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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 12:09

L’EMA (l’Agence Européenne des Médicaments) ouvre un débat sur les contaminants porcins dans les vaccins

 

Par Nick Paul Taylor, 7 mars 2013.

 

L’Agence européenne des médicaments (EMA) a ouvert un débat sur l’utilisation sécuritaire des produits d’origine animale dans les vaccins. La publication du projet de directives qui intervient trois ans après la découverte d’ADN de virus porcin dans les vaccins de GlaxoSmithKline ($GSK) et de Merck ($MRK) a poussé l’Agence à repenser la réglementation.

 

En Avril 2010, l’utilisation de nouveaux tests plus sensibles a révélé la présence de contaminants dans les vaccins anti rotavirus de GSK et de Merck.

 

Le problème vient de l’utilisation de produits dérivés du porc et, dans le cas de GSK, remonte à des essais cliniques du vaccin. Depuis la contamination, l’EMA a travaillé pour renforcer les contrôles de qualité et a ouvert un projet de directives pour une consultation.

 

A la base des contaminations du matériel de GSK et de Merck on trouve la trypsine porcine. Dans la production de certains vaccins contre la grippe et le rotavirus, la trypsine porcine est utilisée pour activer le virus. Mais, comme elle provient du pancréas de porc, son utilisation crée le risque de contamination par de nombreux agents biologiques. C’est ce qui est arrivé à Merck et à GSK. L’EMA voudrait empêcher que cela ne se reproduise.

 

L’EMA recommande aux fabricants de vaccins de réduire les risques grâce à un dépistage et à un traitement adéquats. Le contrôle de qualité doit évidemment porter en premier lieu sur les glandes pancréatiques, mais l’EMA fait remarquer que des raisons économiques et organisationnelles rendent apparemment impossible de les tester individuellement. Une fois que les glandes sont rassemblées, le risque de contamination entre elles augmente. Pour prévenir la contamination, l’EMA recommande une combinaison de tests au départ et dans la suite, l’inactivation du virus.

 

La non détection d’un contaminant pourrait avoir des conséquences importantes pour les fabricants de vaccins. L’EMA met en garde et avertit que pareille situation pourrait conduire à la fermeture d’une usine de production et constituer une menace pour les patients. Les virus peuvent altérer la croissance des cellules en culture et dès lors théoriquement modifier les propriétés du vaccin.

 

Source: Fiercevaccines

                                                                                           

Donner l’illusion qu’on contrôle la sécurité des vaccins dans un contexte où de plus en plus de gens s’en méfient, à fort juste titre… on n’aurait pas pu mieux s’y prendre!! En fait, il s’agit ici d’un vaste enfumage qui consiste à focaliser l’attention sur la seule présence d’agents microbiens et viraux indésirables sans jamais aborder tous les autres risques de nature différente mais pouvant bien évidemment aussi nuire aux gens ! Et quand on sait le peu de cas et la minimisation faite autour du scandale de la contamination de dizaines de millions de gens au virus cancérigène SV40 via les vaccins polio, on se rend compte qu'il y a ici pas mal de mots, un fort beau discours mais pas plus de sécurité dans les faits.

                              

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 11:56

Les vaccins pédiatriques dont on ne cesse de bombarder nos enfants sont censés leur apporter la santé. Ah bon? Pourtant, plus on vaccine et, "drôle de coïncidence", plus la santé des enfants se dégrade et plus ils consomment de médicaments.

 

Bien sûr, les vaccins ne peuvent en aucun cas être considérée comme la seule cause d'une telle dégradation sanitaire chez les enfants, mais cela crève pourtant les yeux que ce paramètre est précoce, répété et absolument tabou dans ses effets secondaires par ailleurs!

 

Voici ce qu'on pouvait lire dans la Lettre du Médecin du 6 mars dernier:

 

107 millions de médicaments sont consommés chaque année par des enfants

 
Les pharmaciens belges vendent actuellement chaque année 6,6 millions boîtes de médicaments pour enfants. C'est une augmentation de 6,4% par rapport à 2007. Au total, les enfants ingèrent 107 millions de pilules, gouttes ou vaccins, écrit Het Laatste Nieuws ce mercredi, sur base de chiffres récents de l'Inami.

 

Continuons donc sur cette lancée mortifère, certains pensent déjà à inclure aussi le vaccin contre la méningite B dans le calendrier vaccinal dit, non sans un certain humour (noir) "calendrier vaccinal de base"! Continuons surtout dans cette "belle" voie tracée par des dirigeants peu scrupuleux qui considèrent les pharmas comme "leurs partenaires naturels" et observons alors la santé de nos enfants se dégrader toujours plus. Après, il sera trop tard pour se plaindre. Et toujours trop tôt bien sûr, aux yeux des autorités et des experts, pour parler d'autre chose que de "simple coïncidence" entre la hausse exponentielle des vaccins et le délabrement sans précédent de la santé infantile.

 

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 22:00

Des parents sont condamnés à une peine de prison pour ne pas avoir vacciné leurs enfants

 

POLIO-2.jpg

 

Le tribunal correctionnel de Hasselt a condamné un couple de Lummen parce qu’ils n’avaient pas fait vacciner leurs enfants contre la paralysie infantile (polio). Le papa de 34 ans a été condamné par défaut à une peine de prison d’un mois et à 275 euros d’amende. La maman de 32 ans a été condamnée à 15 jours de prison et à 165 euros d’amende.

 

Les faits remontent à la période située entre août 2006 et mi-août 2008. Leur petite fille est née en juin 2006 et leur fils en février 2008. Dans notre pays, la vaccination est obligatoire. Les parents n’ont pas apporté la preuve qu’ils possédaient un certificat de contre-indication à la vaccination.

 

La maman a déclaré qu’elle ne disposait pas des ressources nécessaires, mais le tribunal a écarté l’argument parce que la vaccination est gratuite dans le cadre de Kind en Gezin (ONE flamand).

 

En ce qui concerne la peine, le tribunal a voulu tenir compte du danger que ces parents faisaient courir à leurs enfants comme à la société en général.

 

Le papa était en état de récidive car le tribunal de Hasselt l’avait déjà condamné en 2008 à un an de prison pour vol. Les frais de justice s’élèvent pratiquement à 500 euros.

 

Source: De Morgen (6 mars 2013)

 

Prétendre que le papa est « en état de récidive » est pour le moins étrange car il s’agit d’un autre fait n’ayant rien à voir. On reconnaît bien là l’art des journalistes de manipuler l’opinion en tentant de diaboliser les parents pour leur décision vaccinale en ajoutant des détails non pertinents en matière sanitaire ! Les dépeindre comme des voleurs aidera sûrement à faire comprendre au bon peuple que ce sont de gros égoïstes qui ne savent même pas réfléchir… sauf que les gens ne décident jamais à la légère de refuser la vaccination. Ces condamnations sont tout à fait indignes, elles ne servent qu’à faire un exemple et à « protéger le géant de papier » que constitue un tel système aux abois. Le but est donc de faire peur aux parents, faire peur aux moutons pour qu’ils se remettent à obéir aveuglément au berger. Problème, ces condamnations n’auraient du sens que si les autorités et les médecins qui conseillent et effectuent ces vaccins sans la moindre connaissance des risques graves possibles risquaient eux aussi des peines de prison en cas de dommages ainsi induits chez nos enfants !!

 

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5 mars 2013 2 05 /03 /mars /2013 19:25

L’Histoire se répète :

 

 Leçons que les vaccinalistes refusent d’apprendre

 

Jennifer Graig, PhD, 17 avril 2012

 

 

Le vieux proverbe, « l’histoire se répète » ne peut pas être mieux illustré que par la pratique des vaccinations ; pratique qui s’est généralisée au XIXe siècle et se perpétue encore aujourd’hui. Pas mal de livres sur les vaccinations datant du XIXe siècle soulèvent des questions qui sont étonnamment similaires à celles qui se posent aujourd’hui. Mais comme nous n’avons pas pu tirer les leçons présentées par ces anciens auteurs dont la plupart étaient médecins, nous sommes en train de répéter les mêmes erreurs avec des conséquences désastreuses pour la santé des populations.

 

Le but de cet article est de faire réfléchir aux paroles de célèbres médecins au sujet des vaccinations.

 

Nous allons examiner quatre grandes questions qui ont été soulevées au dix-neuvième siècle et nous ferons la comparaison avec ce qui se passe aujourd’hui. En tout premier lieu, nous nous pencherons sur le refus d’accepter des données sur la vaccination. En deuxième lieu, nous parlerons du débat scientifique sur la vaccination. En troisième lieu, nous évoquerons les vaccinations de masse et leurs conséquences. En quatrième lieu, nous analyserons la situation des vaccinations obligatoires.

