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14 avril 2013 7 14 /04 /avril /2013 12:35

epouvantail-des-deces.jpg

En ces temps de désaffection vaccinale, il va sans dire qu'il est bon de taper sur le clou en agitant l'épouvantail des décès. C'est ainsi que le journal Le Soir du 28 mars dernier, ainsi que d'autres médias, relayaient docilement et sans l'ombre d'une vérification, les chiffres de mortalité liée à la grippe avancés par l'Institut de Santé Publique (ISP).

 

La grippe et le froid auraient ainsi "tué 1600 fois" peut-on ainsi lire dans Le Soir. Des affirmations qui doivent réjouir les fabricants et d'ailleurs, le texte n'en fait pas mystère en ajoutant "Une vaccination plus large pourrait limiter cette surmortalité."

 

D'abord, on voit très mal comment une vaccination plus large pourrait avoir le moindre impact positif sur la mortalité étant donné que la couverture vaccinale contre la grippe a augmenté de 50% aux Etats-Unis entre 1980 et nos jours, sans que cela ne s'accompagne de la moindre réduction de la mortalité. Deuxièmement, les vaccins antigrippaux actuels sont d'une efficacité médiocre comme reconnu par plusieurs méta-analyses indépendantes. Troisièmement, et cela a aussi été scientifiquement prouvé, plus on vaccine d'année en année, et moins une vaccination antigrippale est efficace chez un sujet donné. Quatrièmement, les vaccins antigrippaux de cette année furent encore moins efficaces que d'habitude étant donné une mutation soi-disant imprévue au cours du processus de fabrication. La presse se fout donc royalement de votre tête.

 

MAIS SURTOUT, les chiffres avancés par l'Institut de Santé Publique nous semblent grotesques. En effet, en Belgique, il y a près de 6 fois moins d'habitants qu'en France proportionnellement or l'Institut de Veille Sanitaire Français donne les chiffres suivants des décès liés à la grippe:

 

2009-2010: 312 décès

2010-2011: 151 décès

2011-2012: 52 décès

2012-2013: 117 décès

 

(La plupart des décès surviennent chez des sujets âgés ou à risque, et donc le plus souvent vaccinés, respectivement 85 et 55% de vaccinés pour 2011-2012)

 

En Belgique, où les conditions climatiques sont proches, le nombre de décès serait donc 14 fois plus élevé qu'en France, alors que la couverture vaccinale des sujets âgés est légèrement plus haute en Belgique qu'en France??! On le voit, c'est un non sens et une ineptie de plus des vaccinalistes qui ne sont, il est vrai, plus vraiment à ça près.

 

C'est à croire que ni Le Soir ni l'ISP ne lisent les données de l'Institut de Veille Sanitaire. Leurs approximations erronnées réjouissent sans nul doute les fabricants de vaccins. Mais en attendant, alors que cet épouvantail des décès liés à la grippe est agité sous vos yeux, vous risquez d'en oublier les plus de 5000 décès annuels liés à la médecine et aux effets secondaires des médicaments (2000 décès par erreur médicale chaque année en Belgique, selon les chiffres donnés par l'asbl Action Erreurs Médicales et proportionnellement, sans doute au moins 3000 décès annuels liés aux effets secondaires des médicaments, proportionnellement aux 18 000 décès annuels minimum en France dans la catégorie correspondante)

 

Voir aussi l'aticle connexe: "Grippe, surestimation des décès pour écouler les vaccins"

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 18:51

La vaccination contre la grippe 

ne devrait jamais être rendue obligatoire !

 

Daniel 0’Roark, cardiologue, 23 mars 2013.

 

seringue-AVN.jpg

 

Que les programmes de vaccination obligatoire pour le personnel de santé soient en train de s’étendre rapidement sur l’ensemble du pays est une preuve supplémentaire d’une société en plein déclin.

 

L’érosion progressive et généralisée des processus de pensée rationnelle et logique a rendu la population vulnérable à la manipulation. C’est bien là ce qui a conduit à « l’hystérie actuelle et annuelle de la grippe » comme à l’absurdité de la vaccination des personnels de santé.

 

Avant de présenter un aperçu des preuves qui s’accumulent contre l’obligation de la vaccination antigrippale pour les personnels de santé, il nous paraît important de clairement faire comprendre que ce court article n’est nullement un réquisitoire anti-vaccinaliste destiné à décourager quiconque de se faire vacciner s’il le désire. Cet article ne veut non plus faire apparaître que la vaccination est totalement inefficace.

 

Cet article ne s’oppose évidemment pas non plus à tous les efforts qui visent à améliorer la sécurité et le bien-être des personnes ; il ne s’oppose pas non plus à tout ce qui est fait pour développer de nouveaux vaccins contre la grippe, sûrs et efficaces à condition que leur utilisation se fasse sur des bases volontaires et en fonction d’un consentement parfaitement éclairé.

 

Ci-dessous quelques observations basées sur un examen approfondi de la littérature médicale concernant la grippe et son vaccin, et qui font apparaître les raisons pour lesquelles la vaccination contre la grippe ne devrait jamais être rendue obligatoire.

 

·         Jusqu’à un passé tout récent, il a été jugé totalement contraire à l’éthique de rendre obligatoires des traitements médicaux pour les personnes capables de donner un consentement volontaire et éclairé (ou pour leur représentant légal si un mineur ne peut donner un avis). Il en est ainsi parce que tous les traitements médicaux exposent les patients à divers degrés de risques.

 

·         Bien que très rares, certaines complications de la vaccination contre la grippe sont susceptibles de provoquer la mort ou une invalidité (anaphylaxie, Syndrome de Guillain-Barré). Sur cette seule base, les protocoles de vaccination obligatoire contre la grippe auraient déjà immédiatement dû être arrêtés.

 

·         La grippe est souvent assimilée à tort à un syndrome pseudo-grippal (SPG). Le syndrome grippal a été associé à environ 200 virus différents, en plus de la grippe A/B. La grippe, comme les syndromes pseudo-grippaux ne peuvent se distinguer par des symptômes spécifiques et provoquent rarement de graves complications. Le syndrome pseudo-grippal est beaucoup plus fréquent que la grippe elle-même (incidence annuelle de 7% contre 1% respectivement). Pour la grande majorité des personnes atteintes, les deux sont bénignes et se résolvent rapidement. Les décès sont rares et surviennent presqu’exclusivement chez des personnes très âgées ou atteintes de maladies chroniques.

 

·         De 3.000 à 49.000 personnes décèdent chaque année de la grippe aux Etats-Unis ; 90% de ces décès touchent les personnes âgées ou très âgées, dont la plupart souffrent d’autres problèmes graves de santé. Aux Etats-Unis, le nombre annuel de décès, toutes causes confondues, est de 2,4 millions.

 

·         Des études et méta-analyses ont montré que la plupart des recherches effectuées sur la vaccination contre la grippe étaient de pauvre qualité, sujettes à des biais et par conséquent peu fiables quant aux conclusions tirées par les promoteurs de vaccins.

