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25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 14:43

La notice du vaccin Tripedia (diphtérie-tétanos-coqueluche), fabriqué par Sanofi Pasteur et commercialisé aux Etats-Unis reprend explicitement dans les effets secondaires l'autisme et la mort subite du nourrisson (dont l'acroyme anglais est "SIDS" pour "sudden infant death syndrome"). Pour les visiteurs de ce site, cela n'est pas vraiment étonnant mais pour tous les autres... quel saut de conscience! Car oui, les fabricants le savent et cette notice remonte déjà à... 2005! Et il est bon de diffuser ou rediffuser cette information, plus utile que jamais.

 

Le vaccin Tripedia (diphtérie, tétanos, coqueluche) "sans conservateur" mais néanmoins capable de causer la mort subite du nourrisson et l'autisme en autres joyeusetés...

 

Pendant que des médecins traitants manipulés et des experts sanitaires lénifiants essaient de vous convaincre coûte que coûte qu'il n'y a pas de lien entre ces problèmes de santé et les vaccins, les fabricants eux, l'ont pourtant déjà admis depuis longtemps. Alors, qui des deux ment et qui a le plus des deux intérêt à mentir sur base d'un tel positionnement? Posez-vous svp cette question à temps car elle est cruciale:

 

- Pensez-vous que l'industrie aurait intérêt à reprendre ces effets secondaires dans ses notices si cela n'était pas vrai? Quel est donc son intérêt à l'avouer? Et pourquoi aussi pensez-vous que ce type d'infos figurent sur des notices américaines et pas sur les notices européennes et notamment francophones? C'est simple: aux Etats-Unis, les fabricants jouissent d'une impunité juridique totale qui leur a été accordée par la Cour Suprême du pays. Par conséquent, ces aveux dans les notices ne font courir aucun risque aux fabricants et eux peuvent dire "nous, on l'avait dit, ce sont les autorités officielles qui décident, recommandent voire imposent". Et voilà, comment le patient finit une fois encore perdant et esclave!

 

- En revanche, l'intérêt des autorités sanitaires et des médecins à dissimuler ces vérités est manifeste: les vaccins rapportent beaucoup à une majorité de médecins généralistes et pédiatres; quant aux autorités sanitaires officielles, elles se sont immensément investies pour soutenir et tout simplement rendre possible la vente des vaccins qui n'auraient jamais trouvé autant de preneurs sans cette apparence de crédit officiel. Dans les deux cas, reconnaître cela exposerait les médecins qui ont vacciné et les autorités officielles qui ont approuvé et recommandé ces vaccins, voire rendus obligatoires dans certains pays, à un risque exorbitant de poursuites judiciaires. Il ne faut donc guère s'étonner que les médecins et les autorités sanitaires dites "publiques" s'entêtent à nier et à parler de "coïncidences". 

 

En concusion, ne vous faites plus leurrer, il s'agit de la santé de vos enfants. Ne vous faites plus enfumer par des articles de presse bâclés et biaisés se limitant à traîner dans dans la boue des chercheurs comme le Dr Wakefield (dont les travaux sur les effets du vaccin ont été reproduits par d'autres équipes de chercheurs non contestés) et qui créent des associations incomplètes dans votre esprit. Aussi, on le voit bien, le vaccin contre la rougeole n'est hélas pas le seul qui soit associé ni le seul qui puisse engendrer des cas d'autisme. C'est hélas aussi le cas du vaccin contre l'hépatite B, du vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche et de l'Infanrix hexa par exemple. On remarquera aussi au final la belle mention "sans conservateur" ("conservative free") sur la boîte du vaccin Tripedia (vaccin DTC), preuve que le problème de l'autisme est hélas très loin de se réduire à la seule présence de mercure dans certains vaccins! Chez certains enfants, pour des raisons métaboliques individuelles, cela peut être l'aluminium qui va faire tomber le sujet dans l'autisme, et pour d'autres cela pourra être l'effet viscérotrope de certains virus, comme cela se voit avec le vaccin ROR, qui est un vaccin à virus vivant sans aluminium ni mercure. Ne pas oublier qu'un mécanisme physiopathologique n'en exclut pas forcément un autre selon les sujets et que les idéologues de la vaccination n'ont AUCUNE idée précise des effets détaillés à court, moyen ou long terme que les vaccins peuvent infliger au corps par l'entremise du système immunitaire...

 

Voir aussi:

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Les vaccins, grande cause de mort subite du nourrisson

 

Mort subite du nourrisson & vaccins: un rapport accablant...

 

Vaccins & mort subite du nourrisson

 

La sécurité des vaccins pose vraiment problème: les officiels le savent

 

La vaccination provoque l'autisme. Voici ce qu'ils savent...

 

Cas d'autisme: pour le tribunal de Rimini, "c'est la faute du vaccin"

 

Un tribunal italien accorde une indemnité à vie à un garçon devenu autiste après le vaccin Infanrix hexa

 

Vaccins & autisme: l'énorme scandale. Un officiel américain avoue que le CDC a dissimulé des données

 

Vaccins & autisme: le camouflage qui continue de détruire des milliers d'enfants

 

22 études scientifiques montrent que les vaccins peuvent causer l'autisme

 

Fraude du CDC: dissimulation d'un risque d'autisme de 340% lié aux vaccins

 

Une nouvelle étude du MIT incrimine l'aluminium vaccinal, y compris dans l'autisme

 

Une Cour fédérale américaine reconnaît le lien entre autisme et vaccins chez deux enfants

 

L'autisme a-t-il existé avant les vaccins?

 

Autisme cancer liés à l'ADN foetal présent dans les vaccins

 

La vérité sur l'autisme post-vaccinal: un nouveau livre sur un immense scandale

L'autisme et la mort subite repris dans la notice du vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche
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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 14:50

Après avoir été témoins de réactions « infernales », des parents irlandais implorent les services de Santé (HSE) d’abandonner le vaccin contre le HPV

 

Par Aoife Finneran, Irish Sun Online

Irlande: protestations parentales contre les effets infernaux du Gardasil

Des parents dont les enfants avaient reçu le vaccin contre le HPV l’ont accusé d’avoir « détruit » la vie de leurs filles.

 

Ces parents ont demandé aux services de Santé de suspendre le programme de vaccinations jusqu’à ce que l’étude de vaccinovigilance européenne soit terminée.

 

Depuis mai 2010, 600.000 doses du vaccin Gardasil ont été distribuées en Irlande.

 

Ce vaccin a également été utilisé chez 72 millions de personnes dans le monde entier pour prévenir le cancer du col de l’utérus comme d’autres formes de cancer causées par le virus HPV.

 

Cependant, un nombre croissant de parents disent que leurs filles ont souffert de réactions graves et durables à la suite de l’injection du vaccin. Ces jeunes-filles ont souffert de fatigue chronique, de douleurs articulaires, de douleurs thoraciques et de rythmes cardiaques anormaux.

 

Fiona Lawlor, 15 ans, est tombée évanouie dans l’heure qui a suivi l’injection du Gardasil en septembre 2012.

Irlande: protestations parentales contre les effets infernaux du Gardasil

Selon son père Phil, sa santé n’a cessé de se dégrader depuis.

 

D’une manière poignante, il explique qu’initialement, il souhaitait vraiment que sa fille Fiona fasse le vaccin, en précisant : «  Ma mère a souffert du cancer du col, mais le mal a été pris à temps et on a pu la guérir. »

 

Après avoir reçu sa première injection, Fiona a passé trois semaines au lit avec des symptômes pseudo-grippaux. Elle a ensuite développé des douleurs articulaires, de la fatigue chronique et n’a plus été capable de retourner à l’école à plein temps.

 

Phil explique : «  Avant Noël 2012, elle a dû être hospitalisée pendant quatre jours pour des douleurs thoraciques et une forte tension artérielle. » «’Tout ce que je veux c’est qu’on supprime ce vaccin ».

 

Fiona a été examinée par plusieurs médecins et aucun n’a pu expliquer ses symptômes ou conseiller des traitements appropriés.

 

Phil explique : « Avant qu’elle ne fasse le vaccin, elle était très active. Elle pratiquait le camogie, jouait football et pratiquait l’équitation. Aujourd’hui, elle n’a plus d’énergie et souffre sans arrêt. »

 

Les autorités de régulation des produits de santé – qui autorisent l’usage de tel ou tel médicament – ont reçu 861 rapports d’effets secondaires soupçonnés d’être associés au Gardasil.

Irlande: protestations parentales contre les effets infernaux du Gardasil

Trois de ces rapports avaient trait à l’algoneurodystrophie et au syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP). Ces problèmes font actuellement l’objet d’une étude par l’Agence Européenne des Médicaments pour leur lien potentiel avec le vaccin.

 

Le programme de vaccination HPV est organisé par le HSE (Services de Santé Publique) et appliqué à toutes les filles de 12 ou 13 ans. Bien que la vaccination ne soit pas obligatoire, le taux de participation est d’environ 84 pour cent.

Irlande: protestations parentales contre les effets infernaux du Gardasil

Le vaccin est administré en 3 injections

 

L’adolescente  de Dublin Kelly Power n’a eu aucune réaction à ses premières injections en 2011. Mais après la troisième, elle a développé des douleurs chroniques du dos, de la fatigue chronique, de graves maux de tête et une insuffisance thyroïdienne.

 

Sa maman Kiva a expliqué : « Avant que tout cela n’arrive elle était en bonne santé, très sportive, très active et très intelligente. Elle n’a jamais manqué l’école.

 

« Depuis sa troisième injection, tout a mal tourné. »

 

Kelly qui a maintenant 17 ans, a raté la plupart de ses deux dernières années et demi d’école. Sa maman ajoute : «  Elle ne peut pas poursuivre ses études et nous ne savons pas comment elle va être en mesure de pourvoir à ses besoins. Je veux tout juste que l’on retire ce vaccin pour que ce qui nous est arrivé ne se produise pas pour d’autres filles. Mais pour nous, il est malheureusement trop tard. » 

 

Source: The Sun.ie

 

Voir aussi:

 

Lésions cérébrales après le Gardasil: parents & ados doivent le savoir AVANT la vaccination!

 

"Voilà ce que le vaccin HPV a fait à ma fille..."

