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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 23:05

Lire notre communiqué de presse de ce jour: ICI

 

Des parents "anti vaccin polio" condamnés en appel

 

Bebe-pique.jpg

Les parents du petit Olivier, originaires de Lessines, ont été condamnés en appel à une amende pour ne pas avoir fait vacciner leur petit garçon contre la polio. En 1ère instance, en Mars 2011, le Tribunal Correctionnel de Tournai avait acquitté pour ces faits Nathalie Comblet et son ex-mari mais le Parquet avait décidé de faire appel de cette décision.

 

La Belgique est un des derniers pays européens avec la France où le vaccin anti-poliomyélite est resté obligatoire avant les dix-huit mois.  Dans les autres pays européens, soit cette vaccination a été supprimée, soit elle est laissée à l’appréciation des parents concernés.

 

Si les parents d’Olivier n’ont jamais voulu administrer ce vaccin à leur enfant, c’est parce que non seulement ils ont toujours douté de son efficacité mais aussi parce qu’ils lui attribuent des risques d’effets secondaires.

 

Nathalie Comblet s’étonne donc de la décision " j’espérais -confie-t-elle- qu’il y allait avoir confirmation de la décision du premier juge, ce qui n’a pas été le cas, nous avions beaucoup d’arguments et le dossier était très, très, complet, malheureusement la Cour en a décidé autrement... ".

 

La maman a l’impression d’avoir été condamnée pour l’exemple "étant donné que le premier jugement nous avait donné raison et fait donc un cas qui fait jurisprudence, il fallait un petit peu, je pense, rétablir l’autre et remettre les choses en leur état pour un petit peu montrer au citoyen que la loi est faite pour être respectée".

 

Les parents et leur avocat  envisagent le pourvoi en cassation. [actualisation: le pourvoi en cassation a bien été introduit hier]

 

Stéphanie Vandreck, Vincent Clérin

 

Source : RTBF info

 

 

 Ce mercredi 27 mars 2013, entre 12H05 et 13H00 SUR RTBF la première,

émission du "Forum de Midi" consacrée à la vaccination et 

lors de laquelle l'avocat des parents n'aura droit qu'à 5 minutes...

 

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 21:55

Un médecin nous informe de ce que le Journal du Médecin du 22 mars dernier vient de publier au sujet de l'Office de la Naissance et de l'Enfance (ONE).

 

L'ONE n'attire plus peut-on lire....

 

Jdm-ONE-rebute.jpg

Comment franchement s'étonner de l'image "peu attrayante" d'une telle fonction???

 

Les médecins ONE vaccinent à la chaîne des séries d'enfants tous différents avec les mêmes vaccins au prétexte que c'est ce que de "grands experts" venus d'en haut ont décidé "pour leur Bien"!! Où est la valorisation intellectuelle d'une telle médecine de robots?

 

Et lorsqu'un enfant a une contre-indication à un vaccin, il faut soumettre cela aux "conseillers pédiatres" qui jugent à distance (= médecine illégale et contraire au droit belge) et qui refusent dans l'immense majorité des cas au prétexte que ce serait "des fausses contre-indications à la vaccination" selon leur littérature scientifique bien sélective.

 

"Sans praticiens, c'est à terme la mort de l'ONE." peut-on encore lire.

 

"Tous les conseillers pédiatres et tous les gynécologues- ainsi que la direction médicale de l'ONE (qui n'est même pas capable de répondre sur le fond à notre courrier recommandé sur la sécurité des vaccins)- multiplient les interventions publiques aussi bien dans les programmes télé qu'au cours de colloques, dans la presse, via des appels à candidatures dans divers sites médicaux, etc. afin d'informer largement les praticiens sur ce métier."

 

Plusieurs médecins nous ont confié avoir été racolés dans le cadre de cette course désespérée aux candidats à de tels postes et ils ont tous décliné. Forcément, quel médecin censé peut se réjouir d'injecter à longueur de journée des vaccins tous expérimentaux par définition (les aveux de médecins de GSK comme le Dr Nathalie Garçon ou le Dr Saluzzo de Sanofi sont sans équivoque à ce sujet) à de malheureux nouveaux-nés dont toute la santé future pourrait en pâtir et qui n'ont cependant jamais leur mot à dire?

 

Que tous les vaccins administrés aux enfants soient expérimentaux est un fait indéniable. Cela peut ébranler les parents qui vaccinaient sans savoir et sur base d'une confiance aveugle jusqu'à présent mais c'est ainsi.

 

Les médecins issus de ces firmes sont encore mieux placés que les vrais faux experts "indépendants" pour savoir si la "Science" qui sous-tend la vaccination est solide ou pas et la vérité, c'est que SI elle l'était, JAMAIS ils n'auraient eu besoin de faire de tels aveux!

 

Dr Nathalie Garçon, responsable du centre mondial des adjuvants vaccinaux chez GSK:

 

"En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." [cfr page 220 de ce workshop aux USA]

 

Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur et consultant OMS:

 

« Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. Tout simplement parce que quand un vaccin a été mis au point, plus personne ne s’intéresse au vaccin, si bien que de nos jours quand un nouveau virus apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et est-ce qu’on peut s’inspirer d’autres vaccins ? Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. »

 

Le caractère expérimental des vaccins signifie qu'AUCUNE étude n'a jamais porté sur une longue période, de façon à évaluer l'impact potentiellement fort négatif de ces batteries de vaccins sur la susceptibilité à développer plus tard de graves maladies (cancers, maladies auto-immunes) et surtout, de façon réellement comparative en comparant des gens vaccinés à des gens jamais vaccinés.

 

Le caractère expérimental signifie que les prétendus experts qui jouent en réalité au casino avec la santé de vos enfants (mais qui ne l'admettront cependant jamais!) n'ont absolument AUCUNE idée du devenir dans l'organisme des différents ingrédients chimiques toxiques qui composent les vaccins et encore moins de la façon précise dont les vaccins peuvent affecter dans le temps et en intensité les fonctions effectrices du délicat et complexe système immunitaire.

 

Si jamais un médecin ONE (ou tout autre médecin) vous informait du caractère franchement expérimental des vaccins qu'il va injecter à votre enfant ET que vous y consentiez au nom de votre enfant, alors et seulement alors il serait dans la légalité mais ce n'est hélas pas du tout ce qui se passe dans la réalité, l'ONE se contentant de dire aux parents que la vaccination va protéger leurs enfants au prix en général d'une fièvre et d'une simple douleur au point d'injection.

 

Imaginez un peu quels pourraient être les résultats - et en 200 ans de vaccination, il eût pourtant été possible de les obtenir, si les officiels en avaient vraiment eu la volonté et le courage!- si on comparait pendant 70 ans des gens vaccinés avec un groupe similaire de gens absolument non vaccinés mais vivant donc dans les mêmes conditions (d'exposition aux polluants, d'alimentation etc). Ce faisant, en ne faisant varier qu'un paramètre notable (le statut vaccinal), on pourrait comparer les taux d'allergies, de maladies auto-immunes, de cancers, de maladies neurodégénératives, toutes ces maladies qui sont un tel fardeau financier et qui sont la source de tant de souffrances pour les malades concernés et leurs familles.

 

Après de telles études, et après de telles études seulement, on pourrait commencer à pouvoir dire s'il est éthique, et scientifiquement et médicalement fondé, de recommander "la vaccination tout au long de la vie" comme continue de le répéter inlassablement la pub trompeuse de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui continue de repasser à la radio ces temps-ci. (Et personnellement, si nous détenions des études aussi sérieuses et solides qui attestent que les vaccins sont réellement si sûrs, nous en prendrions bien sûr acte.)

 

cages-a-bebes.jpg

 Vaccinomanie: prison idéologique & physique des bébés?

 

Nous avions posé, dans un esprit de responsabilité et de concertation et dans l'intérêt suprême des enfants, un certain nombre de questions à la direction médicale de l'ONE. Si vraiment ce que nous disons ci-dessus, preuves à l'appui, était factuellement faux,  POURQUOI diable ne fournissent-ils aucune réponse à ces questions très graves et sérieuses, et dont la légitimité à être un jour posées est tellement criante?? La raison, c'est parce qu'ils n'en ont aucune. Ils savent très bien qu'ils sont face à un problème de crédibilité majeur qui ne pourra aller qu'en empirant.

 

Tout simplement parce qu'ils ont trop menti. Ils ont trop tu et minimisé les risques vaccinaux et ont été jusqu'à nier des risques pourtant admis dans les notices par les fabricants eux-mêmes! Ainsi, le risque de sclérose en plaques (= "multiple sclerosis" en anglais) figure en toutes lettres dans la notice du vaccin Engerix B depuis 1995 au moins. Cette valence Engerix est incluse dans le vaccin "6 en 1" Infanrix Hexa. Que ce soit pour l'Engerix ou l'Infanrix Hexa, l'ONE déclare dans son Guide de Médecine Préventive édition 2011 qu'il n'existe aucune relation causale entre la sclérose en plaques et le vaccin contre l'hépatite B.

 

Il y a un peu plus d'un an maintenant, l'ONE osait déclarer dans la presse que:

 

"Pour la quasi-totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a pas de complication grave des vaccins." (cela doit en effet être pour cela que depuis 1986, les autorités américaines ont déjà versé plus de 2,5 milliards de dollars aux victimes, alors que 2/3 des plaintes sont rejetées d'emblée!)

 

« Jamais les vaccins n’entraînent les complications de la maladie contre laquelle ils protègent. » (cela doit être pour ça que la littérature médicale fait état par exemple de cas d'encéphalites non seulement après la rougeole mais aussi après le vaccin, ou encore de dégâts au foie et d'hépatites auto-immunes après des vaccins anti-hépatite B!!)

 

La conclusion à autant de mensonges, est peut-être celle donnée par Abraham Lincoln, ancien président des Etats-Unis, lorsqu'il disait:

 

"On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps."

 

"Au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la députée CDH Anne-Catherine Goffinet, donne ses pistes afin d'attirer les jeunes diplômés à l'ONE. Pour elle, il serait intéressant de réfléchir à la façon d'améliorer l'image et la visibilité de la médecine préventive ainsi que de faire valoir son importance dans la société où les inégalités sociales en termes de santé ne cessent de croître. "Nous pourrions imaginer un système de tutorat où un médecin plus expérimenté accueillerait le jeune diplômé au sein de l'ONE et l'aiderait à développer ses compétences, lui ferait découvrir son réseau, le conseillerait et lui transmettrait ses connaissances. Outre son aspect attractif, cette formule contribuerait à l'intégration du nouveau venu et renforcerait les liens dans l'équipe."

 

Peut-être Madame Goffinet devrait-elle s'interroger sur la mauvaise image de la médecine préventive qui a en réalité été tellement dévoyée et dénaturée pour n'être plus réduite qu'à la vaccinomanie qu'elle séduit de moins en moins dans un monde où, cependant, personne ne peut dire qu'il souhaite tomber malade. Dans ces conditions, son tutorat apparaît comme une solution aussi sérieuse à la crise de crédibilité que traverse l'ONE que le récent décret des autorités sur la rebaptisation des noms des congés scolaires ne solutionnera la baisse préoccupante de la qualité de notre enseignement!

 

Alors que "la maison brûle", des députés très éclairés ne pensent qu'à arroser les fleurs! Ils ne semblent pas conscients du caractère profondément désespérant et intellectuellement très rebutant d'une médecine de masse, faussement préventive et qui annihile en réalité les particularismes biologiques des individus pour les fondre dans un moule aussi restrictif qu' oppressant. Les 1000 médecins "plus expérimentés" que compte l'ONE sont-ils seulement au courant des dangers constamment tus et minimisés des vaccins qu'ils auront administrés pendant des années et si oui, auront-ils seulement la liberté d'en informer les jeunes diplômés sans les refroidir de facto avant de commencer dans ce genre de fonction??

 

Parmi les "compétences" à développer, l'obéissance au dogme vaccinal ne figurera-t-elle pas en bonne place, si pas en place numéro 1? Car quelle consultation ONE peut tourner sans médecin qui accepte de vacciner un enfant après l'autre? Si l'ONE oblige tous ces vaccins pour l'admission en crèches et qu'elle perd les médecins prêts à soumettre sans états d'âme autant d'enfants à pareilles exigences aussi hasardeuses, sa tyrannie va progressivement s'étioler. Et ça, l'ONE le sait. La vaccination est devenue une des pierres angulaires de l'ONE depuis la fin des années 80.

 

Pour le Dr Christian Tal-Schaller, la vaccination aveugle d'autant d'enfants est assez révélatrice du peu de cas fait de la santé des générations futures. C'est l'exemple même de l'anti-médecine:

 

"Cette inconscience des effets toxiques à moyen et long terme des vaccins est caractéristique de la vaccinologie. Comme presque toutes les études sont financées par les marchands de vaccins, comment voulez-vous obtenir des informations qui contrecarrent leurs intérêts? Et quels sont les partisans des vaccins qui se sont inquiétés du sort des générations futures? Ce qui compte, c'est de vendre le plus possible de vaccins au plus de gens possible, et le reste on s'en lave les mains! Cela fait penser à ces mafiosi napolitains qui ont enterré des tonnes de déchets toxiques dans les campagnes du sud de l'Italie sans réaliser que leurs enfants et petits enfants n'auront plus d'eau et d'aliments non pollués pendant des siècles!"