 

1. Refus d’accepter des données

 

Edward Jenner, apothicaire anglais, croyait la rumeur qui voulait que les filles de ferme qui attrapaient le « cowpox » (variole de la vache), une maladie bénigne, étaient protégées de la variole. Il décida de tester cette rumeur en injectant sous la peau du pus de vache atteinte du cowpox pour induire la maladie (variole de la vache). Si la personne vaccinée attrapait le cowpox (variole de la vache), il se proposait de tenter de tester la vaccination contre la variole.

 

Malgré la réputation qui fut faite à Jenner, le présentant comme étant le premier à tenter l’inoculation de la vaccine, tous les chroniqueurs s’accordent pour citer Benjamin Jesty, Plett et Jensen comme expérimentateurs ayant connu du succès en matière de vaccination (avec le cowpox) plusieurs années avant que Jenner fasse sa première injection.[1]. Il n’est pas impossible que ces noms n’aient pas été repris par l’histoire parce que cette vaccination ne protégeait  pas de la variole.

 

La rumeur selon laquelle le cowpox protégeait de la variole aurait pu faire l’objet d’une simple enquête. Il aurait suffi d’enregistrer le nombre de personnes qui, ayant fait la variole, avaient reçu la vaccine. Quoi qu’il en soit, beaucoup de personnes savaient que cette théorie était fausse.

 

Le Dr Walter Hadwen, MD, JP, LRCP, MRCS, LSA devait déclarer publiquement le 25 janvier 1896 : «  Quand il (Jenner) fut mis au courant de la légende concernant la vaccine, il s’empressa d’en parler au cours de réunions conviviales de médecins. Mais à peine avait-il ouvert la bouche que l’on se moquait de lui. Ces médecins auraient pu lui mettre sous le nez des centaines de cas ou la variole avait bel et bien fait suite à l’inoculation du cowpox. [2]

  

Même les partisans de Jenner reconnaissaient la fausseté de la rumeur. Le deuxième rapport de la Société Royale Jennérienne de 1806 reconnaît : « Le Comité avoue avoir vu quelques cas de variole chez des personnes auxquelles on avait injecté le cowpox de manière habituelle. » [3] Néanmoins, en dépit de la fausse prémisse, l’expérimentation s’est poursuivie.

 

La première expérience de Jenner sur le petit James Phipps, 8 ans, eut lieu le 14 mai 1796. Jenner a ensuite répété la procédure sur plusieurs autres enfants. Convaincu du succès de ses expériences, il s’enhardit à promettre au crédule George III que son vaccin aurait « l’effet singulièrement bénéfique de protéger à vie et de mettre à l’abri de l’infection de la variole toute personne ainsi inoculée. » [4]

 

Le roi fit connaître au Parlement son souhait de voir attribuer une récompense à Jenner. Ce dernier reçut un demi-million de dollars des deniers publics. A partir de cette époque, apparut une armée de vaccinateurs rémunérés qui s’appliquèrent à vacciner avec zèle.

 

Les cas de variole après vaccinations commencèrent à se produire de manière alarmante. Winterburn en cite de nombreux exemples. « L’Hôpital des Varioleux de Londres est considéré comme exemplatif de ce qui se passait à l’époque : le nombre de cas de variole ne cessèrent d’augmenter ; ils passèrent de 5% au début du siècle à 44% en 1845, 64% en 1855, 78% en 1865, 90% en 1875, et à 96% en 1885. » [5]

 

Non seulement les cas de variole augmentèrent, mais aussi les décès par variole. Le rapport du Dr William Farr, expert en statistiques du Registre Général de Londres, déclarait : « C’est après que la vaccination contre la variole fut introduite, que la maladie (variole) a atteint son point culminant. De 1850 à 1869, le taux moyen de mortalité pour 100.000 habitants était de 2,04 ; alors qu’après que la vaccination fut rendue obligatoire, le taux de mortalité s’est élevé jusqu’à 10,24. En 1872, le taux de mortalité était encore de 8,33 alors que les efforts les plus louables avaient été déployés pour étendre la vaccination grâce à des textes législatifs. » [6]

 

En dépit de ces chiffres, comme de ceux d’autres régions, les pro-vaccins ont continué à prétendre que la vaccination protégeait de la variole et ils le prétendent encore aujourd’hui.

 

Après une épidémie désastreuse de variole en 1872, une Commission royale d’enquête sur la vaccination fut nommée en 1889 pour se pencher sur toute la question. Il fallut sept ans et 136 réunions pour que ladite Commission publie cinq rapports principaux. Tous ces écrits pesaient 14 livres. En dépit de toutes ces preuves de poids, la Commission échoua à faire la moindre brèche dans leur conviction qu’en dépit de tout, la vaccination protégeait bien de la variole. [7]

 

Le Dr Maclean, une autorité médicale bien connue de l’époque, proposa une explication quand il déclara en 1810 : « Il incombe aux vaccinateurs de se présenter et de réfuter les nombreux faits décisifs qui plaident contre la vaccination ou alors faire amende honorable en assumant une courageuse rétractation. Mais l’expérience nous montre que nous n’avons guère à nous attendre à de tels actes courageux et magnanimes ; nous devons au contraire être assurés qu’en aucune circonstance, ils n’abandonneront une pratique aussi lucrative, jusqu’au jour où cette pratique les abandonnera à son tour. » [8]

 

Les paroles du Dr Maclean sont toujours d’actualité. Aujourd’hui encore, c’est la même conviction qui prévaut : ce sont les vaccins qui protègent de la maladie, en dépit de toutes les preuves du contraire !

 

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« Je connais une épidémie de variole qui a touché quelque 900 personnes dont 95% avaient été vaccinées et pour la plupart récemment. Dans ma pratique personnelle j’ai été confronté à une petite épidémie de 33 cas. Parmi ces patients, 29 avaient un rapport avec la vaccination et présentaient une « bonne » scarification ; certains d’entre eux avaient été vaccinés l’année précédente. Il n’est pas question ici de parler de protection. » 

 Dr William Howard Hay (1937)

 

 

OMS

 

« Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » [p.32 du rapport final de la Commission mondiale pour la Certification de l'Eradication de la Variole]

 

« En Inde, cinq ans après une campagne nationale d’éradication entreprise en 1962 (55 595 cas), le nombre de notifications était plus grand (84 902 cas) qu’il ne l’avait jamais été depuis 1958. Il eut été extrêmement coûteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d’atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. » [p.32 du rapport final de la CCEV]

 

 

En 2012, Reuters a rapporté que la recherche a révélé que les épidémies de coqueluche sont plus importantes parmi les enfants vaccinés comparativement aux enfants non vaccinés. Cette conclusion est basée sur une étude dirigée par le Dr David Witt, spécialiste des maladies infectieuses au Centre Médical Kaiser Permanente à San Rafael en Californie.

  

Le Dr Witt a indiqué qu’au début de l’année 2010, une épidémie de coqueluche s’est produite au Kaiser Permanente à San Raphael – cette épidémie fut jugée la plus importante depuis 50 ans. Le Dr Witt s’était attendu à ce que la maladie touche principalement les enfants non vaccinés, pensant que ces derniers étaient plus vulnérables. « Nous avons commencé à analyser les données. Ce qui nous a surpris, c’est que la majorité des cas de coqueluche se sont produits chez les enfants complètement vaccinés. C’est là ce qui a commencé à attirer notre attention. » [9]

 

Le Dr Witt devrait être félicité pour avoir eu le courage de reconnaître ce fait.

 

Nous avons des chiffres pour les années 1800 qui montrent que des pourcentages élevés des cas de variole concernaient des personnes vaccinées. Nous avons également des chiffres de 2010 qui montrent que pour la coqueluche, la majorité des cas avaient  été vaccinés, et pourtant les gens continuent de croire que la vaccination prévient la maladie. De combien de leçons avons-nous encore besoin ?

