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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 22:52

De mieux en mieux! Alors que la désaffection va croissante pour la vaccination en général et que la vaccination antigrippale annuelle connaît une véritable débâcle dans le milieu hospitalier et dans le milieu infirmier en particulier, voilà que les autorités de la province canadienne de Colombie-Britannique, où moins de 50% des professionnels de santé se font vacciner, semblent avoir trouvé LA solution la plus "logique" et la plus radicale: imposer purement et simplement la vaccination antigrippale aux soignants mais, qu'on se rassure, "les infirmières seront consultées" indiquait Radio Canada le 27 août dernier... trop aimable!

A noter toutefois que ce seront les syndicats qui seront consultés et non les infirmiers et infirmières qui sont directement concernés.

 

Gageons que beaucoup préféreront nettement la chaleur ou l'inconfort du port du masque à la fausse sécurité ainsi qu'aux dégâts potentiellement irréversibles du vaccin!!

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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 20:25

Voici ce qu'un médecin belge scandalisé nous a envoyé ce jour :

 

"Ci-dessous, un petit article vu ce jour sur medisphère.be!

 

Comment est ce que la mauvaise foi des informations médicales peut continuer sans être stoppée?? (“seulement” 5,4% d’anomalies congénitales chez les nourrissons vaccinés durant la grossesse contre 4,5% chez les non vaccinés!!! ce qui confirme la sécurité du vaccin!!!).
Le combat me semble parfois désespéré.
Bonne continuation."
 
 
Sécurité de la vaccination contre la grippe pendant la grossesse
 
 Dr Jacques Ninane
 
 27 août 2012
 

Dans une analyse comparant 330 nourrissons exposés au premier trimestre de la grossesse et 330 témoins appariés (nourrissons non-exposés), aucune différence n'a été observée dans l'incidence des malformations congénitales majeures (5,5% vs 4,5%) ou dans les risques de prématurité, de faible poids de naissance ou de petite taille pour l'âge gestationnel.

De même, une analyse portant sur 6642 nourrissons exposés durant le deuxième ou troisième trimestre de la grossesse et sur 6642 témoins appariés n'a montré aucune différence quant aux risques repris ci-dessus.

Les résultats de cette étude confirment sans équivoque la sécurité globale des vaccins antigrippaux inactivés donnés pendant la grossesse.

Référence

Pasternak B et al. Risk of adverse fetal outcomes following administration of a pandemic influenza A(H1N1) vaccine during pregnancy. JAMA 2012; 308:165-174.

Incroyable : 5,5% de complications congénitales majeures est estimé équivalent à 4,5% !!!! Pourtant, un surplus de 1% à l’échelle du monde lorsqu’on vaccine ainsi aveuglément des millions de femmes sur tous les continents, ça se soldera par des  milliers de cas d’anomalies congénitales supplémentaires et évitables. Il est pertinent de noter que si ça avait été l’inverse, les officiels se seraient empressés de faire valoir que « la vaccination protège des anomalies congénitales » ! Une fois encore, on banalise de façon surréaliste et inimaginable des effets graves et probablement en lien avec la vaccination sans qu’on ait bien sûr envie de financer des investigations en ce sens. Qui y aurait intérêt ? Pensez-vous que les fabricants ou les autorités financeraient ainsi ce genre d’évaluation avec le risque bien réel que leurs résultats condamnent leur manque de prudence inouï et coupable envers cette population particulièrement vulnérable que représentent les femmes enceintes ?

N’oublions jamais que la vaccination contient différents produits chimiques toxiques dont on n’évalue jamais le potentiel cancérogène (càd la capacité de pouvoir induire un cancer à plus ou moins long terme), mutagène (càd la capacité d’engendrer une mutation de notre patrimoine génétique) ou tératogène (càd la capacité d’induire des malformations dans la descendance). Ainsi, quelque soit la gravité possible de la maladie et la susceptibilité accrue des femmes enceintes en raison de leur état de grossesse, cela ne pourrait suffire à justifier une vaccination dont on ne connaît pas à coup sûr si elle ne risque pas de faire pire que bien sur l’état de santé global des générations futures. Or nous avons plutôt ici des indices qui convergent vers ce que nous avons toujours évoqué : le caractère profondément hasardeux d’une vaccination quelle qu’elle soit pendant la grossesse. Le H1N1 a juste servi de prétexte pour inclure définitivement des millions de femmes dans le monde dans les recommandations de vaccination annuelle, fort probablement parce que la désaffection croissante pour cette vaccination doit être compensée par une extension en conséquence de X% de parts de marché pour les fabricants. Les fabricants procèdent d’ailleurs déjà ainsi avec les normes de laboratoire pour le cholestérol, la glycémie et ont aussi fait pareil avec les normes de la tension artérielle, comme rappelé encore récemment dans un documentaire de France 2 : en usant de leur influence énorme sur des organisations mondialisées qui leur facilitent ainsi considérablement la tâche en garantissant une harmonisation planétaire commercialement rentable (OMS), les fabricants font ainsi progressivement revoir à la baisse les normes des taux de cholestérol, de glycémie et de tension de façon à ce que X millions de gens supplémentaires dans le monde tombent chaque année dans les « filets de l’anormalité » justifiant alors le recours aux molécules médicamenteuses commercialisées par ces mêmes laboratoires. Avec la vaccination des femmes enceintes au prétexte de la grippe H1N1, on procède donc de la même façon, on a donc juste élargi encore la cible marketing, au prétexte de « protection », cela va sans dire !!

