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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 20:47

5 février 2013

 

Engerix B: nouvelle audience aujourd'hui

 

La Cour d’appel de Casablanca devra aujourd’hui examiner l’affaire opposant le laboratoire GSK Maroc à la famille du petit Achraf Diwan, devenu tétraplégique suite à une injection du vaccin Engerix B.

 

achraf-di.PNG

Achraf Diwan est devenu tétraplégique

suite à une injection du vaccin Engerix B.

 

Nouvelle audience dans l’affaire judiciaire opposant le laboratoire GSK Maroc à la famille du petit Achraf Diwan, devenu tétraplégique suite à une injection du vaccin Engerix B. Aujourd’hui, mardi 5 février, les deux parties seront entendues par le juge à la Cour d’appel de Casablanca. Le petit Achraf y sera également présent. « Le juge devra faire le constat. C’est un nouveau juge. Il a besoin de constater l’état de santé de Achraf », note un membre de la famille de la victime, déterminée à aller jusqu’au bout de cette bataille judiciaire pour que justice soit faite. Pour mémoire, l’affaire traîne depuis plus de dix ans dans les tribunaux. C’était en l’an 2000. Achraf était âgé de moins de deux ans. L’enfant était en bonne santé. Ses parents sont heureux et fiers de lui. C’est leur premier bébé. Ils décident de lui faire le vaccin Engerix B, utilisé pour prévenir l’hépatite B. Après administration du vaccin, l’état de santé du bébé se détériore.  Douleurs, difficulté à respirer…Ses parents l’emmène à l’hôpital Ibn Rochd à Casablanca. Le médecin diagnostique une paralysie pouvant être causée par l’injection de l’Engerix.B. La nouvelle tombe comme un couperet sur la famille. La douleur de la famille Diwan est indicible.

 

3 millions de DH de dommages et intérêts

 

Face à la catastrophe, la famille Diwan décide d’ester en justice contre le laboratoire pharmaceutique fabriquant le vaccin à savoir GSK. Les parents l’accusent d’être responsable de la paralysie de leur fils. Ils réclamaient des dommages de 10 millions de dirhams en réparation du préjudice causé. En 2005, le rapport de l’expertise menée par le professeur Saïd Louahlia, ex-directeur de l’Institut de médecine légale Ibn Rochd, conclut à « l’existence d’un lien de causalité direct entre le vaccin et l’encéphalopathie du fait des critères d’imputabilité réunis ». La sentence du tribunal de première instance de Casablanca était en faveur de la victime. Smithkline Beecham Maroc était condamné à payer 3 millions de DH de dommages et intérêts au petit Achraf. Une somme jugée insuffisante par les parents, qui décident de faire appel. « La tétraplégie est une pathologie complexe qui nécessite une prise en charge globale et complète. Achraf a des besoins énormes en termes de soins. Chaque jour, il subit une séance de kinésithérapie. Il a besoin d’une personne à ses côtés en permanence. Les médicaments coûtent chers. Tout cela exige des dépenses énormes », souligne un membre de la famille, qui exige 10 à 20 millions de DH de dommages et intérêts.

 

Source : LeSoir-echos

 

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 20:40

Informations de février 2013 et juin 2008 (< L'Echo)

 

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 23:00

cour des comptesLa Cour des Comptes (qui milite de façon tout à fait déplacée et idéologique en faveur des vaccins alors que cela n'a pourtant rien à voir avec les prérogatives de ses magistrats) vient de sortir un rapport sur la politique vaccinale française.

 

Dans ce rapport, on apprend que le coût des vaccins antigrippaux pour la Sécurité Sociale est d'environ 20 millions d'euros par an (hors coût de consultations) et ce, alors que l'"efficacité" de ces vaccins se situe entre ... 1,5 et 10% tout au plus!

 

En effet, les prétendus 60 ou 70% d'"efficacité" n'équivalent pas à 60 à 70% des vaccinés épargnés par la grippe, non, en réalité, de tels chiffres s'obtiennent si, dans les essais cliniques - auxquels on fait souvent dire ce qu'on veut, surtout quand ce sont les labos qui les financent - il y a par exemple 1 malade en moins de la grippe dans le groupe "vacciné" que dans le groupe non vacciné! En réalité, le vaccin ne "préviendra" la grippe que chez 1,5 personne sur 100, tout en faisant courir un risque d'effets secondaires à 100% des gens et tout en créant bien plus de problèmes et d'effets secondaires directs ou indirects que cela. On est donc bien dans un phénomène d'efficacité tout à fait négative puisque par ailleurs, comme étudié par l'immunologiste américain Pr Fudenbergh, 5 vaccinations antigrippales successives multiplient déjà par 10 le risque de survenue d'une maladie d'Alzheimer...

 

Même si on veut "être optimiste", on doit bien constater que la vaccination antigrippale, même cette année, n'aura évité, selon le constat des Centres de Contrôles des Maladies américains (CDC), que 10% des infections à influenza, tout en augmentant bien sûr le risque de symptômes pseudogrippaux car cette vaccination, comme toutes les autres, en leurrant le système immunitaire, contribue à l'affaiblir et à le déprimer, le laissant donc plus démuni face à un lot d'infections opportunistes hivernales.