 

Non seulement le pus de la vaccine n’a pas pu empêcher la variole, mais il a favorisé sa propagation et produit de nombreux effets indésirables. En 1807, Mr Birch, premier chirurgien du Prince de Galles (Hôpital St. Thomas) a déclaré : «  Il n’est pas rare d’entendre un vaccinateur public déclarer qu’il a vacciné des milliers de personnes et n’a jamais vu le moindre effet secondaire. Pour ne pas voir le soleil, il suffit bien entendu de vouloir garder les yeux fermés. Je regrette de nouveau de devoir dire que beaucoup de médecins qui enregistrent des effets secondaires s’imaginent qu’ils pourraient être accusés de prévarication. Comme si on pouvait faire du bien à partir de mensonges. » [10]

 

Aujourd’hui, seule une fraction des effets indésirables de la vaccination sont signalés. Aux Etats-Unis, le Congrès a adopté la loi sur les risques vaccinaux en 1986 (National Childhood Vaccine Injury Act ). Cette loi exige que tous les médecins qui administrent des vaccins déclarent les effets secondaires aux fonctionnaires fédéraux de la Santé. Cependant, la Food and Drug Administration (FDA) estime que seuls 10% des médecins déclarent les incidents. [11]

 

Dans un article paru en 1993  dans le Journal of the American Medical Association, David Kessler, ancien commissaire de la FDA, estime que même si la FDA reçoit de nombreux rapports d’événements indésirables, ceux-ci ne représentent probablement que 1% de ceux qui sont observés par les médecins. [12]

 

Seuls les effets secondaires qui se produisent dans les quelques jours qui suivent la vaccination sont pris en compte comme pouvant être liés au vaccin. Des maladies chroniques comme, par exemple, l’asthme ne sont pas reconnues comme étant associées aux vaccins. Une étude comparative d’enfants vaccinés avec des enfants non vaccinés permettrait de répondre à de très nombreuses questions, mais les autorités sanitaires refusent de la faire.

 

Deux petites études comparatives ont malgré tout été réalisées par des groupes de parents : l’une en Nouvelle-Zélande [13] et l’autre en Californie [14]. Les deux études ont montré que les maladies chroniques telles que l’autisme, l’asthme et l’eczéma étaient plus fréquentes chez les enfants vaccinés. Quels que soient les résultats, pourquoi incombe-t-il à des parents de mener des recherches dans ce domaine alors que ce serait le devoir des autorités de les réaliser ?

 

Dans les années 1800, l’injection du pus de la vaccine sous la peau a provoqué de nombreuses maladies : syphilis, tuberculose, lèpre en particulier. Il existe des rapports de ces infections secondaires, comme par exemple celui de M. Depaul (1867), chef des Services de Vaccinations de l’Académie Française de Médecine qui a publié un mémoire sur le danger d’une infection syphilitique après vaccination. Ce mémoire énumère une demi-douzaine de flambées de syphilis vaccinale au cours desquelles 160 enfants avaient été infectés. [15]

 

Le Dr A. Wilder, professeur de pathologie et ancien rédacteur en chef du New York Medical Times, est allé jusqu’à dire en 1901 : «  La vaccination est l’injection, dans le système, d’un élément contaminant. Après pareille contamination, nul ne peut être certain de pouvoir retrouver la pureté initiale du corps. La tuberculose se retrouve dans le sillage de la vaccination comme l’effet suit la cause. » [16]

 

Les enfants d’aujourd’hui ne retrouveront sûrement jamais la pureté initiale de leur corps après avoir été agressés par des vaccins dès leur naissance. Ils souffrent non seulement de maladies chroniques comme l’asthme, le diabète et l’eczéma. En 2012, les taux d’autisme étaient de 1 enfant sur 88 et pour les garçons de 1 sur 54.  

 

Au lieu de déployer un maximum d’efforts pour rechercher les causes de cette épidémie, les gouvernements et la presse s’ingénient de toutes les manières possibles à nier tout lien entre l’autisme et la vaccination et ce, en dépit des preuves que des métaux comme l’aluminium et le mercure utilisés dans les vaccins provoquent des dégâts neurologiques.

 

Mais, une industrie de plusieurs dizaines de milliards de dollars est menacée !

 

2. Débat scientifique au sujet des vaccinations

 

Il est fondamental et crucial que, dans tous les domaines et surtout en matière de santé et de bien-être, les débats puissent amener des arguments vérifiables. Il suffit de jeter un coup d’œil sur les forums qui traitent de la vaccination que ce soit pour ou contre, pour se rendre vite  compte que souvent les attaques personnelles, l’ignorance et les préjugés l’emportent.

 

[…] Ces tendances ne sont pas nouvelles. Winterburn écrivait en 1885 : «  Il paraît ridicule que des questions de pareille importance et de caractère scientifique fassent l’objet de luttes partisanes. Mais la question cesse d’être comique  et devient douloureusement embarrassante quand les hommes ne parviennent plus à dialoguer sur une question d’importance vitale pour eux-mêmes et le reste de l’humanité sans être soupçonnés de motivations sinistres ou de troubles mentaux. Et pourtant, c’est exactement ce qui s’est passé depuis les premières années de la vaccination. » [18]

 

L’accusation de troubles mentaux à l’égard de ceux qui remettent en question les dogmes vaccinaux se produit encore de nos jours.

 

3. Les vaccinations de masse

 

Avec la vaccination, c’était la première fois que des médecins se faisaient payer pour traiter des personnes en bonne santé. Dans son discours de 1896, le Dr Hadwen affirmait : « Je déclare que quand une personne est malade, le médecin est fondé à faire tout son possible pour venir en aide à son patient, mais quand la personne est bien-portante, il n’a aucun droit d’interférer avec les fonctions normales du corps humain, comme il le fait quand il introduit la maladie dans le corps, en particulier la maladie d’un animal inférieur. » [21]

 

L’avertissement du Dr Hadwen est tout aussi valable aujourd’hui, mais fait-il vraiment partie de l’éthique médicale ?

 

En 1850, Sir James Paget avait déjà mis en garde : « Je pense qu’il serait nécessaire de promulguer une règle invariable de la pratique médicale selon laquelle   une personne ne devrait être vaccinée qu’après avoir fait l’objet d’examens les plus minutieux. Dans le cas particulier des vaccinations, l’incurie des autorités sanitaires est incroyable. On vaccine les gens avec légèreté et désinvolture comme si les vaccins ne pouvaient vraiment faire aucun mal ; on vaccine les masses  sans la moindre enquête sur leur état physique ou leurs antécédents, et ce, souvent dans les couches de population qui sont les plus fragiles et qui courent les plus grands risques. La vaccination imprègne et modifie la constitution toute entière. » [22]

 

Les pauvres d’Afrique représentent l’équivalant actuel. Ces personnes souffrent non seulement de malnutrition, de diarrhée, de tuberculose, de parasites, mais aussi des dons de vaccins de l’Occident qui n’ont fait qu’aggraver la situation avec l’augmentation des maladies chroniques.  L’OMS reconnaît que ses programmes de vaccinations de masse sont à l’origine de maladies qui ne sont pas moins graves que les maladies contre lesquelles on vaccine. L’OMS admet que globalement dans le Tiers Monde, les 16 milliards d’injections de vaccins ou de médicaments provoquent chaque année plus ou moins 800 000 cas d’hépatite B, 235 000 d’hépatites C, et 8000 cas de SIDA. [23]

 

Les autorités d’aujourd’hui agissent avec la même désinvolture. Une fois qu’un calendrier vaccinal a été établi, il est rigoureusement observé comme un édit venant du ciel, en particulier par les infirmières qui sont formées pour suivre des ordres. La notion que les vaccins pourraient présenter des dangers est tout simplement absente. Il y a pire, le principe du consentement éclairé ne s’applique pas à la vaccination. En lieu et place, on a recours à la coercition, surtout à la culpabilisation  des parents qui refusent la vaccination.

 

Un exemple tout récent de l’administration de vaccin avec désinvolture s’est produit en Belgique en janvier 2012. Des petites jumelles âgées de neuf semaines et prématurées (3 mois) ont reçu chacune neuf vaccins en un jour. Ce jour-là, l’une d’elles avait un rhume. Tout le monde sait que des bébés prématurés sont extrêmement vulnérables. Une semaine plus tard, l’une des jumelles mourut. Le personnel médical nia tout lien possible avec le vaccin. [24]

 

4. Vaccination obligatoire


Comme le gouvernement britannique n’avait pas voulu reconnaître que la vaccination contre la variole ne protégeait pas de la maladie, il a voté une loi rendant la vaccination obligatoire en 1856. C’est entre 1870 et 1872 que se produisit l’une des pires épidémies de variole.