 

Décès de Karen, 16 ans, après des troubles auto-immuns déclenchés par deux injections de Gardasil

 

Le vaccin contre le cancer du col a coûté la vie à notre fille

 

Irlande: les survivantes du Gardasil lancent un groupe de soutien

 

Manifestations dans les rues de Colombie contre le Gardasil 

 

Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

 

Japon: le Ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins Gardasil et Cervarix

 

Vaccins anti-HPV: rapport bénéfices/risques défavorable (Annals of Medicine)

 

Traitements orthomoléculaires des effets secondaires des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

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23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 20:34

Les parents des victimes du vaccin contre le HPV protestent dans les rues de Colombie

 

Par Norma Erickson 18 juillet 2015

Manifestations dans les rues de Colombie contre le Gardasil

Protestations contre le vaccin Gardasil dans les rues de la Colombie

 

Une fois de plus, les informations concernant les dommages causés par le vaccin Gardasil sont systématiquement censurées par les médias américains. Grâce à Norma Erickson de SaneVax.org, nous pouvons vous apporter ces informations sur la Colombie où tout récemment des parents de victimes des vaccins contre le HPV se sont rassemblés pour protester dans les rues.

 

Le 16 février 2015, la Colombie a promulgué une nouvelle loi (1751, 2015) qui stipule que la santé humaine est un droit fondamental autonome. En tant que droit fondamental, cela implique que les services de promotion de la santé, la prévention des maladies, le diagnostic, le traitement, la récupération, la réhabilitation et les soins palliatifs devraient être assurés sous la responsabilité de l’Etat pour toute personne sans distinction d’aucune sorte. Ce que cela va signifier vraiment pour les survivants colombiens des vaccinations contre le HPV reste à voir.

 

Théoriquement, cette nouvelle loi permettrait de garantir que les victimes d’effets indésirables graves après vaccination contre le HPV pourraient avoir accès à des tests diagnostic et aux traitements nécessaires pour pouvoir recouvrer leur ancien état de santé, indépendamment de leur statut d’assurance-maladie, de leur statut social ou de l’endroit où ces personnes résident. Tout ceci est particulièrement d’actualité depuis que le gouvernement a rendu les vaccins contre le HPV obligatoires qui ont apparemment endommagé la santé de tant de jeunes femmes colombiennes.

 

Le 26 février 2015, Fernando de la Hoz a démissionné de son poste de directeur général de l’INS (Institut national de la Santé). Malgré le fait que de la Hoz ait occupé ce poste pendant un peu plus d’un an, il affirme que sa démission n’a rien à voir avec la récente controverse sur la multitude de nouveaux cas médicaux graves qui sont survenus après le récent programme de vaccination contre le HPV en Colombie.

Fernando de la Hoz

 

Fernando de la Hoz a dit que sa démission n’a pas été liée à la réaction des parents colombiens qui croient que leurs filles sont les survivantes de graves réactions indésirables ayant fait suite aux vaccins contre le HPV. Cette situation  serait le résultat d’un rapport compilé par l’Institut national de la Santé (INS) qui a déclaré que les symptômes produits par ces jeunes-filles étaient le résultat d’un syndrome psychogène de masse.

 

Les parents manifestent pour leurs filles

Manifestations dans les rues de Colombie contre le Gardasil

 

Le 6 mars 2015, des centaines de parents de jeunes-filles ayant connu des problèmes de santé après la seconde dose du Gardasil, ont défilé dans Carmen de Bolivar pour attirer l’attention sur les graves problèmes de santé auxquels leurs filles étaient confrontées.

 

Le 8 mars 2015, en conjonction avec des défilés célébrant la journée internationale de la femme, ainsi qu’avec la marche pour la vie, les parents de Carmen de Bolivar ont été rejoints par d’autres marcheurs qui avaient manifesté à Bogota, Cali, Medelin et Sincelejo.

 

Selon Jaun Carlos Jimenez du Comité des parents de filles de Carmen de Bolivar, toutes les marches ont été axées sur les demandes suivantes au gouvernement :

 

-Mener des études pour déterminer la cause exacte des problèmes de santé qui ont touché un si grand nombre de personnes après l’administration des vaccins contre le HPV.

 

-Fournir un traitement adéquat pour les 800 filles connues à ce jour pour être affectées par des problèmes de santé.

 

-Suspendre l’utilisation des vaccins contre le HPV en Colombie jusqu’à ce que les problèmes de sécurité soient résolus.

 

Les parents des filles touchées disent que les autorités sanitaires gouvernementales ont éliminé toute possibilité d’établir de véritables diagnostics, comme de mettre au point des traitements pour leurs enfants parce qu’elles ont adopté la théorie mise en avant par l’Institut national de Santé colombien (INS), étude qui indique que le vaccin n’a aucun rapport avec ces maladies qui seraient en fait dues à un syndrome psychogène de masse.

 

Tout ceci fait en sorte que des centaines de parents colombiens désespèrent par rapport aux réponses qu’ils pourraient recevoir, ainsi que par rapport aux protocoles de traitements qui seraient nécessaires pour leurs filles. Ces parents pensent que leurs filles sont tout simplement des survivantes de réactions indésirables aux vaccins contre le HPV.

 

Des professionnels de santé indépendants marquent leur accord avec les parents

 

Dr Yehuda Shoenfeld

Le Dr Yehuda Shoenfeld, sans doute le plus grand expert mondial des troubles auto-immuns, a choqué le public du IIIème Symposium Colombien sur l’Auto-immunité en déclarant qu’il ne recommanderait pas ces vaccins contre le HPV pour sa propre fille.

 

Lorsqu’on l’interrogea sur la théorie de la psychogénèse de masse sensée expliquer les nouveaux problèmes médicaux qui se produisent chez de nombreuses filles colombiennes peu de temps après la vaccination  contre le HPV, il a répondu :

 

"Bien qu’il soit connu qu’il y a parfois des réactions de panique, surtout chez les femmes, il est très peu probable que les symptômes présentés après avoir reçu le vaccin soient dus à des raisons psychologiques, tout spécialement si l’on prend en compte ce qui se passe dans les différentes parties du monde avec les mêmes signes et symptômes

 

Lorsque nous avons administré le vaccin à des souris, elles ont présenté les mêmes symptômes que les filles touchées. Je ne crois pas que les souris puissent s’ensorceler l’une l’autre. Comme pour tout médicament prescrit à un patient, il nous faut  examiner si certains vaccins sont bien nécessairesSi les effets négatifs l’emportent sur les avantages, le vaccin ne devrait pas être prescrit."

 

 

Pour le Dr Shoenfeld, les vaccins contre le HPV entrent dans cette catégorie. Selon le Dr Shoenfeld, la chose a bien été démontrée en Colombie où des centaines de jeunes filles ont souffert de maladies auto-immunes directement causées par le vaccin.

 

Le Dr Shoenfeld a précisé :

 

"S’il y a un cas ou une avalanche de cas, les problèmes doivent être étudiés de la meilleure manière possible. Dire qu’il s’agit d’un problème psychologique ou viral ne suffit pas. Il convient que des scientifiques de différentes disciplines étudient le problème.

 

Nous pensons que l’aluminium est une substance toxique pour le cerveau. Il s’accumule et continue de s’y accumuler pendant des semaines et des mois. Il est un peu comme un cheval de Troie pour le cerveau. L’aluminium est une neurotoxine. La recherche expérimentale montre clairement que les adjuvants aluminiques sont susceptibles d’induire de graves troubles immunologiques chez les humains. Les adjuvants aluminiques en particulier comportent le risque d’entraîner des problèmes d’auto-immunité, l’inflammation du cerveau, ainsi que des complications neurologiques à long terme. Ces adjuvants aluminiques peuvent dès lors avoir des conséquences profondes et généralisées sur la santé."

 

Selon le Dr Juan Manuel Anaya, directeur du Centre pour maladies auto-immunes, de l’Université de Rosario, le développement des maladies auto-immunes est une question d’une importance primordiale quand il s’agit des vaccins.

 

Le problème est que le rapport bénéfices-risques de développer des maladies auto-immunes après la vaccination contre le HPV n’a pas encore été résolu.

 

Il s’agit de se rappeler les paroles du Dr. Yehuda Shoenfeld : « Si les effets négatifs l’emportent sur les avantages, le vaccin ne devrait pas être prescrit ».

 

Le propre document de Merck concernant les renseignements posologiques spécifie que pour 100 000 personnes qui utilisent le Gardasil, 2500 événements indésirables graves seraient à prévoir.

 

Selon la FDA, un événement indésirable grave doit correspondre à l’un des critères suivants : la mort, un élément qui met la vie en danger, une hospitalisation, une invalidité ou des dommages permanents, une anomalie congénitale/ une malformation de naissance, ou la nécessité d’une intervention pour prévenir une déficience permanente.

 

 

Sauvons nos enfants ! Des parents et des survivants du vaccin contre le HPV marchent dans les rues de la Colombie pour montrer qu’ils se sentent abandonnés dans le silence général.

 

Aucun pays au monde ne présente un taux de cancers du col de l’utérus dans la proportion de 2.500/100.000

 

Il est un fait que le Malawi présente actuellement le taux le plus élevé de diagnostics du cancer du col de l’utérus dans le monde. Il est de 75,9/100 000. - Aucune personne saine d’esprit n’échangerait ce chiffre pour 2500 événements indésirables graves par tranche de 100 000 personnes vaccinées.

 

Lorsqu’il s’agit des vaccins contre le HPV, il est clair que les bénéfices ne l’emportent pas sur les risques.

 

Le temps est venu de mettre fin à tous ces programmes de vaccination contre le HPV jusqu’à ce que les questions de sécurité et d’efficacité soient résolues et scientifiquement démontrées.

 

Il faut arrêter de sacrifier nos enfants sur l’autel du Plus Grand Bien !

 

L’argent et le  profit ne doivent JAMAIS l’emporter sur la santé des enfants !

 

Lire l’entièreté de l’article (en anglais) sur SaneVax.org

 

Source : Health Impact News

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21 juillet 2015 2 21 /07 /juillet /2015 18:57

L’histoire dramatique de Zara

 

15 juillet 2015, Las Vegas Newborn Photographer (Résumé)

Vaccins: l'histoire dramatique de Zara

Mon cœur a hésité de nombreux mois avant que je me décide à publier cette histoire déchirante de la petite Zara. Je voulais raconter ce qui  est arrivé à cette petite fille douce, aimante, dynamique, pleine de vie, comme aussi honorer sa mémoire. Je m’étais spécialisée en photographies de nouveau-nés

 

Zara Antoinette Shiel est née le 26 juillet 2013.

 

C’est en revenant de vacances que j’ai reçu le coup de fil d’une maman me demandant de photographier sa petite fille. Il y a eu quelque chose dans la voix de la maman qui m’a donné envie de la rappeler. J’ai très vite sympathisé avec cette belle famille et j’ai photographié toute la famille, les frères, et bien sûr la petite Zara. L‘histoire de ce couple m’a véritablement touchée. J’ai réalisé qu’il fallait vraiment que nous nous rencontrions. C’est comme cela que nous sommes devenus d’excellents amis. J’ai beaucoup aimé voir grandir Zara. J’aimais être mise au courant des aventures de cette petite famille adorable.