 

"La "médecine au pistolet vaccinal", cette médecine de masse qui traite tous les individus d'une manière uniforme est une véritable anti-médecine, qui ne tient aucun compte de l'état immunitaire de chaque personne, et impose à tous les mêmes produits et les mêmes doses, d'une manière tout à fait contestable tant sur le plan humain que sur le plan scientifique. Comme l'a écrit le journaliste médical Nicholas Regush: "J'appelle cela de la vaccinomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n'est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans un corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire, frise la criminalité."

 

Pour Sophie Pécriaux du parti socialiste, qui semble aussi éclairée sur les fausses solutions-miracles à apporter que sa collègue CDH Goffinet, "Il faut améliorer rapidement l'informatisation de l'ONE, notamment pour les prescriptions de vaccins. On prend là un retard important aussi pour la qualité de nos statistiques de santé."

 

Pendant ce temps-là, nos enfants, eux, s'ils pouvaient parler le diraient, ils ne rêvent que d'une seule chose: qu'on arrête de ne les considérer que comme des statistiques et des pelottes à aiguilles et surtout, surtout, comme des cobayes interchangeables, tous aptes à supporter les mêmes vaccins expérimentaux!!

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 22:00

Vers-l-avenir-7-mars-2013--UNE-.jpg

Dans le journal Vers l'Avenir du 7 mars dernier, on pouvait voir en Une le titre "Maltraitances à Ciney: horreur ou erreur?"

 

Dans cet article, on peut lire que se tient actuellement à Dinant le procès en correctionnelle d'une gardienne d'enfants, accusée d'avoir violenté plusieurs enfants dont elle avait la charge (8 enfants sur une vingtaine selon les dires du parquet et des parties civiles) dont un décès et un cas avec séquelles irréversibles. Le parquet requiert 10 ans de prison ferme et les parties civiles réclament son renvoi en assises.

 

L'avocat de Gwenaëlle (la gardienne) dit avoir "la conviction absolue de son innocence."

 

Sans préjuger de ce qui s'est réellement passé ni du verdict qui sera rendu, plusieurs éléments relatés dans l'article méritent évidemment qu'on s'y attarde:

 

- Le parquet déclare qu'ils ont "exploré toutes les possibilités"

 

- Selon la défense en revanche, "toutes les hypothèses n'ont pas été explorées" et notamment,  les effets secondaires de vaccins, dont on connaît le caractère éminemment tabou!

 

- Selon la défense, il y aurait des contradictions dans les expertises médicales; d'autres médecins auraient fourni un autre son de cloche quant à l'interprétation possible des signes constatés chez les enfants.

 

- L'article évoque la présence de pétéchies et de fractures qui seraient pour la défense un signe certain de maltraitance.

 

Considérations importantes:

 

a) Certains parents et gardiennes se sont déjà retrouvés condamnés à tort parce qu'il y avait une similitude entre les constatations autopsiques des enfants victimes de vaccins et ceux qui auraient été mécaniquement violentés (avec également présence de pétéchies et signes de fractures)

 

b) Aux USA, le cas d'Alan Yurko est, à cet égard, exemplaire. A peine son enfant de 10 semaines avait-il été vacciné, qu'il mourrut peu après. L'enfant présentait aussi des pétéchies caractéristiques et des signes de fractures. Alan Yurko fut condamné à la prison à vie puis finit par être libéré après 6 années de détention grâce à une réouverture de son cas et à une analyse plus approfondie par des médecins indépendants. Il s'est avéré que son enfant avait été victime d'effets retardés des vaccins.

 

c) Les pétéchies traduisent un phénomène hémorragique or des vaccins hexavalents (comme Infanrix hexa par exemple), ont déjà été associés par des médecins légistes, à des phénomènes d'oedèmes cérébraux mortels du nourrisson. Dans un tel phénomène, le sang "sort de son lit" au niveau des vaisseaux sanguins cérébraux. Les commandes neurovégétatives de base (respiration, rythme cardiaque etc) finissent par ne plus être assurées et la mort par asphyxie peut donc tout à fait se produire et tout aussi bien donner lieu à une telle observation de pétéchies. Les vaccins sont aussi associés à des thrombocytopénies, c'est à dire à une chute brutale et importante du taux de plaquettes sanguines suite à la réaction immunitaire. Or en cas de chute brutale des plaquettes, des pétéchies aussi, peuvent apparaître. La thrombocytopénie figure dans les notices de plusieurs vaccins.

 

d) La vaccination des enfants amoindrit leur taux de vitamine C. A la fin des années 50', des scientifiques ont montré que les rats vaccinés avec un vaccin contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, développement brutalement un scorbut pendant au moins 24 heures. Or ce qu'il faut savoir, c'est que contrairement à d'autres mammifères qui sont capables de synthétiser eux-mêmes une partie au moins de leurs apports en vitamine C, l'être humain est entièrement dépendant d'apports extérieurs. Le scorbut peut être associé à des fractures. Avec la multiplication des vaccins aux nombreux composants toxiques, comment s'étonner que cela puisse alors vider les maigres stocks de vitamine C des bébés d'aujourd'hui avec de funestes conséquences possibles? Bien sûr, les labos n'ont jamais été pressés d'analyser de tels évènements. Il faut savoir que la vitamine C fait partie de la catégorie des anti-oxydants. Or en cas de phénomènes inflammatoires, les anti-oxydants sont consommés par le corps en plus grande quantité. A cet égard, il faut savoir que l'étude Pourcyrous, publiée dans la revue médicale Pediatrics en 2007, a clairement montré que les vaccins les plus combinés (Infanrix + Prevenar) engendrent une élévation accrue des marqueurs inflammatoires comme la protéine C réactive, par rapport aux vaccins séparés (monovalents), preuve donc que ces vaccins n'ont pas la même réactogénicité que les vaccins séparés, contrairement à tout le baratin de l'ONE et consorts.

 

e) La question des autopsies. Vu le côté tabou des effets secondaires vaccinaux, il arrive en cas de décès que l'autopsie soit refusée. Parfois, elle est réalisée mais jamais, on ne conclut à son terme que les vaccins sont en cause ou ont pu jouer un quelconque rôle. Serait-ce parce que les vaccins ne sont réellement et miraculeusement (vu le nombre de doses et de décès) jamais en cause? Non bien sûr, c'est tout simplement parce qu'il n'y a aucun consensus ni recherche qui a permis de définir les critères autopsiques permettant de lier un décès à un ou des vaccins. En d'autres mots, à chaque autopsie qui sera réalisée, on affirmera (sauf éventuel cas d'anaphylaxie et encore) que le décès n'est pas lié à la vaccination. Il serait dès lors peut-être temps alors de retourner la question et de demander aux médecins légistes et aux autorités dites "compétentes" quels sont les critères nécessaires à réunir pour qu'une autopsie puisse conclure à l'implication des vaccins dans la ou les causes d'un décès?

 

f) Des documents confidentiels rédigés par les fabricants de vaccins eux-mêmes (GSK, Pfizer) avouent des accidents neurologiques et même le syndrome de l'enfant maltraité, qui est donc clairement repris dans la liste d'effets secondaires!

 

En effet, en page 19 du volumineux document confidentiel de GSK sur la pharmacovigilance de l'Infanrix hexa que nous avons publié en décembre dernier, il est indiqué en toutes lettres dans la liste des 825 effets secondaires listés par le fabricant:

 

" Child maltreatment syndrome" (syndrome de l'enfant maltraité).

 

Ainsi donc, 2 cas de syndrome de l'enfant maltraité ont été notifiés à GSK entre le 23 octobre 2009 et le 22octobre 2011. Ces cas ont été classés par GSK comme "non sérieux", ce qui est pour le moins étrange quand on sait les signes impressionnants et les conséquences souvent irréversibles d'un tel syndrome. Quand on sait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont recensés (et même parfois encore moins selon ce récent article écrit par un médecin français qui rappelait que seul 1effet secondaire grave de médicament sur 500 serait rapporté par les médecins! 

 

Si donc deux professionnels de santé ont pensé à rapporter cet effet au fabricant, combien de cas ont pu réellement survenir? Et combien de décès et de séquelles non recensés? 

 

Dans un autre document confidentiel (de Pfizer cette fois), on peut lire que la co-administration du vaccin Infanrix hexa et du vaccin Prevenar est associée à une multiplication par 3 du risque d'effet secondaire neurologique, alors que cela est pourtant officiellement recommandé dans le calendrier vaccinal que beaucoup de parents et de médecins crédules croient qu'il est bon de suivre à la lettre!

 

Pour toutes ces raisons, nous espérons que les carnets de vaccination de tous les enfants victimes ont été analysés en détail dans le cadre de la procédure (délai entre les doses de vaccins et les faits? associations de vaccins administrés?), mais il est hélas probable que non. Et c'est en tout cas dommage, pour l'objectivité du traitement de ce genre d'affaires dans laquelle les parents ont tout particulièrement besoin d'avoir un maximum de réponses, aussi précises et fiables que possible.

 

Il est bien clair qu'une majorité de parents ignorent tout à fait que les vaccins sont susceptibles dans certains cas de donner lieu à des lésions neurologiques si graves qu'elles peuvent prendre la forme à l'autopsie du syndrome du bébé secoué. Est-il vraiment dans l'intérêt des autorités qui recommandent toutes ces batteries de vaccins et de l'ONE dont les travailleurs les administrent à la chaîne, que ce genre d'informations arrivent aux oreilles des parents, par le biais éventuellement d'investigations judiciaires pointues et médiatisées???

 

Voici plusieurs articles extrêmement importants qui font état d'un lien possible entre vaccination et syndrome du bébé secoué:

 

Article du Dr Viera Scheibner, Docteur en sciences (PhD.) cfr à partir de la page 5.

 

Syndrome du bébé secoué (synthèse)

 

Syndrome du bébé secoué (Dr J. Mercola)

 

Syndrome du bébé secoué, un diagnostic abusif? (Dr A. Kalokerinos)

 

Bébés secoués & vaccins (Sylvie Simon)

 

Bébé Secoué & vaccins (Françoise Joët)

 

De dangereux vaccins peuvent provoquer les symptômes du bébé secoué 

  

L'affaire d'Alan Yurko

 

Affaires en justice où le syndrome du bébé secoué a été évoqué (mais pas les vaccins!)

 

 

"Petit progrès" à souligner du côté de la presse... ils ont osé évoquer le mot "vaccins" en lien avec cette triste affaire...

 

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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 15:45

Deux études montrent que, pendant la grossesse, une inflammation peut être liée aux vaccins et à l’autisme.

 

 

Jeffry John Aufderheide, 23 mars 2013.

 

Mère qui embresse enfant vactruth

 

 

L’inflammation est un bio-marqueur commun aux enfants autistes.

 

Si vous êtes enceinte, votre médecin pourrait représenter la plus grande menace pour le développement du cerveau de votre enfant.

 

Permettez que je m’explique.

 

Au cours de la grossesse, votre réponse immunitaire est plus souvent sujette à des inflammations systémiques que quand vous n’êtes pas enceinte. Ce type de réponse peut être nocive pour le fœtus en développement et être une conséquence involontaire du corps qui cherche à se protéger tout au cours de la grossesse.

 

Par exemple, les scientifiques savant que les femmes infectées par la grippe au début de leur grossesse sont beaucoup plus susceptibles de donner naissance à un enfant  atteint de schizophrénie, de paralysie cérébrale et d’autisme. Autrefois, on pensait que c’était la mère qui passait le virus à l’enfant.

 

On sait maintenant que c’est la réponse immunitaire inflammatoire de la mère à une infection virale ou bactérienne qui peut endommager le cerveau du bébé. Or, c’est précisément ici que se trouve le piège souvent ignoré par les médecins et les services de santé.

 

Les données du chercheur Paul Patterson de Caltech montrent que, chez la souris, la stimulation du système immunitaire sans qu’intervienne un agent infectieux peut produire des résultats similaires. [1]

 

Cela veut-il dire que les médecins peuvent continuer à prétendre que les 25 microgrammes de mercure qui se trouvent dans chaque vaccin contre la grippe sont sans danger ?

 

Quoi qu’il en soit de nombreux médecins, organisations professionnelles et gouvernementales continuent de recommander les vaccins antigrippe à toutes les femmes enceintes. [2]

 

Ce que je veux montrer c’est que la folle politique vaccinale gouvernementale fait courir des risques à toutes les femmes enceintes.

 

Avant que je ne vous explique comment les vaccins peuvent provoquer des inflammations chez les femmes enceintes, je pense qu’il est sage de vous faire part du conseil de l’économiste Milton Friedman qui a dit : « Une des plus gaves erreurs que l’on puisse commettre est de juger les politiques et les programmes par les intentions plutôt que par les résultats. »

 

Une étude récente relie l’autisme à l’inflammation.

 

Une étude récente de janvier 2013 et financée par l’Institut National de Santé (NIH) a pu montrer qu’une inflammation chez la mère pendant les premiers temps de la grossesse augmentait les risques de développer l’autisme. [3]

 

Les chercheurs qui ont réalisé cette étude ont pu examiner les archives d’une banque finlandaise de sérums (FMC) - une collection d’échantillons de sérums recueillis depuis 1983.