 

Le Dr Hadwen, cet homme sage cité plus haut disait : « A partir du moment où l’on intègre une prescription médicale dans une loi, et que l’état la rend obligatoire contre la volonté et la conscience de personnes réfléchies au moyen d’amendes, de saisies et d’emprisonnement, il outrepasse les limites d’une question médicale qui devient essentiellement une question sociale et politique. » [25]

 

Ironie du sort, aujourd’hui la plupart des lois rendant la vaccination obligatoire sont adoptées par des pays dits « libres ». A titre d’exemple, Rick Perry, Gouverneur du Texas, a tenté d’imposer le Gardasil à toutes les filles et garçons de son état. Le Gardasil est un vaccin douteux que l’on administre aux adolescent(e)s pour soi-disant prévenir le cancer du col de l’utérus quelque 30 ans plus tard. Evidemment personne ne sait  si c’est le cas.

 

En septembre 2011, les Centres de Contrôle des Maladies (CDC) ont publié des chiffres sur les effets secondaires du Gardasil, introduit en 2006.

 

Au cours des cinq années qui ont suivi, il y a eu des rapports concernant 71 décès. D’autres événements graves comme des paralysies n’ont pas été attribués au vaccin par le CDC, bien qu’ils aient été signalés ailleurs. [26]

 

Le cancer n’est pas une maladie contagieuse. Pourtant, un politicien a signé une ordonnance rendant le vaccin obligatoire pour les jeunes du Texas. Pourquoi ? Se pourrait-il que dans les jours qui ont suivi la signature de Perry, le fabricant lui ait concédé une bonne donation pour sa campagne ? [27]

 

Pourquoi la profession médicale permet-elle aux politiciens de formuler des prescriptions médicales ?

 

Résumé

 

George Santayana dans son ouvrage «  Raison et Bon Sens » Vol.1 écrit : « Ceux qui ne peuvent se rappeler le passé sont condamnés à le répéter. » C’est exactement ce que nous sommes en train de faire par rapport aux erreurs du passé en matière de vaccinations.

 

Il y a beaucoup de leçons du passé qui doivent être apprises, mais celles que nous avons voulu aborder dans cet article sont les suivantes :

 

La croyance que c’est la vaccination qui a éradiqué la variole fait aujourd’hui partie du mythe. Jusqu’à ce que la médecine (terme qui inclut toutes les professions de santé) se décide à ouvrir les yeux, à examiner les données du passé et à reconnaitre les faits, on continuera à croire à la légende que c’est la vaccine qui a empêché la variole. Les données disponibles montrent clairement que des personnes vaccinées ont contracté la variole et que quantité de personnes en sont mortes.

 

En 1807, Mr Birch a demandé aux médecins d’ouvrir les yeux et de reconnaître les méfaits de la vaccination. En 1810, le Dr Maclean nous a dit que c’était aux vaccinateurs qu’il incombait de réfuter les arguments des antivaccinalistes.

 

Aujourd’hui les effets secondaires des vaccinations sont rarement rapportés.

 

En 1901, le Dr Wilder a déclaré qu’après la contamination vaccinale, la pureté initiale du corps (sang) ne pouvait plus jamais être restaurée. Nous avons aujourd’hui une génération d’enfants dont la santé a été ruinée par les vaccins.

 

En 1885, Winterburn a déclaré qu’il n’était guère comique qu’une question scientifique ne puisse être discutée rationnellement sans que l’interlocuteur soit accusé de déséquilibre mental. Il a attribué les carences du dialogue rationnel à Jenner qui a ignoré ou rejeté le fait que la vaccine n’ait pu prévenir la variole.

 

Nous avons accepté que la médecine ait le droit d’interférer avec le fonctionnement du corps humain, malgré l’avertissement du Dr Hadwen en 1896. Sir James Paget a exprimé sa consternation en 1850 alors que des individus se faisaient vacciner  sans subir un examen médical approfondi. Aujourd’hui, nous voyons que des enfants se mettent en rangs pour se faire vacciner sans que la moindre question soit posée.

 

En 1896, le Dr Hadwen a noté que la vaccination obligatoire était une question politique et non une question médicale.

 

Aujourd’hui, des politiciens ne se contentent pas de dénier aux parents le droit de décider pour eux-mêmes ; ils s’arrogent le droit de rendre la vaccination obligatoire. Les médecins ne posent aucune question quand les politiciens rendent une prescription médicale obligatoire. Dans d’autres circonstances, ces médecins seraient accusés de pratiquer une médecine sans licence.

 

Conclusion

 

L’idée concernant l’introduction de substances nocives sous la peau pour prévenir des maladies, est basée sur de fausses prémisses, à savoir l’hypothèse que le cowpox a empêché la variole. En dépit de l’énorme volume de preuves du contraire, le mythe continue de se maintenir.

 

En 1810, le Dr Maclean nous a dit «  l’expérience nous interdit de nous attendre à un procès équitable et magnanime. Nous pouvons être assurés qu’en aucun cas, les vaccinalistes n’abandonneront jamais une pratique aussi lucrative, à moins que cette pratique les abandonne eux. » Le nombre croissant de parents d’enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins est le seul élément qui pourra changer le cours des choses. En tant que consommateurs, ils peuvent exercer leur pouvoir de refuser un produit et tourner le dos aux fabricants de vaccins.

 

 Références:


1.Hale, A.R. The Medical Voodoo, Gotham House, Inc. 1935, p.30
2. http://whale.to/hadwen9.html
3. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.33
4. Jenner, E. Further Observations on the Variolae Vaccina, of Cowpox
5. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.32
6. McBean, The Poisoned Needle, Health Research, Pomeroy, WA, 1993
7. Hale, A.R. The Medical Voodoo, Gotham House, Inc. 1935, p.81
8. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.33
9. http://www.reuters.com/article/2012/04/03/us-whoopingcough-idUSBRE832…
10. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.56
11. Miller, N. Immunization: Theory vs. Reality. New Atlantean Press, 1995
12. Journal of the American Medical Association, June 2, 1993,vol.269, No.21, p.2785
13. Butler H & P, Just a Little Prick. Robert Reisinger Memorial Trust, New Zealand, 2006
14. IAS. Unvaccinated children are healthier. Waves, Spring/Summer, 2002
15. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.58
16. Wilder, A. History of Medicine, New England Eclectic Publishing Company, 1901
17. Rationalwiki.org/wiki/Suzanne_Humphries
18. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.3
19. Maclean’s, January 16, 2012
20. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.3
21. http://whale.to/hadwen9.html
22. Paget, Sir James. Lectures on Inflammation, Wilson & Ogilvy, 1850
23. Publications de l'OMS et autres études [voir ici les références exactes]
24. http://vactruth.com/2012/01/19/baby-dies-after-first-shots/
25. http://whale.to/hadwen9.html
26. http://www.cdc.gov/vaccinesafety/Vaccines/HPV/gardasil.html
27. Gillman, T. http://trailblazersblog.dallasnews.com/archives/2011/08/perry-says-he-regrets-gardasil.html
28. Winterburn, GW. The Value of Vaccination, Boericke, 1885. Republished by General Books, 2009. p.33

 

Sources: Vaccination Council & Whale.to

 

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 21:56

Daniel-Floret.JPG

Le Pr Daniel Floret est pédiatre et président du Comité technique des vaccinations (CTV), en France. Il n'est pas exempt de conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins. Dans une émission de M6 relative au Gardasil, il avait refusé de répondre à la question d'une journaliste lui demandant d'expliquer pourquoi Xavier Bertrand s'était empressé de rembourser le vaccin Gardasil, avant même que le CTV ait rendu son avis. Dans la même émission, il reconnaissait implicitement le caractère expérimental du vaccin Gardasil (bien qu'estimant ce mot un peu trop fort), en défendant l'idée que si ce vaccin n'avait pas été aussi rapidement mis sur le marché et administré à des millions de femmes, "on n'aurait pas pu se rendre compte" de ce qui se passe.

 

Tout dernièrement, et dans le contexte du cas de la petite Luna, exclue de l'école et dont les parents refusent qu'on leur force la main avec le vaccin tétravalent (alors que seul le DTP est obligatoire), le Pr Floret a déclaré aux journalistes du Figaro, avec une légèreté tout à fait indécente que «si le vaccin contre le DTP Coqueluche, qui a une couverture vaccinale d'environ 98% en France, était dangereux, cela se saurait». «Il y a effectivement quelques effets secondaires possibles, comme de la fièvre ou des convulsions, précise-t-il, mais finalement, rien de grave

 

En France, la justice a donné raison, 17 ans plus tard, à une jeune fille, laissée handicapée à 95% par le vaccin Pentacoq (qui ne contient jamais qu'une valence de plus que le vaccin tétravalent). Elle a condamné l'Etat à lui verser à elle et à sa famille 3 millions d'euros, qui ne permettront cependant jamais hélas de lui restituer sa santé volée à jamais par ce vaccin. Mais à part cela, si c'était dangereux, ça se saurait selon Floret??