 

Parallèlement au constat incontournable d'un gaspillage aussi désespérant, il convient aussi de faire le lien entre cette actualité et celle qui vient de rappeler la dramatique sous-estimation de la toxicité de produits chimiques à soi-disant "faible dose" et également en "cocktail synergique", notamment dans les aliments. Pourquoi: parce que le journal Le Monde, qu'on ne peut tout de même pas accuser d'anti-vaccinalisme, vient justement de publier un article intitulé " Le scandale alimentaire qui s'annonce", dans lequel on peut notamment lire:

 

"Nul besoin d'une vaste enquête pour avoir une idée de l'incroyable pharmacopée destinée aux animaux d'élevage. La liste des produits autorisés contient de nombreux douvicides (contre des vers parasites), anticoccidiens (parasites de l'intestin), anthelminthiques (vermifuges), hormones, vaccins, neuroleptiques et antibiotiques.

 

Sait-on comment l'oxytétracycline se mélange avec la gonadolibérine chez un poulet ? Comment le flubendazole se marie avec l'azapérone et les prostaglandines PGF2 dans la chair d'un porc ? Le thiabendazole avec le diazinon ou le décoquinate dans le sang d'une bonne vache charolaise ?

 

Aucune étude sur les effets de synergie de ces produits n'est menée. Il n'est pas dit qu'elles seraient possibles.

 

Lorsque c'est le cas, on découvre en tout cas un nouveau monde. Le 3 août 2012, la revue PloS One publiait un travail sur les effets combinés de trois fongicides très employés dans l'agriculture. Leur association provoque des effets inattendus sur les cellules de notre système nerveux central.

 

Commentaire de l'un des auteurs, Claude Reiss : "Des substances réputées sans effet pour la reproduction humaine, non neurotoxiques et non cancérigènes ont, en combinaison, des effets insoupçonnés."

 

Effets insoupçonnés, éventuellement cancérigènes, ouvrant la voie –peut-être – à des maladies neurodégénératives comme Parkinson, la sclérose en plaques ou Alzheimer.

 

Cette découverte est cohérente avec les grands changements en cours dans la toxicologie, qui étudie les substances toxiques."



En effet, jusqu'ici, chaque toxicologue répétait à tue-tête que "la dose fait le poison" et c'est d'ailleurs encore le vieux discours périmé que tous les ministres de la santé osent sortir quand ils sont interpellés par des parlementaires sur des toxiques comme l'aluminium ou encore le borate de sodium inclus dans les vaccins.

 

Or voici ce que le Monde précise sur le bisphénol qui pourrait bien être n'importe quel composant de vaccins puisqu'aucun vaccin ne fait jamais l'objet d'études destinées à évaluer son potentiel cancérogène ou d'études pharmacocinétiques destinées à étudier le comportement des différents ingrédients une fois dans le corps (et donc les synergies possibles!):

 

"Or les perturbateurs endocriniens agissent à des doses si faibles que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a pu conclure, dans un rapport de 2011, que les effets de l'un d'eux, le bisphénol A, étaient avérés à "des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires".

 

Il est certain que ce seul propos marque un tournant. Car du même coup, la dose journalière admissible (DJA) du bisphénol A - sa limite légale - pourrait être divisée par... 2 millions, selon le toxicologue André Cicolella.

 

Le bisphénol A pourrait même "avoir des effets plus importants à très faible niveau d'exposition qu'à haut niveau", ce qui mettrait à bas tout l'édifice."



Par conséquent, rien, absolument rien de scientifique, ne vient étayer la témérité oratoire de ministres comme Laurette Onkelinx ou Xavier Bertrand quand ils minimisent les risques de l'aluminium ou du borate de sodium vaccinaux car enfin, on vient de le voir, qu'en est-il de leurs interactions avec les autres composants vaccinaux? Qui peut garantir aux parents et aux patients que la "dose journalière admissible" de ces substances toxiques ne devrait-elle pas elle aussi être largement revue à la baisse, si pas divisée par 2 millions? Personne ne peut le nier puisque personne ne veut vraiment chercher ni savoir, les risques commerciaux étant bien trop grands!



Et ceux qui, à l'instar de la Cour des Comptes française, se permettent de recommander, sur une base aussi aveugle, le renforcement généralisé des politiques vaccinales (qui coûtent au moins 400 millions d'euros annuels dans ce pays!), auront un jour des comptes à rendre dans de futurs scandales sanitaires à venir, toute vérité finissant toujours tôt ou tard par se savoir. Lorsqu'on sait que cette instance (la Cour des Comptes française) a pour slogan "S'assurer du bon emploi de l'argent public, en informer le citoyen" et qu'elle écrit sur son site que la vaccination est "un outil essentiel de la disparition en France des grandes pandémies qui ont marqué le passé", on ne peut qu'émettre le souhait que ces gens se recyclent d'urgence -eux ou leurs experts enfin- en épidémiologie et en histoire des sciences et de la médecine. Quant aux sites "de référence" qu'ils aimeraient voir apparaître en haut de liste dans Google, à savoir des sites comme Infovac (dont les experts comme Claire Anne Siegrist ou Robert Cohen ont de lourds conflits d'intérêts avec les industriels du secteur), nous leur suggérons d'y substituer plutôt celui de Pharmacritique ou encore d'Initiative Citoyenne...Ca, ça serait au moins un gage de fameuses économies d'euros et de vies!

