavac, en réalité retiré pour cause d'oedèmes cérébraux mortels du nourrisson mais dont la raison exacte du retrait a été maquillée en "efficacité insuffisante", avec la complicité active de l'Agence européenne du Médicament (EMA)!

 

Enfin, il faut mettre fin à toute hypocrisie et cesser de prétendre qu'on voudrait renforcer la détection de médicaments dangereux alors que les vaccins ne cessent de bénéficier d'un régime d'exception et de passes-droits insupportables en matière d'évaluation de leur sécurité!

 

Ainsi, tant que l'on n'imposera pas de vrais groupes placebos (avec des gens vierges de tout vaccin donc) pour tout essai clinique de vaccin;

 

tant que l'on n'imposera pas de tests de cancérogénèse, mutagénèse et tératogénèse aux vaccins comme c'est requis pour les autres médicaments;

 

tant que l'on n'imposera pas d'analyse pharmacocinétique aux vaccins, comme pourtant imposé aux autres médicaments;



tant que l'on n'imposera pas une formation correcte aux médecins et aux personnels soignants pour leur apprendre à reconnaître les effets secondaires des vaccins et ainsi lutter contre leur dramatique sous-estimation,

 

les députés seront dans l'hypocrisie la plus totale et ne mériteront pas la moindre estime pour de telles mesurettes qui ne sont définitivement PAS à la hauteur des enjeux quand on sait que rien qu'en France, annuellement, il y a pas moins de 300 000 hospitalisations dues aux effets secondaires des traitements!!!!!!!!

 

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 14:32

On l'avait déjà vu avec la fausse pandémie de H1N1, l'urgence a bon dos pour faire accepter des vaccinations hasardeuses et même expérimentales.

L'urgence a bon dos aussi pour pouvoir prétendre après coup qu' "on ne savait pas quelle serait la dangerosité du virus, qu' il fallait agir et décider toute de suite et qu'on ne pouvait donc pas laisser la population démunie, sans aucun vaccin".

 

Le paradigme faux et étroit qui consiste à la façon d'un conditionnement pavlovien, à limiter les réponses aux épidémies au seul développement de nouveaux vaccins, mène tout droit à une impasse de santé publique, où les problèmes ne sont jamais résolus, mais tout au plus reportés et encore, au prix d'un nombre inéluctable de victimes de graves effets secondaires.

 

Mais il est toutefois très important de comprendre les rouages d'un système aussi idéologiquement verrouillé et c'est pourquoi, nous allons donner un nouvel exemple de cette "stratégie des prétextes", qui fonctionne visiblement si bien en matière de survaccination.

 

L'exemple, tout à fait actuel, nous est donné par la justification officielle d'une vaccination systématique contre l'hépatite B, seulement quelques heures après la naissance, de tous les nourrissons américains et ce, même lorsque les mères ne sont pas infectées ou lorsqu'elles n'ont pas été préalablement dépistées!

 

Une page officielle du Centre de Contrôle des Maladies (CDC), instance sanitaire américaine officielle, répond ainsi de la façon suivante à cette question:

 

Pourquoi un nourrisson devrait-il recevoir le vaccin contre l'hépatite B à la naissance, avant de quitter l'hôpital, même si la mère est négative à l'antigène de l'hépatite B (HbsAg)?

 

Les nourrissons nés de mères infectées par l'hépatite B exigent l'administration du vaccin anti-hépatite B et d'immunoglobulines anti-hépatite B (HBIG) endéans les 12 heures qui suivent la naissance pour les protéger d'une contamination. Cependant, en raison d'erreurs et de retard qui peuvent survenir dans l'interrogatoire, l'analyse et les résultats du statut maternel des antigènes de l'hépatite B, administrer la première dose du vaccin anti-hépatite B peu après la naissance à tous les nourrissons, s'avère être une mesure sûre, réduisant le risque d'infection périnatale lorsque le statut maternel des antigènes HBs est soit inconnu soit incorrectement documenté au moment de son administration. Il a aussi été montré que débuter le schéma vaccinal contre l'hépatite B à la naissance accroît la probabilité que l'enfant reçoive le schéma vaccinal complet.

