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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 00:36

Initialement, la narcolepsie post-vaccin H1N1 ne concernait que les enfants. Une étude française démontre qu'elle concerne aussi les adultes. On avait initialement dit que cela ne concernait qu'une petite vingtaine de cas en France. Ce sont pas moins de 4000 personnes qui pourraient être concernées en France par cette maladie grave. [Cfr ce récent article-vérité du Canard Enchaîné]

 

Il est important de noter que, selon l'ANSM, ces cas de narcolepsie se sont manifestés entre 2 jours et 15 mois après la vaccination H1N1.

 

Officiellement, environ 340 décès ont été attribués en France au H1N1. Les autres cas d'infections H1N1 non létales se sont très majoritairement soldées par une guérison complète. Or ici, remarquez que nous sommes potentiellement déjà à 4000 cas de narcolepsie, une maladie grave et incurable et ce, sans même comptabiliser encore l'ensemble des autres effets secondaires graves du vaccin, incluant les décès post-vaccinaux, les maladies auto-immunes, les infections opportunistes graves (dues à l'immunodépression post-vaccinale les facilitant), etc

 

Tout ceci tend donc à démontrer que:

 

1°) Le vaccin H1N1 était bel et bien expérimental et que les essais cliniques bâclés n'ont pas du tout évalué les effets à moyen ou long terme.

 

2°) Le rapport bénéfices/risques de cette vaccination fut franchement défavorable.

  

3°) L'argent public a été gaspillé avec l'achat de vaccins mais l'est aussi avec le financement des soins de malades créés de toutes pièces et ce de façon complètement inutile (sauf pour les pharmas!)

 

4°) Les experts et les autorités qui ont recommandé cette vaccination aux citoyens ne méritent plus jamais leur confiance.

 

 

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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 23:45

C'était prévisible et c'est même finalement souhaitable: l'OMS maintient, dans son relevé épidémiologique hebdomadaire du 27 juillet dernier, son déni ABSOLU sur les risques des vaccins, et ici en l'occurence sur la fausse innocuité de l'aluminium vaccinal.

 

Soit, ça rassurera les plus crédules d'entre nous, ceux qui ne savent encore rien sans doute des rouages de l'OMS, et des dénonciations de longue date dans diverses revues médicales pour corruption au sein de cette agence.

 

Ainsi enfuie dans une véritable "voie sans issue" avec les vaccins et son déni séculaire au sujet de leurs risques, l'OMS sait pertinemment que si elle reconnaît SI TARDIVEMENT les dangers de l'aluminium, elle en sortira décrédibilisée (pour ne pas avoir alerté et reconnu cela bien plus tôt). A l'inverse, en ne les reconnaissant toujours pas à ce stade, l'OMS aussi n'en sort pas indemne et se décrédibilise aux yeux d'un nombre croissant de gens pour qui ce déni systématique ne tient tout simplement pas la route.

 

Entre deux maux (pour ses partenaires industriels qui l'ont infiltrée depuis bien longtemps), cette agence a donc cru choisir le moindre, à savoir "garder sa ligne" et continuer à faire croire que les vaccins sont très sûrs et qu'ils ne posent aucun problème de sécurité majeur.

 

Toutefois, nous ne pouvons que nous féliciter in fine de cette position absurde de l'OMS car celle-ci facilitera et accélérera grandement la prise de conscience sur cette agence non nécessaire et tout à fait déphasée. La recommandation de vacciner les femmes enceintes tout en prétendant que cela comporte des effets "positifs qui s'étendent à l'enfant" éclairera quant à elle de façon définitive sur le sérieux que doit encore inspirer l'OMS.

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 23:00

ANSM--Afssaps.jpg

Une majorité de gens ne savent pas ce que signifient ces initiales: ANSM.

Pas étonnant, c'était aussi le but de ce genre de changement de nom après toutes les casseroles que traînait l'Afssaps. L'ANSM est donc le nouveau nom de l'Afssaps, l'agence nationale de Sécurité du Médicament. L'équivalent français en somme de la FDA aux USA ou de l'EMEA au niveau européen.

 

Il existe en France un réseau impressionnant d'instances et d'agences aux noms tous plus opaques les uns que les autres pour beaucoup de citoyens: INPES (Institut national de Prévention et d'Education à la Santé), InvS (Institut de Veille Sanitaire), INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), HCSP (Haut Conseil de Santé Publique), HAS (Haute Autorité de Santé), CTV (Comité Technique des Vaccinations) etc etc

 

En Belgique aussi, diverses instances co-existent: KCE (Centre fédéral d'expertises des soins de santé), CSS (Conseil Supérieur de la Santé), etc

 

Tous ces différents noms pléthoriques ont aussi comme effet (sans doute pas boudé ou complètement indésirable) de brouiller le citoyen dans sa possible perception des véritables responsabilités. Ne sachant plus qui fait quoi, qui se trouve où et avec quels conflits d'intérêts, le citoyen finit donc hélas le plus souvent par abdiquer et se résigner à laisser des experts peu dignes de confiance gérer sa santé à sa place.

 

Cette déresponsabilisation, hélas, s'avère des plus dangereuses, tout simplement parce que ces instances ne font pas ce pour quoi le citoyen croit qu'elles sont payées.

 

Prenons le cas de l'ANSM justement, qui est le sujet de cet article. Un récent communiqué de l'association française E3M qui s'intéresse au sort des malades de la myofasciite à macrophages et au rôle de l'aluminium vaccinal dans cette pathologie, fait état du refus de cette agence dite "publique" de financer des études sur la sécurité vaccinale et notamment sur l'aluminium utilisé comme adjuvant dans une majorité de vaccins!

 

En effet, le 12 septembre dernier, l'ANSM annonçait les projets retenus en matière de sécurité médicamenteuse. Aucun financement ne fut donc accordé aux projets déposés qui avaient trait à l'évaluation des risques de l'aluminium vaccinal alors que cette agence recommande pourtant aux consommateurs d'éviter d'appliquer des déodorants à base d'aluminium sur une peau lésée ou irritée!!!

 

En octobre 2011, cette même instance, diriginée par Dominique Maraninchi avait déjà fait la politique de la chaise vide (de même que le Haut Conseil de la Santé Publique du Salamon et le Comité Technique des Vaccinations de Daniel Floret) à l'occasion d'une "réunion de consensus" organisée par le député-médecin Gérard Bapt à l'Assemblée Nationale au sujet des très controversés vaccins HPV. Le fait, ô scandale, que plusieurs médecins comme les Drs Pèlerin, de Chazournes et Spinosa y étaient conviés, n'était pas du goût de ces mandarins peu habitués à la moindre remise en question ou contradiction!

 

Le laxisme envers les très réactogènes vaccins HPV est d'ailleurs très contradictoire avec le retrait abusif de l'ancien DTP (sans alu) pour de fausses réactions allergiques qui ont surtout permis à Sanofi, avec la complicité de l'ex Afssaps, d'accroître ses profits en forçant ainsi la main aux parents pour qu'ils acceptent des vaccins toujours plus chers et plus combinés (seul le vaccin tétravalent, avec la coqueluche, ayant encore une autorisation de mise sur le marché pour les enfants de moins de 6 ans!). Cet épisode est d'ailleurs expliqué plus en détails dans le récent livre de Virginie Belle "Faut-il faire vacciner son enfant?"

 

Tout récemment encore, l'ancienne Afssaps (ANSM donc) reconnaissait sur son site que les vaccins pandémiques H1N1 et plus particulièrement le vaccin Pandemrix sont liés à un risque accru de narcolepsie qui est en réalité 4 fois plus grand en cas de vaccination H1N1 qu'en l'absence de vaccination. Ce risque alors qu'initialement associé aux seuls enfants s'avère en outre aussi de mise chez les adultes vaccinés. Mais comme très bien épinglé par un récent article du Canard Enchaîné, il s'avère que pas moins de 4000 personnes pourraient souffrir en France de narcolepsie suite à cette vaccination...  très loin donc de la vingtaine de cas que l'ex Afssaps daignait il y a quelques mois admettre du bout des lèvres!

 

Pourquoi ces agences sont-elles donc toujours occupées à minimiser les risques de ce genre de politique vaccinale de masse? 



Bien au-delà de la seule question des multiples conflits d'intérêts des experts qui siègent au sein de ces agences, on retrouve une autre raison évidente qui n'est que trop peu abordée par les divers analystes à savoir la quasi non faisabilité pour des experts, même exclusivement payés par l'argent public, de remettre en cause avec leurs conclusions le bienfondé d'une politique gouvernementale avec les conséquences juridiques que cela pourrait représenter pour lesdites autorités!