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 21:51

Fotolia--sthetoscope.jpg

Ce mercredi 5 septembre, la RTBF diffusait aux JT de la mi-journée et du soir, un reportage totalement biaisé et désinformateur au sujet de la coqueluche et de la vaccination, faillissant ainsi à sa mission de service public qui suppose de faire preuve de suffisamment d'objectivité, particulièrement quand il s'agit d'un sujet scientifiquement aussi controversé.

 

Dans ce reportage, on ne donnait ainsi la parole qu'aux Drs Caroline Genin et Pierre Philippet, tous deux pédiatres à la Clinique de l'Espérance de Montegnée et à une jeune mère ainsi sommairement manipulée sur base d'informations simplistes et tronquées. Le tout bien sûr, avec LA PEUR en toile de fond et un discours bien appris par coeur qui consiste pour ces médecins, à répéter aveuglément des recommandations officielles dont ils n'ont apparemment même jamais vérifié le bienfondé au sein de leur propre littérature scientifique!!

 

Pourtant, SI la RTBF s'était donné la peine de vérifier et de recouper les informations, elle se serait inévitablement rendu compte de la nécessité déontologique qu'il y avait d'informer ses téléspectateurs de:

 

- L'inefficacité de cette stratégie dite "cocoon" consistant à vacciner les adultes dans le but supposé de protéger les plus jeunes: l'équipe du Pr De Serres de l'Université de Laval a scientifiquement démontré que cette stratégie était totalement inefficace et non rentable et qu'il faudrait ainsi pas moins de 1 million de vaccinations dans l'entourage d'un même nourrisson pour éviter seulement un seul décès...

 

- L'efficacité médiocre de cette vaccination anti-coquelucheuse même chez les enfants (ce qui explique notamment les épidémies dans des pays où les taux de vaccination explosent comme aux USA, en Australie et en Grande Bretagne. (Voir aussi ici cet article sur l'échec du vaccin à protéger les bébés)

 

- L'aveu du fabricant GSK lui-même à l'Agence Reuters selon lequel il n'a en fait jamais étudié la durée de "protection" soi-disant conférée aux enfants vaccinés entre 4 et 6 ans.

 

- L'effet tout à fait marginal du vaccin sur la réduction de la mortalité coquelucheuse, tel que le rappelaient déjà les auteurs Grenet & Verliac dans le Précis de Médecine Infantile en 1975 et qui y indiquaient textuellement, nous citons: "Il ne faut pas cependant attribuer à la vaccination la baisse considérable de la mortalité [coquelucheuse] observée depuis quelques dizaines d’années. Un taux très bas était déjà obtenu avant la généralisation de la vaccination." (en page 185 comme le précise encore le Dr Marc Girard sur son site en référence n°[7])

 

- L'effet tout à fait pervers et contre-productif du vaccin sur la bactérie proche B. Parapertussis qui donne lieu aux mêmes symptômes que la coqueluche, puisque selon des expériences menées chez la souris, le vaccin actuel acellulaire provoque une multiplication par 40 du développement de la bactérie B. Parapertussis dans les poumons.

 

- La présence notamment d'aluminium (utilisé comme adjuvant) dans tout vaccin contre la coqueluche alors qu'un groupe parlementaire français a demandé il y a quelques mois un moratoire sur tous les vaccins à base d'aluminium et que même l'Académie française de Médecine a admis que cet aluminium migrait notamment au cerveau, avec tous les risques neurologiques que cela peut induire à plus ou moins long terme, sans parler des risques plus spécifiques aux enfants dus à un développement neurologique encore inachevé. Par ailleurs, il faut aussi savoir qu'un rapport du Conseil de l'Europe sur les métaux lourds écrit notamment:

 

"L’Assemblée parlementaire se sent concernée par le fait que les Etats membres du Conseil de l’Europe, dans le cadre de leurs politiques de santé, ne portent pas davantage d’attention aux risques sanitaires des métaux, alors que ceux-ci sont scientifiquement établis dans beaucoup de cas. Ainsi, il est de plus en plus évident que l’exposition permanente et à petites doses de l’être humain à des substances telles que l’aluminium, le cadmium, le mercure ou le plomb serait un des co-facteurs de certaines maladies neurologiques, cardio-vasculaires et auto-immunes. Face au droit de chaque personne à un environnement sain, les stratégies de santé préventives visant à réduire l'exposition humaine à de telles substances nocives devraient figurer parmi les priorités politiques. Cela semble d’autant plus urgent face aux coûts réels élevés de l’utilisation des métaux lourds, fortement soupçonnés de contribuer à des maladies chroniques qui pèsent lourd sur les budgets publics des caisses d’assurance maladie."

 

- Le fait que, selon plusieurs études scientifiques, la vaccination précoce des enfants contre la coqueluche favorise la mort subite (voir ICI et ICI) ainsi que l'asthme et les allergies.