 

·         Les quelques études et recherches de grande qualité qui sont disponibles révèlent que : a) Au cours de la saison grippale, quand le vaccin correspond partiellement aux virus circulants, il faut que 100 personnes se fassent vacciner pour prévenir un seul cas de grippe. b) Au cours de la plupart des saisons grippales, 99% environ des personnes qui se font vacciner n’en retirent aucun bénéfice.

 

·          Il n’existe aucune preuve que les personnels de santé qui sont asymptomatiques (qu’ils soient vaccinés ou non) puissent « communiquer » la grippe à leurs patients, à moins qu’ils ne se lavent jamais les mains ou aient de mauvaises pratiques d’hygiène.

 

·         Il n’existe aucune preuve que le port du masque par le personnel de santé puisse protéger les patients de maladies respiratoires aiguës…

 

·         Les écrits des défenseurs de la vaccination (y compris le CDC) sont fortement biaisés, sujets à des conflits d’intérêt importants ; ils transforment des données pour servir leurs objectifs. En exagérant la prévalence et les risques de la grippe, ils commettent plusieurs erreurs qui conduisent à des conclusions fallacieuses.

 

·         Grâce à certains programmes d’assurances, les hôpitaux peuvent recevoir des sommes supplémentaires du gouvernement à condition qu’un certain nombre de soignants soient vaccinés.

 

·         Le vaccin contre la grippe est une industrie qui brasse des milliards, chaque année.

 

·         Il est absolument scandaleux que des personnels de santé soient menacés de perdre leur emploi à cause de la politique de vaccination antigrippale basée sur une pseudo-science autoritaire.

 

·         Si la société accepte l’idée que des tiers (incluant différents organes gouvernementaux) puissent contraindre des personnes à subir des traitements médicaux sans leur consentement, il est à craindre que, dans le futur, nous risquions d’être contraints de subir à n’importe quoi – et c’est ce qui arrivera probablement. L’histoire l’a hélas déjà confirmé.

 

Daniel O’Roark, DO, FACC est cardiologue à l’Institut Wellmont CVA à Kingsport

 

Source: TimesNews.net

 

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13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 18:30

VISITE MÉDICALE: Effets secondaires, les médecins sont-ils bien informés?


Actualité publiée le 11 avril dans le
Journal of General Internal Medicine et repris sur SanteLog

 

Figure-2.jpg

Quantité d'informations données à un médecin sur les bénéfices et les effets indésirables au cours d'une visite d'un visiteur médical

 

A l’heure de la réorganisation de la visite médicale des laboratoires pharmaceutiques en France, cette étude de l’Université de Colombie-Britannique (Canada) montre des médecins généralement mal informés sur les effets secondaires des médicaments au cours de ces visites. Selon l’étude, publiée dans l’édition du 10 avril du Journal of General Internal Medicine, la majorité des médecins généralistes recevraient peu ou pas d'informations sur les effets secondaires, via la visite médicale, et restent dans l’ensemble, toujours sensibles, dans leur intention de prescription, à l’effet de la visite. A noter, l'étude a été menée en 2009 et 2010.

 

Cette étude, présentée aujourd’hui comme la plus complète sur la visite médicale pharmaceutique, a été menée à partir de questionnaires remplis par des médecins après chaque visite médicale concernant un médicament. Les chercheurs de l'UBC, l’Université d’York, de Montréal, de Californie et de Toulouse ont recruté les médecins participants à partir des fichiers de médecins généralistes de 4 sites, Vancouver, Montréal, Sacramento et Toulouse.

 

Parmi les médecins contactés, 255 ont accepté de participer et des informations ont été recueillies par questionnaires remplis par ces 255 médecins à la suite d’un total de 1.692 visites médicales, de mai 2009 à Juin 2010. L’objectif était d’évaluer les informations apportées par le visiteur médical sur l’innocuité des médicaments.

 

L’analyse montre que dans la majorité des cas –sauf en France-, les visiteurs médicaux n'ont fourni aucune information sur les effets secondaires les plus fréquents ou les plus sévères ou sur le type de patients qui ne devrait pas utiliser le médicament.

 

La bonne délivrance des données de sécurité reste limitée à 1,7% des visites.

 

La délivrance de « quelques informations » sur les effets secondaires vs aucune information, est plus fréquente à Toulouse (61%- Voir histogramme du haut) qu'à Montréal et à Vancouver (34%) ou Sacramento (39%), les événements indésirables graves sont rarement mentionnés, seulement lors de 5 à 6% des visites médicales sur les 4 sites, et pourtant 45% des visites prises en compte dans l’étude concernaient des médicaments éthiques à risques secondaires pouvant être graves.

 

Les médecins considèrent néanmoins la qualité de l'information scientifique soit bonne ou soit excellente dans 54% des visites et se déclarent « prêts à prescrire » dans 64% des cas (Voir schéma ci-contre, pour Toulouse).

 

Figure-3.jpgDisposition des médecins interrogés (ici à Toulouse) à prescrire

le médicament, peu après une visite médicale.

 

Barbara Mintzes, auteur principal de l’étude, explique que quel que soit le pays d’étude, en pratique aucun contrôle n’est (nétait) exercé sur les visites et peu de sanctions sont réellement appliquées en cas de « promotion » trompeuse ou inexacte. Ainsi, les risques secondaires graves ne sont mentionnés que dans 6% des cas, selon cette étude. La France se détache néanmoins « du lot », et le terrain effectué à Toulouse montre que les médecins de Toulouse sont plus susceptibles d'être informés des effets secondaires par la visite médicale, par rapport aux médecins canadiens ou américains. Les chercheurs attribuent ces résultats aux normes de réglementation plus strictes pour la promotion des médicaments en France.

 

Source: Journal of General Internal Medicine April 2013 Pharmaceutical Sales Representatives and Patient Safety: A Comparative Prospective Study of Information Quality in Canada, France and the United States 

 

Pensez-vous VRAIMENT qu’il en aille différemment avec les effets secondaires graves des vaccins ? Pourtant, contrairement aux malades qui peuvent risquer un certain nombre d’effets secondaires en l’échange d’un service médical rendu tangible et objectivable, les vaccinés vont encourir des risques graves en échange de prétendus bénéfices qu’ils ne pourront JAMAIS objectiver, étant entendu que même non vacciné, on peut ne jamais contracter une maladie ou alors la faire, mais sans jamais développer des complications notables. Le malade qui recourt à un médicament attend de ce médicament une fonction que son corps est incapable d’assurer, et ce de façon temporaire ou définitive alors qu’une personne vaccinée attend d’un vaccin une fonction de protection que son système immunitaire est tout à fait capable d’assumer dans une majorité des cas (et ce avec bien plus d’efficience et de sécurité !). Réfléchissez-y donc à deux fois avant de faire aveuglément confiance aux "bons conseils" vaccinaux des médecins ainsi (dés)informés !!!

