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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 23:06

15 mai 2012

 

(Belga) La vaccination auprès des enfants, suivis par les structures de l'Office de la Naissance et de l'Enfance (ONE), pendant leur deuxième année de vie est en légère diminution, selon le rapport 2010 de la banque de données médico-sociales de l'ONE pour la Fédération Wallonie-Bruxelles. Par exemple, 87,8% de ces enfants ont reçu la dose de rappel diphtérie-tétanos-coqueluche-polio à 18 mois en 2009, contre 91,2% en 2008.

 

De plus, 91% des enfants suivis par l'ONE ont reçu une dose de vaccin contre le méningocoque en 2009, contre 93,5% entre 2006 et 2008. L'ONE a constaté pour la première fois en 2009 que plus de 1% des enfants n'ont reçu aucune vaccination, bien que fréquentant régulièrement l'office. Dans ces cas, l'ONE estime qu'il s'agit d'"un choix délibéré des parents de ne pas vacciner". Il rappelle cependant que de "récentes épidémies de rougeoles en Europe et l'apparition de décès secondaires à la coqueluche nous montrent que nous devons rester particulièrement attentifs" à l'évolution de cette tendance à la non-vaccination. L'ONE considère en effet qu'en-dessous de 95% de vaccination, il existe un "risque d'épidémie" pour les maladies citées ci-dessus. "On voit émerger un courant contre la vaccination. Pourtant, il faut la préserver. Les gens ne mesurent plus les effets de certaines maladies comme la coqueluche ou la polio, tout simplement parce qu'ils ne les côtoient plus grâce justement à la vaccination", a expliqué le docteur Marie-Christine Mauroy, au cours d'une conférence de presse de l'ONE. (VIM)

 

Source: dhnet

 

L’ONE, qui a déjà tellement menti (les preuves abondent sur ce site) dit-elle vraiment la vérité sur ces chiffres ou bien minimise-t-elle une fois encore l’ampleur du phénomène, histoire de ne surtout pas démotiver les parents face à une telle désaffection croissante pour la vaccination ? Il y a tout lieu de se poser la question et ce d’autant plus qu’un nombre peut-être non négligeable et sous-évalué d’enfants ont juste « un carnet vacciné » et sont donc à tort comptabilisés par l’ONE comme « correctement vaccinés ».

 

Nous ne serions pour notre part, pas étonnés que le nombre d’enfants non vaccinés soit nettement plus élevé mais reconnaître cela, serait tout simplement contraire au souhait de l’ONE : faire croire que sous un certain pourcentage de couverture vaccinale, il y a forcément des épidémies et qu’à partir de 95%, la collectivité serait forcément protégée. C’est non seulement faux et incohérent de la part de l’ONE. Faux parce que la littérature médicale fait état de plusieurs épidémies survenues dans des populations vaccinées à + de 98 ou 99% et incohérent parce que si l’ONE estime que 95% de couverture vaccinale est « un seuil suffisant », elle ne devrait guère s’inquiéter qu’il n’y ait alors qu’1% d’enfants non vaccinés dans ses structures ! Soulignons d’ailleurs à cet égard que l’ONE attribue d’emblée les 1% d’enfants non vaccinés à « des choix délibérés des parents », sans même concevoir qu’il y a peut-être des contre-indications médicales tout à fait sérieuses, que le règlement de l’ONE prévoit pourtant théoriquement bien qu’ils fassent dans les faits comme si celles-ci n’existaient pas du tout. Le cas de Raoul Labrique est à cet égard un cas parmi beaucoup d’autres qui est encore venu démontrer toute l’hypocrisie dont l’ONE est hélas capable.

 

Nous ne pouvons en tout cas que déplorer la conception anti-scientifique de l'ONE pour qui 100% des enfants, pourtant tous immunologiquement différents, devraient cependant tous être faits pour recevoir ses cocktails vaccinaux standards. C'est là une négation flagrante et très inquiétante des règles élémentaires de la biologie sur la diversité du vivant et qui ne peut donc mener dans les faits qu'à une dégradation globale désastreuse de la santé des enfants.

 

 

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 21:35

Une proposition de loi sur la vaccination passe au Sénat californien: avec quelles conséquences?

 

L'Assemblée a approuvé, il y a quelques jours, une législation exigeant que les parents reçoivent une information sur les risques et les bénéfices potentiels des vaccinations contre des maladies infectieuses, avant d'avoir le droit de refuser que leurs enfants ne reçoivent les vaccins.

 

La proposition de loi 2109 a été approuvée par l'Assemblée par 44 votes contre 19 va donc maintenant passer devant le Sénat.

 

Selon le député californien démocrate Richard Pan (pédiatre), à l'origine de cette proposition loi, cette mesure permettra aux parents de prendre une décision éclairée sans que ça ne leur enlève le droit de refuser la vaccination pour leurs enfants. Richard Pan estime en outre que cette loi est une mesure de protection publique, en mesure de réduire la diffusion de la rougeole, des oreillons ou encore de la coqueluche.

 

Si la proposition de loi de Pan est transformée en loi, elle devrait entrer en vigueur à partir de Juillet 2013.

 

Le député Dan Logue, de Marysville, a critiqué le texte, estimant qu'il place un nouvel obstacle entre les parents et le droit de refuser des vaccinations. "Nous en avons assez d'un état qui se substitue aux parents comme c'est le cas aujourd'hui" a-t-il dit.

 

La députée républicaine Linda Halderman, médecin à Fresno, a dit qu'elle ne pouvait pas approuver le texte parce qu'il n'incluait pas les Médecins de la Christian Science dans la liste des praticiens habilités à délivrer aux parents l'information exigée par le texte de loi.

 

Source: The Sacramento Bee

 

Que voyons-nous ?

 

Une Xième mesure destinée à rendre plus difficile le REFUS DE VACCINATION.

Un pas de plus donc pour forcer la main des parents et décourager les récalcitrants. Sous prétexte de délivrer une bonne information, on infantilise en fait les parents, en amputant ainsi leur pouvoir de refus, qui ne peut ainsi plus s’exercer qu’après un lavage de cerveau en bonne et due forme dispensé par certains types de médecins, sans doute plus dociles que les autres.

 

Tout ceci pose donc la question du contenu exact de l’information qui sera dispensée, car il est très clair qu’à l’instar de ce qui se passe ici en Belgique avec l’ONE et ses étiquettes pseudo-informatives se limitant à des effets comme la fièvre ou la douleur au point d’injection, on ne fournira évidemment pas aux parents les véritables informations sur la sécurité des vaccins, la sous-estimation époustouflante de leurs effets secondaires, l’absence de test de cancérogénicité ou d’analyse pharmacocinétique qui ne leur sont jamais imposés ou encore la question des faux groupes placebos. Sans quoi, le député qui est à l’origine même de cette proposition le sait sûrement aussi, cette mesure ne pourrait bien évidemment jamais contribuer à accroître ou maintenir les taux de vaccination mais plutôt à les faire drastiquement baisser.

