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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 13:00

On pouvait lire un article "exemplaire" sur le site de Vers l'Avenir à ce sujet.

 

Il s'agit en réalité d'une dépêche Belga relayée sans le moindre esprit critique par ce média (comme c'est le plus souvent le cas aujourd'hui, les journalistes servant bien davantage à relayer des dépêches Belga ou à en changer l'une ou l'autre phrase plutôt qu'à faire de la véritable investigation, ce qui constitue pourtant la raison d'être de leur métier.)

 

Cet article est exemplaire car il démontre tout à fait la non crédibilité et la non fiabilité d'une telle information à la lueur des données actuellement disponibles. Tout journaliste aurait donc pu s'en rendre compte et compléter l'information de façon à la fois loyale vis à vis de son lectorat, et de façon professionnelle.

 

Que dit l'article? 

 

Voyez ici:

 

122 élèves vaccinées à l'école contre le papillomavirus en Communauté germanophone

 

EUPEN - Un peu plus de 120 jeunes filles inscrites en seconde année du secondaire en Communauté germanophone ont été vaccinées contre le papillomavirus, souvent à l'origine du cancer du col de l'utérus, durant l'année scolaire 2011-2012, indique le cabinet du ministre germanophone de la Santé, Harald Mollers, dans un communiqué.

 

Sur les 437 jeunes filles inscrites en seconde humanité, 122 ont été vaccinées durant l'année scolaire dernière contre le papillomavirus. Un tiers des jeunes filles ont ainsi été vaccinées dans le cadre scolaire.

 

Parmi les deux tiers restants, 30% ont refusé les injections et 28% étaient déjà vaccinées ou en passe de l'être par leur médecin généraliste.

 

Le vaccin consiste en trois injections. Les deux premières phases d'injection ont été réalisées et la dernière phase est prévue pour le mois d'octobre prochain.

 

D'après les informations collectées par le centre de prévention en matière de santé dans le cadre scolaire, aucun problème lié à l'injection du vaccin n'a été signalé, selon le communiqué.

   

Est-ce vraiment CREDIBLE??! NON bien sûr quand on sait que:

 

Selon le Service National d’Enquêtes de Santé, seuls 28,9% du public-cible féminin (9-26 ans) a commencé cette vaccination anti-HPV et seuls 14,2% ont achevé la série complète des 3 doses. Sur les plus de 9 millions de jeunes filles ayant donc entamé cette vaccination, moins de 4,5 millions, soit moins de la moitié d’entre elles, ont effectivement terminé la série des 3 injections. Un indice absolument évident de MAUVAISE TOLERANCE DU VACCIN !

 

En novembre 2010, le centre médical de l’Université du Maryland a fait état de chiffres encore inférieurs puisque selon ces données, seuls 30% des femmes qui ont commencé cette vaccination ont effectivement achevé le schéma complet de 3 doses. Entre août 2006 et août 2010, 9658 patientes âgées de 9 à 26 ans y furent suivies. Les données ont révélé que seuls 27,3% de ces femmes ont reçu au moins une dose de vaccin Gardasil. « Parmi ces personnes (qui ont donc accepté la vaccination) 39,1% n’ont reçu qu’une seule dose et 30,1% ont reçu deux doses. Les 30,8% restant ont complété la série entière de 3 doses. »

 

Certains pourraient objecter que ces chiffres se rapportent au Gardasil et que la vaccination scolaire anti-HPV en Communauté germanophone se fait avec le Cervarix (comme en Communauté française), d’une firme concurrente.

 

A première vue, l’argument pourrait donc sembler pertinent. Sauf que selon un document de questions-réponses entre l’INAMI (= assurance maladie belge) et GSK, « le taux d’effets secondaires (du Cervarix) est ASSEZ ELEVE. ». Ce même document prend d’ailleurs aussi le soin de préciser que les deux vaccins (donc du Gardasil ET du Cervarix) montrent « un profil d’effets secondaires très similaire. »

 

Autre donnée qui corrobore cette triste similitude entre la dangerosité du Gardasil et celle du Cervarix : le taux très nettement accru d’effets secondaires du Cervarix par rapport aux autres vaccins. Alors qu’une étude parue dans JAMA en 2009 précisait déjà que 3 fois plus d’effets secondaires ont été rapportés aux USA après Gardasil qu’avec tous les autres vaccins réunis, il s’avère que le Cervarix entraîne 24 à 104 fois plus d’effets secondaires que tous les autres vaccins du programme vaccinal britannique pris tout à tour, selon ce que mentionnaient notamment Christopher Shaw et Lucija Tomljenovic dans Annals of Medicine, en décembre 2011.