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 11:45

Epilepsie après un vaccin contre la varicelle

 

S.C., maman de Luca – ‘t  Prikje mars 2013

 

Dessin--Prikje.jpg

 

Notre petit garçon de 13 mois était en parfaite santé et se développait normalement; il marchait déjà à son premier anniversaire.

 

A partir du moment où il a dû se faire vacciner contre la rougeole, il est devenu malade.

 

Quand je me suis rendue chez la pédiatre, cette dernière m’a annoncé qu’il y avait une épidémie de varicelle dans le quartier et qu’il vaudrait mieux administrer le vaccin (contre la varicelle) et un mois plus tard le vaccin ROR (Rougeole, Rubéole, Oreillons). 

 

Mon mari et moi sommes des scientifiques. Mon mari travaille même dans le secteur biopharmaceutique.

 

Luca a donc reçu son vaccin contre la varicelle. Trois semaines plus tard (je m’en souviens parfaitement) Luca a commencé à avoir des spasmes. A chaque crise, ses bras, ses jambes et son visage se contorsionnaient, mais il restait conscient.

 

Comme il continuait à faire des crises, nous l’avons conduit aux urgences de l’hôpital universitaire de Bruxelles.

 

Luca a immédiatement été examiné ; on lui a fait une prise de sang, un examen de l’œil et un électroencéphalogramme. Le diagnostic est tombé rapidement : « épilepsie ». Luca a été immédiatement mis sous Keppra (médicament antiépileptique) Ils l’ont gardé à l’hôpital pendant une semaine.

 

Quand nous avons quitté l’hôpital le vendredi, Luca faisait toujours des crises, mais elles étaient moins graves et plus espacées.

 

Comme les crises continuaient à se produire tous les jours, nous avons à nouveau dû consulter le 14 juillet. En plus du Keppra, on prescrivit de la Depakine 3X12 gouttes.

 

Le 4 août Luca, dut subir un nouvel électroencéphalogramme. Luca a néanmoins continué à faire des crises même au cours de l’électroencéphalogramme.

 

Il fut ensuite décidé d’arrêter la Depakine et de commencer un traitement au Topamax. Luca a ainsi pu voir disparaître ses crises pendant 3 jours.

 

Le mardi suivant, les crises reprenaient et duraient plus longtemps, parfois 5 minutes.

 

Début septembre, malgré que Luca prenait du Topamax, du Keppra et de la Depakine, les crises continuaient à se produire chaque jour.

 

Par l’intermédiaire d’un ami, nous avons été mis en contact avec un professeur de l’hôpital universitaire de Leuven. Le 7 septembre, Luca fut admis à l’hôpital pour un séjour de plus d’un mois. Après une deuxième ponction lombaire et de nombreux autres examens, on nous donna le diagnostic: Syndrome de West (épilepsie du nourrisson ou encéphalite myoclonique infantile)

 

Si le traitement au Sabril ne donnait pas de résultats, il ne restait plus qu’une possibilité. Mais si les crises ne s’arrêtaient pas notre enfant n’aurait plus pu évoluer.

 

Comme le Sabril ne donnait pas de résultats, c’est une cure d’ACTH qui fut prescrite. Luca recevait une piqûre tous les jours. Il avait dû être isolé car son système immunitaire étant complètement à plat, il n’était pas question qu’il attrape une infection. Seuls mon mari et moi pouvions avoir accès à sa chambre.

 

Les crises se sont heureusement arrêtées.

 

Le 17 octobre nous sommes tous rentrés à la maison. Luca devait continuer à prendre le Sabril et la Depakine. Les crises ne se sont plus manifestées.

 

Quand je dis à Louvain que tout cela est arrivé à cause du vaccin, je reçois toujours la même réponse : Le vaccin a été le déclencheur ; il n’est pas la cause. »

 

Chaque fois que je retourne avec Luca à Louvain, le professeur évoque : « ah, voilà mon enfant miraculé ! » Il n’a cependant aucune explication pour le fait que Luca ne fait plus de crises et a continué à évoluer. Tout son retard a été rattrapé, mais personne ne peut nous donner une explication.

 

Luca ne pourra pas recevoir son vaccin contre la rougeole

 

Quand je lis des articles scientifiques suisses, néerlandais, français, je puis y trouver la description de cas d’épilepsie après vaccination contre la varicelle et la rougeole.

 

S.C. maman de Luca

 

Le syndrome de West peut tout à fait être causé par des vaccinations infantiles (contrairement aux affirmations de ce Professeur mal à l’aise du CHU de Leuven) !

 

En 2010, l’Agence Reuters publiait une dépêche suite à une publication scientifique révélant que les vaccinations infantiles peuvent déclencher l’épilepsie infantile précoce (syndrome de Dravet). Cette dépêche signalait aussi tout le malaise des scientifiques en question qui craignaient, tabou vaccinal oblige, que leurs découvertes dissuadent les parents de faire vacciner leurs enfants.

 

Qu’il s’agisse d’une étiquette « X » (syndrome de West) ou d’une étiquette « Y » (syndrome de Dravet), leur point commun est qu’il s’agit d’épilepsie et on voit donc assez mal pourquoi les vaccins pourraient favoriser un type d'épilepsie sans jamais pouvoir en favoriser un autre. Car le fait est que les vaccinations ont des effets neurologiques possiblement délétères et peuvent donc détraquer un système nerveux initialement sain.

 

Autre élément intéressant, le côté longtemps réfractaire de l’épilepsie de cet enfant, dans ce témoignage, aux médicaments habituellement prescrits dans ce genre d’indication. Selon le Dr Buchwald, médecin allemand qui a étudié de façon indépendante et désintéressée la question des effets secondaires de vaccins pendant plus de 40 ans, il s’avère que les épilepsies induites par les vaccins présentent justement ce critère qui aide à les différencier des épilepsies d’autres origines, à savoir qu’elles ne cèdent pas du tout facilement aux anti-convulsivants classiques. Le Dr Buchwald écrit : « Lorsqu’il s’agit d’une épilepsie « normale », souvent héréditaire, on arrive presque toujours à arrêter les convulsions avec les médicaments correspondants. Ceci ne réussit que très rarement avec les convulsions déclenchées par les vaccinations» (cfr p. 11/17)

 

 

Voir aussi l'article suivant qui apporte une note positive et une lueur d'espoir pour les victimes:

 

Témoignage de guérison d'une épilepsie post-vaccinale avec les isopathiques homéopathiques

 

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 20:45

  

Commentaire posté sur le site de RTL:
  

Plusieurs épidémies ont déjà touché des gens majoritairement vaccinés avec les 2 doses de vaccins officiellement recommandées... On sous-entend toujours que des épidémies surviennent à cause d'un manque de vaccination plutôt que d'oser remettre en question l'efficacité des vaccins. Il fut un temps où des milliers de cas survenaient naturellement chez les enfants belges chaque année, sans que cela fasse jamais les gros titres des journaux. La Nature étant bien faite, la maladie survenait majoritairement dans l'enfance où le taux de complications possibles est statistiquement nettement moindre. Les petites filles qui font naturellement les oreillons ont par exemple une protection relative contre le cancer de l'ovaire qui est un cancer méchant en général. Pourquoi ne jamais parler de ces effets positifs dont on prive injustement les femmes avec une vaccination aveugle et qui plonge les gens dans la dépendance? Pour qu'il y ait un vrai risque de stérilité, il faut une orchite bilatérale ce qui est très rare. Selon le Dr Cohen-Solal, le risque d'infertilité est nul chez les ENFANTS qui contractent naturellement les oreillons, bonne raison de faire la maladie naturellement et d'avoir ainsi une immunité à vie!