 

Enfin, la question du pluralisme thérapeutique est également fortement mise en cause (tout est lié bien sûr) puisque certains praticiens sont arbitrairement jugés aptes à fournir cette information partiale obligatoire et d’autres pas. Comme expliqué plus haut, on élimine donc d’emblée, tous les praticiens sensés sortir de la ligne allopathique pure et dure car le but de cette mesure n’est pas de fournir une véritable information sincère et honnête sur le sujet mais avant tout d’accroître encore plus la vaccination et toute l’indigne pression qui va avec.

 

Quel scandale !

 

 

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 20:41

16 mai 2012

 

Mardi, la sénatrice UMP Fabienne Keller a annoncé qu'elle présenterait en juillet prochain un rapport sur les menaces de grandes pandémies, dressé en concertation avec des spécialistes et destiné à éviter le "scénario du pire".


Entre l'infection respiratoire du Sras en 2003 et la pandémie du virus de la grippe A/H1N1 en 2009, le monde a fait face à plusieurs crises sanitaires au cours des dernières années. Une constatation qui a poussé le Sénat à établir un rapport sur la menace de grandes pandémies. C'est ce qu'a indiqué mardi la sénatrice UMP Fabienne Keller annonçant la présentation du rapport en question en juillet prochain.

Celui-ci vise à examiner les "différents scénarios de développement des futures pandémies" en se référant justement à l'infection Sras et à la pandémie du virus A/H1N1. "Prendre conscience de ces menaces liées aux catastrophes sanitaires est un premier pas pour anticiper les mesures et éviter le scénario du pire, à savoir une énorme pandémie avec des centaines de millions de morts, notamment dans les grandes mégalopoles", a expliqué Mme Keller lors d'une rencontre relayée par l'AFP.

La sénatrice a également rappelé qu'on estime que "les deux tiers ou les trois quarts des maladies émergentes sont d'origine animale et ont quadruplé au cours des 50 dernières années. Dans les pays du sud, elles sont même à l'origine de 40% des décès". D'où l'importance de prendre rapidement conscience de la menace. D'autant plus qu'une pandémie grave causée par une "bombe sanitaire ignorant les frontières" aurait aussi des conséquences sur l'économie mondiale, selon la sénatrice.

Le rapport "d'information relatif aux nouvelles menaces de maladies infectieuses émergentes" s'attachera donc à envisager "les évolutions possibles" dans ce domaine pour les 20 prochaines années.
Pour établir ce dernier, des auditions de responsables sanitaires, de scientifiques et d'économistes ont d'ailleurs été réalisées et un colloque aura lieu au Sénat le 24 mai prochain afin d'évoquer cette question.

 

Source: Maxisciences

 

Cette focalisation incessante sur les futures pandémies au prétexte de « mieux se préparer » devient vraiment grotesque en plus d’être très louche. Comment donc a pu faire l’Humanité pour survivre sans s’être préoccupée de ces prétendues menaces continuelles pendant des décennies ? L'assimilation des menaces microbiennes à des phénomènes "terroristes" (allusion à une "bombe sanitaire ignorant les frontières") participe en outre au conditionnement du public par la peur, en facilitant ainsi la militarisation croissante de la santé (cfr partenariat entre la firme Medicago et le Ministère américain de la Défense pour la production rapide en masse de futurs vaccins pandémiques H5N1) et l'acceptation de produits de plus en plus expérimentaux et risqués seul au motif de "l'urgence".

 

Quand on a pu constater la « qualité » des vaccins expérimentaux contre la fausse pandémie de H1N1 et leurs effets gravissimes, comme la narcolepsie, on comprend mal l’utilité de remplacer les futurs cas d’infections par des cas de narcolepsies et autres scléroses en plaques. Il est véritablement préoccupant qu’une élue ose évoquer le H1N1 comme « une pandémie » alors que les tricheries et la corruption de l’OMS à l’origine du changement de définition de pandémie ont été mises à jour et dûment prouvées… cela prouve donc bien qu’aucune leçon de citoyenneté et de démocratie n’a été tirée de la part du monde politique, d’ores et déjà prêt à remettre le couvert avec ce genre de dispositif autoritaire et potentiellement très liberticide.

 

Et ce ne sont hélas pas des auditions des mêmes économistes ou responsables sanitaires habituels qui aideront à un choix plus citoyen à l’avenir puisque ces gens sont toujours de près ou de loin sous l’influence des industriels, que ce soit de façon directe ou indirecte (via diverses mesures de lobbying des plus grossières aux plus subtiles). Ils ne peuvent donc que répéter, à la manière de perroquets, les mêmes paradigmes que ceux qu'on leur a enfoncés dans le crâne à coup de marteau piqueur. On les entend déjà: "la vaccination est le seul moyen de prévention possible" etc etc

 

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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 15:05

"Trois agences européennes épinglées pour leur gestion" titrait un article du journal Le Monde du 12 mai dernier.

 

Ca ne date pas d'hier si on veut bien se souvenir du H1N1 ou encore de l'attitude de l'ex Directeur de l'Agence européenne du Médicament derrière laquelle tous nos gouvernants nationaux se réfugiaient lâchement au cours de la fausse pandémie.

 

Comme quoi, non seulement rien n'a changé depuis lors mais la presse est toujours aussi lente et aussi molle dans ses analyses.

 

Voir aussi l'article "Rien ne sera jamais assez inquiétant pour l'EFSA" (= Agence européenne de Sécurité de la Chaîne alimentaire).

 

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 23:00

Nous disons déjà depuis longtemps que la bulle vaccinale explosera, tôt ou tard. C'est une certitude. Mais voici qu'un passage paru dans la revue médicale "Le Généraliste" du 13 avril dernier vient encore très fortement corroborer le bienfondé et la pertinence d'une telle conviction. Une revue qui titrait d'ailleurs de façon assez révélatrice "Politique vaccinale: faut-il tout changer?"

 

Extrait en question:

 

Jusqu'où aller dans les co-administrations et vaccins combinés?