 

Il découle de tout ceci que Belga n’a pas fait son travail, pas plus que Vers l’Avenir, ce qui a permis  à ce « Centre germanophone de prévention en matière de santé dans le cadre scolaire » de raconter n’importe quoi, confondant allègrement la non reconnaissance de ces effets secondaires en lien avec le vaccin et leur non existence. Si le Cervarix a un profil d’effets secondaires assez similaire au Gardasil, on aperçoit hélas assez mal comment un tel pourcentage d’abandon de vaccination Gardasil pourrait faire écho à ZERO abandon dans le groupe de jeunes filles vaccinées avec Cervarix dans le cadre scolaire en Communauté germanophone!

 

L’article précise en outre que la troisième dose de cette série n’a pas encore été administrée, ce qui conduira donc inévitablement à plusieurs autres abandons (camouflés) supplémentaires…

 

 

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25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 21:02

Des chercheurs auraient découvert un anticorps universel contre la grippe peut-on lire dans un article du site SanteLog: le C05.

 

Isolé à partir de la moëlle osseuse de plusieurs patients ayant contracté une grippe, cet anticorps se révélerait efficace en laboratoire et chez la souris contre plusieurs types de grippe.

 

Ce qui est troublant par contre ce sont les deux phrases suivantes:

 

« L'anticorps travaille comme un antiviral et guérit 100% des souris infectées lorsqu’administré 3 jours après l’infection. »

 

puis:  «Si nous pouvons trouver le moyen de provoquer ce genre d'anticorps avec un vaccin, nous aurions alors un outil anti-grippe très efficace ».

 

Alors que l'injection d'anticorps PASSIFS (et donc d'efficacité temporaire, juste le temps que les seuls malades en aient besoin) pourrait satisfaire un certain besoin médical ou l'attente de certains patients, on remarque que les chercheurs veulent absolument aboutir avec cela à un vaccin. Ils ont déjà un moyen efficace mais sont dans la croyance et l'idéologie que seul un vaccin serait "un outil anti-grippe efficace"! Toujours, le DOGME des vaccins à tout prix...

 

Il est cependant clair ici que pour les pharmas, la production d'un vaccin qui aura pour cible tous les bien portants du monde (avec l'aide prévisible de l'OMS bien sûr!) est infiniment plus alléchante que la seule production d'un anticorps sûr et efficace POUR LES SEULS MALADES POTENTIELS! Soulignons aussi le côté irréversible d'un mécanisme artificiel de vaccination, par rapport à une administration d'anticorps passifs qui disparaîtront après quelques jours ou semaines, tout au plus.

 

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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 21:25

Dans un Folia Pharmaceutica de septembre 2012, le Centre belge d'Information Pharmacothérapeutique recommande le maintien d'une haute couverture vaccinale contre les oreillons pour "garantir l'immunité de groupe nécessaire".

 

Cependant, cette instance qui n'est pas à une incohérence près, déclare également que "La "variante de Groningue" correspond moins bien au génotype du virus utilisé pour le vaccin contre les oreillons, et l'immunité induite par le vaccin ne sera dès lors suffisante que chez un plus faible nombre d'individus. Un niveau de vaccination très élevé avec deux injections s'avère nécessaire dans ce cas pour pouvoir quand même garantir l'immunité de groupe nécessaire."

 

C'est une façon élégante de sauver l'image du vaccin (tout comme Merck avait prétendu de façon mensongère, selon deux de ses ex employés, que le vaccin contre les oreillons a une efficacité de 95%). En réalité, ni les fabricants ni les instances d'évaluation n'ont une idée précise de l'efficacité exacte de tels vaccins et ne maîtrisent tout simplement pas l'adéquation avec divers variants possibles du virus. Si l'adéquation est mauvaise, comme semble le dire le CBIP, une deuxième vaccination et des taux de couverture vaccinale élevés n'y changeront rien mais tout vaut mieux que d'admettre l'inefficacité d'un vaccin, cela sapperait la confiance du public...

 

L'idéologie vaccinaliste suinte vraiment de partout quand on lit le texte du CBIP car après avoir admis que "la plupart de ces étudiants (ayant fait les oreillons à Gand) ont déclaré avoir reçu une vaccination complète, c'est à dire les deux doses.", le CBIP se perd en suppositions scabreuses:

 

"On suppose que la génération d'étudiants récemment touchée avait une couverture vaccinale par deux injections plus faible que dans la génération plus jeune. Ils ont été les premiers en Belgique à avoir été vaccinés à plus large échelle contre les oreillons mais au début de cette période, un certain nombre de médecins et de parents étaient réticents à cette vaccination."

 

Une fois encore donc, les tenants de toutes ces suppositions n'en savent rien.

Ils ont quand même le bon goût (stratégique) de déclarer qu'"il n'y a pas assez d'arguments pour recommander une troisième dose." Le faire, dans le contexte actuel de défiance accrue du public vis-à-vis des vaccins eût constitué un aveu implicite d'échec du vaccin.