 

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 16:10

Le copier-coller du communiqué ci-dessous issu du site French.china.org est indissociable du récent article que nous avons publié sous le titre "Nouvelle grippe H7N9: le scénario du H1N1 est-il en train de se reproduire?"

 

La Chine commence la mise au point du vaccin H7N9

 

VACCIN-DE-PLUS--vaccin-de-trop-.jpg

La Chine a commencé la recherche en vue de la mise au point des vaccins contre le virus de la grippe aviaire H7N9, a déclaré lundi un responsable de la santé.

 

Cependant, des complications dans le processus de mise au point et de fabrication signifient que cela peut prendre de six à huit mois avant que le vaccin puisse être mis sur le marché, a indiqué Liang Wannian, directeur du Bureau de contrôle et de prévention de la grippe H7N9 relevant de la Commission nationale de la santé et de la planification des naissances. (CNSPN).

 

M. Liang a déclaré que la décision de produire le vaccin dépendra de la capacité du virus à subir une mutation pour devenir transmissible de personne à personne.

 

S'il devenait évident que le virus se propage chez les humains, le vaccin serait requis, mais il ne serait pas économique de distribuer le vaccin si de tels signes n'apparaissaient pas, a indiqué M. Liang.

 

Selon ce dernier, la vaccination n'est pas la seule manière efficace de prévenir la maladie.

 

« Nous prenons une série de mesures pour prévenir et contrôler les infections. Des efforts de surveillance de l'infection sont en cours dans plus de 500 hôpitaux et 400 laboratoires dans tout le pays », a déclaré M. Liang.

 

« Nous avons confiance de garder la maladie sous contrôle », a-t-il dit.

 

Selon Deng Haihua, haut responsable de la CNSPN, la médecine et les traitements traditionnels chinois sont également envisagés dans le cadre des efforts de la CNSPN pour lutter contre la maladie.

 

Feng Zijian, directeur du Centre de réponse d'urgence du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, a indiqué que les autorités et les travailleurs du secteur médical œuvrent à trouver des mesures pour identifier et soigner les patients à un stade plus précoce afin de diminuer la morbidité du virus.

 

M. Feng a recommandé que le public réduise les contacts avec les oiseaux et la volaille.

 

Communiqué du 9 avril 2013- French.china.org

 

Voir aussi, ci-dessous, l'interview d'hier dans le Monde de Vincent Enouf, virologue à l'Institut Pasteur:

 

"Le virus H7N9 a muté de façon favorable à une transmission d'homme à homme"

 

photo-le-monde-1-H7N9.jpg

    

Alors que le bilan des infections au virus H7N9 de la grippe aviaire s'aggrave en Chine, avec 21 cas déclarés dont six décès, l'Organisation mondiale de la santé s'est voulue rassurante, lundi 8 avril, affirmant qu'il n'y avait, à ce stade, aucun signe d'une transmission d'homme à homme. Pour Vincent Enouf, virologue et responsable adjoint du Centre national de référence des virus influenzae (grippe) de l'Institut Pasteur, une mutation du virus reste possible à n'importe quel moment, ce qui pourrait déclencher une pandémie.

 

Lire : Grippe aviaire : aucun signe de transmission interhumaine, selon l'OMS

 

En quoi le H7N9 diffère-t-il d'autres souches du virus de la grippe aviaire ?

 

Vincent Enouf : Le H7N9, découvert il y a un mois dans la région de Shanghaï, est une nouvelle souche de grippe, comme il en existe déjà des dizaines. Tous ces virus possèdent à leur surface deux protéines externes, l'hémagglutinine (la lettre H) et la neuraminidase (N), qui leur permettent de se fixer sur un récepteur de la cellule cible puis de se décrocher de la membrane cellulaire pour infecter d'autres cellules. Il existe 16 formes différentes d'hémagglutinine et 9 de neuraminidase. Toutes les combinaisons existent dans la faune animale, en particulier chez les espèces aviaires.

 

Dans la majorité des cas, ces virus ne touchent que les oiseaux. Mais parfois, en mutant, ils acquièrent des capacités qui leur permettent de passer la barrière d'espèce et d'infecter l'homme. Cela a été le cas en 2001 avec le virus H5N1, qui a fait 370 morts, en 2009 avec le H1N1 (grippe A) et actuellement pour le H7N9.

 

Une combinaison spécifique de mutations génétiques rend le virus plus ou moins dangereux pour l'homme. Dans le cas du H7N9, la souche, dont la concentration dans l'air est très élevée, entraîne des pneumonies, accompagnées de fièvres, toux et essoufflement. Il peut provoquer des complications graves chez les personnes fragiles ou porteuses de terrains de maladies chroniques. Par contre, contrairement au H5N1, il ne tue pas forcément les volailles qu'il infecte. Ainsi, les agriculteurs ne voient pas les élevages contaminés, ce qui permet une diffusion plus grande du virus.

  

photo-le-monde-2-H7N9.jpg

 

Le virus H7N9 peut-il se transmettre d'homme à homme ?

 

Pour l'instant, nous ne disposons d'aucune preuve tendant à prouver que le virus H7N9 peut se transmettre d'homme à homme. Les autorités sanitaires chinoises surveillent la centaine de personnes qui ont été au contact des 21 patients infectés. Il s'agit de voir si elles contractent elles aussi le H7N9 sans avoir été au contact d'animaux.

 

Cette surveillance devra durer longtemps dans la mesure où le virus peut à tout moment muter et acquérir les capacités de passer d'homme à homme. Une mutation l'a déjà rendu capable de prospérer à des températures plus basses que celles qui lui sont habituelles chez les oiseaux, ce qui lui a permis de se fixer sur les récepteurs localisés dans les voies respiratoires supérieures de l'homme. C'est une mutation favorable à une transmission d'homme à homme.

 

Peut-on prévoir l'évolution de ce virus ?

 

Non, les mutations et la diffusion des virus sont impossibles à prévoir. Le H7N9 peut retourner dans le monde aviaire pour y disparaître ou bien réapparaître d'ici à quelques années ; il peut aussi se révéler de plus en plus actif et se transmettre d'homme à homme sur tous les continents. Dans ce cas là, il deviendrait un virus pandémique, comme le H1N1 ou le H3N2.