 

- L'inexistence en Belgique du moindre système d'indemnisation des victimes de vaccins (contrairement aux USA où les autorités ont déjà payé 2,5 MILLIARDS de dollars en indemnisation des accidents vaccinaux et au Québec où le programme officiel va jusqu'à indemniser les décès y compris les frais funéraires après vaccination!), ce qui est d'autant plus grave que cette recommandation vaccinale aux adultes n'a jamais été étudiée SUR DES ADULTES et qu'on ignore donc l'effet réel et jamais évalué d'une Xième dose de rappel chez des adultes déjà polyvaccinés depuis l'enfance!!

 

- L'utilité selon certains médecins de la VITAMINE C dans le traitement des cas de coqueluche déclarés, tant chez l'adulte que chez l'enfant.

 

Il est triste et dramatique de se rendre compte que ces médecins ne semblent plus dans le champ scientifique mais dans l'idéologie et qu'ils ne semblent même pas lire leur propre littérature! Mais alors que nous venons encore de publier il y a peu un article sur une Professeur de psychiatrie qui prétendait erronément sur RTL-TVI que les antidépresseurs (tels qu'en prenait le chauffeur de car de Sierre) n'induisent pas la somnolence contrairement à ce qu'admet pourtant la notice du médicament, comment s'étonner encore de pareille errements? Insister sur la gratuité du vaccin, voilà à quoi en sont réduits les journalistes qui ne font même plus leurs métiers et/ou qui obéissent à des directives éditoriales particulièrement contestables!  Sur base de ces informations extrêmement solides et accablantes explicitées supra, Initiative Citoyenne, soutenue en cela par plusieurs dizaines de médecins écœurés, ne peut que vous recommander à vous public de vous informer suffisamment AVANT d'accepter une vaccination inutile aux effets secondaires potentiellement irréversibles parce qu'une fois encore, les conseilleurs ne sont PAS les payeurs! Renseignez-vous de façon indépendante car les officiels et leurs médias dits "publics"  (y compris la RTBF) n'ont-ils pas des "partenaires naturels" un peu trop sélectifs, au détriment du pluralisme thérapeutique que mériterait pourtant la vraie santé publique?

 

Voir notre plainte à la médiation de la RTBF et la réponse surréaliste de la RTBF.

 

Voir notre demande d'avis au Conseil de Déontologie Journalistique.

 

Voir aussi notre commentaire à l'article biaisé de la Meuse sur la coqueluche.

 

Voir notre article "Coqueluche: culpabiliser pour mieux vacciner"

 

L'avis du groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins sur la coqueluche.

 

L'avis du Pr Mendelsohn, pédiatre et professeur de médecine préventive, dans son livre "Des enfants sains, même sans médecin" (regardez au chapitre n° 19 qui traite des vaccinations).

 

Voir les effets secondaires possibles du vaccin contre la coqueluche

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 20:53

Fotolia--femme-et-fille-africaines.jpg

Communiqué du 4 septembre,

publié sur le site Afrik.com.

 

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 4 septembre 2012/ —

La République d’Ouganda a annoncé aujourd’hui, par l’intermédiaire de son ministère de la santé (MoH), soutenu par MSD (connu sous le nom de Merck aux États-Unis et au Canada) (http://www.msd.com), le lancement d’un programme national de vaccination au GARDASIL® [vaccin recombinant quadrivalent contre le virus du papillome humain (Types 6, 11, 16 et 18)] destiné aux jeunes filles âgées de 9 à 13 ans répondant aux critères d’éligibilité, dans 12 régions du pays. En Ouganda, le cancer du col de l’utérus est le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les femmes, et les taux d’incidence de la maladie y sont environ trois fois supérieurs à la moyenne mondiale. Selon les estimations, dans ce pays, le cancer du col de l’utérus est diagnostiqué chez 3 500 femmes chaque année.

 

Le Dr Gerald Mutungi, responsable du programme de prévention des maladies non transmissibles et du programme de surveillance du Ministère de la Santé insiste : « Le cancer du col de l’utérus représente un sérieux problème de santé en Ouganda, car il s’agit du cancer le plus couramment diagnostiqué chez les femmes de tout âge. Nous espérons que cette importante collaboration avec MSD, GAVI, PATH et d’autres partenaires nous aidera à alléger le fardeau de cette maladie en Ouganda. »

 

Grâce à l’accord conclu avec MSD, le programme de vaccination sera mis en place dans 12 régions de l’Ouganda, sur une période de deux ans. Le don de 460 000 doses de GARDASIL va permettre de vacciner environ 140 000 jeunes filles remplissant les conditions requises. Ce programme constitue la première phase du plan national de déploiement de la vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) en Ouganda.