Les officiels ayant déjà mis en place ce genre de stratégie avec la coqueluche (inefficacité accrue du vaccin puis recommandation de vacciner les adultes avec un rappel), refaire le coup au public d'un Xième rappel des oreillons eût trop risqué d'éveiller des soupçons dans la population.

 

Un point à relever également c'est que des cas graves ont été recensés tels qu'orchite (= inflammation testiculaire) et méningite dues aux oreillons. Ces cas sont donc plus que probablement survenus chez des jeunes vaccinés qui n'ont donc pas eu la chance de contracter naturellement cette maladie dans la seconde enfance, âge auquel elle ne donne pas ces complications. C'est prouvé: plus on contracte ces maladies d'enfance dans une autre période de la vie et plus le risque de complications est grand. La Nature ayant bien fait les choses, avant la vaccination, l'immense majorité des enfants contractaient ces maladies dans cette période, cela arrangeait tout le monde, leur donnait une immunité à vie et cela ne faisait nullement les gros titres des journaux. Il y avait donc d'excellentes raisons à ce qu' "un certain nombre de médecins et de parents étaient réticents à cette vaccination" lorsqu'on commença à la préconiser et même encore aujourd'hui ou, à fortiori, les conséquences de ces politiques anti-sanitaires apparaissent comme de plus en plus désagréables et contreproductives.

 

Enfin, dernier élément, le CBIP précise que "la vaccination après le contact avec une personne infectée n'offre pas de protection." C'est amusant car les officiels nous ont toujours seriné l'inverse au sujet d'une maladie comme la rougeole pour laquelle ils préconisent de vacciner très rapidement les personnes de contact (dans le Tiers Monde, des équipes comme celles de MSF n'hésitent pas à vacciner contre la rougeole en pleine flambée épidémique, ce qui ne peut qu'exacerber le nombre de cas et accroître les complications: la maladie comme le vaccin induisant une immunodépression, la vaccination de gens possiblement en incubation de la maladie trinqueront donc deux fois plus avec un risque accru d'effets secondaires parfois mortels).

 

Avec la coqueluche, on voit bien qu'une couverture vaccinale "sub-optimale" d'une majorité d'enfants ne suffit absolument PAS, mais les officiels continuent cependant de recommander la poursuite de la vaccination (comme si de rien n'était).

 

Avec la grippe saisonnière, c'est pareil, en dépit d'aveux accablants envoyés aux médecins par le CBIP via les Folia Pharmaceutica et selon lesquels il n'existe pas de preuves valables d'efficacité de la vaccination annuelle contre la grippe chez les personnes âgées et les patients à risque, le CBIP a pris la précaution de rajouter que cela n'était pas une raison de ne pas vacciner ces gens-là!!

 

Le cas des oreillons révèle donc là aussi la même chose: ça marche mal voire pas du tout mais surtout, surtout, continuez à vous faire vacciner braves gens et en bonus, vous aurez aussi gratuitement droit aux risques d'effets secondaires... qui dit mieux?!

 

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23 septembre 2012 7 23 /09 /septembre /2012 23:22

Nous sommes fiers de pouvoir reproduire ici, avec l'aimable permission de l'auteur, un texte d'une grande importance et d'une grande cohérence, persuadés que beaucoup de confrères pensent tout bas ce que le Dr Didier Tarte ose ici dire tout haut. Enfin une bouffée d'oxygène et de bon sens, cela fait réellement du bien!

 

Intouchables, inquestionnables… et puis quoi encore ?!

 

Voici un article « Eviter la casse avec les médicaments » très bien fait et très pertinent pour lequel on doit remercier la revue de l'Union française des Consommateurs Que Choisir de présenter ainsi son numéro spécial sur la santé d’Octobre 2012.

 

Une démonstration rigoureuse et fine où  nous trouvons ces réflexions :

 

« Les médicaments sont censés nous soigner. Pourtant ils peuvent nous rendre plus malades, voire nous tuer, car tous sans exception, induisent des effets indésirables. Parfois mal connus, souvent mal compris par les patients et mal pris en compte par les médecins, ils sont d’une manière générale sous estimés. Tous les médicaments sont dangereux, en théorie comme en pratique. En théorie, parce que ces substances actives provoquent de multiples effets dans notre corps, désirables ou non. »

 

Voilà des observations très intéressantes dont on se demande pourquoi un genre de médicaments très particulier se trouve toujours exclu de ces constatations. Alors que plus encore que les médicaments, ces substances actives provoquent de multiples effets dans notre corps, désirables ou non.

 

Allons ! Qui pourra trouver ce genre de médicament si particulier, jamais suspecté de tels effets ? Fin du suspense ?

