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2 décembre 2015 3 02 /12 /décembre /2015 09:02
Une affirmation provocante de plus des officiels: "L'eau est l'ingrédient le plus dangereux des vaccins!"

Conférence du Sénateur Richard Pan à l’Ecole de Santé Publique (Université de Berkeley)

 

Le Sénateur R.Pan est l’auteur du projet de loi rendant la vaccination obligatoire  pour l’entrée des enfants à l’école. (Loi maintenant votée en Californie)

 

Sénateur Richard Pan : l’eau est l’ingrédient vaccinal le plus dangereux !

Une affirmation provocante de plus des officiels: "L'eau est l'ingrédient le plus dangereux des vaccins!"

R. Pan : Il n’y a rien qui soit sûr à 100%. En fait, les gens continuent à parler de ce qui se trouve dans les vaccins. Ils disent par exemple : « oh, je suis inquiet au sujet du formaldéhyde, de l’aluminium. – Bien qu’il n’y ait pas de thimerosal dans les vaccins, les gens continuent de dire qu’ils sont inquiets au sujet du thimerosal ».

 

Mais savez-vous quelle est la substance la plus dangereuse dans un vaccin ? – L’eau.

 

Il y a davantage d’enfants qui meurent de la toxicité de l’eau que de n’importe quel autre élément qui se trouve dans les vaccins.

 

Modérateur : Excusez-moi, mais je ne comprends pas.

 

R. Pan : Oh, il y a davantage d’enfants qui meurent de noyade. C’est effectivement la seconde cause de décès chez les enfants entre 2 et 5 ans, donc à l’âge même où on les vaccine. Mais nous n’avons pas d’inquiétude au sujet de l’eau parce que nous savons que c’est la dose qui compte. Les enfants ne vont pas mourir noyés à cause d’une vaccination.

 

Un intervenant : Est-il possible que ce soit l’eau qui provoque l’autisme ? (Eclat de rire général)

 

R. Pan : Vous savez, je pense que… Nous devrions informer les gens au sujet de la relativité des risques. Je pense que nous n’avons pas fait de l’excellent travail dans ce domaine […]

 

Rentrer dans la voiture qui vous mènera au Centre de vaccination est effectivement plus dangereux que la vaccination elle-même […]

Le sénateur Richard Pan, pédiatre de formation...

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30 novembre 2015 1 30 /11 /novembre /2015 07:54

La vaccination est encore plus dangereuse chez les enfants prématurés dont le système immunitaire est encore plus immature que les autres enfants et qui sont, rappelons-le, toujours vaccinés en âge réel et non en âge corrigé! En 2007, l'étude Pourcyrous parue dans la revue de référence bien connue Pediatrics, avait déjà clairement mis en évidence un risque d'apnées (NB: les apnées peuvent mener à la mort subite...) et des taux d'inflammation accrus chez les prématurés, et plus encore quand ils recevaient les vaccins les plus combinés comme c'est le cas actuellement. A l'heure où la pression vaccinale est devenue invivable et où des parents de plus en plus nombreux nous rapportent le chantage odieux ou même le plus souvent la mise devant le fait accompli qu'ils subissent à la maternité ou en néonatalogie, où leurs enfants sont le plus souvent vaccinés dans leur dos et contre leur gré, il était de notre devoir de vous faire savoir les aveux extrêmement clairs et accablants que l'on peut lire dans la littérature médicale elle-même sur les dégâts incommensurables que cette pratique aveugle engendre.... OUI, vos enfants sont clairement en danger!

 

Et surtout, voyez bien le CONTRASTE extraordinaire entre la gravité des risques avoués et reliés clairement aux vaccins (ici, ils n'attribuent pour une fois pas ces effets au hasard) et le cynisme consistant à dire qu'il faut cependant absolument continuer à respecter à la lettre ce calendrier vaccinal mortel... LA SEULE explication évidente à ce contraste est un degré d'engluement total dans ce qui n'est pas du tout une science mais une idéologie. Ne pas voir à temps qu'il s'agit d'une idéologie et non d'une science peut hélas condamner votre enfant....

 

Publié le 22/07/2015, JIM (Journal International de Médecine)

 

Quel impact de la primo-vaccination précoce chez les très grands prématurés?

Pour respecter le calendrier vaccinal chez les très grands prématurés [TGP], comme recommandé, il faut débuter les vaccinations pendant l’hospitalisation néonatale. Les effets indésirables des primo-vaccinations précoces des TGP comprennent notamment la fièvre et les apnées/bradycardies, des symptômes communs aux surinfections. Une étude rétrospective multicentrique s’est intéressée aux répercussions de ces effets indésirables sur les actes de soins (1).

 

De 2007 à 2012, 13 926 prématurés nés à un terme ≤28 sem. et un poids ≤ 1 000 g sont sortis de 348 Unités de Soins Intensifs Néonatales des USA après y avoir reçu une ou plusieurs injections de vaccins simples ou combinés autour de l’âge civil de 2 mois (exactement, entre 53 et 110 jours).

 

Chez ces TGP, on retrouvait un net accroissement des bilans infectieux, des besoins d’assistance respiratoire (oxygène + PPC nasale ou ventilation invasive), et des intubations trachéales le jour même de la vaccination et les deux jours suivants. (Les antibiothérapies n’ont pas été comptées).

 

Par comparaison avec les 3 jours pré-vaccinaux, les bilans infectieux comprenant des hémocultures étaient multipliés par 3,7, passant de 5,4 à 19,3 pour 1 000 patient-jours (Ratio Ajusté des densités d’incidence [RA]=3,7 ; intervalle de confiance à 95 % [IC95] de 3,2 à 4,4).

 

Cependant, seulement 3,8 % des hémocultures étaient positives (n=39/1 035).

 

Par comparaison avec les 3 jours pré-vaccinaux, les augmentations de l’assistance respiratoire étaient plus que doublées, passant de 6,6 à 14,4 p. 1 000 patient-jours (RA : 2,1 ; IC95 de 1,9 à 2,5) alors que les intubations trachéales étaient presque doublées, passant de 2,0 à 3,6 p. 1 000 patient-jours (RA : 1,7 ; IC95 de 1,3 à 2,2).

 

L’évolution des actes de soins sur les 30 jours qui précédaient la vaccination et les 30 jours qui la suivaient suggère que les vaccinations étaient faites à un moment où l’état des TGP s’était stabilisé et que l’accroissement post-vaccinal des actes était en grande partie induit par les effets indésirables de la vaccination. En effet, les densités d’incidence des trois sortes d’actes diminuaient de jour en jour jusqu’à devenir très basses pendant les 5 à 7 jours précédant la vaccination et elles présentaient un rebond le lendemain et le surlendemain de la vaccination. Le rebond était très marqué pour les bilans infectieux et les besoins d’assistance respiratoire.

 

Les convulsions n’augmentaient pas de fréquence après vaccination. Il y a eu 5 décès dans les 3 jours suivant une vaccination.

 

Enfin, les densités d’incidence des bilans infectieux et des intubations étaient plus élevées chez les TGP de 23-24 semaines que chez les TGP de 27-28 semaines.

 

Au total, les primo-vaccinations des TGP entraînent des suspicions d’infection, non confirmées pour la plupart, avec à la clé des antibiothérapies inutiles et des aggravations de l’état respiratoire. Ces résultats apportent de l’eau au moulin des praticiens qui pensent qu’il y a intérêt à retarder le début des vaccinations systématiques chez les TGP. Cependant, les auteurs et les éditorialistes (2) restent partisans de débuter les vaccinations à 2 mois, autant que possible. D’après un co-auteur de l’article, PB Smith, « les résultats, quoique importants, sont des résultats à court terme. Nous savons que le retard des vaccinations n’est pas bon. Les résultats ne doivent pas avoir d’influence sur la décision de vacciner les prématurés. »

 

Dr Jean-Marc Retbi

 

Références

 

1. DeMeo SD et coll. : Adverse events after routine immunization of extremely low-birth-weight infants. JAMA Pediatr. Doi: 10.1001/jamapediatrics.2015.0418. Publié en ligne le 1er juin 2015


2. Kuzniewicz MW et Klein NP : Differenciating sepsis from adverse events after immunization in the NICU : how is a physician to know? JAMA Pediatr 2015. Publié en ligne le 1er juin 2015.

 

Vos enfants prématurés comptent sur vous... VOUS seuls avec les bonnes informations pouvez leur éviter ces risques tout à fait inutiles!!