 

En cas de pandémie, cette souche pourrait alors devenir hautement contagieuse dans la mesure où elle n'est pas connue du système immunitaire humain, qui s'avère donc plus vulnérable. Le temps que les hommes fabriquent des anticorps et qu'un vaccin soit mis au point, le virus peut entraîner beaucoup de morts. Ensuite, au bout d'un moment, le virus finira par entrer dans le patrimoine viral humain et devenir un virus saisonnier, contre lequel on sait lutter.

 

Pourquoi ces virus apparaissent-ils plus fréquemment en Asie ?

 

Effectivement, le H5N1 est apparu pour la première fois à Hongkong, le H7N9 à Shanghaï. Cela s'explique par la densité humaine de ce continent, ainsi que les modes de vie : les habitants ont l'habitude de vivre avec les volailles au sein même de leur habitation. Ces contacts favorisent la mutation et la transmission des virus. 

 

Audrey Garric

 

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9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 16:00

Un nouvel adjuvant vaccinal cible les nouveau-nés

 

 

Il semble n’y avoir aucune fin à l’arrogance de la science médicale. C’est aujourd’hui la nature fondamentale du système immunitaire de chaque nouveau-né qu’ils ont dans leur ligne de mire. Le système immunitaire des bébés ne fonctionne pas comme ils veulent ; ils osent même déclarer qu’il est défectueux…puis, ils se sont mis à la recherche d’une méthode visant à « réparer » tout cela. Le VTX-294 est peut-être l’adjuvant vaccinal le plus effrayant qu’ils aient pu inventer.

 

Bebe-serein.jpg

      Photo : Connor (Flickr,cropped)

 

Par Heidi Stevenson

 

Dans une manifestation criante d’arrogance, la science médicale a jugé qu’il y avait quelque chose d’intrinsèquement mauvais dans le système immunitaire des nouveau-nés. Etant donné que les nouveau-nés ne réagissent pas naturellement aux envahisseurs en créant des anticorps, ils supposent qu’il s’agit là d’un défaut inhérent, auquel leur science doit apporter un remède. Et maintenant, ils croient avoir trouvé un moyen de modifier le développement naturel du système immunitaire des nouveau-nés au moyen d’un adjuvant appelé le VTX-294.

 

Un adjuvant vaccinal est une substance qui augmente la réponse du système immunitaire à un antigène. Le système immunitaire d’un enfant fonctionne d’une manière différente de celui d’un adulte. Pour ceux qui font la promotion des vaccins, il s’agit ici d’un défaut. Ils saluent donc la découverte des chercheurs de l’hôpital pour enfants de Boston [1] qui ont découvert que les globules blancs des nourrissons réagissent fortement à un composé synthétique appelé VTX-294. Il en résulte le déclenchement d’un facteur de nécrose tumorale (TNF) et d’interleukine-1 bêta (IL-1β), qui représentent tous deux de fortes réactions du système immunitaire.

 

Le but d’un adjuvant est de déclencher une réponse immunitaire. Si le VTX-294 est utilisé dans les vaccins, il jouera le rôle d’adjuvant.

 

Le problème des vaccins chez les nouveau-nés

 

Le système immunitaire d’un nouveau-né ne ressemble pas du tout à celui d’un adulte ou même à celui d’un petit enfant. Au lieu de combattre les envahisseurs, il les accueille. La chose est logique parce que le fœtus est un peu comme un « invité » dans le ventre de sa mère. Le fœtus doit être en mesure d’accueillir tout ce qui passe au travers du placenta. Grâce à un processus qui n’est pas encore compris, peu de temps avant et après la naissance, le système immunitaire qui acceptait toutes les substances étrangères, se met maintenant à les rejeter. Il faut environ six mois après la naissance pour que ce processus soit terminé.

 

C’est la raison pour laquelle, les vaccins ont tendance à ne pas fonctionner chez les nouveau-nés. Cependant, en dépit d’une absence quasi-totale de compréhension du processus de conversion du système immunitaire  (qui accepte puis rejette les substances étrangères), la médecine moderne a décidé que ce n’était pas comme cela que les choses devaient marcher ! Une recherche a donc été lancée pour tenter de contraindre le système immunitaire des nourrissons à développer des anticorps à la vaccination.

 

Ainsi, la découverte des effets du VTX-294 sur le sang des nouveau-nés (in vitro, donc en laboratoire et non sur un enfant) a été saluée comme une véritable percée. C’en est sûrement une, mais il reste à savoir  si cette découverte permettra des développements positifs.

 

L’inflammation

 

L’inflammation au cours de la grossesse a été identifiée comme étant un facteur important dans le développement de l’autisme.[2] Le facteur de nécrose tumorale (TNF) et l’interleukine-1 bêta (IL-1β), sont des cytokines, et des taux excessifs de cytokines (tempêtes de cytokines) ont été liés à l’autisme. [3, 4, 5, 6, 7] Comment pourrait-on qualifier autrement que « tempêtes cytokines » la libération artificielle de cytokines TNF et de IL-1β, dans le sang des nouveau-nés ?

 

Ainsi, cette recherche en vue de trouver un moyen d’activer le système immunitaire du nouveau-né est contraire à la nature et pourrait constituer un des principaux facteurs déclenchants de l’autisme !

 

Le VTX-294

 

Le VTX est une benzazépine, un produit chimique proche des benzodiazépines qui comprennent le Diazépam et le Xanax. [8]… Le benzène est un produit toxique associé au cancer, ainsi qu’à des dommages neurologiques, développementaux et de troubles de la reproduction. [9, 10,11]

 

Il est difficile d’imaginer que l’on puisse sérieusement envisager d’injecter un produit dérivé du benzène, produit toxique connu, à des nouveau-nés, jusqu’à ce que nous ayons pris conscience que d’autres produits toxiques connus comme le mercure et le formaldéhyde sont déjà injectés avec certains vaccins.

 

Un orgueil médical démesuré

 

L’hypothèse de la recherche médicale moderne que, pour chaque bébé qui nait, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, semble bien relever de la pure arrogance.

 

C’est pourtant bien cela qui se passe avec les tentatives  de contourner la nature fondamentale du système immunitaire du bébé. L’expérience nous montre qu’il n’y aura probablement pas de tests de sécurité du VTX-294.

 

Il semble que les adjuvants n’aient jamais été testés. Peu importe qu’ils soient ou non toxiques, une fois qu’ils sont ajoutés aux vaccins, ils sont généralement considérés comme étant sans danger.

 

C’est vrai du squalène dont on a récemment montré qu’il était la cause de la narcolepsie. Il faut aussi mentionner le formaldéhyde (cancérogène), le mercure (neurotoxique), le polysorbate 80 (perturbatreur endocrinien), l’aluminium (neurotoxique et peut-être cancérogène). Tous ces produits sont utilisés d’une manière routinière dans les vaccins en dépit de leur toxicité.