 

Pour ceux qui auraient du mal à trouver : il s’agit des vaccins.  En effet ils tombent parfaitement sous le coup de toutes ces remarques ainsi que de celles que nous allons relever plus loin. L’auteur souligne à juste titre : « tous sans exception induisent des effets indésirables….. Ils sont d’une manière générale sous estimés. »

 

Ainsi surgit un espace d’exclusion de la réflexion concernant spécifiquement les vaccins. Pourquoi cette situation permettant aux vaccins d’échapper au droit d’inventaire comme celui que l’on doit avoir vis-à-vis de tout médicament ? De quelle logique suspecte et trouble cette attitude est-elle le témoin ?

 

Le vaccin a réussi ce tour de force de devenir intouchable ! Insoupçonnable même, sauf de la part de personnes qui reçoivent alors l’étiquette de sectaire et plus grave encore de « lobby anti vaccin ». Appellations qui permettent d’office de réduire à néant toute interrogation sur les risques, mais surtout qui permet de déconsidérer ceux qui s’interrogent.  De la part du lobby vaccinal, cette accusation ne manque pas de piquant, voir d’odieux, quand on sait les considérables moyens financiers dont il dispose et de sa capacité d’imposer aux Etats des contrats léonins où Big pharma se trouve dédouanée de toute responsabilités vis-à-vis des effets secondaires, comme cela s’est concrétisé en catimini lors de l’épisode du H1N1. Or ces protestataires, ainsi déconsidérés, n’ont comme pouvoir d’influence et de révélation, comme prétendu « lobby », que leur conscience, leur témoignage, et leur cri d’alarme renouvelé.

 

Depuis longtemps, il est tout à fait avéré officiellement qu’à peine 1 à 10 % des effets secondaires sont effectivement recensés et comptabilisés[1]! Et ce pourcentage est encore plus faible en ce qui concerne les vaccins.

 

L’article fait encore ressortir :

 

« Toujours suspecter le médicaments. En plus de leur nocivité directe, les effets indésirables peuvent être indirectement dangereux dans le cas où ils ne sont pas reconnus comme tels. (Ne peut-on évoquer plus justement une réalité insoupçonnable concernant les vaccins ?)

Les experts qui ont été interviewés le déplorent : les professionnels de santé n’envisagent pas assez la culpabilité possible du médicament. « Et si c’était le médicament ? », voilà la question qui doit se poser souvent, préconise Bruno Toussaint, directeur de la rédaction de la revue Prescrire. Devant tout nouveau symptôme, le médicament doit figurer dans la liste des causes possibles. » 

 

Voilà qui est parfaitement dit, mais comme par hasard jamais formulé  à propos des vaccins (notamment à la revue Prescrire !) Ce parti pris est-il tolérable ?  N’y-a-t-il pas là un incroyable manque de rationalité ou même d’éthique, que les vaccins soient ainsi blanchis d’office ? Si les dangers des médicaments sont dénoncés, ces mêmes experts semblent méconnaître totalement la part des vaccins dans l’émergence et la progression des maladies chroniques, auto-immunes[2] et dégénératives qui justement devient le pain béni pour tous ces nouveaux médicaments.

 

Et l’article poursuit même que « le meilleur test consiste, quand c’est possible, à arrêter le médicament suspect ».  Et bien justement, cette situation est exclue en ce qui concerne les vaccins ! Leurs effets désirés ou non ne peuvent être suspendus. C’est une mèche allumée qui attend son heure d’expression plus ou moins loin dans le temps suivant les facteurs de déstabilisation de la vie auquel chacun est soumis. Par ailleurs, il faut insister sur le fait, que les médicaments sont censés s’adresser à des personnes malades alors que les vaccins ne sont majoritairement injectés à des personnes en bonne santé. Et ceci, dès les premiers jours de la vie alors que le système immunitaire  n’est pas encore pleinement constitué. N’est ce pas là une excellente façon de le dénaturer dès la naissance ? Comment ce qui semble logique à propos des médicaments, deviendrait illogique à propos des vaccins ? Quel statut ces derniers ont-ils pu acquérir pour s’affranchir de la loi commune de la raison et de la rigueur ? Et même de l’honnêteté ?

 

Sans le savoir l’article enfonce le clou, si on veut faire l’effort minimum d’étendre la réflexion des médicaments jusqu’aux vaccins, en présentant un encart spécial intitulé Méfiance ! où il précise :

 

« Un excès d’optimisme envers un médicament est toujours douteux. Ces deux petites phrases doivent nous alerter.

 

1 - C’est un médicalement totalement sûr.

2 – C’est un médicament tout nouveau. 

 

Pour conclure la fin de cet encart avec « D’une certaine façon, les utilisateurs des médicaments jouent les cobayes ».

 

La première affirmation reproduit le refrain mille fois entendu à propos des vaccins. Mais ce qui doit être suspecté à propos des médicaments ne tiendrait-il plus à propos des vaccins ? Voilà une bonne logique, digne de Diafoirus ! Toujours l’effondrement de la réflexion autour des vaccins….