 

Non seulement les convulsions ne sont pas du tout un effet anodin mais peuvent au contraire signer un dommage neurologique grave et irréversible, mais en outre, il convient de remarquer que c'est tout à fait le même discours rassurant qui est tenu aux parents sur les autres vaccins pédiatriques en général, comme par exemple les vaccins Prevenar et Infanrix Hexa qui s'avèrent en réalité, selon des documents confidentiels accablants publiés sur ce site et communiqués aux médias, nettement moins sûrs qu'on le dit. En effet, alors qu'en Belgique, une instance officielle comme l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance) a toujours affirmé que les vaccins combinés ne présentaient pas plus de risques et qu'ils contribuaient au "confort de l'enfant", il s'avère au contraire que la co-administration des vaccins combinés Infanrix hexa et Prevenar est associée à un risque 3 fois plus grand d'effets secondaires neurologiques.

 

Lorsqu'on épluche le document confidentiel sur le vaccin Infanrix hexa, on se rend compte que loin des quelques effets secondaires bénins qu'on se contente d'évoquer aux parents avant la vaccination (fièvre, douleur, rougeur au point d'injection), ce produit est associé à 825 effets secondaires différents listés par le fabricant dont plusieurs sont gravissimes et même parfois mortels. Parmi ces effets, on retrouve le diabète, l'épilepsie, l'autisme, la mort subite du nourrisson, le syndrome de l'enfant maltraité/violenté et bien d'autres horreurs encore.

 

Il est illusoire de penser que le vaccin tétravalent est tellement plus sûr que ne le serait l'Infanrix hexa ou le Prevenar. Et si ces documents confidentiels accablants existent pour l'Infanrix hexa et le Prevenar, il est tout à fait évident qu'ils existent aussi pour les vaccins tétravalents que Floret prétend si sûrs!

 

Bien entendu, comme les officiels sont ainsi mis à nu dans leur manque total de transparence et de respect vis-à-vis des gens, il leur est nettement plus facile de tout inverser, et de prétendre que ce sont des groupes comme le nôtre qui sèmont la peur. La réalité est hélas toute autre puisque la peur a été semée en amont par les officiels pour promouvoir l'idée de vaccination. Tandis que les fabricants de vaccins ont encore des tas de candidats-vaccins dans leurs tiroirs et que les autorités les considèrent comme "leurs partenaires naturels", il est logique que les autorités s'entêtent dans leur habituelle attitude de déni et de minimisation des effets secondaires vaccinaux, exactement comme l'ont aussi révélé des documents britanniques secrets.

 

Dans ces conditions, utiliser la formule volontairement naïve "si c'était vrai, cela se saurait", semble être un indicateur d'une mauvaise foi préoccupante pour la santé publique. Car ces gens savent mais se taisent. Ils mentent à tort et à travers, soit par omission, soit par déformation, comme l'ont montré les documents secrets britanniques. Tout est fait pour camoufler et taire au public les véritables risques. Et pendant que ces gens mentent, des enfants trinquent. Les vôtres, peut-être?

 

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 21:42

balance-justice.jpg

Cette histoire est très instructive, parce qu'elle démontre finalement toute la manipulation des officiels qui font des pieds et des mains pour vacciner un maximum de gens puis par après, quand les gens sont tombés dans le panneau et qu'ils en sont victimes, tout est fait pour qu'ils  ne reçoivent pas la moindre aide, reconnaissance ou indemnisation. Et tant les employeurs que la Sécurité Sociale n'hésitent ainsi pas à aller en appel pour éviter qu'on reconnaisse ainsi en accident du travail les méfaits des vaccins imposés dans ce cadre!

 

Fort heureusement, des victimes déterminées, aidées par leurs avocats, finissent à force de lutte, par aboutir. Et ce n'est bien sûr qu'un début car les informations de qualité se diffusent de plus en plus. Les prétendus experts qui affirment ceci ou ça doivent être mis devant leurs responsabilités comme l'ont très bien compris cette victime, Mireille, et son avocat, Me Jean-Pierre Joseph (que les gens de l'Académie de Médecine avaient eu le toupet de railler)

 

Mireille et son avocat ont ainsi demandé pourquoi l'expert à qui les références de publications sérieuses sur le lien entre sclérose en plaques et vaccin anti-hépatite B avaient été dûment communiquées, les avait pourtant entièrement éludées pour la rédaction de son rapport. La Cour d'Appel de Rennes a confirmé le jugement de première instance et donné raison à la plaignante, atteinte de sclérose en plaques depuis sa vaccination anti-hépatite B.

 

Il est urgent que les conseilleurs deviennent les payeurs. Des peines de prison doivent tomber pour ceux qui conseillent sans savoir et pour ceux qui mentent et induisent ainsi les gens en erreur, en violation des lois édictées sur le consentement libre et éclairé.

 

Lire ce communiqué de l'avocat de Mireille sur cette belle victoire juridique.

 

Victimes, faites valoir vos droits, inspirez-vous de l'expérience d'autres victimes et collaborez!

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 21:34

Voici ce que le journal algérien El Watan publiait le 2 mars dernier à ce propos:

 

«Ma plume contre la grippe » 

Les résultats officiels du concours «Ma plume contre la grippe» seront proclamés aujourd’hui au cours d’une réception qui sera organisée par Media Pub Santé et Sanofi Pasteur à l’hôtel Sofitel d’Alger au profit des journalistes algériens ayant participé au concours. Sera récompensé le meilleur article de presse écrite, on-line (web) ou reportage audiovisuel (télévision et radio), portant sur la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière 2012-2013. Les lauréats bénéficieront d’un voyage à Lyon (France) au cours duquel ils vont visiter l’usine de Sanofi Pasteur.

 

applaus.gif

 

Actualisation... une fois les prix attribués!

 

De l'écrit pour sensibiliser à la grippe saisonnière

 

Avec le concours de Média Pub Santé et de Sanofi Pasteur

 

Youcef Salami

 

Publié dans La Tribune le 03 - 03 - 2013

 

Média Pub Santé, une agence de presse et de publicité, et Sanofi Pasteur (division vaccins du Groupe Sanofi) ont procédé, samedi 2 mars 2013, à la nomination des deux lauréats du concours «Ma plume contre la grippe», organisé du 14 octobre 2012 au 30 janvier 2013. Destiné aux journalistes, ce concours a été pour les organisateurs une opportunité pour saluer la prestigieuse contribution des médias dans la lutte contre la grippe en Algérie. Pour cette première édition, les journalistes Asma Menouer (Ennahar) et Ahcene Chemache (Radio chaîne 3) sont les grands vainqueurs du concours « Ma plume contre la grippe ». Sur les 25 journalistes ayant pris part au concours, le jury a retenu dans la catégorie arabophone l'article de Asma Menouer, et dans la catégorie francophone celui de Ahcene Chemache. Le jury, composé de professionnels de la santé et de la communication, a statué sur la base d'un ensemble de critères très spécifiques tels que le contenu, le style, l'originalité, l'utilité de l'article pour le public. Les meilleurs articles de fond produits durant la campagne 2012-13 ont, ainsi, été récompensés. Les deux lauréats effectueront un voyage (séjour de visite et d'information) à Marcy L'Étoile, site de production des vaccins de Sanofi Pasteur, à Lyon, en France. Tous les journalistes, ayant pris part au concours ou tout simplement ayant rédigé un article, ont été reconnus «Ambassadeur honoraire» de la campagne de sensibilisation 2012-2013.

 

 Voir aussi ce qu'a publié le Midi Libre du 4 mars 2013 (en page 2)

 

algérie journalistes-ambassadeurs

 

PS: Marrant... y a pas que chez nous qu'il y a des ambassadeurs pour vanter la vaccination, l'idée fait des émules et semble décidément mise à toutes les sauces vaccinales!

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 20:30

 

Une maladie soi-disant "rare"... en réalité, pas si rare que cela!! Ne jamais oublier qu'une maladie peut être crue "rare" simplement parce que ni les malades ni les médecins ne savent la reconnaître. Petit à petit cependant, les gens commencent à s'informer et à établir le lien et à faire valoir leurs droits...
Article paru le 22 mars dernier sur le site Romandie, relatif à ce cas:
 

Vaccins à l'aluminium : une infirmière obtient une victoire judiciaire


BAYONNE -
Le juge des référés du tribunal administratif de Pau a accordé à une infirmière la suspension d'une décision refusant de considérer comme une maladie d'origine professionnelle les conséquences d'une sur-vaccination dans le cadre de son emploi, a-t-on appris vendredi auprès de son avocate.