 

Et si vous voulez plus d'infos sur les listes des effets secondaires des vaccins pour enfants (Infanrix hexa, Prevenar etc.), rendez-vous aux 3 liens suivants pour une énumération faite par les firmes et par des institutions professionnelles indépendantes:

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

Prevenar 13: les documents confidentiels accablants

 

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents (+ les listes d'effets secondaires des vaccins Infanrix Hexa, Prevenar & Priorix telles que reprises dans la banque de données médicales Thériaque...)

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25 novembre 2015 3 25 /11 /novembre /2015 22:54

Les vaccins pour enfants ont détruit le pancréas de l'un, rendu aveugle une autre, amoché leur système nerveux et immunitaire et maintenant, ces familles sont abandonnées par les autorités sanitaires à leur triste sort avec les effets tragiques de ces produits soi-disant sensés favoriser la santé du plus grand nombre! Réveillons-nous car après leurs enfants, ce sera inexorablement les vôtres... la vaccination est un terrorisme sanitaire car il y a une certitude scientifique qu'ils vont détruire très lourdement des individus mais personne ne sait dire quand et dans quelle famille ces effets irréversibles et parfois mortels surviendront...

"J'ai dû vacciner mon fils pour qu'il puisse rentrer en crèche. Malheureusement, suite à ses vaccins, il ne pourra plus jamais aller en crèche et à l'école. Si on m'avait prévenu des risques, je ne l'aurais pas fait vacciner."

"J'ai dû vacciner mon fils pour qu'il puisse rentrer en crèche. Malheureusement, suite à ses vaccins, il ne pourra plus jamais aller en crèche et à l'école. Si on m'avait prévenu des risques, je ne l'aurais pas fait vacciner."

Infanrix hexa, Prevenar, Priorix, etc., il est maintenant de votre devoir de parents de vous informer enfin sérieusement sur ces produits administrés à tout va, pas vraiment pour le meilleur mais surtout pour le pire. Ecoutez, voyez, lisez sur les composants, sur les effets secondaires et comparez le discours de votre médecin aux faits crus et bruts de la réalité de terrain, des documents confidentiels, des bases de données médicales,... il y a vraiment urgence!

"Ma fille est née en parfaite santé et suite à la vaccination, elle a perdu la vue à l'âge de deux mois, du jour au lendemain, avec un corps rigide au niveau des bras et une tête qui tombait. Je ne pouvais pas ne pas me poser de questions."

"Ma fille est née en parfaite santé et suite à la vaccination, elle a perdu la vue à l'âge de deux mois, du jour au lendemain, avec un corps rigide au niveau des bras et une tête qui tombait. Je ne pouvais pas ne pas me poser de questions."

Témoignages vidéos de plusieurs parents d'enfants victimes:

Entre-temps, nous avons appris le décès de Lolita, la fille de Karine qui témoigne dans la vidéo ci-dessus. Elle a été retrouvée morte dans son lit par son papa, bleue et raide, le 18 novembre au matin. Une autopsie a été demandée. 

 

Nous tenons à saluer le courage fantastique de ces parents et leur détermination, eux aussi n'ayant pu compter sur aucune aide de la part des pouvoirs publics de mauvaise foi...   La famille ayant tellement dû dépenser en soins de santé non remboursés pour aider leur fille autant qu'ils le pouvaient, qu'une cagnotte a maintenant été ouverte pour aider la famille à payer les frais funéraires.

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

Voici maintenant les effets secondaires de vaccins comme Infanrix hexa, Prevenar et Priorix (ROR) listés dans la base de données médicales indépendante Thériaque, une base de données médicales indépendante, faite par des professionnels pour des professionnels, sous le contrôle du Centre National Hospitalier d'Information sur le Médicament:

 

INFANRIX HEXA PDR ET SUSP INJ
INFANRIX HEXA, POUDRE ET SUSPENSION POUR SUSPENSION INJECTABLE. VACCIN DIPHTERIQUE, TETANIQUE, COQUELUCHEUX (ACELLULAIRE, MULTICOMPOSE), DE L'HEPATITE B, POLIOMYELITIQUE (INACTIVE) ET DE L'HAEMOPHILUS INFLUENZAE TYPE B (HIB) CONJUGUE (ADSORBE)

 

Les effets indésirables de la base Theriaque incluent d'une part les effets indésirables du RCP de la spécialité consultée, d'autre part une compilation bibliographique des effets indésirables des médicaments appartenant à la même classe thérapeutique.

Déclaration des effets indésirables suspectés

La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance.
Site internet: www.ansm.sante.fr.

 

Effets indésirables à dose thérapeutique   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables

 

- Effets indésirables cliniques

 

TROUBLES DE L'ETAT GENERAL(3 fiches)

 

TROUBLES MENTAUX ET DU COMPORTEMENT(2 fiches)

 

TROUBLES DU SYSTEME NERVEUX(5 fiches)

 

TROUBLES DE LA PEAU ET DES APPENDICES(5 fiches)

 

TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE(4 fiches)

 

TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE

 

TROUBLES DES ORGANES DES SENS

 

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES

 

TROUBLES HEPATO-BILIAIRES

 

TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES

 

TROUBLES CARDIO-VASCULAIRES

 

TROUBLES RESPIRATOIRES(4 fiches)


- Effets indésirables paracliniques

 

TROUBLES DE L'ETAT GENERAL

 

TROUBLES DU SYSTEME NERVEUX

 

TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE

 

TROUBLES HEPATO-BILIAIRES

 

Effets indésirables en cas de surdosage   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables

 

- Effets indésirables cliniques

PREVENAR 13 SUSP INJ SER 0,5ML + AIG
PREVENAR 13 SUSPENSION INJECTABLE. VACCIN PNEUMOCOCCIQUE POLYOSIDIQUE CONJUGUE (13-VALENT, ADSORBE)
 

 

Effets indésirables en cas de surdosage   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables  

- Effets indésirables cliniques

PRIORIX PDR ET SOL INJ FL+SER +2AIG
PRIORIX, POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION INJECTABLE EN SERINGUE PREREMPLIE. VACCIN ROUGEOLEUX, DES OREILLONS ET RUBEOLEUX (VIVANT)

 

Effets indésirables à dose thérapeutique   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables  

- Effets indésirables cliniques

 

TROUBLES DE L'ETAT GENERAL(3 fiches)

 

TROUBLES MENTAUX ET DU COMPORTEMENT(2 fiches)

 

TROUBLES DU SYSTEME NERVEUX(5 fiches)

 

TROUBLES DE LA PEAU ET DES APPENDICES(5 fiches)

 

TROUBLES DU SYSTEME IMMUNITAIRE(4 fiches)

 

TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE

 

TROUBLES DES ORGANES DES SENS

 

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES

 

TROUBLES HEPATO-BILIAIRES

 

TROUBLES RENAUX ET GENITO-URINAIRES

 

TROUBLES CARDIO-VASCULAIRES

 

TROUBLES RESPIRATOIRES(4 fiches)


- Effets indésirables paracliniques

 

TROUBLES DE L'ETAT GENERAL

 

TROUBLES DU SYSTEME NERVEUX

 

TROUBLES SYSTEMES SANGUIN ET LYMPHATIQUE

 

TROUBLES HEPATO-BILIAIRES

 

Effets indésirables en cas de surdosage   Cliquer ici pour obtenir tous les effets indésirables

 

- Effets indésirables cliniques

"Je soutiens la famille Larère car si j'avais eu le courage de faire ce qu'ils ont fait, aujourd'hui mon enfant ne serait pas handicapé et après tout, qu'est-ce qu'une condamnation face à un handicap à vie."

"Je soutiens la famille Larère car si j'avais eu le courage de faire ce qu'ils ont fait, aujourd'hui mon enfant ne serait pas handicapé et après tout, qu'est-ce qu'une condamnation face à un handicap à vie."

Suggestions vous informer encore davantage:

 

* Informez-vous sur les composants précis des vaccins selon le nom commercial exact: ici (document du Dr Pilette) et ici (base de données américaine). 

 

* Visiter la rubrique déjà très fournie "Effets secondaires/risques" de notre site

 

* Prenez connaissance des documents confidentiels des firmes elles-mêmes sur les effets gravissimes (neurologiques notamment) des vaccins Prevenar et Infanrix hexa

 

* Faites le lien entre ces documents confidentiels et des cas tragiques concrets (beaucoup plus nombreux qu'on ne le croit en réalité): Ayana, Livio et tellement d'autres encore. 

 

* Comprenez en quoi et pourquoi aucun vaccin actuellement sur le marché ne peut être considéré comme sûr ou suffisamment évalué, tous étant expérimentaux avec un même dénominateur commun à leur insécurité. (Voir en outre aussi les aveux du Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur)

 

* Connaissez vos droits de patient (notamment le droit au consentement libre et éclairé), entre autres précisés dans les lois française et belge respectivement du 4 mars 2002 et du 22 août 2002. Sachez que des médecins qui ne respectent pas de telles lois ont déjà été condamnés...