 

 

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 22:06

DOCUMENTAIRE. Caméra cachée dans un labo pharmaceutique :

 

Voir ou revoir ce documentaire  ici

  

Deux journalistes se sont infiltrés dans les coulisses d'un grand laboratoire français et auprès de visiteurs médicaux. 

 

Leur film est diffusé ce vendredi soir sur France 2.

 

les-infiltres.jpg

Sophie Bonnet, auteur du documentaire "Laboratoires pharmaceutiques, un lobby en pleine santé", diffusé vendredi 22 février sur France 2. (Capa / France 2)

 

Il était une fois une très fine journaliste de Capa nommé Sophie Bonnet, qui confia à un confrère la mission de se faire recruter pour six mois comme stagiaire dans le service marketing d’une importante firme pharmaceutique française. Capa lui confia une caméra cachée. La firme lui donna un bureau, un portable et le code intranet dont la jeune recrue ferait bon usage le soir une fois rentrée a la maison.

 

Sophie Bonnet de son côté s’en alla promener sa caméra cachée parmi le petit monde tout aussi fermé des visiteurs médicaux qui lui ont confié des choses comme ça : "On nous demande en formation de ne pas trop insister sur les effets secondaires. Ca peut être un problème d’avancer des qualités sur le médicament qui ne sont pas vérifiées scientifiquement." Nous avons rencontré cette journaliste infiltrée. Son documentaire, "Laboratoires pharmaceutiques, un lobby en pleine santé", passe ce vendredi sur France 2, à 22h25, dans la série "Les Infiltrés".

 

Pourquoi avoir infiltré un laboratoire pharmaceutique ?

 

- Nous voulions savoir comment se passe la campagne de lancement d’un médicament dans une firme. Comment le service marketing s’y prend pour parvenir à faire prescrire son produit et convaincre les médecins. Ce qui m’a sidérée, c’est que des médicaments dont on sait qu’ils sont mal classés par la Haute Autorité de Santé [la HAS évalue le service rendu d’un nouveau produit sur une échelle qui va de 1 à 5, NDLR], des traitements dont on sait qu’ils n’apportent aucune innovation, que leurs effets secondaires sont très mal connus, et que leur prix est exorbitant, eh bien le laboratoire va tout de même réussir à les faire prescrire en très grande quantité.

 

Les firmes utilisent pour cela les méthodes de marketing agressives utilisées pour n’importe quel produit de grande consommation. Voitures, ordinateurs ou médicaments, c’est pareil. C’est triste à dire mais le scandale du Médiator aura changé très peu de choses. Il y a toujours moyen de détourner les lois promulguées, comme la "loi anti-cadeau" [loi de Pierre Bérégovoy datant de 1992 sur la régulation des avantages délivrés en France aux professionnels de la santé par les firmes pharmaceutiques, NDLR], pour parvenir à vendre un produit.

 

Un des passages les plus impressionnants de votre documentaire est celui où vous filmez en caméra cachée le PDG venu en personne faire un tour au service marketing pour galvaniser ses troupes.

 

- Cela se passe au moment où Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé, essaye de faire passer une loi pour limiter l’impact et encadrer le travail des visiteurs médicaux. Le PDG explique très clairement qu’il préfère, si on doit faire des économies, se séparer du département Recherche plutôt que se passer de visiteurs médicaux. Ce monsieur explique aussi, très sûr de lui, qu’il va trouver un député pour faire amender la loi dans un sens favorable aux fabricants de médicaments. Et les labos effectivement sont parvenus à leurs fins car le projet de loi a été complètement édulcoré.

 

Les médecins qui apparaissent dans votre film semblent désinformés.

 

- C’est souvent le cas, oui. Mais ils pourraient en savoir plus. Les informations indépendantes sont là, à leur disposition : sur le site de la HAS, celui du Formindep, ou celui de Pharmacritique. Il existe aussi des revues indépendantes de très haute qualité comme "Prescrire". Les visiteurs médicaux servent de boucs émissaires. Les médecins pourraient arrêter de lire leur presse subventionnée et chercher l’information sérieuse là où elle se trouve.

 

Une conclusion après sept mois d’enquête ?

 

- Tout ce temps, j’ai à peine entendu parler des patients. Mais beaucoup de business, vente, objectifs, promotion, autorisation de mise sur le marché, concurrence. Il règne dans le monde de la santé française une opacité générale à tous les niveaux de la chaîne. Quel que soit le sujet sur lequel on choisit d’enquêter, ce que l’on découvre est affolant.