 

Si jamais le VTX-294 devait être utilisé dans les vaccins, il serait terrifiant d’envisager son potentiel de nuisance. Serait-il capable de perturber le développement normal du système immunitaire ? Pourrait-il provoquer le cancer ? L’autisme ? Des anomalies neurologiques ? Ou créer de nouvelles maladies, telles que la myofasciite à macrophages probablement induite par l’aluminium des vaccins ?

 

Que faudra-t-il encore pour que la médecine moderne puisse se débarrasser de ses œillères arrogantes ? Il semble que rien de moins que tous les dégâts provoqués par les vaccinations pourraient mettre fin à ces crimes. Ou continueront-ils de prétendre que toutes ces vies détruites sont encore de « pures coïncidences » ?

 

Références:

 

1. The Ultra-Potent and Selective TLR8 Agonist  VTX-294 Activates Human Newborn and Adult Leukocytes: PLOS One; David J. Dowling, Zhen Tan, Zofia M. Prokopowicz, Christine D. Palmer, Maura-Ann H. Matthews, Gregory N. Dietsch, Robert M. Hershberg, Ofer Levy; doi:10.1371/journal.pone.0058164

2. Prenatal Inflammation Linked to Autism Risk

3. A proposed mechanism for autism: an aberrant neuroimmune response manifested as a psychiatric disorder.

4. A proposed mechanism for autism: an aberrant neuroimmune response manifested as a psychiatric disorder.

5. Cytokine dysregulation in autism spectrum disorders (ASD): Possible role of the environment.

6. Elevated plasma cytokines in autism spectrum disorders provide evidence of immune dysfunction and are associated with impaired behavioral outcome.

7. GMO-DNA Vaccines and Cytokine Storms

8. Benzazepine

9. Toxicological Review of Benzene (EPA’s report on non-cancer effects)

10. The toxicity of benzene and its metabolism and molecular pathology in human risk assessment

11. OSHA report on effects of benzene

12. Human Fetal Immune System Arises from Entirely Different Sources Than Adult Immune System

13. A Vaccine That Works in Newborns? Promising Compound May Help Protect Babies During Vulnerable Window

 

Source : Gaia Health

 

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 14:00

"Nouvelle grippe: la Belgique est prête." peut-on lire dans le Soir de ce 6 avril dernier!

 

Les hôpitaux ont déjà reçu des consignes en cas d'accueil de patients suspects, l'Institut de Santé publique est paré pour détecter le nouveau virus et puis "par chance", le Tamiflu dont les autorités avaient fait des stocks déraisonnables (et qu'il faut bien trouver à écouler) serait efficace contre cette nouvelle souche de la grippe aviaire, le H7N9.

 

C'est presque "un miracle" que le journal ne parle pas (encore) de vaccins mais ça ne saurait sans doute tarder compte tenu que même les radios précisaient déjà vendredi matin que, suite à ces 14 décès en Chine, des scientifiques planchaient déjà sur ... un nouveau vaccin!

 

Un nouveau vaccin, vraiment? Ou bien pas si nouveau que ça avec leur concept maintenant bien connu de "vaccin maquette" où il suffit de ne changer que l'antigène, et donc remplacer leur fameuse souche fétiche H5N1 avec cette fois, non plus le H1N1 mais le H7N9.

 

L'adjuvant sera-t-il le squalène, grand pourvoyeur de narcolepsies ou encore un petit nouveau qui nous réservera dieu sait quelle autre "bonne surprise"?

 

Certains en rêvaient depuis 2009: une autre pandémie tant attendue. Dans cet article, le Pr Van Laethem, un expert médiatique bien connu (aux conflits d'intérêts nous l'espérons, tout autant connus à présent...) précise que deux des trois critères de pandémie sont déjà remplis avec cette souche:

 

- son caractère nouveau/inédit (cette souche étant jadis cantonée aux seules volailles)

- sa virulence (elle a déjà entraîné des décès)

 

Seul manque encore la transmission interhumaine, puisque, jusqu'ici il ne semble pas que les personnes infectées aient contaminé des gens de leur entourage. Pour cela, il faut une mutation du virus, pour qu'il soit apte à s'accrocher plus bas dans les bronches des patients. Et, nous précise bien le Pr Van Laethem, c'est justement ce genre de mutation que des scientifiques (ou plutôt des apprentis sorciers), notamment aux Pays-Bas, ont VOLONTAIREMENT recréé en laboratoires, soi-disant bien sûr, pour pouvoir mieux étudier tout cela.

 

Récemment, on pouvait encore lire que les projets de la société GSK et de Vivalis allaient bon train et qu'une usine allait être implantée au Texas, vu les sommes déjà versées par le Ministère de la Santé américain. Leur collaboration porte notamment sur l'usage d'une lignée cellulaire de canards (= lignées cellulaires continues= cancérisées) pour la fabrication de vaccins antigrippaux, ce qui permettrait de produire des vaccins en plus grandes quantités et encore plus rapidement que si on utilisait l'ancien processus, sur des oeufs de poule embryonnés.

 

Le 27 mars dernier, c'est le site Futura Sciences qui annonçait un vaccin anti-H5N1 atténué "sans danger", efficace chez les souris et les furets. Ce site commençait son article par ces mots "Le monde craint le virus de la grippe H5N1 plus que la peste."

 

grippe-aviaire-H7N9.jpg

Que faut-il craindre davantage: une mutation naturelle du virus aviaire qui n'est encore jamais survenue en plusieurs décennies ou bien la fascination morbide d'un système qui semble vraiment appeler de ces voeux sa survenue, en allant jusqu'à la provoquer artificiellement? 

 

Il y a déjà quatre ans, à la même époque, on entendait aussi ce genre de discours sur les préparatifs en cours face à la "nouvelle menace" à venir. On annonçait qu'on creusait les tombes, qu' une loi d'exception se préparait, que des vaccins pandémiques allaient être achetés, etc.

 

Face à toute cette confusion, nous écrivions alors une lettre signée par une centaine de citoyens, à la Ministre de la Santé Laurette Onkelinx.

 

Nous obtenions alors une "réponse" similaire au discours tout fait qui était répété matin, midi et soir dans les médias, c'est à dire la langue de bois.

 

Nous avions alors répondu et démontré le caractère fumeux des réponses apportées.

 

Par la suite, nous avions intenté plusieurs actions en justice. Nous avons été déboutés.

 

Et pourtant, nous avions raison sur toute la ligne:

 

manque de crédibilité de l'OMS (les gens du Conseil de l'Europe ayant parlé de corruption à l'OMS dès janvier 2010)

 

- caractère franchement expérimental des vaccins pandémiques (la publication du contrat d'achat de vaccins en mai 2010 nous a donné raison sur toute la ligne)

 

- risques graves inéluctables (on a bien vu avec la narcolepsie, qui n'est que la pointe émergée de l'iceberg)

 

Voir aussi le film d'Initiative Citoyenne: "H1N1 ou le réveil salutaire du citoyen".

  

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 20:37

La vaccination antigrippale est l'une des vaccinations les plus inefficaces de toutes. Mais elle n'est pas sans risques pour autant.