 

* Informez-vous sur le double discours des médecins, le business que représente pour eux la vaccination et puisque vous les payez, soumettez-les à des questions précises pour qu'ils assument enfin les effets de "leurs bons conseils"!!

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents
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24 novembre 2015 2 24 /11 /novembre /2015 09:25
Vaccin Meningitec

L’embarras des autorités de Santé

Le ministère de la Santé. © Sipa Press.

Le ministère de la Santé. © Sipa Press.

23 novembre 2015. Vanessa Boy-Landry, Paris Match

 

Des représentants des parents qui incriminent le vaccin Meningitec dans l’apparition de troubles chez leurs enfants ont été reçus vendredi dernier au ministère de la Santé. Les autorités souhaitent apaiser les familles, suite à la médiatisation de leur pétition adressée à Marisol Touraine. Et s’inquiètent d’une montée de la défiance des Français à l’égard des vaccins.  

 
« Des milliers d'enfants en danger à cause du vaccin Meningitec : ouvrez une cellule de crise! », tel est le titre de la pétition adressée à Marisol Touraine, mi-octobre, par un groupe de parents qui soupçonnent le vaccin d’avoir causé des troubles persistants chez leurs enfants. « C’est la médiatisation de cette pétition, forte de 70 000 signatures aujourd’hui, qui a déclenché ce rendez-vous avec les autorités de Santé», affirme Coralie, porte-parole des parents, à la sortie du ministère.  Accompagnée de Me Ludot, l’avocat des familles, et de François, un membre du collectif, elle sort d’une assemblée plénière où ils ont été reçus par Dominique Martin, directeur de l’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm), et le Pr Benoît Vallet, directeur général de la Santé, en présence des services juridiques des différentes tutelles.
 

A lire: Vaccin Menigitec: 550 familles au cœur d'une affaire troublante 

 

Calmer les esprits, telle était la volonté exprimée par les représentants de la Santé au cours de ce rendez-vous.  Car plusieurs centaines de familles estiment aujourd’hui que la santé de leurs enfants n’est plus la même depuis qu’ils ont reçu le vaccin Meningitec, retiré du marché par mesure de précaution, en raison d’un problème de qualité, fin septembre 2014. Douleurs abdominales, diarrhées, maux de têtes, éruptions cutanées, troubles du sommeil et du comportement… Autant de symptômes persistants décrits par les parents à leurs médecins depuis l’année dernière.

“Les autorités proposent un numéro vert pour rassurer les parents inquiets”

 

A la sortie du ministère, Coralie et François ont pu témoigner du soin avec lequel les représentants des autorités de Santé ont expliqué les différentes procédures, depuis le constat des imperfections dans certaines seringues, jusqu’au rappel de tous les lots (21 lots dans le monde, 809 000 vaccins en France). Une décision du fabricant Nuron Biotech que l’Ansm a suivie. « Pour nos interlocuteurs, le Meningitec n’est a priori pas en cause. Ils confirment qu’il n’y a pas de risque lié aux particules de métaux retrouvées (oxyde de fer, chrome, nickel), à des doses infinitésimales, dans certaines seringues.  Et proposent de mettre à disposition un numéro vert pour rassurer les parents inquiets», résument François et Coralie, persuadés qu’un tel dispositif n’apporterait pas plus d’information aujourd’hui aux parents. « Nous les avons senti prêts à coopérer sur certains points. Ils ont proposé de réaliser une étude statistique à partir des symptômes observés chez tous les enfants.  Ils veulent bien envisager un effet de la vaccination qui n’aurait pas encore été étudié. Mais ils excluent un problème de défectuosité majeure du vaccin qui aurait conduit à des maladies. Ils rejettent tout problème réel d’ordre sanitaire, à l’échelle nationale ou mondiale», ajoute Coralie.

“On nous a demandé de bien voir toutes les implications d'une médiatisation”

 

D’après les représentants des parents, c’est sur l’importance de la confiance à établir que Dominique Martin et Benoit Vallet ont souhaité attirer leur attention. A la fois sur cette affaire, pour apaiser les familles mais aussi, dans un contexte plus général, pour ne pas risquer de mettre en danger la politique vaccinale (3 Français sur 10 se méfient des vaccins), alors que de nouvelles orientations doivent bientôt être rendues à la ministre de la Santé par la députée Sandrine Hurel. « Ils nous ont clairement demandé d’être responsables et de bien voir toutes les implications d’une médiatisation. Ils craignent que les parents perdent confiance et décident de ne plus faire vacciner leurs enfants», expliquent les représentants des parents.

 

C’est probablement cet aspect délicat qui a fait réagir Infovac, début novembre, dans son bulletin réservé aux abonnés. Un groupe d’«experts» en vaccinologie « indépendant des firmes pharmaceutiques » mais dont les déclarations de liens d’intérêts, sur leur site, affichent pour certains des subsides émanant des fabricants de vaccins. Sorte d’organe de référence pour ses 5 000 abonnés (pédiatres et médecins), Infovac souhaite informer les médecins face aux questions des parents sur cette affaire de lots frelatés de Meningitec : « Un risque théorique qui n’a engendré aucune déclaration d’effets secondaires particuliers », et qui « aurait pu en rester là » s’il n’y avait eu la médiatisation des interrogations des familles, heurtées au « silence étourdissant de  la part des autorités ». « L’Ansm ne communique pas en raison des procédures en cours… ce qui est compréhensible mais très regrettable dans le contexte actuel», considérait alors Infovac.

“Ce n'est pas le retrait des vaccins qui nous a fait perdre confiance, c'est le mépris des autorités”

 

«Nous ne sommes pas anti-vaccins. Les familles rapportent les mêmes effets indésirables depuis le Meningitec. Nous racontons tous la même histoire, sans nous connaître, et elle a démarré bien avant la médiatisation des faits. La confiance, nous l’avons perdue non pas suite au retrait des lots, mais quand on s’est rendu compte que les médecins n’étaient pas au courant et que c’était nous qui l’apprenions aux autres parents », réagit Coralie. « Il a fallu attendre une pétition avec 60 000 signatures pour avoir un rendez-vous, alors que nous avions envoyé au ministère, en mars, une salve de courriers en recommandé, le même jour. C’était bien le signe que nous étions préoccupés ! La confiance, c’est eux qui l’ont brisée. Ce n’est pas le retrait des vaccins qui nous l’a fait perdre, c’est leur mépris », ajoute François.

Rendez-vous au Tribunal de grande instance de Clermont-Ferrand

 

Cette rupture de confiance et de nombreuses inquiétudes sur la santé des enfants ont conduit aujourd’hui 550 familles à assigner en justice le laboratoire CSP (exploitant du Meningitec en France). Pour l’avocat des familles, le rendez-vous au ministère de la Santé était une opération classique de communication « pour éteindre l’incendie », à quelques semaines des régionales. « Les enfants ne sont pas malades à cause d’un atome d’oxyde de fer ! », tempête l’avocat qui suit de près les analyses réalisées par un laboratoire spécialisé en Italie, où une procédure judiciaire est en cours. Le juriste rompu aux affaires vaccinales a lui aussi lancé des recherches spécifiques sur le vaccin. Il suspecte notamment la présence de nanoparticules. Le procès civil a lieu demain devant le tribunal de Grande instance de Clermont-Ferrand. Les plaintes seront examinées. Différentes expertises seront demandées pour chaque enfant. Affaire à suivre…

 

Source: Paris Match

 

Mise à jour du 24 novembre 2015:

 

Meningitec: la justice ordonne des expertises sur les victimes du vaccin défectueux

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23 novembre 2015 1 23 /11 /novembre /2015 11:05

Médecins, dentistes, aromathérapeutes, citoyens-patients, décidément, le Journal du Médecin tape vraiment sur tout le monde et voit des sectes partout, se réfugiant de façon assez pitoyable, il faut bien le dire, derrière les avis des prétendus "experts" du CIAOSN, le Centre d'Information et d'Action contre les Organisations sectaires nuisibles subsidié par le Ministère belge de la justice (NB: on aura un avis plus objectif sur le sérieux de ce genre de classements du CIAOSN, équivalent belge de la célèbre Miviludes en écoutant par exemple les vidéos du Pr Anne Morelli de l'ULB, disponibles sur internet). Après avoir été indûment rangée dans les sectes, Initiative Citoyenne ne pouvait rester sans réagir et a fait parvenir un droit de réponse au Journal du Médecin par la voie de son avocat.

