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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 22:00

varicelle-enfant.jpg

Nous venons de publier un article sur l'APPROCHE AUTORITAIRE des vaccinalistes: en mal d'arguments, ces gens préfèrent fuir le débat MAIS estiment cependant légitime d'imposer des produits dont la sécurité demeure inquestionnable et au sujet de laquelle ils n'ont tout simplement pas les réponses suffisantes.

 

Voici un article qui en dit long sur les arguments d'autorité qui affluent dans le domaine des vaccins. Nous verrons alors ensuite en fin d'article en quoi et pourquoi ces officiels se situent hors du champ de la logique la plus élémentaire.

 

A noter aussi, que ces gens osent critiquer "l'information déséquilibrée" fournie par l'Association citoyenne australienne AVN alors que cette association s'est précisément créée (comme la nôtre d'ailleurs) à cause du manque d'objectivité flagrant des officiels sur les risques vaccinaux! C'est donc bien l'histoire de "la paille et la poutre". Reprocher à cette association de ne pas relayer encore une Xième fois sur son site une "information" officielle avec laquelle on assomme littéralement les gens qui se sentent d'ailleurs de plus en plus harcelés par la propagande vaccinale, relève donc de la mauvaise foi.

 

Le Directeur général de la Santé australien, Paddy Phillips appelle à mettre un terme au débat sur les vaccins

 

Le Directeur général de la Santé du sud australien veut mettre un terme au débat sur la vaccination, pressant chacun de « faire ce qu’il faut » pour se protéger et sauver des vies.

 

Son appel fait suite à la publication de deux études majeures –dont une de l’Université d’Adelaïde- qui montre que les bénéfices de la vaccination dépassent n’importe quel risque.

 

Paddy Phillips a pressé les parents de s’assurer que leurs enfants ont bien été vaccinés contre les maladies et que tous les Australiens du Sud reçoivent la vaccination antigrippale.

 

Je pense que le débat doit absolument cesser, les gens doivent faire ce qu’il faut et se faire vacciner eux et leurs enfants, ainsi que leurs familles.” a déclaré le Pr Phillips.

 

« Les vaccinations sont une des principales initiatives sanitaires qui ont permis d’améliorer la santé des hommes ces cent dernières années. » a encore dit le Pr Phillips.

 

« Elles sont probablement l’initiative de santé publique la plus importante depuis l’instauration de l’eau potable et des systèmes d’ égouts, en termes de prévention des décès et des maladies. »

 

Des milliers d’enfants australiens ont évité une hospitalisation depuis l’utilisation généralisée du vaccin contre la varicelle, selon une étude de l’Université d’Adelaïde.

 

« Il n’y a pas de doute que la vaccination qui nous protège et protège la communauté, est la bonne chose à faire. »

 

Une étude de l’Université d’Adelaïde, publiée hier dans le Pediatric Infectious Disease, a montré que le nombre d’enfants hospitalisés pour varicelle ou zona avait baissé de 68% depuis l’introduction du vaccin en 2006.

 

Une seconde étude, qui a été publiée dans le Lancet, a mis en lumière les bénéfices du programme américain de vaccination contre la grippe lors de l’épidémie de H1N1 en 2009.

 

Le Pr Phillips a déclaré que les vaccins ne deviennent disponibles au public qu’après qu’ils aient satisfait à des exigences strictes de qualité et de sécurité.

 

« Cela signifie non seulement qu’ils doivent être efficaces et utiles mais aussi et surtout, ils doivent absolument être rentables (coût-efficaces). »

 

Il a dit que la variole avait été éradiquée du monde et existait à présent seulement en laboratoires.

 

D’autres maladies, comme la polio qui causent des invalidités et des décès, la diphtérie, la rougeole, la rubéole et la coqueluche ont aussi été substantiellement réduites.

 

bebe-polyvaccine.jpg

En Australie du Sud, il a dit que 90% de tous les enfants de 4 ans avaient reçu les vaccinations recommandées, des chiffres qu’il souhaiterait toutefois plus élevés encore.

 

L’auteur principal de l’étude sur la varicelle, le Pr Helen Marshall qui est Professeur associé à l’Université d’Adelaïde, a déclaré que le vaccin contre la varicelle avait évité l’hospitalisation et le décès de milliers d’enfants.

 

C’est réellement important de regarder les maladies une fois qu’un vaccin a été introduit pour voir ce qui se passe en réalité.” a dit le Pr Marshall.

 

L’étude s’est basée sur les données issues de quatre grands hôpitaux australiens pour enfants, incluant l’hôpital  Mères-Enfants au Nord d’Adelaïde, et réparties sur deux périodes de trois années de part et d’autre de l’introduction du vaccin en 2006.

 

« De 1999 à 2001, il y a eu 710 enfants hospitalisés sur les quatre sites. Les statistiques tombent à 227 de 2007 à 2010 soit après que le vaccin fut rendu disponible. »

 

Les complications de la varicelle incluent la pneumonie, les convulsions et la méningite ainsi que des avortements et des anomalies fœtales chez les femmes enceintes qui contractent la maladie en cours de grossesse.

 

L’étude sur la grippe porcine a montré que la vaccination anti-H1N1 était associée à un faible excès de risque de 1,6 de syndrome de Guillain-Barré (une maladie neurologique qui peut se solder par une paralysie et même la mort) pour un million de personnes vaccinées.

 

Les auteurs ont estimé que le vaccin avait évité 700 000 à 1,5 million de cas de grippes aux USA.

 

« Au vu de la morbidité et de la mortalité causées en 2009 par la grippe H1N1 et au vu de l’efficacité du vaccin, les cliniciens, les décideurs politiques et ceux qui sont éligibles à la vaccination devraient être convaincus que les bénéfices des vaccins pandémiques inactivés dépassent de loin les risques. » a dit l’étude.

 

Le Pr Phillips a dit que l’Australian Vaccination Network (AVN), un groupe qui défend le débat en matière de vaccination, répandait de la désinformation et des mensonges. « Ils ne fournissent pas une argumentation équilibrée et je ne comprends sincèrement pas pourquoi ils font cela. »

 

L’Office de la Concurrence de Nouvelle- Galles du Sud a ordonné à l’AVN de changer son nom pour le 21 mars au plus tard, sur base du fait que cela ne convient pas au groupe anti-vaccins et que cela pourrait induire en erreur.

 

L’association a introduit hier un recours contre cette décision.

 

Le président de l’association, Greg Beattie, a déclaré que le débat devait rester ouvert parce que des questions demeurent sur la sécurité des vaccins.

 

C’est un débat légitime qui doit avoir lieu.” a-t-il fait savoir.

 

« L’AVN ne fait aucunement pression sur les gens pour qu’ils ne se fassent pas vacciner. »

 

« La position prise par notre association consiste à défendre le droit au débat qui selon nous, doit rester ouvert. »

 

Source: Perth Now

 

Ces gens affirment “il n’y a pas de doute que…”; ils assurent que les bénéfices dépassent le moindre risque MAIS comment peuvent-ils réellement le savoir étant donné qu’on n’effectue jamais :

 

- d’étude sur les effets secondaires possibles A LONG TERME des vaccins ?

- d’étude comparant des vaccinés à des gens vierges de tout vaccin (= vrai placebo) ?

- d’analyse pharmacocinétique destinée à évaluer le devenir des différents composants du vaccin, une fois injecté ?

- d’analyse du potentiel cancérogène, mutagène et tératogène des vaccins c'est-à-dire de leur faculté de pouvoir favoriser le cancer, des mutations génétiques ainsi que des pathologies dans la descendance ??

 

Leurs affirmations, fussent-elles publiées au sein de publications dites « scientifiques » n’ont donc aucune valeur et l’AVN a donc plus que jamais raison de dire que le débat doit rester ouvert.

 

Mais surtout, un point qui doit frapper les amoureux de la logique la plus élémentaire, c’est le fait de ne parler QUE des prétendus bénéfices de ces vaccins qui auraient soi-disant évité autant d’hospitalisations et de décès. D’abord ces chiffres sont à prendre avec des pincettes parce que le vaccin contre la varicelle existait bien avant 2006 et que déjà avant cela, en Australie comme en Belgique ou en France, de nombreux pédiatres le préconisaient en routine. Par conséquent, plusieurs enfants ayant fait une varicelle ou un zona et comptés dans les cas hospitalisés ont donc malgré tout pu être vaccinés. Ensuite, ces propos donnent faussement à penser que ces vaccins préviennent des hospitalisations et des décès sans jamais pouvoir en causer à leur tour. Or il est bien évident que si on devait creuser chez tous les enfants ainsi vaccinés pour voir combien ont dû, à cause du vaccin, consulter un médecin, être hospitalisés voire décéder (sans parler de ceux qui auront attrapé des maladies chroniques incurables et irréversibles à l’inverse de l’immense majorité des cas de varicelle), le bilan serait bien entendu négatif/contre-productif ! A ce propos, n'oubliez pas que, dans le meilleur des cas, seul 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont recensés et comptabilisés (Revue du Praticien, novembre 2011). Un médecin français arrive pour sa part à des estimations de 1 effet secondaire grave rapporté sur 500!!