En Finlande, le sérum est prélevé au cours du premier trimestre et au début du second chez plus de 98% des femmes enceintes. [3]

 

Les scientifiques ont analysé 677 cas d’autisme parmi 1,6 million d’échantillons. Ils ont cherché un marqueur reconnu appelé « protéine C-réactive » (CRP). Des niveaux élevés de CRP peuvent être l’indication que le corps réagit à une infection bactérienne ou virale. [3]

 

Les résultats de l’étude sont très clairs : Des niveaux élevés de CRP maternels représentent un risque accru de 80% d’autisme infantile. Les données montrent que plus le niveau de CRP chez la mère est élevé, plus grand est le risque d’autisme chez l’enfant.

 

Quelle action peuvent avoir les vaccins sur une femme enceinte ?

 

Les vaccins provoquent de l’inflammation chez les femmes enceintes.

 

Etant donné ce que vous venez de lire dans les paragraphes qui précèdent, ce que vous allez lire maintenant pourrait vous mettre en colère.

 

En 2011, une étude a mesuré les niveaux de réactions inflammatoires chez les femmes enceintes qui avaient reçu le vaccin contre la grippe. Des échantillons ont été prélevés à un jour, à deux jours et une semaine après l’injection. [4]

 

Voici comment les chercheurs ont expliqué ce qu’ils ont trouvé :

 

"Une augmentation significative des taux de CRP (protéine C-réactive) ont été observés à un et deux jours après la vaccination (ps<05). Un effet similaire a été observé pour le TNF-a, pour lequel une augmentation moins de deux jours après la vaccination est proche d’une valeur statistiquement significative (p=06). Une grande variété dans l’ampleur des réponses a été observée. Les coefficients de variation à deux jours varient de 122% à 728%,…"

 

Les chercheurs ont conclu :

 

« Comme les effets indésirables sur la santé périnatale dont la pré-éclampsie et la naissance prématurée comportent une composante inflammatoire, la tendance à une plus grande réponse inflammatoire aux déclencheurs immunitaires peut faire prédire un risque d’effets défavorables… d’autres recherches sont nécessaires pour confirmer qu’une  inflammation modérée induite par la vaccination est sans danger pendant la grossesse. »

 

Ce dernier paragraphe est un aveu que les vaccins peuvent interférer avec le système immunitaire de la mère et probablement modifier l’issue de la grossesse !

 

Le fait est que les « experts » ne savent pas si les vaccins sont susceptibles de provoquer des dommages au cerveau des bébés !

 

Les enfants qui ont fait partie de cette étude ont aujourd’hui deux ou trois ans. Ne serait-il pas hautement souhaitable de pouvoir suivre ces enfants pour se rendre compte combien parmi eux sont devenus autistes ou ont été retardés dans les différentes étapes de leur développement ?

 

Si j’avais été la maman de l’un de ces enfants qui ont participé à l’étude, je voudrais absolument savoir si l’inflammation induite par le vaccin a pu avoir un impact sur le développement du cerveau de mon enfant. La tragédie c’est que, même si effectivement on pouvait rassembler les preuves que le vaccin ait endommagé la santé de mon enfant, rien ne pourrait se passer vu que les lois actuelles protègent totalement les fabricants de vaccins et les médecins en les faisant échapper à toute poursuite.

 

Ceci devrait représenter un fameux signal pour tous !

 

Conclusion

 

Nous ne voulons pas dire ici que ce sont nécessairement les virus et les bactéries qui sont susceptibles de provoquer des dommages aux fœtus ; il s’agit plutôt de la réponse inflammatoire de la mère. Il est cependant bien établi que les vaccins peuvent provoquer une inflammation systémique qui est susceptible de causer des dommages au cerveau de l’enfant.

 

Il ne s’agit surtout pas de perdre de vue qu’1 enfant sur 50 souffre aujourd’hui d’autisme !

 

Les médecins et les infirmières ne manqueront pas de vous rassurer en vous disant que les vaccins sont sans danger. Ces gens ont, en effet, la mauvaise habitude de faire comme si tout un chacun  possédait le même statut sanitaire et le même héritage génétique.

 

Le fait est qu’ils ne possèdent aucun moyen de savoir si l’injection de vaccins peut, à long terme, endommager le cerveau d’un enfant.

 

En tant que parents responsables et concernés, il vous appartient de consulter au plus tôt le schéma de vaccination. Il s’agit de vérifier le nombre de vaccins que votre médecin se propose d’injecter à votre enfant. Il est aussi indispensable de vérifier ce que contiennent ces différents vaccins. En dernier lieu et en connaissance de cause, prenez votre décision sur une information la plus complète possible et non en fonction des peurs qu’aura pu vous instiller votre médecin.

 

Références

  1. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3135697/
  2. http://www2.aap.org/immunization/illnesses/flu/influenza.html
  3. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23337946
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3204610/

 

Source: Vactruth

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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 19:30

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Nous ne reviendrons pas en détail sur ce premier article lénifiant de cet universitaire poitevin sur les prétendues réticences irrationnelles aux vaccins car nous l'avions déjà largement commenté ICI. (à ce propos, la Ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, avait aussi déclaré que l'appel à des normes plus strictes en matière électromagnétique relevait aussi de "peurs irrationnelles". Un avis d'ailleurs partagé par la sainte et vénérable Académie de Médecine qui avait encore adopté à l'unanimité, six mois avant l'interdiction définitive de l'amiante, un rapport rassurant et n'allant pas du tout dans le sens d'une interdiction)

 

Cet universitaire -dont l'éthique apparaîtra pour ce qu'elle est puisqu'il a la légèreté d'écrire aux gens de se vacciner ALORS qu'il n'assumera cependant pas la moindre responsabilité en cas d'effets secondaires - entend nous faire passer pour des gens en dehors du champ de la Science et de l'éthique.

 

Cette personne se targue de défendre la qualité de l'argumentation et la solidité des preuves.

 

Pourtant, comme nous allons le voir au travers de cet article d’information plus général, les affirmations de l'auteur sont inconsistantes et surtout, elles regorgent de contradictions dont il ne semble même pas se rendre compte.

 

Raccourcis et idées théoriques qui collent cependant peu avec la réalité des faits, sont les maîtres mots de sa réponse.

 

Evaluation scientifique

 

L'auteur du blog Sham & Science nous décrit sur son site ce que devrait être le fonctionnement de la Science. Ses propos sont théoriques donc mais ne se trouvent  hélas PAS systématiquement confirmés dans la réalité, loin s'en faut! C'est un petit peu comme si vous lisiez par exemple dans un cours de journalisme que la presse est indépendante, qu'il s'agit du "4° pouvoir" alors que les gens lucides et intelligents savent tous que la presse est muselée et ne relargue que des informations ultra épurées sur toutes une série de scandales dans divers domaines.

 

Pour Sham & Science, si on résume le cadre évoqué, on a :

 

- Les revues à comités de lecture (peer reviewed/revus par les pairs) ce qui constitue un garde-fou et "une première sélection"

 

- Travail de confirmation, ou invalidation par la communauté scientifique pour dégager un consensus

 

- Les revues les plus prestigieuses seraient les plus rigoureuses au niveau de la sélection.

 

Dans la réalité cependant, on a :

 

- Des grandes revues qui ne sont pas indépendantes. Ainsi par exemple, des revues comme le British Medical Journal et le Lancet ont "des partenariats d'éducation continue" avec Merck, grande multinationale pharmaceutique et aussi, producteur mondial de vaccins...

 

- La notion de "consensus scientifique" est fragile, complexe et n'est pas en soi une garantie car la Science n'est PAS imperméable aux intérêts financiers qui la sous-tendent.

 

Ainsi, ce n'est pas toujours ceux qui sont majoritaires qui ont forcément raison. Pour l'amiante, la majorité des scientifiques ont eu tort pendant des décennies avant de finalement reconnaître TRES TARDIVEMENT la dangerosité de l'amiante. L'Académie française de Médecine par exemple avait encore adopté à l'unanimité six mois avant l'interdiction définitive de l'amiante un rapport rassurant qui ne recommandait pas du tout son interdiction. Et là, encore, il est plus que probable qu'ils se réfugiaient derrière "le consensus des pairs". Pour les statines, une majorité de médecins défendent bec et ongles leur usage et une minorité (dont le Dr de Lorgeril) pointent des dangers minimisés et une utilité usurpée. Pareil pour les mammographies systématiques de dépistage pour lesquelles là aussi, le vent commence à tourner et une certaine dissidence commence à se faire entendre. A ce propos rappelons qu'1 million de femmes américaines sont inutilement traitées ou mutilées chaque année en raison de faux positifs (avec toute l'angoisse qui va de pair).

 

Les officiels et les pharmas ont la fâcheuse tendance à utiliser l'argument du nombre d'études défendant une thèse comme une preuve en soi que l'hypothèse défendue est la bonne. Le public ne doit toutefois jamais oublier que la réalisation d'études est tellement coûteuse que seules les firmes pharmaceutiques peuvent se le permettre ou presque (et ce n'est pas avec des Etats de plus en plus endettés et désargentés qu'on va favoriser une recherche publique propre et indépendante). Dès lors, à chaque mise en cause de leurs produits au travers de telle ou telle publication, ces firmes sont commercialement obligées de financer à la hâte et en nombre diverses études destinées à contrer les résultats des études négatives et sauver ainsi des parts de marché gravement menacées. Pour cela, les pharmas ont un carnet d'adresses bien rempli et savent très bien à quel scientifique en vue s'adresser pour qu'il conçoive une méthodologie d'étude la plus apte à permettre de démontrer ce qui arrange la firme en cause. La firme va donc exhiber ces "résultats rassurants" via ses symposiums, via ses leaders d'opinion et aussi bien sûr fournir ces données aux autorités qui seront bien entendu ravies de les utiliser puisque cela leur évitera des problèmes de responsabilité et de remise en cause de leurs recommandations vaccinales ou médicamenteuses ou encore de leurs politiques de remboursement.

   

Les revues les plus prestigieuses sont en réalité les revues les plus liées aux grandes firmes pharmaceutiques. La sévérité de la sélection varie donc aussi et surtout (bien que pas exclusivement bien sûr) au gré des intérêts commerciaux en jeu.

 

C'est ainsi que les grandes études des fabricants de vaccins sont toujours publiées dans ces grandes revues, bien que leur méthodologie soit loin d'être adaptée ou scientifiquement valide. Pour les vaccins par exemple, il n'est jamais question de groupes placebos véritables qui n'auraient jamais reçu le moindre vaccin dans leur vie, de façon à pouvoir éviter de graves biais. Au contraire, on donne au faux groupe témoin soit un ou des autres vaccins soit une substance qui est toxique en elle-même (et donc non neutre, il s'agit donc bien d'un faux placebo). Ce faisant, on gonfle artificiellement les effets secondaires dans ce faux groupe témoin, et on prétend alors avec une facilité déconcertante que le nouveau vaccin testé à "un profil de sécurité acceptable par rapport au placebo". Et tout cela dans des revues prestigieuses... quelle sécurité donc, pour les consommateurs, il n'y a vraiment pas à dire! Et les médecins n'y voient bien sûr que du feu pour l'immense majorité d'entre eux puisqu'ils lisent dans ces études ou plus généralement dans les comptes-rendus (qui sont loin de toujours refléter la teneur exacte des résultats de l'étude) le mot "placebo". Seul un nombre infime des médecins sait que les placebos sont faux dans toutes les études officielles de vaccins. En fait, on ne recourt à un vrai placebo QUE pour évaluer l'efficacité du vaccin. Mais si on faisait ça pour la tolérance des vaccins (ce qui serait "de la bonne Science", bien rigoureuse), les fabricants savent que leurs produits ne seraient jamais approuvés. On se trouve donc dans un jeu de dupe. Et une majorité de gens croient encore que cette pseudo Science est "la vraie Science", impressionnés par les labels "Lancet", "BMJ", comme un petit enfant serait impressionné par le strass et les paillettes d'un spectacle de cabaret.

 

Les revues les plus prestigieuses sont aussi les plus prisées par les "auteurs fantômes", des nègres payés par l'industrie pour rédiger des publications qui seront ensuite signées par des noms de médecins ou professeurs célèbres et influents. La raison en est que l'industrie sait bien que "cela paraît plus sérieux" quand une étude est publiée dans une grande revue plutôt qu'une petite. 

  

Tous les auteurs de sujets scientifiquement très sensibles savent très bien qu'ils ont plus de chance d'être publiés dans de plus petites revues, moins prisées par les puissants lobbys pharmaceutiques.

 

La véritable "fatwa scientifique" à l'encontre de Gilles-Eric Seralini dont la méthodologie était pourtant nettement plus pertinente et solide en termes de durée d'évaluation, montre bien que la Science n'est pas aussi neutre et objective que tente de le faire croire de façon affligeante et déconnectée du réel cet auteur poitevin.