 

Voici tout d'abord, l'article litigieux du Journal du Médecin du 13 novembre dernier, intitulé "Des sectes encore bien vivaces".

 

Le Droit de réponse envoyé par voie d'avocat le 16 novembre 2015 et enfin,

 

Sa parution dans le Jdm du 20 novembre avec un petit commentaire savoureux du Jdm qui ne sait visiblement pas bien quoi répondre à ça...

 

Trois vidéos intéressantes sur les procédés de classification abusifs de sectes:

On peut parfaitement transposer le discours d'Anne Morelli sur les "grandes religions" à la "religion vaccinale"...

Plus d'infos sur le CIAOSN par Anne Morelli.... très éclairant!

Les antécédents de Journal du Médecin avec les vaccins et Initiative Citoyenne:

 

- En novembre 2008, le Jdm s'acharnait sur Knack et le Vif qui avaient osé (quel crime!) publié des articles critiques sur les vaccins antipapillomavirus Gardasil et Cervarix

 

- En septembre 2011, le Jdm publiait que des médecins généralistes s'indignaient des courriers de mise en garde que nous avions envoyés aux associations de parents et aux directions d'écoles secondaires francophones au sujet des risques graves des vaccins HPV proposés en médecine scolaire.

 

- En 2009, dans le contexte de nos actions sur le H1N1, Muriel Desclée de notre collectif a même été classée dans les "pro-nazies" (rien que ça!) par le Journal du Médecin parce qu'elle avait osé partager sur Facebook une vidéo satirique avec un Hitler en mode "Il faut vacciner tout le monde sans délai" (dans un contexte où la vaccination était organisée en France dans des vaccinodrômes, ou des lois d'exception permettant l'instauration d'obligations vaccinales avaient bien été adoptées etc...)

 

- Le Jdm nous avait aussi déjà qualifiés "d'obscurantistes" en mars 2012, ce qui leur avait valu de devoir publier un de nos droits de réponse

 

- Le Jdm nous traitait aussi de "groupement d'illuminés" en octobre 2012, ce qui là encore leur avait valu de devoir publier un de nos droits de réponse

 

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21 novembre 2015 6 21 /11 /novembre /2015 13:56

Dénonciation par la population camerounaise des essais du vaccin anti-Ebolacritiques des médecins kenyans sur les vaccins antitétaniques (contaminés par des hormones stérilisantes), scandale des vaccins anti-papillomavirus et maintenant aussi des vaccins anti-malaria,... la population africaine s'éveille de plus en plus à l'ampleur du scandale vaccinal.

 

Cameroun - Vaccin contre Ebola: Un essai du vaccin annoncé au Cameroun divise les opinions

 

Yaoundé, 2 novembre 2015

 

Géraldine Ivaha, Cameroon-Info.net

 

Le test du vaccin ChAd3-EBO-Z serait, pour certains, un moyen d’inoculer le virus aux personnes saines.

 

André Mama Fouda, Ministre camerounais de la Santé controversé 

Vendredi 30 octobre 2015 le Ministre de la Santé (MINSANTE) André Mama Fouda a annoncé que le Cameroun a été choisi parmi les 5 pays africains qui devront servir de cobayes pour les essais de phase 2 du vaccin ChAd3-EBO-Z. Un échantillon de 3000 “volontaires” adultes est visé pour administration par voie intramusculaire d”une dose de vaccin expérimental. Les laboratoires GlaxoSmith-Kline ont jugé les résultats expérimentaux sur des macaques -une espèce connue de singe- concluants.

 

Les populations du Mali, du Sénégal, du Nigeria, du Ghana et du Cameroun sont donc la cible de cette phase expérimentale du vaccin sur l’Homme. D’après le Quotidien Emergence du lundi 2 novembre 2015, la moitié de ces sujets recevra le vaccin au premier jour, alors que l’autre moitié recevra un placebo avant de subir une injection de vaccin 6 mois plus tard.

 

La décision de conduire l’essai au Cameroun a été prise, car, la population sera différente de la population incluse dans les études de phase 1 et pour garantir une population d’étude se rapprochant le plus possible de la population globale ciblée pour un vaccin éventuel de protection contre la maladie a virus Ebola en Afrique Centrale”, explique Andre Mama Fouda MINSANTE.

 

Pour lui, bien que n’ayant pas été touché par l’épidémie, la position géographique du Cameroun lui octroie le droit de faire partie de cette liste de pays car étant proche des pays ayant été touchés par l’épidémie.

 

Par contre, pour un biologiste, enseignant à la faculté de médecine de Yaoundé, qui a requis l’anonymat, rien ne prouve alors que ce n’est pas le virus d’Ebola qui vient d'être inoculé en lieu et place du vaccin en question. “Quand on parle de vaccin, il s’agit d’une préparation qui a été faite à base du virus, des antitoxines du microbe qui ont été extraites. Autrement dit, ce sont des anatoxines du microbe qu’on inocule à l’être vivant afin qu’il puisse résister contre les toxines que le virus pourrait produire”, confie-t-il dans les colonnes du journal.

 

Pour le biologiste, le vaccin pourrait plutôt rendre les organismes vulnérables au virus de la fièvre Ebola. “Cela a été le cas du Synosil qui avait été employé comme pour le virus du SIDA avec les prostituées à Douala”.

 

Par ailleurs le Gouvernement camerounais rassure qu’en cas d’urgence, “un système de référence au centre des urgences de Yaounde, au centre hospitalier d’Essos et à l’hôpital régional de Bamenda est envisagé(…) pour prendre en charge ou indemniser les candidats aux essais”. Ce qui n’est pas pour rassurer le biologiste car d’après lui, “en parlant d’épidémie virale, le fonctionnement d’une veritable cellule d’urgence ne correspond pas à ce que nous voyons au Cameroun”, renchérit-il.

 

La vétusté des centres hospitaliers au Cameroun ne sont pas vraiment un gage de sécurité sanitaire quant à la maitrise des échantillons cibles. A en croire les lignes du journal les laboratoires auraient beaucoup à gagner dans ce genre de “business du vaccin et il est “impensable et inadmissible qu’on teste un vaccin dans un pays à propos d’une maladie qui n’existe pas dans ledit pays”, lit-on.

 

Le virus Ebola a surgi il y a deux ans en Sierra Leone, au Liberia et en Guinée Conakry. Jusqu’ici, aucun cas n’a été détecté au Cameroun.

 

Pour cette raison, les biologistes pourraient penser que les essais du vaccin anti-Ebola ne seraient qu’un moyen de faire des rentrées d’argent dans les caisses de l’Etat, au détriment de la santé des populations. L’épidémie d’Ebola a déja fait 2097 morts en Afrique de L’Ouest d’après un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publié le 15 septembre 2015.

 

Géraldine IVAHA

 

Source: Cameroon-Info.net

 

Cameroun - Test d’un vaccin à virus Ebola: Les populations de Bamenda inquiètes de l’engagement des pouvoirs publics

 

Yaoundé, 19 novembre 2015, Onana N. Aaron, Cameroon-Info.net

 

Elles réclament plus d’information sur le procédé, et s’indignent sur l’accord du gouvernement pour l’exécution de ce test au Cameroun.

 

La maladie à virus Ebola a fait des ravages en Afrique occidentale. Notamment, au Libéria, en Guinée et en Sierra Léone. La communauté scientifique internationale sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé s’active à trouver des voies et moyens pour barrer définitivement la route à cette épidémie.

 

Au Centre agréé de l’hôpital régional de Bamenda (Nord-Ouest), l’un des deux sites choisis par les pouvoirs publics, l’on enregistre déjà 170 personnes qui se sont soumises volontairement au test du vaccin contre la fièvre à virus Ebola. Seulement, la campagne a été interrompue sur instruction des autorités sanitaires. Celles-ci attendent de faire le point sur la polémique qui enfle autour de cette campagne. En effet, les habitants de la ville se plaignent de n’avoir pas reçu plus d’information sur la campagne. D’où la désinformation et l’idée qui se répand selon laquelle la maladie est en train d’être injectée aux personnes saines.

 

Le ministre de la Santé publique (MINSANTE), André Mama Fouda, a donné un point de presse à Yaoundé mercredi 18 novembre, pour apporter des éclairages sur ce test du vaccin à virus Ebola. «Cette phase II vise à recueillir les données fiables sur la sécurité d’emploi et l’immuno génicité du vaccin après une dose intramusculaire unique du vaccin expérimental. Ainsi, les effets secondaires éventuels seront enregistrés chez tous les sujets et la qualité de la réponse immunitaire, ce pendant un an», a indiqué le MINSANTE.