 

Si on prend les chiffres d'effets secondaires du vaccin contre la varicelle sur base des notifications au VAERS (le système américain de surveillance de recensement des effets secondaires -dont les afficionados des vaccins trouveront toujours à vous dire que ce n'est pas lié, qu'on n'en a jamais la preuve à 100% etc-), on retrouve pour un petit peu plus de 3 ans entre 95 et 98, 6574 signalements d'effets secondaires soit un taux de 67,5 pour 100 000 doses. 4% de ces effets secondaires (soit 1 sur 33 000 vaccinations) furent considérés comme graves incluant des chocs, des convulsions, des encéphalites, des thrombocytopénies et même des décès.

 

En sachant que seuls 1 à 10% des effets secondaires sont rapportés dans le meilleur des cas, on arrive donc à un taux d'effets secondaires réels entre 675 sur 100 000 et 6750 sur 100 000. En sachant qu'il y a environ 300 000 naissances annuelles en Australie et si on prend un taux de vaccination de 80%, on arrive à un taux d'effets secondaires (toutes gravités confondues) qui se chiffre annuellement entre 1620 et 16 200 enfants dont certains auront à consulter un médecin, d'autres seront hospitalisés (à cet égard ce serait intéressant de comparer les motifs d'hospitalisations des enfants vaccinés contre la maladie hospitalisés à cause du vaccin à ceux des enfants hospitalisés en raison de la maladie naturelle) et d'autres encore en décèderont. [voir aussi la publication du Dr Gary Goldman sur la sous-estimation notoire des effets secondaires du vaccin contre la varicelle]. Et il est toutefois utile de préciser ici que ces chiffres n'englobent absolument pas le moindre effet secondaire chronique (à long terme) de ce genre de vaccins, effets qui ne sont jamais évalués dans le moindre essai clinique. Par conséquent, il n'apparaît pas du tout aussi évident que la vaccination généralisée contre la varicelle soit le "progrès" qu'on nous prétend, étant entendu aussi que l'immunité naturelle est gratuite, durable à vie (contrairement au vaccin), qu'elle n'est pas associée à un déplacement de l'âge de survenue de la maladie (avec ses effets pervers, hausse des zonas etc) ni à un risque particulier de maladies auto-immunes d'apparition différée.

 

Les officiels se gardent toutefois bien de corriger cette sous-notification lorsqu'ils prétendent évaluer le rapport bénéfices/risques des vaccins alors qu'ils effectuent pourtant un ajustement destiné à compenser la sous-notification des maladies naturelles contre lesquelles on vaccine! Deux poids, deux mesures donc...

 

On peut donc clairement considérer ces "experts" officiels pour ce qu’ils sont : de dangereux idéologues/scientistes tentés par une approche autoritaire et anti-démocratique. Bien sûr, ils se réclament en apparence d’une approche destinée soi-disant à assurer « la sécurité » du plus grand nombre. Mais il convient surtout de rappeler ici aux plus crédules la phrase de bon sens de Benjamin Franklin :  "Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux."

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 22:20

BRUNO-LINA.jpg

Le Pr Lina s'exprimait récemment dans une interview radio sur Fréquence M au sujet des narcolepsies post-vaccinales. Après rappel par les journalistes des conclusions de deux récentes études (l'une parue dans Neurology et faisant état d'une multiplication de la fréquence de la maladie par 25 depuis la vaccination et l'autre, parue dans le British Medical journal évoquant un risque 14 fois plus grand pour les vaccinés que pour les non vaccinés), le Pr Lina a déclaré:

 

"C'est quelque chose (les narcolepsies) qui n'a pas du tout été observé au Canada. [...] Il y a bien un sur-risque de développer une narcolepsie lorsqu'on a été vacciné avec ce vaccin de GSK mais seulement en Europe et pas en Amérique du Nord. C'est là que ça commence à être un petit peu étonnant parce que finalement dans le vaccin d'Amérique du Nord, il y avait aussi cet adjuvant AS03 (= squalène donc). "

 

Les journalistes enchaînent alors en déclarant "Surprenant quand même quand on sait que 45% de la population canadienne a été vaccinée."

 

Selon Bruno Lina, les vaccins européens et canadiens ne sont pas stricto sensu identiques des deux côtés de l'Atlantique. "La mécanique qui conduit à l'excès de risques de narcolepsies est quelque chose qui est probablement complexe, qui combine des choses qu'aujourd'hui on ne comprend pas. Et il est, aujourd'hui, je crois, un petit peu dangereux de dire qu'il faut enterrer définitivement ces adjuvants, c'est excessif. Les regarder, notamment l'adjuvant AS03, avec prudence, ça c'est une certitude. Par contre, ce qui compte et heureusement on a des données stockées, c'est essayer de comprendre les éléments qui font qu'au bout du compte, on a  observé un petit peu plus de narcolepsies chez les vaccinés que chez les non vaccinés, uniquement en Europe."

 

Alors, qu'en est-il de cette différence de composants entre l'Arepanrix (version canadienne) et le Pandemrix (version européenne) qui contiennent pourtant tous les deux du squalène (AS03)? Et quid de la véracité des propos de Bruno Lina sur l'absence de narcolepsies constatées au Canada?

 

Après une petite recherche, voici tout d'abord ce qu'on trouve sur le site de l'Agence canadienne de Santé pour la composition de l'Arepanrix:

 

Antigen:


Split influenza virus, inactivated, containing antigen* equivalent to:
A/California/7/2009 (H1N1)v-like strain (X-179A) 3.75µg HA** per 0.5mL dose
* isolated from virus propagated in eggs
** HA = haemagglutinin

Preservative content is 5µg Thimerosal USP per 0.5mL dose or 2.5 micrograms organic mercury (Hg) per 0.5mL dose

 

Adjuvant:


DL-α-tocopherol 11.86 milligrams/0.5mL dose
Squalene 10.69 milligrams/0.5mL dose,
Polysorbate 80 4.86 milligrams/0.5mL dose

 

For a full list of excipients, see section List of Excipients under 5.0.

 

A la rubrique des excipients, voici ce que l'on trouve:

 

Antigen suspension vial: Thimerosal, sodium chloride, disodium hydrogen phosphate, potassium dihydrogen phosphate, potassium chloride, water for injections. The drug substance contains trace residual amounts of egg proteins, formaldehyde, sodium deoxycholate and sucrose.

 

Adjuvant emulsion vial: sodium chloride, disodium hydrogen phosphate, potassium dihydrogen phosphate, potassium chloride, water for injections.



Maintenant, voyons ce qu'il en est des informations disponibles sur la composition de la version européenne du vaccin, celle du Pandemrix donc. Un document de l'Agence Européenne des Médicaments renseigne ce qui suit:

 

QUALITATIVE AND QUANTITATIVE COMPOSITION

 

After mixing, 1 dose (0.5 ml) contains:

 

Split influenza virus, inactivated, containing antigen* equivalent to:

A/California/07/2009 (H1N1)v-like derived strain used NYMC (X-179A) 3.75 micrograms**

* propagated in eggs

** haemagglutinin

 

AS03 adjuvant composed of squalene (10.69 milligrams), DL-α-tocopherol (11.86 milligrams) and polysorbate 80 (4.86 milligrams)

 

Excipients: the vaccine contains 5 micrograms thiomersal

 

For a full list of excipients see section 6.1.

 

List of excipients

 

Suspension vial:

 

Polysorbate 80

Octoxynol 10

Thiomersal

Sodium chloride (NaCl)

Disodium hydrogen phosphate (Na2HPO4)

Potassium dihydrogen phosphate (KH2PO4)

Potassium chloride (KCl)

Magnesium chloride (MgCl2)

Water for injections 13

 

Emulsion vial:

 

Sodium chloride (NaCl)

Disodium hydrogen phosphate (Na2HPO4)

Potassium dihydrogen phosphate (KH2PO4)

Potassium chloride (KCl)

Water for injections

 

A priori donc, les différences de composition impliquent surtout:

 

- présence de chlorure de magnésium et d'octoxynol 10 dans le Pandemrix seulement

- présence d'un autre détergent (utilisé comme émulsifiant) dans l'Arepanrix que l'octoxynol à savoir le "sodium deoxycholate".