 

La confusion règne néanmoins encore énormément parmi les bénéficiaires de cette vaccination au sujet de sa prétendue "efficacité". Vu les risques graves possibles, il semble éthique et important que les gens qui les encourent connaissent au moins à fond les limites de la pseudo efficacité au nom de laquelle ils vont encourir ces risques...

 

L'âge auquel on vaccine joue un rôle important

 

Les sujets plus âgés répondent moins bien au niveau immunitaire. Comme toute vaccination est effectuée dans le but quasi obsessionnel de déclencher une production d'anticorps, il faut savoir que les sujets âgés à qui on réserve prioritairement cette vaccination annuelle, produisent un moindre taux d'anticorps. C'est la raison pour laquelle Big Pharma, qui ne souhaite pas voir diminuer ses rentes annuelles, planche sur des nouveaux vaccins (qui laveront encore plus blanc que blanc) et que certains médecins injectent des vaccins "renforcés" au squalène comme le Fluad, qui vont en quelque sorte "forcer la Nature" pour faire produire à tout prix des anticorps aux sujets âgés, sans garantie de protection réelle pour autant.

 

Quand on est jeune, on n'a pas besoin de vaccin antigrippal, et quand on est vieux, on n'en retire non plus aucun bénéfice en somme.

 

Chaque vaccination est moins efficace que la précédente

 

La vaccination annuelle plonge les sujets âgés dans un véritable cercle vicieux. Chaque année, les décès sont plus fréquents à cette période vaccinale-là dans les homes de personnes âgées et le personnel de ces institutions le sait pertinemment, bien qu'il n'ait évidemment pas la liberté de s'exprimer à ce sujet. Hélas, les sujets âgés (pour ceux qui ont encore leur tête) ou les familles des personnes démentes ne sont jamais clairement informées AVANT de commencer ce cercle vicieux que chaque vaccination est moins efficace que la précédente, la première de toutes étant déjà d'une efficacité médiocre et, négligeable dans les faits.

 

Voici en effet ce qu'on peut lire sur un site éminemment pro-vaccins (Mesvaccins.net)

 

« Une étude récemment publiée, qui a déjà suscité de nombreux commentaires, arrive à la conclusion que la vaccination se montre relativement peu efficace pour protéger de la survenue d'épisodes de grippe lorsque le vaccin est administré tous les ans (SE Ohmit et coll.). L'observation de sujets de tous âges vaccinés contre la grippe saisonnière en 2010-2011 a montré que pour ceux qui n'avaient pas reçu de vaccin pour la saison 2009-2010, l'efficacité de protection était de 62 %, alors qu'elle n'était que de 31 % pour ceux qui avaient été vaccinés l'année précédente. Ce constat général est effectué malgré les nombreuses variations observées, en particulier dans l'âge des sujets et dans la nature des vaccins utilisés (vaccins saisonniers trivalents ou vaccin monovalent anti-virus A(H1N1)pdm09 en 2009-2010, vaccins vivants ou atténués en 2010-2011), mais alors que la composition des vaccins utilisés pour la saison 2010-2011 s'est révélée adaptée pour les virus qui ont circulé. Cette même étude met en évidence l'absence de protection conférée par le vaccin 2010-2011 contre une transmission intrafamiliale (à l'intérieur du même foyer) du virus, particulièrement pour les adultes : sur 11 sujets adultes infectés dans le cadre familial, 9 étaient vaccinés.

 

A la lecture de l'article, on relève cependant que les effectifs observés sont très faibles ; il convient donc d'être très circonspect sur l'interprétation des résultats présentés, qui vont à l'encontre d'observations nombreuses. Il est par exemple possible que les quelques personnes incluses dans l'étude et vaccinées les deux années aient été infectées en 2010-2011 par un virus présentant des différences non détectées avec celui qui se trouvait dans le vaccin. D'autres biais sont possibles et sont discutés. Toutefois, une diminution de la protection en cas de répétition de la vaccination a déjà été signalée lors de plusieurs études antérieures, qui portaient également sur des effectifs réduits (TW Hoskins et coll., DJ Smith et coll., DM Skowronski et coll.). Une conclusion raisonnable est donc que de nouvelles études doivent être menées à grande échelle. Elles permettront de confirmer ou d'invalider les observations effectuées, et de tester les hypothèses qui pourraient expliquer une baisse de la protection avec la répétition du vaccin. Le vaccin reste à ce jour l'un des moyens les plus efficaces de se protéger de la grippe. Les observations qui se multiplient nous indiquent que cette efficacité et celle des stratégies de vaccination peuvent encore être améliorées. »

   

L'efficacité n'est jamais garantie, des mutations imprévues peuvent encore survenir



On prétend toujours que le vaccin est efficace à 60 ou 70% en temps normal. Cela ne signifie nullement que vous aurez 6 ou 7 chances sur 10 de ne pas faire la grippe. En réalité, sur 100 personnes vaccinées, 1,5 fera la grippe (la vraie) et dans le groupe non vacciné, il suffit qu'une seule personne de plus fasse la grippe pour qu'on aboutisse à ce genre de chiffres trompeurs d'"efficacité" du vaccin antigrippal qui ne rime bien sûr à rien. D'ailleurs, aux Etats-Unis où la couverture vaccinale s'est accrue de 50% depuis les années 80, absolument aucune réduction de la mortalité liée à la grippe n'a pu être constatée... c'est dire!

 

En revanche, en dépit de cette "efficacité" ultra-médiocre, ce que les consommateurs ne savent pas car on se garde bien de les prévenir avant de les piquer, c'est que les virus vaccinaux peuvent muter de façon imprévue au cours du processus de fabrication.

 

Ainsi, voici ce qu'on pouvait tout récemment lire dans le Nouvel Observateur, preuve que les officiels LE SAVAIENT mais se sont bien gardés de le dire aux consommateurs histoire de ne pas faire s'envoler les pigeons au dernier moment:

 

« Un incident au cours de la toute première phase de fabrication du vaccin est à l’origine de cette baisse d’efficacité (cette année, sic !). C'est la 1ère fois dans l’histoire des vaccins commercialisés que cela se produit.


C’est au moment où les scientifiques mettent au point les 3 souches vaccinales qui composent le vaccin de l’hiver à venir, qu’une étape de la préparation des virus ne s’est pas déroulée comme prévu. 


Les souches de virus choisies chaque année par les experts de l’OMS, sont toujours en amont, cultivées dans des œufs embryonnés de poule. C’est lors de cette étape de la conception du vaccin, avant même que les firmes pharmaceutiques ne reçoivent les souches pour la production en masse, que la machine s’est "grippée". Ce n’est pas une erreur humaine. Au moment de la culture sur œuf, la souche A H3N2, l’une des 3 souches du vaccin 2012/2013, s’est transformée. Au final, elle ne correspondait plus tout à fait à la souche de virus sélectionnée au départ pour composer le vaccin de cette année.