 

Dans une interview au magazine Rebelle Santé, Paul Deheuvels, membre de l'Académie des Sciences et spécialiste de l'analyse statistique, a d'ailleurs très bien expliqué dans quelles conditions l'Académie des Sciences s'y est prise pour publier son communiqué à ce sujet, une méthode qui était en tout point opposée à celle d'une concertation scientifique normale et à ce que décrit Sham & Science (qui a dû louper sa vocation d'auteur de contes de fée & autres belles histoires)

 

Le Dr J. B Classen a quant à lui publié sur le risque de diabète de type 1 lié selon lui à la vaccination anti-hépatite B: une hausse de 60% tout de même constatée après la vaccination des jeunes néo-zélandais avec un taux de couverture de 70%. Fort logiquement, il a donc dit que d'autres études supplémentaires étaient nécessaires et qu'il y avait sûrement un problème avec ce vaccin. Plutôt que d'essayer de comprendre, les officiels ont surtout tout fait pour étouffer ce signal d'alarme. Le Dr Classen a osé parler de ses doutes à la télévision... quel crime! C'est alors qu'il fut sévèrement grondé (comme si c'était un enfant) par les grands pontes de la vaccination dont les conflits d'intérêts sont légions. Voici ce qu'il raconte de ce qui lui est arrivé (et qui figure notamment dans le livre "La santé publique en otage, les scandales du vaccin contre l'hépatite B", de Eric Giacometti, aux éditions Albin Michel.):

 

« En 1996, j'ai publié dans le New Zealand Medical Journal une étude qui montrait une augmentation de 60 % des diabètes chez les enfants après la campagne de vaccination massive entre 1988 et 1991. Le diabète est une maladie auto-immune qui peut avoir plusieurs causes et qui est bien connue des spécialistes de la sécurité des vaccins. À l'époque, je voulais seulement lancer un signal d'alerte et que les pouvoirs publics lancent des études sur ce sujet.

 

« Un rapport officiel est paru deux ans plus tard pour mettre en pièce mes travaux. Selon ce texte, aucun autre médecin n'avait trouvé les mêmes tendances. Mais mes véritables ennuis ont commencé après mon passage à la télévision dans une émission d'ABC. J'ai été convoqué par le docteur Neal Halsey, l'une des plus grosses huiles du milieu de la vaccination, professeur au John Hopkins Hospital, responsable de l'association des pédiatres américains, membre du Comité national des vaccinations. En guise d'entretien, c'était un procès en bonne et due forme. Je me suis retrouvé seul face à une assemblée de médecins, du NIH, du CDC, de la FDA, qui m'ont attaqué violemment, me reprochant d'avoir voulu affoler la population sans fondements. Selon eux, je risquais de détruire la campagne de vaccination alors que mes travaux avaient été réfutés. Exprimer des inquiétudes dans un média grand public sur un vaccin était inqualifiable. Depuis, j'ai été marginalisé comme opposant aux vaccins, un comble alors que mes recherches n'ont comme seul but que de renforcer leur sécurité ! Or, il existe un véritable problème avec ce vaccin et le public est en droit d'exiger une plus grande transparence, mais il est clair que cette affaire met en jeu des intérêts énormes. Si on ne trouve rien, c'est surtout parce qu'on ne veut rien trouver. »

 

Le Pr Tardieu a été pour sa part "interdit de conférence de presse" (Libération, 14 octobre 2008) pour avoir osé montrer dans son étude, dans un sous-groupe plus exactement, que le risque de sclérose en plaques était plus grand chez les enfants qui avaient reçu, outre tous les vaccins recommandés, le vaccin anti-hépatite B Engerix B.

 

Le sujet du vaccin anti-hépatite B est si sensible que l'étude conjointe Fourrier-Costagliola qui avait objectivé un nombre de cas de scléroses en plaques supérieur à ce qui était attendu entre 94 et 96 et qui avait été reconnue comme significative et valable par l'Afssaps en 2000, était subitement dédoublée pour devenir non significative deux ans plus tard avec une Afssaps qui prétendait alors qu'aucune étude à ce stade n'avait montré le moindre risque...

  

Le BA-ba de la Science: parler en connaissance de cause et faire primer les faits sur la théorie.

 

On pourrait s'attendre à ce que la Science (la vraie) garantisse un discours rationnel et objectif aux prétentions vérifiées. Pourtant, les tenants d'une pseudo science appelée "vaccinologie" ne se lassent jamais de nous répéter que "les bénéfices des vaccins dépassent tous les risques possibles" ALORS qu'ils n'en ont en réalité aucune idée PUISQU'ils n'ont tout simplement pas osé employer une méthodologie stricte leur permettant d'aboutir à de telles conclusions.

 

Par exemple, si un effet secondaire survient un an après un vaccin, les officiels vont d'office dire que "c'est trop longtemps après" et donc (on voit bien là le glissement ANTI-scientifique!) "cela ne peut pas être lié au vaccin". Continuons donc à vacciner gaiement !

 

Pourtant, il n'y a pas d'étude officielle qui évalue les effets secondaires de vaccins sur un nombre suffisant de mois et d'années! Les propos de ces gens qui se targuent d'être scientifiques ne sont donc que du vent. Ils auront donc parlé, pour reprendre les propos de Lafontaine, aux dépens de ceux qui les auront écoutés et crus!

 

Politiquement correct ou scientifiquement correct?

 

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Compte tenu des enjeux financiers, il s'agit de pouvoir répondre du tac au tac aux empêcheurs de vacciner en rond, et c'est ainsi que les victimes de vaccins s'entendent inlassablement dire (sauf rares exceptions) que leurs maux ne sont jamais liés à un quelconque vaccin.

 

Un membre de l'Académie française de Médecine a par exemple indiqué que pour pouvoir reconnaître une causalité, il faut deux choses: une hausse des cas constatée sur le plan épidémiologique et deuxio, un mécanisme physiopathologique explicatif.

 

Problème: les hausses des cas, même lorsqu'elles sont patentes, peuvent être maquillées (comme ce fut le cas avec la sclérose en plaques, malgré des chiffres éloquents lorsqu'on les reprend année par année); quant au mécanisme physiopathologique, il est loin d'être toujours élucidé et souvent, il n'y a pas de volonté à cela, surtout quand c'est un vaccin qui est en cause, puisque par définition, selon l'establishment, un vaccin fait toujours plus de bien que de tort!

 

Avec l'aluminium des vaccins et l'affaire de la myofasciite, on a bien pu constater les réticences des officiels à financer des recherches explicatives sur la toxicité d'une telle substance. Et pendant ce temps, les effets secondaires continuent de se produire, que les experts sachent ou non pourquoi.

 

Et lorsqu'une personne est victime d'effets secondaires de vaccins, on attend systématiquement d'elle qu'elle prouve de façon indubitable une causalité avec le vaccin. Autre problème à cet égard et alors qu'on exige que l'imputabilité soit établie, il s'avère en réalité, comme on pouvait encore le lire dans la Revue du Praticien en novembre 2011, "qu'il n'y a pas de consensus sur les éléments chronologiques et sémiologiques de l'imputabilité d'un vaccin dans la survenue d'un effet indésirable." En d'autres mots: on exige l'impossible de la part des victimes en jouant sur le flou artistique volontairement entretenu à cet égard, enjeux commerciaux obligent. Exactement comme on favorise les vaccins pédiatriques combinés qu'on prétend "tout aussi sûrs que les autres" mais au sujet desquels, les autorités affirment cependant sans complexe qu'ils ne permettent pas du tout d'identifier la ou les valences en causes en cas d'effet secondaire! 

 

Ainsi, quand les grands experts adoubés par les Ministères et autres comités européens ou mondiaux, affirment que les vaccins ne sont pas en cause, on peut dire qu'ils substituent le politiquement correct au scientifiquement correct (au niveau méthodologique) et qu'ils transforment en consensus, ce qui n'a été ni étudié et encore moins établi.

 

Les conflits d'intérêts, véritable gangrène de la Science

 

Les conflits d'intérêts sont un véritable fléau. Par commodité et opportunisme, les experts concernés ainsi que les autorités qui les acceptent, ont beau jeu de prétendre que ce problème se règle par "la transparence" et la simple divulgation des conflits d'intérêts. Si cette condition de publicité des conflits est évidemment indispensable, elle n'est en revanche pas du tout suffisante et ne permet pas en elle-même d'assurer une "Science propre". Les conflits d'intérêts interfèrent avec le jugement clinique des praticiens concernés et nuisent à l'intérêt des patients. Les déclarer n'annihile pas leurs conséquences néfastes en termes de santé publique. Le pseudo argument très confortable qui consiste à dire qu' "on n'est pas un bon expert si on ne travaille pas avec les pharmas" est gros comme une maison et sert surtout à maintenir le statu quo.

 

Les conflits d'intérêts sont hélas partout en médecine et dans le domaine scientifique: formation des médecins, organisation de la formation continue (symposium etc.), grandes revues médicales qui ont des partenariats avec Big Pharma, leaders d'opinion, etc.

 

Un système aussi très prégnant est celui des "portes tournantes" (revolving doors), il consiste à passer d'une instance dite "publique" au monde privé des entreprises commerciales et vice-versa, permettant ainsi une influence accrue sur la législation et le marketing des firmes concernées.

 

Les exemples sont innombrables. On peut par exemple citer Thomas Lönngren, ancien directeur de l'Agence Européenne des médicaments qui travaille à présent dans une société de lobbying qui aide les pharmas à décrocher les autorisations de mise sur le marché (mais lui, il travaillait même dans cette société en étant encore en poste à l'EMEA!). Ou encore, le Dr Julie Gerberding, ancienne responsable du Centre de Contrôle des Maladies des USA (CDC), qui est à présent à la tête de la division Vaccins de la firme Merck:

 

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Affaire Wakefield, vaccins et autisme

 

L'affaire Wakefield comporte beaucoup de non dits et de confusion. Les médias n'ont pas indiqué au public qu'un juge britannique a blanchi le collègue de Wakefield, co-auteur de la publication contestée, le Pr Walker-Smith. Pas plus que ce que le juge a estimé et dit, à savoir qu'il y avait eu une véritable chasse aux sorcières à l'encontre de ces chercheurs et que les auditions du General Medical Council (l'équivalent de notre Ordre des Médecins) avaient été bâclées. Les médias n'ont pas non plus informé le public que le Dr Wakefield avait introduit une plainte en diffamation contre Brian Deer, Fiona Godlee et le British Medical Journal, estimant avoir injustement et sans fondement été accusé de fraude.

 

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La publication contestée de Wakefield (cosignée par une dizaine d’autres auteurs) date de 1998. Elle avait alors passé l'épreuve du comité de lecture et avait été analysée par les pairs du Lancet qui n'avaient alors pas estimé que la méthodologie était médiocre au point de la recaler!! Sham & Science se contredit donc lamentablement. D'un côté il affirme que les études mentionnées ne valent rien ou si peu parce qu'elles n'auraient pas fait l'objet d'une revue par les pairs avant publication et d'un autre, au seul motif que la publication de Wakefield a été retirée, il en oublie qu'elle avait pourtant passé avec succès une telle sélection! Un peu facile donc...

 

La publication en question a été retirée 12 après, en 2010. Drôle d'affaire que cela soit survenu aussi tardivement pour une prétendue fraude aussi criante! La vérité, c'est que la publication de cette étude avait enclenché une controverse féroce DES LE DEBUT, comme à chaque fois que la moindre étude est susceptible d'entacher l'image des vaccinations. Seulement voilà, Wakefield avait fait une conférence de presse précoce et il avait commis le crime de lèse majesté de s'adresser directement au public, une pratique très peu appréciée de l'establishment scientifico-commercial qui y voyait alors un danger supplémentaire.

  

Les conclusions de cette étude de Wakefield étaient qu'ils avaient "identifié des désordres gastro-intestinaux ainsi qu'une régression du développement chez des enfants préalablement normaux et que ces constatations étaient temporellement associées avec des facteurs environnementaux." Les auteurs estimaient alors logiquement  qu'il fallait poursuivre les recherches. Si ces médecins ont objectivé des lésions au niveau des tissus intestinaux des enfants autistes et qu'ils ont retrouvé localement le virus vaccinal de la rougeole, il était licite qu'ils puissent envisager le virus vaccinal comme possible cause dans la genèse de tels dégâts. Il est facile de prétendre après coup que ce virus n'aurait pas été retrouvé ! Comment se fait-il alors que ces résultats aient été reproduits par d'autres équipes de chercheurs non contestés? Selon Wakefield, dans 5 autres pays très précisément.

 

Une étude récente, parue dans Plos One, a montré aussi des lésions des tissus intestinaux en lien avec des troubles du spectre autistique. Dans le journal Le Monde il y a quelques mois, on pouvait lire l'article "La flore intestinale joue avec notre mental.". On pouvait notamment lire: « De récentes expériences chez la souris apportent un nouvel éclairage sur l'implication du microbiote intestinal dans plusieurs pathologies humaines non digestives, dont certaines en lien avec le fonctionnement cérébral. ».

 

Etait-il donc si fou d'envisager que les vaccins puissent interférer avec le métabolisme et l’intégrité de l’intestin au point de pouvoir avoir une influence neurologique? Ne dit-on pas que l'intestin est "le deuxième cerveau"?

 

Mais lorsqu'on prend connaissance des méthodes de dissimulation délibérées que les membres du Comité britannique des vaccinations (JCVI) ont mises en œuvre pour masquer à tout prix au public les risques neurologiques avérés de plusieurs vaccins du programme national, comment s'étonner de la véritable fatwa scientifique dont a été objet Wakefield??