 

Au Cameroun, deux sites ont été sélectionnés par le ministère de la Santé publique : le Centre Pasteur du Cameroun à Yaoundé et l’hôpital régional de Bamenda. Et chaque site va inclure deux cent sujets, apprend-on. «L’essai a reçu l’autorisation du Comité national d’éthique et de la Division de la recherche opérationnelle en santé du ministère de la Santé publique, et vient de débuter fin du mois d’octobre», a souligné André Mama Fouda.

 

Comme pour rassurer les sceptiques, le ministre de la Santé a indiqué que «les deux sites disposent des capacités de vaccination, des suivis cliniques, d’analyse de laboratoire. Et en cas d’urgence médicale, un système de référence au Centre des urgences de Yaoundé, au Centre hospitalier d’Essos, de même qu’au service des urgences de l’hôpital régional de Bamenda, ce dispositif a été mis en place».

 

En rappel, le recrutement des sujets se fait d’une manière volontariste et consentante dans diverses communautés de Yaoundé et Bamenda : dans les quartiers, dans les établissements de santé, dans nos universités, dans les marchés… Ces essais exigent que les sujets qui souhaitent y participer soient en bonne santé.  

 

Onana N. Aaron

 

Source: Cameroon-info.net
 

Vaccins contraceptifs : le boycott de l’Église d’Afrique

 

EXCLUSIF MAGAZINE - Pour la deuxième année consécutive, l’Église d'Afrique boycotte une curieuse campagne de vaccination organisée par le ministère de la Santé, en lien avec l’Onu. 

©Stuart-Price-CC

Le torchon brûle entre l’Église kenyane et le ministère de la Santé du pays. Pour la deuxième fois consécutive, la Conférence épiscopale kenyane a choisi de boycotter une campagne officielle de vaccination. Après la polémique entourant le vaccin contre le ténanos l’an dernier, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants, c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans.

« Nous demandons, déclaraient ceux-ci le 28 juillet dernier, le report de cette campagne prévue à partir du 1er août, dans l’attente de garantie sur la sûreté de ces vaccins. En cas contraire, nous demanderons aux Kenyans de ne pas participer à cet exercice. »

Des vaccins contre les naissances

Cette demande étant restée lettre morte, les évêques ont sans plus tarder demandé à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique – et elles sont nombreuses – de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé. « Je peux vous certifier », explique le Dr Wahome Ngare, de l’Association des médecins catholiques kenyans, « qu’aucune institution de santé catholique n’a participé à la campagne de vaccination contre la polio. » D’où vient une telle réticence des évêques, qui entretiennent habituellement des relations plutôt correctes avec l’État kenyan, à l’égard d’une campagne de vaccination orchestrée par le ministère de la Santé ?

Elle s’enracine en premier lieu dans la suspicion née autour de la campagne de vaccination contre le tétanos menée en 2014 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Unicef, avec la bénédiction de l’État kenyan. Avant la deuxième phase de cette campagne, en octobre 2014, l’Église avait posé « quelques questions » dans un communiqué de presse, en particulier sur la fiabilité des vaccins utilisés. « Nous ne sommes pas convaincus, disaient-ils, que le gouvernement ait pris les mesures adéquates pour s’assurer qu’au vaccin tétanos-toxoïde n’ait pas été ajoutée l’hormone Béta-HCG. » Une hormone produite lors de la grossesse par l’ovule fécondé qui fait depuis plusieurs décennies l’objet de recherches et de tests, à des fins « immuno-contraceptives » , menées par les plus grandes instances mondiales préoccupées de réduire la population et d’améliorer toujours plus les techniques contraceptives ou crypto-abortives.

L’Église fait mener des tests

« Lorsqu’est injecté à une femme non enceinte un vaccin associant tétanos-toxoïde et hormone Béta-HCG, expliquent encore les évêques, cet alliage développe des anti-corps à la fois contre le tétanos et contre l’HCG, de sorte que lorsqu’un ovule est fécondé, l’hormone HCG qu’il produit est détruite, en rendant cette femme de manière permanente infertile. » Autant dire que l’accusation est grave. L’histoire prend alors un tour dramatique. Fort de cette inquiétude, l’Église demande alors au ministère de la Santé kenyan de procéder à des tests sur les vaccins employés. Celui-ci s’y refuse. L’Église fait alors elle-même mener des tests par des laboratoires indépendants. Sur neuf vaccins, trois contiennent l’hormone Béta-HCG. Ces résultats sont rejetés par le gouvernement, qui critique la méthodologie employée pour les tests.

Le ministère kenyan indique de son côté avoir fait des tests et assure que les vaccins employés sont sûrs. Devant cette contradiction, la Commission parlementaire kenyane chargée de la santé demande la mise en place d’une Commission conjointe alliant Église et ministère de la Santé. Celle-ci est notamment chargée de vérifier les tests effectués par les deux parties. Au cours des travaux de cette commission, il apparaît clairement que le ministère de la Santé n’a en fait procédé à aucun test préalable.

La reconduction des analyses sur les neuf vaccins précédemment testés par l’Église confirme les résultats initiaux : trois d’entre eux contiennent l’hormone Béta-HCG. Sur la base de cette conclusion, l’Église catholique demande début 2015, dans un communiqué signé des évêques kenyans, le cardinal John Njue en tête, qu’aucune autre campagne de vaccination de masse contre le tétanos n’ait lieu au Kenya sans que les vaccins aient été préalablement testés et qu’on ait prouvé qu’ils étaient sûrs.

Assurer des vaccins de qualité

Avec la malaria, l’accusation de l’Église catholique est portée de manière un peu différente. Elle n’exprime pas directement d’accusations anti-natalistes.

Assez habilement, elle se concentre sur la qualité du vaccin, exigeant de l’État qu’il fournisse des « garanties » sur les produits employés, et demandant le boycott tant que celles-ci n’ont pas été données. « Nous ne sommes pas en conflit avec le ministère de la Santé, assurent les évêques, mais nous avons un devoir apostolique et moral de garantir aux Kenyans un accès à des vaccins sûrs. » L’association des médecins catholiques, de son côté, n’a pas attendu pour faire de nouveaux tests. « Nous avons constaté que le vaccin était contaminé avec de l’estradiol », disent-ils. « Chez beaucoup de filles, explique le Dr Karanja, président de l’association, cela entraîne une puberté précoce, avec des règles qui peuvent arriver entre 7 et 9 ans. Chez les garçons, leur développement est au contraire altéré, avec de nombreuses pathologies testiculaires. C’est du contrôle de la population impitoyable et barbare. »

Source: Famillechrétienne.fr

Gardasil: le danger se précise pour les fillettes rwandaises et africaines 

 

23 juillet 2011, Clarisse Rugwiro, Jambonews.

 

Ce mardi 19 juillet a été lancée une semaine contre le cancer du col de l’utérus au Rwanda. Rappelons que la campagne de vaccination a été lancée depuis la fin du mois d’avril 2011, avec les vaccins gracieusement offerts par Merck®.

 

Vaccination d'une fille rwandaise

Vaccination d'une fille rwandaise

 

Par ailleurs, ces campagnes de vaccination massives se poursuivent ailleurs sur le continent africain, notamment au Sénégal, à l’île Maurice ainsi que dans certains territoires de la France d’outre-mer.

 

A propos de la France, c’est de là que part une nouvelle controverse, cette fois-ci avec des preuves vivantes. En effet, le 8 juillet deux jeunes filles ont déposé des demandes d’indemnisation auprès de la CRCI (Commission régionale de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux )de Lyon, suite aux problèmes de santé chroniques apparus après administrations du Gardasil®. En effet, les deux jeunes filles ont présenté des symptômes de types paralysie temporaire des membres inférieurs, des vertiges des crampes abdominales, la photophobie, qui sont devenus chroniques. Un diagnostic de polyradiculonévrite chronique a été posé chez l’une d’elles (Laura Agnès, 16 ans, elle en avait 14 quand elle a reçu le vaccin).

 

Aussi un collectif de médecins de la Réunion (France d’outre mer) a adressé un courrier au ministre de la santé français, Mr Xavier Bertrand, pour lui faire part de ses inquiétudes par rapport aux campagnes de vaccination massive des fillettes un peu partout dans ces territoires. Selon ce collectif, ces campagnes sont basées sur une « peur injustifiée », qui est entretenue surtout par des campagnes médiatiques et publicitaires. En effet, depuis 1980, on n’observe qu’une baisse de recrudescence de ce cancer, essentiellement due au dépistage précoce du HPV (Papilloma virus). Selon ce collectif, le dépistage reste le plus grand moyen de prévention de ce cancer. Ils vont plus loin en demandant une remise en question de l’autorisation de mise sur le marché européen du Gardasil®, ainsi que la suspension du remboursement de ce dernier en France, en attendant d’avoir les preuves solides sur son efficacité.