 

« Le lancement de ce programme en Ouganda marque une nouvelle étape importante car il nous permet d’assurer notre objectif, qui est de réduire l’incidence du cancer du col de l’utérus à travers le monde, et plus particulièrement en Afrique subsaharienne, lourdement affectée par cette maladie, explique Colleen McGuffin, vice-présidente de Merck Vaccines. Nous sommes heureux d’effectuer ce don de GARDASIL en soutien aux efforts de prévention du cancer du col de l’utérus consentis par le Ministère ougandais de la Santé. »

 

Henrik Secher, administrateur délégué de MSD Afrique précise : « Chez MSD, nous nous engageons à travailler avec les responsables politiques chargés de la santé et avec d’autres parties prenantes d’Afrique subsaharienne. Nous visons à faire progresser la santé humaine et à protéger les générations futures d’Afrique de maladies potentiellement dévastatrices. Notre participation au programme de vaccination contre le cancer du col de l’utérus en Ouganda illustre très bien comment, grâce à une collaboration étroite avec les responsables locaux, nous pouvons contribuer à faciliter l’accès à des vaccins indispensables. »

 

Cette affaire fait vraiment penser à l’histoire du Petit Chaperon Rouge : le loup ressemble tellement à la grand-mère… et pourtant !

 

Il est donc vraisemblable que beaucoup de crédules croiront à cette fausse fable d’aide humanitaire et de « don généreux ».

 

La réalité est hélas beaucoup plus sordide : le vaccin Gardasil dont le taux d’effets secondaires crève littéralement les plafonds, rebute de plus en plus et de ce fait, de plus en plus de jeunes filles concernées évitent de se faire vacciner dans nos pays industrialisés. Pour les fabricants, il s’agit donc d’éluder le problème et de « rattraper la sauce » en somme. Comment ? En élargissant notamment la vaccination aux garçons, comme c’est déjà le cas dans des pays comme l’Australie, le Canada et les USA. Mais en parallèle, il importe aussi d’essayer de redorer leur image. C’est dans ce cadre qu’une telle opération de com’ intervient : quoi de mieux que de profiler ainsi les doses de l’indésirable vaccin Gardasil comme « indispensables » au seul prétexte que les taux de cancer du col sont nettement plus élevés dans ces pays que chez nous, ce qui n’a rien de surprenant quand on sait que les femmes de ces pays n’ont tout simplement pas accès du tout aux frottis de dépistage et encore moins à des programmes organisés de dépistage ?

 

Ainsi, au lieu de financer des actes indispensables et sûrs de dépistage qui permettraient à ces pays de faire baisser à terme au moins de 80% la mortalité par cancer du col dans ces pays (comme cela s’est produit chez nous), les ministres complices et irresponsables de ces Etats choisissent de fausses solutions qui n’apporteront pas en elles-mêmes ces frottis nécessaires et restant pourtant tout autant si pas encore plus indispensables aux jeunes filles vaccinées, qui semblent en fait plus à risque encore que les autres par rapport  aux souches non vaccinales (effet pervers du vaccin avec compensation des souches). En outre, quand on sait que les jeunes filles de ces pays ont généralement des relations sexuelles beaucoup plus précoces que chez nous et qu’un rapport de la FDA évoque un sur-risque de pathologie du col de + 44,6% (cf. p. 13/30) chez les jeunes filles vaccinées par Gardasil qui auraient déjà été contaminées sans le savoir par l’une ou l’autre souche de HPV incluse dans le vaccin, on ne peut que craindre un effet largement contre-productif du vaccin dans ces pays !

 

Au lieu d’aider à protéger les générations futures et de faire progresser la santé humaine, il est certain que l’administration de substances notoirement toxiques via le vaccin comme le borax de sodium (qui devrait normalement imposer le logo de la tête de mort) ou l’aluminium neurotoxique, apportera au contraire son lot de larmes et de drames familiaux supplémentaires à des familles déjà polyvaccinées et immunitairement fragilisées par des conditions de vie déplorables.

 

Une fois encore, on remarque donc que ce qui a été avoué explicitement sur le site du Sénat français reste aussi totalement vrai pour les autorités des autres pays du monde : elles s’estiment être et agissent comme les « partenaires naturels » des multinationales pharmaceutiques comme Merck et un des buts de leur partenariat et de leurs programmes vaccinaux de masse est d’UTILISER LA POPULATION COMME COBAYE A SON INSU, dans le but supposé d’aider ainsi les industriels à la recherche et au développement de nouveaux vaccins !

 

Voir aussi ICI le nombre d'autres pays pauvres qui recevront "gracieusement" le Gardasil pour en innonder leurs jeunes filles, au nom de "la santé publique" ça va sans dire....On remarquera la technique utilisée icI/ parler d'un "appel à candidatures" pour faire croire que c'est un privilège et qu" 'il n'y en aura peut-être pas pour tout le monde"! Au nombre de pays figurant dans le tableau, on comprend que notre analyse est plus que probablement la bonne.

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 13:55

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Les enfants de Stéphanie et Rémi Guéret, dans l'Isère, sont ces enfants qui sont scandaleusement privés d'école depuis un an déjà sous de fallacieux prétextes vaccinaux, au mépris des lois et des règlementations en vigueur.

 

Face à la mauvaise foi écrasante de la part des autorités administratives puisque les enfants disposent pour l'un d'un certificat médical de contre-indication (l'ancien vaccin DTP sans aluminium ayant été retiré du marché et l'actuelle version n'ayant pas d'autorisation de mise sur le marché pour les enfants de moins de 6 ans) et pour l'autre, d'une vaccination déjà réalisée pour le second, les parents Guéret font preuve d'un courage et d'une détermination qui sont à saluer. Sans parler du fait qu'ils avaient également été honteusement dénoncés au juge des enfants pour "maltraitance"!