 

Si on ne trouve rien, c'est surtout parce qu'on ne veut rien trouver, dit à très juste titre le Dr Classen. C'est ici encore plus vrai que jamais. Le Dr Bernadine Healy, ancienne directrice du prestigieux National Institute of Health (NIH) ne disait pas autre chose sur la chaîne télé CBS en 2008. Elle y déclarait en effet:

 

Dr B. Healy

"Je pense qu'il est temps aujourd'hui d'investiguer s'il existe ou non des groupes plus susceptibles de développer des effets secondaires  suite à des associations de vaccins, à un vaccin particulier ou à un composant donné, que cela s'explique par une prédisposition génétique ou métabolique ou autre. On a des outils aujourd'hui qu'on n'avait pas il y a dix ans, on peut identifier aujourd'hui certains groupes d'enfants qui sont beaucoup plus à risques d'effets secondaires de vaccins, pour lesquels on pourrait modifier le schéma vaccinal ou ne pas donner certains vaccins. [...] On ne peut pas dire qu'il n'y a pas d'évidence causale entre l'autisme et les vaccins par exemple. Les officiels de santé ont trop vite écarté les hypothèses de causalité sans études scientifiques suffisantes pour examiner cette possibilité. Je pense qu'ils ont trop vite écarté des études de sécurité chez l'animal, chez les primates et même chez la souris qui démontrent certains soucis de sécurité pour certains vaccins. Un rapport de l'Institute of Médecine (IOM) datant de 2004 a dit "Ne creusez pas l'hypothèse d'une prédisposition/susceptibilité accrue aux effets secondaires des vaccins." La raison pour laquelle ils ont conclu ainsi c'est qu'ils craignaient que s'ils identifiaient ces groupes, qu'ils soient vastes ou non, cela effraierait le public et le détournerait des vaccins. [...] C'est l'obligation de ceux qui délivrent ces vaccins de le faire d'une manière responsable. Je crois que vous ne pouvez pas tourner le dos à la démarche scientifique parce que vous avez tout simplement peur de ce que vous allez trouver.[...] Les études de population ne testent pas la  causalité, elles évaluent les associations. Pour évaluer et investiguer la causalité, vous devez faire des recherches de laboratoire sur animaux. [...] Le fait qu'il y ait des inquiétudes et que vous ne voulez pas savoir qui fait partie des groupes à risque accru d'effets secondaires vaccinaux est très décevant à mes yeux. Si vous savez qu'il existe des groupes à risques, vous pouvez sauver ces enfants.[...] Si vous regardez les données scientifiques, les recherches qui ont été faites sur les animaux, si vous regardez aussi plusieurs cas individuels et si vous regardez les preuves qu'il n'y aurait pas de lien, ce que j'ai envie de répondre à cela, c'est que "l'on n'a pas répondu à la question (du lien possible entre autisme et vaccination)."

 

Non seulement les officiels ne veulent pas savoir mais en plus, ils nient même à priori que des mécanismes différents puissent aboutir au même genre de maladies. Ainsi, les officiels vont jouer du fait que plusieurs pistes vaccinales puissent aboutir au même genre de troubles. Par exemple, si le mercure est impliqué dans des problèmes neurologiques, ils ne comprennent pas que l'aluminium puisse par exemple l'être aussi. De même qu'un vaccin comme le ROR. Normal, puisque tous ces éléments mettent à mal leur traditionnel baratin sur les effets secondaires rarissimes de vaccins, qui se limitent la plupart du temps à une simple douleur ou rougeur au point d'injection.

 

Wakefield avait aussi donné son avis sur les cocktails de vaccins, il avait dit que selon lui, il était plus sûr et plus rationnel pour évaluer les risques de ne recourir qu'à des monovaccins plutôt qu'à des combinaisons (comme le ROR- 3 valences: rougeole, oreillons, rubéole). Cela aussi, c'était tout bonnement imbuvable et impardonnable aux yeux des autorités qui ne cessent de promouvoir les combinaisons vaccinales les plus sophistiquées qui sont une aubaine autant pour elles que pour les fabricants dont la responsabilité ne peut ainsi jamais médiatiquement être mise en cause car on peut ainsi toujours prétendre en dernier recours "qu'on ne sait pas quelle est la ou les valences en cause" et qu'ainsi, il ne faut surtout pas jeter le bébé (vaccinal) avec l'eau du bain (toutes leurs victimes)!!

 

Brian Deer, le journaliste du Sunday Times qui a fait de Wakefield sa bête noire, a déclaré que Wakefield avait introduit un brevet en faveur d'un vaccin monovalent contre la rougeole. Il a exhibé ce fait comme si ça "expliquait" que les résultats obtenus par Wakefield et son équipe ne soient pas conformes aux intérêts des firmes pharmaceutiques et au souhait des autorités qui ont aveuglément recommandé leur usage généralisé. Ce dépôt de brevet est postérieur à la publication des travaux de Wakefield. Et c'est plutôt le signe que Wakefield n'était pas anti-vaccins du tout, mais qu'il avait à cœur de proposer des solutions sur base des premiers indices qu'il avait obtenu. Wakefield déclarait d'ailleurs en 2002 dans le Sunday Herald à ce sujet: « Ce qui a précipité la crise, c’est le retrait des monovaccins, le retrait de la possibilité de choisir, et c’est cela qui a causé cette fureur- parce que les médecins, les « gourous », traitent le public comme une masse de gens simples d’esprit, incapables de prendre une décision informée pour eux-mêmes. »

 

Que l'hôpital où travaillait Wakefield ait reçu des subsides pour les recherches menées dans le cadre d'une expertise judiciaire, constitue pour l'establishment un effroyable conflit d'intérêts. Mais quand il s'agit du Dr Paul Offit, le célèbre pédiatre américain membre du Comité des Vaccinations (qui s'est fait connaître en affirmant qu'on pouvait sans problème donner 10 000 vaccins le même jour à un enfant) et qui a pourtant son nom sur le brevet d'un vaccin contre le rotavirus qui l'a rendu riche et qui est recommandé à tous les enfants, là ça ne pose plus aucun problème éthique et la question des conflits d'intérêts ne se pose bien sûr jamais aux yeux de ses nombreux disciples!! Quel étrange deux, poids deux mesures donc...

 

D'autant que, dans l'affaire Wakefield, il y a aussi un enchaînement remarquable de conflits d'intérêts trop peu médiatisés de type "portes tournantes":

 

« On peut s’étonner de l’opiniâtreté du journal à déconsidérer le Dr Wakefield si l’on ignore que Murdoch et son fils James ont des liens très étroits avec les laboratoires pharmaceutiques et que James Murdoch fait partie de la direction du groupe GlaxoSmithKline, l’un des fabricants du ROR (cf. Financial Times, 2 février 2009).» écrit Sylvie Simon sur son site.

 

Or c'est précisément le magnat britannique Murdoch qui détient le Sunday Times pour lequel Deer a écrit.

 

Autre exemple de conflits d'intérêts préoccupants dans cette affaire et aussi détaillés par Sylvie Simon sur son site:

 

« En juillet 2003, le propriétaire du Lancet, Crispin Davis devient le directeur non-exécutif de GlaxoSmithKline, fabricant du ROR. En février 2004, sous de fallacieuses raisons, le Lancet rejette la publication d’Andrew Wakefield, qui est traîné dans la boue par la BBC et le Sunday Times. Le 27 février 2004, son frère, le juge Davis retire l’assistance judiciaire des plaignants. En juillet 2004, Crispin Davis, frère du juge, est anobli par le gouvernement de Tony Blair.

 

Or, c’est Sir Crispin Davis qui a engagé James Murdoch pour rejoindre le groupe GlaxoSmithKline. En outre, le Lancet fait partie du groupe Elsevier, avec lequel James Murdoch a des rapports très étroits. Ces agissements ressemblent davantage à des manigances mafieuses qu’à des pratiques scientifiques ou médicales. »

 

Mais on aurait encore tout aussi bien pu rajouter le fait que la chronique de Brian Deer n'a PAS été "revue par les pairs" contrairement à ce qu'avait affirmé la rédactrice en chef du British Medical Journal, le Dr Fiona Godlee. En effet, la première partie de la chronique de Deer publiée dans cette revue médicale, et accompagnée d'un éditorial qui traitait Wakefield de fraudeur, avait soi-disant été revue par des pairs extérieurs. En réalité, il n'en est rien, seules trois personnes ont revu la chronique de Deer avant publication et tous les trois sont rattachés à la rédaction de cette revue, sans aucune autre personne extérieure donc. Pire, le Dr Marcovitch qui fut l'un des relecteurs en tant qu'"expert pédiatre" se trouve être membre associé de la rédaction mais surtout, il n'est pas neutre du tout dans cette affaire puisqu'il a présidé le jury du General Medical Council (GMC) et aussi, qu'il est membre d'une société-écran des industries pharmaceutiques, l'Office du Royaume-Uni pour l'Intégrité de la Recherche (UKRIO).

 

Thimérosal (Ethylmercure)/Méthylmercure

 

mercure liquide

Pas une seule étude n'atteste que le thimérosal soit inoffensif, même à soi-disant "faible dose". Il faut savoir qu'une étude de Eli Lilly (= fabricant du thiomersal lui-même) a montré que le thiomersal était toxique pour les cellules à la concentration de 1 part par million soit 100 fois moins que les taux qui ont été utilisés pendant des décennies dans les vaccins, y compris les vaccins pédiatriques destinés à des enfants dont le système nerveux en développement est par définition encore plus fragile que celui des adultes.

 

Il faut savoir que le vaccin Infanrix Hexa contient encore du thiomersal, comme rappelé dans le livre de Virginie Belle « Faut-il faire vacciner son enfant ? ».

 

L’auteur de Sham & Science prétend que la dénonciation par Robert Kennedy Jr de la réunion secrète de Simpsonwood (en 2000 aux USA) destinée à camoufler les risques du mercure vaccinal au public, serait une « vraie fausse révélation ». A notre connaissance toutefois, 100% des gens ne sont pas encore au courant de la tenue et des motivations d’une telle réunion destinée une nouvelle fois à MINIMISER OU A TAIRE LES RISQUES aux premiers intéressés, c'est-à-dire aux patients !

 

Nous comprenons qu’il soit mal à l’aise et ne souhaite pas s’attarder sur ce genre de réunion et sur ses objectifs peu reluisants. Mais ce n’est pas nous somme toute qui avons décidé de ce genre de réunion à huit clos entre les pharmas et les autorités et dans le dos du public. Mais il faut dire qu’ils discutaient à cette réunion des très encombrants résultats de l’épidémiologiste Tom Verstraete, du Centre de Contrôle des Maladies (CDC) qui n’avait pas pu ne pas remarquer l’inquiétante association entre la hausse des troubles neurologiques comme l’autisme ou encore l’hyperactivité et la présence de mercure dans les vaccins de plus en plus nombreux à être administrés aux enfants ! Entre-temps toutefois, que le public se « rassure », ces résultats pourtant bien réels de Tom Verstraete ont été purement et simplement enterrés lorsque cette personne est passée chez GSK, par le système bien connu et évoqué ci-dessus des portes tournantes.

 

Pour Sham & Science, l’argument affligeant des « minoritaires » vaudrait son pesant d’or. Pour lui, un minoritaire a à priori tort et si on ose dire que les minoritaires pourraient bien avoir raison, c’est qu’on serait forcément dans l’idée d’ « un complot ». Avec ce genre de conceptions, tous les pionniers dans tous les domaines auraient sans doute fini aux oubliettes avant même d’avoir commencé, parce qu’ils avaient comme seul tort de soulever de leur temps plusieurs oppositions et finalement d’avoir eu « raison trop tôt ».

 

Donc on l’aura compris, pour Sham, pas de problème avec le mercure vaccinal car « les autorités ont affirmé que ». Il est très intéressant cependant de voir qu’il ne retient QUE la seule conclusion des rapports officiels, sans même se soucier des énormes contradictions entre les aveux de ce rapport canadien et ses conclusions ni bien sûr jamais s’interroger sur les raisons qui peuvent expliquer de tes grands écarts !

 

Et les raisons qui expliquent de telles contradictions sont évidemment les intérêts commerciaux en jeu, une fois encore ! Cela vaut pour plusieurs autres études aux résultats gênants. Nous avons à ce propos publié récemment un article sur notre site qui explique et démontre les ficelles utilisées quand une conclusion inéluctable dérange des intérêts commerciaux. Ainsi, il ne faisait pas bon reconnaître noir sur blanc dans la conclusion d’une récente étude que les enfants moins vaccinés ou vaccinés plus tardivement recouraient moins aux consultations médicales et aux visites en urgences. Cette étude, sans doute conçue dans le but d’essayer de montrer que les enfants qui ne suivent pas le schéma vaccinal à la lettre ont plus de risques de santé, a en fait simplement démontré le contraire. Mais il était beaucoup trop politiquement incorrect d’admettre l’effet contre-productif des vaccins sur le nombre de consultations médicales et de recours aux urgences. C’est ainsi que les auteurs ont fait preuve d’imagination pour conclure de façon plus douce vis-à-vis de l’image des vaccins en écrivant que : « La sous-vaccination semble être une tendance à la hausse. Les enfants sous-vaccinés semblent ne pas avoir les mêmes recours aux soins de santé que les enfants qui ont suivi le schéma official de vaccination. »

 

Pour l’étude KIGGS, c’est pareil, alors que le détail des comparaisons entre enfants vaccinés et enfants non vaccinés parle de lui-même, les officiels ont réussi à conclure que les vaccinés ne présentaient par exemple pas plus d’asthme et d’allergies que les non vaccinés. Parmi les auteurs de cette étude KIGGS, se trouvent des gens en conflits d’intérêts avec des fabricants de vaccins comme rappelé par Heidi Stevenson de Gaia Health sur base de la déclaration d’intérêts sur cette étude.

 

Faut-il alors s’étonner qu’un rapport d’une Agence officielle mouillée jusqu’au cou pour avoir recommandé durant des années des vaccins au mercure aux gens, vienne affirmer qu’il n’y a pas le moindre risque ?