 

Les gens ne se rendent pas toujours bien compte de cela mais il s'agit pourtant d'un aspect fondamental de la problématique: il existe déjà une sorte de conflits d'intérêts entre l'expert rétribué par les autorités et son expertise susceptible, à un moment donné ou  à un autre, d'entrer en contradiction avec les politiques mises en place jusqu'alors par ces mêmes autorités! Si on ajoute à cela, les aveux particulièrement préoccupants mais aussi très éclairants qu'on peut retrouver sur le site du Sénat français selon lesquels les autorités "publiques" sont en fait "les partenaires naturels" des multinationales pharmaceutiques, on comprend que les objectifs des pouvoirs publics et donc aussi des experts qu'ils rémunèrent (sous peine de pressions, de démissions ou autres intimidations, cfr à la FDA américaine!) va être de rassurer, le plus souvent à tort, le public, tout en préservant ainsi l'image de l'industrie.

 

Ceci nous ramène finalement aux pistes de solution évoquées par l'immunologiste américaine Dr Tetyana Obukhanych qui en appelait à juste titre, après la séparation de l'Eglise et de l'Etat, à une séparation de la Science et de l'Etat (des Etats). Cela renvoie également à la notion de Science citoyenne qui devrait être à la fois contrôlée et financée en majorité par les citoyens.

Soulignons que si ça avait toujours été le cas, il est hautement probable que les OGM alimentaires n'auraient jamais été autorisés et encore moins imposés à leur insu et contre le gré d'une majorité de gens dans leurs assiettes!!

 

Lorsqu'on sait que les agences nationales ne font le plus souvent que reproduire dans les divers Etats les diktats de l'OMS dont un des buts majeurs est surtout de simplifier les frais de lobbying des pharmas en uniformisant mondialement les recommandations unilatérales au profit du "tout chimique", on doit inévitablement relativiser leurs messages dans toute alerte sanitaire médiatisée.

 

Il est en outre d'autant plus important de relativiser les affirmations le plus souvent faussement rassurantes de ce genre d'agences que le corps médical, souvent en quête d'auto-protection, a tendance à vous rabâcher ce discours "venu d'en haut" comme parole d'Evangile. Cette absence de discernement chez les soignants a plusieurs raisons: outre le manque de temps pour chercher par eux-mêmes, il y a la crainte perpétuelle et sous-jacente à tout acte, de poursuites en justice de la part d'un patient qui fait qu'il est éminemment plus rassurant et confortable pour un praticien de pouvoir affirmer après coup, pour se couvrir, "qu'il n'a fait qu'appliquer les recommandations officielles en vigueur à l'époque".

 

Hélas, en voulant se couvrir eux-mêmes, c'est le patient qui en sort particulièrement fragilisé et laissé conséquemment à la merci de pseudo politiques sanitaires de masse, éthiquement indéfendables.

 

A côté de cette "technique du parapluie" ("C'est pas moi, c'était telle agence de santé publique qui avait recommandé que"), il y a aussi le discours trop général et flou qui sert encore trop souvent d'échappatoire, tant aux médecins lambda qu'aux experts médiatisés et autres leaders d'opinion. Ceux-là en effet adoptent une pseudo position défensive actuellement où on les entend faire des aveux sous forme de faux scoops dans le style "Oui, les vaccins, comme tous les médicaments peuvent causer des effets secondaires." Ce discours bien aseptisé est toujours très commode d'autant qu'ils se limitent toujours à cela, sans jamais entrer bien sûr dans le vif (accablant) du sujet concernant la dangerosité et les risques de ces produits. Point de détails les enfants, se serait bien trop dangereux....

 

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 15:32

Première mondiale : des tests in vivo menés sur des rats nourris aux OGM mettent en évidence de graves effets toxiques.

 

PasseportSante.

 

OGM-toxiques.jpg

Première mondiale : des tests in vivo menés pour la première fois pendant 2 ans sur des rats nourris par un OGM et son herbicide associé , le Roundup, l’herbicide le plus vendu au monde,  mettent en évidence ses effets toxiques graves.

 

Un maïs OGM tolérant au Roundup (le NK603) a été testé sur des rats pendant 2 ans. Il s’agit de l’étude la plus détaillée jamais menée sur des rats nourris pendant 2 ans avec un maïs OGM qui est  tolérant au Roundup c'est-à-dire capable de s’en gorger sans en mourir. La revue scientifique « Food and Chemical Toxicology » vient de publier aujourd’hui les résultats de cette étude réalisée par le Pr Gilles-Eric Séralini.

Les résultats publiés mettent en avant l’importance de réaliser des tests de longue durée avant mise sur le marché des OGM de ce type alors que les tests actuels réalisés par les industriels ne durent que 3 mois…

 

Voici l’interview que nous avons réalisée pour vous du Dr Joël Spiroux,  directeur adjoint de l’étude réalisée par l’équipe scientifique du Pr Seralini :

 

Joel-Spiroux.jpg

Docteur Joël Spiroux, vous venez de publier une étude scientifique avec le Pr Gilles-Eric Séralini qui est alarmante car elle met en évidence des effets toxiques graves d’un OGM et de son herbicide associé sur la santé. C’est une première mondiale.  

 

J’ai le grand plaisir de travailler depuis prés de 15 ans avec mon ami Gilles-Eric Séralini. J’ai un profil particulier car je suis médecin libéral, et directeur adjoint de l’étude dont nous parlons. Cette étude est effectivement une première mondiale car personne au monde n’a réalisé une étude aussi longue et aussi complète pour tester un OGM et son herbicide associé.

 

Pouvez-vous nous expliquer en préambule ce qu’est  un OGM ?

 

Un OGM est un organisme vivant (micro-organisme, végétal, animal) ayant subi une modification non naturelle de ses caractéristiques génétiques initiales, par ajout, suppression ou remplacement d’au moins un gène. On appelle donc OGM tout organisme hébergeant un ou plusieurs gènes provenant d’une espèce à laquelle il n’appartient pas. Les « gènes étrangers » sont alors appelés transgènes, l’OGM un organisme transgénique. Il existe à l’heure actuelle des maïs possédant jusqu’à 8 transgènes.

 

Pourquoi cette étude ?

 

Il nous a paru indispensable de tester un OGM alimentaire tolérant au Roundup alors même que les industriels fournissent des études biologiques pour obtenir un accord de mise sur le marché de leurs produits par les différents  gouvernements. En effet nous considérons que les études fournies par les industriels sont superficielles et ne permettent pas de mettre en évidence des signes de toxicité. Par exemple les études les plus longues pour un OGM alimentaire ne dure que trois mois sur des rats et que les pesticides formulés ne sont pas testés au long terme. Par ailleurs cela fait plus de 10 ans que dans le  laboratoire de Gilles Eric Séralini sont publiées des études mettant en évidence les effets toxique « in vitro » de certains pesticides et en particulier le Roundup. J’ai même été coauteur de plusieurs publications mettant en évidence des signes de toxicité hépatiques et rénales dans des études de Monsanto et qui ont néanmoins été acceptés à la commercialisation par les agences réglementaires.

 

Où fut elle réalisée et par qui ?

 

seralini.jpg

Elle fut réalisée par l’équipe du Pr Gilles-Eric Séralini du laboratoire de biologie moléculaire de l’université de Caen avec la participation de quelques prestataires extérieurs et  le soutien du CRIIGEN.

 

Dans quelle revue scientifique votre étude  a-t-elle été publiée ?

 

Notre étude est publiée dans une des meilleures revues scientifiques internationales de toxicologie alimentaire et sera en ligne à partir du 19/09/12. Son titre:

”Long term toxicity of a Roundup herbicide and a Roundup-tolerant genetically modified maize”. Food and Chemical Toxicology, Séralini G.E. et al. 2012

 

Quel fut son protocole ?

 

C’est l’étude la plus détaillée jamais menée sur des rats nourris pendant 2 ans avec un maïs OGM, le NK603 qui est  tolérant au Roundup c'est-à-dire capable de s’en gorger sans en mourir.

 

Nous avons pris 10 groupes de 10 rats mâles  et 10 groupes de 10 rats femelles. Chez les mâles comme chez les femelles nous avions 1 groupe de rats témoins, 3 groupes de rats mangeant de l’OGM seul à la dose de 11%, 22%, 33%, 3 groupes de rats mangeant de l’OGM  à 11, 22, 33% pulvérisés pendant la culture par du Roundup, et 3 groupes de rats mangeant le maïs non OGM mais buvant du Roundup à trois doses : celle que l’on peut trouver dans l’eau du robinet, celle équivalente au résidus de Roundup toléré dans l’alimentation et celle correspondant à la dose susceptible d’être absorbée par les utilisateurs de Roundup.