 

Peu d'élus ont osé défendre et soutenir ces parents, ce qui ne nous étonnera guère au vu de l'inertie et de la déresponsabilisation parlementaires affligeantes que nous avions déjà pu constater à l'occasion de la grippe A/H1N1. Un élu toutefois, Mr François Brottes, le député-maire de Crolles dans l'Isère, a toutefois rédigé un fort bon courrier sur le cas des Guéret au Ministre de l'Education, en lui demandant que les enfants Guéret, qui répondent bien aux exigences de la règlementation, puissent faire leur rentrée scolaire comme les autres cette année.

 

Initiative Citoyenne qui suit l'évolution de ce dossier avec attention a jugé bon d'écrire un courrier recommandé à la Directrice d'Ecole des enfants ainsi qu'à sa supérieure hiérarchique (la directrice d'Académie de l'Isère).

 

Lire ce courrier recommandé d'IC du 30 août 2012 à ces deux Directrices: ICI 

 

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Et voici à présent un "bel" exemple d'arrogance administrative, des gens qui croient savoir mais n'ont plus que probablement jamais rien lu, tant sur l'efficacité supposée que sur les risques et les composants de ces vaccins contre le tétanos:

 

Monique-Hilaire.JPG

 

« N’étant pas vaccinés contre le tétanos, l’école, que ce soit la maternelle ou la primaire, ont des sorties, des sorties ski, ont des sorties à la ferme, au cirque, on ne peut pas prendre le risque de les accepter en collectivités. Pour nous, sachant qu’ils ne sont pas vaccinés contre le tétanos, ça serait de la non assistance à personne en danger. » Monique Hilaire, 2° Adjointe au Maire d’Allevard dans le documentaire « Vaccins, le virus du doute ».

 

Il sera alors bénéfique à Mme Hilaire de lire le contenu de notre lettre (cfr ci-dessus), de façon à ce qu'elle puisse se rendre compte qu'injecter des substances dont la toxicité est CONNUE peut  alors relever tout autant de la non assistance à personne en danger et ce, même si cette injection de substances toxiques est préconisée par d'éloquents experts!

 

Enfin, pour la lanterne de Mme Hilaire, il est bon aussi de rappeler des données scientifiques qu'elle ignore plus que probablement, à savoir que même vaccinés, des gens et des enfants peuvent encore contracter le tétanos, comme rappelé dans une lettre du Dr Vinson au British Medical Journal en 2000 qui titrait justement "La vaccination n'exclut pas le (diagnostic) de tétanos."

 

Le Dr Kris Gaublomme qui étudie les effets de la vaccination depuis plusieurs décennies et qui en connaît sûrement plus sur le sujet que Mme Hilaire, conclut, au terme d'une revue détaillée de la littérature sur le tétanos et sa vaccination riche en aluminium neurotoxique que:

 

« La littérature quantitativement impressionnante sur les effets secondaires du vaccin anti-tétanique et la gravité de ses complications font qu'il est absolument impossible de les ridiculiser en les faisant passer comme rares et bénignes. Agir ainsi ne pourrait que démontrer une profonde ignorance de la littérature scientifique à ce sujet. Cunningham, Brindle et d'autres insistent sur l'importance de disposer d'adrénaline injectable rapidement disponible, admettant ainsi que la vaccination est un acte médical pouvant mettre la vie en danger. Ceci parle déjà de lui-même. Risquer sa vie avec une intervention médicale probablement inefficace dans le but d'éviter une maladie qui ne surviendra probablement jamais n'est pas une pratique médicale censée. Tout ce qu'il faut, à l'échelle mondiale afin d'éviter la majorité des cas de tétanos, ce sont des ciseaux propres pour couper le cordon ombilical des nouveaux-nés. L'information, du savon et du peroxyde d'hydrogène pourraient faire un bien meilleur travail que le vaccin anti-tétanique.».

 

rene-bickel-bon-sens.jpg                                Merci à René Bickel pour ses dessins plein de bon sens! www.bickel.fr

 

Et voir aussi ICI ce reportage du 7/09 sur France 3 sur cette affaire. 

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 20:26

Il y a quelques jours jours à peine, un reportage était diffusé sur RTL-TVI au sujet du drame de Sierre et des résultats de l'autopsie du chauffeur du car. Outre qu'il souffrait d'une pathologie coronarienne, on apprend aussi que ce chauffeur était sous antidépresseur (paroxétine). Les médias ont parlé tantôt d'une "dose thérapeutique", tantôt d'une dose très faible.

 

Dans le même reportage, RTL interroge alors une psychiatre, le Pr Christine Reynaert de l'UCL, au sujet des effets possibles de cet anti-dépresseur. Le Pr Reynaert déclare alors de façon erronée:

 

"Ce ne sont pas des molécules qui induisent de la somnolence, mais ce sont bien des antidépresseurs. Il ne faut pas que le public mette tous les psychotropes dans le même panier. A côté de ça, on a les anxiolytiques, qui eux donnent vraiment une baisse de la vigilance, de la concentration, et qui sont vraiment dangereux pour la conduite".