Vaccins: l'histoire dramatique de Zara

L’automne dernier, à nouveau, la maman de Zara, Carla me contacta pour que je puisse photographier sa petite fille. J’en fus très heureuse ! J’adore photographier les nouveau-nés, découvrir leurs petites personnalités uniques, voir les mamans tenir pour la première fois leur bébé dans les bras. J’aime aussi entretenir des liens avec les familles. Tout cela me rend très heureuse et remplie de gratitude.

 

Pour les prises de vues, la famille de la petite Zara avait choisi le cadre du lac de Las Vegas. Contrairement aux réactions habituelles des tout petits, Zara a de suite voulu que je la prenne dans les bras. On aurait dit que je la fascinais. J’étais aux anges et aurais tellement voulu avoir une photo avec elle dans mes bras.

 

Le 19 novembre 2014 j’ai, dans la matinée envoyé les dernières photos de Zara à sa famille. A midi, je venais à peine de me réveiller d’une petite sieste quand j’ai entendu la voix de Matt, le papa de Zara, qui me disait que Zara venait de mourir ! Il me demandait d’une manière désespérée que je lui fasse parvenir tous les clichés que j’avais pris de Zara, qu’ils en avaient vraiment besoin. Matt racontait toute son histoire d’une voix relativement calme, comme s’il était « en pilotage automatique ». C’est au moment où j’ai demandé dans quel état se trouvait Carla, la maman, que la voix de Matt s’est brisée.

 

Matt m’a expliqué que son épouse avait, la veille, pris  un rendez-vous chez le médecin pour la visite médicale habituelle et que Zara avait reçu sa série de vaccins de 15 mois. Le lendemain matin Zara fut trouvée morte dans son berceau. C’était inimaginable, impensable et déchirant. Je ne parvenais même pas à l’imaginer, explique le papa. - Evidemment, j’ai de suite envoyé toutes les photos demandées […].

Vaccins: l'histoire dramatique de Zara

La vie est tout à fait imprévisible. Elle est parfois tragiquement courte, et tout ne semble  pas toujours juste. Il y a cependant, des détails, des petits moments, des traits de personnalité, des relations, qui sont des choses qui comptent vraiment. Ces choses précieuses ne peuvent être remplacées par des heures de travail, de l’agent ou quoi que ce soit que l’on puisse espérer.

 

Parfois, je reste éveillée la nuit me demandant comment cette famille a pu traverser cet horrible cauchemar, comment elle a pu continuer à vivre après pareil drame. Le soir, ils ont mis leur petite fille au lit et quand ils se sont réveillés le matin, elle n’était plus là !

 

Sur mon blog, j’ai vraiment voulu faire tout ce qui fallait pour aider et honorer cette famille. Je voulais que la mémoire de Zara continue à vivre. Je voulais que tout le monde sache quelle merveilleuse petite fille était Zara, dynamique, pleine de vie et tellement aimée ! Je savais qu’il me fallait parler à Carla. Nous avons parlé des heures par téléphone. - Elle m’a expliqué qu’elle tenait Zara sur ses genoux après qu’elle eut remarqué les symptômes que voient tellement de parents après les vaccinations. La douce petite Zara avait de la fièvre et était un peu difficile. Carla a vérifié les sites d’injection et n’a rien remarqué de particulier. Elle semblait voir sa petite fille comme au travers des photos que je lui avais envoyées. Elle l’a mise au lit comme elle faisait toujours et la famille s’est préparée pour la nuit. Aucun des membres de la famille n’aurait pu imaginer que leur vie n’allait bientôt plus jamais être la même. Quand ils se sont réveillés le matin, les parents sont d’emblée entrés dans le  pire cauchemar que des parents puissent vivre : Zara était morte pendant la nuit. […]

 

Quand Carla parlait, je sentais comme une tonalité d’agonie dans sa voix. Elle avait tellement besoin d’obtenir des réponses ! Elle se cramponnait à l’espoir que l’autopsie de Zara saurait faire toute la lumière sur la cause de sa mort. Elle exprimait sa plus grande crainte que le cas de Zara fût classé comme étant un cas de mort subite et inexpliquée de l’enfant (Sudden Unexplained Death in Childhood, SUDC).

 

Nous avons décidé d’attendre les résultats d’autopsie avant de publier l’histoire sur mon blog pour que nous puissions soumettre mon article à n’importe quelle organisation qui aurait pu faire un don.

 

La maman n’arrêtait pas de se demander comment une petite fille heureuse et en parfaite santé pouvait décéder en moins de 24 heures après avoir reçu des vaccins sans qu’il y ait un lien avec un mauvais état de santé sous-jacent.

 

Il a malheureusement fallu plus de 3 mois pour recevoir les résultats d’autopsie de Zara. La famille a donc dû passer les fêtes de Noël et de fin d’année amputée d’un membre de leur famille. Les parents ont voulu tout faire pour que leurs garçons, eux, ne manquent de rien. C’est très fréquemment que la famille a contacté le médecin légiste dans l’espoir de pouvoir enfin obtenir le rapport final d’autopsie.

 

Finalement, les résultats de l’autopsie sont arrivés et le pire cauchemar des parents s’est réalisé : la cause officielle du décès de Zara avait été répertoriée comme « indéterminée ». Ce fut là un coup très dur pour toute la famille. Il n’y avait pas de maladie cardiaque ou autre problème de santé sous-jacent pour expliquer la mort de Zara. Dès les premiers jours qui suivirent le décès de Zara, un fonds fut créé pour venir en aide à des organisations qui pourraient contribuer à ce que pareils drames ne puissent  jamais plus se reproduire dans d’autres familles. Depuis le début du drame, ce fut le plus profond désir de la famille de pouvoir en aider d’autres à continuer à vivre s’ils étaient privés d’un de leurs enfants, comme à endurer la douleur qu’ils vivaient. A ce jour, la famille estime que la mort de leur petite fille a été causée par les vaccinations. La famille est aussi décidée à faire l’impossible pour poursuivre ses recherches afin que les consciences s’éveillent et que pareils drames ne se reproduisent plus jamais à l’avenir. L’organisation que la famille Shiel aimerait vraiment soutenir c’est le NVIC (National Vaccine Information Center) L’espoir de la famille c’est de pouvoir élever le niveau de conscience des gens pour pouvoir sauver la vie d’autres enfants.

Vaccins: l'histoire dramatique de Zara

Source : Little Loo Photography

 

Commentaire de Laura Hayes, mère d’enfants victimes de vaccins :

 

Merci de diffuser cette histoire déchirante (une histoire qui devient malheureusement un peu trop commune) afin que d’autres personnes puissent ouvrir leurs yeux, leurs cœurs et leurs esprits.

 

Aucun vaccin n’est sûr… pas un seul… à n’importe quel âge… dans quelque combinaison que ce soit. Dire (mentir) que certains enfants sont « sensibles » est ridicule.Tous les enfants peuvent être sensibles aux handicaps, aux maladies chroniques ou aux décès que peuvent induire les vaccins. Ceux qui ont souffert de dommages vaccinaux n’avaient pas nécessairement des problèmes de santé (ceci inclut chaque personne/enfant qui reçoit des vaccins, car tous les vaccins quels qu’ils soient provoquent un certain degré de dommages).Mettre le blâme sur les enfants/personnes sensibles est contraire à l’éthique. Tout cela ne sert qu’à tromper un peu plus le public par rapport aux horribles dangers des vaccins. C’est un peu comme si on disait que quelque chose ne tourne pas rond chez une personne qui ne supporte pas de boire de l’arsenic. Les vaccins sont des poisons, c’est clair et net. Les vaccins sont aussi des produits toxiques qui peuvent endommager les systèmes immunitaire et nerveux. Ils sont aussi dommageables pour la flore intestinale et ils peuvent aussi entraîner la mort.

 

On doit cesser de dire « beaucoup trop, et trop tôt » pour dire que « les vaccins sont une arnaque totale et que les parents doivent savoir qu’en autorisant les vaccins pour leurs enfants, ils permettent tout simplement qu’on les empoisonne ».

 

Aucun vaccin n’est sûr… pour qui que ce soit…à n’importe quel âge… dans n’importe quel endroit. Ils peuvent détruire la santé et handicaper le développement. Ils peuvent aussi tuer.

 

Il n’y a pas lieu d’être gêné de refuser des vaccins toxiques. C’est plutôt une raison d’être fier. Vous n’avez aucun intérêt à nuire ou à tuer votre propre enfant.

 

Vous devez vous rappeler qu’il existe mille et une façons de protéger la santé de vos enfants, de l’entretenir, de l’améliorer. Ces moyens sans risques et efficaces existent. Des moyens qui ne font aucun mal et qui ne détruisent pas peu à peu la santé comme le font les vaccins. Ne comptez pas sur votre médecin, ni sur les organismes gouvernementaux pour tout vous dire sur les vaccins. Vous devez effectuer votre propre recherche. 

 

Arrêtez la folie vaccinale. La santé et le bien-être de vos enfants sont entre vos mains. Il est urgent de réclamer à tout le moins la liberté vaccinale pour tous!

 

Je suis de tout cœur avec la famille de Zara et j’espère que les parents ne toléreront plus qu’un seul vaccin puisse les endommager.

 

J’écris tout ceci à partir de mon expérience personnelle, car dans notre famille nous avons dû payer le prix fort en dommages vaccinaux. Oh, combien j’aurais souhaité que quelqu’un me parle des dangers et de l’inefficacité des vaccins, et de l’immense corruption qui règne en ce domaine. Oh, combien j’aurais souhaité avoir écouté mes instincts maternels.

 

En dernier lieu rappelez-vous que les vaccins concernent surtout leur richesse et non la santé de votre enfant.

 

Laura Hayes

Vaccins: l'histoire dramatique de Zara
Une fois encore, il faut souligner dans ce dossier la perte totale de bon sens, l'ignorance et/ou l'idéologie. Comment peut-on oser écrire que "la cause de la mort est indéterminée"?! Si la petite était morte après un coup de marteau sur la tête, cela aurait été mentionné mais non, avec les vaccins, l'omerta doit demeurer, il faut absolument continuer de faire croire au public que les vaccins ne peuvent pas tuer ou handicaper gravement. Ce tabou coûte extrêment cher en souffrances inutiles et en vies humaines sacrifiées. Si vous ne voulez pas que votre enfant fasse partie des enfants sacrifiés inutilement par les vaccins, il est devenu alors urgent de vous demander si vous préférez prendre le risque d'une maladie infectieuse naturelle dont seul un infime pourcentage débouche sur des complications graves et/ou irréversibles (en sachant que votre enfant dispose déjà d'un système de défense naturel, à savoir son système immunitaire, que la Nature a pu perfectionner pendant des millions d'années d'évolution antérieure) ou bien si vous continuez de faire confiance dans les recommandations d'experts qui non seulement conseillent sans en savoir suffisamment sur le fonctionnement du système immunitaire mais qui en plus mentent effrontément sur les risques des vaccins depuis des décennies et n'assumeront aucunement les conséquences humaines et financières dramatiques de leurs "bons conseils"...