 

Des sommes d’argent colossales sont en jeu. Personne n’a intérêt à ce que les patients soient mis au courant de la réalité des choses. Le court sujet présenté à la fin de mon film parle de ce qu’on appelle "les marges arrières". Quand un pharmacien décide de travailler avec un laboratoire génériqueur, très souvent ce labo lui reverse de l’argent.

 

Au cours de mon enquête, je me suis fait passer pour un pharmacien désireux de monter une officine. J’ai pris rendez-vous avec des génériqueurs français, choisis au hasard. A chacun, j’ai demandé de quels aménagements commerciaux je pourrais bénéficier si j’achetais mes médicaments chez eux. Les trois labos que j’ai vus m’ont proposé de me reverser de l’argent – jusqu’à 60% du prix des médicaments. Et l’un d'eux m’a même proposé une escroquerie à la Sécu. Des montages financiers et juridiques qui permettent de rendre ces arrangements légaux. Mais ils restent cachés.

 

"Laboratoires pharmaceutiques, un lobby en pleine santé", diffusion vendredi 22 février, France 2, à 22h25, dans la série "Les Infiltrés".

 

Propos recueillis par Anne Crignon

 

Source : Nouvel Obs

 

Dommage que cette émission n’ait pas élargi toutefois ses investigations au rôle on ne peut plus ambigu des Associations de Patients car enfin, quand on visionne ce documentaire puis qu’on lit la minimisation incompréhensible des effets secondaires de ces antidiabétiques de nouvelle génération sur le site de l'Association française du Diabète, on ne peut que se demander qui elle sert vraiment…

 

Ce documentaire montre aussi une loi vidée de toute sa substance, exactement comme ce fut récemment le cas avec les ondes électromagnétiques, preuve que les lobbys gagnent toujours et que les Ministres et l’immense majorité des parlementaires trahissent le public.

 

 

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 21:45

Après avoir bien commodément été étiquetés de "membres de sectes" au gré des humeurs des castes politiques ou médicales, ceux qui OSENT émettre des critiques sur les vaccinations pourraient bientôt être étiquetés "terroristes". En cause: un ajout très récent dans le Code pénal belge dont faisait état le site de Gerard de Selys.

 

"Nous serons tous des "terroristes" en Belgique. Le sénat belge a adopté ce mercredi 30 janvier 2013 le projet de loi, déposé par la ministre de la Justice belge, qui dote le code pénal belge d’un article 140 bis incriminant pour terrorisme l’auteur de « tout message public » qui « préconise directement la commission d’infractions » visant à déstabiliser ou détruire le système économique et/ou politique qui régit nos sociétés et, ce, malgré l’avis rendu par le Conseil d’Etat, le 18 septembre dernier, qui estimait que cet article restreignait les libertés d’association et d’expression garanties par la Constitution belge."

 

En effet, en interprétant comme bon leur semble ce genre de phrasé, il sera facile aux autorités en mauvaise posture de prétendre que ceux qui partagent publiquement leurs questions et leurs critiques sur le scandale vaccinal (sans conteste un des scandales les plus préoccupants de toute l'histoire de la médecine pour ceux qui se sont vraiment donné la peine de creuser ce sujet à fond) sont des "terroristes" et qu'ils seraient à même de  "déstabiliser" le système économique ou politique puisque les intérêts de sociétés pharmaceutiques sont considérés comme "Raison d'Etat" (cfr la note qui figure à la fin du livre "Le nouveau dossier noir du vaccin contre l'hépatite B" et qui émane des Ministères à destination des renseignements généraux pour ficher les opposants au vaccin anti-hépatite B). En 2007, un rapport du Sénat français stipulait explicitement que les autorités doivent considérer les firmes pharmaceutiques comme leurs "partenaires naturels".

 

Il est donc clair, compte tenu de l'incapacité TOTALE des experts officiels à répondre aux questions objectives et dérangeantes sur l'évaluation de la sécurité vaccinale, que les tentations vont être de plus en plus fortes d'éluder le fond du sujet au profit d'attaques destinées à discréditer les opposants et à éviter ainsi d'avance tout débat embarrassant.

 

Si on ajoute à cela la perspective d'options spéciales des navigateurs pour "marquer comme terrorisme" divers contenus, il n'est pas difficile de voir les véritables intérêts qui useront et abuseront de ce genre d'outil hasardeux et opportuniste.

 

Pourtant, à bien y réfléchir, la vaccination emprunte de nombreux points communs avec le terrorisme, parmi lesquels:

 

- l'usage de la peur comme moyen d'action ( la peur fait vendre; on fait peur aux gens pour que ceux-ci puissent ainsi accepter l'idée de telle ou telle vaccination qu'ils n'avaient initialement pas demandée)

 - des victimes certaines mais imprévisibles (on sait qu'elles seront victimes mais on sait difficilement dire où, quand et sur qui ca va tomber)

- l'idée de "sacrifice" (on prétend qu'il faut sacrifier un certain nombre pour le soi disant "Bien commun")

- la notion de chantage aussi ( par exemple des groupes terroristes peuvent dire "si vous ne faites pas ceci ou ça, nous tueront les otages; avec la vaccination, on pratique un chantage continuel "pas de vaccins? Alors pas de crèches, ou bien plus de travail, plus d'école etc")

-etc etc.