  

Et que vient de formuler récemment le Docteur Anne Marie Moulin[3], lors d’une émission de France 5 intitulée « Vaccins, le virus du doute »[4] ? « Il ne faut pas cacher au public que ces nouveaux vaccins sont des vaccins expérimentaux et que, quelque part, on ne peut pas se passer d’un saut dans la population pour appliquer à un grand nombre d’individus un vaccin, qui par définition, n’est pas nécessairement adapté à la constitution de chacun. C’est là un enjeu aujourd’hui ». A rapprocher donc avec la conclusion de l’encart : « D’une certaine façon, les utilisateurs des médicaments nouveaux jouent les cobayes ».

 

Il semble justifié de conclure ces remarques en reprenant la démonstration faite par le Docteur Alain Perrier dans son livre Vaccins : Abus de conscience. « L’évolution du symbole du caducée montre clairement l’évolution de l’éthique médicale au cours des siècles. Le passage de la verticalité à l’horizontalité et la suppression des attributs transcendantaux de l’homme nous permettent de mieux comprendre que le médecine moderne ne soigne plus des Etres Humains, mais de simples créatures réduites à l’état d’objet.»[5]

 

N’est-il pas alors nécessaire de rapprocher ce texte avec l’interview toute récente du professeur Philippe Even[1][6], lors de la sortie de son livre sur les médicaments : «L’entreprise médicale menace la santé» ? Mais là encore, les vaccins sont exclus de la réflexion.  Toujours ce statut d’intouchable en action !  Les vaccins à l’instar de Méduse, qui pétrifiait les mortels qui osaient la regarder, ont acquis un statut capable de paralyser la pensée de la presse et celle des instances officielles. Une sidération incompréhensible de la capacité de s’interroger à leur propos.

 

Dr Didier Tarte.

 

 


[1] Introducing MEDWatch A New Approach to Reporting Medication and Device Adverse Effects and Product Problems   David A. Kessler, MD, for the Working Group JAMA, June 2, 1993-Vol 269, No. 21

[3] Le docteur Anne-Marie Moulin, directrice de recherche au CNRS, historienne de la médecine avec son livre L’aventure de la vaccination a siégé au Comité technique des Vaccinations.

[6] Le Nouvel Observateur du 13 Septembre 2012, ainsi que sur le site du journal

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23 septembre 2012 7 23 /09 /septembre /2012 22:00

Dr-K.-Schepers.JPG

Le 14 juin dernier, RTBF radio la Première organisait un forum de Midi sur la vaccination.

 

Parmi les invités, aucune personne critique ou contestataire de la situation vaccinale actuelle (bien que cela ne soit pourtant pas cela qui manque) mais "trois bons petits soldats" à savoir:

 

- Le Dr Christine Janne d'Othée, pédiatre à Bruxelles.

- Le Dr Kinda Schepers, infectiologue au CHU Erasme à Bruxelles.

- Le Dr Michel Van Erp, médecin épidémiologiste pour MSF Belgique.

 

Au cours de cette émission, le Dr Kinda Schepers a notamment recommandé la vaccination anti-coquelucheuse des adultes (principe dit de la vaccination cocoon), semblant ainsi ne même pas être au courant d'une publication  canadienne antérieure à cette émission et qui a pourtant très clairement démontré l'inefficacité totale de cette approche.

 

Le Dr Kinda Schepers a aussi évoqué ce qu'elle a appelé "le lobby anti-vaccin". Etrange lobby puisqu'on se demande par qui il est financé et quels intérêts mercantiles il sert, d'autant plus que les seules ressources de collectifs comme le nôtre proviennent des citoyens et des consommateurs eux-mêmes.

 

Interpellée par téléphone par Benjamin Labrique (le papa du petit Raoul qui a été scandaleusement exclu d'une crèche ONE de la ville de Bruxelles), cette infectiologue d'un hôpital pourtant renommé, ne semblait pas au courant des résultats troublants de l'étude Kiggs menée par l'Institut allemand Robert Koch, pas plus d'ailleurs que d'autres données convergentes démontrant que la santé des enfants non vaccinés est en réalité globalement bien meilleure et nettement plus robuste que celle des enfants vaccinés.

 

S'étant dit prête à l'antenne à recevoir par mail ces informations dont elle ne disposait pas, nous avons alors envoyé le 15 juin par mail au Dr Schepers -avec copie à Mme Fabienne Vande Meerssche- ces données comparatives sur la santé des enfants vaccinés VS non vaccinés, de même que la référence de cette étude canadienne sur l'inutilité de la vaccination "cocoon" des adultes contre la coqueluche.