 

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19 juillet 2015 7 19 /07 /juillet /2015 21:25

La vidéo qui suit va sans doute vous sembler très technique, avec tout un jargon médical très obscur pour certains d'entre vous. Mais ce qu'il faut retenir, c'est que le Gardasil (comme bien d'autres vaccins d'ailleurs) est tout à fait en mesure de causer des lésions cérébrales objectivables à l'imagerie médicale (ici à l'IRM) et que ces lésions peuvent mener directement ou indirectement au décès.

 

Dans cette vidéo sur "les atteintes neurologiques et le vaccin anti HPV", la neuropédiatre française, le Pr Isabelle Desguerre, rapporte notamment l'histoire de Marion, une jeune fille de 14 ans, élève brillante, et sans aucun antécédent médical particulier.

 

Dix jours après sa seconde injection de Gardasil, la santé de l'adolescente commence à se dégrader avec une hypersomnie diurne (= excès de sommeil en journée, plus de 8 heures par jour), des difficultés à dormir la nuit et de problèmes de concentration. Cette situation calamiteuse amène assez logiquement à une déscolarisation pendant trois semaines au terme de laquelle les choses s'améliorent légèrement bien que la jeune fille, jadis excellente élève, reste anormalement lente et éprouve des difficultés à se concentrer. 

 

Un premier bilan médical qui comprend une IRM montre (cf. ci-dessus) un hypersignal localisé dans les séquences T2 et Flair au niveau du lobe pariétal du cerveau. La mémoire et la logique semblent conservées mais  l'adolescente avait néanmoins des comportements compulsifs (fuguer, rentrer dans un magasin et voler sans plus se rappeler par la suite pourquoi elle l'avait fait, etc.) et c'est pourquoi il fut conseillé aux parents de faire suivre leur fille par un pédopsychiatre...

 

Quelques mois plus tard, en juin 2009, la jeune fille reconsulte car les troubles du comportement sont devenus criants, témoignant d'une désinhibition frontale: elle se déshabille dans la rue, va avec n'importe quel homme qu'elle ne connaît pas et elle présente des troubles du jugement flagrant. L'évaluation conclut alors à un trouble cognitif avec atteinte conjointe de la mémoire. D'une élève brillante, on passe donc à une élève sévèrement handicapée sur le plan cognitif. 

 

La jeune fille subit alors une batterie d'examens. Une IRM bien sûr, laquelle montre un aspect tout à fait particulier pour une enfant de cet âgé, à savoir des petits hypersignaux péri-ventriculaires que vous pouvez constater sur l'image ci-dessous par le halo blanc autour des ventricules cérébraux et qui ne sont donc pas du tout anodins ou banaux chez les enfants (sur cette séquence IRM de type "flair"):

Lésions cérébrales après le Gardasil: parents et ados doivent le savoir AVANT la vaccination!

Un bilan médical est donc refait, avec une foule d'autres examens médicaux, y compris invasifs comme une ponction lombaire. Cette dernière montre une synthèse intrathécale qui signe donc la survenue d'un évènement immunologique dans son liquide céphalo-rachidien. Divers anticorps anti-neuronaux recherchés reviennent négatifs et le tableau n'est donc pas celui d'une maladie auto-immune telle qu'elle se présente habituellement. Pas de trace non plus d'infections récentes ou semi-récentes.

 

En revanche, la trace de démyélinisation sur l'IRM semble s'être aggravée par rapport à la première IRM réalisée au début des troubles. Ci-dessous, l'aggravation (sur l'image de droite) de la lésion par rapport à l'IRM antérieure (à gauche):

Lésions cérébrales après le Gardasil: parents et ados doivent le savoir AVANT la vaccination!

Les  spécialistes en neuropédiatrie demandent même de l'aide aux spécialistes en médecine interne adulte, pensant avoir "loupé quelque chose" (c'est donc dire comme les vaccins peuvent induire des tableaux complexes et tout à fait "hors normes" par rapport aux maladies qui surviennent plus naturellement....). Le corps médical, fidèle à ses "traitements passe-partout" (entendez par là: ce qu'il prescrit presque par déduction, quand il ne sait pas quoi prescrire d'autre) prescrit alors de grosses doses de cortisone. Une amélioration se manifeste alors mais elle sera extrêmement brève puisqu'elle ne durera qu'un mois. 

 

Ses troubles comportementaux réaugmentent alors à un point tel que la jeune fille (déshinibée, fugeuse,etc.) est hospitalisée en pédopsychiatrie. La brigade des mineurs doit d'ailleurs également se mêler au dossier compte tenu des fugues. A défaut de remède miracle, on represcrit de la cortisone (et de l'Imurel, un antisuppresseur) à la jeune fille en plus de lui réimposer une seconde ponction lombaire qui retrouve toujours la même réaction immunologique au niveau du liquide céphalo-rachidien. 

 

Les perturbations cognitives demeurent et les comportements fugueurs augmentent jusqu'à atteindre un sommet avec une fugue définitive de la jeune fille... qui sera retrouvée MORTE deux mois plus tard. On entend d'ailleurs dans la vidéo ci-dessous la clameur devant l'horreur et la tragédie d'une telle issue post-vaccinale au sein de l'assemblée (entendre entre 7'10'' et 7'30'' environ dans la vidéo).

 

Les pédiatres ont alors appelé la pharmacovigilance pour demander s'il y avait d'autres cas (comme le rappelle le Pr Desguerre, ce sujet est sensible car les pédiatres passent leur temps à vacciner les enfants...). Début 2009, moment où la grande campagne vaccinale française commence pour cette vaccination, la pharmacovigilance signale aux médecins de la jeune fille qu'il n'y a "que" 5 cas rapportés cette année-là de maladie démyélinisante (donc qui attaquent la gaine des nerfs, la myéline) endéans les 21 jours qui suivent la vaccination. A la fin de l'année 2009, on en était déjà à 10 affections démyélinisantes endéans le mois qui suit le vaccin. 

 

Bien que soi-disant très rares (= le discours officiel sur les risques vaccinaux quand il n'affirme pas que cela n'existe pas), cette même équipe médicale fut encore confrontée après le cas de Marion à deux autres cas neurologiques sérieux en post-vaccination HPV. L'un des cas présentait à l'imagerie un aspect d'oedème du cervelet (oedème cérébelleux) avec un hypersignal 15 jours après le vaccin et l'autre une anomalie de la substance blanche (encéphalomyélite aiguë disséminée = "ADEM"). La particularité de ces cas évoqués par le Pr I. Desguerre est qu'ils ne se présentent pas par des signes neurologiques bruyants mais par des manifestations neuropsychologiques ou psychiatriques donc par des troubles comportementaux sérieux. Et pour couronner le tout, cette même équipe a encore vu dans le même temps un cas de myélite aigüe dans les trois semaines qui ont suivi une deuxième dose de vaccin et un cas de Guillain-Barré, ce qui pose bien sûr la question de savoir combien d'autres cas neurologiques post-vaccinaux toutes les autres équipes françaises ont vus, que ce soit pour ce vaccin ou pour tous les autres et en sachant que cela se passe dans tous les pays du monde et que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont rapportés par ces médecins aux systèmes officiels de pharmacovigilance!

 

L'équipe du Pr Desguerre a logiquement cherché sur "Pubmed" (= la principale banque de données médicales mondiale) pour jeter un oeil aux publications médicales sur le sujet et a retrouvé depuis le début de l'année 2015 une quinzaine de publications qui parlent d'abord et avant tout du "devoir vaccinal" et/ou de l'intérêt soi-disant majeur de vacciner pour le motif lénifiant que "beaucoup de personnes auraient déjà été vaccinées"!

 

Prenant l'exemple d'une méta-analyse (sorte d'étude synthèse ou "étude transversale" qui passe en revue un grand nombre d'études sur l'état d'une question médicale donnée) de mars 2015 qui a passé en revue 661 publications scientifiques rédigées entre 2007 et 2014, le Pr Desguerre signale que cette étude de synthèse ne présente pourtant PAS UNE LIGNE sur les effets secondaires de cette vaccination!

 

Une étude portugaise a pourtant elle aussi relevé 4 cas d'atteintes démyélinisantes chez des jeunes femmes fraîchement vaccinées et qui se manifestaient là aussi par un tableau psychiatrique.

 

D'autres papiers s'attachent à démontrer qu'il n'y a pas plus d'atteintes neurologiques chez les jeunes filles ayant reçu ces vaccins que "le nombre de cas attendus" (sauf qu'on oublie de dire que le reste de la population "témoin" qui ne reçoit pas le vaccin Gardasil ou le Cervarix peut néanmoins avoir reçu quantité d'autres vaccins qui peuvent aussi avoir joué un rôle dans le déclenchement de ces "atteintes neurologiques normalement attendues"!). Cet argument est donc vicieux autant que vicié car rien ne permet de dire que les jeunes filles tombées malades et fraîchement vaccinées seraient aussi tombées malades en l'absence de tel ou tel vaccin si ce n'est ces spéculations statistiques biaisées! Les conflits d'intérêts entachent ces belles publications scientifiques qui nient ou minimisent les risques vaccinaux évidents. C'est ainsi qu'une étude britannique de 2014, dont les auteurs médecins sont salariés du fabricant GSK et portant sur les effets secondaires neurologiques endéans le mois qui a suivi le vaccin anti HPV Cervarix de cette même firme, a "écrémé" de façon pour le moins insolente le nombre de cas d'effets secondaires graves imputables à la vaccination. On passe par exemple pour une période de 4 années de 19 cas de paralysie faciale à 5 (soi-disant imputables à la vaccination). De 14 cas de Guillain-Barré à 4. De 8 cas de névrite optique à 4. De 7 cas de lupus à 2. De 5 cas de sclérose en plaques à 3. De 6 cas d'encéphalite à 2, sans compter aussi 6 cas additionnels de paralysies qui sont sûrement attribués au hasard ou à la "divine" incertitude. Si on prend ces effets, soit 65 et qu'on les multiplie par un facteur de 10 à 100, de façon à corriger la sous-notification connue et admise dans cette proportion dans la littérature médicale au sujet des effets secondaires graves de vaccins, on obtient 650 à 6500 victimes graves de ces vaccins en 4 années pour le seul Royaume-Uni! En lieu et place, en divisant tous ces effets et en n'effectuant aucune correction pour la sous-notification, les auteurs de GSK arrivent à un chiffre ridiculement non réaliste de 20 cas en 4 ans. Cherchez l'erreur...