 

terrorisme.jpg

 

PS: Un visiteur nous fait remarquer dans son commentaire intéressant que si les officiels considéreront allègrement que des actions comme les nôtres sont une menace politique et/ou économique, la seconde condition ( le fait de diffuser un message incitant à commettre des infractions) ne pourrait être remplie en l'espèce puisque nous nous contentons de diffuser une information étayée et réfencée sur les non-dits vaccinaux dans le strict respect des lois...

 

Toutefois, en ce qui concerne les officiels, il suffit de voir que pour eux, l'arrêté royal de 66 (obligation polio) doit primer sur la loi du 22 août 2002 (droit des patients, consentement éclairé) et que l'arrêté de février 2003 qui avalise la tyrannie vaccinale de l'ONE ne pose aucun problème! Comme ils sont finalement dans une logique de déni complet du libre-arbitre des gens (il suffit à ce propos de voir l'acharnement inacceptable de la Communauté française avec les vaccins HPV, au point d'envoyer une ambassadrice, ou encore avec sa pub trompeuse en faveur des vaccins tout au long de la vie), situation dans laquelle il est donc question d'essayer de LEUR FORCER LA MAIN, ils projettent bien sûr leur propre attitude sur autrui et prétexteront que, si les gens choisissent, après s'être informés, de refuser des vaccins, fussent-ils obligatoires dans les textes, ce sera "à cause de nous" et qu'ils se seront laissés "embrigadés". Mais c'est là la grande différence entre nous et eux, nous, nous mettons une info à disposition et nous considérons que c'est aux gens de trancher, eux, à la manière de "despotes éclairés", ils considèrent que les gens doivent vraiment faire ce qu'eux ont jugé officiellement "bon" pour eux à leur place [c'est ce qu'on appelle un procédé régressif d'infantilisation du citoyen].

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 19:45

Maïs OGM – L’étude de Séralini  validée par un  Académicien

 

PAUL-DEHEUVELS.jpg

L'Académicien Paul Deheuvels, estime que l'étude sur le maïs OGM Monsanto dirigée par Gilles-Eric Séralini est tout à fait valable. Et il dénonce les fonctionnements internes de l'Académie des Sciences.

 

Dans une interview exclusive à paraître dans le magazine Rebelle-Santé du 23 février, Paul Deheuvels, membre de l'Académie des sciences et Directeur du Laboratoire de Statistique Théorique et Appliquée de l'Université de Paris VI, confirme la validité de l'étude sur les OGM dirigée par Gilles-Eric Séralini et dénonce les fonctionnements internes de l'Académie des Sciences.

 

Quand le Pr Séralini (Université de Caen) a publié en septembre 2012 son étude sur les OGM dans une revue scientifique de référence " Food and Chemical Toxicology ", composée d'un Comité de lecture, et qui montrait clairement que les rats soumis à une alimentation à base d'OGM développaient beaucoup plus de tumeurs que des rats témoins, l'Académie des Sciences lui est tombée dessus en affirmant que son étude ne valait rien, que la méthodologie utilisée ne tenait pas la route et que les résultats ne pouvaient avoir aucune signification statistique. C'est tout juste s'il n'a pas été considéré comme un farfelu indigne de faire partie de la communauté scientifique.

 

Mais dans une interview exclusive à paraître dans le magazine " Rebelle-Santé " du 23 février 2013, Paul Deheuvels, membre de l'Académie des sciences et Directeur du Laboratoire de Statistique Théorique et Appliquée de l'Université de Paris VI, n'est pas du tout de cet avis. Il confirme au contraire la validité scientifique de l'étude sur les OGM dirigée par Gilles-Eric Séralini et " l'existence de différences statistiquement significatives pour d'autres données d'observation que les comptages ". Il va même jusqu'à dénoncer les fonctionnements internes de l'Académie des Sciences. Ainsi selon le lui, le communiqué publié en octobre 2012 par l'Académie des Sciences puis par les Académies majeures, qui contestait l'étude de Gilles-Eric Séralini, a été rédigé et approuvé par seulement deux membres de l'Académie des Sciences sans qu'aucun débat n'ait été organisé. Le communiqué mettait en cause notamment l'aspect statistique de ces résultats. Or, Paul Deheuvels, l'un des meilleurs experts en statistiques affirme qu'il n'a pas été consulté, ni informé de cette démarche. Il signale aussi les pressions et conflits d'intérêts qui peuvent guider les avis de l'Académie, notamment sur des sujets où les enjeux commerciaux ou industriels sont importants. Et il remet les pendules à l'heure concernant les différents reproches qui ont été faits à cette étude.

  

Pour mémoire cette étude, soutenue par 130 ONG, à conclu à la toxicité potentielle du maïs génétiquement modifié NK603 et d'un herbicide contenant du glyphosate (Round Up de Monsanto), se traduisant par une augmentation de tumeurs cancéreuses chez les rats.