 

Par ailleurs tout au long des 2 ans nous avons pratiqué un monitoring le plus complet possible, poids, prise de sang et examens de tous les organes à la fin de l’étude. Ces tests ont donc porté sur les 200 rats en observation pendant deux années sur plus de cent paramètres.

 

Pourquoi utiliser  des rats ?

 

On ne teste pas au niveau réglementaire ces produits toxiques sur des humains, mais sur des rats. En tant que médecin, je préfère que ces produits soient testés sur des rats plutôt que sur la population comme nous sommes en train de le faire dans de très nombreux pays au monde.

 

Quelles différences avec les études réglementaires nécessaires avant la mise sur le marché ?

 

La différence primordiale est la durée. Les études réglementaires ne portent que sur 3 mois alors que notre étude porte sur 24 mois. Nous dosons plus de paramètres biologiques et en particulier les paramètres hormonaux qui ne sont pas dosés dans les études réglementaires. Pourtant il est bien connu que les pesticides et en particulier le Roundup sont des perturbateurs endocriniens !!!

 

Quels sont les résultats les plus marquants ?

 

Le premier résultat inattendu est que les premiers rats sont morts à 4 mois, alors que les durées d’études réglementaires sont limitées à 3 mois !

 

Les rats nourris aux OGM, traités ou non au Roundup meurent plus rapidement et de manière plus importante que les témoins. Les femelles sont principalement mortes de tumeurs mammaires et d’anomalies hypophysaires. Les rats nourris aux OGM, traités ou non au Roundup ont eu des tumeurs plus rapidement et de façon plus importante que les témoins. La majorité des mâles sont morts de problèmes hépatiques et rénaux. Des effets métaboliques toxiques sont dus à l’OGM seul. Le Roundup a des effets graves sur la santé à très faibles doses.

 

Photos de quelques résultats obtenus, parues dans le Daily Mail:

 

OGM--rats-Daily-Mail.jpg

 

Quelles retombées sociétales attendez-vous ?

 

Cette étude montre clairement que les études réglementaires présentent de grosses lacunes trop courtes, trop superficielles, incomplètes et semblant être faites pour ne pas mettre en évidence des effets sur la santé. Par ailleurs, ces études sont réalisées et financées par les producteurs et les résultats interprétés par ces mêmes firmes. Ce manque d’indépendance est très préjudiciable pour la sécurité alimentaire  de la population. Nous pouvons aussi accuser le laxisme des instances d’accréditation.

 

Nous demandons que les autorisations de ces produits soient revues, que les tests de 90 jours soient prolongés (2 ans) pour tous les OGM, que les pesticides soient testés 2 ans à faibles doses et en formulations et dernier point que les tests réglementaires soient publics, indépendants des compagnies, et soumis à l’expertise contradictoire.

 

Vous êtes tous les deux membres du CRIIGEN ; vous n’êtes pas sans savoir que certains de vos détracteurs vous considèrent comme des « anti-OGM », qu’avez-vous à me répondre sur ce sujet ?

 

Nombreux sont les scientifiques appartenant au CRIIGEN qui travaillent dans leurs laboratoires sur les OGM pour mieux comprendre le fonctionnement des gènes. En tant que médecin, je suis très favorable à l’utilisation de la technique de transgénèse pour l’obtention de médicament comme le plus emblématique d’entre eux : l’insuline. Vous voyez donc qu’au CRIIGEN nous ne sommes pas des anti-OGM, mais nous sommes contre les plantes à pesticides que sont les OGM agricoles et qui par-dessus tout sont mal évalués, comme nous venons de le montrer.

 

Quelle suite y aura-t-il à cette étude ?

 

Avant de penser à la suite, je suis persuadé que notre étude fera  l’objet de nombreux articles dans la presse nationale et parmi tous les médias. Dès maintenant, les résultats et l'expérience, son contexte et ses conséquences sociales font fait l'objet du livre « Tous Cobayes ! » de Gilles-Eric Séralini, publié le 26/9 chez Flammarion. Un film est librement adapté de cet ouvrage « Tous Cobayes ? » de Jean-Paul Jaud; sortie nationale au cinéma le 26/9. Un documentaire télévisé « OGM, vers une alerte mondiale ? » a été réalisé par François Le Bayon. L’impact juridique et  sociétal est l’objet du livre « La vérité sur les OGM c’est notre affaire » de Corinne Lepage publié par les éditions Charles Léopold Mayer. Par la suite, au point de vue scientifique nous aurons à continuer à étudier tous les résultats de cette étude et cela fera vraisemblablement l’objet  de 5 ou 6 publications scientifiques.

 

Propos recueillis par Vianney Poissonnier 

 

Si vous souhaitez recevoir les résultats de l'étude détaillée, cliquez ici

 

 

 

Le citoyen actif, c’est aussi celui qui est suffisamment vigilant aux similitudes entre les différents scandales sanitaires OR force est de constater que les similitudes entre le scandale des OGM et celui des vaccins sont très grandes, comme cette interview en atteste.

 

- Le point commun des études (volontairement) trop courtes, au profit des fabricants, avec une absence de suivi à long terme qui fait croire à la fausse sécurité des produits.

 

- La volonté de se mettre la tête dans le sable avec une conception d’études pour ne surtout mettre en évidence aucun effet gênant.

 

- Le laxisme des autorités, finalement complices de la cupidité des fabricants.

 

- La notion de conflits d’intérêts omniprésente.

 

- Le fait que des résultats inquiétants existent déjà depuis longtemps, sans qu’on en tienne compte !

 

- L’affrontement entre la quantité donnée d’études (souvent bâclées et financées à la hâte par les industriels) et la qualité de celles-ci : ainsi, pour les OGM comme pour les vaccins, les officiels continueront sans doute de dire encore longtemps qu’il y a « beaucoup PLUS d’études rassurantes qu’inquiétantes », en omettant de souligner que les études inquiétantes peuvent être méthodologiquement beaucoup plus solides.

 

- Les risques cancérigènes qui sont communs aux OGM et aux vaccins, ces derniers contenant notamment des substances notoirement cancérigènes comme le formaldéhyde et des résidus issus du génie génétique qui peuvent aussi occasionner un risque d’oncogenèse, de l’aveu même de l’OMS dans un de ses rapports techniques !

 

- Des indices accablants que cela peut accroître la mortalité chez les humains (par exemple, hormis les résultats chez les rats pour les OGM, diverses données et études chez les humains tendent à montrer que la vaccination précoce des enfants accroît leur mortalité en bas âge, voir ICI et ICI)

 

- L’idéologie des défenseurs des OGM, exactement comme avec l’idéologie vaccinale où chaque chercheur qui émet des critiques est considéré comme un hérétique comme au Moyen-âge (un « anti-OGM », un « anti-vaccin »).

 

- L’opacité et le manque de transparence de ces dossiers, l’absence d’expertise contradictoire.

 

- L’absence de considération de la volonté populaire dans les décisions prises par leurs élus (ex : approbation et importation des OGM, nourriture du bétail à partir d’OGM alors que le public n’en veut PAS en grande majorité ; plans de vaccination obligatoires contre de futures pandémies contre l’avis des gens comme en Pologne, en Suisse etc)

 

- Le côté incontrôlable pour le consommateur, parce que les OGM sont partout au niveau alimentaire sans que cela soit toujours mentionné et pour les vaccins, le fait qu’une fois injectés, on ne sait pas en atténuer les effets comme on le pourrait en arrêtant une consommation d’aliments ou de médicaments sur le plus long terme.

 

- Le côté franchement expérimental des OGM comme des vaccins, compte tenu du niveau tout à fait insuffisant d’évaluations règlementaires dont ils font l’objet jusqu’ici.

 

- Le fait qu’avec les OGM comme avec les vaccins, la Science arrogante qui croit mieux faire que la Nature joue à l’apprentie-sorcière en mettant ainsi en jeu l’avenir même (y compris génétique) de l’humanité. L’irresponsabilité des chercheurs qui va de pair et qui, ne pouvant imaginer admettre leurs errances, continuent d’affirmer que ce genre d’études accablantes n’a « aucune valeur » (comme on pouvait encore le lire dans le Daily Mail tout récemment) ! Aux JT, on pouvait d'ailleurs entendre leur baratin habituel "Il est trop tôt pour se prononcer, il y a des biais dans l'étude, il faut analyser cela de près et mener d'autres études"!

 

- Le fait aussi à souligner que ce sont les mêmes autorités et les mêmes « bienfaiteurs » qui nous recommandent les OGM ET les vaccins : voyez Laurette Onkelinx qui est une défenseuse des OGM et qui a signé l’infâme contrat de vaccins H1N1. Voyez aussi Bill Gates, pseudo philanthrope qui investit comme par hasard exclusivement dans les OGM et les vaccins !