 

La composition des deux vaccins est donc extrêmement proche bien que non totalement la même. C'est donc surtout le détergent qui diffère. Mais ce qu'il faut savoir au sujet des détergents et de leurs effets généraux, c'est que « Les détergents et les émulsifiants favorisent les tumeurs et amènent les cellules à fuir ou exploser en diluant leur membrane, aucun mécanisme ne contrôlant cette activité destructive. Du fait précisément de leur capacité à briser les cellules, les détergents sont largement utilisés dans la recherche sur les cellules, afin de les ouvrir pour favoriser l’analyse. Cela imite de façon catastrophique l’action du complexe d’attaque membranaire»

 

Pour ce qui est de l'octoxynol 10 (aussi appelé "TritonX-100"), il s'agit d'un spermicide connu utilisé dans des expériences visant à « dépouiller » le sperme [de ses spermatozoïdes], de sorte qu'il ne soit plus capable de féconder l’ovule. En 1977, dans une étude du Journal of Reproduction and Fertility, le triton X-100 a été cité dans le tableau des « spermicides les plus puissants », produisant 100% de dégradation du sperme humain, avec les dosages nécessaires à cet effet.

 

L'octoxynol 10 entre aussi dans la composition du vaccin antigrippal saisonnier Fluarix, ce vaccin-là ne contenant pas de squalène et n'ayant pas été associé spécifiquement à un surplus de narcolepsies.

 

Mais surtout, en parcourant plusieurs publications scientifiques référencées dans Pubmed, que peut-on lire?

 

Dans une lettre de 2010 de Dauvilliers et al. à l'éditeur de la revue Sleep, les auteurs (dont plusieurs ont des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins) écrivent notamment:

 

« Dans les trois principaux centres de référence de la narcolepsie- à Montpellier en France, à Montréal au Canada et à Stanford aux Etats-Unis- nous avons noté dans les premiers mois de 2010, une hausse inhabituelle dans la survenue brutale de cas de narcolepsie-catalepsie diagnostiqués dans les mois qui ont suivi l’émergence du H1N1. »

 

Entre septembre 2009 et août 2010, 14 cas de narcolepsies chez des vaccinés furent signalés à ces centres dont 6 au Centre de Montpellier, 4 au Centre de Montreal et 4 au Centre de Stanford (dont deux de ceux-là avaient été vaccinés en Europe).

 

Etude de chercheurs brésiliens parue dans Clinics en janvier 2012:

 

« Des cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe pandémique de 2009 ont été décrits en Suède, en Finlande, au Canada, en France et aux Etats-Unis. […] La plupart des cas ont reçu un vaccin contenant l’adjuvant AS03 (Arepanrix et Pandemrix) qui sont associés à une réponse immunitaire plus puissante. »

 

Etude finlandaise de mars 2012 dans Plos One:



« Une étude systématique a été initiée pour recenser tous les patients narcoleptiques diagnostiqués en Finlande en 2010 et pour comparer les statistiques d’incidence avec celles des années 2002-2009. Une étude parallèle s’est concentrée sur le rôle de l’ASO3, adjuvant du vaccin Pandemrix, sur base des données qui ont été enregistrées. En Suède également, le gouvernement a financé des études. Des cas similaires ont été rapportés en France et au Canada où le Pandemrix ou un vaccin adjuvanté similaire, l’Arepanrix, ont été utilisés. Une possible association entre la vaccination H1N1 et l’apparition récente de narcolepsies, a été retrouvée dans 14 cas (9 enfants et 5 adultes). Deux des six enfants étaient originaires de France, deux du Canada, un de Suisse et un autre du Royaume-Uni. »



Il est donc FAUX de dire que ce phénomène des narcolepsies post-vaccinales ne s'est pas du tout manifesté en Amérique du Nord (Canada ou Etats-Unis). Ceci étant, cela n'empêche pas que certains particularismes génétiques des Nordiques aient pu aussi jouer un rôle. Toutefois, il faut garder à l'esprit que le squalène est un des composants de notre corps et que par conséquent, l'injection d'une telle substance expose fort logiquement à un rôle d'auto-immunité, déjà évoqué lors d'études sur les animaux notamment (cfr ici en page 5  et ici en pages 6 et 18).

 

Au plus les taux de vaccination sont élevés, au plus hauts sont les risques d'effets secondaires, il s'agit d'un effet mécanique mais qui n'exclut donc en rien un terrain génétique encore plus sensible pour telle ou telle maladie. Par ailleurs, il ne faut pas non plus oublier le phénomène de sous-notification des effets secondaires même graves des vaccins. Seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement recensés et comptabilisés de façon générale et ce dans l'hypothèse optimiste (Revue du Praticien , novembre 2011) mais d'autres estimations effectuées par d'autres médecins arrivent plutôt à des chiffres de 1 effet secondaire grave rapporté sur 500! Par conséquent quand Bruno Lina qualifie de "marginale" la hausse des narcolepsies après vaccination, il convient d'une part de réaliser que les taux de narcolepsies postvaccinales ont pu encore être sous-estimés et d'autre part que cette sous-estimation des effets secondaires affecte en fait toutes les autres catégories d'effets secondaires graves liés à ces vaccins. Dans ces conditions, l'ensemble des gens déjà victimes à l'heure actuelle de ces vaccins pandémiques ou qui le deviendront à long terme du fait d'effets immunologiques différés, n'est sans doute pas si marginal que cela mais personne, du côté des firmes ou des autorités, n'est visiblement pressé de dresser un juste état des lieux.

 

A cela, il faut aussi ajouter que des vaccins sans adjuvant peuvent donc aussi donner lieu, avec une fréquence peut-être moindre, à des cas de narcolepsies. Le fait que l'adjuvant emballe le système immunitaire et le rende plus à risque de développer des maladies auto-immunes n'est pas un scoop et ce risque d'auto-immunité est d'ailleurs aussi associé d'une façon générale à un adjuvant comme l'aluminium.

 

Même sans adjuvant, un vaccin peut favoriser l'auto-immunité qui peut donc se concrétiser, selon les individus, en sclérose en plaques chez l'un, en diabète ou en thyroïdite chez un autre ou encore en une narcolepsie chez un troisième!

 

Nous pensons d'ailleurs, au sein d'Initiative Citoyenne, qu'un mécanisme physiopathologique peut en cacher un autre, et que l'un n'exclut pas forcément un autre. Par simplisme ou par paresse intellectuelle, certains chercheurs ne conçoivent par exemple jamais que divers mécanismes liés aux vaccinations puissent favoriser une même maladie (par exemple l'autisme). Ils ne comprennent pas que l'aluminium vaccinal puisse favoriser l'autisme mais aussi le mercure, qu'un vaccin contre l'hépatite B puisse aboutir à l'autisme chez un enfant et le ROR chez un autre. Le résultat peut être cliniquement similaire mais les "chemins" pour y arriver ont pu différer. Bien sûr, les médias focalisent souvent sur un seul aspect (par exemple l'association aluminium et myofasciite à macrophages), contribuant alors à faire oublier au public les autres mécanismes possibles de toxicité, pouvant donner lieu à un éventail d'autres maladies, mais également l'implication du processus de vaccination lui-même avec ce qu'il comporte d'artificiel et d'imprévu pour l'organisme.

 

Mais les propos de Bruno Lina soulèvent de nombreuses autres questions et nécessitent aussi quelques rappels importants pour être correctement appréhendés:

 

- Bruno Lina est lié à divers fabricants de vaccins. Selon ses propres mots "C'est vrai que j'ai différentes casquettes, mais je l'assume. J'ai des collaborations, que je ne cherche pas à cacher, avec les laboratoires Roche, Sanofi, GSK, et BioMérieux". "Lorsque je donne un conseil à la ministre de la Santé en matière de stratégie de vaccination contre la pandémie, je garde toute mon indépendance." Il est donc en situation évidente de conflits d'intérêts or, normalement, les médecins sont tenus de déclarer systématiquement leurs conflits d'intérêts chaque fois qu'ils sont médiatisés (loi Kouchner du 4 mars 2002, pourtant quotidiennement bafouée en la matière)Daniel Schneidermann, fondateur d'Arrêt sur Images, considère que la non déclaration systématique par les praticiens médiatisés de leurs divers conflits d'intérêts constitue une "incivilité médicale permanente." Et que pourrait-on aussi dire des médias qui savent mais qui se taisent. Ils sont hélas complices et témoignent alors de fort peu de respect envers leurs lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs.

 

adjuvant-Pandemrix.jpg

- Le squalène appartient à cette nouvelle génération d'adjuvants huileux qui n'avaient pas encore été largement utilisés avant la fausse pandémie de H1N1. Celle-ci a donc constitué une fort bonne occasion. C'était en quelque sorte "un pied dans la porte" et le caractère de fausse urgence a donc permis aux labos d'utiliser la population mondiale comme cobayes gratuits. Voici, pour rappel, ce que déclarait Bertrand Bellier, du Laboratoire de Biologie et Thérapeutique des pathologies immunitaires de la Pitié Salpétrière, tel que repris dans le dossier "Grippe A, la vraie formule des vaccins" de la revue Science & Vie d'octobre 2009:

 

« Une chose est certaine: même si l'utilité de ces nouveaux adjuvants n'était pas démontrée dans cette pandémie, elle aura constitué une bonne occasion pour les industriels. Car s'ils reçoivent une première autorisation de mise sur le marché auprès d'une large population, les laboratoires pourront ensuite les utiliser plus facilement dans d'autres vaccins. »

 

Ces propos, couplés aux nombreux conflits d'intérêts de Lina éclairent donc peut-être d'un jour nouveau son empressement à ménager l'adjuvant au squalène (AS03) du Pandemrix.