Comme le souligne Isabelle Desguerre, la littérature médicale n'est pas suffisamment éclairante pour les praticiens à l'heure actuelle car:

 

- elle n'évoque quasiment que "les réactions locales banales"

-elle se focalise surtout sur la couverture vaccinale (vacciner le plus de gens possible)

- forte implication des laboratoires au niveau des contenus publiés in fine

 

Elle estime que la méthodologie employée jusqu'ici ne permet absolument pas d'exclure un lien de causalité entre les troubles et la vaccination, surtout compte tenu de la spécificité du tableau clinique (qui se présente par des troubles du comportement). 

 

Les cas neurologiques évoqués par le Pr Desguerre ne présentaient pas de prédisposition génétique connue (ça nous semble très important de le souligner) et ne ressemblaient nullement aux tableaux classiques neurologiques post-infectieux.

 

Le Pr Desguerre dit "rester prudente" et n'ose bien entendu pas dire de "ne pas vacciner" -on sait ce qu'il en coûte aux médecins qui osent écorner le dogme... le Pr Joyeux n'étant qu'un des exemples parmi d'autres-. Elle s'empresse en effet de rajouter qu'en tant que pédiatre, elle a un temps "vacciné tous les jours", qu'il y a un calendrier vaccinal officiel et blabla (allégeance habituelle que l'on n'a même plus besoin de commenter). Elle déplore néanmoins l'absence d'une analyse suffisamment fine pour comprendre les mécanismes des évènements morbides qui surviennent en post-vaccination. Pour notre part, cette absence d'"analyse suffisamment fine" ne nous étonne nullement puisqu'un dogme va toujours de pair, par définition, avec une chasse aux hérétiques donc la démarche même de la vaccination avec ses systématisations aveugles (dont le calendrier vaccinal qu'Isabelle Desguerre n'ose pas écorner, sans se rendre compte de la contradiction majeure dont elle se rend alors prisonnière) est anti-scientifique et tellement peu propice à une démarche prudente, objective et constructive. En outre, nous tenons aussi à souligner ici l'erreur ultra fréquente (sorte de péché d'arrogance ou péché originel des "scientifiques") qui consiste à ne considérer comme vrai ou possible QUE ce qu'on se croit intellectuellement capable de comprendre par tel ou tel mécanisme. Un merveilleux exemple à ce sujet se suffira à lui-même: à une époque, parce qu'on ne comprenait pas ou qu'on n'avait pas envie de comprendre (ça joue aussi) que la terre était ronde, on disait que la "vérité" était qu'elle était plate. Pourtant, pendant tout ce temps, la terre restait bien entendu ronde. Avec la vaccination, il en va exactement de même et on a donc des mandarins perclus de "rhumatismes scientistes" qui s'entêtent à affirmer que tel ou tel effet grave ne peut pas être causé par un vaccin (au motif qu'ils ne peuvent pas forcément dire ou décrire le mécanisme exact par lequel un vaccin a pu détraquer de fond en comble le subtile équilibre d'un organisme -ce qui n'a rien d'étonnant vu le bâclage des essais cliniques qui n'analysent jamais en détail, au niveau des cellules, des tissus, des réactions biochimiques du corps ce qu'un vaccin peut déséquilibrer...) bien que cela soit fort probablement le contraire et que tout l'indique (à commencer bien sûr par les rares études valables comparant la santé des vaccinés à celle des sujets n'ayant jamais reçu de vaccin de leur vie, cette dernière étant bien entendu bien meilleure à bien des égards). 

Commentaire additionnel d'Initiative Citoyenne:

 

Que les vaccins puissent modifier tout à fait le comportement des humains (comme d'ailleurs aussi des animaux) qui les reçoivent n'est absolument pas un scoop pour ceux qui étudient le sujet de façon indépendante et non idéologique depuis des années. Cela n'est, en effet, pas surprenant car il existe des liens très étroits entre le système immunitaire et le système nerveux. Ces liens étaient déjà connus et étudiés depuis de nombreuses années, par les spécialistes de la neuro-endocrino-immunologie notamment, mais récemment encore, des nouvelles découvertes anatomiques ont corroboré ces travaux, en mettant en évidence une structure anatomique cérébrale jusqu'ici insoupçonnée, servant en quelque sorte d'interface par excellence avec le système immunitaire. Qu'il s'agisse de l'autisme (en pleine explosion chez des enfants de plus en plus vaccinés) ou d'autres dérèglements comportementaux découlant soit de processus d'intoxications et/ou de lésions neurologiques vaccino-induites, les effets secondaires vaccinaux graves touchent donc aussi la sphère des comportements. Aussi, si votre jeune enfant ou votre ado change brutalement de comportement peu après une vaccination, cela n'a rien de "normal" ou de rassurant, bien au contraire. Ne banalisez donc pas cela et surtout, évitez de tomber dans le dangereux piège du déni médical qui va hélas souvent de pair avec la poursuite de la vaccination qui ne fera immanquablement qu'aggraver encore la situation!

 

Il est donc inadmissible que les parents et les adolescentes concernés (et maintenant aussi les jeunes hommes car en Suisse, au Canada, aux USA et en Australie, ils sont maintenant aussi visés) ne soient pas dûment informés AVANT cette vaccination de ces risques neurologiques graves, susceptibles de modifier de façon irréversible le comportement et d'induire le décès. Il est assez évident que, pour que les profits des fabricants continuent, informer du caractère morbide et mortel de cet acte n'est pas très "vendeur" (d'où que les agences et instances dites "publiques" et neutres censées informer les médecins se limitent honteusement à parler de la fièvre et de l'induration locale comme "effets secondaires principaux"!!). Mais c'est pourtant la loi (sur les droits de patients de 2002), une loi qu'une majorité de médecins bafouent sans sourciller au quotidien. Jusqu'au jour où l'un d'eux sera poursuivi et condamné, ce qui servira d'exemple et qui sera alors plus que mérité pour toute cette souffrance inutile qu'ils avaient le pouvoir scientifique, éthique et déontologique d'éviter.

 

Attrapes gogo (bon à savoir) pour maintenir à tout prix le business des fabricants de vaccins HPV et qui risquent de se présenter à vous via les médias, une publicité ou un "conseil médical":

 

* Prétexter que l'Agence Européenne des Médicaments va "évaluer les risques"  pour rassurer à tort. (et sans surprise, on verra qu'elle continue de dire au final que "le bénéfice dépasse les risques" alors que les prétendus bénéfices en termes de réduction réelle de cancers vrais du col ne seront pas connus avant plusieurs décennies compte tenu du temps que met ce cancer à se développer!).

 

Pousser à la vaccination scolaire, en évoquant les prétendues "réussites" dans des pays comme le Danemark où la vaccination a été effectuée chez un grand pourcentage d'adolescentes (mais sans vous dire à quel prix en termes d'effets secondaires dramatiques et désespérants et ce alors que le frottis seul était plus sûr et plus efficace!)

 

Prétendre qu'une "meilleure version", "plus complète" est maintenant sur le marché car "on n'arrête pas le progrès" pour tenter de promouvoir le vaccin Gardasil 9,  alors que les ventes mondiales de ce vaccin étaient récemment en repli avec -6% des ventes au premier trimestre 2015 (mais encore à 359 millions de dollars quand même)

 

Proposer un schéma vaccinal réduit avec 2 ou 1 doses au lieu des 3 initiales (voir aussi ici), histoire de rebuter moins d'ados et moins de parents et de tenter de faire diminuer les taux dramatiques d'effets secondaires graves au fil du temps pour tenter de conclure de façon biaisée au final qu'"en vaccinant plus, on a pas eu plus d'effets secondaires graves" (puisque le risque d'effets graves augmente en proportion du nombre de fois où vous allez "tourner la roulette russe" à chaque dose de vaccin supplémentaire).

 

Pour les personnes comprenant l'anglais, nous conseillons aussi l'excellent résumé que fait le Dr Lucija Tomljenovic, Ph.D en neurosciences de l'Université de Colombie Britannique de Vancouver (au Canada) sur cette vaccination HPV, dont le bénéfice hypothétique n'est pas prouvé mais dont les effets gravissimes, eux, sautent littéralement aux yeux non seulement ceux des scientifiques de bonne foi mais aussi de tous les citoyens dotés de bon sens qui veulent bien se pencher un tant soit peu sérieusement sur ce dossier:

Une autre vidéo du Dr Lucija Tomljenovic sur la vaccination en général et la corruption au sein du monde médico-pharmaceutique mérite d'être mentionnée. Il s'agit de l'interview intégrale du Dr Tomljenovic par le Dr Mercola. Lucija Tomljenovic avait été forcée par son précédent supérieur de falsifier des données sur les médicaments anti-cholestérol (statines), ce qu'elle a refusé et qui l'a poussée à démissionner:

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16 juillet 2015 4 16 /07 /juillet /2015 21:40

La radio française Sud Radio a osé organiser le 8 juillet dernier un débat sur le thème des vaccins, intéressant ou pertinent à relayer en ce qu'il témoigne d'une certaine ouverture de ce média, contrairement à certains autres habitués à faire dans la langue de bois ou à ne pas donner la parole aux contestataires (ou alors de façon biaisée et insuffisante). Il faut donc pouvoir discriminer les médias ayant encore un peu de liberté des autres, totalement pieds et poings liés avec la pensée unique de l'establishment (comme le Journal International de Médecine qui, après avoir publié nos commentaires, a fini par les effacer/censurer quelques jours plus tard, France Culture et ses débats radios biaisés et ultra partiaux, Science & Avenir qui tombe à bras raccourcis sur le Pr Joyeux mais en éludant totalement le fond du dossier et en en restant à de pures attaques personnelles, etc.)

 

Ecouter ou réécouter ce débat radio sur les vaccins (48 minutes)

 

Participants :

 

Dr Marc Vercoutère 

 

 

Stéphanie Donzello (Prévention Vaccin)

 

 

Véronique Deiller (Magicmaman)

 

 

Pr Olivier Bouchaud (Maladies Infectieuses et Tropicales CHU Bobigny)

 

Ecouter ou réécouter ce débat radio sur les vaccins (48 minutes)
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14 juillet 2015 2 14 /07 /juillet /2015 09:48

« Voilà ce que le vaccin contre le HPV a fait à ma fille… »

« Voilà ce que le vaccin contre le HPV a fait à ma fille… »

Il m’a été très difficile de poster cette vidéo sur YouTube. Ma fille était en parfaite santé avant son vaccin. Maintenant voilà sa vie (voir la vidéo ci-dessous). Nous vivons en Nouvelle Zélande. J’ai toujours pensé que notre système de santé était OK. –Nous avons été abandonnées à nous-mêmes.

 

Je montre cette vidéo parce que je veux que les gens sachent les dégâts que ce vaccin peut produire et effectivement produit. Je vous en supplie, faites vos recherches avant de décider de vacciner. Moi, je n’ai malheureusement pas fait ces recherches.