 

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 15:00

Femme-enceinte-Fotolia.jpg

Incroyable mais vrai: on pouvait lire dans un article du Soir du mardi 18 septembre dernier, signé Frédéric Soumois, les propos extrêmement téméraires de  généralistes de la Société Scientifique de Médecine Générale (SSMG) au sujet de la vaccination antigrippale des femmes enceintes....

 

Petit extrait pour mieux se rendre compte:

 

«La protection de la vaccination est trop souvent écartée par excès inapproprié de prudence, expliquent les généralistes. La grippe leur fait courir des risques accrus de complications. » On proposera donc aux femmes enceintes d’être vaccinées dès le deuxième trimestre de leur grossesse.

 

Pourquoi le journaliste Frédéric Soumois n'a-t-il pas cité le nom des généralistes qui ont tenu ce discours? Peut-être parce qu'en habitué du genre, il ne réchigne jamais à aller interviewer des experts en conflits d'intérêts?

 

Pour mieux aussi se rendre compte là aussi, voyons à présent une présentation powerpoint de cette même "Société Scientifique de Médecine Générale" en faveur de la vaccination antigrippale. On remarquera qu'elle est signée par les Drs André Dufour, Vincent Momin et Patrick Tréfois (ce dernier étant secrétaire de rédaction et éditeur responsable de la revue Vax Info, entièrement financée par GSK...) mais surtout qu'elle est émaillée de pubs en faveur de Sanofi Pasteur et de son vaccin Vaxigrip. [cfr p.2 et 23/24] or tout conflit d'intérêt quel qu'il soit, souvenez-vous, "interfère avec le jugement clinique et nuit à l'intérêt des patients" selon la revue belge d'Evidence Based Medicine Minerva!!

 

Bien entendu, ce genre d'articles partiaux auxquels Mr Soumois nous a déjà habitués de longue date, tend à faire croire à la fausse unanimité médicale derrière la vaccination des femmes enceintes. Il eût cependant été plus honnête de rappeler que c'est loin d'être le cas.

 

Dans l'émission Question à la Une du 17 février 2010 sur la grippe H1N1 ,on pouvait notamment entendre le Dr Luc Erpicum dire ceci concernant la vaccination des femmes enceintes: " Ils (le fabricant) marquent qu'ils n'ont pas fait d'études cliniques sur un nombre suffisant de femmes enceintes pour avoir des données statistiques suffisantes. L'Etat qui le reçoit, et les scientifiques puis les gynécologues disent, tardivement, alors qu'il n'y a pas eu d'études en plus, "faites-le!" Il y a eu suffisamment que pour ne pas le faire. Donc le fabricant dit non. Eux, ils disent "ben si, on va l'autoriser." Je ne comprends pas. Je ne comprends pas, honnêtement." A la question de la journaliste qui lui demande si l'adjuvant du vaccin était dangereux, il répond "Il y a un principe de précaution pour les femmes enceintes. Nous ne mettons pas de médicaments aux femmes enceintes. Quand il faut un antiémétique ou quoi, on va regarder dans nos livres. Et si il y a quelques trucs animaux tératogènes, on ne le met pas." (voir à partir du temps 25' 35'' environ).

 

Le Dr Philippe Vandermeeren, alors président du groupement belge des omnipraticiens, avait lui aussi courageusement exprimé ses doutes sur l'opportunité de vacciner des femmes enceintes avec le vaccin pandémique expérimental de 2009, ne craignant pas ainsi "le porte à faux avec les (folles) recommandations de la cellule Influenza". (cfr JT spécial sur le H1N1 de la RTBF à l'automne 2009).

 

Il est évident que les femmes enceintes constituent un juteux business à l'échelle du monde et qu'il est sans doute commercialement très avantageux de pouvoir jouer sur la corde sensible des mères, toutes désireuses de protéger leur enfant à naître...

 

Dans de précédents articles du 26 mai et 17 juillet derniers, Mr Soumois diffusait déjà des informations partiales et scientifiquement contestables selon lesquelles le vaccin antigrippal de 2009 n'aurait pas provoqué de fausse couche et que la vaccination saisonnière de la femme enceinte ne poserait pas de problème de sécurité selon la très peu crédible OMS.

 

Pourtant, des informations contraires ont filtré des USA notamment où la vaccination antigrippale de 2009 (pourtant sans adjuvant dans ce pays) avait provoqué des milliers de cas de fausses couches excédentaires.

 

La plupart des vaccins antigrippaux saisonniers et pandémiques contiennent du mercure qui est toxique pour le foetus, de l'aveux même de la firme Eli Lilly qui le fabrique! Selon cette firme, et sa "Safety Data Sheet", le thiomersal amenuise les chances de survie de la descendance et peut avoir des effets secondaires neurologiques incluant un retard mental modéré à sévère ainsi que des troubles de la coordination motrice."

 

Même à un dosage de 1 part par million, le thiomersal ajouté à quelques cellules contenues dans une boite de pétri les fait toutes mourir déplore le Pr Boyd Haley, un des experts mondiaux en matière de toxicologie mercurielle et professeur honoraire de chimie à l'Université américaine du Kentucky. Pourtant, il faut savoir que les concentrations de mercure dans la plupart des vaccins antigrippaux sont 100 fois supérieures à ce ratio déjà mortel pour ces cellules in vitro...

 

En ce qui concerne le risque de malformation congénitale en cas de vaccination de la mère, il faut tout de même rappeler qu'au moment de la fausse pandémie de 2009 (qui aura servi de prétexte en or pour inclure les femmes enceintes dans les groupes-cibles), il n'y avait toujours pas d'étude portant sur le caractère éventuellement tératogène de ces vaccins et que tout reposait donc de façon unilatérale sur le fait que les femmes enceintes étaient soi-disant tellement plus à risques. Cette vision biaisée trahit finalement un raisonnement de nature idéologique et non scientifique puisque tout était donc axé sur les bénéfices hypothétiques et attendus (espérés en somme) d'une vaccination antigippale chez ce public et pas du tout sur les risques graves possibles, ce qui démontre donc aussi toute la fausseté et l'hypocrisie du discours expertal officiel consistant à dire qu'il faut toujours "évaluer le rapport bénéfices/RISQUES"!

 

Le champ des effets secondaires à long terme est constamment évacué. Pourtant, des chercheurs de l'INSERM avaient tiré la sonnette d'alarme dans le Monde il y a quelques mois sur la toxicité sous-évaluée de l'exposition précoce au cours de la vie foetale et peu après la naissance à divers substances chimiques qui peuvent selon eux induire des modifications épigénétiques, c'est à dire des modifications dans l'expression des gènes, ce qui peut hélas parfois se solder par l'apparition de maladies graves à l'âge adulte. Or, à ce que nous sachons, la vaccination antigrippale expose inévitablement le foetus et même le jeune enfant si la mère est vaccinée en cours d'allaitement, à un flux certain de substances chimiques dont la soi-disant faible quantité n'est pas pour autant synonyme d'innocuité totale. Bien qu'ayant fait part notamment de ces éléments accablants, le Conseil de Déontologie Journalistique, n'a pas jugé bon de nous accorder un droit de réplique à l'article de Mr Soumois du 26 mai dernier qui osait pourtant titrer "Vaccination: la femme enceinte d'abord", estimant que nous n'apportions pas les preuves que les sources citées étaient "crédibles". Ainsi, pour cette instance, une instance comme l'INSERM ne semble pas crédible là où la très corrompue OMS doit inévitablement rester à l'abri de la moindre contradiction... quelle belle déontologie au service des futurs enfants à naître et hélas soumis malgré eux à ce flux chimique et quelle responsabilité aussi, vis-à-vis de la société dans son ensemble, il n'y a vraiment pas à dire!!

 

Alors au final, la vaccination est-elle vraiment trop souvent écartée "par excès inapproprié de prudence" chez les femmes enceintes?

 

Cet "excès inapproprié de prudence" chez les femmes enceintes semble en tout cas pouvoir éviter un certain nombre de cas de malformations congénitales graves  qui peuvent se compter en dizaines de milliers si on vaccine des millions de femmes dans le monde, à en croire une publication scientifique commentée sur Medisphere et dont un médecin généraliste belge nous a fait part, choqué de voir que l'establishment considérait comme équivalent un risque de 5,5% d'anomalies congénitales chez les femmes vaccinées contre le H1N1 versus 4,5% chez les non vaccinées! Il est hélas bien évident, idéologie oblige que si ces chiffres non surprenants avaient été inversés, les hystériques de la seringue se seraient empressés d’ajouter « cet atout supplémentaire » à la vaccination antigrippale des (pauvres) femmes enceintes.