 

Comment le Pr Reynaert explique-t-elle alors que la somnolence se retrouve pourtant écrite en toutes lettres dans la notice et qu'elle touche plus de 1 patient sur 10??? Les médecins ne devraient-ils pas connaître et, au besoin, relire la notice avant toute prescription?

 

Cette négation publique d'effets secondaires pourtant inscrits dans la notice nous a en tout cas refait penser aux propos également erronés qu'avait tenus le Pr Goubeau, virologue de l'UCL, qui avait affirmé péremptoirement à l'époque sur la RTBF que le vaccin H1N1 ne pouvait pas provoquer de paralysies (alors que là encore la paralysie (de Guillain-Barré) était pourtant indiquée noir sur blanc dans la notice!). Il y a près de 5 ans, l'Agence Reuters publiait un article sur ce déni beaucoup plus fréquent qu'on ne croit d'environ un tiers des médecins d'effets secondaires pourtant officiellement connus mais qu'ils n'hésitent cependant pas à nier, même auprès des patients qui s'en plaignent à eux.

 

Par ailleurs, comment le Pr Reynaert peut-elle implicitement faire passer l'idée que les anti-dépresseurs ne seraient pas dangereux pour la conduite (comparativement aux anxiolytiques) alors que la notice de la Paroxétine, telle qu'en prenait ce chauffeur, indique tout de même parmi les effets secondaires "VISION TROUBLE" (dans plus d'un cas sur 10!) mais aussi "HALLUCINATIONS,VERTIGES, CONFUSION" etc??

 

Après une petite recherche, et comme pour son confrère Goubeau, il semble bien que le Pr Reynaert présente d'évidents conflits d'intérêts puisque selon son CV disponible en ligne, elle a fait une présentation à un Congrès d'Eli Lilly et rédigé une plaquette d'information au profit des fabricants Pfizer et GSK, respectivement au sujet des TOC et des troubles dépressifs (à traiter, entre autres, de façon médicamenteuse bien entendu!). Or pour rappel, GSK est un fabricant de paroxétine, utilisé comme anti-dépresseur. Il convient donc de réécrire ici l'évidence déjà diffusée dans la revue belge d'Evidence Based Medicine Minerva, à savoir que tout conflit d'intérêt, quel qu'il soit, "interfère avec le jugement clinique et nuit à l'intérêt des patients."

 

Drame de Sierre, la piste médicamenteuse pourrait être la bonne:

Lire notre analyse publiée sur Agoravox

 

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 18:24

Un citoyen français nous communique le mail pertinent qu'il a fait parvenir le vendredi 24 août dernier à l'OMS sur la question de l'obligation vaccinale contre le méningocoque pour l'obtention d'un Visa à destination de la Mecque, en Arabie Saoudite.

 

Messieurs,
 
Je relève dans la presse grand public française à propos des prochains pèlerinages à La Mecque :


"Le vaccin contre la méningite, contenant les quatre souches A, C,Y et W135, est obligatoire pour l'obtention du visa pour l'Arabie Saoudite. Les personnes souhaitant réaliser le pèlerinage doivent impérativement se faire vacciner au moins dix jours avant le départ."


L'origine même de l'OMS était d'empêcher des États d'instaurer des règles «sanitaires» draconiennes et fluctuantes pour des raisons commerciales.


L'ancien article 23 disait clairement :

 
« Les mesures sanitaires permises par le présent Règlement constituent le maximum de ce qu'un État peut exiger à l'égard du trafic international pour la protection de son territoire contre les maladies soumises au Règlement »


Et depuis 1981, le RSI ne concerne que peste, fièvre jaune et choléra : la méningite n'y est pas citée.


Le nouvel article 31 du RSI laisse une certaine latitude de dérogation, sous réserve du consentement éclairé du voyageur et de l'existence d'un risque imminent pour la santé publique (du pays hôte).


L'exigence ci-dessus est-elle exacte ? Conforme au RSI ? Ne porte-t-elle pas atteinte au libre consentement et à la liberté de circulation du voyageur (pèlerin) ?

 L'OMS ne devrait-elle pas intervenir sur une telle mesure ou la démentir s'il y a lieu ?


D'avance merci.

 

Cordialement.

 

[RSI= Règlement Sanitaire International, signé par la totalité des états du monde à l'exception du Vatican et du Lichtenstein]

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 15:47

Là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir pourrait-on dire.

 

La Fondation Gates (qui finance les vaccinations et les OGM avec les intérêts et non le capital de la fortune de B. Gates) finance à présent  la mise au point d'un système d'alerte et de surveillance et  des mouvements anti-vaccins, ce qui sous-entend "établir un système d'alerte et de monitoring mondial par internet pour trouver, analyser et contrecarrer les campagnes de désinformation sur les vaccins, de façon à soutenir les efforts mondiaux de vaccination."

 

Cette fondation a donc attribué des financements au Pr Seth. C. Kalichman, du Département de Psychologie de l'Université du Connecticut, pour la mise en forme de ce projet.