Cette aide-soignante, Martine Sempietro, 47 ans, en congé maladie depuis 2006 pour un accident du travail lié à une chute, ne recevait plus, depuis le début du mois de mars, qu'un demi-salaire, son employeur estimant qu'elle était victime d'une maladie ordinaire.


Le tribunal a fait droit à sa demande en ordonnant à son employeur, le centre hospitalier d'Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques), de suspendre la décision ayant eu pour conséquence le versement de ce demi-traitement, dans une ordonnance rendue jeudi.


L'infirmière avait chuté en 2006 alors qu'elle était pompier bénévole, car ses jambes ont lâché, sa maladie, la myofasciite à macrophages, qui se rapproche de la sclérose en plaques, pouvant entraîner ce genre de symptômes, avait expliqué son avocate, Me Denise Pombieilh.


Le tribunal s'est fondé notamment sur une expertise réalisée en juillet 2011. Avec cette décision, elle touchera l'intégralité de son salaire ainsi que la prise en charge des frais liés au traitement de sa maladie jusqu'à que l'affaire soit examinée sur le fond, s'est félicitée l'avocate.


Le juge a également condamné l'hôpital à verser 1.000 euros à Mme Sempietro pour ses frais de justice.


L'aide-soignante a obtenu
trois expertises médicales rattachant sa maladie aux administrations successives de vaccins adjuvantés sur hydroxydes d'aluminium. Une quatrième expertise conclut en revanche à l'absence de cause certaine, directe et exclusive.


Mme Sempietro avait été soumise à des vaccinations répétées à compter de 1983, notamment contre l'hépatite B, comprenant de l'aluminium, obligatoires en tant qu'infirmière. A la fin de l'année 2012, l'aide-soignante avait observé une grève de la faim de 24 jours avec des membres de l'association E3M (malades de la myofasciite à macrophages et leurs proches) pour réclamer une recherche renforcée sur l'aluminium dans les vaccins, ce a quoi s'est engagée l'agence du médicament (ANSM).

 

(AFP / 22 mars 2013 16h23)


 

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 15:20

narcolepsie.jpg

PARIS,  26 fév 2013 (AFP) - Une nouvelle étude a établi un lien entre le vaccin Pandemrix, largement utilisé contre la grippe pandémique A(H1N1) en 2009-2010, et une augmentation des cas de narcolepsie chez les enfants et les adolescents en Grande-Bretagne.

  

Publiés mercredi dans la revue British Medical Journal (BMJ), les résultats de l'étude confortent ceux d'autres travaux déjà publiés en Finlande, en Suède et en France.

  

Réalisée sur 245 enfants âgés de 4 à 18 ans traités dans des centres du sommeil et des centres neurologiques en Grande-Bretagne, l'étude a permis  d'associer le vaccin à une multiplication par 14 des cas de narcolepsie par  rapport aux personnes n'ayant pas reçu le vaccin. Le risque aurait même été  multiplié par 16 en cas de vaccination par le Pandemrix (GlaxoSmithKline) dans  les six mois précédents.

  

Mais les auteurs de l'article relèvent que le risque pourrait avoir été surévalué, en raison des délais très variables observés dans l'apparition des symptômes et dans le diagnostic de la narcolepsie après la vaccination.

  

La narcolepsie est un trouble du sommeil caractérisé par une somnolence excessive au cours de la journée, avec des accès de sommeil incontrôlables.

 

Elle peut s'accompagner de pertes soudaines du tonus musculaire (cataplexie).

  

Elle est observée en moyenne chez 25 à 50 personnes pour 100.000 personnes dans le monde et chez 20 personnes pour 100.000 en France

  

Lors de la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) 4,1 millions de  personnes ont été vaccinées en France par Pandemrix, contre 1,6 million qui ont reçu le vaccin Panenza (Sanofi), réservé aux nourrissons, aux femmes enceintes et aux personnes immunodéprimées.

  

Le vaccin Pandemrix, qui n'est plus commercialisé en France depuis la fin de la pandémie, contenait un adjuvant baptisé AS03, destiné à renforcer la réponse immunitaire contre le virus H1N1.

  

Les résultats de la nouvelle étude pourraient bien remettre en cause l'utilisation de cet adjuvant dans d'autres vaccins anti-grippaux, tels que les types H5 et H9, selon les auteurs de l'article.

 

"La surveillance doit être poursuivie" a indiqué pour sa part l'un des co-auteurs, John McCauley, de l'Institut national britannique pour la recherche médicale à l'AFP.

  

Un cinquième de la population mondiale avait été touchée par le virus H1N1 lors de la pandémie de 2009, selon des estimations publiées le mois dernier.

 

Mais la pandémie s'était révélée beaucoup moins grave que prévu, avec 18.500 décès notifiés au total  à l'Organisation mondiale de la santé (OMS)   

 

AFP 261747  FEV 13

 

Du côté des officiels (Van Ranst, GSK, etc), bien sûr, on minimise et on tente surtout de rejeter la responsabilité de cet effet secondaire sur les gens plutôt que sur le vaccin... Visiblement, on est pressé de mettre ça sous le tapis, en rappelant que cela appartient au passé, sauf bien sûr pour les malheureuses victimes qui le payeront toute leur vie!!

 

Un vaccin à la base de la narcolepsie : « Pas de panique » selon GSK

 

Une nouvelle étude a établi un lien entre le vaccin Pandemrix, commercialisé par GlaxoSmithKline, contre la grippe pandémique A(H1N1) et une augmentation des cas de narcolepsie chez les enfants et les adolescents en Grande-Bretagne.

 

Ces résultats confortent ceux d’autres travaux déjà publiés en Finlande, en Suède et en France. Pour GSK, «il n’y a pas de raison de paniquer», a indiqué mercredi la porte-parole de la société pharmaceutique, Elisabeth Van Damme.

 

«Le vaccin Pandemrix avait été conçu pour la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1)» fin 2009, selon la porte-parole de GSK. «A l’heure actuelle, il n’est plus commercialisé», poursuit-elle.

 

Selon le professeur et virologue Marc Van Ranst, «il n’y a pas eu de vaccination systématique en Belgique et très peu d’enfants ont reçu ce vaccin. Les risques de développer une narcolepsie sont davantage liés à des facteurs génétiques», a-t-il assuré.

 

Le Pandemrix avait été autorisé dans l’Union européenne en septembre 2009. Lors d’une réévaluation en 2011, l’Agence européenne du médicament (EMA) avait conclu que la balance bénéfice/risque du Pandemrix restait positive, mais qu’en raison des cas de narcolepsie survenus chez des personnes jeunes dans plusieurs Etats de l’UE, le Pandemrix ne pouvait être utilisé chez les personnes de moins de 20 ans que si le vaccin antigrippal classique n’était pas disponible, et uniquement si la vaccination contre le virus A(H1N1) était jugée nécessaire.

 

L’EMA considère néanmoins qu’il faut recueillir davantage de données sur l’utilisation du Pandemrix et des vaccins associés dans différents pays, afin d’approfondir l’évaluation de cette problématique.

 

Aucune mesure ne doit être prise vis-à-vis des personnes qui ont déjà été vaccinées à l’aide du Pandemrix, d’après l’EMA. L’Agence conseille toutefois une consultation médicale aux patients (vaccinés ou pas) qui présentent une somnolence diurne excessive et inexpliquée.

 

Le vaccin avait été largement utilisé durant la pandémie A(H1N1) en 2009, avec au moins 30,8 millions de personnes vaccinées dans l’UE

 

Sources : Belga et Vers l’Avenir (27 février 2013)

 

En conclusion, ce qu’on peut surtout dire, c’est que la narcolepsie est véritablement l’arbre qui cache la forêt. Sur le plan médiatique, ce seul effet secondaire occupe en fait tout le terrain, exactement comme les médias ont quasi exclusivement parlé de la sclérose en plaques en lien avec le vaccin anti-hépatite B et de l’autisme en lien avec le vaccin ROR. L’admission en demi-teinte que le vaccin H1N1 est bien responsable de narcolepsies est l’exception qui confirme la règle, celle du déni habituel des effets secondaires de vaccins en général.

 

Pour les gens en place, industriels et monde politique, il est de loin préférable que les médias continuent ainsi d’enfoncer des portes ouvertes avec ce seul effet secondaire, plutôt que de les voir s’aventurer sur le terrain bien trop dangereux de tous les autres effets aussi longs, variés et dont la diversité possible ainsi que la fréquence réelle sont encore bien trop peu connues. 