 

- Lina parle d'une formulation pas tout à fait identique entre l'Europe et le Canada...

MAIS POURQUOI une telle différence au juste? C'est tout de même une bonne question quand on sait à quel point il est plus facile pour une firme d'avoir une seule ligne de production avec un produit strictement identique? Pourquoi diable avoir par exemple utilisé le spermicide Triton X-100 (octoxynol 10) dans le vaccin européen et pas dans le vaccin canadien? On serait curieux d'avoir ce genre de réponse.

 

Pourquoi aussi les Etats-Unis n'ont-ils pas voulu de vaccin adjuvanté? Peut-être parce qu'ils n'ont pas envie de rééditer le scandale du syndrome de la Guerre du Golfe associé à des vaccins contre l'anthrax qui contenaient non seulement de l'aluminium mais aussi des traces de squalène comme les autorités US ont fini par l'admettre.

 

- Bien sûr, on ne sait rien des effets toxiques synergiques des divers composants vaccinaux réunis puisqu'aucune analyse pharmacocinétique (donc destinée à étudier le devenir des différents composants du produit fini une fois injecté dans le corps) n'est jamais requise pour les vaccins. L'octoxynol fait-il encore moins bon ménage avec l'AS03 qu'avec le sodium dioxycholate? Ce genre de donnée sera-t-elle analysée? D'autant qu'il est probable que les labos tiennent dur comme fer à leurs nouveaux adjuvants compte tenu de l'imminence relative et probable des futures pandémies tant attendues.

 

- Un autre problème enfin, et non des moindres, vient encore se poser à ce niveau: celui de l'interdiction d'analyse de l'adjuvant AS03 par les autorités en vertu d'une des clauses du contrat scélérat et confidentiel que ces mêmes autorités ont signé au nom des citoyens. Voici en effet ce que dit la clause n°13.1 (b) en page 23/62 du contrat:

 

"Eu égard à la confidentialité de la composition exacte du composé adjuvant, au fait que cette composition repose sur un savoir-faire appartenant à GSK ou à une société affiliée et au fait que les droits de propriété intellectuelle peuvent appartenir à des tiers:

 

[...] (b) Le Ministre de la Santé publique ne procèdera à aucun test des Composés Adjuvant sauf dans la mesure des contrôles à effectuer en vertu de la présente convention ou de la réglementation ou, d'une façon générale, avec l'accord de GSK ou en vue de respecter une obligation légale ou une décision de justice ou d'une Autorité Réglementaire ou de toute autre autorité administrative;

 

(c) Le Ministre de la Santé publique ne vendra, louera, donnera, fournira à ou permettra de quelque manière l'utilisation du Composé Adjuvant par un tiers autre que les médecins traitants et/ou infirmières chargés de l'administration du Vaccin pandémique aux patients et le personnel impliqué dans la chaîne de distribution.

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 21:50

13 mars 2013

 

France: ventes de vaccins en baisse en 2012 dans un climat de défiance

 

CHUTE-VENTES.jpg

PARIS - Les ventes de vaccin ont fortement baissé en 2012 en France, dans pratiquement toutes les catégories y compris les vaccins pédiatriques, indique une étude du cabinet IMS Health publiée mercredi, qui relève un climat de défiance général.

Cette baisse prolonge une tendance antérieure bien établie, indique IMS Health dans un communiqué, en rappelant que dans la période 2008-2012, le marché des vaccins a baissé de 12% en unités et de 30% en valeur.


Dans le détail, la baisse des ventes est de 6,5% pour l'hépatite B, de 26% pour le méningocoque, de 2% pour le pneumocoque, de 8% pour le tétanos, de 1,6% pour les associations incluant une valence antitétanique.

 

La baisse s'établit également à 23% pour la typhoïde, 40% pour les vaccins contre la rougeole, 33% pour la rubéole et 11% pour les associations ROR (rougeole, oreillons, rubéole), selon IMS Health.


La couverture vaccinale ne progresse pas malgré les mesures des autorités de santé, a résumé le cabinet.


Si certaines baisses de vaccins trouvent des explications techniques comme l'arrêt de la production du vaccin contre la rubéole ou bien encore les difficultés d'approvisionnement des vaccins contre la typhoïde en 2012, cela n'explique pas tout, note Claude Le Pen, économiste de la santé et consultant d'IMS Health.


Selon l'étude, ce recul est surtout lié à un climat de défiance vis-à-vis du médicament qui s'est développé en France ces dernières années, notamment en ce qui concerne la politique vaccinale.


Le cabinet IMS Health pointe l'impact faible ou nul de l'accord entre médecins généralistes et caisses de sécurité sociale sur un objectif de vaccination anti-grippale de 75% pour les personnes âgées.


Pour Claude Le Pen, le nouveau calendrier vaccinal, qui sera publié en avril 2013, devra comporter des mesures concrètes et s'inscrire dans le Programme national d'amélioration de la politique vaccinale 2012-2017 visant à restaurer la confiance des Français.

 

Sources : AFP/ Romandie

 

Pour le Quotidien du Médecin, c’est la faute à la médiatisation excessive des effets secondaires. Jusqu’à preuve du contraire toutefois, les gens ont légitimement le droit de savoir A QUOI ILS S’EXPOSENT car les médecins conseilleurs ne sont jamais les payeurs. Mais il est clair que les vaccinations et leurs suites constituent une part intéressante de revenus pour les praticiens (il ne faut pas se voiler la face).

 

En outre, il est affligeant de voir A QUEL POINT les autorités refusent de prendre acte du CHOIX des gens avec toujours comme objectifs des pourcentages obsessionnels de couverture vaccinale (d’où un tel harcèlement auprès des gens, harcèlement qui n’a d’égal dans AUCUN autre domaine de la vie !!!) Avoir été inscrire des chiffres de couverture vaccinale (95% pour tous les vaccins!) dans une loi dite "de santé publique" en dit long sur la vision autoritariste des autorités en matière de santé, d'information des gens et de respect de leur intégrité physique! Mais ne l'oublions quand même pas, les autorités s'estiment être "les partenaires naturels" des pharmas. Le parallèle est par ailleurs énorme avec la situation européenne: les gouvernements ayant enchaîné leurs peuples contre leur gré à une inquisition budgétaire de la part de l'UE, ils ont aussi refusé d'entendre leur choix lors du référendum. Sans cesse, forcer la main des gens...affligeant!!

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 21:40

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Des nanoparticules pour un vaccin contre la cigarette :

 

16 mars, 2013, RIA Novosti

 

Le groupe russe de la compagnie américaine Selecta Biosciences a annoncé les premières nanoparticules dotées d’un composant actif pour vacciner contre la cigarette. C’est un grand pas dans l’approfondissement de l’étude des vaccins synthétiques à partir de nanoparticules, a déclaré Rusnano.

 

«Le groupe russe [de Selecta Biosciences] doit considérablement accélérer le développement et la commercialisation de nouveaux vaccins pour soigner et prévenir les pathologies menaçant la vie humaine », a fait remarquer le vice-directeur général de la compagnie Selecta Biosciences en Russie, Dmitri Ovtchinnikov.

 

Ensuite, Selecta Biosciences en Russie prévoit, en particulier, de tester la réaction immunologique des animaux mis en contact avec le principe actif biologique du vaccin.

 

Selecta Biosciences est une compagnie biopharmaceutique américaine qui, en collaboration avec Rusnano, a pour projet de produire en Russie des médicaments novateurs. Selecta Biosciences a créé en Russie une filiale : SARL Selecta (Rous).

 

La société anonyme Rusnano est entièrement possédée par l’État. En mars 2011, Rusnano est passé du statut société d’État à celui de société anonyme.

 

Sources : RIA Novosti & La Russieaujourd’hui.fr

 

Et puisqu'on parle de prétendus "progrès", que dire aussi de ce qui suit, les méthodes de vaccination du futur qui forceront de plus en plus le corps à réagir à des procédés très éloignés de ceux pour lesquels il est prévu, avec bien entendu (il ne faut pas être devin pour le dire!) des conséquences morbides incommensurables à la clé.

 

Déjà aujourd'hui (c'est bon de rappeler les chiffres tout de même parce que quelque part, ça fait l'effet d'un verre d'eau en pleine figure, pour ceux qui croyaient encore que la médecine a vraiment réussi à améliorer la santé des gens et leur qualité de vie):

 

80% des 65 ans et + ont AU MOINS 1 MALADIE CHRONIQUE  &....

 

85% des 75 ans et + en ont......... AU MOINS 3!!!!