 

Mathilde Emery

  

 Source: Bioaddict.fr

 

Voilà une prise de position courageuse et bien légitime. Cela révèle le peu de confiance qu’on peut encore avoir dans ces instances dont la porosité avec les intérêts financiers est bien sûr inacceptable, nous en avions déjà parlé.

 

A chaque fois la méthode est finalement la même et avec les vaccins aussi, chaque étude mettant en évidence des risques vaccinaux est systématiquement dénigrée, déclarée méthodologiquement mauvaise et non significative.

 

Soulignons à ce propos que c’était notamment Paul Deheuvels qui recevait le biologiste Michel Georget le 15 février dernier sur les vaccins sur RadioCourtoisie. Lui aussi estime donc (il suffit d’entendre ses propos bien légitimes à l’antenne) qu’il y a un énorme problème avec les vaccins. Un véritable scandale donc. Un de plus. Mais surtout, une unicité et une uniformité des scandales sanitaires dans les mécanismes qui les rendent possibles.

 

 

 

 

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 19:30

Sanofi a annoncé vendredi, dans un communiqué triomphant, l'approbation de son nouveau vaccin hexavalent par le Comité des Médicaments à Usage Humain (CHMP) de l'Agence Européenne des Médicaments. Tout d'abord, qui en sera étonné? Cette agence agit comme une passoire et pour cause, elle est financée à 80% par des redevances des labos.

 

Il importe aussi de rappeler à cet égard que Sanofi avait déjà lancé une précédente version d'un vaccin hexavalent, l'Hexavac, dont il ne faudrait tout de même pas oublier trop vite la lugubre histoire commerciale et sanitaire... En effet, le vaccin Hexavac, suspecté d'avoir causé des oedèmes cérébraux mortels du nourrisson (comme son pseudo concurrent l'Infanrix hexa qui lui semble bénéficier de protections contre toute remise en cause) a été retiré du marché en 2005, soit à peine 5 ans après sa mise sur le marché en 2000. La véritable raison était bien sûr cette perspective d'investigations plus approfondies sur le lien entre ces décès par oedème cérébral mortel du nourrisson et le vaccin mais, pour protéger ses baîlleurs de fonds, l'Agence européenne du médicament a en quelque sorte "couvert" l'image du fabricant en prétendant que ce retrait n'était nullement lié à la sécurité du vaccin mais à une efficacité insuffisante d'une des valences (celle contre l'hépatite B), les parents préférant bien sûr savoir que leur enfant avait reçu un vaccin moins efficace qu'un vaccin plus dangereux qu'ils ne le pensaient. Une fois encore donc, c'est l'image de la vaccination qu'on a prioritairement protégée plutôt que le droit à l'information et à la santé des gens.

 

Le fabricant tente de présenter comme exceptionnel le fait que ce vaccin est déjà prêt à l'emploi, sans besoin d'être reconstitué comme son concurrent l'Infanrix hexa (de GSK) mais pour les parents, pour leurs enfants, qu'est-ce que cela change? On devine la réponse et les départements de Relations Publiques et de Communication aux médias jouent ici en plein la mission qui leur a été confiée par les laboratoires.

 

Le vaccin portera des noms différents selon les marchés, ce qui aidera sans nul doute à ce que les victimes de ce futur vaccin sur les différents continents puissent plus difficilement échanger et établir un lien entre leurs effets secondaires communs (puisqu'ils penseront qu'il s'agira d'un vaccin différent). Hexyon dans les pays d'Europe d'Ouest, Hexacima dans les pays d'Europe de l'Est et Hexacim à l'international.

 

Ce futur vaccin sera-t-il utilisé aux USA qui n'ont jamais donné de licence au vaccin concurrent Infanrix hexa de GSK, bien qu'ils préconisent pourtant chacune des 6 valences qu'il contient? Précisons aussi que les Etats-Unis préconisent l'injection du vaccin anti-hépatite B à la naissance alors que le vaccin hexavalent ne peut, lui, pas être administré aussi précocément selon sa notice. Ceci étant, il reste "étrange" dans un pays comme les Etats-Unis, où la pression vaccinatoire est si forte, qu'ils n'aient pas tout de même autorisé un vaccin hexavalent pour effectuer ainsi un "rattrapage" avec la valence hépatite B des enfants dont les parents auraient souhaité une vaccination un peu plus retardée, à l'âge des premières vaccinations dans des pays comme la Belgique ou la France, où cet âge est déjà bien trop précoce selon un nombre croissant de médecins.

 

Mais surtout, il faut aussi rappeler la fausse concurrence entre ces différents vaccins hexavalents et ne pas oublier qu'avec la stratégie de rachat des brevets du vaccin anti-hépatite B par GSK et d'ailleurs expliquée fièrement en vidéo par son ex PDG, tout usage de la valence anti-hépatite B, y compris incluse dans un futur cocktail comme l'Hexacim, profitera aussi à GSK en termes de retombées (royalties). Pile, ils gagnent et face, nos enfants y perdent en santé!