     

Certains parents estiment qu'administrer à un enfant quatre à six vaccins, combinés dans une même seringue, est énorme. "Toutefois, cette stimulation immunitaire ne représente pas grand chose pour les enfants de 0 à 2 ans, qui sont tous les jours exposés à de nouveaux antigènes (bactéries, virus, allergènes), et dont le système immunitaire ne cesse d'être stimulé.", explique Pierre Bégué. Aujourd'hui, parmi les vaccins combinés disponibles en France, on peut injecter un maximum de 6 valences dans une même seringue (Infanrix Hexa). "Un laboratoire travaille à un vaccin à 7 valences, en ajoutant à cette formulation le méningocoque C", avance Daniel Floret. Mais on ne devrait guère aller plus loin. En ce qui concerne les co-administrations, on a l'habitude de considérer en France que deux injections lors de la même séance est un maximum. "Une limite psychologique et non immunologique" avance Daniel Floret. En revanche, aux Etats-Unis, où bon nombre de vaccins combinés n'ont pas été autorisés, les enfants peuvent avoir cinq injections lors d'une même consultation!

 

Commentaires d'Initiative Citoyenne:

 

- Il n'y a pas que des parents qui estiment que cela est énorme mais aussi des médecins. Ainsi, dans l'article du Vif du 14 novembre 2008, un pédiatre s'exprimait anonymement pour dire qu'"administrer 6 vaccins en un dès l'âge de 2 mois, c'est une folie!" (p 5)

 

Par ailleurs, dans un document de l'INPES, il est aussi très clairement évoqué: "Si l’adhésion de la population à la vaccination reste globalement bonne, plusieurs témoins indiquent que s’installe depuis une dizaine d’années, à bas bruit, un questionnement autour de la politique vaccinale, peut-être plus du côté des médecins que de la population. Pour certains auteurs, une diminution de la confiance dans la vaccination contre l’hépatite B parmi les médecins et la population aurait pu fragiliser les certitudes vis-à-vis de la vaccination en général et de certains vaccins en particulier. Pour ces auteurs, le malaise tiendrait également des différentes crises de sécurité sanitaire, des changements fréquents dans le calendrier vaccinal ainsi que du nombre important de vaccins à administrer aux nourrissons." (cfr p. 12)

 

- L'affirmation du Pr Bégué est par ailleurs tout à fait fallacieuse en ce sens qu'il oublie volontairement de rappeler (?) que le corps humain ne contracte jamais autant de maladies à la fois mais aussi, que les nombreux antigènes auxquels l'enfant est quotidiennement confronté (bactéries, virus, allergènes) ne pénètrent pas du tout le corps de la même façon anti-physiologique que la vaccination mais en suivant au contraire les voies d'entrée immunologiquement prévues pour ce faire à savoir la peau et les muqueuses respiratoires, digestives etc. Ce qui bien sûr, change tout quant aux effets secondaires possibles dus à une telle différence. Mais il faut dire que Pierre Bégué est ce même médecin, membre de l'Académie de Médecine, qui disait déjà il y a quelques années, qu'il était irresponsable d'inquiéter les gens sans preuves au sujet des risques de l'aluminium, un adjuvant qu'il considérait alors comme très sûr!

 

- L'aveu du Pr Floret (président du Comité technique des Vaccinations) sur l'élaboration en cours d'un vaccin encore plus combiné -heptavalent en lieu et place de l'actuel hexavalent- confirme par ailleurs totalement nos précédents propos, lorsque nous expliquions la nécessité commerciale impérative que représentent les vaccins combinés dans un contexte où il va falloir "trouver de la place" aux nombreux vaccins prêts à sortir du pipeline pharmaceutique, au sein d'un calendrier vaccinal déjà hyper chargé. L'adjonction du très superflu vaccin contre le méningocoque à l'actuel cocktail hexavalent a donc pour unique but de "libérer un créneau" pour préparer l'introduction d'une Xième nouvelle vaccination qu'on présentera bien sûr d'emblée comme "un progrès scientifique" de plus.

 

Bien sûr, la tentation serait grande de développer progressivement des vaccins à 20, 30 ou 50 valences mais cela finirait par faire réfléchir trop de gens et les officiels comme les fabricants le savent pertinemment. Ils savent que cela reviendrait in fine à "lâcher la proie pour l'ombre" et qu'à ce petit jeu, même les plus naïfs de nos compatriotes finiraient par s'interroger sur l'inflation vaccinale démentielle et son lien avec la détérioration indéniable de l'état de santé de nos enfants. La seule optique qui sera alors commercialement envisageable ne sera autre que celle consistant, ça et là, à supprimer progressivement des valences de ces actuels cocktails hexavalents pour y glisser à la place de nouvelles, alors prétendument plus en phase avec la situation épidémiologique du moment.

 

En fait, on se rend compte que les vaccins combinés ont jusqu'ici retardé l'éclatement de la bulle vaccinale, ils ont permis de gagner du temps et d'éviter qu'un pourcentage trop critique de gens ne décrètent un "holà" plus tôt à pareilles recommandations sanitaires irrationnelles.

 

- On remarquera que la phrase du Pr Floret, selon qui deux injections par consultation constituent une "limite psychologique et non immunologique", est purement gratuite et ne repose sur AUCUNE évaluation scientifique rigoureuse, dès lors que, comme expliqué ci-dessus, les antigènes avec lesquels les enfants sont quotidiennement en contact ne pénètrent pas l'organisme par les mêmes voies immunologiques et dès lors aussi qu'aucun essai clinique officiel de vaccin ne compare jamais les enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin (c'est bien le problème des faux groupes placebos déjà expliqué sur ce site). Les rares évaluations indépendantes démontrent toutes de façon convergente que d'une part, les enfants non vaccinés sont en meilleure santé et ont une meilleure immunité que les enfants vaccinés et d'autre part, que les vaccins combinés sont reliés à plus d'effets secondaires inquiétants que les monovaccins (plus grand phénomène inflammatoire, plus d'hémorragies cérébrales chez les prématurés vaccinés avec des vaccins combinés par rapport aux monovaccins, etc)

 

- La question de la non autorisation de beaucoup de vaccins combinés aux Etats-Unis, devrait également être de nature à nous interpeller ici en Europe où ces vaccins sont présentés comme "une chance" ou "un moyen d'un meilleur confort de l'enfant". Il faut dire que le retrait du vaccin hexavalent Hexavac pour un faux motif par l'Agence européenne du médicament, alors qu'il était lié (tout comme l'Infanrix Hexa, encore sur le marché) à des cas mortels d'oedèmes cérébraux du nourrisson, n'a pas de quoi rassurer.

 

Mais lorsque ce genre d'aveux, pourtant diffusés dans une revue professionnelle de médecins n'interpellent plus sur le maintien d'autorisations de ces vaccins combinés dans nos pays, pas plus d'ailleurs que l'aberration d'aller administrer 5 injections différentes par consultation à un tout jeune nourrisson dont le corps est pourtant fait pour fonctionner de lui-même, on se rend compte que nous sommes en réalité tombés bien bas avec des médecins qui ne méritent tout simplement plus notre confiance aveugle.