 

Source: Les mutualités libres dans "L'avenir des Soins de Santé en Belgique" (cfr p. 5)

 

Ca ne signifie donc PAS que 1 personne sur 6 de 75 ans et + n'ait aucune maladie chronique, non, car dans ces 15% restants, certains en ont 2 ou une mais quel pourcentage n'en a aucune??

 

NB: C'est vers 65 ans qu'on recommande au plus tard de commencer le cercle vicieux de l'inutile vaccination antigrippale. Donc chiffres de maladies chroniques à 65 ans à comparer aussi à ceux des + de 75 ans après 10 ans de vaccination antigrippale...

 

Powdermed, une soi-disant technologie qui permettrait de vacciner "en toute sécurité" avec seulement 1/1000 ième de la dose vaccinale habituelle et qui recourerait à 2µg d'ADN sec, introduit dans le corps par un système sans aiguille.

 

Pfizer a racheté en 2006 la firme britannique qui a développé ce système... pour ressortir bientôt ce genre de "découverte" de ses tiroirs quand la contestation vaccinale sera à son paroxysme??!

  powermed-copie-1.png

                              Vaccination avec le système sans aiguille Powder Med (l'ADN en poudre

                               étant propulsé avec un système à l'helium)

 

 

Source: Deathbyvaccination.com 

 

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 21:00

AUTORITAIRE.jpg

L'association inter-universitaire PROVAC qui a pour mission contradictoire la promotion ET l'expertise des programmes vaccinaux en Communauté française a aussi pour responsable le Dr Béatrice Swennen qui a des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins selon un rapport officiel du Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé de mai 2011.

 

C'est pourtant cette même association à qui la Communauté française a confié la mission sensible de rédiger la communication aux jeunes et aux parents en matière de vaccination anti-HPV scolaire. Une mission non remplie à cet égard, selon ce que l'Association Vie Féminine avait notamment écrit à la Ministre Laanan en janvier 2012.

 

Mais Provac a aussi pour mission le prosélytisme vaccinal auprès des médecins.

 

En fait, il faut vacciner sans relâche, toujours plus. Par principe. Et adapter au besoin les faits en les déformant au contour étroit des théories et de l'idéologie vaccinalistes. Au point, bien sûr aussi de ne même plus se rendre compte qu'au regard du droit (y compris international, y compris les Droits de l'Homme), toute vaccination obligatoire a toujours été illégale!

 

Dans une brochure de 4 pages intitulée "La Santé pour tous" (un comble quand on sait les effets calamiteux des vaccins, à fortiori quand on les répète tout au long de la vie!), on peut lire la prose de Marie-Christine Miermans, psychologue-stratège de la cellule Provac.

 

Mme Miermans se présente comme une professionnelle de la promotion de la santé (sic!) avant de lister "les valeurs" (resic!) de Provac. Selon ses dires, les valeurs de Provac seraient l'équité (elle a bon dos l'équité mais en termes de nivellement par le bas de la santé de tous, on doit pas en être très loin) et l'accessibilité à la prévention vaccinale de tous ceux qui la choisissent pour eux et leurs enfants (un comble vu le véritable harcèlement vaccinal qu'on connaît aujourd'hui et vu aussi que ce n'est même plus une question de choix pour tous les parents qui sont forcés de mettre leurs enfants dans les crèches ONE pour pouvoir travailler). Mais Mme Miermans ne s'arrête pas en si bon chemin et tient aussi à rappeler que Provac lutte aussi "contre les inégalités sociales en matière de santé" et alors, la meilleure de l'année... "pour l'accès à l'information pour tous".

 

Là, on croit vraiment rêver puisqu'il s'agit en réalité d'une pseudo information absolument non objective, mais uniquement ORIENTEE dans le but de persuader le moindre chaland de recourir à la vaccination à la moindre occasion.

 

Après avoir allègrement englobé la vaccination au même titre que l'amélioration des conditions d'hygiène, de l'eau et de l'alimentation, dans la réduction drastique de la mortalité infectieuse au XXième siècle, Mme Miermans nous ressert le traditionnel couplet culpabilisant sur "la solidarité" et le fait que les vaccins seraient en fait "victimes de leur propre succès".

 

Elle écrit même sans complexe que "toute vaccination évite généralement à une personne de contracter la maladie, mais lui permet aussi de ne pas la transmettre à d'autres."

 

Elle poursuit ensuite en affirmant que les "experts scientifiques" et les autorités sanitaires se prêtent à une évaluation des bénéfices attendus versus les risques encourus avant toute intégration d'un nouveau vaccin dans le calendrier vaccinal. Cette affirmation gratuite rassurera les plus crédules. Hélas, c'est évidemment faux car les "experts" partent toujours du postulat idéologique que tous les risques dont ils disent ne pas comprendre les mécanismes, ne sont jamais liés aux vaccins. Ils comparent donc une diminution possible du cas des maladies à prévention vaccinale avec un risque de fièvre ou de rougeur au point d'injection. Sans surprise alors, et pour le plus grand bonheur des firmes qui ont exclusivement financé les données sur lesquelles ces grands "experts" se prononcent, ces derniers décrètent que tout est OK, qu'il s'agit d'un progrès et qu'il faut non seulement rembourser mais aussi élargir le vaccin au plus grand nombre.

 

Comme vous aurez pu le constater sur ce site, à de multiples reprises nous avons interrogé ces soi-disant "experts", professeurs ou infectiologues, sans oublier aussi la direction médicale de l'ONE (par recommandé là pour le coup) sur les critères d'évaluation de la sécurité des vaccins et jamais le moindre d'entre eux n'a été capable de nous répondre! Lors du débat sur la vaccination infantile organisé par le groupe des Objecteurs de Croissance à l'Université Libre de Bruxelles le 14 octobre 2011, Provac était invitée mais a appliqué la politique de la chaise vide. Ces gens craignent le débat et n'acceptent que les séquences différées et facilement modulables au montage. Lors de l'émission sur les vaccins diffusée le 17 octobre dernier dans Question à la Une aussi, nous avons rappelé les carences graves dans l'évaluation de la sécurité des vaccins et qui font, par définition, que TOUTE vaccination quelle qu'elle soit est et demeure expérimentale. En effet, tant qu'il n'y aura pas d'études de tolérance des vaccins sur le long terme, que les vaccinés ne seront pas comparés à des gens vierges de tout vaccin (pour éviter les biais), qu'il n'y aura pas d'analyse pharmacocinétique des vaccins ni d'analyse de leur potentiel cancérogène, mutagène et tératogène (contrairement par exemple aux médicaments mais aussi aux produits cosmétiques!!), l'ampleur des risques est tout simplement indéterminable et partant, la moindre analyse bénéfices/risques ne peut donc, dans les faits, JAMAIS être effectuée.

 

Dans cette même émission, les experts officiels ont nié ce caractère franchement expérimental de la moindre vaccination en essayant de noyer le poisson avec les études destinées à pratiquer une simple prise de sang assez rudimentaire sur les cobayes humains vaccinés au cours des essais cliniques ou encore, ils ont évoqué les dosages d'anticorps. Il faut se rendre compte que ces tests-là ne sont EN RIEN équivalents aux exigences minimales d'évaluation de sécurité telles qu'énumérées ci-dessus. Les anticorps servent, dans la vision étroite des vaccinalistes à dire si, dans leur conception, tel vaccin est efficace ou non, cela n'a donc rien à voir avec l'évaluation de la sécurité des vaccins.

 

Pour le H1N1 aussi, il convient de se souvenir que la Ministre Onkelinx avait nié le caractère expérimental du Pandemrix, de même que Mr De Cuyper, Administrateur général de l'Agence belge des Médicaments (AFMPS). Pourtant, la publication en mai 2010 du fameux contrat d'achat de vaccins  a montré noir sur blanc que nous avions raison et que le vaccin Pandemrix, comme tous les autres vaccins du marché d'ailleurs, était bel et bien expérimental.

 

La suite avec les narcolepsies n'était que la partie émergée de l'inévitable iceberg que nous avions prévu et annoncé, souvenez-vous. Nous l'avions bien dit: de toute façon, il y aura des victimes mais on ne sait pas dire à l'avance sur qui ca va tomber.

 

Lorsqu'on a compris le drame que représente la non satisfaction de ces exigences d'évaluation pour des produits imposés pourtant à un si grand nombre de personnes et de nouveaux-nés, on ne peut évidemment que frémir à la lecture des propos de cette Mme Miermans qui évoque notamment (sa mission au sein de Provac en tant que psychologue?) le fait de "créer des conditions qui permettent de MIEUX ACCEPTER LE RISQUE".

 

Ca c'est clair qu'une des ficelles, c'est de tout simplement le taire ce risque ou de le minimiser pour maximiser les chances que les gens tendent le bras puis hop, une fois que c'est dans le corps et que ce qui s'y passe est de toute façon irréversible et incontrôlable, ce que les gens pensent n'a plus trop d'importance. Sauf peut-être en ce qui concerne l'effet fâcheux sur les programmes vaccinaux puisque les gens qui se rendent compte après coup d'avoir été désinformés seront donc tout naturellement peu enclins à retomber dans le panneau lors de la prochaine proposition-entourloupe vaccinale!