 

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19 septembre 2012 3 19 /09 /septembre /2012 17:25

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Le 8 septembre dernier, le journaliste d'investigation américain, Jon Rappoport, diffusait sur son site un article fort important sur les dessous de la vaccination antigrippale.

 

Alors que cette vaccination arrivera avec quelques jours de retard dans les pharmacies belges , il est donc toujours temps de savoir de quoi il retourne, histoire de ne pas se faire vacciner idiot.

 

Car le fait est que, cette année comme les autres, des milliers de gens qui recevront une première vaccination antigrippale en seront dégoûtés à jamais parce qu'ils n'auront jamais été "aussi malades de leur vie" et quantité d'autres y réagiront mal également, même si cette vaccination n'était pas forcément une première pour eux. Décès, hospitalisations et autres aggravations des états de santé chez des gens vaccinés seront donc comme à l'habitude classés comme autant de "coïncidences" anodines et non significatives. Tous ces risques graves encourus en valent-ils au moins la peine? En plus d'occulter systématiquement les risques de cette vaccination, les autorités et les médecins traitants n'exagèrent-ils pas aussi auprès des patients la gravité de la grippe sur un plan statistique?

 

Jon Rapoport nous livre ses découvertes éclairantes à ce sujet:

 

Maintes et maintes fois, en tant que journaliste d'investigation, j'ai eu la tâche d'informer les lecteurs que leurs hypothèses les plus fondamentales étaient fausses.

Dans le domaine médical, cette situation  est aggravée par l’acceptation du public de mensonges qui sont présentés comme étant la science absolue. En fait, il s’avère que cette « science » s’apparente à une fabrique d’illusions. L’objet de cet article illustre une fois de plus la chose. Il va à l’encontre de la propagande massive que les autorités médicales ont lancée pour littéralement laver le cerveau de la population.

 

La saison de la grippe approche et nous allons voir les Centres de Contrôle des Maladies (CDC) presser tous les parents d’agir comme de bons petits robots en se faisant vacciner eux et leur famille contre la grippe.

 

Les avertissements et les prédictions habituelles seront claironnés par le CDC et leurs dociles médias. Le seul point sur lequel ils ne cesseront d’insister est le suivant : chaque année aux Etats-Unis 36.000 personnes meurent de la grippe. Ce chiffre, nous l’avons entendu et sans cesse réentendu.

 

Il s’agit ici d’une statistique « nécessaire » pour le CDC. Ils ont besoin d’en faire la promotion. Ils ont besoin de convaincre que la grippe saisonnière est dangereuse.

 

Le peuple Américain  ne comprend pas qu’il s’agit d’un mensonge, d’une illusion grossière qui n’a aucun rapport avec la réalité.

 

En décembre 2005, le British Medical Journal  a publié le rapport choquant de Peter Doshi qui a dénoncé l’illusion, tout en faisant trembler le CDC.

 

Ci-dessous un extrait du rapport de Peter Doshi dans le British Medical Journal :

 

« [Selon les statistiques du CDC], « l’influenza et la pneumonie » ont coûté la vie à 62.034 personnes en 2001 – 61.777 de ces cas étaient dus à la pneumonie, 257 à la grippe et c’est seulement dans 18 cas que le virus de la grippe a été formellement identifié. »

 

Comme vous pouvez vous en rendre compte, le CDC a créé une catégorie qui a combiné les décès par la grippe et par la pneumonie. Pourquoi ont-ils fait cela ? Parce qu’ils ont supposé que les décès dus à la pneumonie étaient des complications découlant de la grippe.

 

Cette hypothèse est absurde. Plusieurs causes peuvent être à l’origine de la pneumonie. Il y a pire : parmi tous les cas de décès dus à la grippe et à la pneumonie, seuls 18 cas ont directement été mis en relation avec le virus de la grippe.

 

Par conséquent, le CDC ne pouvait pas dire avec certitude que plus de 18  personnes étaient mortes de la grippe en 2001.

 

Ces chiffres sont en fait nettement moins élevés que les 36.000 qui furent claironnés officiellement. Doshi ne fait en fait que rapporter les chiffres concernant les décès par grippe estimés par le CDC à cette époque. Comme il a pu le démontrer, le CDC ne trouve en fait le virus de la grippe que dans une faible proportion des personnes que l’on a estimé être décédées de la grippe. En d’autres mots, il ne s’agit en fait que de conjectures. La chose relève aussi de la promotion et du battage.

 

Mais un pourcentage énorme d’Américains gobent les éléments de ce battage médiatique parce qu’on leur en a si souvent rabattu les oreilles.

 

La répétition du mantra que 36.000 personnes meurent chaque année de la grippe est évidemment la stratégie clé pour créer une demande de vaccins.

 

Avec toutes ses ressources et un budget d’environ 10 milliards de dollars, le CDC devrait pouvoir faire le nécessaire pour pouvoir déterminer si les personnes meurent de la grippe ou de toute autre cause.

 

Le CDC a menti au peuple Américain par rapport aux décès dus à la grippe. La révélation de ce mensonge a été escamotée par la presse.

 

L’essentiel du travail du CDC est de rapporter avec précision les statistiques de maladies et de décès. Si cette instance ne peut correctement remplir ses fonctions,  son devoir est de l’admettre. La réalité c’est que cette Agence est gravement compromise. Elle s’est alliée à l’industrie pharmaceutique dans le cadre d’un énorme cartel médical. Il s’ensuit que sa crédibilité est nulle.

 

Pratiquement tout ce qui nous a été dit par le gouvernement Américain sur les décès dus à la grippe n’est nullement étayé par les faits»

 

Ce texte est intéressant car à en croire les chiffres officiels américains de décès (36 000), on peut en tout cas constater qu'ils sont proportionnellement plus grands dans ce pays où la couverture vaccinale des + de 65 ans est de 70%, qu'en France où cette couverture vaccinale tourne plutôt autour des 60%!. Ainsi, étant donné que la population française est 5X moins nombreuse qu'aux USA, s'il y a 36 000 décès annuels liés à la grippe aux USA, on devrait en attendre 7200 en France (et pas 6000 comme obtenu officiellement l'hiver dernier!)

 

Un autre constat également incontournable, c'est qu'il y ait, à en croire les officiels, encore autant de décès annuels que cela aux USA en dépit d'une augmentation de + de 50% de la couverture de vaccination antigrippale entre 1980 et aujourd'hui.

 

Autre élément troublant, celui des chiffres officiels de décès liés à la grippe en France et en Belgique l'hiver dernier (2011-2012): 6000 décès en France et 2600 en Belgique soit proportionnellement au nombre d'habitants, 2,5 X plus de décès en Belgique qu'en France. Jetons à présent un oeil aux taux de couverture vaccinale contre la grippe chez les plus de 65 ans en France puis en Belgique lors de cet hiver-là: 62% en France (selon le Geig) et 63% en moyenne en Belgique (selon la Société Scientifique de Médecine Générale)!!

 

La Belgique avait donc un taux de vaccination antigrippale chez ce public là au moins égal et même légèrement supérieur, ce qui ne l'a pas empêchée d'avoir, selon les chiffres officiels toujours, 2,5 fois plus de décès qu'en France.... cherchez l'erreur! Aux USA déjà, lorsque la vaccination systématique de tous les enfants contre la grippe fut instaurée en 2002, cela a immédiatement suscité une hausse de la mortalité due à la grippe chez les enfants de moins de 5 ans. Là encore quelle belle "efficacité" du vaccin, il n'y a vraiment pas à dire!

 

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Il est donc réellement légitime, scientifiquement fondé et logique que cette vaccination des plus inutiles rebute de plus en plus de citoyens, y compris des professionnels de santé bien sûr, puisque ceux-ci sont particulièrement bien placés pour constater les grippes de patients et de collègues dûment vaccinés.

 

Souvenez-vous, l'hiver passé, on pouvait d'ailleurs lire dans la presse qu'un grand hôpital comme le CHU du Sart Tilman à Liège avait renoncé à organiser l'habituelle campagne de vaccination antigrippale en son sein, faute d'adhésion de la part du personnel. Le Dr Christiaens, médecin hygiéniste de cet hôpital avait alors avoué "C'est bien simple, dans un hôpital aigu comme le nôtre, qui enregistre 3000 admissions par mois, nous n'avons constaté, la saison dernière, que 4 cas de grippes potentiellement acquises au CHU. C'est tout à fait marginal face aux 5 à 10% de patients qui souffrent d'infections nosocomiales. La vraie priorité est là."