Excusez-moi si l’audio n’est pas au point. Ce que je voulais dire, c’est ceci :

 

« Je viens de sortir Briar de la salle de bains parce que ses jambes ne la portaient plus. Malgré les calmants, la douleur était telle qu’on peut la comparer à un grand couteau qu’on lui enfoncerait dans les jambes. Il y a tout juste un an, elle pouvait tout faire : prendre un bain, faire du sport, avoir une vie tout à fait normale. C’est alors que Briar a reçu son vaccin. Depuis, elle ne sait plus rien faire. C’est maintenant devenu sa vie et personne ne s’en rend compte. Je ne voulais pas lui faire plus de peine encore en montrant cette vidéo, mais je voulais que l’on puisse voir à quoi ressemble sa vie d’aujourd’hui. »

 

Merci à tous ceux qui nous ont aidées, merci pour les conseils que ces personnes nous ont donnés. Nous avons décidé de commencer à faire des injections intraveineuses de vitamine C et nous vous tiendrons au courant.

 

S’il vous plaît, sentez-vous libre de laisser des commentaires en vous rappelant que je ne suis qu’une femme qui a pris la décision de vacciner sa fille parce que les médecins m’avaient dit que c’était la meilleure chose que je pouvais faire pour elle. Au début, je n’ai même pas pu penser que c’était le vaccin  qui lui avait causé toutes ces souffrances. Je n’ai commencé à comprendre que quand j’ai pu prendre un certain recul en me posant toutes sortes de questions sur le déclin de sa santé.

 

Bien sûr que je me sens coupable. Qui ne le serait pas ? Mais cette culpabilité ne doit pas reposer sur mes seules épaules. Nous prenons toujours les meilleures décisions que nous pouvons avec le niveau d’information qui est le nôtre.

 

Grand merci à tous ceux qui nous ont aidées et soutenues. Il y a malgré tout eu tout ce positif dans cette horrible situation. Grâce à X j’ai créé une page Facebook pour permettre à tous ceux qui le souhaiteront de pouvoir suivre l’histoire de Briar : https://www.facebook.com/BriarandHPVinjury  

Source: Vaccine Impact

« Voilà ce que le vaccin contre le HPV a fait à ma fille… »

Et pendant que, dans le monde entier, des jeunes femmes continuent d'être détruites tout à fait inutilement suite à ces vaccins, voici que l'Agence européenne des Médicaments, saisie d'une demande du Danemark (où le Gardasil a aussi fait des ravages) émet un communiqué doucereux et convenu d'avance avançant qu'il n'y aurait "pas de lien de causalité" entre le vaccin HPV et les syndromes douloureux régionaux complexes ainsi que la tachycardie orthostatique posturale. L'Agence européenne des Médicaments est financée à plus de 80% par des redevances de l'industrie pharmaceutique. Les gens qui y travaillent sont donc plus que conscients de l'impact négatif décisif et irréversible que des communiqués sur les risques de ces vaccins déjà reçus par des millions de jeunes femmes pourraient avoir vis-à-vis de toute autre vaccination en général. Il ne faut dès lors guère s'étonner de ces discours stéréotypés davantage là pour endormir et rassurer à bon compte plutôt qu'à protéger réellement la santé publique. 

 

Les pseudo arguments disant qu'il n'y a pas de "lien causal" ne doivent duper personne. En effet, cela n'est pas parce que des personnes non vaccinées avec le Gardasil peuvent aussi développer ce syndrome que, pour autant, le Gardasil ne peut pas être lui aussi une des causes possibles d'un tel syndrome! En outre, il faut bien se rendre compte que les vaccins, en tant qu'une des grandes causes de maladies, restent constamment ignorés et déniés pour la raison que dans ces prétendues évaluations, on compare les personnes ayant reçu pour la plupart tout le calendrier vaccinal PLUS un vaccin donné (le Gardasil) à des personnes ayant déjà reçu dans leur vie toute une autre série de vaccins au préalable (sauf le Gardasil), ce qui induit un biais majeur dans l'interprétation des données et occulte avec brio l'effet cumulatif toxique des vaccins (ou "effet goutte d'eau", c'est-à-dire qu'on a l'impression de "supporter" jusqu'à un nombre limite de vaccins reçus, puis au Xème vaccin, tout s'écroule et la santé se dégrade comme jamais). La véritable question à laquelle ces pseudo experts devraient donc être tenus de répondre, c'est "dans quels cas, sur quelle base, à quelles conditions considéreriez-vous qu'un lien causal puisse être évoqué?" C'est le même problème avec la mort subite du nourrisson par exemple, il est de notoriété publique que les vaccins sont une des causes possibles, cela figure aussi sur les notices de vaccins elles-mêmes (aux USA du moins, preuve d'un tabou renforcé en Europe et dans les pays pauvres); il y a des études scientifiques qui plaident aussi en faveur d'une relation causale mais si votre enfant meurt de mort subite peu après ses vaccins, il y a toutes les chances pour que le rapport d'autopsie ne conclue jamais bien sûr à la responsabilité des vaccins. La raison en est que, comme les vaccins sont insuffisamment étudiés, le corps médical n'a aucune idée précise des dégâts exacts au niveau des cellules, des tissus et de la biochimie du corps que les vaccins peuvent induire (avec des prosessus morbides qui en résultent et qui peuvent ultimement conduire au décès) et ne sachant pas cela, comment voulez-vous que les "experts" disposent de critères suffisamment précis à déceler pour pouvoir détecter quelque chose de concluant à l'autopsie? Tout est donc fait, par manque de volonté politique et scientifique pour rester dans ce flou confortable pour les uns (les firmes, les médecins qui piquent et qui craignent pour leur responsabilité juridique), insoutenable pour les autres (les victimes et leurs familles) et qui s'auto-entretient car à chaque fois, on dit "pas de lien", "pas de preuves" et toutes les preuves finissent par être réétiquetées comme "coïncidences". 

 

Voir aussi: Désastre du vaccin Gardasil au Danemark

 

Traitements orthomoléculaires des effets secondaires des vaccins HPV

Une vidéo incontournable pour protéger sa santé et celle de ses enfants... en n'oubliant pas que depuis lors, le nombre de décès et d'effets graves a encore beaucoup augmenté (cf. tableau du VAERS ci-dessus)!

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12 juillet 2015 7 12 /07 /juillet /2015 12:42

L'acteur Jim Carrey juge «fasciste» la vaccination obligatoire en Californie

 

 

Agence France-Presse. LOS ANGELES. 1er juillet 2015.

 

L'acteur américain Jim Carrey s'en est pris mercredi au gouverneur de Californie Jerry Brown, le qualifiant de «fasciste à la solde des entreprises», pour avoir ratifié une loi qui rend la vaccination obligatoire pour les enfants.

 

Dans une série de messages acrimonieux sur le réseau social Twitter, Carrey assure qu'il n'est pas contre la vaccination en tant que telle, mais que les vaccins obligatoires pour les enfants de Californie contiennent des neurotoxines et du mercure.

 

«Tout ce que nous demandons c'est ''enlevez les neurotoxines des vaccins''. (...) L'histoire prouvera que c'est une requête raisonnable», a twitté l'acteur de Dumb and Dumber et d'Eternal sunshine of the spotless mind.

 

La loi ratifiée mardi, qui a récolté le soutien des démocrates et des républicains de Californie, exige que tous les enfants soient vaccinés avant d'entrer en maternelle, sauf en cas d'exemption médicale pour allergie ou autre risque de santé.

 

Elle a été adoptée à la suite d'une épidémie de rougeole en début d'année qui a démarré dans le parc d'attractions de Disneyland, près de Los Angeles, touchant plus de 130 personnes en Californie et 159 personnes au total à travers 18 États américains et le District de Columbia, alors que cette maladie virale très contagieuse était censée avoir disparu du pays.

 

Un nombre croissant de parents en Californie et ailleurs aux États-Unis refusaient depuis quelques années de faire vacciner leurs enfants, évoquant un lien entre le vaccin et l'autisme, ce qui est catégoriquement réfuté par les scientifiques, ou encore par préférence pour les médecines naturelles.

 

Jim Carrey avait lancé sa série de tweets mercredi en déclarant que «le gouverneur de Californie dit oui à l'empoisonnement de plus d'enfants avec du mercure et de l'aluminium avec les vaccins obligatoires. Il faut stopper ce fasciste à la solde des entreprises».

 

Il a ajouté: «On dit que le mercure est dangereux dans le poisson, mais forcer tous nos enfants à s'en faire injecter est sans risque. Logique? »

 

Il faisait référence au thimerosal, un conservateur composé à environ 49% de mercure.

 

Le bureau de Jerry Brown a pour toute réponse appelé à se référer au communiqué de presse publié pour la ratification de la loi mardi. «Bien qu'aucune intervention médicale ne soit sans risque, les (statistiques) montrent que la vaccination bénéficie et protège le grand public», avait alors notamment déclaré Jerry Brown.

 

Source : Lapresse.ca

 

Empoisonné par la vaccination

Jim Carrey dénonce avec raison le fascisme médical en Californie

Un sacré paradoxe !

 

John Berchielli a, pendant 7 ans, a travaillé pour le Dr Pan, pédiatre, sénateur californien  et co-auteur de la loi (SB277) rendant la vaccination obligatoire pour tous les enfants avant de fréquenter l’école. L’opposition des parents à celle loi fut  impressionnante – John, lui, s’est retrouvé paralysé alors qu’il venait de se faire vacciner contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche (DTCa) sur les conseils de son médecin…

Jim Carrey dénonce avec raison le fascisme médical en Californie

« Maintenant que je suis paralysé (Syndrome de Guillain-Barré), il m’est difficile de ne pas penser aux décisions qu’ont prises les gouverneur Brown et le sénateur Richard Pan qui ont fait passer une loi rendant la vaccination obligatoire pour tous les enfants qui fréquentent une école. »

Jim Carrey dénonce avec raison le fascisme médical en Californie

John poursuit :

 

« Si je m’en réfère au site de la clinique Mayo, ainsi qu’à des sources internet, 20 000 personnes par an seraient affectées par le mal qui me touche. Alors que nos législateurs ont voté une loi qui rend la vaccination obligatoire, les fabricants de vaccins, de leur côté, sont protégés contre toute poursuite ayant trait aux effets secondaires des vaccins.

 

Que le pédiatre, le Dr Richard Pan de l’Université de Californie à Sacramento qui dirige la section de pédiatrie se soit fait l’avocat d’une pratique qui peut causer pareils dommages, ou pire encore chez les enfants, est pour moi totalement incompréhensible.