 

De plus un article du New England Journal of Medecine paru en 2008 affirmait qu’il manquait encore des preuves tangibles quant à l’efficacité du vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

 

Partant de ces informations, il serait judicieux de se demander ce que cachent ces campagnes massives de vaccination.

 

S’agit-il d’une campagne massive de test à grande échelle du même vaccin controversé ?

 

Ou encore d’une autre variante en étude rapide et à grande échelle, pour pouvoir remplacer la variante défectueuse sur le marché européen ?

 

Ou alors une manière d’écouler le stock défectueux tout en faisant une étude clinique, avant de le retirer ou de lancer un autre à la place ?

 

Quoi qu’il en soit, avec ce vaccin, les futures femmes rwandaises et africaines courent un danger imminent.

 

Il serait temps de lancer une campagne anti – Gardasil sur le continent africain.

 
Clarisse Rugwiro
 
Source: Jambonews.net
 
Quelques éléments additionnels de réflexion laissés à l'appréciation de chacun:
 
* La vidéo de Bill Gates, extrait de son discours lors de la conférence "Innover vers zéro" en Californie, en 2010 dans laquelle il disait notamment: « si nous faisons réellement un bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de médecine reproductive, nous pourrions réduire la population mondiale de 10 à 15% » (voir à partir du temps 2'06''):

* Article de Nexus n°68 de mai-juin 2010 sur le lien entre surpopulation et eugénisme (médical) ainsi que sur les vaccins stérilisants

 

* Propos de Christian De Duve, Prix Nobel de Médecine (en 1974), parus dans le Journal du Médecin en 2009

 
"Si nous continuons à nous multiplier au rythme actuel, nous courrons à la catastrophe. Durant ma vie, la population du monde aura quadruplé. C'est un train fou qui est lancé et cela ne peut que continuer de manière exponentielle si nous ne prenons pas de mesures adéquates. Il vaut mieux limiter les naissances plutôt que d'éliminer les gens par des guerres. Mais je sais que le contrôle démographique pose des questions éthiques. Je laisse ce type de discussions aux spécialistes, mais je leur dis quand même: faites-le comme vous voulez, pourvu que vous le fassiez. C'est le résultat qui compte."
 
* Propos du philosophe Hans Jonas dans son livre "Technique, médecine et éthique" (1985), ce philosophe étant considéré comme une des grandes références philosophiques en matière d'éthique:
 
« La science médicale et l’art ont ici une responsabilité particulière et inédite car eux seuls peuvent imaginer et employer les méthodes humaines encore éthiquement acceptables de limitation des naissances, qui devancent le génocide et l’infanticide impitoyables dans une situation catastrophique où ne prévaut plus que le « sauve qui peut ». [ …] La médecine est d’autant plus obligée de prévenir par ses moyens propres la malédiction menaçante née de sa propre bénédiction […]. Puisque moralement, elle ne peut pas remédier au problème par l’interruption de sa propre causalité, c’est-à-dire par le retrait de ses services qui favorisent la vie, elle doit le faire en les maintenant joints à des contre-services qui la freinent, en guise de correctifs à ses succès. » (p.55-56)
 
 
Voir aussi
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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21 novembre 2015 6 21 /11 /novembre /2015 11:26

Jessica Biel et Justin Timberlake refusent-ils de faire vacciner leur enfant ?

Jessica Biel et Justin Timberlake refusent-ils de faire vacciner leur enfant ?

Par Niki Cruz,18 novembre 2015 (Extraits)

 

Des nouveaux communiqués signalent que Jessica Biel et Justin Timberlake refuseraient de vacciner leur fils Silas.

 

Selon OK Magazine, ils refusent de vacciner leur fils. Un initié a expliqué au magazine : «  Jessica refuse de le faire vacciner. Elle estime que la vaccination pourrait causer des complications.» On dit que le couple ne tient pas à prendre position publiquement, mais qu’il essaie juste de faire ce qu’il estime le meilleur pour leur bébé Silas.

 

L’initié poursuit : « Je suis certain que Jessica croit qu’elle prend la bonne décision, mais nous espérons qu’elle et Justin feront un peu plus de recherche sur le sujet et changeront d’idée. »

 

Bien que OK dispose de sources provenant de l’intérieur, le magazine In Touch affirme qu’ils ont contacté le clan Timberlake pour obtenir un commentaire, mais ni Justin ni Jessica n’ont commenté les communiqués.

 

Ce n’est pas une grande surprise que Justin Timberlake et Jessica Biel n’aient pas donné de commentaire sur le fait qu’ils aient oui ou non vacciné leur fils. En général, le couple a décidé de garder le caractère privé de la plupart de leurs relations, y compris en ce qui concerne leur fils Silas.

 

La seule exception par rapport au petit Silas est une communication occasionnelle dans les médias sociaux :

 

Flexin, le jour des pères…Heureux jour des pères à TOUS les papas de la part d’un nouveau membre de la fraternité des pères !! – JT

 

Une photo a été postée par Justin Timberlake le 21 juin 2015.

Jessica Biel et Justin Timberlake refusent-ils de faire vacciner leur enfant ?

Source : Inquisitr

 

Cette information n'est pas qu'une anecdote, c'est le reflet d'une tendance: en effet, de plus en plus de personnes dans la société prennent conscience des risques graves et constamment sous-estimés des vaccins mais aussi de l'inadéquation totale entre le discours officiel pro-vaccins et la réalité du terrain. Même s'il ne faut pas vraiment être surpris qu'ils ne souhaitent pas commenter ces informations car ils SAVENT (comme tous les gens de ce milieu du show-biz) que c'est vraiment le type de sujet commercialement le plus risqué pour leur carrière personnelle car par définition clivant (et donc aussi pour leur audience possible et leurs fans), le fait qu'ils aient quand même communiqué leur position à un ami - sans quoi l'info n'aurait pas pu fitrer- montre quand même une évolution sociétale claire. Tous les prétendus efforts que les officiels vont faire dans le futur pour 1. Banaliser les vaccins et minimiser leurs risques dans une pure stratégie de communication et 2. Prôner de plus en plus de vaccins du berceau à la tombe, tout cela sera VAIN et INEFFICACE car RIEN ne remplacera jamais l'INFORMATION, les FAITS, l'ENQUÊTE pure et dure dans la plus rigoureuse et froide objectivité... qu'on se le dise... et petit clin d'oeil ici au passage aux "experts" d'Infovac par exemple, qui prétendent être compétents pour répondre aux questions des médecins de terrain sur les vaccins mais qui sont tellement remplis par le vide abyssal de la fausse science qu'est la vaccinologie qu'ils ne peuvent que miser sur la communication et la réaction à ce que dénoncent les dissidents. C'est ainsi que le Dr Vié le Sage d'Infovac (cf. ici sa déclaration d'intérêts, et ici les autres déclarations des experts Infovac, lesquels se sont déjà plus d'une fois prétendus indépendants!) vient de s'abonner au fil Twitter d'Initiative Citoyenne... compliments docteur et à toute votre équipe et bonne lecture sur ce site!

 

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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 17:48

L’arrogance suprême des pédiatres qui refusent de s’occuper des enfants non vaccinés

 

Daisy Luther, 17 février 2014

L’arrogance suprême des pédiatres qui refusent de s’occuper des enfants non vaccinés

Quelle est la signification de cette suprême arrogance (ou « complexe divin », à savoir « se prendre pour Dieu » littéralement) ? Wikipédia la définit comme suit :

 

« Croyance inébranlable, caractérisée par des sentiments privilégiés de toute puissance, de surestimation de soi ou d’infaillibilité. Une personne atteinte du « complexe divin » peut refuser d’admettre la possibilité qu’elle soit dans l’erreur ou l’échec, même face à des problèmes complexes et difficiles, voire face à des tâches  impossibles. Elle peut considérer ses opinions personnelles comme étant incontestablement correctes. »

 

Beaucoup de parents n’éprouveront guère de difficulté à trouver l’exemple concret et vivant d’une personne souffrant de cette suprême arrogance sans devoir aller chercher plus loin que le cabinet de leur pédiatre.

 

Un tel exemple est le pédiatre anonyme qui a écrit cet article publié dans « The Daily Beast ».

 

« Je demande toujours si les enfants sont vaccinés, ou si les parents ont l’intention de faire vacciner l’enfant  dès après la naissance. Si la réponse est « non », je leur dis poliment et respectueusement qu’ils ne se sont pas adressés à la bonne personne. Nous n’acceptons pas comme patients, les enfants que les parents ne font pas vacciner. »

 

Quand j’ai lu l’article précité, je me suis senti obligé de vérifier pour savoir s’il s’agissait d’un article satirique. Malheureusement, ce n’était pas le cas !