 

narcolepsies.jpg

 

 

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 21:10

17 Exemples d’Echecs Vaccinaux Reconnus

 

Jeffry John Aufderheide, 23 février 2013

 

Enfants-vaccines-rougeole.jpgCe que cette petite fille dit: "Les enfants vaccinés

    attrapent la rougeole... le vaccin efficace à 99%???

 

Regardons s’il vous plaît les choses en face.

 

En tant que parents, nous sommes inondés de messages contradictoires au sujet des vaccins.

 

D’une part, les médecins et les médias traditionnels nous disent que les vaccins sont sûrs et efficaces. D’autre part, vous avez des parents comme moi qui disent que les vaccins ont endommagé la santé de leurs enfants ou, comme c’est aussi le cas, que les vaccins ne « fonctionnent pas » comme annoncé.

 

Ce que les gens ne savent pas bien c’est la fréquence à laquelle les vaccins échouent. Combien de personnes se demandent pourquoi les échecs vaccinaux ne font pas la Une des journaux ?

 

Une bonne partie de la réponse, c’est que de grosses sommes d’argent sont en jeu.

 

Avant de vous parler des 17 échecs vaccinaux, je voudrais vous inviter à regarder le graphique ci-dessous. Aux Etats-Unis, les enfants reçoivent 36 vaccins avant l’âge de 6 ans.

 

Graphique-enfants-avant-6-ans.PNG

 

Les Etats-Unis ont le calendrier de vaccinations le plus agressif au monde.

 

Quand les vaccins échouent, la solution proposée est souvent la même : on propose encore plus de vaccins, même si l’enfant a déjà reçu plusieurs doses censées le « protéger » !

 

Comme promis, voici donc des exemples  de parents confiants qui croyaient pouvoir protéger leurs enfants. On leur avait cependant injecté des vaccins toxiques et inefficaces.

 

Echec vaccinal # 1 – Epidémie d’oreillons dans les communautés juives orthodoxes aux Etats-Unis (2010)

 

Une épidémie importante d’oreillons s’est produite dans des communautés juives Orthodoxes parfaitement vaccinées en 2009 et 2010.

 

Parmi les adolescents vaccinés,

  • 89% avaient déjà reçu deux doses du vaccin contre les oreillons ;
  • 8% avaient reçu une dose.

97% de ceux qui furent infectés avaient reçu le vaccin. [1]

 

Echec Vaccinal  #  2  - Epidémie d’oreillons dans l’Iowa (2006)

 

En mars 2006, 219 cas d’oreillons furent signalés dans l’Iowa (2006) – soit la plus importante épidémie d’oreillons aux Etats-Unis depuis 1988.

L’âge moyen des 219 cas signalés était de 21 ans. Les 133 patients qui ont fait l’objet d’une étude avaient été vaccinés.

 

  • 87 (65%) avaient reçu 2 doses ;
  • 19 (14%) avaient reçu une dose ;
  • 8 (6%) n’avaient reçu aucune dose ;
  • 19 (14%) : statut vaccinal non précisé.

79% de ceux qui furent infectés avaient reçu au moins un vaccin.[2]

 

Echec Vaccinal  # 3 -  Epidémie d’oreillons dans un camp d’été à New York (2005)

 

Le 26 juillet 2005, le New York State Department of Health a identifié 31 cas d’oreillons vraisemblablement introduits par un conseiller du camp qui provenait du Royaume Uni. Dans l’ensemble du camp, la couverture vaccinale était de 96%. 31 participants furent infectés.

 

  • 16 (52%) participants avaient reçu 2 doses ;
  • 4 (13%) avaient reçu une dose ;
  • 9 (29%) n’avaient reçu aucune dose ;
  • 2 (6%) statut vaccinal non connu.

 20    personnes sur les 31 participants infectés (65%) avaient été vaccinées.

 

La couverture vaccinale pour l’ensemble du camp : 96% [3]

 

Echec vaccinal # 4 -  Epidémie d’oreillons dans une population fortement vaccinée (1989)

 

D’octobre 1988 à avril 1989, une épidémie d’oreillons se déclara dans le comté de Douglas au Kansas. On releva 269 cas d’oreillons. Parmi eux, 208 (77,3%) faisaient partie des écoles primaire et secondaire. 203 élèves (97,6%) avaient été vaccinés contre les oreillons. [4]

 

Echec vaccinal  # 5  -  Deux médecins complètement vaccinés contre la rougeole attrapent la rougeole (2009)

 

Au cours d’une épidémie de rougeole en 2009, deux médecins furent infectés par le virus de la rougeole alors qu’ils avaient tous deux été complètement vaccinés : ils avaient reçu deux doses du vaccin ROR (Rougeole Oreillons Rubéole). On a soupçonné que ces deux médecins furent infectés alors qu’ils soignaient des patients atteints de la rougeole. [5]

 

Echec vaccinal #  6  -  Importante épidémie de rougeole au Québec en dépit d’une couverture vaccinale de 99% (1989)

 

L’épidémie de rougeole de 1989 dans la province du Québec a infecté 1363 personnes. On a tenté d’expliquer cette épidémie en évoquant une « couverture vaccinale incomplète ».

Une enquête ultérieure détermina qu’au moins 84,5% des personnes avaient été vaccinées. Pour l’ensemble de la population, la couverture vaccinale était de 99%. [6]

 

Echec vaccinal #  7 -   Epidémie de rougeole en dépit des mesures de contrôle appropriées. (1985)

 

En 1985, sur les 118 cas de rougeole qui se déclarèrent dans une réserve du Montana (Blackfeet), 82% des personnes avaient été vaccinées ; Vingt-trois de ces cas sont survenus dans les écoles de Browning où 98,7% des élèves avaient été vaccinés. [7]

 

Echec vaccinal # 8 -  Epidémie de rougeole dans une école secondaire complètement vaccinée (1985)

 

En 1985, une épidémie de rougeole s’est déclarée dans une école secondaire de Corpus Christi au Texas. Plus de 99% des élèves avaient été vaccinés avec le virus vivant. Les enquêteurs ont conclu : « que des épidémies de rougeole peuvent se produire dans des écoles secondaires, même si plus de 99% des élèves ont été vaccinés et que plus de 95% sont immunisés. »

 

La couverture vaccinale pour cette école était de 99%  [8]

 

Echec Vaccinal  # 9 -  Rougeole dans une population scolaire vaccinée au Nouveau Mexique (1984)

 

L’histoire ne cesse de se répéter.

 

En 1984, 76 cas de rougeole ont été signalés à Hobbs, Nouveau-Mexique. 47 cas (62%) se sont produits chez des étudiants. L’école en question a signalé que 98% des élèves avaient été vaccinés contre la rougeole avant que l’épidémie ne se déclare.

Pour cette école, la couverture vaccinale était de 98%. [9]

 

Echec Vaccinal # 10 -  Epidémie de rougeole parmi les élèves vaccinés d’une école secondaire de l’Illinois ; (1984)

 

En 1984, 21 cas de rougeole se sont déclarés dans le comté de Sangamon (Illinois).

 

  • 16 (76%) avaient été vaccinés ;
  • 4 (19%) d’âge préscolaire n’étaient pas vaccinés.
  • 1 (5%) était un étudiant vacciné (college student)

Les 411 élèves de l’école secondaire locale avaient été vaccinés le jour de leur premier anniversaire ou peu de temps après. Les enquêteurs ont signalé : « Cette épidémie démontre que la transmission de la rougeole peut se produire dans une population scolaire avec un taux de vaccination atteignant les 100%. » [10]

 

Echec vaccinal # 11 – Analyse d’une épidémie de rougeole. – Rôle possible des échecs vaccinaux (1975)

 

En 1975, une épidémie de rougeole s’est produite dans les écoles de Greensville, Ontario. Parmi les 47 cas de rougeole,

 

  • 26 (55,3%) avaient été vaccinés ;
  • 18 (18,3%) n’avaient pas été vaccinés ;
  • 3 (6,4%) statut vaccinal inconnu.

Les enquêteurs ont conclu qu’un seul vaccin ne suffisait pas pour protéger les enfants. Ils ont recommandé des injections supplémentaires.

 

Cas de rougeole chez les enfants vaccinés : 53,3% [11]

 

Echec vaccinal # 12 – Durée inattendue de l’immunité après une vaccination contre la coqueluche (vaccin acellulaire) chez des pré-adolescents au cours d’une épidémie en Amérique du Nord. ( 2012)

 

En 2012, les médecins du « Kaiser Permanente Medical Center » identifièrent 171 cas de coqueluche – 132 cas furent dépistés chez des enfants. Ils constatèrent une augmentation des cas chez des enfants âgés de 8 à 12 ans.