 

Mais ce n'est pas tout, Mme Miermans avoue finalement noir sur blanc la machine autoritaire implaccable à laquelle elle contribue au sein de Provac puisqu'elle déclare:

 

"A titre collectif, quand les experts recommandent l'introduction d'un vaccin dans le calendrier vaccinal et que les autorités sanitaires et politiques décident de le financer en le rendant accessible dans le circuit de distribution gratuit des vaccins de la Fédération Wallonie-Bruxelles, il existe, pour le programme, une obligation de résultats en termes de couverture vaccinale adéquate, et donc d'adhésion du grand public et des professionnels de santé."

 

En d'autres termes, une fois que les experts (dont la collusion de plusieurs avec les pharmas est connue) ont fait les affaires de ces dernières, les gens n'ont plus qu'à suivre de façon à éviter un bide aux politiciens irresponsables qui ont cautionné pareil système scandaleux. Mais où est-ce qu'on est???? Qu'est-ce que c'est que ce cirque sinistre où les gens servent finalement le programme bien plus que le programme ne les sert et où le maître mot est dépendance plutôt qu'autonomie? On marche vraiment sur la tête et visiblement, ce ne sont pas forcément les psychologues institutionnels qui nous aideront à normaliser la situation!!!!!

 

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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 18:52

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Voici un article très révélateur des dérives de l'approche utilitariste des technologies... qui en viennent à assimiler finalement le vivant à un simple "support de transmission". (en noir gras)

 

Regardez bien aussi (en rouge) comme ces dérives technologiques sont TOUJOURS accompagnées d'une énumération de pseudo avantages sécuritaires ou pratiques. Ca va toujours de pair car il est en fait toujours question de faire passer ces prétendues "avancées" comme étant un réel progrès. Dès lors, sans contrebalancer le côté inquiétant de ces technologies de plus en plus intrusives par de pseudo bénéfices pratiques, il est peu probable d'arriver à persuader positivement l'opinion publique.

 

Des RFID utilisent le corps humain :

 

13 mars 2013,  Daniel Battu

 

Un système RFID original est proposé qui utilise le corps humain comme support de transmission entre le capteur et l’étiquette. Plusieurs entreprises travaillent actuellement aux essais de validation de ce système d’identification par radiofréquence développés par  Microchip Technology. Elles tentent de définir les meilleures façons d’intégrer cette nouvelle technologie dans leurs propres applications, par exemple, celle d’un système d’accès à un véhicule sans clé.

 

Alors que les systèmes traditionnels de transmission de données RFID qui emploient l’espace hertzien utilisent simplement une étiquette ou une unité réceptrice à la proximité du système interrogateur, la solution « BodyCom » exige que les deux balises et l’interrogateur soient placés à la proximité du corps d’une personne. En utilisant le corps humain pour la transmission d’un signal, BodyCom n’a pas besoin d’autant de puissance, pas plus qu’elle n’exige une antenne de lecteur RFID. Cela permet aussi une durée de vie plus longue de la batterie de la télécommande et de l’étiquette d’identification. La transmission elle-même sera mieux sécurisée, car il n’est pas alors possible d’intercepter ces signaux RF.

 

L’unité de base du lecteur emploie un couplage capacitif à la place d’un lecteur d’antenne classique pour transmettre un signal de 125 kHz par l’intermédiaire du corps humain, lequel assure une communication sécurisée de canal à une balise mobile. Celle-ci répond en transmettant un signal à 8 MHz, codé avec le nombre lié à l’identification unique. La transmission de cette étiquette se déplace également le long du corps et jusqu’à l’unité de base, qui réagit en déclenchant l’action demandée, telle que le déverrouillage de la porte d’une voiture ou d’un bâtiment.

 

Pendant environ 15 ans, Microchip a fourni la technologie sans fil utilisée dans des dispositifs tels que les ouvertures de portes de garage et de serrures de voiture sans clé d’entrée faites d’un récepteur radio et d’un émetteur. Cependant, ces systèmes communiquent en basse fréquence, un signal que les voleurs de voitures ou d’autres personnes peuvent intercepter à distance. Pour lutter contre cette possible interception, les systèmes RFID peuvent demander à l’utilisateur de composer un mot de passe, etc. En utilisant la conductivité du corps humain, ces mesures de protection deviennent inutiles, puisque la transmission est sécurisée.

Pour en savoir plus www.rfidjournal.com/

 

Source: Smart-webzine.com

 

PS: l'image d'illustration ne provient PAS du site susmentionné dont est tiré l'article.

 

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 00:00

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Le Soir avait écrit au sujet de Wakefield "un docteur au ban d'infamie". Vraiment?

 

Une récente étude et plusieurs décisions de justice vont au contraire, tout à fait dans le sens des résultats obtenus par Wakefield et la dizaine d'autres confrères qui avaient eux aussi cosigné cette publication, retirée en réalité depuis pour cause non pas de fraude mais de mise en sursis du système vaccinal tout entier.

 

Il faut dire, comme récemment rappelé dans une conférence donnée en décembre dernier par le Dr Wakefield au Texas, qu' « On ne fait plus de nouvelles découvertes à propos des principaux médicaments. L’industrie perd ses brevets ; elle va perdre pas mal d’argent. « Les vaccins représentent le futur ». C’est ce qui est publié dans le Wall Street Journal. On prédit 40% de croissance dans le secteur des vaccins qui seront rendus obligatoires pour les adultes et les enfants.»

 

Compte tenu de tels enjeux colossaux, on conçoit sans trop de difficulté qu'il fallait faire passer Wakefield pour un ripou.

 

Pour autant, voici encore une étude (parue dans Plos One) qui va dans le sens de ses travaux et qui vient démontrer un lien entre désordres du spectre autistique et des modifications pathologiques au niveau des tissus intestinaux.

 

En fait, il faut se rappeler que Wakefield avait abouti à ces mêmes résultats et qu'ayant retrouvé le virus vaccinal de la rougeole (issu du vaccin ROR) dans l'intestin de ces enfants autistes, il était licite qu'il puisse l'envisager comme cause potentielle et recommander de plus amples investigations. Seulement voilà, on n'a surtout jamais voulu y procéder et il fallait à tout prix étouffer les prémisses de cet Xième scandale vaccinal-là. Il faut en outre bien se rendre compte également qu'une dizaine d'autres professionnels de santé avaient signé cette publication contestée et qu'il est donc vraiment peu crédible qu'ils se soient tous rétractés de leur plein gré, comme s'ils n'avaient pas mûrement étudié le sujet avant d'accepter de cosigner. Il est assez probable en revanche qu'ils aient reçu des pressions et que leurs carrières entières étaient en jeu.

 

Le site Age of Autism indique également qu'un tribunal américain a donné raison en décembre dernier à la famille de Ryan Mojabi qui disait qu'il avait subi de graves dommages cérébraux à la suite d'une vaccination ROR et avait fini par être diagnostiqué comme un trouble du spectre autistique. Toujours en décembre, la politique des autorités a encore été désavouée, avec l'octroi d'une indemnisation à la jeune Emily de Houston qui a elle aussi manifesté des lésions cérébrales après avoir reçu ce même vaccin ROR et qui est à la suite devenue autiste. (+ d'infos sur ces deux cas en français, ici)

 

Ces deux cas s'ajoutent donc aux autres procès similaires déjà gagnés par des parents italiens et américains: Hannah Poling, Bailey Banks (cfr 4° note du lien), Misty Hyatt, Kienman Freeman, Valentino Bocca et Julia Grimes. Dans toutes ces affaires, les tribunaux ont soit statué qu'il y avait un lien entre l'autisme et la vaccination, soit les autorités ont fini par reconnaître elles-mêmes ce lien. Tous ces cas avaient été diagnostiqués comme étant des cas d'autisme avec comme dénominateur commun d'être survenus peu après l'administration du vaccin ROR.

 

Voir aussi la vidéo de la conférence de décembre 2012 au Texas du Dr A. Wakefield:

 

  

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 18:51

Manuguerra.jpg

C'est étrange cette certitude sans cesse répétée qu'il y aura forcément une "grande épidémie" ou pandémie au 21° siècle, mais après la fausse pandémie du H1N1, certains rêvent malgré tout de remettre le couvert avec leurs vaccins en embuscade bien sûr!

 

Jean-Claude Manuguerra, virologue de l'Institut Pasteur, qui n'a pas arrêté de rassurer (à tort) sur le vaccin H1N1 lors de cette fausse pandémie de 2009, a même reçu une tribune dans le Figaro pour y partager ses prédictions et ainsi toujours mieux préparer l'opinion publique à cette inéluctable fatalité d'une prochaine pandémie (tant attendue?).