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 21:50

Dans l’indifférence de tous, le code de déontologie médicale vient d’être modifié par un décret (n° 2012-694 du 7 mai 2012). A part des avancées réelles profitables aux droits du malade, ce texte, par l’ajout de neuf petits mots qui changent tout, signe en fait la fin de l’humanisme en médecine. Rien de moins. [...]

 

« Compte tenu des données acquises de la science »

 

Mais là où les choses dérapent carrément, c’est dans l’article R4127-8 du nouveau décret qui dit : « Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu´il estime les plus appropriées en la circonstance ». Cette formulation est identique à la formulation du texte en vigueur jusqu’alors, au détail près des neuf mots soulignés par nous dans le texte.

 

Apparemment, tout le monde pourrait applaudir ce rajout. On trouverait illogique et dangereux que des professionnels de la santé ne s’appuient pas dans leurs pratiques sur les « données acquises de la science ».

 

Oui, mais en France, cela signifie : tout médecin qui ne respecte pas à la lettre les indications institutionnelles, qui innove (même s’il le fait en conscience) ou adapte sa conduite pour tenir compte des particularités de son patient, tout médecin peut donc désormais être poursuivi par son Conseil de l’ordre et interdit d’exercer. Le praticien doit s’en tenir strictement à la nomenclature des actes édictée par l’Assurance maladie, aux codifications de l’Académie de médecine, aux prescriptions du ministère de la santé.

 

Cela veut dire que les maladies ont été mise en fiches et que la seule façon de les traiter est de suivre les règles, normes et décrets élaborés par le système institutionnel. [...]

 

Lire la suite de cet important article de Jean-Luc Martin Lagardette: ICI 

 

 

Ils auraient ainsi pu mieux formuler en écrivant « dans l'état actuel de ce que nous considérons comme NOTRE science bien à nous »....


Car de fait, ce système n'hésite pas à tordre ses propres principes prétendus de scientificité au point par exemple, avec les vaccinations, de ne jamais avoir voulu officiellement comparer dans les essais cliniques des vaccinés et des non vaccinés (ce qui biaise bien sûr toute observation dite réellement scientifique), au point de n' imposer à ces produits ni analyse pharmacocinétique ni test de cancérogénicité comme pourtant imposés à d'autres produits. Ces passe-droits démontrent donc surtout une fausse science très opportuniste qui ne sert pas les gens au moindre coût humain, c'est le moins qu'on puisse dire puisqu'il y a en France, selon un récent article du Dr Delépine sur Atlantico, pas moins de 300 000 hospitalisations annuelles dues aux effets secondaires des médicaments!


On se retrouve donc dans un système qui se dit "scientifique" mais qui n'en a toutefois pas le courage, de peur que de véritables constatations scientifiques ne constituent au final de grosses entraves commerciales. On trouve alors des prétextes pour le maintien de ce statu quo lucratif:


 - pour les conflits d'intérêts, on prétend que les experts totalement indépendants seraient "de piètres experts" et que donc "l'indépendance totale est un mythe" comme a encore dit ce lundi la Ministre fédérale belge de la Santé, Laurette Onkelinx
 
- pour
les faux placebos (autre vaccins ou substance intrinsèquement toxique), on les justifie par le fait qu'on ne pourrait pas priver de grands groupes de gens de vaccins et que "ça ne serait pas éthique", ce qui, il faut le noter, constitue déjà en soi un aveu d'anti-science, et de dogmes indiscutables à priori selon lesquels, il ne pourra jamais être débattu de l'utilité des vaccins, par conséquent jamais véritablement testée dans les règles de l'art.

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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 13:24

Alors que les échecs des vaccins existants sont très largement passés sous silence, on assiste assez paradoxalement à une véritable fuite en avant par rapport à une foule de nouveaux vaccins, déjà annoncés en fanrares et trompettes.

 

Ainsi, alors que des épidémies d'oreillons ou de coqueluche éclatent chez des sujets qui avaient reçu toutes les doses de vaccins recommandées, on prétexte qu'il faudra toujours plus de rappels ou le développement de vaccins "toujours plus efficaces" (là où les anciens étaient déjà présentés comme parfaits, notez-bien).

 

Pendant ce temps-là, on assiste à une véritable fuite en avant avec des tas de nouveaux vaccins, d'ores et déjà annoncés de façon élogieuse par une presse complaisante et docile à souhait.

 

C'est ainsi qu'on a eu droit à diverses annonces concernant plusieurs vaccins à venir:

 

- celui contre l'acné (diabolisée bien sûr pour l'occasion, ça va sans dire!)

- un futur vaccin contre la tuberculose qu'on jure plus efficace que l'ancien

- le si convoité "vaccin universel contre la grippe", véritable coqueluche des médias

- un futur vaccin contre la méningite B, après ceux déjà existants contre le type C

 

Il est très important de noter à ce propos à quel point la presse ne fait plus son travail  et donc aussi à quel point elle porte une énorme responsabilité dans la chaîne de complicités qui mèneront inuléctablement à de nouvelles victimes de ces nouveaux vaccins prétendument tellement meilleurs que ce qui existait déjà.

 

Car enfin, si on prend le cas de la tuberculose par exemple, on peut tout de même trouver très curieux qu'on utilise encore largement l'ancien vaccin (inefficace) BCG dans le Tiers-Monde ou que son obligation n'ait été levée que si tardivement (en 2007 en France) alors que dès la fin des années 70, l'OMS, qui avait menée de larges essais en Inde, était au courant de son inefficacité et même pire de son efficacité négative, comme rapporté dans son rapport technique N°651 de 1980!

 

Il fallait toutefois éviter à tout prix de dire la vérité aux gens car il est certain que le public préfère savoir qu'il a reçu un vaccin inutile ou inefficace qu'un vaccin dangereux, raison pour laquelle les questions d'utilité ou d'efficacité des vaccins sont nettement moins taboues que celles liés à leur sécurité.

 

La question du fameux "vaccin universel" contre la grippe, qui fait visiblement "saliver" tant d'équipes de recherche dans le monde, mérite elle aussi qu'on s'y arrête. Pourquoi: d'abord parce que, comme pour la mort de Ben Laden, on nous l'a déjà tant annoncé. Ensuite, parce que ça mettrait à mal les marchands du Tamiflu, apparemment si utile au point qu'il fallait absolument en faire des stocks pantagruéliques, ce qui a amené à devoir les détruire en raison de leur date de péremption.