 

Certains médecins que vous payez pour prendre soin de votre enfant se sentent parfois à ce point tout puissants que l’on en reste bouche-bée. Qu’une personne ayant juré de ne pas nuire (Serment d’Hippocrate) veuille à ce point, et à tout prix imposer sa volonté à des parents en dit long sur la haute opinion qu’elle a d’elle- même, bien qu’elle prétende que ce n’est pas le cas.

 

La relation médecin-patient, comme tant d’autres relations humaines exige la confiance. Je ne veux évidemment pas non plus que l’on en revienne à l’esprit paternaliste d’antan du « médecin qui sait mieux ». J’ai cependant besoin de savoir que le médecin qui s’occupera de mes enfants puisse respecter ma formation et ma recherche.

 

Partout dans le pays, des médecins refusent maintenant de s’occuper des enfants qui ne sont pas vaccinés. Selon moi, il s’agit tout juste d’une autre tactique d’intimidation destinée à forcer la main des parents. Pareille situation angoisse les parents par rapport aux visites médicales de routine, à la manière dont ils pourront se procurer les antibiotiques nécessaires pour une simple infection de l’oreille. Avec l’ « Obamacare », on peut s’attendre à une standardisation des soins encore plus poussée,  et à une politique vaccinale encore plus agressive.

 

Le pédiatre qui a écrit cet article est apparemment quelque peu lâche par rapport à ses propres convictions pour qu’il se sente contraint d’utiliser un pseudonyme afin d’appuyer la propagande officielle dans le paragraphe qui suit :

 

«  Il y a très peu de questions auxquelles on a apporté des réponses aussi complètes que celles qui traitent de l’efficacité et de l’innocuité des vaccins. »

 

Le vaccin rougeole-oreillons- rubéole ne provoque pas l’autisme.

 

Le vaccin HPV est sans danger

 

Le Thiomersal ne présente aucun danger pour la santé publique

 

En réponse à ces affirmations, j’ajoute mes liens à moi :

 

Les tribunaux ont décidé du dédommagement de nombreuses familles, et reconnu que le vaccin ROR peut provoquer l’autisme

 

Le vaccin contre le HPV est une arnaque mortelle

 

Le thimerosal alias mercure est bel et bien toxique.

 

Finalement, je dois dire que je serais ravie d’être chassée de son bureau parce que je pense vraiment qu’il a une approche erronée. Je pense sincèrement qu’il croit ce qu’il veut faire passer, mais je crois aussi qu’il n’est pas complètement informé et qu’il a subi un lavage de cerveau. […]

 

C’est mon droit le plus élémentaire de faire les meilleurs choix possibles pour la santé de mes enfants – choix qui sont basés sur mes convictions  personnelles mais surtout sur les recherches approfondies que j’ai effectuées. La médecine ne doit pas être une dictature dans laquelle vous êtes tenu de vous incliner devant les décisions d’un médecin. Personnellement, je tiens à ce que mon médecin soit un partenaire par rapport aux soins que j’ai à donner à mon enfant et nullement un être arrogant, omniscient, autoritaire et inflexible vêtu d’un tablier de laboratoire.

 

Si votre pédiatre vous traite avec condescendance, refuse de se conformer à vos souhaits pour le traitement de vos enfants, refuse de prendre votre avis en considération comme de s’occuper de vos enfants, peut-être est-ce là la meilleure chose qui puisse vous arriver.

 

Le Dr Joseph Mercola résume tout :

 

« Il va sans dire que lorsque vous choisissez un médecin, ce médecin travaille pour vous. Qu’un pédiatre mette un patient à la porte ne constitue-t-il pas un oxymore ? Plus précisément, c’est à vous qu’appartient le choix de la personne qui vous aidera à prendre soin de votre santé et de celle  de vos enfants.

 

C’est donc vous qui êtes toujours libre de VIRER votre médecin. C’est tout à fait VOTRE droit et VOTRE choix de vous occuper de la santé de votre famille et vous ne devriez jamais permettre à un médecin d’interférer avec ce droit. Cela dit, il existe bel et bien des rapports de pédiatres qui ostracisent les patients qui sont en désaccord avec le programme de vaccinations passe-partout du CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies). Certains pédiatres vont même jusqu’à refuser de répondre à des questions ou préoccupations de parents au sujet des vaccinations. »

 

Je trouve intéressant cependant que l’un des points les plus saillants soulevés dans l’article de Time Magazine ne vienne en fait pas de l’auteur lui-même, mais de sa fille de 4 ans qui, après avoir reçu 5 vaccins, a demandé :

 

Pourquoi ai-je dû recevoir ces vaccins pour me donner la santé ?

 

Il s’agit ici bien sûr d’une fameuse bonne question.

 

Source : The organic prepper

 

Voir aussi

 

La vaccination, un juteux business, aussi pour les médecins...

 

Ce que les médecins pensent de la vaccination: l'enquête choc de l'INPES

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17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 20:53

DECES après le vaccin Gardasil

Plainte déposée

 

Par  Norma Erickson, 11 novembre 2015

 

Un infarctus fatal du myocarde survenu chez un adolescent a fait l’objet d’une plainte devant un tribunal fédéral américain

 

Cette plainte (N°15-0160V) a été déposée par le cabinet d’avocats Roberts de Newport Beach, au nom d’Adan Gomez et Raquel Ayon au sujet du décès de leur fils Joël survenu après l’administration du vaccin Gardasil.

 

C’est le 19 juin 2013 que Joël Gomez a reçu sa première dose du vaccin Gardasil. Le 19 août 2013, le garçon recevait sa seconde dose. Il est mort pendant son sommeil le jour suivant, soit le 20 août 2013. Le décès a, en fait, été causé par le vaccin Gardasil.

 

Cette déclaration est renforcée par le Rapport d’expert rédigé par Sin Hang Lee, M.D. qui précise :

 

Le Gardasil a causé ou contribué à provoquer un infarctus du myocarde chez l’enfant défunt. La seconde dose du Gardasil a, dans ce cas, finalement provoqué une hypotension mortelle le jour de la vaccination.

 

Il n’y a pas eu d’autre cause possible de la mort de Joël Gomez la nuit du 19 août 2013.

 

Le dossier montre que Joël Gomez, un jeune de 14 ans, avait toujours été en bonne santé. Depuis sa naissance, il avait fait des contrôles réguliers chez le pédiatre. Il n’y a jamais eu aucune preuve de problèmes préexistants, aucune anomalie cardiaque ou troubles psychologiques; jamais non plus de toxicomanie. L’adolescent avait, deux mois avant sa mort participé, à raison de 4 à 5 heures par jour, à l’entraînement de football de l’école sans le moindre incident.

 

Le 19 juin 2013, il reçut, dans le bras gauche, la première dose du Gardasil dans le bureau du médecin. Aucune réaction particulière ne fut signalée, ni à sa famille, ni au médecin. Comme convenu dans le bureau du médecin, le garçon reçut sa deuxième dose de Gardasil dans le même bureau du médecin le 19 août 2013. Il rentra ensuite à la maison et alla dormir. Le lendemain matin, soit le 20 août 2013 à 7 heures du matin, on retrouva l’enfant sans plus aucune réaction.

 

Des ambulanciers furent appelés et le garçon fut transporté à l’hôpital. Il fut déclaré mort à 9h.07, le 20 août 2013.

 

Une autopsie fut effectuée le 23 août 2013 par un médecin légiste de Los Angeles.

 

Le rapport d’autopsie rapporta plusieurs anomalies […].

 

De l’avis même du médecin légiste, l’enfant serait mort d’une myocardite qui était apparemment tout à fait asymptomatique. Selon les examens histologiques, la maladie aurait déjà été présente depuis plusieurs jours, voire plusieurs semaines et la cause reste inconnue.

 

Le Dr Lee qui a passé en revue les lames microscopiques, a conclu que la lésion du cœur était un infarctus du myocarde en voie de guérison depuis quelques semaines après la vaccination Gardasil. Selon lui, les fragments d’ADN du gène HPV L1 qui sont liés à l’adjuvant aluminique du Gardasil peuvent provoquer une poussée soudaine et inattendue de nécrose tumorale, facteur- α et autres cytokines. Certaines cytokines libérées par les macrophages sont de puissants dépresseurs myocardiques capables de provoquer de l’hypotension chez certaines personnes prédisposées génétiquement ou physiquement.

 

Pourquoi s’agit-il ici d’une affaire importante ?