 

Cette variation imprévisible du vaccin pourrait bien avoir des conséquences sanitaires. La souche H3N2 qui a circulé, et qui n’était donc pas exactement celle présente dans le vaccin, est une souche qui par nature, est plus dangereuse pour les personnes âgées. Par conséquent, il est possible que d’ici quelques mois, en partie à cause de cet incident dans l’élaboration du vaccin, un excès de mortalité dans cette population fragile apparaisse sur l’hiver 2012/2013.

 

« Certes, on savait que ce phénomène de variation inattendue du virus était possible. A ma connaissance, c’est la 1ère fois que cela arrive sur des lots de vaccins commercialisés. Mais, il était impossible scientifiquement de l’anticiper, explique le Pr Lina. L’hémagglutinine est une molécule qui a 1000 acides aminés, et là, il y en a un qui a changé. C’était impossible de prévoir l’impact que cela aurait». 


Lorsque cette erreur a été identifiée, pourquoi n’a t-on pas fait machine arrière ? 
Le procédé de préparation des souches de virus destinées à composer le vaccin et d’envoi de ces souches aux producteurs de vaccins prend 3 à 4 mois. Lorsque les experts se sont rendu compte de cette variation du virus H3N2, il était trop tard. Il n’était alors plus possible d’envisager de reprendre le processus à zéro. Les lots de vaccins n’auraient jamais été disponibles à temps, et en matière de vaccination contre la grippe, le temps est toujours compté. Les populations à risque de faire une forme grave de la grippe, voire de développer des complications, doivent impérativement être vaccinées avant que les virus ne  circulent. D’autant plus qu’une fois que la personne est vaccinée, il y a encore un délai de 15 jours pour que les anticorps se développent en quantité suffisante et assurent une protection. »

 

La vaccination antigrippale n'est ni impérative, ni obligatoire

 

Après avoir lu ce qui se trouve ci-dessus, vous êtes tout à fait en droit de vous poser des questions sur cette inutile vaccination et s'il s'agit de vos proches ou de vos patients, il est à la fois responsable et éthique de les tenir au courant de ces données scientifiques incontestables, mais ô combien gênantes et encombrantes pour les pharmas et leurs alliés de l'establishment médico-officiel! Les experts qui vous affirment que c'est impératif ne connaissent rien aux moyens naturels de renforcement du système immunitaire et sont donc prisonniers de leurs dogmes et de leurs idéologies. En outre, ils n'assumeront bien évidemment aucune responsabilité si vous décédez prématurément ou que vous développez par exemple une paralysie ou une maladie métabolique "comme par hasard" après une vaccination de ce type!

 

 

BACHELOT-22.jpg

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 19:53

   

Voir ici la question qu'avait posé Jérôme Cahuzac à la Ministre de la Santé de l'époque (Roselyne Bachelot) pour accélérer le remboursement des inutiles (et dangereux!) vaccins anti-rotavirus, des vaccins transgéniques qui favorisent les invaginations intestinales, contre une maladie statistiquement bénigne dont les complications sont bien plus efficacement prévenues par des solutés de réhydratation orale nettement moins chers que ces vaccins!!
 
Jérôme Cahuzac n'est pas le seul Ministre proche des pharmas: Roselyne Bachelot était une ancienne visiteuse médicale, Nora Berra qui avait fait de la vaccination ROR son cheval de bataille, avait aussi de nombreux liens avec les pharmas... En Belgique, le sujet des conflits d'intérêts des Ministres est visiblement aussi tabou (voir ici).
 
Le Canard Enchaîné en a aussi dit quelques mots...
 
Cahuzac--1-.jpg
 
Cahuzac--2-.jpg
 
Un rapport du Sénat français de 2007 mentionnait que les autorités considèrent les pharmas comme "leurs partenaires naturels." En Belgique, ce sont de confortables pactes qui sont signés entre Big Pharma et l'Etat fédéral.

 

Après cette question parlementaire de Cahuzac, la cruelle réalité sur le terrain....
 
Témoignage de parents français sur Doctissimo sur l'enfer vécu après vaccination de leur enfant par le Rotateq (vaccin anti-rotavirus):
 

« Nous sommes, ma femme et moi scandalisés et très en colère contre le vaccin anti gastro-entérite ROTATEQ fabriqué par SANOFI-PASTEUR.


15 jours après avoir reçu la première dose, le 05 mars 2013, notre bébé de 3 mois et demi, en très bonne santé et sans aucune allergie a failli mourir suite à une invagination intestinale sévèrement grave de 14 cm de longueur, suivie d’une abondante hémorragie. (La pédiatre est formelle)

 

Douleurs abdominales, vomissements, perte d’appétit et le plus grave encore du sang dans la couche sans selles et en abondance !!!!


invagination-intestinale--1-.jpg

Arrivé aux urgences de l’hôpital vers 13h, après plusieurs recherches et investigations et la découverte d’une masse dure et compacte dans l’abdomen, on a pu diagnostiquer l’invagination intestinale au moyen de l’échographie vers 18h.

 

Un essai au lavement auquel j’ai assisté, pertinemment éprouvant pour le bébé ainsi que pour les parents, a été d’abord pratiqué avant d’envisager l’intervention chirurgicale, sans résultat concluant, il a été finalement opéré à 22h30, près de 24h après les premières douleurs.


S’en suivent 4 nuits et 5 jours d’hôpital dans l’angoisse que cela se reproduise dans les heures qui viennent !!!


Nous ne comprenions pas d’où cela pouvait venir puisqu’il n’y a pas eu d’antécédent ni avec son frère aîné de 4 ans, ni avec aucun membre des familles des deux parents… jusqu’à ce qu’on fasse le lien avec le fameux ROTATEQ.


Aujourd'hui, après,


1-Une hospitalisation de 5 jours pour le bébé et les parents qui ont dû l’accompagner durant toute cette souffrance,

2- Le cauchemar que cela se reproduise car le risque existe toujours,

3- Notre vie et notre travail que nous avons dû mettre de côté,

4- Le traumatisme psychique pour nous les parents, nos deux familles ainsi que le frère aîné que nous avons délaissé à la nounou,

5-Les frais supplémentaires de cette dernière,
6-Les journées non rémunérées d’absence au travail,

7- Une cicatrice physique à vie et psychique pour le bébé,

8- Sûrement encore d’autres effets indésirables ou organes vitaux attaqués par votre potion, et je passe tous les désagréments que ce cauchemar nous a fait vivre, nous considérons que l’addition est sévèrement lourde pour un vaccin qu’on a acheté + de 60 euros la dose (puisqu’il y en a deux ou trois à prendre) et qui était censé protéger notre bébé de 3 mois et demi qu’on a failli perdre !!!!!!


Nous avons eu beaucoup de chance de nous trouver dans un pays et un hôpital doté des moyens nécessaires à la détection et au diagnostic d’une grave intussusception, plus connue sous le nom d’invagination intestinale, car un cas similaire au nôtre qui interviendrait dans d’autres pays moins dotés en matériels ou moins expérimentés connaîtrait sûrement une issue fatale pour leurs bébés !!! »

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