 

Mais surtout aussi parce que sous couvert d'une "découverte majeure", on nous ressort en fait le même baratin qui était déjà utilisé en Belgique pour écouler les vaccins pandémiques adjuvantés (par rapport à ceux non adjuvantés). Souvenez-vous: Au moment de notre courrier à la Ministre de la Santé Laurette Onkelinx, à l'automne 2009, nous nous interrogions notamment sur les critères ayant présidé au choix du vaccin (adjuvanté au squalène, dont le contrat révélera plus tard que l'Etat s'en interdisait l'analyse!). Dans sa réponse 10 jours plus tard, la Ministre répétait les réponses toutes faites et prévues d'avance par ses "experts", selon lesquels le vaccin adjuvanté permettrait de moins gaspiller en pouvant par la suite encore réutiliser l'adjuvant avec d'autres antigènes mais également, nous disait-elle, parce que l'adjuvant permettait de lutter contre un plus grand spectre de variantes grippales, "au cas où le virus se diversifie" (c'était alors LE grand mantra, répété quasiment à tous les JT). En mai 2010, la publication du contrat secret révéla sa teneur, formidablement favorable au fabricant GSK, dont le siège mondial de fabrication de vaccins se trouve sur le sol belge. En janvier 2012, le journaliste David Leloup, par lequel le contrat avait été dévoilé, présentait dans le cadre du colloque initié par Ecolo sur l'indépendance de l'Expertise, une communication intitulée "Grippe AH1N1 Candide au pays des Conflits d'intérêts", dans laquelle il rappelait notamment à quel point ce contrat avait étrangement été fait "sur mesure" pour la seule firme GSK. 

 

Entre-temps, de l'eau ayant encore coulé sous les ponts, de nombreux articles sont venus révéler l'inefficacité et l'inutilité totale de la vaccination contre la grippe saisonnière: plusieurs hopitaux comme le CHU du Sart Tilman ne l'organisent même plus pour leur personnel et le Centre Belge d'Information Pharmacothérapeutique (CBIP) a même reconnu l'absence de toute preuve scientifique valable d'efficacité chez les sujets âgés ou même ceux à risque. Qu'à cela ne tienne, le dogme doit persister et il serait commercialement inacceptable d'avouer aux dociles patients qu'on va enfin mettre un terme au cercle vicieux vaccinal dans lequel on les a plongés. Ce serait irrattrapable et on perdrait définitivement leur confiance.

 

Mais voilà qu'aujourd'hui, on voudrait nous refaire croire à cette pseudo utilité, tout en dramatisant bien sûr la grippe car il s'agit aussi de créer de toute pièce un faux besoin, condition absolument sine qua non pour préparer comme il se doit l'opinion publique à ce nouveau venu. On agite alors la fausse "carotte", la "piqûre unique" qui nous garantira tant d'hivers paradisiaques. Sauf qu'en passant, on a juste "refait du neuf avec du vieux" et le public n'y aura sans doute vu que du feu ou presque. Voyez donc cet extrait de France Soir du 8 mai dernier:

 

« C'est une découverte majeure qu'aurait faite une équipe de chercheurs de l'Université de la Colombie-Britannique, au Canada. En effet, le groupe de recherche, dirigé par le professeur John Schrader, « a découvert que le vaccin de 2009 contre le virus H1N1, induit des anticorps qui protègent contre de nombreuses variantes de virus grippaux, y compris contre la souche du virus mortel de la grippe aviaire » (H5N1), précise un communiqué de l'université. […] Le professeur Schrader explique que le virus de la grippe contient une protéine, l'hémagglutinine, dotée d'une queue et d'une tête, qui s'accroche aux cellules humaines par l'intermédiaire de la tête. Comme le dévoile l'AFP, John Schrader indique que « le vaccin de 2009 contre la pandémie H1N1 provoquait la création d'anticorps protecteurs plus largement capables de combattre les différentes variantes du virus de la grippe », en s'attaquant à la queue de la protéine plutôt qu'à sa « tête mutante ».

 

Et cette même presse très partiale oublie bien sûr, pour l'occasion, de rappeler au public le rôle très accessoire des anticorps pour lutter contre nombre d'infections virales, comme ce fut encore tout récemment démontré.

 

Mais venons-en cette fois à la Méningite B, au sujet de laquelle il y aurait aussi beaucoup à dire. Là encore, la presse est d'emblée trop enthousiaste.

 

Voyons par exemple les affirmations lues dans France Soir, basées d'une part sur la minimisation des risques du vaccin et d'autre part sur la peur de la maladie:

 

« Comme l'annonce l'AFP, le vaccin a été « généralement bien toléré » et son effet secondaire le plus courant était une douleur modérée même si dans un cas il a conduit à une réaction « sévère » avec maux de tête, vomissements et hospitalisation de 24 heures. « Nos données suggèrent que ce vaccin est un candidat sérieux, offrant une large protection contre les méningocoques de groupe B » assure Peter Richmond, chercheur de l'Université de Western Australia, qui est l'auteur principal de l'article portant sur ces tests. Les essais visaient à tester la sécurité du vaccin et sa capacité à produire une réponse immunitaire. […] La peur que suscitent les infections à méningocoques est justifiée par leur taux élevé de mortalité, situé entre 8 et 10%, et par leur potentiel épidémique. »

 

"Généralement bien toléré" disent-ils... sauf qu'ils ne disent rien sur la façon exacte dont cette tolérance a été évaluée. Or il s'avère que pour TOUT essai clinique de vaccin, il n'est JAMAIS question d'un véritable placebo et que par conséquent, le groupe vacciné est constamment comparé avec un groupe ayant reçu soit un autre vaccin, soit une substance intrinsèquement toxique (aluminium ou autre), ce qui biaise bien sûr toute la comparaison en gonflant artificiellement le nombre d'effets secondaires obtenus dans le faux groupe placebo. De là, il sera alors très très facile d'affirmer et de conclure que "le vaccin a un profil de tolérance acceptable par rapport au groupe placebo." Et voilà comment ça marche...

 

Ironie du sort, l'introduction de la vaccination contre le méningocoque de type C n'a fait qu'augmenter, par une sorte d' "effet compensateur" de l'écosystème microbien, la proportion de méningites du groupe B contre lesquelles il n'existe pas encore de vaccin. De même, la vaccination contre une autre bactérie susceptible de donner lieu à de rares cas de méningites, celle contre l'haemophilius influenzae de type b qui a été introduite dès 1993, a eu elle aussi, pour effet pervers, d'augmenter encore le nombre de cas de méningites à méningocoques.

 

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source: Preventie Vaccinatieschade 

 

 

La fuite en avant des vaccins est donc terriblement désespérante parce qu'elle ne fait au mieux que déplacer et reporter les problèmes épidémiologiques sans jamais vraiment les résoudre. Mais parce que cette fuite en avant est particulièrement lucrative pour les labos qui ont près de 300 nouveaux vaccins dans leur pipeline, il est hélas à craindre pour la santé publique que celle-ci ait encore de très beaux jours devant elle... jusqu'à l'explosion inéluctable de la bulle bien sûr.