 

On invoque donc là aussi une fausse urgence pour tenter de légitimer une vaccination aveugle d'enfants très majoritairement non exposés à ce genre de maladie qui ne se transmet que par voie sanguine ou sexuelle (n'exposant ainsi significativement que les personnes qui ont des rapports sexuels homosexuels ou hétérosexuels ou qui recourent à des drogues injectables voire des transfusions sanguines). C'est du reste bien une fausse urgence puisqu'il est parfaitement possible d'obtenir un résultat sanguin rapide et fiable et que la proportion d'enfants infectés est extrêmement faible.

 

Dans le même temps, on affirme que cette façon de procéder, en vaccinant dès la naissance, est "sûre" mais sur quelle base scientifique dès lors que le système immunitaire d'un enfant n'est pas mature avant 6 ou 7 ans d'âge, que ces vaccins contiennent des substances notoirement toxiques comme l'aluminium ou le formaldéhyde et que l'évaluation de la sécurité des vaccins est biaisée en amont, avec le recours constant à de faux groupes placebos?

   

Ian-vaccin.JPG

La tragédie du petit Ian Gromorski, décédé dans d'atroces souffrances suite à l'administration à sa naissance du vaccin contre l'hépatite B alors qu'il était pourtant né en parfaite santé, suffit déjà à démontrer qu'une telle vaccination, avec un vaccin transgénique qui plus est, ne peut jamais être honnêtement décrite de façon aussi anodine. Les risques de cette vaccination sont donc grandement minimisés, comme le montre d'ailleurs aussi le sort qui a été réservé au Pr Tardieu qui avait mis en évidence un risque accru de sclérose en plaques pendant 3 ans chez les enfants vaccinés avec l'Engerix B (aussi disponible aux USA) mais qui, sujet tabou oblige, fut "interdit de conférence de presse" selon le récit du journal Libération du 14 octobre 2008.

 

Hélas, tandis qu'on minimise les risques, on gonfle aussi la prétendue utilité du vaccin ainsi que la gravité statistique de la maladie et ce, depuis que l'OMS a décrété ultra nécessaire la vaccination universelle de tous les enfants en 1991.

 

C'est ainsi qu'une maladie qui était loin d'être la première préoccupation des médecins en charge d'une clientèle pédiatrique, s'est immiscée dans les cabinets. A force de lobbying. Et quel lobbying! Même les représentants des fabricants de vaccins l'avouaient publiquement alors à l'époque: "En lien avec l'OMS, nous ouvrons des marchés!"

 

Une preuve éclatante que la demande de vaccination a été créée de toute pièce par les fabricants, en lien avec l'OMS qu'ils ont ainsi parfaitement su instrumentaliser, réside notamment dans les résultats implacables d'une enquête menée auprès d'un échantillon représentatif de médecins pédiatres et généralistes américains, destinée à évaluer leur perception de l'utilité d'une vaccination contre l'hépatite B chez les nouveaux-nés...

 

Hepatite-B-et-medecins--Sondage-.jpg

 

Affirmer en outre que la vaccination aussi précoce est un meilleur gage de compliance et d'adhésion des parents au schéma vaccinal complet est par ailleurs aussi cynique puisque cela implique en revanche des doses supplémentaires dues à l'immaturité du système immunitaire de si jeunes enfants. En effet, il faut savoir que chez le jeune enfant, une vaccination anti-hépatite B implique un minimum de 3 doses (en vaccins monovalents) alors qu'elle ne comporte à présent plus que deux doses chez l'adolescent ou l'adulte.  En plus, comme avoué par l'ONE, les vaccinations combinées (comme le vaccin hexavalent) exposent également à des rappels inutiles c'est à dire 4 doses de la valence hépatite B au lieu de 3.  

 

Lorsqu'on sait que les enfants ne deviennent vraiment à risque de contracter la maladie qu'à partir de l'adolescence et des premières relations sexuelles (non protégées) mais que 50% des nourrissons vaccinés ne seraient plus protégés par la vaccination 15 ans plus tard, on ne peut que déplorer l'irrationalité scientifique totale d'une telle recommandation vaccinale chez les nourrissons. Que ça soit à la naissance ou dès deux mois, la vaccination à la naissance favorisant en fait davantage l'acceptation des parents parce qu'on profite de leur faiblesse due à l'émotion et à la fatigue propres à un tel événement mais aussi parce qu'une mesure proposée dans une certaine précipitation laisse toujours moins de place à la réflexion.

 

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