 

Source: Greenmedinfo.com

 

Gageons que... si le Pr Kalichman est vraiment un fin psychologue, il aura tôt ou tard conscience d'un inévitable "effet boomerang" puisque les véritables désinformateurs sont très loin d'être ou on croit. Tôt ou tard aussi, un public croissant se rendra compte de l'indécence et de l'anormalité totales qu'il y a à ce que quelqu'un, aussi riche et imbu de pouvoir soit-il, puisse influer à ce point, et au mépris du choix sanitaire des gens, sur les politiques dites "de santé" à l'échelle mondiale.

 

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1 septembre 2012 6 01 /09 /septembre /2012 14:13

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Bien que datant de 2005, il est tout de même fort intéressant de traduire ce compte-rendu (abstract) en ce sens qu'il démontre avec une grande clarté l'incapacité systématique de remettre une pratique en cause face à ses nombreux échecs. A la place, ce sont constamment des camouflages et d'autres doses ou bien même de nouveaux vaccins qui seront systématiquement recommandés pour soi-disant résoudre la situation.

 

Que dit ce compte-rendu?

 

"En 2001, une épidémie de fièvre typhoïde est survenue parmi les membres des Forces Armées françaises. Tous avaient reçu une vaccination contre la typhoïde selon le schéma vaccinal en vigueur à l'Armée (c'est à dire tous les 5 ans). Une étude de cohorte rétrospective a été conduite auprès de 94 membres du personnel. Les objectifs étaient de confirmer le diagnostic, de déterminer la source de la contamination et d'identifier les facteurs associés à une efficacité vaccinale déficiente. Vingt-quatre cas furent cliniquement identifiés. Une salade de concombres ainsi qu'une vaisselle contaminée furent identifiés. Seul un facteur fut associé à une déficience de l'efficacité du vaccin; le risque de fièvre typhoïde était deux fois plus grand chez les gens vaccinés plus de 3 ans auparavant. Le respect des règles d'hygiène alimentaire aurait pu empêcher la survenue de 24 cas de fièvre typhoïde. Néanmoins, la répétition de la vaccination contre la typhoïde est à présent effectuée tous les 3 ans dans les Forces armées françaises, en accord avec les recommandations du fabricant."

 

Que peut-on déduire de façon logique de ce compte-rendu, en le confrontant à la réalité des faits?

 

1°) Les militaires font déjà partie des gens qui ont le plus souvent reçu cette vaccination, seule une minorité de (grands) voyageurs allant jusqu'à recevoir une telle vaccination aussi fréquemment.

 

2°) Si "le respect des règles d'hygiène alimentaire aurait pu empêcher la survenue de tous ces 24 cas", comment justifier alors l'impérative nécessité de les vacciner contre cette maladie? A quoi sert alors d'encourir les risques du vaccin si on peut prévenir sans risque et de façon 100% efficace la survenue de la maladie? A moins que cela ne serve à pratiquer des expérimentations illicites sur les militaires et participe ainsi à l'aide que les autorités se sentent naturellement devoir fournir aux industriels pour le développement de nouveaux vaccins?

 

3°) On vaccine à présent tous les 3 ans (le fabricant ne demande évidemment pas mieux!). Jusqu'à quand.... à la prochaine épidémie, on préconisera peut-être une injection annuelle, au côté des nombreux vaccins que les militaires sont déjà forcés de recevoir tout au long de leur carrière.

 

Si on se penche quelque peu sur l'aspect "conflits d'intérêts", on remarque, sans forcément chercher des heures qu'un des auteurs par exemple, le Pr Pierre Saliou, a travaillé pendant plus de 15 ans pour Sanofi Pasteur.

 

Un article sur les effets indésirables des vaccins dans les armées françaises a été publié dans la revue Eurosurveillance en 2012.

 

"Les militaires français sont vaccinés selon un calendrier réglementaire à l'incorporation et durant leur période de service. Les auteurs ont réalisé une étude dont l'objectif était de décrire les caractéristiques des effets indésirables des vaccins rapportés entre 2002 et 2010 dans cette population. Les effets indésirables des vaccins sont surveillés en routine par le Centre d'épidémiologie et de santé publique des armées (CESPA). Pour chaque cas, le médecin ayant fait le diagnostic renseigne une fiche de déclaration comportant des informations sur le patient, le tableau clinique et les vaccins administrés. L'étude ne concernait pas les effets indésirables consécutifs à la campagne de vaccination contre la grippe pandémique A(H1N1) de 2009. Parmi les 473 cas retenus, 31 présentaient un effet indésirable considéré comme grave, dont deux avec séquelles. Le taux d'incidence global pour la période étudiée était de 14 effets indésirables pour 100 000 vaccinations. Après une période stationnaire entre 2002 et 2008, ce taux d'incidence a augmenté de manière significative à partir de 2009. Les résultats les plus marquants étaient une augmentation importante des effets indésirables observés après vaccination par le BCG entre 2005 et 2008, de ceux attribués au vaccin quadrivalent combiné diphtérie-tétanos-poliomyélite-coquelucheux acellulaire (dTcaP) à partir de 2008 et une augmentation des effets indésirables après vaccination contre la grippe saisonnière en 2009. Le taux d'incidence retrouvé dans cette étude pour les effets indésirables graves (1,1 pour 100 000 vaccinations) est comparable à ceux observés dans les populations civile et militaire des Etats-Unis. L'augmentation observée dans les armées à partir de 2009 pourrait en partie traduire une meilleure participation des médecins à la surveillance des effets indésirables, suite à la campagne de vaccination contre la grippe pandémique. De plus, les effets indésirables des vaccins constituent un phénomène relativement mineur face au grand nombre de cas de maladies parfois graves (notamment méningite à méningocoque ou hépatites virales) évités par la vaccination. Les auteurs concluent donc que la balance bénéfices/risques est largement en faveur de la vaccination."