 

UN ARTICLE EGALEMENT PUBLIE SUR AGORAVOX: VOIR ICI

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 22:11

Voici un lumineux article du Dr Nicole Delépine, pédiatre oncologue à Garches (France) sur l'état de la médecine et de la démocratie. Merci à tous ces praticiens qui ont encore une conscience et le courage de nous alerter d'agissements aussi graves, de nature à causer des morts et des maux pourtant évitables si on faisait preuve d'un peu plus de bon sens...

 

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27 septembre 2011

 

Cancérologie: "la médecine n'est plus au service du patient, mais d'un système marchand."

 

Sommes-nous à l'aube d'une crise de remboursement des traitements anti-cancer qui peuvent se chiffrer en dizaines de milliers d'euros ? C'est ce que semble indiquer une récente étude publiée par le journal médicale The Lancet. De quoi remettre en cause la pratique de la médecine actuelle ?

 

Suite à un article du Lancet Oncology Medical journal, relayé par l’agence Reuters à l’occasion d’un congrès de cancérologie européen à Stockholm, certains « experts » découvraient que la spirale infernale dans laquelle s’étaient jeté les cancérologues - stimulés par les laboratoires et les patients savamment manipulés - devrait bien s’arrêter un jour. Quelles seraient alors les victimes ? Les malades privés de nouvelles drogues soi-disant miracles ou bien les laboratoires dont les bénéfices faramineux pourraient bien finir par se tarir, si la raison parfois revenait aux hommes ?

 

Le mythe de la prévention et du dépistage

 

Certes le nombre de cancers semble augmenter. Certes des examens complémentaires dépistent des pré-cancers qui conduisent à transformer de nombreux bien portants en patients subissant biopsies, examens sophistiqués et traitements. Mais cette agitation demeure souvent inutile et toxique d'un point de vue tant financier que psychologique et social.

 

Il faudrait donc calmer rapidement les ardeurs des médecins, des Conseils généraux et autres associations qui financent des dépistages mammographiques au nom d'une conception française un brin singulière. Calmer également l’obsession de doser les PSA à tout homme de plus de 50 ans qui ne demande rien et se retrouve castré impuissant et cassé au nom de la prévention d’un cancer de la prostate qu’il n’aurait peut-être jamais eu et dont la probabilité qu’il le tue resterait très faible.

 

Des médecins de moins en moins libres de choisir la façon d'exercer leur métier

 

En ce qui concerne les vrais cancers, la question posée reste celle des critères de choix des médicaments par le cancérologue au XXIe siècle ? À quelle pression est-il soumis pour choisir le traitement du patient ?

 

Il ne s’agit là que deux exemples qui pourraient être déclinés dans d’autres pathologies, mais le mythe de la prévention et du dépistage si bien ancré dans nos sociétés sera difficile à relativiser (comme celui de la vaccination toute puissante pour des raisons identiques : l’exemple de la vaccination contre le cancer du col de l’utérus couteuse, dangereuse et inefficace est en ce sens instructif).

 

Il y a une vingtaine d’années de cela, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient, au regard des données actuelles de la science. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un colloque singulier avec son malade.

 

Depuis les années 1990 - et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 - la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont « discutés » en réunion multidisciplinaire où de fait l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la « communauté ». Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie.

 

En effet, le bras armé de la Haute Administration qui impose le choix des protocoles de soins est l’agence régionale de santé qui audite les services. La qualité requise pour être « accrédité » et donc autorisé à soigner des malades atteints de cancer est de soumettre tous les patients à ces réunions de concertation qui ne sont de fait que des chambres d’enregistrement de tous les patients. Le but : être bien certain qu’aucun n’échappe au système savamment mis au point des essais thérapeutiques.

 

Pourquoi ? Le mécanisme est bien huilé et tous les essais thérapeutiques en cours utilisent les drogues supposées miracles présentées à la télévision lors des grands congrès internationaux. L’année suivante, ce sera une autre molécule qui fera la révolution. Les hommes ont la mémoire courte et tomberont dans le piège une nouvelle fois…

 

Les "big pharma" en question 

 

Mais le plus étonnant et la clef du problème restent que les « big pharma » de l'industrie pharmaceutique savent transformer l’espoir en or. Peur du cancer, peur de la mort, médias et diffusion d’espoir conduisent patients putatifs et malades réels à faire pression sur les politiques pour donner en un temps invraisemblablement court l’autorisation de mise sur le marché (AMM) sans respecter les règles de sécurité minimales et à des prix exorbitants. L’OMS explique sans rire que le prix du médicament est déterminé par le prix le plus élevé que l’assurance maladie ou les pouvoirs publics peuvent supporter.


Le problème du coût du cancer n’est pas lié à la spécificité de la pathologie mais aux procédures d’exception qui sont utilisées sous prétexte d’urgence. Un seul exemple qu’on peut multiplier à foison : pour le lymphome, l’étude Marcus recommande une association rituximab plus CPV qui coute 24 080 dollars alors que les autres alternatives thérapeutiques d’efficacité équivalente reviennent à moins de mille dollars (avec moins de risques inconnus à moyen ou long terme). On peut décliner cette démonstration à X reprises, y compris dans des pathologies non cancéreuses : celles-ci suivent en effet le même chemin depuis que les « big pharma » ont découvert des indications miracles, là aussi vite acceptées sans tenir compte de la balance bénéfices/risques souvent très discutable dans des maladies sans risque vital.

 

Quand les laboratoires utilisent la détresse humaine pour faire de l'argent

 

Il n’y a donc pas de problème spécifique du cancer lié à une augmentation exponentielle de leur nombre. Il y a une utilisation marchande de la détresse humaine par les laboratoires. Le problème : une chaine de complicité qui conduit les pouvoirs publics à autoriser la mise sur le marché de produits soi-disant innovants, sans leur imposer le circuit de sécurité mis au point depuis des décennies. Autre souci : ces pouvoirs publics leur accordent des prix de vente qui ne correspondent à aucune réalité de recherche ou de fabrication, mais bien au maximum de bénéfices que tous pourront en tirer tant que la vache à lait voudra bien payer.

 

Il faut réintégrer les nouvelles molécules dans le circuit normal aseptisé et assaini tant pour l’Autorisation de mise sur le marché (AMM) que pour la fixation des prix et le système retrouvera son équilibre. Tout le monde le sait, particulièrement chez les cancérologues. Ne faisons pas semblant de pleurer sur le sort de ces pauvres malades qui ne pourraient pas être soignés et faisons respecter les règles usuelles de mise sur le marché des médicaments. Interdisons sur les antennes la publicité directe (suite aux congrès) et indirecte (par le biais des campagnes de santé publique) pour faire cesser la manipulation des masses dignes des régimes les plus totalitaires.