 

"Quelle sera la prochaine grande épidémie?" titre cet article écrit par ses soins.

 

S'ensuit alors la mention suivante :

 

"AVIS D'EXPERT - L'analyse du responsable du Dr Jean-Claude Manuguerra, responsable de la cellule d'intervention biologique d'urgence à l'Institut Pasteur et président du comité de pilotage du réseau mondial d'alerte et d'action en cas d'épidémie. "

 

Bizarre qu'il ressente le besoin d'écrire "AVIS D'EXPERT" sur un article écrit par lui. C'est peut-être indispensable pour s'auto-rassurer après la fausse surprise des narcolepsies  qu'il n'avait pas prédite en lien avec l'usage massif de vaccins expérimentaux dont certains contenant du squalène (= pourvoyeur logique de maladies auto-immunes lorsqu'il est injecté)? Car il faut dire que tous les experts et virologues officiels avaient juré leurs grands dieux que les vaccins pandémiques étaient sûrs et bien tolérés.

 

En conclusion de cette tribune, on peut lire ceci:

 

« Peut-on donc dresser un portrait-robot du prochain pathogène émergent capable de créer la prochaine grande épidémie au XXIe siècle? Partant des constats énoncés ci-avant, il pourrait s'agir d'un virus à ARN, doué d'une grande plasticité génétique et contagieux à transmission respiratoire, d'origine zoonotique et qui aurait accompli son passage vers l'homme plusieurs fois avec un seul succès dans une région où se sont produits de grands changements dans l'utilisation des terres, puis il aurait été initialement amplifié chez l'homme à l'insu des autorités sanitaires au sein d'une mégalopole. Qui vivra verra ! »

 

 

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 23:22

Un lecteur a eu le bon réflexe de nous communiquer le récent article d'un bloggeur, enseignant à l'Université de Poitiers. Cet article est vraiment instructif en ce sens qu'il réunit tous les lieux communs et les raccourcis les plus grossiers en matière d'appréhension de la problématique vaccinale. Analyse...

 

Le blog de Nima Yeganefar, enseignant à l'Université de Poitiers, mentionne fièrement le logo de l'Université (en haut à droite), et en haut à gauche de l'article, on peut lire la mention "Cogito blogs; parole d'experts".

 

nima-yeganefar-copie-1.JPG

 

L'article s'intitule "Vaccinations: conséquences funestes des peurs irrationnelles". Après une introduction sous forme d'attaque inconsistante envers Andrew Wakefield, l'article continue en martelant que "les vaccins ne sont en rien corrélés à l'autisme!". Bien sûr, l'auteur passe complètement sous silence toutes les autres études qui ont confirmé les travaux de Wakefield (logique, il ne les connaît même pas et cela transparaît d'ailleurs de son affirmation péremptoire selon laquelle "toutes sont unanimes : il n'y a aucun lien entre les vaccins et l'autisme.")

 

Nima Yeganefar aborde ensuite les composants des vaccins, il qualifie le mercure d'adjuvant, confondant ainsi additifs et adjuvants (ces derniers étant censés booster l'immunogénicité des vaccins, alors qu'un additif comme le mercure a un rôle de conservant, ce qui est très différent).

 

Il minimise complètement la toxicité du thiomersal en tentant de brouiller les pistes avec la distinction entre méthylmercure et éthylmercure, alors que le Pr Boyd Haley et les chercheurs Geier & Geier ont très bien démontré la toxicité évidente du thiomersal (éthylmercure). Il montre en écrivant cela qu'il ignore complètement l'existence en 2000 de la fameuse réunion secrète de Simpsonwood aux USA qui a réuni à huit clos les industriels des vaccins, les officiels de santé américains et ceux de l'OMS pour discuter de la meilleure façon de camoufler les véritables risques du mercure vaccinal au public. Le parlementaire américain Robert Kennedy Jr a fort bien écrit à ce sujet, c'est vraiment on ne peut plus limpide et on comprend ainsi mieux l'angélisme décalé de Mr Yeganefar.

 

En outre, confondre manque de données (sur le thiomersal) avec preuves de son innocuité, constitue une faute logique grave pour tout universitaire qui se respecte. Pour Mr Yeganefar, l'éthylmercure (thiomersal) serait sûr, par rapport au méthylmercure. Voici pourtant ce que déclarait encore en 2007 l'Agence de Santé publique du Canada au sujet du thiomersal:

 

"Par contraste (avec le méthylmercure), on connaît peu de chose du métabolisme de l'éthylmercure chez les humains. A-t-il le même potentiel neurotoxique? La même concentration sanguine significative ? Et franchit-il la barrière hémato-encéphalique? On présume que la majeure partie de l'éthylmercure du thiomersal est rapidement excrétée par voie fécale.[...] Le risque, au mieux, peut-être décrit comme théorique."

 

Voilà donc des gens qui présument (comme on a aussi présumé avec l'aluminium qu'il était rapidement éliminé, alors que ce n'est absolument pas le cas!!) et comme ils présument, il n'y a donc aucun besoin d'évaluation DANS LES FAITS. Comme il n'y a aucune évaluation dans les faits, ils peuvent donc présumer que ce ne sont que des "risques théoriques". Forcément! On est bien là dans un raisonnement circulaire qui repose en réalité uniquement sur une mauvaise foi d'autant plus dramatique qu'il s'agit de santé publique. Mais tout ceci démontre aussi que les "experts" qui sont soi-disant dans la science et "le rationnel" sont surtout complices de vaccinations clairement expérimentales, et illicites de surcroït, puisque les vaccinés ne sont jamais avertis en temps réel des carences existantes dans l'évaluation des cocktails chimiques avec lesquels on les vaccine.

 

Avec l'aluminium aussi, l'homme tente de dédramatiser en arguant que l'aluminium est aussi ingéré et soi-disant en plus grande quantité (sauf que le filtre digestif sert évidemment à quelque chose et qu'il préserve nettement plus l'intégrité du sang et des organes que lorsque le produit est injecté profondément dans les muscles où il n'a rien à y faire!). Il passe sous silence le fait qu'il est particulièrement neurotoxique, qu'il affecte le développement neurologique normal des enfants, qu'il est associé à l'autisme (étude récente de chercheurs du MIT) et aussi qu'une fraction de l'aluminium injecté finit au cerveau où il va s'accumuler,  sans plus jamais pouvoir en ressortir! En cela, ce Nima Yeganefar est un peu un enseignant hors du temps, qui aurait pu écrire ce genre d'article en toute bonne foi s'il avait passé 30 ans sur Mars ou sur la Lune et qu'il était soudain revenu sur terre!

 

Car il faut dire que cet auteur en est encore quasiment au temps des chandelles, en témoigne sa croyance, hissée en certitude, en la validité de la théorie toxicologique périmée que "c'est la dose qui fait le poison", alors que cette théorie n'est absolument plus valide pour un grand nombre de substances chimiques. En effet, il s'avère au contraire qu'on sous-estime la toxicité de substances chimiques à faibles doses, selon des chercheurs qui s'étaient exprimés il n'y a pas si longtemps dans Le Monde. Pour eux, les évaluations devraient donc être revues.

 

En juin 2011, André Cicolella, Président du Réseau Santé Environnement, chercheur en santé environnementale et spécialiste de l'évaluation des risques sanitaires, était interviewé par le Point. Le titre de l'interview était précisément: "Ce n'est PAS la dose qui fait le poison."

 

LE-POINT-CICOLELLA.JPG

 

 

Récemment, dans le Monde, le toxicologue Claude Reiss expliquait même:

 

"Des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés."

 

Comme rappelé par André Cicolella, "les perturbateurs endocriniens agissent à des doses si faibles que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a pu conclure, dans un rapport de 2011, que les effets de l'un d'eux, le bisphénol A, étaient avérés à "des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires".

 

Il est certain que ce seul propos marque un tournant. Car du même coup, la dose journalière admissible (DJA) du bisphénol A - sa limite légale - pourrait être divisée par... 2 millions, selon le toxicologue André Cicolella.

 

Le bisphénol A pourrait même "avoir des effets plus importants à très faible niveau d'exposition qu'à haut niveau", ce qui mettrait à bas tout l'édifice."

 

En outre, il s'avère aussi que l'exposition précoce (foetus et jeune enfant) à divers produits chimiques puisse induire des modifications de l'expression de certains gènes, pouvant se solder par l'apparition de maladies graves à l'âge adulte. Or, qui peut valablement jurer que les produits chimiques des vaccins n'en font pas partie puisque les études officielles ne comparent JAMAIS des enfants vaccinés à des enfants vierges de tout vaccin?