Infarctus du myocarde

Décès d'un jeune garçon par infarctus du myocarde après le Gardasil

Il s’agissait d’un jeune garçon, en bonne santé, athlétique qui avait été surveillé médicalement depuis sa naissance. L’infarctus du myocarde s’est produit entre deux injections de Gardasil, comme décrit dans le rapport du médecin légiste. Selon le Dr Lee, un infarctus qui commence à guérir à l’âge de 14 ans est pratiquement une chose inconnue. En fait, le Dr Lee a souligné que, dans ce cas, le cœur présente une description classique que l’on retrouve d’habitude chez des patients beaucoup plus âgés qui ont déjà connu l’une ou l’autre crise cardiaque. Les seuls facteurs qui, dans la vie de ce garçon, ont changé ce sont les vaccins Gardasil.

 

Les plaignants soutiennent que la myocardite dont Joël souffrait a été causée par le vaccin Gardasil. Les plaignants soutiennent que la suite logique montre que la vaccination a été la cause de la mort… Le fait que Joël était un garçon de 14 ans en parfaite santé est une preuve circonstancielle forte que la mort a été causée par le vaccin Gardasil.

 

Tout ceci montre qu’il n’est pas possible de savoir combien de jeunes-filles vaccinées avec le Gardasil ont connu des dommages cardiaques.Que maintenant on les appelle myocardites ou infarctus, peu importe étant donné que l’un comme l’autre peuvent être des pathologies cardiaques silencieuses…

 

Au cours d’une conversation téléphonique avec le Dr Lee sur la signification de ce cas pour les parents comme pour les professionnels de santé, le Dr Lee a dit :

 

Les adolescents vaccinés avec le Gardasil devraient s’abstenir de sport de compétition et devraient se soumettre à un électrocardiogramme pour pouvoir exclure la possibilité de l’infarctus du myocarde silencieux s’il y a le moindre problème de syncope, de gêne thoracique, de tachycardie ou d’hypotension dans les deux mois qui suivent la vaccination Gardasil.

 

Pétition disponible sur demande – envoyer un mail à admin@sanevax.org ou sanevax@gmail.com

 

Source: Sanevax

Décès d'un jeune garçon par infarctus du myocarde après le Gardasil
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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 08:57
Vaccins : le droit de dire : «  NON MERCI ! »

La maman d’un enfant gravement handicapé à vie à la suite de vaccins se mobilise et réclame d’urgence pour tous les parents le droit de pouvoir dire : « NON MERCI !» Laura HAYES, « Age of Autism » Commentaire par mail du 4 novembre 2015.

 

Je veux préciser que ma thèse principale va au-delà du consentement éclairé. Nous devons de toute urgence nous battre pour le rétablissement complet des droits individuels et des droits des parents, en particulier en ce qui concerne les décisions de vacciner ou pas. Nous devons travailler à rétablir ce droit des individus et des parents de refuser un ou plusieurs vaccins pour eux-mêmes ou leurs enfants sans  qu’il y ait ingérence du gouvernement, coercition ou pénalité.

 

Les obligations vaccinales sont en elles-mêmes une violation des droits et des libertés les plus élémentaires. En outre, nous ne devrions pas avoir à signer quelque exemption que ce soit tant qu’elles sont encore autorisées. Ces exemptions impliquent souvent des coûts, une perte de temps, parfois un harcèlement parce que ces exemptions ne sont pas toujours acceptées comme valides.

 

Dans ce qui est censé être un pays « libre », les obligations vaccinales constituent une violation de nombreux droits et libertés. Les vaccinations obligatoires constituent une violation flagrante de nos droits naturels à l’intégrité physique, du droit des parents à élever et à éduquer leurs enfants comme ils l’entendent, le droit le plus fondamental qui soit à l’intégrité corporelle. Les obligations vaccinales violent la Constitution des Etats-Unis sur de nombreux points, comme le Code de Nuremberg et autres codes internationaux d’éthique auxquels ont adhéré les Etats-Unis.

 

L’obligation vaccinale est LE problème, comme aussi le fait d’avoir à signer et à fournir un document d’exemption sous quelque forme que ce soit. Il est cependant aussi essentiel que les médecins, les infirmières, les pharmaciens permettent et favorisent un consentement éclairé.

 

Malheureusement, nous savons que le consentement éclairé est rarement rendu possible avant la vaccination. Qu’il y ait obligation ou non, l’information faisant partie du consentement éclairé devrait aussi être de mise.

 

Mais avoir le consentement éclairé sans avoir la possibilité de dire « Non Merci »  est pratiquement inutile. Quel intérêt, si de toute manière on vous oblige à vous faire vacciner ou à vacciner votre enfant ? Je prétends que la toute première chose que nous ayons à faire est de mettre un terme définitif au plus gros des problèmes ayant trait à la vaccination, à savoir l’obligation.

 

Il n’y a actuellement rien de plus urgent que de mettre fin à l’holocauste vaccinal dirigé contre nos enfants qui est en train de s’élargir à toutes les couches de la population. Le discours doit absolument changer. Nous avons mis en lumière les dangers et l’inefficacité des vaccins, comme aussi, souvent, leur absence de nécessité. Il nous appartient aujourd’hui de mettre fin pour toujours aux obligations vaccinales.

 

Sans notre droit absolu et illimité de dire NON, nous et nos enfants risquons d’être empoisonnés, de souffrir de maladies chroniques, d’invalidité permanente et/ou de mourir prématurément.

 

En ce qui me concerne, je suis écoeurée, et j’en ai assez quand, chaque jour, j’apprends que la santé d’un bébé, d’un enfant ou d’un adulte a été endommagée ou que ces personnes sont décédées à la suite de vaccinations. Cette folie vaccinale doit s’arrêter tout de suite. La chose ne pourra se produire que quand les obligations auront été abolies et que les droits parentaux et individuels auront été pleinement restaurés. Il faut que ces vérités soient radicalement proclamées, en particulier par ceux et celles qui se sont battus depuis des années et qui savent que la seule manière de se protéger et de protéger ses enfants des préjudices que peuvent entraîner les vaccins est la possibilité libre et sans restriction de tout simplement dire : « NON MERCI !»  Laura HAYES (Californie).

 

« Si on autorise la médicine officielle à fouler aux pieds les objections philosophiques et religieuses des parents, de même qu’à violer le corps de nos enfants avec des dizaines d’antigènes vaccinaux, de produits chimiques, d’ADN d’animaux de tissues de foetus humains avortés, de CELLULES CANCEREUSES, il est impératif que l’origine de ces lois soit scrupuleusement examinée. » Dr Suzanne HUMPFRIES, MD (néphrologue)  

 

 

Auditions au Comté et de la Ville de San Francisco

Témoignage de Mme J. Miller

 

10 novembre 2015

Vaccins : le droit de dire : «  NON MERCI ! »
Vaccins : le droit de dire : «  NON MERCI ! »

Au cours de leurs interventions lors de l’audition publique du Comté et de la Ville de San Francisco (10 novembre 2015), Madame J. Miller, et autres citoyens  ont tenu à rappeler qu’en matière de vaccinations :

 

« Le Congrès et la Cour Suprême des Etats-Unis ont qualifié les vaccinations de produits «inévitablement dangereux». Ces produits sont susceptibles d’endommager la santé et de tuer. Et, poursuit-elle : je le redis : le Congrès et la Cour Suprême des Etats-Unis ont qualifié les vaccinations de produits « inévitablement dangereux ». Nous ne savons pas qui va être touché. Comme nous n’avons pas de test, nous jouons en fait à la roulette russe pour nous et nos enfants avec ces vaccinations  légalement obligatoires. Ne vous leurrez pas : les vaccins ne sont ni sûrs, ni efficaces ! 

 

Sachez aussi que les fabricants de vaccins jouissent d’une immunité juridique. Ils ne peuvent pas être poursuivis en cas de dommages ou de décès. Sachez aussi que l’Etat américain a déjà dû débourser plus de 3 milliards de dollars pour dédommager les victimes de vaccins (dommages et décès) ! »

 

Source : Comté de San Francisco (auditions)

 

Les choses sont très claires: la vaccination EST un terrorisme sanitaire car l'on SAIT qu'il y aura forcément des victimes mais on ne sait pas sur qui ça tombera. La peur (des infections naturelles) est instrumentalisée car elle sert de chantage et de moyen d'oppression... En ces temps où on ne parle que de terrorisme, il est aussi devenu urgent d'avoir une réflexion cohérente et lucide sur toutes les formes de terrorisme, car certaines formes non discernées comme telles peuvent hélas s'avérer ô combien meurtrières même si elles ne revendiquent pas officiellement la mort et la désolation mais promettent au contraire le salut et la solidarité.

 

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