 

Les plus crédules s’en étonneront, oui. Comme ils pourraient alors aussi s’étonner du fait que l’Agence canadienne affirme que pour les femmes enceintes non plus, le mercure vaccinal ne pose pas le moindre problème alors que le fabricant du thiomersal lui-même (Eli Lilly) lui, affirme au contraire dans sa « Safety Data Sheet » sur cette substance que l’exposition chronique au mercure est associée à des retards mentaux modérés à sévères pour le fœtus !! En outre, le thiomersal est aussi mutagène chez les mammifères, ce qui signifie en d’autres mots que cette substance à la capacité d’engendrer des mutations de notre ADN.

 

Sham va dire « exposition chronique » et pas aigue. Qu’est-ce qu’on en sait vraiment ? Où sont les preuves ? Nous avons plutôt affaire à des preuves des dangers de cette substance. Pourquoi alors ne pas appliquer le principe de précaution, surtout chez les femmes enceintes chez lesquelles on était jadis si prudent avant de donner le moindre médicament ??

 

Cet universitaire qui tient ce blog fait un glissement permanent entre « absence de preuve » (en tout cas ce que lui considère comme une absence de preuve d’un risque) et « preuve de l’absence ». Un glissement préoccupant dans le chef d’un universitaire, surtout quand celui-ci se permet de recommander à tous ceux qui le lisent et sans rien connaître de leur dossier médical personnel, de se faire vacciner !!

 

L’évolution du thiomersal dans le corps, de même que le phénomène de bioaccumulation, sont NON ETUDIES, tout simplement parce que des analyses pharmacocinétiques ne sont pas requises pour les vaccins, contrairement aux autres médicaments. Pour l’aluminium également, qu’on a utilisé totalement empiriquement depuis 1926 dans les vaccins, on a par exemple affirmé qu’il était sans danger et qu’il s’éliminait très vite par les reins, avant d’avoir la confirmation qu’une partie de cet aluminium migrait au cerveau sans jamais plus pouvoir en ressortir. Des tas de malades de myofasciite à macrophages, et sans doute peut-être aussi d’autres maladies neurologiques comme Alzheimer etc., auraient ainsi pu être évités si les officiels n’avaient pas éludé la méthodologie scientifique, de peur de ce qu’ils risquaient de trouver, comme le déplorait ci-dessus le Dr Healy qui trouve une telle façon de procéder profondément décevante… et on la comprend !!

 

« La dose fait le poison », leitmotiv préféré des pollueurs de tout poil

 

Que des produits toxiques puissent l’être encore plus en étant donnés en plus grande quantité ne sera un scoop pour personne. Il n’empêche que l’affirmation systématique des autorités que « la dose fait le poison » de façon à nier tout risque toxicologique est à la fois grotesque et périmée. Elle sert donc surtout à maintenir le statu quo, pour le plus grand bonheur des industriels. On érige ainsi en généralité une théorie pour éviter d’avoir à l’éprouver et ainsi risquer de l’infirmer, substance par substance.

 

On a évoqué le cas des perturbateurs endocriniens, où là, ils pourraient même avoir des effets encore plus dévastateurs à doses plus faibles. Des substances comme l’aluminium ou le mercure n’ont pas officiellement le statut de « perturbateurs endocriniens » mais dans le fond, qu’est-ce qu’on en sait vraiment puisque les effets divers et complexes des vaccins et de leurs divers composants ne sont jamais étudiés précisément à l’échelle des diverses cellules des différents systèmes du corps qui reçoit ces vaccins ?

 

Sham n’a par exemple par répondu aux propos particulièrement dérangeants du Dr Nathalie Garçon de GSK qui a avoué qu’ils n’avaient aucune idée de la biodistribution de l’aluminium ni de son fonctionnement et ainsi selon, elle, si l’aluminium devait arriver aujourd’hui, il ne serait probablement pas autorisé (sic !).

 

Pas plus qu’il n’a répondu aux autres propos d’un autre médecin d’une grosse multinationale de vaccins (Dr Saluzzo de Sanofi) qui avouait qu’ils ne savent tout simplement pas comment marchent les vaccins.

 

Nous comprenons que cet auteur est évidemment très mal pris : il n’est pas facile de se prétendre ami de l'éthique et de la Science, de recommander aveuglément les vaccins à ses lecteurs, tout en devant essayer de justifier dans le même temps les aveux accablants de médecins issus des ces grandes multinationales de vaccins et qui font clairement comprendre leur caractère franchement expérimental.

 

Cet auteur recommandant donc des produits expérimentaux à ses visiteurs, et ce au nom d’une soi-disant « Bonne Science », il doit alors au moins pouvoir l’assumer, ce qui implique alors :

 

1°) D’expliciter et redéfinir sa notion d’éthique (très personnelle) et aussi,

 

2°) De démontrer pourquoi ces médecins issus de ces firmes admettent qu’ils ne savent rien du fonctionnement des vaccins et de leurs composants SI VRAIMENT LA SCIENCE qui sous-tendrait la vaccinologie et dont Sham était si solide que ça ?!

 

Des graphes limpides, qui n’ont rien de magique

 

Sham reprend le graphe que nous avions évoqué en commentaire sur la hausse de la mortalité liée à la grippe chez les enfants de moins de 5 ans dès 2003, soit l’année qui a suivi la nouvelle recommandation forte (ou quasi obligation car le système américain est différent du nôtre : « mandate » signifie en général obligation et il y a un système d’exemptions philosophiques ou religieuses voire médicales à exploiter pour ceux qui refusent ces vaccins pour toutes sortes de raisons) de vacciner tous les enfants de moins de 5 ans annuellement contre la grippe. Il est vrai que dans ce pays, tout le monde fait désormais partie des recommandations pour l’inutile vaccination annuelle contre la grippe et ce, en dépit de plusieurs méta-analyses indépendantes (1,2) qui n’ont retrouvé aucune utilité à pareille recommandation. C’est donc vraiment à se demander qui fabrique la peur si ce n’est les autorités qui considèrent en réalité les pharmas comme « leurs partenaires naturels » et qui ont donc besoin de FAIRE INUTILEMENT PEUR aux gens pour arriver à les faire adhérer à une vaccination contre une maladie qui ne les effrayait pas.

 

Entre 1980 et nos jours, la couverture vaccinale contre la grippe est passée de 15% à 65% soit une hausse de 50%. Pourtant, cette hausse de la couverture vaccinale ne s’est accompagnée d’aucune réduction de la mortalité liée à la grippe. (au contraire).

 

Sham montre deux graphes sans même se rendre compte que le premier, comme le second d’ailleurs, plaident totalement contre ses thèses !!!!

 

graPhe 1

 

  Graphe n°2:

 

GRAPHE 2

 

En effet, sur ce second graphe, on remarque très nettement que la mortalité liée à la grippe chez les enfants de – de 5 ans est proportionnellement plus haute dans les 5 années APRES l’instauration de cette recommandation vaccinale forte qu’avant, ce qui ne peut que démontrer 2 choses :

 

1°) L’inefficacité d’une telle vaccination dans le public-cible.

 

2°) Sa dangerosité car c’est là un indice qui est en tout cas cohérent avec le caractère immunosuppresseur connu des vaccins, autrement dit, leur capacité à affaiblir les défenses du corps ainsi leurrées, le rendant moins capable de juguler d’autres affections opportunistes (grippales ou pseudogrippales) qui peuvent dans le pire des cas aboutir au décès. A ce niveau, que les gens vaccinés contre la grippe saisonnière en 2009 (vaccin qui incluait pourtant la souche H1N1) avaient 2 fois plus de risque de contracter la grippe H1N1, ne doit donc surprendre personne, leur système immunitaire ayant tout simplement été leurré et donc affaibli par la vaccination antigrippale récente. CQFD ! 

 

A noter aussi que la collaboration Cochrane souligne que la vaccination antigrippale des enfants de – de 2 ans n’est pas plus efficace qu’un placebo et s’étonne, alors que la recommandation annuelle de tous les nourrissons de plus de 6 mois est pourtant en vigueur aux USA et au Canada, de n’avoir trouvé qu’une seule étude sur le vaccin inactivé chez les enfants moins de 2 ans ! Cet organisme estime urgent que des études à large échelle soient menées pour évaluer les différents vaccins chez les enfants compte tenu de la généralisation de leur usage (autre preuve supplémentaire donc, s’il en était encore besoin que les vaccinologues recommandent sans savoir, ils étendent la vaccination à tous avant même de l’avoir réellement et correctement évaluée… quel non sens !!) La Collaboration Cochrane a aussi mis en évidence le côté délétère de la vaccination antigrippale des enfants de - de 5 ans qui sont atopiques et/ou allergiques car cela augmente leur risque d'hospitalisations. Malgré tout, cela n'a pas empêché les autorités d'inclure ce public vulnérable dans les enfants à vacciner chaque année!!

 

Quant au graphe final de l'auteur sur la consommation de produits bio et l’autisme, il n’est guère difficile ici de distinguer une corrélation et non une causalité, propre au fait que la diffusion d’informations sur les risques toxiques divers (et notamment ceux des pesticides) a pu logiquement interpeller les parents d’enfants atteints, soucieux d’essayer de minimiser la charge toxique de leur progéniture. Nous renvoyons Sham aux propos du Dr Bernadine Healy sur l’état de la question autisme-vaccins et la qualité de son évaluation jusqu’à présent. Ca lui évitera des graphes inutiles qui ne parviennent nullement à démontrer la rigueur de son « raisonnement ».

 

Et le meilleur pour la fin??????

 

Voici sans rire une des réponses que l'auteur de ce blog a faites à un visiteur de son site:

 

« @Patrizia Le livre « La piqure de trop », je ne le connais pas. Aussi experts que pourraient l’être les auteurs, cela me semble toujours étrange de mettre en balance un livre avec les évaluations faites par les agences sanitaires de différents pays, qui toutes vont dans le même sens, à commencer par la HAS et l’OMS. A moins que le livre n’analyse des données nouvelles, dans ce cas, il faut prévenir les instances sanitaires… »

 

Réponse d'IC, faite sur son blog:



Mdr, quelle naïveté votre réflexion… "Maman OMS et papa ANSM ont dit que" … et toutes les agences de tous les pays disent la même chose, il faudrait les informer… il est grand temps de revenir sur terre!!


Avez-vous seulement conscience que les agences comme l’OMS sont loin d’être indépendantes des pharmas? Que la corruption qui y règne a été dénoncée à plusieurs reprises dans de grandes revues médicales? Que les agences des médicaments, y compris l’EMEA sont financées à 80% par des redevances des pharmas? Que les avis d’AMM découlent de données exclusivement fournies par les pharmas, de volumineux dossiers soumis en vue d’obtenir l’AMM dans lesquels il y a volontairement beaucoup de verbiage pour noyer les rares infos pertinentes, infos qui ne sont la plupart du temps pas vues ni trouvées par les fonctionnaires chargés de la soi-disant évaluation pré-commercialisation? Tous vos propos démontrent que vous restez et vous vous complaisez visiblement dans une théorie du « tout va bien dans le meilleur des mondes ».

 

Il se trouve que le Dr Spinosa, chirurgien gynécologue qui a creusé le sujet à fond et co-auteur du livre la Piqûre de trop, a déniché dans les données du fabricant au sujet du Gardasil qu’il ne permet TOUT AU PLUS qu’une réduction de 16,9% des dysplasies (donc des lésions PRE-cancéreuses). C’est tout… loin des 70% donc annoncés de façon trompeuse par le fabricant.

 

On a aussi peu entendu de la part des « bonnes autorités soi-disant à notre service » que la vaccination des jeunes filles déjà infectées sans le savoir par l’un ou l’autre sérotype à haut risque couvert par le vaccin au moment de leur vaccination augmente de 44,6% le risque de pathologie du col après vaccination (rapport de la FDA pour votre gouverne).

 

Ces faits n’empêchent pourtant pas des instances comme l’OMS de promouvoir l’usage massif de vaccins comme le Gardasil dans des pays comme le Rwanda, Madagascar etc. où le taux de cancer du col est haut certes, mais où le dépistage est quasi inexistant et en tout cas pas systématique, et où les jeunes filles ont souvent des relations sexuelles précoces. Combien de jeunes filles pauvres seront donc déjà infectées sans le savoir au moment de leur vaccination et risquent alors de voir leur risqué majoré? Vous avez déjà pensé à ça? 

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 20:55

Publié le 2 octobre 2012

 

Point de vue

 

Des auteurs-fantômes discréditent la recherche médicale

 

Zoloft.jpg

 

Des documents internes de Pfizer, rendus publics à la suite d'un litige, ont permis de révéler qu'entre 1998 et 2000, pas moins de 85 articles scientifiques sur la sertraline (l'antidépresseur Zoloft) avaient été rédigés à l'initiative directe de Pfizer, soutiennent les auteurs.

 

Les grandes firmes pharmaceutiques ont mis au point de nouvelles formes de «recherche» sous le regard complaisant des universités. On voit apparaître depuis plus d'une dizaine d'années des «auteurs-fantômes». Cette pratique soulève des interrogations sur l'éthique des chercheurs qui acceptent de signer des articles qu'ils n'ont pas écrits - dans un monde académique en guerre avec le plagiat. Ces critiques échouent cependant à mettre en lumière la dynamique d'ensemble de ces méthodes utilisées par l'industrie, qui permet d'assujettir la science médicale aux considérations commerciales.