Enfin, souvenons nous que nous sommes théoriquement dans un système libéral : la soviétisation de la médecine via les normes imposées, les accréditations et autres phénomènes bureaucratiques conduisent à une négation de l’art médical qui n’est plus au service du patient mais d’un système marchand.

 

Source: Atlantico.fr

 

face cachée médoc-copie-1Le Dr Delépine, auteur du livre "La face cachée des médicaments", y explique encore bien d'autres aspects, littéralement sine qua non à comprendre pour bien gérer sa santé, au quotidien:

 

« Des solutions pour la Sécu

 

À juste titre, le trou de la Sécurité sociale est devenu une obsession des pouvoirs publics. De bonnes pistes sont cependant envisageables pour faire fondre le déficit sans diminuer pour autant la qualité des soins : baisser de façon drastique la consommation des médicaments en France et réduire ainsi le nombre d’hospitalisations et de morts inutiles causées par leurs effets secondaires. Estimées à 1,5 million par an aux États-Unis, les hospitalisations liées aux traitements en France sont estimées à 300 000. Mais comment convaincre les patients et les médecins – condi­tionnés par les médias, eux-mêmes manipulés par l’indus­trie pharmaceutique – du bien-fondé de mes dires partagés par des confrères aussi peu entendus que moi ? La chaîne des opposants institutionnels aux gouvernants (syndicats, partis d’opposition, etc.) se range derrière les labos au nom de la défense de l’emploi et du droit du patient ou du futur malade.

 

Une propagande bien huilée

 

Fille d’un des fondateurs de la Sécurité sociale, j’aurais un devoir filial de ne pas toucher aux médicaments : « Nos parents ont galéré pour obtenir la Sécu », « nous avons « droit » à tous les médicaments remboursés », « pas touche à ma Sécu ». La notion de droit envahit les espaces et conduit à perdre de vue la santé du patient. Dans l’esprit de nos compatriotes bien conditionnés, le remboursement par la Sécurité sociale prouve l’efficacité d’un médicament et justifie sa consommation. Combien de fois ai-je entendu ce raisonnement de la bouche d’amis convaincus que la prévention par les médicaments est le meilleur moyen de vivre vieux et en bonne santé ? Ce sont des idées préconçues que nous avons parfaitement assimilées. À force d’intoxica­tion subliminale, les publicitaires américains, formés dans les années soixante, ont endoctriné les élèves de nos écoles de commerce. L’histoire de l’introduction du fluor – un exemple de fabrication de consentement actif – dans notre quotidien prouve à quel point nous sommes bernés. Le marché des statines repose sur une mise en condition du monde médical et des patients pour rendre quasi syno­nymes maladie coronarienne et cholestérol élevé, avant de nous persuader que la baisse du cholestérol et la réduction du risque coronarien sont équivalentes. Il n’y a plus alors qu’à surestimer considérablement le bénéfice des anticholestérols et à occulter leurs effets délétères. Pourtant, ces successions d’« évidences » sont loin d’être démontrées. Les laboratoi­res se sont ensuite partagé le marché des molécules princeps (originales) et des me too (les copies), qui ont toutes bénéfi­cié de prix élevés, bien que, pour la plupart, aucune preuve scientifique n’ait pu démontrer leur efficacité, et qu’elles aient obtenu l’AMM en référence aux molécules de la « première génération. » 

 

Source: Atlantico.fr 

 

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 21:57

11 mai 2012

 

Nous l'évoquions dans un précédent bulletin électronique : les grandes sociétés pharmaceutiques sont actuellement confrontées à un véritable dilemme vis à vis de leur stratégie de recherche et développement. Bien que désireuses de stimuler l'innovation à un stade précoce, elles restent en effet très hésitantes quant à l'opportunité d'augmenter les ressources internes qu'elles consacrent à la recherche et à la découverte de nouvelles thérapies. Face à ce dilemme, ces entreprises tendent de plus en plus à se tourner vers des fonds d'investissement afin de participer, très en amont, au financement de jeunes entreprises innovantes (JEIs) dans le domaine de la santé.

Un modèle de collaboration ouverte...

C'est à un véritable changement de modèle de R&D auquel nous assistons au sein des "Big Pharmas": au cours des quatre derniers mois, le groupe pharmaceutique français Sanofi, l'irlandais Shire PLC et l'entreprise Merck and Co. basée dans le New Jersey ont ainsi conclu des collaborations avec plusieurs fonds d'investissement [2] [3] [4]. Pour les grands groupes pharmaceutiques, l'objectif de ces alliances est de permettre de se placer, au moindre coût, au plus près des nouvelles idées qui émergent des JEIs dans le secteur pharmaceutique, tout en donnant en retour la possibilité à ces JEIs d'accéder à de l'expertise clinique et réglementaire, une ressource qui fait précisément la force des "Big pharmas".

 

Lire la suite sur Bulletins-électroniques.com

 

Voir aussi ici cet article sur le "recyclage" des molécules thérapeutiques.

 

Les pharmas visent toujours pour elles le plus de bénéfices au moindre coût financier, mais pas humain hélas, comme a encore pu le démontrer l’excellente émission d’investigation diffusée récemment sur France 2 (« Les vendeurs de maladies »)

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 21:05

jeudi 10 mai 2012

 

CHARLEVILLE-MÉZIÈRES (Ardennes). Le témoignage de Catherine Demarez, atteinte de myofasciite à macrophages, suite à l'injection d'un vaccin, fait réagir Joan Malicet, 26 ans, aussi malade. Il met en cause l'armée.

 

Les yeux creusés, le pas lent, à 26 ans, Malicet est un garçon épuisé. Devant lui, une dizaine de boîtes de médicaments, et pourtant à peine de quoi se soigner quelques jours.


La myofasciite à macrophages a officiellement fait son apparition dans sa vie en 2009, une maladie encore méconnue, qui se déclenche chez certaines personnes sensibles, quelques mois à quelques années après l'injection d'un vaccin contenant de l'aluminium.


C'est ce qui est arrivé à Catherine Demarez dont nous avons recueilli le témoignage dans notre édition du 4 avril dernier.


Les symptômes de cette maladie, Joan Malicet les ressent depuis ses 19 ans, depuis qu'un week-end de juillet 2005, le jeune engagé, rentré en permission à Nouzonville, est pris d'un malaise et s'effondre d'épuisement.


Il n'a pas encore 20 ans et pourtant la fatigue ne le quitte plus. Celui qui avait été déclaré apte à son incorporation en février « n'(a soudain) plus aucune aptitude et se retrouve hospitalisé sur son lieu d'incorporation à Bordeaux. Le 16 décembre 2005, il est rayé des effectifs », explique son avocate, Marie Lardaux.