 

Bien entendu, il était assez prévisible dans ces conditions que l'égo de Mme Schepers en prenne un coup et qu'elle cherche alors à faire passer notre démarche informative et interpellative comme agressive, intrusive ou revendicative.

 

Mais cela n'est pas tout, car nous avions aussi interrogé Kinda Schepers sur 4 grandes questions fondamentales au sujet de l'évaluation de la sécurité des vaccins. Après tout, si elle s'était permise d'assimiler très péjorativement tous ceux qui doutent et qui se posent des questions légitimes sur le sujet de "lobbies anti-vaccin", il était logique que nous la croyions alors apte à répondre à ce genre de questions fondamentales. Voici ces questions telles qu'on les lui a posées:

 

- Comment se fait-il qu'il n'y ait jamais eu, en 200 ans de pratique vaccinale, d'essais cliniques de vaccins qui comparent des vaccinés avec des gens absolument non vaccinés de façon à ne pas gonfler artificiellement le nombre d'effets secondaires dans le (faux) groupe témoin/placebo, ce qui constitue un énorme biais potentiel?

 

Bien sûr la raison évoquée bien commode est "l'éthique" (ne pas priver de grands groupes des "bienfaits décrétés plus que testés des vaccins) mais cela ne revient-il pas alors à adopter une démarche non scientifique où on part donc d'un postulat indémontrable que les vaccins font une fois pour toutes plus de bien que de tort mais sans vouloir le découvrir réellement??
 
- Comment justifiez-vous l'absence de toute analyse pharmacocinétique requise pour les vaccins (contrairement aux autres médicaments) et ce alors qu'une telle analyse aurait pu permettre de découvrir bien plus tôt ce que l'équipe de chercheurs du CHU Henri Mondor de Créteil a découvert, à savoir par exemple que l'aluminium vaccinal migre entre autres dans le cerveau sans jamais plus pouvoir en ressortir et de façon à pouvoir occasionner des séquelles d'ordre neurologique?
 
- Comment justifiez-vous aussi l'absence de toute analyse requise de cancérogénicité, mutagénicité et tératogénicité pour les vaccins (contrairement là encore à d'autres médicaments, décidément, les passe-droits des vaccins n'en finissent pas!) et ce alors même que les vaccins contiennent plusieurs produits cancérogènes mutagènes et tératogènes (ex: formaldéhyde qui est un cancérigène certain selon le CICR, le thiomersal qui est mutagène selon la notice de son fabricant Eli Lilly, le polysorbate qui a des effets stérilisants chez les souris etc) et d'autre part que la théorie selon laquelle "la dose fait le poison" est fausse et périmée, des chercheurs ayant récemment expliqué les dangers minimisés des faibles doses et le fait que ces seuils toxiques sont uniquement extrapolés de façon théorique et jamais testés?

  

- Comment pouvez-vous être sûre (ainsi que la communauté médicale mondiale) d'un bon rapport bénéfices/risques pour les vaccins étant donné que seuls 1 à 10% des effets secondaires des vaccins sont effectivement recensés (sources: publication du Dr Kessler dans Jama en 1993, Prescrire, Afssaps en page 5 etc) et qu'il n'est jamais tenu compte de cette inquiètante sous-notification dans les évaluations bénéfices/risques, ni de l'incapacité d'une majeure partie du corps médical à ne serait-ce que déceler et reconnaître des effets secondaires de vaccins?

 

Et on aurait encore tout aussi bien pu rajouter la question d'absence d'évaluation des effets secondaires des vaccins à moyen et long terme, comme l'avait déjà déploré d'ailleurs le Dr J. B. Classen dans le British Medical Journal, en 1999.

 

Suite à ces questions on ne peut plus embarrassantes et sans doute plus parce que nous avions pris le soin de mettre Mme Vande Meerssche en copie conforme du mail, le Dr Schepers nous a alors répondu quelle prendrait « le temps de répondre à toutes nos questions après ses vacances.»

 

Le temps ayant alors passé sans nouvelles de sa part (plus de 3 mois tout de même!), nous nous sommes alors demandé si la promesse du Dr Schepers était réellement sincère et nous l'avons donc relancée.

 

Probablement très énervée que nous nous rappelions à son bon souvenir, elle en a apparemment perdu son latin, puisqu'elle nous a répondu textuellement:

 

Très chères dames,

Pour être sincère,  vous n’étiez pas vraiment une priorité dans mon planning surchargé.

Néanmoins, je suis une femme de parole et répondre à vos questions reste toujours d’actualité.

Je n’ai pas le temps d’échanger des milliards de mails, je vous propose donc de fixer un rendez vous, se rencontrer et discuter de cela.