Dr Richard Pan (à gauche), co-auteur de la loi vaccinale liberticide SB277 dans l'état de Californie

Dr Richard Pan (à gauche), co-auteur de la loi vaccinale liberticide SB277 dans l'état de Californie

Tout cela ne peut s’expliquer que par l’argent, par les milliards de dollars qui affluent pour l’Université, l’état de Californie et la campagne sénatoriale du Dr Pan.

 

Tout s’explique par l’argent, mes amis. C’est comme cela qu’ils vous ont privés de vos droits et de l’obligation que vous avez de veiller aux intérêts de votre famille. Et ça leur est égal qu’une partie de la population souffre de leurs mauvais vaccins.

 

Il est grand temps que les américains apprennent à exercer leur pouvoir de choisir et de décider si le gouvernement a, oui ou non, le droit d’injecter dans le corps de ses citoyens des substances étrangères sans précautions particulières. Tout cela n’a plus rien à voir avec le patriotisme américain. »

Jim Carrey dénonce avec raison le fascisme médical en Californie

John  qui quittera l’hôpital dans 10 jours devra, chez lui, être suivi 24h sur 24. Il espère être guéri d’ici un à deux ans. Mais la chose n’est pas certaine à 100% !

Jim Carrey dénonce avec raison le fascisme médical en Californie

Il est essentiel de voir que ce fascisme médical n'est pas que californien mais mondial et que les mêmes causes produisent les mêmes effets (dramatiques).

 

Jim Carrey fait preuve de courage au sein de son petit milieu professionnel fermé où il est si facile d'être "grillé" quand on ose aborder des sujets aussi tabous et économiquement aussi risqués pour sa carrière personnelle. L'engagement de Carrey est donc libre et sincère et il est évident que Carrey a dû bien réfléchir et bien investiguer ce sujet avant de s'avancer publiquement sur ce dossier. Le fait qu'il maintienne son combat pour la liberté et l'éthique en matière vaccinale, bien après avoir rompu avec son ancienne compagne (Jenny Mc Carty) dont le fils était lui aussi victime de vaccins, démontre qu'il n'agissait pas simplement par souci personnel ou familial de soutenir sa compagne mais qu'il s'est au contraire personnellement impliqué dans un combat dont il a perçu toute l'importance et également toute l'urgence, compte tenu de la pression sur les familles et les individus et du degré abyssal de désinformation scientifique qui caractérise la vaccination. 

 

Plutôt que de soutenir avec facilité et sans réfléchir des instances comme l'Unicef qui inondent littéralement sans discussion les pays pauvres de vaccins (alors que ce n'est absolument pas ce dont ils ont le plus urgemment besoin), les "people" feraient bien de réagir au scandale vaccinal qui fait tant de ravages inutiles, d'autant qu'ils disposent d'un certain pouvoir médiatique leur permettant de briser dans une certaine mesure l'omerta sur le sujet. Entre Laetitia Halliday ou Jenifer d'une part, fières de défendre la vaccination sans rien y comprendre mais dans le confort du "politiquement correct" qui ne risque pas de leur coûter une ostracisation particulière dans le milieu et Jim Carrey d'autre part, donnant la priorité à sa conscience et aux intérêts des enfants sur sa petite personne ou sa petite carrière et ses futures propositions de films (et donc ses cachets), l'histoire jugera et retiendra les personnes qui auront agi de la façon la plus juste et la plus responsable, eu égard aux moyens concrets dont ils disposaient pour faire évoluer favorablement la santé du plus grand nombre.

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11 juillet 2015 6 11 /07 /juillet /2015 09:54

Les mères fuient la vaccination des enfants suite aux craintes engendrées par les essais du vaccin Ebola

Afrique: les mères fuient la vaccination des enfants suite aux craintes engendrées par les essais du vaccin Ebola

Ghana/Starrfmonline.com, 7 juillet 2015

 

Les mères de différentes régions de « La Volta » refusent de faire vacciner leurs enfants suite à la peur et à la panique que les informations sur l’essai prévu d’un essai du vaccin Ebola ont provoquées dans la région.

 

Le gouvernement du Ghana en accord avec l’Organisation Mondiale de la Santé et autres parties prenantes a convenu de se lancer dans des essais de vaccins à Hohoe dans la région de La Volta. Cette décision a rencontré une opposition féroce de la part de groupes de pression après que Starrfmonline.com ait répandu la nouvelle.

 

Prenant la parole lors d’un forum de sensibilisation du public sur les essais du vaccin Ebola à Ho, le Directeur des services de Santé, le Dr Joseph Teye-Nuertay a reconnu que l’absence d’une formation adéquate du public sur les essais avait contribué à créer de folles spéculations, engendrant des idées fausses dans l’esprit de beaucoup de gens, y compris chez les mères.

 

« La semaine dernière, nous avons eu une très mauvaise expérience quand certains de nos agents furent envoyés pour une sensibilisation du public à la vaccination. Avant que les agents aient pu commencer à parler, les mères se sont précipitées pour fuir avec leurs enfants parce que la rumeur circulait que les agents des services de santé du Ghana étaient venus pour vacciner les enfants contre Ebola. »

 

« De ce que nous savons, les ragots autour de cet essai nous ont causé beaucoup de tort », a-t-il ajouté.

 

Le Vice-Chancelier de l’université de la Santé et des sciences connexes (UHAS), le Prof. Binka, qui seconde l’enquêteur en chef sur le projet explique cependant que l’essai ne concernerait pas les femmes enceintes et leurs bébé, mais des adultes en bonne santé de 18 à 50 ans.

 

Il a également laissé entendre que si les autorités compétentes en matière d’alimentation et de médicaments ont donné le feu vert pour la phase 1 des essais, c’est au régulateur qu’appartient le pouvoir de permettre que les vaccins destinés à l’essai soient importés au Ghana.

 

Source: Starrfmonline.com

 

Ebola: les essais du vaccin sur l'homme, arrêtés

 

Publié 20.06.2015

 

Les vaccins développés au Canada avaient été essayés en Sierra Léone par l'Organisation mondiale de la santé (OMS)

 

Les essais sur l'homme du vaccin développé par une entreprise canadienne contre l'Ebolavirus, sont arrêtés.

 

La délégation menant les tests du vaccin indique que les résultats obtenus montraient l'inefficacité du vaccin.

 

Les vaccins développés au Canada avaient été essayés en Sierra Léone par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

Le premier lot des vaccins d'Ebola avait été injecté à 40 bénévoles en novembre dernier.

 

Source : trt.net

 

Le Ghana lance une campagne publique sur la sécurité de l'essai du vaccin anti-Ebola

 

19/06/2015

 

Ghana  - Le Ghana a lancé une campagne de sensibilisation jeudi pour rassurer la population au sujet d'un essai clinique du vaccin Ebola réalisé actuellement dans certaines régions du pays.

 

La campagne a pour but d'éclairer les esprits des Ghanéens au sujet de l'essai du vaccin qui a été approuvé par la Food and Drugs Authority (FDA).

 

La pandémie d'Ebola, dont l'épicentre est en Afrique de l'Ouest, a fait plus de 25000 victimes et plus de 1000 morts. D'après les experts, l'absence de médicaments et vaccins autorisés a contribué à l'impact de l'épidémie dans la sous-région.

 

Le Ghana n'a pas enregistré de cas d'Ebola.

 

La semaine dernière, le parlement a ordonné la suspension de l'essai suite aux inquiétudes émises par des Organisations de la Société Civile (OSC) et des membres du parlement pour qui l'essai entraînerait la propagation du virus Ebola au Ghana.

 

Suite à cela, le ministère de la Santé a décidé qu'il était impératif de fournir une plateforme pour permettre à la population d'interagir avec des professionnels au sujet des essais cliniques.

 

La représentante pays de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Magda Robalo, a assuré aux Ghanéens que son organisation n'approuverait pas des essais cliniques qui nuiraient à la santé et à la sécurité des citoyens.

 

Elle a ajouté qu'un vaccin efficace serait un atout si l'épidémie évoluait.

Le ministère de la Santé a cependant déclaré qu'aucun essai n'avait été mené à ce jour et que les vaccins en question n'ont pas encore été importés.

 

La campagne sera menée dans les régions de la Volta, de Brong Ahafo et du Upper East.

 

Actuellement, il existe au moins 10 vaccins en développement.

 

Source : icilome

 

Voir aussi:

 

Les essais forcés du vaccin Ebola au Ghana se poursuivent (& des cas viennent de réapparaître au Libéria, pays voisin du Ghana, avec l'OMS qui s'agite en coulisses...)

 

Informations diverses sur l'épidémie d'Ebola: vaccins, tests de détection, enjeux commerciaux,...

 

Ebola: prétexte en or pour une vaccination forcée? Enquête...

 

Les essais du vaccin Ebola suspendus à Genève pour cause d'effets secondaires

 

Ebola: "le vaccin est sûr... mais les effets secondaires sont intenses"!

 

Compte-rendu sur Ebola du Dr Broussalian s'étant rendu sur place en novembre 2014

 

Bill Gates & sa propagande de peur: "une pandémie peut faire 33 millions de morts en 250 jours" (NB: Bill Gates est un des premiers financiers de la vaccination dans le monde, pour le plus grand bonheur de l'OMS. Gates est actionnaire de l'industrie pharmaceutique qui fabrique des vaccins tandis que l'OMS qui déclenche les alertes pandémiques maximales (qui font automatiquement produire les vaccins "pandémiques) est largement financée et influencée par les industriels comme l'a tristement montré la saga du H1N1)

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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 13:48

Un nouveau virus causant des paralysies infantiles inquiétantes aux Etats-Unis est lié à la polio, disent les experts.

 

  • Depuis l’année dernière, plus d’une centaine d’enfants répartis dans 34 états américains ont développé une mystérieuse paralysie appelée “myélite flasque aiguë”
  • Jusqu’ici, les chercheurs pensaient que ces paralysies pouvaient être causées par l’entérovirus D68 (EV- D68) mais moins d’un cinquième des enfants paralysés étaient positifs pour ce virus.
  • Maintenant, un enfant de 6 ans paralysé a été testé positif pour l’entérovirus C105.
  • Ce virus nouvellement découvert (C105) appartient à la même famille que le virus de la poliomyélite.

 

Par Madlen Davies for MailOnline , 7 juillet 2015

 

Les scientifiques croient qu’un nouveau virus de type polio a été responsable de dizaines de cas inexpliqués de paralysies chez des enfants l’année dernière.

 

La maladie, appelée “entérovirus C105” fait partie de la famille des infections virales au virus de la poliomyélite et a seulement été récemment découverte, ont-ils déclaré.

 

Jusqu’ici, plus de 100 enfants répartis dans 34 états des USA ont soudainement développé une myélite flasque aiguë, une affection caractérisée par une faiblesse musculaire ou une paralysie des membres inférieurs.