 

Et alors que cet enseignant de l'Université de Poitiers fait tout son possible pour banaliser l'usage d'aluminium, il semble que même chez GSK, on doive trouver une telle ignorance franchement bidonnante. Il suffit pour s'en convaincre de se rappeler les aveux on ne peut plus clairs de LA spécialiste mondiale de GSK, le Dr Nathalie Garçon, responsable du Centre mondial des adjuvants de la multinationale britannique, lors d'un symposium de 2002 aux USA sur la sécurité des vaccins:



"En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." (cfr p. 220)



Hier soir encore, ARTE diffusait son documentaire "Planète Alu" qui abordait entre autre les effets délétères de l'aluminium d'où qu'il vienne (cosmétiques, alimentation, vaccins, etc...). Voici une image parmi tant d'autres, issue de ce documentaire, et qui est celle d'un patient détruit par l'aluminium des vaccins, atteint d'une maladie invalidante appelée myofasciite à macrophages et obligé de subir une biopsie du deltoïde dans le but d'être diagnostiqué:

 

biopsie-du-deltoide.JPG

 

Faut-il alors, au vu du contenu affligeant exhibé par Mr Yeganefar sur son blog, finir par en déduire que pour lui, ces patients subiraient ce type d'examen invasif pour passer le temps? Mais dans le domaine des vaccins, on n'est de toute façon pas à ce déni et à ce manque de respect près, les victimes le savent bien.

 

Chris-Shaw.JPG

 

Mais voici aussi l'avis du chercheur en neurosciences canadien, le Dr Chris Shaw, qui assistait au 8° Congrès international sur l'auto-immunité, en mai dernier à Grenade. Pas un informaticien, ni un mathématicien, mais quelqu'un qui a une compétence particulière en neurologie et qui ne s'est pas contenté de relayer des théories ou des idéologies mais bien des constatations basées sur des faits avérés:

 

« On a injecté à des souris le vaccin contre l'anthrax (à base d'aluminium) utilisé lors de la première Guerre du Golfe. Après vingt semaines d’études sur les souris, mon équipe a mis en évidence des augmentations importantes de l’anxiété (28%), de déficits de mémoire (41 fois plus d’erreurs que dans le groupe témoin) et d’allergies de la peau (20%). Des prélèvements de tissus effectués sur les souris « sacrifiées » ont montré des cellules nerveuses nécrosées. Dans la zone contrôlant le mouvement, 35% des cellules étaient détruites.

 

« C’est suspect, déclare Chris Shaw. Soit ce lien est connu de l’industrie et n’a jamais été rendu public, soit l’industrie n’a jamais été obligée par le ministère de la Santé canadien de mener ces recherches. Je ne sais pas quelle hypothèse est la plus effrayante. »

 

 « Aucun membre de mon équipe ne veut plus se faire vacciner, commente Shaw. Ces résultats nous ont donné la chair de poule. »

 

Selon le neurologue, il existe environ 10 000 études démontrant l’innocuité de l’hydroxyde d’aluminium dans les injections (d’où évidemment les propos faussement rassurants de Mr Yeganefar qui n’a sans doute pas réfléchi plus loin que le bout de son nez). Mais il n’a pu en trouver une seule qui ait été conduite au-delà des premières semaines suivant l’injection. Il invite ceux qui détiendraient une étude aux résultats différents de la présenter. « Ça, c’est une démarche scientifique », conclut-il.

 

Puis que dire aussi des aveux d'un autre médecin d'une pharma, de Sanofi cette fois, le Dr Saluzzo, qui avoue, lui, qu'ils ne savent pas du tout comment marchent les vaccins qu'ils produisent mais qui sont pourtant imposés à des millions de gens dans le monde!!!!! Encore un autre indice accablant donc que les vaccinations sont toutes expérimentales.

 

Pour le formaldéhyde, c'est le même genre de raisonnement absurde que nous offre cet universitaire Yeganefar, avec comparaison au formaldéhyde alimentaire, comme si les modes d'administration n'avaient aucune importance (on a bien vu par exemple avec le squalène qu'il n'en est rien, le filtre digestif le rendant sûr là où l'injection de squalène expose au contraire à un sérieux risque de maladies auto-immunes!). Que le formaldéhyde vaccinal soit un cancérigène certain (de classe 1 donc) et qu'en plus, il n'est cependant jamais requis la moindre analyse du potentiel cancérogène pour les vaccins, ne semble pas du tout interpeller ce brillant enseignant. Pour autant, ce monsieur échoue totalement à vous démontrer qu'il est irrationnel de penser que chez X % des vaccinés, cette petite dose de formaldéhyde, cumulée à toutes les autres, puisse déboucher sur un cancer, qui eût été jusque là évitable.

 

Après tant d'âneries, aussi lourdes de conséquences pour les crédules qu'il aurait pu persuader, on est tenté de cliquer sur l'incontournable rubrique "Qui suis-je?":

 

« Je suis enseignant à l‘IUT de Poitiers et chercheur au LIAS en automatique. Passionné depuis quelques années par les sujets tournant autour des sciences et pseudo-sciences, je me décide à ouvrir ce blog en cherchant à défendre un point de vue rationnel (sceptique). On parlera donc notamment des médecines alternatives (homéopathie, acupuncture, naturopathie, ostéopathie, etc.), des débats controversés comme les OGMs, les vaccins, le nucléaire, les ondes, etc., et de tout ce qui tourne autour du paranormal comme les ovnis, les « mentalistes », les sourciers, etc.

 

Vaste programme donc, et vous l’aurez bien compris, je ne suis expert dans aucun de ces domaines. Il faut considérer ce blog donc pour ce qu’il est, un point de vue de type journalistique sur des questions de sociétés liées à la science. »



C’est vraiment à se demander si ce bloggeur n’est pas gêné que la page de son article appose malgré tout la mention « Parole d’Experts ». Mais il faut dire que lorsqu’il dit que son approche est de type journalistique, on ne peut pas vraiment lui donner tort, les médias s’illustrant régulièrement de façon aussi médiocre, avec ce genre de raccourcis grossiers et anti-scientifiques.

 

Mais voilà ce qui arrive donc finalement, quand on s’attelle à trop de domaines si différents : les mathématiques, l’informatique, les OVNIS, les OGM, les vaccins, le nucléaire, sans oublier aussi les sourciers… tout finit sans doute par se mélanger dans la tête faisant un grand glubi-bulga indigeste et si peu rationnel.

 

Cet enseignant aura-t-il fait honneur à son Université avec ce genre de tribune vaccinale ?

 

On reste sceptique !!

 

PS: Au lien suivant, vous pourrez-lire plusieurs échanges entre Initiative Citoyenne & l'auteur de ce blog ainsi qu'un autre fidèle lecteur de son site. La réponse d'Initiative Citoyenne est chaque fois clairement indiquée. Il nous semble que nous avons dit l'essentiel, le gros des arguments de ces gens étant soit des affirmations subjectives ("je suis pour le rationnel, pas pour l'émotionnel" etc, très bien mais nous aussi, enfin bref) ou alors, pour ce qui est de l'autre bloggeur, des attaques personnelles, tentant de nous mêler à telle ou telle mouvance, tant cela vole bas et tant il n'a aucun argument de fond. Très décevant donc pour un blog issu d'une Université!

 

Pour suivre le fil des commentaires auquel a participé Initiative Citoyenne, voir ICI et ICI.

 

Utile aussi & lié à ce topic: l'interview du pédiatre américain Dr L. Palevsky, qui déplore ce manque de bons standards scientifiques dans l'évaluation de la sécurité des vaccins.

 

Voir aussi la seconde réponse d'IC à Sham & Science intitulée:

 

"Ethique vaccinale & prostitution de la Science"

 

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 23:12

Qu'il soit d'origine industrielle, cosmétique, alimentaire ou vaccinale, l'aluminium est toxique, et ce documentaire d'hier sur ARTE vient encore nous le rappeler.

 

"Planète ALU" vient nous rappeler que l'aluminium, aussi "pratique" qu'il puisse sembler sur un plan commercial et industriel, est associé à un taux inacceptable de souffrances et de maladies: cancer du sein, Alzheimer, myofasciite à macrophages,... autant de désastres dont les victimes ne font quasiment jamais le lien avec ce poison et qui auraient pourtant pu être évités si certains avaient été moins cupides et surtout, si les autorités, y compris européennes, avaient joué le rôle pour lequel elles sont payées.

 

 

 Au terme de ce documentaire, deux réflexions restent toutefois importantes:

 

1°) La première, c'est qu'il est terriblement dangereux de faire confiance au discours faussement rassurant et beaucoup trop attentiste des autorités officielles. Les croire expose donc au risque de se rendre compte trop tard du danger, quand le mal est  donc déjà fait.

 

2°) La deuxième chose, c'est que si les autorités ont menti et minimisé à ce point les risques de l'aluminium, il est peu vraisemblable qu'elles aient été parfaitement honnêtes sur tous les autres risques, liés aux autres substances vaccinales, ainsi que ceux propres à la méthode elle-même. Il faut par conséquent être vigilant et ne pas conclure à tort que le seul problème se réduirait au seul sujet dont les médias ont bien voulu s'emparer (médiatisation sélective).

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