 

Bien à vous,

 

Dr Kinda Schepers

  

Son excuse de ne pas avoir le temps d'échanger "des milliards de mails" traduit un malaise évident par rapport à nos questions, compte tenu que si cette SPECIALISTE des maladies infectieuses avait réellement les réponses à ces questions, un seul mail lui aurait suffi (et cela lui aurait d'ailleurs pris nettement moins de temps qu'une entrevue dans "son planning surchargé", nous soulignons!)

 

Il apparaît évident que ces réponses ne vont pas de soi et n'ont pas l'air de faire partie des sujets de discussions classiques de ces spécialistes qui vaccinent pourtant à tour de bras dans les Travel Clinics. Mais il apparaît aussi non souhaitable à ces mêmes spécialistes de "laisser des écrits" sur ces questions sensibles qui pourraient leur valoir la désapprobation de l'establishment pour s'être perdu en confusions et autres réponses surréalistes.

Scripta manent, verba volant dit-on... (les écrits restent, les paroles s'envolent).

 

C'est donc probablement dans ce sens que le Dr Schepers nous a répondu, espérant sans doute qu'on n'irait pas jusqu'à vouloir la rencontrer. Ce n'est toutefois pas ce que nous lui avons répondu, tout en lui faisant tout de même savoir qu'elle était loin d'être la seule personne occupée et que par conséquent, nous étions prêtes à la rencontrer à condition bien sûr que ce genre d'entretien d'intérêt général puisse être enregistré et/ou faire l'objet d'une émission radio ou autre (le tout toujours avec mise en copie de Mme Vande Meerssche qui est donc au courant de tous ces échanges). Bien entendu, aucune autre réponse à ce stade du Dr Schepers qui voit plus que probablement d'énormes objections à l'enregistrement de ce type de discussion épineuse mais préfère sûrement s'abstenir de le signaler. Il fallait sauver la face devant la journaliste, faire semblant qu'il n'y avait pas de malaise et donner l'impression que c'était nous qui refusions sa proposition de discussion.

 

Ce cas du Dr Schepers est éminemment emblématique, parce qu'il démontre que ce genre d'experts accourent pour des interviews aseptisées et bien balisées par des médias vraiment très accomodants mais qu'ils appliquent en quelque sorte la très confortable "politique de la chaise vide" dès que des questions trop incommodantes leur sont directement adressées. C'est là un peu facile: recommander et pratiquer largement des vaccins sans être visiblement en mesure de répondre à des questions pourtant sine qua non sur leur sécurité d'emploi. Recommander sans rien assumer. Les conseilleurs ne sont donc jamais les payeurs.

Et les experts du sujet ne sont donc peut-être pas là où on croit.

 

Il reste à souligner que des infectiologues comme des pédiatres ne sont professionnellement presque pas capables de critiquer les vaccins avec objectivité sans scier quelque part la branche sur laquelle ils sont assis puisque sans les vaccins, ces spécialités (telles qu'officiellement et actuellement organisées) perdraient une majorité d'"actes techniques" réalisés au quotidien, les vaccinations constituant le gros de la pratique quotidienne, tant en pédiatrie générale qu'en Travel Clinics.

 

Lire l’échange mail d’Initiative Citoyenne avec le Dr K. Schepers (bien sûr, il va sans dire que si celle-ci souhaitait encore ajouter quelque chose à ce qu’elle a déjà dit, nous le publierions intégralement et il lui reste donc toujours loisible de nous adresser une réponse complémentaire.)

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23 septembre 2012 7 23 /09 /septembre /2012 19:25

Dans un article paru dans le 30 août dernier dans le New England Journal of Medicine (NEJM), le Dr James D. Cherry évoquait ses pistes de solution à la résurgence actuelle de la coqueluche, en dépit des programmes vaccinaux de masse auxquels quasiment plus aucun n'enfant n'échappe.

 

Ces pseudo-solutions qui consistent par exemple à aller vacciner les enfants encore plus tôt (pour qu'ils aient déjà tous reçu 3 doses de vaccin une fois atteint l'âge de 3 mois) ou même à aller vacciner les femmes enceintes contre cette maladie de plus, nous ont choqués. Car ils attestent selon nous d'une idéologie consistant à vacciner à tout prix plutôt que de reconnaître rationnellement et scientifiquement les échecs incontestables de telles politiques vaccinales aveugles.

 

C'est pourquoi, Initiative Citoyenne a rédigé, en collaboration avec le Forum européen de Vaccinovigilance (EFVV), une réponse détaillée et argumentée à cet article vraiment peu scientifique du Dr James D. Cherry dans le NEJM, une réponse qui est malheureusement trop longue pour être publiée dans cette revue médicale (dont les exigences bien trop restrictives limitent le contenu de la moindre réponse possible à seulement 175 mots!).