  

 

 

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 22:00

ADN.jpg

Un tatouage dispense un vaccin à ADN indolore :

 

Par Janet Fang. 21 février 2013

 

Une équipe du MIT travaille à un patch appliqué quelques minutes, qui laisse une couche de polymère se fondant ensuite dans la peau et libérant progressivement un vaccin à ADN.

 

Les vaccins impliquent d’injecter des virus inactivés dans notre organisme; le système immunitaire garde la mémoire de ces intrus pour pouvoir mettre en place une défense pour la prochaine fois qu’ils reviennent. Toutefois, cette approche peut être trop risquée pour certains virus, tels que le VIH.

 

Aujourd’hui, les scientifiques ont trouvé une meilleure alternative: un film polymère qui libère progressivement un vaccin à ADN, rapporte le MIT News Office.

 

Plus particulièrement, il s’agit d’un codage d’ADN pour les protéines virales: ce fragment d’ADN encode un antigène spécifique (quelque chose qui peut provoquer une réponse immunitaire). Une fois qu’il se trouve dans une cellule immunitaire, il entraîne celle-ci à produire l’antigène en plus grande quantité.

 

Jusqu’à présent, aucune entreprise n’a réussi à développer un vaccin à ADN. Toutefois, si de tels vaccins pouvaient être inoculés à l’homme, ils élimineraient les risques de la vaccination contre de nombreuses maladies (sic!). Ils seraient également plus stables, au point de pouvoir être expédiés et stockés à température ambiante, et ils élimineraient la nécessité de l’injection par seringue, d’où une solution sans douleur.

 

D’après Darrell Irvine du MIT, il suffit d’appliquer un patch pendant quelques minutes avant de le retirer, auquel cas la fine couche de polymère qui reste se fond dans la peau. C’est ce que les chercheurs appellent un « tatouage multicouche ».

 

1. Ils ont créé un patch composé de plusieurs couches de polymères intégrant le vaccin à ADN.

2. Ces films de polymères sont implantés sous la peau par un lit de micro-aiguilles qui pénètrent sans douleur sur environ un demi-millimètre d’épaisseur.

3. Une fois sous la peau, les films se dégradent au contact de l’eau, libérant le vaccin sur plusieurs jours ou semaines.

4. Lorsque le film se sépare, les brins d’ADN sont entremêlés avec des morceaux de polymère, ce qui protège l’ADN et l’aide à pénétrer dans les cellules.

 5. Comme l’ADN est libéré progressivement, il interagit avec le système immunitaire plus longtemps, optimisant l’efficacité du vaccin.

 

L’équipe va procéder à d’autres essais sur des primates avant de passer à l’homme. Les précédentes tentatives de vaccination à l’ADN incluent l’injection d’ADN sous la peau, puis l’utilisation d’électrodes pour ouvrir de petits pores dans les cellules (douloureux).

 

Leurs travaux ont été publiés en janvier dans Nature Materials.

 

Source : Smartplanet.fr

 

Le leurre est démasqué : les aiguilles sont là mais vous ne les sentirez plus, la méthode est toujours aussi dangereusement artificielle mais vous n’y verrez plus que du feu, en voilà une belle astuce pour futurs gens trop crédules !!

 

Hélas cette espèce de « conte de fée commercial » tournera une fois de plus au cauchemar tant il s’agit d’un jeu d’apprentis sorciers aux conséquences totalement incontrôlables. C’est important de bien comprendre cela à temps car jusqu’ici, nous sommes dans un jeu de dupe dramatique qui consiste à faire passer pour « un progrès » une méthode hasardeuse destinée à faire entrer de façon directe un ADN étranger, mélangé à d’autres molécules de synthèse, par aiguille dans le corps, soit un mécanisme qui reste donc totalement différent de la façon utilisée par les microbes pour pénétrer dans notre organisme ! Sur quoi débouchera cette interaction prolongée avec le système immunitaire ? Sur encore plus d’allergies, de maladies auto-immunes et de cancers que ce que nous connaissons déjà aujourd’hui ??

 

En fait, cette méthode des « vaccins indolores » arrive surtout à point nommé pour tenter d’enrayer la crise de confiance on ne peut plus légitime envers la vaccination et tout ceci parce que derrière la vaccination il y a un DOGME intouchable, l’idéologie selon laquelle les gens DOIVENT absolument être vaccinés contre tout et contre rien et ce, du berceau à la tombe. Comme le stalinisme et toutes les autres idéologies portées par des personnalités politiques et mises ainsi en application dans le plus grand aveuglement général, la vaccination a elle aussi son lot (et quel lot !) de victimes innocentes qui se chiffre évidemment en MILLIONS de gens. Les gens ne réalisent pas, parce que dans le même temps on leur lave continuellement le cerveau avec des affirmations péremptoires décrétant que les vaccinations sauveraient X millions de vies chaque année, des chiffres invérifiés et invérifiables. D’un autre côté, que les gens soient conscients ou non du lien entre leurs maladies et les vaccins reçus, les victimes de vaccins sont là et bien là, même si personne n’est évidemment pressé de les comptabiliser.