Source : Mayet A, Haus-Cheymol R, Bouaiti EA, Decam C, Simon F, Mérens A, Spiegel A, Meynard JB, Deparis X, Migliani R. Adverse events following vaccination in the French armed forces: An overview of surveillance conducted from 2002 to 2010. Euro Surveill. 2012;17(24):pii=20193.

 

NB: Si on tient compte de la sous-notification notoire des effets secondaires qui s'explique entre autres par l'incapacité des médecins à reconnaître des effets secondaires de vaccins mais aussi leurs réticences à faire ce genre de constat et ce, même quand certains d'entre eux sont pourtant officiellement reconnus, on se rend alors compte du caractère gratuit et non scientifique de la conclusion selon laquelle "les effets indésirables des vaccins constituent un phénomène relativement mineur face au grand nombre de cas de maladies parfois graves évités par la vaccination". Car il convient d'une part de se rappeler que RIEN ne prouve que les individus vaccinés, s'ils ne l'avaient pas été, auraient forcément contracté la maladie ou une de ses complications et, d'autre part, la gravité possible d'un certain pourcentage d'infections ne suffit jamais à prouver de facto qu'un vaccin donné soit sûr ou efficace!

 

Seuls 1 à 10% des effets secondaires de vaccins étant effectivement rapportés (l'agence française Afssaps ayant d'ailleurs elle-même représenté la sous-notification des effets secondaires de vaccins à la façon d'un iceberg), et par conséquent les véritables chiffres des effets secondaires graves pourraient plutôt se situer entre 1,1/10 000 et 1,1/1000. Il est en outre aussi intéressant de noter que les officiels ont clamé pendant des années de façon purement gratuite que les effets secondaires graves de vaccins c'était, tout au plus, 1 cas sur 1 million. On est à présent dans une déclaration officielle qui est déjà 10 fois plus élevée mais encore très largement sous-estimée comme expliqué ci-dessus. La comparaison biaisée des chiffres d'effets secondaires obtenus chez ces militaires  à un faux groupe témoin constitué par une population générale déjà largement survaccinée conduit à diluer la responsabilité véritable des vaccins reçus par ces militaires en gonflant ainsi artificiellement, par compensation, le taux de maladies induites dans la population générale qui sont alors classées  abusivement comme "normalement attendues". Le grand public comme les militaires se retrouvent par conséquent grugés par le recours, toutefois jugé "éthique", à de faux groupes placebos.

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:02

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Extrait (ENORME si on lit bien) du rapport N°476 du 28 septembre 2007:


 « Au-delà de son objectif de court terme d'améliorer le taux de couverture de la population, la politique vaccinale doit, à plus long terme, être en mesure de répondre aux besoins en matière de recherche et de production nationales de vaccins et aussi de jouer un rôle moteur dans l'aide aux pays les plus pauvres. Pour relever ces défis, les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics, en raison des moyens humains, techniques et financiers qu'ils mobilisent. En effet, le marché mondial du vaccin est en constante expansion, avec une augmentation des ventes de 13 % à 14 % chaque année, soit deux fois plus que les médicaments traditionnels. » [Lire le rapport du Sénat, p17]

 

Cet aveu de poids signifie donc clairement qu'un des buts au moins des politiques vaccinales (mais néanmoins JAMAIS révélé comme tel au public!) est de se servir des gens comme cobayes à leur insu, et tout cela, en substance, parce qu'il faut aider le business des pharmas qui ont encore, les pauvres, tellement de vaccins à devoir introduire sur le marché puis qui servent aussi si bien l'intérêt national via l'emploi, le PIB etc!!!!!

 

Si cela n'est pas gravissime, et sur le site d'une instance comme le Sénat qui plus est, censée pourtant représenter les intérêts du peuple, franchement, nous ne savons alors plus ce qui l'est. D'autant que le sénateur français Pr Jean-Michel Dubernard (membre de la Haute Autorité de Santé depuis 2008) déclarait quelques mois plus tôt en Commission de la Santé du Sénat, qu'"il n'existe pas de preuves scientifiques de l'utilité des vaccins."! (voir aussi ICI à ce sujet) 

 

Entre de tels aveux d'inefficacité et d'expérimentation illicite sur le public et Mme Testori de la DG Sanco qui a dit appeler de ses voeux à ce que ce soit la Commission européenne qui décide dorénavant arbitrairement des modalités des obligations vaccinales chez les humains à l'occasion des futures pandémies, il y a vraiment du souci à se faire et une initiative CITOYENNE est décidément plus que jamais nécessaire!!

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