 

Mais il est bien évident que plus cette vaccination rebute et plus les officiels augmentent en conséquence l'immense battage, tout à fait disproportionné pour cette vaccination inutile, pas sans risques et dirigée contre une maladie dont on exagère sans cesse les conséquences.

 

Ce battage est énorme et engloutit des milliers d'euros, cela se voit rien qu'en visitant déjà des beaux sites bien faits comme celui-ci mais qui regorgent néanmoins d'incitations simplistes, infantilisantes et finalement presque insultantes pour l'intelligence des professionnels de santé.

 

Il s'agit d'ailleurs justement d'un site de promotion de la vaccination antigrippale parmi les professionnels de santé, destiné à leur bourrer le crâne pour qu'ils en arrivent à promouvoir eux-mêmes la pseudo utilité de cette vaccination au sein de leur établissement de soin ou institution hospitalière! Le tout avec force affiches, powerpoints, questions-réponses, vidéos et petits dessins pas très flatteurs pour les professionnels de santé. Et même un document intitulé "Pour et Contre à l'obligation vaccinale (contre la grippe)." 

 

A la rubrique des "références scientifiques", on retrouve des liens vers des sites de la Communauté Française/Fédération Wallonie-Bruxelles (vous savez, celle-là même dont la publicité en faveur des vaccins tout au long de la vie a été jugée TROMPEUSE par le Jury d'Ethique publicitaire l'année passée...), vers celui de l'asbl Question-Santé (dont le Dr Tréfois, responsable, est en conflits d'intérêts notoires avec GSK, baîlleur de fond exclusif de la revue Vax Info dont il est secrétaire de rédaction et éditeur responsable), vers le site du CBIP (alors que ce même CBIP avait admis en décembre 2011 qu'il n'y a "pas de preuves valables que la vaccination annuelle contre la grippe chez les personnes âgées et les patients à risque soit efficace."!) ou encore celui du KCE (= le Centre fédéral belge d'Expertise des Soins de Santé, cette instance qui se dit "indépendante" ,en dépit des experts en conflits d'intérêts qu'elle laisse cependant travailler comme si de rien n'était sur ces sujets).

 

Mais épinglons à présent les stigmates de ce fanatisme vaccinal tout à fait indécent et même légalement condamnable:

 

Dans un document pdf rédigé à partir de l'interview du Dr Vergison, hygiéniste à l'Huderf et non indépendante de divers labos avec qui elle est en conflits d'intérêts:

 

« En pratique, pour avancer, malgré de tels freins, « la présence de l’hygiéniste dans les services fait beaucoup, tout comme la confiance que l’on vous accorde, constate-t-elle. Il est important, également, de prendre le temps, beaucoup de temps, soit dans les unités, soit au cours de séminaires, pour rappeler que ces vaccins n’entraînent ni risques ni effets secondaires importants et pour répondre à toutes les questions ». Aucune d’entre elles ne lui fait peur, y compris celles qui relaient les accusations de collusion entre les experts et l’industrie pharmaceutique… »

 

Le Dr Vergison se rend-t-elle seulement compte qu'elle est  passible de poursuites en justice si une personne qu'elle a vaccinée sur base de la confiance aveugle et peu "scientifique" qu'elle inspirait, en vient à se rendre compte qu'elle a violé la loi du 22 août 2002 en informant pas correctement des RISQUES GRAVES bel et bien possibles après cette vaccination, sur base d'une littérature scientifique qu'elle serait pourtant censée connaître?

 

Autres propos de nature diffamatoire pour les professionnels de santé et qui témoignent là encore d'une arrogance phénoménale, prenant elle-même sa source dans une ignorance conséquente:

 

«L’éducation est essentielle. Mais dans la  mesure  où il n’existe  pas de  vaccin contre la bêtise, il faut parfois ajouter  un peu de  pression, sans aller  au harcèlement », assume-t-il. Le terme de « serial killer », utilisé par  un confrère  pour  parler  des soignants récalcitrants à la vaccination, ne lui paraît pas si outrancier… » Dr Marin, du CPAS de Soignies.

 

Là encore, il apparaît hautement probable à la lecture de ces propos que le Dr Marin n'informe pas non plus des risques graves possibles de cette vaccination (comme sa consoeur Vergison) car cela rebuterait trop ses patients et entrerait ainsi en contradiction avec son idéologique selon laquelle "tout ce qui peut faire progresser la vaccination est un plus". C'est hélas le lot des gens qui n'ont comme seul objectif que les pourcentages de couverture vaccinale. Ceux-là en arrivent plus souvent que les autres à oublier la loi et leurs devoirs légaux.



Dans un troisième document que le site vacc.info.pro met encore en ligne en pensant de façon tout à fait risible servir la cause de la vaccination, on peut aussi lire:

 

« Les employés auront été prévenus de toutes les modalités précises d’accès au vaccin grâce à une lettre agrafée à l’extérieur de leur fiche de paie  (pour  être  très visible)  mais, aussi, par mail et sur Intranet.

 

L’argument qui fait mouche ?

 
L’absentéisme reporte la charge de travail sur les collègues…

 

En pratique, dans cet hôpital, tous les ans, 15 jours avant que débute la vaccination, on affûte tous les moyens possibles en matière d’information et de communication. On sort le grand jeu d’affiches, de courrier et de communications internes, y compris à travers la chaîne de télévision propre à l’hôpital. Cette sensibilisation par des canaux variés a contribué à faire passer le taux de vaccination de 12% (en 1995) à 40% (en 2009). « Le vaccin est offert par la direction, ce qui est une forme de reconnaissance pour les soignants.  En réalité, ces derniers bénéficient de la gratuité via leur mutuelle. Mais la mise en œuvre de ce type de remboursement exigerait un travail administratif bien plus lourd pour eux. »

 

Dernier  « détail » : bonbon ou pas, parmi le public  visé  par  la vaccination, certaines personnes ne  manquent  jamais à l’appel. Il s’agit des bénévoles des Cliniques. Mais il est vrai que pour ces derniers, ce serait un comble d’imaginer  une  seule  seconde  qu’ils transmettent une  grippe  à  ceux qu’ils viennent soutenir de tout leur cœur…

 

Dr Rézette, médecin du travail à Charleroi.

 

Comme on le voit donc, les officiels en sont toujours à des approches simplistes, culpabilisatrices et partiales qui sont inévitablement condamnées à terme.

 

 Les gens et notamment les soignants sont donc sans surprise de plus en plus nombreux à se rendre compte que les stratégies de persuasion les plus porteuses, de l'avis même de ce genre de médecins, n'ont en fait rien à voir avec la Science mais se limitent à "un relai télé" (ce qui inclut la répétition, le bourrage de crâne, la quantité au détriment de la qualité et de la rigueur scientifique du message in fine délivré) et à un jeu d'influence de certaines personnes ou chefs de service en particulier.

 

Toute la stratégie vaccinale consiste donc à éluder le fond (car il ne repose sur rien de solide sur le plan scientifique) et à le détourner au profit de la forme (QUI va délivrer le message et aura le plus de chance de faire croire comme juste tel discours indépendamment de sa validité propre?, pas quel canal, télé ou autre pourrons-nous persuader le plus de gens?). La répétition de ces messages simplistes achèvera-t-elle de vous convaincre de céder à cette pression vaccinale médicalement et scientifiquement disproportionnée et irrationnelle? Ou bien préférerez-vous vous renseigner avec soin par vous-même, histoire de ne rien avoir à regretter? Sachez si vous êtes un soignant qu'il n'y a aucune honte à résister à ce harcèlement vaccinal, une part croissante de vos patients vous comprennent parfaitement.



Voir aussi:

 

 
 
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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 14:27

Pfizer, le fabricant du Prevenar ne compte-il pas, parmi ses "pions stratégiques" toute une série de leaders d'opinion capables de créer de toutes pièces une demande de la part du public vis-à-vis de ces nouveaux vaccins dont les gens s'étaient jusque là parfaitement passés?

 

Grâce à son réseau d'experts belges, connus dans le milieu médical national (on parle de "leaders d'opinion", habituellement recrutés en milieu hospitalo-universitaire), ce genre de fabricants n'a habituellement aucune peine à décrocher les articles de presse unilatéraux qu'il souhaite.

 

Tout ça fonctionne superbement bien puisque la caution publique est de mise et que le remboursement public des vaccins assure ainsi la croyance qu'ils sont forcément nécessaires.

 

Voyons à présent deux exemples très révélateurs avec les Drs Anne Vergison et Yves Van Laethem, respectivement pédiatre infectiologue et hygiéniste à l'Hôpital universitaire des Enfants Reine Fabiola (Huderf) et infectiologue au CHU Saint-Pierre de Bruxelles.