 

On sait que les grandes firmes pharmaceutiques consacrent deux fois plus d'argent à la promotion de leurs produits qu'à la recherche et développement. Ce n'est toutefois là que la pointe de l'iceberg: de plus en plus les activités de recherche et développement dans le domaine médical sont organisées à la manière de campagnes de promotion pour accroître les ventes. En effet, la majeure partie du budget de recherche externe des firmes pharmaceutiques sert aujourd'hui à financer des contrats attribués à des organisations de recherche privées dont le mandat est de produire les données qui serviront de base à un nombre important d'articles scientifiques. Les articles sont rédigés par des agences de communication privées (les auteurs-fantômes), et signés par des chercheurs complaisants afin de permettre leur publication.

 

Les firmes élaborent en fait des plans de publication et de communication pour faire dominer un discours «scientifique» favorable à l'accroissement des ventes. Ce discours, très sélectif sur les données qu'on accepte de rendre publiques, devient le support premier pour organiser les campagnes des représentants pharmaceutiques qui iront visiter chaque bureau de médecin pour mousser le nouveau produit.

 

Des documents internes de Pfizer, rendus publics à la suite d'un litige, ont permis de révéler qu'entre 1998 et 2000, pas moins de 85 articles scientifiques sur la sertraline (l'antidépresseur Zoloft) avaient été rédigés à l'initiative directe de Pfizer. Durant cette période, l'ensemble de la littérature scientifique comptait seulement 211 articles sur cette molécule. Pfizer avait ainsi produit une masse critique d'articles favorables au médicament, ce qui lui a permis de noyer les études critiques. Des documents internes d'autres pharmaceutiques démontrent qu'il en a été de même pour le Vioxx de Merck, le Paxil et l'Avandia de GlaxoSmithKline, le Seroquel d'Astra-Zeneca et les substitutifs hormonaux de Wyeth.

 

Afin de promouvoir le tristement célèbre Vioxx, Merck a mis sur pied une campagne au cours de laquelle des auteurs-fantômes ont rédigé quelque 96 articles scientifiques, dont les principaux omettaient de mentionner que certains patients sont décédés durant les essais cliniques. Un recours collectif intenté en Australie contre le fabricant du Vioxx a permis de découvrir que l'éditeur scientifique Elsevier avait créé pour Merck une fausse revue médicale, l'Australian Journal of Joint and Bone Medicine.

 

Un autre exemple de ce type de pratique est le programme de rédaction d'articles par des auteurs-fantômes mis en place par GlaxoSmithKline afin de faire la promotion de son antidépresseur Paxil. Selon des documents internes rendus public en 2009, ce programme s'appelait «Case Study Publication for Peer-Review» (Publication d'études de cas pour évaluation par les pairs) ou CASPPER, référence ludique au «gentil fantôme».

 

C'est donc une nouvelle norme dans l'industrie: la mise sur le marché de la plupart des médicaments présentant un important potentiel de vente est accompagnée de la publication de 50, 60 ou même 100 articles scientifiques rédigés par des auteurs-fantômes. Toute firme qui refuserait de se prêter au jeu pour des raisons d'éthique risquerait de perdre des parts de marché. Dans le secteur pharmaceutique, les bénéfices sont fonctions de la capacité des firmes à influencer les connaissances médicales et à étendre les frontières de la niche de marché pour leurs produits.

 

Mais pourquoi des universitaires acceptent-ils de signer des articles scientifiques qu'ils n'ont pas écrits et qui s'appuient sur des recherches qu'ils n'ont pas réalisées? Parce qu'ils obtiennent une reconnaissance de leur université et de leurs collègues pour le nombre et l'influence de leurs publications. Et à ce titre, les firmes pharmaceutiques et leurs agents de communication savent mieux que quiconque comment obtenir la publication d'articles dans des revues prestigieuses et comment mousser encore davantage l'importance de ces articles en faisant en sorte que leurs multiples représentants commerciaux les fassent circuler et vantent leurs mérites.

 

Les chercheurs qui acceptent de servir d'auteurs à des études et analyses (souvent scientifiquement valables) favorables à l'industrie peuvent ainsi s'attendre à ce que ces articles accroissent leur prestige et leur influence, et même le financement dont ils bénéficient.

 

Mais que se passe-t-il lorsque, à l'inverse, un chercheur produit des études et des analyses (aussi scientifiquement valables) démontrant que des produits sont dangereux ou inefficaces, comme certains l'ont fait à propos du Vioxx avant qu'éclate le scandale lié à ce médicament? À la lecture de courriels internes de Merck dévoilés lors des audiences du recours collectif intenté contre la firme, on a découvert que cette dernière avait dressé une liste de chercheurs « délinquants » qu'il fallait « discréditer » ou «neutraliser»; «retrouvez-les et détruisez-les où qu'ils soient» [traduction], pouvait-on lire dans l'un de ces courriels. Huit chercheurs de Stanford ont dit avoir reçu des menaces de la part de Merck après avoir publié des résultats défavorables.

 

Dans le cas de l'Avandia, un rapport du Sénat américain déplorait que la firme GlaxoSmithKline, lorsque confrontée à des études indépendantes défavorables, avait cherché à discréditer les résultats et à intimider les chercheurs indépendants.

 

Les universités au service de la complaisance

 

Il en va de même pour les intérêts des universités qui cherchent à multiplier les partenariats avec les firmes: un chercheur complaisant a plus de chance d'obtenir du financement externe. Pour une université, sanctionner ce type de comportement pourrait donc être mal perçu par ses partenaires industriels.

 

Dans le cas du Paxil, l'étude 329 avait «sélectionné» les résultats pour dissimuler des effets adverses importants, parfois mortels, ainsi que l'absence de bénéfice supérieur à un placebo. Les résultats ont fait l'objet de publications rédigées par des auteurs fantômes et signées par des chercheurs complaisants. C'est ce type d'études biaisée qui a permis au Paxil de se glisser parmi les trois meilleurs vendeurs aux pays. Les universités des chercheurs en cause ont refusé jusqu'à ce jour de sanctionner cette complaisance éthique, que certains considèrent criminelle.

 

Tant et aussi longtemps que les firmes pharmaceutiques détiendront les cordons de la bourse dans le domaine de la recherche médicale, les connaissances médicales continueront à être produites de manière sélective au service de la commercialisation des médicaments plutôt qu'à la promotion de la santé. De la même façon, tant et aussi longtemps que les universités plieront l'échine devant les grandes pharmaceutiques pour obtenir de nouveaux partenariats avec elles, la porte demeurera grande ouverte à la corruption institutionnelle de la recherche médicale.

 

Auteurs

 

Dr Marc-André Gagnon, professeur-adjoint, School of Public Policy and Administration, Université Carleton.

 

Sergio Sismondo, professeur de philosophie et de sociologie, Université Queen's.

 

Source : Lapresse.ca (Le Soleil)

 

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 19:19

Un minilaboratoire sous la peau

 

Par Stephany Gardier, Le Figaro, 20 mars 2013

 

 

INFOGRAPHIE - Un implant sous-cutané de quelques millimètres permet d'analyser en temps réel des substances produites par l'organisme.

 

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L'implant sous-cutané de 14 millimètres permet de doser cinq métabolites et

envoie les données directement par Bluetooth. Crédit photo: EPFL

 

De nombreuses maladies chroniques nécessitent de mesurer régulièrement certains paramètres biologiques qui renseignent sur l'état de santé du patient ou les effets d'un traitement. Dans le cas du diabète d'énormes progrès ont été faits pour éviter des prises de sang répétées, mais pour beaucoup d'autres patients les prélèvements sanguins restent encore inévitables. Cela pourrait changer dans les années qui viennent grâce à un implant développé par des chercheurs de l'École fédérale polytechnique de Lausanne (Suisse). Une fois inséré sous la peau du patient, cet implant peut mesurer des substances, telles que le glucose ou le cholestérol, et transmettre les données en temps réel directement au médecin. Un prototype de ce dispositif est présenté ce mercredi au congrès européen de design de systèmes électroniques -DATE- à Grenoble.

 

L'implant sous-cutané développé par l'équipe de Giovanni de Micheli et Sandro Carrara est un concentré de technologies, long de 14 millimètres, et dont le diamètre ne dépasse pas les 2 millimètres. Dans ces trois millimètres cubes, les chercheurs ont réussi la prouesse technique de faire tenir une zone de mesure avec cinq capteurs, un émetteur radio et une alimentation. Le système ne contient pas de batterie, il est alimenté par un patch, collé sur la peau juste au-dessus, et qui émet un petit champ électromagnétique. L'alimentation de l'implant utilise ces ondes électromagnétiques (inoffensives pour le patient) pour produire un courant de 0,1 watt suffisant au fonctionnement du système. C'est aussi ce patch qui permet de transmettre par Bluetooth les mesures faites par l'implant à un smartphone ou une tablette.

  

 Source: Le Figaro

  

Une fois encore, les médias relaient docilement le fait que « c’est un progrès » car il faut bien sûr que le public adhère à cette idée. Et comme de plus en plus de gens sont atteints de maladies chroniques (80% des 65 ans et + en Belgique et + de 90 ou de 95% des gens de + de 75 ans), ce sera à terme 100% des gens qui iront sans doute vers ce système d’implant. Deviendra-t-il un jour obligatoire, au mépris de l'éthique et de la dignité humaine? L’homme se transforme de plus en objet contrôlable et contrôlé. Et au nom de prétendus « services rendus » qui seront inutiles et non voulus pour l’immense partie des utilisateurs, on va imposer des nuisances en termes de liberté et de santé (ondes électromagnétiques, etc). Quel non sens ! Nul doute cependant qu’une majorité de gens inconscients se réjouiront de ce genre de nouveauté en pensant naïvement qu’ils « seront mieux suivis » Pfff !!!

  

 

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 22:30

Alors qu'à l'occasion de la fausse urgence grippale de cet hiver à New-York, c'était les pharmaciens qu'on autorisait à vacciner (y compris les enfants) dans leurs officines, c'est à présent au tour des infirmières d'espérer avoir "leur part du gâteau"...

 

C'est ainsi qu'on pouvait lire dans le Journal du Médecin n°2304 du 8 mars dernier qu' "en France, les infirmières pourront bientôt prescrire vaccins et dépistages" !

 

Jdm-8-mars-2013.jpg

 

Jdm 8 mars 2013 (1)

Jdm-8-mars-2013--2-.jpg

 

 

Cette décision s’inscrit dans le contexte actuel de BANALISATION & DE HARCELEMENT VACCINAL. Tout est donc bon pour vacciner le plus possible : offrir des cadeaux aux vaccinés, les piquer dans les pharmacies, leur présenter les futurs vaccins « non douloureux » sans aiguilles et autres foutaises. Ne manquait donc presque plus au tableau que la prescription de vaccins par des infirmières, alors que… la vaccination est pourtant un acte médical à part entière.

 

Et pour cause, il s’agit rien de moins que l’initiation d’un processus immunologique incontrôlable et irréversible une fois le produit injecté (expérimental par définition vu les carences graves dans l’évaluation de TOUS les vaccins actuellement sur le marché). Et on va donc confier ce geste à des infirmières… pourquoi ne pas leur confier aussi les chirurgies ou les sutures tant qu’à faire ?

 

Ah oui, c’est vrai, elles diront que ça, elles ne savent pas faire. Sauf qu’en matière de vaccination, il ne s’agit pas de seulement savoir pratiquer le geste technique de l’injection, il faut aussi en savoir assez sur les risques qui peuvent modifier toute une vie plutôt que piquer à la chaîne. Et un des indices qui montrent cruellement que les infirmiers et infirmières n’en savent généralement pas assez du tout sur le sujet, c’est l’affirmation FAUSSE d’Alda Dalla Valle, présidente de la Fédération belge des Infirmières, quand elle prétend que « les risques sont fortement réduits lors des injections de rappel » (par rapport aux injections initiales). Cela montre bien que ces gens réduisent les risques aux seules éventualités d’anaphylaxie (allergie grave) ALORS QUE l’on peut au contraire lire dans le rapport du Forum européen de vaccinovigilance de 2004 que :

 

 « La plupart du temps, l’apparition des troubles est progressive : au début, apparaissent quelques petits dysfonctionnements auxquels on ne prête pas une très grande attention. L’aggravation se produit après les rappels de vaccins. […] Plus on reçoit de doses vaccinales, plus les problèmes s’aggravent. »  (cfr p. 61/81)

 

Il est peu probable que les infirmières soient en mesure de détecter ces « petits dysfonctionnements» inauguraux  quand on sait que 61% de ceux (y compris des médecins) qui administrent le vaccin antigrippal sont incapables de reconnaître un effet secondaire.  Le risque est donc grand que des gens ayant en réalité mal supporté la première dose de vaccin mais ne faisant pas la connexion au moment du rappel, se trouvent aggravés de façon irréversible par un rappel effectué en toute insouciance par une infirmière ou un infirmier. Songeons-y avant d'accepter cette malencontreuse délégation de responsabilités !!

 

 

Voir aussi l'article du Monde intitulé "La vaccinaion, casus belli des professions de santé".

 

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 21:15

Moins de Vaccins = Moins de Visites chez le Médecin =

Moins de Recours aux Urgences – ETUDE

 

Marty-Hergert.jpg photo: Marty Hergert

 

Les chercheurs en pseudo science vaccinale ont beau essayer et essayer encore, leurs résultats finissent par démontrer que les enfants vaccinés sont en moins bonne santé que les enfants non vaccinés. Alors, ils essaient d’arranger et de présenter favorablement les résultats de leur recherche. Les enfants vaccinés seraient plus malades que les enfants non vaccinés ? Et bien ce n’est qu’un type de santé différent !