 

Une nouvelle souche d’un virus de type polio pourrait être la cause des mystérieux cas de paralysie survenus chez des enfants américains l’an passé, selon les découvertes récentes de chercheurs. Un virus de la polio présente en microscopie l’aspect suivant.

©©,Dennis Kunkel Microscopy,Inc./Visuals Unlimited/Corbis

©©,Dennis Kunkel Microscopy,Inc./Visuals Unlimited/Corbis

Antérieurement, les chercheurs croyaient que l’entérovirus D68 (EV-D68) pouvait être la cause de ces paralysies, selon ce qu’a rapporté le site LiveScience reports.

 

Mais seulement un cinquième des enfants paralysés sont revenus positifs pour cette souche particulière (D68), amenant les scientifiques à douter que ce virus puisse être la cause la plus plausible de ces cas.

 

Dans le cadre d’une nouvelle étude à paraître, les chercheurs ont lié un cas de paralysie chez une fillette de 6 ans à l’entérovirus C105.

 

Bien que cela ne prouve pas de façon concluante que ce virus de type polio en constitue la cause, cela suggère que les virus autres que l’entérovirus D68 pourraient contribuer à l’épidémie, ont estimé les chercheurs.

 

L’étude dont le Pr Ronald Turner, de l’école de médecine de l’université de Virginie, est co-auteur, a conclu que les découvertes récentes doivent conscientiser les gens sur l’existence d’autres virus (que la seule souche D68) pouvant être associées à ce genre de paralysies.

 

Ronald Turner a déclaré aux journalistes de LiveScience: “Nous ne devrions probablement pas sauter trop vite sur l’entérovirus D68 et le considérer comme la seule cause de ces cas”.

 

La fillette de 6 ans a développé sa paralysie après avoir souffert d’un rhume transmis par un membre de sa famille et qui avait provoqué chez elle un peu de fièvre.

 

Quand les symptômes du rhume ont disparu, elle s’est mise à ressentir des douleurs dans les bras.

 

Ensuite, ses épaules ont commencé à tomber et elle a commencé à avoir des difficultés à utiliser sa main droite.

 

Elle fut diagnostiquée avec une myélite flasque aiguë à l’hôpital, mais elle était négative à l’entérovirus D68.

Une fillette de six ans a été testée positive pour un virus nouvellement découvert, appelé entérovirus C105. Elle souffrait d’une paralysie après avoir attrapé un rhume d’un membre de sa famille.

 

Cependant, un échantillon de son tractus respiratoire était positif pour le virus de type polio nouvellement découvert, l’entérovirus C105.

 

C’est le premier rapport pour ce virus aux Etats-Unis, ont déclaré les chercheurs.

 

Le Dr Turner a dit que l’entérovirus C105 pouvait échapper à certains tests de détection, en raison de changements dans sa composition génétique.

 

Et cette difficulté de détection pourrait expliquer pourquoi  ce nouveau virus n’avait pas été remarqué jusqu’ici, a-t-il ajouté.

 

Cependant, il a noté que les virus ont été trouvés dans le tractus respiratoire des enfants paralysés, mais dans les tests, ils n’ont pas été retrouvés dans leur liquide céphalo-rachidien.

 

Les personnes peuvent avoir des virus dans leur tractus respiratoire qui n’affectent cependant pas leur système nerveux, explique-t-il.

 

Dans le but de lier de façon plus définitive ces cas de paralysies aux entérovirus, les chercheurs auraient besoin de retrouver le virus dans le liquide céphalo-rachidien conclut-il.

 

L’étude sera publiée en octobre prochain dans le journal Emerging Infectious Diseases (Maladies infectieuses émergentes)

 

Source: DailyMail 

 

Les personnes qui ne connaissent rien de rien aux vaccins peuvent éventuellement trouver qu'il n'y a en fait là rien de vraiment anormal et ... qu'on finira sans doute là encore par inventer un nouveau vaccin contre ces nouveaux virus. MAIS... où cela s'arrêtera-t-il? En 1969 déjà, voici ce que Senault, Foliguet et Monneau écrivaient dans une revue médicale officielle, la Revue du Praticien (18,7:945-956 1er mars 1969): "La question reste posée pour l'avenir de savoir si en supprimant la poliomyélite stricto sensu, on ne risque pas de voir survenir avec la même acuité, d'autres affections poliomyélitiques."

 

Il est donc devenu essentiel et urgent de voir et de comprendre que la vaccination n'est pas la panacée qu'on a "vendue" au public, que cette méthode a de multiples effets pervers directs et indirects et qu'au niveau épidémiologique, la vaccination peut favoriser l'apparition de nouveaux germes et de mutants, qui sont de nouvelles souches parfois beaucoup plus virulentes, issues d'une sorte d'effet compensatoire ou "effet revanche" de la part de la Nature.

 

Un tel phénomène s'est déjà vu avec les méningocoques et le Hib,  les souches de pneumocoques (on est passé du Prevenar ancienne version dit Prevenar 7 au Prevenar 13 sans rien résoudre des causes de ce phénomène de glissement des souches) mais aussi avec les souches de papillomavirus. Un phénomène de mutation s'observe aussi par ailleurs tant du côté viral que bactérien et c'est ainsi que des mutants sont apparus avec la coqueluche, avec le virus de l'hépatite B (voir aussi ici, la rubrique "mutants d'échappement" et les références 69 à 73) et même avec le virus de la rougeole et celui des oreillons. Pour que vous ayez une image claire et compréhensible de ce qui se passe, vous pouvez prendre l'image des vases communicants: plus vous remplissez un objectif et plus cela va induire des conséquences inévitables sur l'autre branche du système puisque l'écosystème microbien est complexe, global et interconnecté.

 

Le virus de la polio fait partie de la famille des entérovirus or il faut savoir que suite à l'introduction massive de cette vaccination polio, il y a eu une hausse très importante (+ 455% si on prend par exemple les chiffres en R.F.A en 1962) des virus Echo et Coxsackie. Ces virus sont aussi à même d'engendrer des phénomènes de paralysies. Les chercheurs ont claironné la victoire contre la polio mais l'écosystème microbien ne peut bien sûr être réduit à un tel simplisme; il réagit et cette réaction échappe aux spéculations de pur court terme. Aussi, pour les personnes qui ne sont pas des défenseurs zélés et acharnés des vaccins, il n'est guère surprenant de voir que les "brillantes solutions d'hier" peuvent être les causes les plus probables des ennuis et soucis d'aujourd'hui dans bien des cas. Il serait donc particulièrement intéressant de voir le carnet de vaccination détaillé de tous ces enfants paralysés avec tous les vaccins reçus et les dates de ces vaccins. Cela permettrait aussi de voir le nombre total de vaccins préalablement reçus par ces enfants et d'évaluer le risque d'attraper cette paralysie selon le nombre de vaccins antérieurement reçus. Il ne faut pas oublier que les Etats-Unis sont le pays du monde où les enfants reçoivent le plus de vaccins et ce, dès leur plus jeune âge (avec une vaccination généralisée contre l'hépatite B dès le jour de la naissance!). Affirmer a priori qu'il n'y a aucun lien entre les vaccins en général (et notamment la vaccination polio généralisée depuis des décennies) et l'émergence de ces entérovirus paralytiques serait aussi absurde que contre-productif en termes de savoir et d'efficacité. Mais il ne faudrait pas non plus exclure la possibilité que ces entérovirus récemment découverts fassent partie des nombreux contaminants des vaccins antérieurement reçus par ces enfants (les virus adventices ne sont pas rares et ils sont même inévitables dans l'industrie du vaccin, et il n'y a hélas pas que les exemples passés du virus simien cancérigène SV40 qui a contaminé des dizaines de millions de personnes par le biais des vaccins anti-polio ou les circovirus porcins dans les vaccins anti-rotavirus), quitte à ce que ces virus restés latents dans le corps des vaccinés ne dégénèrent que tardivement à tel ou tel moment suite à l'une ou l'autre infection opportuniste en apparence bénigne. 

 

En conclusion et compte tenu de ces phénomènes bien connus de compensation de souches et de germes au sein de l'écosystème microbien suite à la pression de sélection vaccinale, mais aussi des contaminations notoires de tous les vaccins, il semble difficile de penser que la vaccination en général n'aurait absolument aucun lien ni aucune responsabilité dans l'émergence de ce "nouveau phénomène", à côté de l'explosion de quantité de maladies orphelines ou "génétiques" et de celle des autres maladies allergiques, auto-immunes et dégénératives qui n'ont jamais été aussi nombreuses à une époque où on n'a encore jamais autant vacciné à tous les âges de la vie au moyen de vaccins restant étrangement dispensés de tests destinés à évaluer leur potentiel mutagène (= capacité d'induire des mutations de l'ADN, à même d'entraîner notamment des maladies dites "orphelines").

 

Il nous paraît, en outre, également important de rappeler le rôle très néfaste que peuvent jouer les antipyrétiques (médicaments contre la fièvre) donnés à la moindre occasion aux enfants -comme cela fut le cas dans les années 50' et 60' où les cas visibles de poliomyélites étaient les plus nombreux- car, comme l'a montré le Prix Nobel de Médecine le Pr Lwoff, le virus de type polio est détruit et sa multiplication s'arrête aux alentours des 39°C. Aussi, donner ces médicaments à un enfant porteur sans le savoir d'un virus potentiellement paralytique peut l'amener à développer une paralysie qui aurait pu ne pas se manifester en l'absence de cette prise médicamenteuse. C'est donc là où il convient de mettre en balance l'utilité limitée de ce "tout médicamenteux" (parfois utile cependant contre les convulsions fébriles par exemple, mais en général pas pour les petites fièvres) et ce type de risque ou "retour de boomerang" dont le corps médical ne vous parlera sans doute jamais et qui est pourtant scientifiquement établi. La science et la médecine sont beaucoup plus vastes et complexes que les messages simplistes et autres slogans trompeurs que vous réservent, souvent de bonne foi, une large part du corps médical lui-même sous (ou dés-)informé. Vous trouverez ici un article très utile et des références de livres utiles sur le respect et l'utilité de la fièvre (cf. surtout pages 3 et 4). En traitement, le chlorure de magnésium (concentration: 20 grammes/litre d'eau par dose de 125 cc à la fois) est une des meilleures si pas la meilleure option dès les premiers signes de paralysie. Ce traitement simple, facile et peu coûteux, n'en déplaise aux idéologues du tout vaccin, a déjà été à même d'inverser le cours d'une paralysie poliomyélitique déclarée si administré précocément (travaux du Dr Neveu notamment). 

 

Voir aussi: 

 

Bonne synthèse sur le chlorure de magnésium (par Pryska Ducoeurjoly)

 

Vertus et bienfaits du chlorure de magnésium (par Jean-Luc Darrigol)

 

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