 

Le premier exemple est celui du Dr Anne Vergison dont les jérémiades étaient relayées sans le moindre esprit critique dans la DH en 2006. Cet article qui était intutilé "une grave injustice" osait même le sous-titre "Il vaut mieux naître en Brabant flamand que dans le Hainaut"!

 

Anne Vergison s'épanchait au sujet de cette vaccination "qui est d'une utilité évidente" et qui constitue selon elle "une priorité de santé publique" bien que le coût des 4 doses non remboursées de vaccin Prevenar (soit 273,08 euros) reste inaccessible aux parents les plus modestes. Et après avoir évoqué les chiffres dramatisants des infections à pneumocoque, elle enchaînait alors dans le style H1N1 de Bachelot «nous nous sentons démunis, sachant que des enfants risquent de mourir ou de souffrir de séquelles importantes, alors qu'un vaccin existe pour combattre ce microbe».

 

Bref, Anne Vergison aurait presque réussi à nous arracher quelques larmes SI nous n'étions pas au courant de ses lourds conflits d'intérêts (avec Pfizer notamment) dont les lecteurs de la DH n'ont évidemment pas été informés ou encore des conséquences désastreuses de l'usage massif de ce vaccin Prevenar dont l'échec évident a depuis été habilement masqué  grâce au remplacement en douce de l'ancienne version du Prevenar (Prevenar 7) par la nouvelle version (Prevenar 13) qui ne fera en fait que reporter le problème tout en enrichissant le producteur.

 

Ainsi, ayant reçu plusieurs fonds de recherche de plusieurs fabricants de vaccins, Anne Vergison n'allait sans doute pas s'apesantir sur les risques d'aggravation de l'incidence des méningites à pneumocoques. En tant que membre de la section "Vaccination" du Conseil Supérieur de la Santé, et compte tenu de ses conflits d'intérêts (comme de nombreux autres membres de cette même section "Vaccination" du CSS), quelle valeur alors accorder à ses propos quand elle dit:

«Ce vaccin présente une utilité évidente, poursuit Anne Vergison. Toutes les études l'ont démontré. Le Conseil supérieur d'hygiène (= ancien CSS) l'a d'ailleurs recommandé dès le départ pour tous les enfants âgés de moins de deux ans. Or, lorsqu'on examine de près les données de vaccination, des inégalités flagrantes sautent aux yeux

Mme Vergison prêche pour sa chapelle, son instance, ses baîlleurs de fonds et ses partenaires industriels, sans plus avoir à nos yeux l'indépendance suffisante pour analyser avec l'objectivité requise les graves effets secondaires de ce vaccin qui remettent inévitablement en cause sa balance bénéfices-risques.

 

Voyons à présent le deuxième exemple, celui du Dr Yves Van Laethem qui a également des conflits d'intérêts avec les fabricants Wyeth et Pfizer (qui commercialisent le Prévenar) puisqu'il a notamment reçu des honoraires de consultance. On peut en effet lire au début du rapport de mai 2011 du KCE sur les pneumocoques que tant Anne Vergison qu'Yves Van Laethem ont des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins. Voici ce qui est d'ailleurs écrit à leur sujet en préambule dudit rapport:

 

Anne Vergison a reçu des honoraires de consultation et d’orateur de GSK et Wyeth/Pfizer, ainsi que des fonds pour la conduite de recherches.

 

Yves Van Laethem a reçu des fonds pour la conduite de recherches ainsi que des honoraires de consultation de la part des firmes pharmaceutiques GSK et Wyeth/Pfizer. Il a en outre reçu des indemnités de voyage pour participer à des congrès.

 

Interrogé dans un article de "publi-reportage" que les lecteurs pourraient ainsi prendre à tort comme un article de presse classique, le Dr Van Laethem vante ainsi l'usage du vaccin Prevenar chez l'adulte cette fois, puisque nos très sérieuses instances européennes ont également donné le feu vert au fabricant pour étendre les indications de son autorisation de mise sur le marché. Il est utile de s'interroger à cet égard sur l'étrange "coïncidence" entre cette nouvelle indication d'une dose unique de vaccin Prevenar chez l'adulte et la découverte il y a quelques années que 3 doses (au lieu de 4) étaient finalement suffisantes pour la vaccination des enfants...une dose de 74,55 euros en moins par enfant multiplié par des centaines de milliers d'enfants concernés dans le monde, ça faisait donc un solide manque à gagner pour Pfizer or, par quoi pouvait-on bien le compenser si ce n'est en "visant large" avec le très vaste marché des + de 50 ans??!

 

Le journal La Meuse (édition Basse Meuse) a donc fait publier ce lundi 17 septembre un article à la demande de Pfizer, tout en prenant courageusement le soin de noter que "les propos recueillis n'engagent que l'interviewé et pas la rédaction", une sage précaution depuis notre dernière demande refusée de réplique suite à un autre article désinformateur du même journal?

 

Une fois encore, des propos alarmistes et dramatisants sur la maladie (la peur est décidement très vendeuse!) parviennent étrangement à occulter toute information sur le moindre risque du vaccin. Le tout avec un début sur les lymphocytes T et B qui "fait savant" et tente ainsi d'éblouir le profane, tout en  lui faisant croire qu'il est décidément bien nécessaire dans un domaine aussi complexe que celui-là de faire confiance aux experts du secteur!

 

Petit extrait:

 

"Le pneumocoque est une bactérie très répandue qui, une fois dans le sang, agit de façon fulgurante et qui conduit dans un cas sur 3 aux soins intensifs et dans 1 cas sur 5 à la mort! Présente chez 5 à 25% des gens en bonne santé, elle se loge en général au fond du nez, dans la bouche. [...] Le pneumocoque, qui se présente sous 90 types différents, peut frapper à tout âge. Il peut prendre la forme d'une pneumonie invasive, d'une méningite ou d'une septicémie après avoir envahi des sites normalement stériles comme la circulation sanguine ou le liquide céphalo-rachidien. On parle malheureusement ici de cas graves avec des séquelles à long terme, voire des décès. Les nourrissons, les jeunes enfants et les personnes âgées sont des hôtes plus sensibles à la bactérie, tout simplement parce que leurs défenses naturelles ne sont pas encore ou plus assez fortes. Les enfants en sont souvent porteurs sans être malades, et peuvent la transmettre à des dizaines d'autres personnes, dont les personnes âgées."

 

"Certains pneumocoques sont fréquents, virulents et peuvent même résister à certains antibiotiques. La Reine Fabiola, la présentatrice Sabrina Jacob ou le ministre-président bruxellois Charles Piqué pourraient témoigner: la pneumonie n'épargne personne.[...] Parmi les facteurs de risque, il faut également citer les broncho-pneumopathies chroniques comme l'asthme ou la BPCO, le diabète, les problèmes cardio-vasculaires chroniques, l'alcoolisme et le tabagisme chroniques. Au final, des millions de personnes à l'échelon mondial sont concernées sans le savoir. Des millions de personnes auxquelles on ne propose pas le vaccin contre le pneumocoque en général avant 65 ans. A l'avenir, l'injection d'une dose unique dès 50 ans pourrait être un des gestes préventifs proposés."

 

Plus tôt déjà dans ce publi-reportage, on peut épingler les indices assez évidents d'une publicité trompeuse:

 

"Grâce à la vaccination, des bactéries comme le pneumocoque auront peu de chance d'affecter sévèrement l'organisme."

 

L'article affirme aussi de façon gratuite que cette nouvelle version du vaccin (Prevenar 13) "devrait offrir une protection sur le long terme" alors que les faits démontrent jusqu'ici qu'il n'en a rien été avec l'ancienne version du Prévenar (7) qui n'aura duré que quelques années avant d'être remplacée par une version probablement tout aussi temporaire, le temps simplement que ce même problème de compensation des souches se recrée.

 

Les médias qui disent pourtant tous sourscrire aux décisions du Jury d'Ethique Publicitaire, seraient toutefois bien inspirés d'évaluer également eux-mêmes au préalable si les publicités ou autres publicités déguisées (sous forme de "publi-reportages") qu'ils diffusent sont conformes aux exigences de loyauté et de véracité du Code de la Chambre de Commerce Internationale sur lequel se base justement le Jury d'Ethique Publicitaire....

 

Voir aussi: Les documents confidentiels accablants sur le Prevenar 13

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 18:43

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Il y a un peu plus d'une semaine sortait  un article (pour une fois!) équilibré sur le sujet, ce pourquoi nous remercions la journaliste du magazine en question (MySphere) car des articles aussi équilibrés sont rarissimes sur le sujet. [Cet article a aussi fait l'objet d'une discussion dans l'émission radio Nuwa, sur la RTBF]

 

Dans cet article, Initiative Citoyenne et le Dr Tréfois, de l'asbl Question Santé, avaient notamment la parole.