 

Personnellement, j’ai décidé de rejoindre le groupe des non vaccinés – là où les maladies chroniques sont quasi absentes, où les recours aux urgences sont moins nombreux. Ce qui, en bref, veut dire : une meilleure santé.

 

Par l’éditeur de Health Impact News, 14 mars 2013.

 

AMA Pediatrics  vient de publier une nouvelle étude concernant les taux de vaccination. Les résultats de cette étude font la manchette de principaux médias, mais aucun d’entre eux ne publient des titres ayant, de près ou de loin, rapport avec celui que nous publions pour cet article. Pourtant le titre que nous donnons à cet article se rapproche le plus des faits que cette étude révèle.

 

Le titre de cette étude : « Etude d’une population sous-vaccinée dans 8 Centres de soins à travers les Etats-Unis. »

 

Au lieu de me baser sur les articles de presse concernant cette étude et qui déploraient le fait que les enfants qui ne suivent pas le calendrier vaccinal représentent une menace pour la race humaine, j’ai décidé de payer 30 dollars pour pouvoir télécharger l’étude et me faire une opinion personnelle.

 

Tout d’abord, penchons-nous sur l’objectif de l’étude qui est précisé dans l’abstract (Résumé) : examiner les tendances et l’évolution de la sous vaccination chez les enfants de 2 à 24 mois et comparer le recours aux soins de santé chez les enfants sous-vaccinés par rapport aux enfants ayant suivi le programme de vaccination pour chaque niveau d’âge.

 

Alors, pourquoi étudier les schémas et les tendances  à la sous-vaccination chez les enfants ? L’introduction de l’étude nous en donne une petite idée :

 

La vaccination est l’une des réalisations les plus importantes de santé publique de ces 100 dernières années. Cependant un nombre croissant de parents ont exprimé leurs préoccupations au sujet des vaccinations. Une enquête a montré que plus de 10% des parents veulent postposer ou refusent tout simplement la vaccination pour leurs enfants. Ces parents inquiets demandent des solutions alternatives au calendrier vaccinal comme l’espacement des vaccinations ou la réduction de leur nombre au cours de chaque visite médicale. Malgré leurs inquiétudes, la sécurité des schémas alternatifs de vaccinations n’est pas connue.

 

Hmm… Cette étude comporterait-elle des biais ? Le fait de dire que «  La vaccination est l’une des réalisations les plus importantes de santé publique de ces 100 dernières années » représente-t-il une déclaration scientifique qui peut être prouvée par des chiffres et des faits ? Se pourrait-il que cette étude ait été réalisée parce que les institutions médicales représentées par les auteurs de cette dernière n’ont pas apprécié le fait que des parents ne soumettent pas régulièrement leurs enfants aux vaccinations proposées par le calendrier vaccinal gouvernemental ?

 

Les auteurs de l’étude ont inclus cet avertissement qui peut nous donner un indice supplémentaire :

 

Avertissement : Bien que le CDC (Centres Officiels Américains de Contrôle des Maladies) ait joué un rôle dans la conception, la réalisation de l’étude, la collecte, la gestion, l’analyse et l’interprétation des données, ainsi que dans la préparation, l’examen et l’approbation du manuscrit, les résultats et les conclusions de ce rapport sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la position officielle du CDC.

 

Liaisons, affiliations des auteurs : Institute for Health Research, Kaiser Permanente Colorado, Denver (Drs Glanz, Narwaney, Hambidge, Daley, McClure, and Xu and Mss Wagner and Newcomer); Department of Epidemiology, Colorado School of Public Health, Aurora (Drs Glanz and Hambidge); Community Health Services, Denver Health, Denver (Dr Hambidge); Department of Pediatrics, University of Colorado, Aurora (Drs Hambidge and Daley); Kaiser Permanente Vaccine Study Center, Oakland, California (Dr Rowhani-Rahbar); Center for Child Health Care Studies, Department of Population Medicine, Harvard Pilgrim Health Care Institute and Harvard Medical School, Boston, Massachusetts (Dr Lee); Group Health Cooperative, Seattle, Washington (Dr Nelson); Marshfield Clinic Research Foundation, Marshfield, Wisconsin (Dr Donahue); Kaiser Permanente Northwest, Portland, Oregon (Dr Naleway); HealthPartners Research Foundation, Minneapolis, Minnesota (Dr Nordin); Department of Research and Evaluation, Southern California Kaiser  Permanente, Pasadena (Dr Lugg); and Immunization Safety Office, Division of Healthcare Quality and Promotion, Centers for Disease Control and Prevention, Atlanta, Georgia (Mr Weintraub).

 

Je pense donc qu’il est raisonnable de supposer que cette étude n’a pas été réalisée pour le compte de parents inquiets et qui, à propos du calendrier vaccinal, pensent que c’est trop tôt et trop vite. Au contraire, il semble que l’étude a voulu prouver que les enfants dont les parents ne suivaient pas le calendrier vaccinal étaient en moins bonne santé que ceux qui le suivaient à la lettre.

 

Mais ce n’est pas ce que l’étude a prouvé. Elle a en fait prouvé le contraire.

 

Les enfants qui, en fonction du choix des parents, ont été sous-vaccinés ont eu un taux de recours aux urgences et aux visites médicales significativement  plus bas que les enfants qui étaient vaccinés à temps. [Souligné par Gaia Health].

 

Peut-on dire que les conclusions des auteurs, comme celles de ceux qui ont été engagés pour écrire les communiqués de presse aient rapporté cette constatation? Sûrement pas.

 

Voici, ci-dessous ce que révèle le résumé de l’étude:

 

« Conclusions: la sous-vaccination semble être une tendance à la hausse. Les enfants sous-vaccinés semblent ne pas avoir les mêmes recours aux soins de santé que les enfants qui ont suivi le schéma official de vaccination. »

 

Le communiqué de presse principal a été donné par Reuter et il fut repris dans presque chaque édition de presse comme suit: Près de la moitié des enfants en retard de vaccins: étude.”

 

Voici quelques perles du communiqué de presse à ce sujet, destiné à faire croire que le fait que trop d’enfants ne suivent pas le calendrier vaccinal officiel à la lettre représente une véritable épidémie:

 

« Les chercheurs ont dit que cette tendance est préoccupante parce que si autant d’enfants échappent aux vaccins, des écoles et des communautés entières pourraient courir des risques plus élevés d’infections de coqueluche et de rougeole, maladies qui pourraient être évitées par la vaccination. »

 

Je ne sais pas qui sont les “chercheurs” évoqués au précédent paragraphe, mais ce ne sont en tout cas pas les auteurs de la présente étude et de ce qu’elle révèle.

 

En fait, une des histoires parmi les plus étonnantes sur les vaccins date de 2012. Elle montre comment des épidémies de coqueluche se sont produites chez des personnes qui avaient été vaccinées contre la coqueluche, montrant par là l’inefficacité du vaccin.

 

Alors, comment ont-ils pu gérer le fait que des parents qui avaient choisi de ne pas vacciner selon le calendrier vaccinal officiel se rendaient moins souvent chez le médecin, ainsi qu’aux urgences? Voici une petite explication:

 

« Selon des résultats publiés dans JAMA Pediatrics, les enfants sous vaccinés consulteraient moins souvent les médecins et se rendraient moins souvent aux urgences que les enfants qui auraient été normalement vaccinés selon le programme officiel. Selon Omer, la chose serait possible parce que les parents de ces enfants auraient recours à des médecines parallèles ou complémentaires quand la chose est possible. Des études récentes ont montré que beaucoup de parents demandent de postposer ou d’annuler certaines vaccinations parce qu’ils craignent qu’il existe un lien entre les vaccinations et l’autisme – une théorie qui ne tient pas la route selon le consensus des scientifiques. »

 

En écrivant “selon le consensus des scientifiques”, qui préciserait qu’il n’y a pas de liens entre les vaccins et l’autisme, ils ignorent complètement tous les scientifiques qui estiment vraiment qu’il y a de sérieuses raisons d’inquiétudes et qu’il y a des liens avec l’autisme. Ces gens-là ignorent aussi  le fait que le Programme d’Indemnisation pour Complications Vaccinales a déjà accordé des millions de dollars à des familles d’enfants dont l’autisme a été reconnu comme étant lié à la vaccination par les tribunaux.

 

Un autre fait important par rapport à cette étude est qu’elle a été réalisée chez des patients fréquentant “ huit centres de soins”. En d’autres termes, cette étude a porté sur des parents et des enfants qui étaient assurés.

 

« Pour pouvoir participer à l’étude, chaque enfant devait être inscrit régulièrement dans une MCO (Managed Care Organization – Organisation de soins) depuis l’âge de 2 à 12 mois. Les enfants étaient suivis pendant un maximum de 36 mois, et le suivi s’arrêtait si l’enfant quittait la MCO… Pour que les enfants puissent participer aux soins primaires de leur MCO, ils devaient obligatoirement passer au moins une visite médicale à l’âge de 12 mois. »

 

Donc, il s’agit bien ici de parents et d’enfants qui avaient foi dans le système médical, qui l’utilisaient, y participaient, croyaient au moins jusqu’à un certain degré aux vaccinations et se soumettaient à des visites médicales régulières. S’agit-il là de parents “qui se tournent vers des médecines alternatives ou complémentaires quand la chose est possible”?? Les parents qui ne croient pas du tout aux vaccins ne consultent pas régulièrement des pédiatres. Il est aussi de ces pédiatres qui refusent toute forme de soins aux enfants qui ne sont pas en ordre avec le calendrier des vaccinations. Et bien ce type de parents et d’enfants n’ont pas du tout fait partie de l’étude!

 

A vous qui faites partie des médias : réveillez-vous et faites pour une fois du véritable journalisme! N’hésitez donc pas à payer 30.00 $ pour vous procurer l’étude et voir ce qu’elle dit vraiment au lieu de régurgiter machinalement des communiqués de presse !  Il s’agit ici d’une question très sérieuse ! Juste avant la publication de cette étude, l’Institut de Médecine a publié un rapport précisant que le calendrier de vaccinations était “sûr”, bien qu’il n’ait pas fait allusion à la moindre nouvelle recherche.

 

Il y aurait énormément de choses à dire à ce sujet, mais le dogme et la croyance en la vaccination éclipsent les faits et la science. Aujourd’hui, l’épidémie vaccinale affecte tellement de personnes et tellement de familles. Cette histoire ne finira pas de si tôt!

  

Sources: Health Impact News & Gaia Health 

 

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 19:30

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Sur le site de Paul Jorion, on peut lire ce commentaire d'un médecin:

 

"La guerre des data a commencé en effet. En tant que médecins, nous sommes sollicités de tous côtés, en particulier par l’industrie pharmaceutique, pour fournir/vendre des données personnelles de santé (anonymisées bien sûr) et la plupart d’entre nous résiste à cette commercialisation.


Des dérives existent cependant: Cegedim, société française, pompe chaque soir les données enregistrées dans les dossiers médicaux et les revend aux laboratoires, aux assureurs et autres.

 

[ Précision d'Initiative Citoyenne: sur son site, Cegedim indique que leur système permet d'évaluer un marché, d'évaluer aussi le comportement des prescripteurs afin d'aider notamment à la mise en oeuvre et au suivi de la stratégie marketing...]

 

[…] Le CISP-Club dont je fais partie a élaboré une charte qui réaffirme certains principes éthiques fondamentaux:

 

Extrait: Le patient


• Est propriétaire des données médicales; le dépositaire en est le professionnel de la santé. Dès lors, le patient peut à tout moment les consulter et les faire modifier. Il peut également les faire supprimer.


• A droit à la confidentialité.


• Peut exiger que certaines IPS (informations personnelles de santé) ne soient ni enregistrées ni divulguées (le dossier médical ne doit pas être exhaustif).


• Donne son consentement à l’existence des IPS et à leurs utilisations.


• Est le partenaire des soins.


• A droit à ne pas avoir connaissance de tous les éléments de son dossier, par respect de la protection due aux personnes vulnérables, et de façon plus générale au nom de la reconnaissance de la fragilité de l’humain. "

 

Tout professionnel de santé doit être garant de la confidentialité et tout patient doit pouvoir l’interpeller sur la destination des informations qu’il lui confie.

   

En mai 2012, sur 20 millions d’assurés sociaux, il semble que seuls 120 000 dossiers médicaux personnels ont été activés, pouvait-on lire sur le site Voixdespatients.fr.

 

Prétendre qu'il faut absolument tout informatiser est absurde, mais c'est là encore un prétexte de plus (le "progrès") pour resserrer le contrôle dans tous les domaines de nos vies.

Un bon praticien qui a des dossiers bien tenus peut très bien s'en tirer avec SON système à lui d'encodage : fichiers papiers ou informatiques.

 

Et puis qui contrôlera ces données? Qui les utilisera? Certainement pas les associations citoyennes qui seraient pourtant les mieux à même de dresser un état des lieux plus objectif de la dégradation sans précédent de la santé des gens qui se déglinguent de plus en plus, anonymement... Laissons donc ça aux "experts" officiels payés pour cela et en qui il faut bien sûr avoir toute la confiance du monde. Nul doute qu'ils seront rassurants!

 

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