« Accident du travail »

Cette dernière accompagne ce jeune père de famille de trois enfants dans son nouveau combat devant le tribunal des pensions militaires à Charleville-Mézières : « Faire valoir (ses) droits. » en faisant reconnaître sa maladie comme un « accident du travail » ou plutôt « un fait de service » en langage militaire.


Une démarche rendue légitime car le jeune homme a contracté la myofasciite à macrophages après avoir « subi un vaccin obligatoire dans le cadre de son travail » (Le Revaxis, qui contient de l'aluminium et remplace depuis 2008 le DTpolio qui n'en contenait pas).


Mais l'avocate se dit « pessimiste » car la difficulté est de parvenir à faire reconnaître le lien entre la maladie et le vaccin. Or l'expert retenu « ne veut pas être catégorique ».


Une réticence que l'avocate met sur le compte du « cadre judiciaire. Ça ouvrirait des droits à M. Malicet et cela créerait un précédent jurisprudentiel ».


Dans tous les cas, l'avocate n'est pas prête à baisser les bras et envisage de « monter au moins jusqu'à la cour nationale » si nécessaire avec une contre-expertise et un « diagnostic le plus fin possible. Il faut des médecins qui se mouillent ».


L'heure n'est pas à « se retourner contre le laboratoire », « procédure dont l'objet est complètement différent ».


Difficile combat pour Joan Malicet car « la maladie est pesante : maux de tête, tension dans le cou, malaise, troubles cognitifs, pertes de mémoire… » Mais un combat qui lui tient à cœur, lui qui a toujours rêvé de s'engager : « Ceux à qui ça arrive, on n'a pas de chance je suis d'accord. Mais quand on cherche à faire valoir nos droits, il ne faut pas bloquer les choses. C'est pour nos familles qu'on fait ces démarches-là. Ce serait un tel réconfort. C'était un désir d'enfant de m'engager dans l'armée et j'ai été obligé de la quitter. C'est pour ma famille, ma femme qui se sacrifie. Que l'armée assume son rôle que je puisse faire vivre ma famille comme tout père de famille ».


Nathalie DIOT

 

Source: L'Union

 

Voir aussi cet autre article sur cette autre victime de vaccins aluminiques:

 

L'aluminium l'empoisonne (4 avril 2012)



Catherine-Demarez.jpg

CHARLEVILLE-MEZIERES (Ardennes) A 42 ans, Catherine Demarez est atteinte de myofasciite à macrophages. Une maladie rare liée aux adjuvants aluminiques des vaccins. Elle tire la sonnette d'alarme.



«Je me suis fait empoisonner ». Derrière la douceur et le sourire de Catherine Demarez, la colère. À 42 ans, cette maman de deux enfants (de 21 et 12 ans), employée à l'Adapah, vient de découvrir qu'elle est atteinte d'une maladie rare, la myofasciite à macrophages, déclenchée à cause de l'aluminium contenu dans les vaccins


Pendant des années, alors qu'elle pensait agir pour sa santé et celle d'autrui en se vaccinant, Catherine Demarez se faisait en fait injecter la dose du poison qui aujourd'hui lui pourrit la vie et pourrait bien l'empêcher à terme de travailler. « L'adjuvant aluminique provoque un effet inflammatoire. Il met le feu aux poudres », explique la présidente de l'association d'entraide aux malades de la myofasciite à macrophages (E3M basée à Niort), Sophie Chevry, 42 ans, elle-même diagnostiquée en 2002.


Douleurs persistantes, épuisement, problèmes neurocognitifs… Les symptômes ressemblent au premier abord à ceux de la fibromyalgie, maladie dont Catherine Demarez se croyait atteinte depuis des années… à tort.

 

Une confusion entretenue par la méconnaissance des médecins face à cette nouvelle pathologie qui plus est invisible. IRM et prises de sang ne révèlent aucune anomalie. Seule une biopsie du deltoïde (l'endroit où sont pratiqués généralement les vaccins) peut révéler l'affection.

 

Une démarche qu'a entreprise Catherine Demarez avec l'accord de son médecin. Il y a quelques mois, elle s'est donc rendue à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil où se trouvent plusieurs spécialistes de la maladie.


C'est notamment là que s'est tenue, en 2011, la première journée consacrée à cette maladie. Et le verdict est finalement tombé : elle est la première Ardennaise à être diagnostiquée. Aujourd'hui Catherine Demarez tire la sonnette d'alarme : «Peut-être d'autres personnes comme moi ont-elles été mal diagnostiquées ».


Certes connaître le problème suffisamment tôt ne permet pas d'en guérir mais cela permet au moins d'espérer stabiliser la maladie en limitant au maximum l'apport d'aluminium. Ce qui n'est pas si facile car l'aluminium est présent au quotidien. Ainsi Catherine Demarez regarde les étiquettes à la loupe : déodorant, produits cosmétiques, écran total, alimentation…

 

Et elle tremble aussi pour ses enfants, notamment pour Johanna encore scolarisée et pour qui la vaccination devrait être obligatoire d'ici peu. Car si la maladie est encore méconnue, de fortes suspicions pèsent sur son caractère génétique.

 

Ainsi cette maman explique : « J'attends pour ma fille qu'il y ait des vaccins sans aluminium ». Une des demandes répétées de l'association : « Nous ne sommes pas contre la vaccination. Nous voulons vacciner en toute sécurité », précise Sophie Chevry. Mais le sujet reste « tabou […] car il remet en cause l'organisation de l'industrie pharmaceutique. Il y a eu une problématique économique, que va-t-on faire des stocks ? Les autorités sanitaires françaises sont mises en cause et les industriels qui n'ont pas fait d'étude correcte à long terme. »

 

« C'est comme l'amiante et le sang contaminé ou le Mediator », estime Catherine Demarez, « on va vers un scandale sanitaire ».


Nathalie DIOT



Source: L'Union 

 

Ce qu’on peut constater ici c’est surtout la grande méconnaissance du public du lien possible entre ce genre de symptômes et de pathologie et LES VACCINS. D’ailleurs, on le voit, c’est suite au témoignage de Catherine Demarez que Joan Malicet a pu faire le lien lui aussi. C’est donc bien parce que le sujet est tabou, que la presse a trop peu pu en parler jusqu’à présent que trop peu de victimes ont pu établir la connexion et se manifester. Or la révolution et le changement ne tiennent qu’à ça : à la dynamique citoyenne destinée à faire (enfin) toute la lumière sur l’ampleur des dégâts et à pouvoir enfin valablement tous les comparer aux supposés bienfaits des vaccins. On aurait sans doute de belles surprises, commercialement peu avantageuses, c’est sûr…

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