 

Parmi les affirmations du Dr Tréfois, épinglons-en surtout trois qui ne peuvent pas laisser de marbre pour qui a déjà un petit peu creusé le sujet ou même pour le simple quidam:

 

- La comparaison tout à fait inadaptée de la vaccination avec le respect du code de la route alors que le code de la route n'a jamais souffert d'une telle controverse que la vaccination... depuis + de 200 ans de temps! Ce genre de comparaison biaisée consiste en fait à faire croire de façon fallacieuse à la fausse unanimité médicale et scientifique derrière la vaccination. De même, alors que le code de la route n'a jamais blessé ou tué qui que ce soit en lui-même, on est loin de pouvoir en dire autant des vaccins!

 

- L'affirmation tout à fait FAUSSE selon laquelle l'épidémie d'oreillons à Gand serait due à "un manque de vaccination" puisque selon ce que la presse flamande a clairement mentionné, les gens touchés avaient pourtant majoritairement bien reçu les deux doses de vaccin ROR recommandées! Ou bien le Dr Tréfois ne s'est-il pas informé suffisamment sur cette situation gantoise, ou bien il l'est mais tente sciemment de faire passer la vaccination comme plus efficace qu'elle n'est, tout en taisant complètement ses limites et ses échecs. 

 

Il est intéressant de souligner aussi à cet égard que selon deux ex-scientifiques de chez Merck, ce fabricant de vaccin aurait complètement manipulé ses évaluations de façon à faire croire à tort que son vaccin ROR aurait une efficacité d'au moins 95% pour ce qui est des oreillons. 

 

- L'affirmation, sans aucun fondement scientifique, que les effets secondaires graves de vaccins ne surviendraient que dans un cas sur 1 million de vaccinations. Il s'agit d'une affirmation totalement gratuite puisque les effets secondaires de vaccins sont grandement sous-estimés, de l'aveu même de l'Agence française du médicament qui représentait d'ailleurs cette sous-notification à la manière d'un iceberg dans un document de 2007! Il est surprenant que le Dr Tréfois comme l'ONE aussi d'ailleurs, puissent relayer pareils chiffres compte tenu que leur propre littérature donne des chiffres qui sont déjà 10 fois supérieurs à ceux-là en ce qui concerne les effets secondaires graves (1,1/ 100 000 vaccinations mais il faut aussi savoir que selon plusieurs publications scientifiques, seuls 1 à 10% des effets secondaires sont effectivement recensés et comptabilisés!)

 

Alors ces gens sont-ils de bonne foi? Ou sont-ils suffisamment compétents? Se tiennent-ils à jour en termes d'information ou bien continuent-ils dans des refrains idéologiques pseudo-scientifiques?

 

Pour rappel, le Dr Tréfois est éditeur responsable et secrétaire de rédaction de la revue Vax Info qui bénéficie d'un soutien financier inconditionnel de la part de GSK, ce qui crée un conflit d'intérêt évident or selon la revue belge d'Evidence Based Medicine Minerva, tout conflit d'intérêt quel qu'il soit "interfère avec le jugement clinique et nuit à l'intérêt des patients"....

 

Sur le site de Vax Info toutefois, il s'agit de faire comme si ce genre de conflits d'intérêts n'avait aucune influence... ben voyons bonnes gens, puisqu'on vous le dit et qu'en plus "il n'y a aucune publicité"!

 

« La rédaction des contenus du site [de Vax Info] est assurée par Monsieur Geerts (secrétariat de rédaction en néerlandais) et le Dr Trefois (secrétariat de rédaction en français). Les frais générés par la gestion de la lettre d’information et du site sont couverts par un « unrestricted educational grant » de la société Glaxo SmithKline. Le financement du site et de la lettre d’information n’influence pas le contenu rédactionnel. La lettre d’information Vax Info et le site Vax Info ne contiennent aucune publicité.»

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 16:33

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Faut-il faire vacciner son enfant ? Une question que certains ne se posent plus, tant la pratique est entrée dans les mœurs ; jusqu'aux pédiatres qui ne prennent parfois pas la peine de nous informer sur les risques, pourtant bien présents.


Pourquoi certaines injections obligatoires sont-elles systématiquement combinées avec des vaccins facultatifs ? Ces produits sont-ils sûrs ? Comment et pourquoi les autorités compétentes minimisent, voire ne reconnaissent pas les effets indésirables graves des vaccins ? Quels mécanismes derrière le dogme vaccinal ? Au travers des témoignages recueillis et de l'avis de professionnels de la santé, Virginie Belle lève le voile sur le système et passe au crible les essais cliniques, les composants et le fonctionnement de nos instances. Il ne s'agit pas ici d'être pour ou contre les vaccins mais d'aborder les différentes problématiques d'un acte médical devenu banal. Une enquête exclusive qui remet la vaccination à sa juste place.


Un guide des vaccins recommandés aidera également les parents à faire un choix personnel et « éclairé ».

 

Ecouter ou réécouter le débat radio sur France Inter avec Virginie Belle (11/09/2012)

 

« Le front uni du soutien à une stratégie vaccinale comprise et admise par tous s’effrite. Dans les pays du Nord, l’argument de la solidarité, voire du sacrifice et de la bienfaisante immunité de « troupeau » faiblit face à la revendication de la liberté individuelle, appuyée sur des arguments scientifiques inédits. »

Anne-Marie Moulin, médecin et chercheuse au CNRS.

 

Petits bémols d'après lecture:

 

- Sur la polio: dire qu'il n'y a "pas de traitement" n'est pas tout à fait exact, certains médecins ayant obtenu des résultats curatifs spectaculaires et satisfaisants sur des paralysies avérées avec du chlorure de magnésium (Dr Neveu notamment) ou encore dans certains cas, avec de la vitamine C (Dr Klenner).

 

- Sur le lien entre autisme & vaccination: il n'est pas exact non plus de relier cette controverse à la seule étude de Wakefield. Outre qu'il est simpliste et inexact de qualifier cette étude-là de frauduleuse, il faut savoir que plusieurs autres équipes de chercheurs non contestés sont par ailleurs arrivées au même résultat que Wakefield et ses collègues.

 

- Sur la sécurité de la vaccination acellulaire: elle est loin d'être aussi avérée qu'on pourrait le croire. Tout comme l'ancienne version à germes entiers, cette version acellulaire peut encore donner lieu, comme tous les autres vaccins, à de graves dommages d'ordre neurologique.

 

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 15:30

Le Figaro. 13 septembre 2012 [Extraits]

 

Deux professeurs de médecine, Bernard Debré et Philippe Even, publient un guide des médicaments dans lequel ils affirment qu'un médicament sur 2 est inutile et 1 sur 20 potentiellement dangereux.

 

La France, toujours citée parmi les pays consommant plus de médicaments que de raison, voit paraître un nouvel ouvrage alarmiste sur sa situation pharmaceutique. Dans leur Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles et dangereux, Bernard Debré, chirurgien et député UMP, et Philippe Even, pneumologue, s'attaquent aux inefficacités du système français. Trop de molécules sans intérêt, voire nocives, sont tolérées sur le marché français et remboursées, notamment pour protéger l'industrie pharmaceutique hexagonale, dénoncent-ils. Le tout contribuant, selon eux, à plomber les comptes de l'Assurance-maladie.

 

Le livre recense ainsi «50% de médicaments inutiles, 20% de mal tolérés, 5% de “potentiellement très dangereux”». Ils en extraient une liste de 56 médicaments à suspendre immédiatement.

 

L'analyse des deux professeurs de médecine reçoit un accueil mitigé parmi les experts français en pharmacologie. Ceux-ci reconnaissent à l'ouvrage le mérite de soulever des problèmes structurels régulièrement dénoncés depuis une vingtaine d'années: trop de produits inefficaces conservent leur autorisation de mise sur le marché, les consultations des médecins débouchent trop souvent sur des ordonnances inutiles, par réflexe culturel. Mais toutes les conclusions de ce guide colossal - 900 pages, d'une utilisation pas forcément évidente pour le grand public - ne sont pas forcément partagées.

 

 

Quid alors des vaccins que les plus grands professeurs évitent cependant généralement d'aborder tant ils savent qu'il s'agit du tabou des tabous? Il est tout de même intéressant de relire dans cet article du Figaro l'avis d'un membre de l'Agence française du médicament qui rappelle que si les médicaments ne généraient pas d'effets secondaires, c'est qu'ils ne seraient tout simplement pas efficaces. Avec les vaccins pourtant, on ne cesse de les présenter comme terriblement efficaces mais tout en niant systématiquement tous leurs effets secondaires graves possibles... cherchez l'erreur!

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