A propos de l’efficacité de la vaccination, ils prétendirent ce qui suit :

 

  • Enfants de 2 à 7 ans : 41% d’efficacité ( ?!?)
  • Enfants de 8 à 12 ans : 24% d’efficacité ( ?!?)
  • Adolescents de 13 à 18 ans : 79% d’efficacité. 

Ces médecins ont émis l’hypothèse que ces enfants avaient besoin de davantage de vaccins pour être « efficacement protégés ».

 

Efficacité du vaccin pour les enfants de 8 à 12 ans : 24% [12]

 

Echec vaccinal # 13 – Aspects cliniques de la coqueluche chez des enfants complètement vaccinés en Lituanie (2001)

 

En 2001, la couverture vaccinale du pays était estimée à 94,6%. De mai à décembre de cette même année, la confirmation sérologique de la coqueluche fut établie chez  53 enfants. Parmi ces 53 enfants,

 

  • 32 (60,4%) avaient été complètement vaccinés,
  • 21 (39,6%) avaient été partiellement vaccinés ou pas vaccinés du tout.

Les enquêteurs ont d’une manière commode regroupé les enfants partiellement vaccinés et les enfants non vaccinés. 28 enfants parmi les 32 (87,5%) qui avaient été complètement vaccinés avaient aussi reçu des antibiotiques.

 

Les enfants vaccinés (qui avaient reçu au moins trois doses du vaccin DTC) représentaient 43,2% de tous les cas de coqueluche diagnostiqués en 2001.

 

La couverture vaccinale pour la Lituanie : 94,6%. [13]

 

Echec vaccinal # 14 – Infection coquelucheuse chez des enfants complètement vaccinés dans les garderies (2000)

 

De nombreux professionnels de santé sont catégoriques. Ils prétendent que les vaccins protègent des infections.

Les résultats d’une enquête de terrain en Israël ne confirment nullement cette croyance.

 

En 2000, un enfant qui est décédé a été suspecté d’avoir fait une coqueluche. Le bébé a reçu sa première dose de DTC à deux mois – tous les membres de sa famille étaient complètement vaccinés ; ils avaient tous reçu 4 doses du vaccin DTC.

 

On étudia de plus près le cas de deux jumeaux qui avaient été soignés dans le même Centre que l’enfant. Tous les enfants qui fréquentaient ce Centre avaient été vaccinés  dans l’enfance avec quatre doses du DTC  et avaient reçu une dose de rappel à 12 mois .

 

Cinq enfants complètement vaccinés ont été infectés par le Bordetella Pertussis (Coqueluche).

 

En conclusion les enquêteurs ont voulu souligner ce qui suit :

 

Les adolescents et les adultes vaccinés peuvent servir de réservoirs d’infection silencieuse et peuvent potentiellement contaminer des nourrissons non protégés. Le vaccin à germes entiers contre la coqueluche protège seulement contre la maladie clinique, et non pas contre l’infection. Par conséquent, même les jeunes enfants récemment vaccinés peuvent servir de réservoirs et de transmetteurs potentiels d’infection. »

 

Les enquêteurs ont insisté : « Nos résultats indiquent que les enfants de 5 à 6 ans et peut-être aussi les plus jeunes de 2 à 3 ans « jouent le rôle »  de réservoirs silencieux dans la transmission de la coqueluche dans la communauté. »

 

Couverture vaccinale dans ce centre (garderie) : 100% [14]

 

Echec vaccinal # 15 – Epidémie de coqueluche au Vermont (1996)

 

En 1996, on releva 280 cas de coqueluche au Vermont.

 

  • 12 (4%) avaient moins d’un an ;
  • 32 (11%) étaient âgés de 1 à 4 ans ;
  • 42 (15%) étaient âgés de 5 à 9 ans
  • 129 (46%) étaient âgés de 10 à 19 ans
  • 65 (23%) avaient 20 ans ou plus.

Sur un total de 215 enfants (dont le statut vaccinal était connu) combien avaient été vaccinés ?

 

  • 5 enfants de 7 à 47 mois étaient partiellement vaccinés ;
  • 14 enfants de 7 à 47 mois avaient reçu 3 doses du vaccin ;
  • 49 jeunes de 7 à 18 ans étaient partiellement vaccinés ;
  • 106 jeunes de 7 à 18 ans étaient complètement vaccinés.

Fait troublant : 174 enfants ont été vaccinés et plus de la moitié (61%) des enfants de l’école ont été considérés comme étant « complètement vaccinés » !

 

Il est important de garder à l’esprit que dans le Vermont en 1996, 97% des enfants de 19 à 35 mois avaient reçu trois ou davantage de doses du vaccin DTC ou DT.

 

Echec complet chez les enfants vaccinés : au moins 80,9% [15]

 

Echec vaccinal # 16 – Epidémie de varicelle dans une garderie  en dépit de la vaccination (2012)

 

Il arrive qu’au lieu de reconnaître qu’un vaccin a été un échec complet, on utilise des termes comme « percée de varicelle » pour parler des enfants qui sont tombés malades alors qu’ils avaient bel et bien été vaccinés.

 

En décembre 2012, une épidémie s’est produite dans une garderie privée près de Concord dans le New Hampshire. Au total, on enregistra 25 cas de varicelle chez les enfants.

 

  • 17 (68%) avaient été vaccinés ;
  • 8 (32%) n’étaient pas vaccinés – deux de ces enfants furent vaccinés fin décembre et classés dans le groupe des « non vaccinés ».

Les enquêteurs ont déploré le fait que l’efficacité du vaccin n’était que de 44%. Ils précisèrent :

 

« Les raisons du manque d’efficacité du vaccin ne sont pas évidentes… Les conclusions de cette enquête font craindre que la stratégie de vaccination en cours pourrait ne pas protéger les enfants de manière adéquate. »

 

La couverture vaccinale était de 73,1% [16]

 

Echec vaccinal # 17 -  Epidémie de varicelle chez des enfants de l’école primaire ayant reçu deux doses du vaccin contre la varicelle (2006)

 

Auriez-vous déjà remarqué  que quand un vaccin n’est pas efficace, la réponse est presque toujours : il faut plus de vaccins ?...

 

En juin 2006, on recommanda une seconde dose du vaccin contre la varicelle pour pouvoir entrer à l’école. Peu de temps après la reprise des cours, le Département de la Santé de l’Arkansas signala une épidémie de varicelle chez les élèves.

 

L’information sur la vaccination fut disponible pour 871 (99%) des 880 élèves.- 97% des élèves avaient été vaccinés pour la varicelle ! Au cours de cette épidémie, 84 cas furent signalés.

 

La couverture vaccinale était de 97%. [17]

 

Conclusion

 

Comme on peut le voir à partir des exemples qui précèdent, la vaccination est souvent inefficace. Il existe de nombreux autres exemples que nous ne pouvons aborder dans cet article.

 

Si vous souhaitez approfondir la question, voici une petite astuce. Sur Google.com, faites une recherche au moyen des mots clés suivants : « préalablement vaccinés pour X »  ou « épidémie à l’école X »…

 

En tant que parents vous faites confiance au médecin et vous attendez de lui qu’il vous fournisse des informations précises et exactes. Mais quand les médecins vous disent que les vaccins fonctionnent, qu’ils sont efficaces, de qui tiennent-ils leur information ?

 

Plus important encore, pourquoi les échecs vaccinaux ne sont-ils pas rapportés dans les médias traditionnels ? La réponse la plus plausible est que les organisations qui doivent le plus se protéger de la vérité sur ces questions sont membres de Big Pharma – Je ne pense pas que l’on ait déjà inventé un vaccin pour assurer cette protection.

 

Références

  1. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1202865
  2. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm55d330a1.htm
  3. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5507a2.htm
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1861205
  5. http://jid.oxfordjournals.org/content/204/suppl_1/S559.full.pdf+html
  6. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1884314
  7. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed?term=3618578
  8. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM198703263161303
  9. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00000476.htm
  10. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00000359.htm
  11. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1956577/
  12. http://cid.oxfordjournals.org/content/early/2012/03/13/cid.cis287
  13. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15918913
  14. http://wwwnc.cdc.gov/eid/article/6/5/00-0512_article.htm
  15. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00049244.htm
  16. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa021662
  17. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19593254 

Source: Vactruth

 

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