 

Avec cette nouvelle méthode, on comptera bien sûr « laver plus blanc que blanc » et prétendre qu’elle est plus sûre et plus efficace que les vaccins actuels dont on nous a toujours prétendu qu’ils étaient si sûrs et si efficaces ! Cela transparaît nettement d’une phrase comme celle-ci « ils (les vaccins à ADN) élimineraient les risques de la vaccination contre de nombreuses maladies. »

 

Et lorsqu’on lit sur un site comme Sante-guerir.notrefamille.com une phrase aussi absurde que celle-ci « L’ADN vaccin a l’avantage d’être facilement purifiable, amplifiable, stérilisable et stable. », on ne peut que dire « Pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu’ils écrivent » puisque les vaccins transgéniques à ADN recombinant contre ceux contre l’hépatite B qu’on présentait eux aussi comme un immense progrès à l’époque, n’ont jamais une pureté parfaite, ce qui a fait admettre par l’OMS qu’ils posaient « UN RISQUE DE MALIGNITE » dans un de ses rapports techniques ! Il est du reste particulièrement ambigu d’aller prétendre que ces vaccins seraient « stables » dès lors que la stabilité à telle ou telle température n’équivaut pas pour autant à une stabilité du processus dans l’organisme, lequel pourrait s’avérer totalement incontrôlé dans ses implications graves et irréversibles possibles.

 

Les tests chez les primates renseigneront-ils objectivement ? Ou bien passera-t-on outre ce qu’on n’a absolument pas envie de voir, comme ce fut le cas avec les résultats accablants de ces expérimentations sur les singes avec le vaccin anti-hépatite B injecté à la naissance (comme cela se fait aux Etats-Unis). Des expérimentations qui ont montré que les singes ainsi vaccinés perdaient très rapidement leurs réflexes de survie et manifestaient des troubles neurodéveloppementaux similaires à ce qui se passe en cas d'autisme !

 

Nous nous retrouvons avec ces technologies faussement progressistes vers un nouveau risque d’expérimentation illégale et contraire au Code de Nuremberg. Nous pensons que les gens qui sont morts pour défendre ces libertés et ces droits seraient véritablement heureux et satisfaits de savoir que nous le rappelions aujourd’hui et qu’ils ne soient ainsi pas morts en vain.

 

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 18:10

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A mesure que le refus vaccinal des parents (qui s'informent) va croissant en Australie, il devient évident pour les officiels qu'il faut désormais tenter le tout pour le tout en continuant de nier la moindre alternative intéressante à la vaccination.

 

C'est dans ce contexte de véritable "lutte à mort" (rappelons à ce propos que les officiels ont traîné dans la boue Meryl Dorey, la présidente honoraire de l'Australian Vaccination Network dans le but, vain, de discréditer son groupe) qu'une plainte a été déposée par le journal The Age de Melbourne auprès de la Commission Australienne de la Concurrence et des Consommateurs suite aux affirmations diffusées sur la coqueluche, son vaccin et ses traitements homéopathiques par le site Homeopathy Plus et l'homéopathe Frances Sheffield.

 

Il est clair qu'à partir du moment où les parents sont informés du peu d'efficacité du vaccin, de ses dangers et de l'efficacité préventive et thérapeutique d'une autre approche plus sûre, il y a de grandes chances pour qu'ils se détournent du vaccin. Ce qui ne fait évidemment pas les affaires des officiels et des firmes dont la stratégie repose comme toujours sur la peur créée de toutes pièces puis sur la diffusion d'une fausse solution lucrative.

 

Ces actions sont finalement une fort bonne chose car elles ne pourront que permettre de diffuser avec plus d'efficacité encore les informations comparatives sur le ratio bénéfices/risques du vaccin par rapport à d'autres approches, sans cesse occultées du débat, à la faveur des sacrosaintes et intouchables vaccinations!

 

Source: Freethoughtblogs

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 14:05

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Une pathologie inconnue sème la panique à Tine-Zaouatine

 

Par : Rubrique Radar

 

Les notables du village de Taouendert, relevant de la commune de Tine-Zaouatine, à 500 km à l’extrême sud de Tamanrasset, ont, suite à la propagation d’une maladie étrange à travers toutes les tribus du village, lancé un appel de détresse aux autorités concernées afin d’intervenir illico presto. Les représentants du comité de village de Taouendert racontent qu’avant le conflit malien, personne n’avait été touché par une maladie pareille. Les réfugiés du Sahel seraient porteurs de ce virus inconnu, lequel affecte déjà une centaine de nomades. Nous avons enregistré des morts dont des enfants, des nourrissons et des personnes âgées à cause de cette pathologie. Jusque-là, on a dénombré 8 morts. Le virus n’a épargné personne. Nous avons interpellé les responsables concernés mais on ne sait pas ce qu’ils attendent encore pour intervenir”. Le directeur de la santé publique (DSP) de la wilaya de Tamanrasset, Ben Snoussi Amar, a démenti catégoriquement cette information, assurant qu’il s’agit d’un syndrome grippal qui est pris en charge par une équipe médicale pluridisciplinaire dépêchée sur place.

 

Source : Liberté-Algérie.com

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