 

Notre commentaire à cet article peut être lu en français: ICI

 

Et en anglais(in english): ICI/ HERE

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 19:46

Intéressant de voir que cela va jusque là: dans notre monde globalisé où quasiment plus aucun enfant n'échappe à une batterie croissante de vaccins dès son plus jeune âge, l'establishment a encore cru bon d'en remettre une couche avec les migrants.

 

Chaque occasion est vraiment à saisir, pourvu, et c'est là leur espoir, que personne n'échappe aux prétendus "bienfaits" des vaccins!

 

Pourtant, même les adultes sont sans cesse harcelés via leur médecin ou via telle ou telle campagne de pub culpabilisatrice pour céder à la pression vaccinale. L'OMS, dans un document conjoint avec l'Unicef, incluait d'ailleurs notamment dans sa stratégie de vaccination mondiale 2006-2015, l'idée d'au moins 4 contacts  annuels des patients avec les services de vaccination, de façon à avoir les gens à l'usure, c'est là une interprétation évidente et difficilement contestable!

 

Le site Promovax date de cette année (2012). Il mentionne entre autres que la vaccination des migrants est une "grande priorité pour le programme sanitaire européen", prétextant entre autres à cela que ce sont des populations "difficiles à atteindre" et qu'il est nécessaire d'avoir une couverture vaccinale de 95% pour obtenir une protection complète contre les maladies.

 

La belle affaire, chez les animaux, les vétérinaires évoquent 70% et chez l'homme, on n'a cessé d'augmenter ces "seuils minimum" prétendument nécessaires à l'obtention d'une protection de masse.

 

L'Initiative Promovax, qui jouit même d'un logo on ne peut plus explicite, s'adresse autant aux migrants qu'aux professionnels de santé et aux décideurs politiques.

 

Plusieurs sections du site sont encore en construction, ce qui démontre le caractère très récent de ce dispositif.

 

Plus la méfiance légitime gagne du terrain dans la population et plus les officiels redoublent d'imagination pour tenter d'enrayer la défection des citoyens.

Vaine ingéniosité?

 

LOGO PROMOVAX 

Quand on sait qu'une récente étude est encore venue démontrer les dangers accablants des OGM (qu'une majorité de consommateurs ne veut pas et n'a d'ailleurs jamais demandés!) et qu'une personnalité comme Anne Glover, conseillère scientifique principale de la Commission Européenne, a encore prétendu dans une interview en juillet dernier que "Les OGM ne présentent pas plus de risques que leurs équivalents classiques" ou encore que « Nous oublions souvent que la plupart des plantes sont toxiques. Ce ne sont que la cuisson et les quantités que nous consommons qui les rendent comestibles. », nous ne pouvons que craindre la même rigueur "scientifique" qui est plus que probablement aussi à l'oeuvre derrière ces programmes européens de vaccination des migrants.

 

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 19:01

L’agence américaine du médicament a approuvé un vaccin susceptible de provoquer la Mort Subite du Nourrisson et l'Autisme.

Cette information a ultérieurement disparu des sites internet.

 

D’après Jeffry Aufderheide, 18 septembre 2012

 

jeffry-Aufderheide.jpg

 

Une information plus que troublante vient de nous parvenir ! Nous apprenons que la notice du vaccin Tripedia a été supprimée sur le site de la Sécurité Vaccinale de l’Institut Johns- Hopkins. [1]

 

Nous avons également découvert que cette notice a aussi disparu de la liste de prix des vaccins du CDC. La raison « officielle » serait que Sanofi Pasteur ne produit plus ces vaccins.[2]

 

A y regarder de plus près, il s’avère que cette fameuse notice révélait une relation entre vaccination et autisme. (Site de la FDA)

 

Snapshot-of-FDA-Tripedia.jpg

 

Certains vaccins contiennent un mauvais ingrédient appelé thimerosal. Le but de ce conservateur mercuriel,  comme le précise la FDA, est d’empêcher la prolifération d’organismes pathogènes.[3] Pour les parents, il s’agit d’une importante source d’inquiétudes parce qu’ils savent que ce composé mercuriel est neurotoxique.

 

Le graphique de l’étude de Verstraeten du 29/02/2000 montre une relation statistiquement significative entre l’exposition au mercure et l’autisme. [4]

 

Graphique-Verstraeten.jpg

 

Le Tripedia  (diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) est un vaccin approuvé par la FDA. Le CDC recommande que ce vaccin soit injecté à 2, 4 et 6 mois. [6] Ce vaccin contient du Thimerosal.

 

Neuf mois APRES le colloque de Simpsonwood (où la relation entre le mercure et l’autisme avait été mise sur le tapis), la FDA a approuvé un vaccin Tripedia « sans Thimerosal » [7]

 

Le problème est à rattacher à la notice de vaccin qui date de décembre 2005, soit quatre ans après que le nouveau vaccin « sans thimerosal » ait été approuvé.

 

Il faut savoir que les vaccins qui contenaient du thimerosal n’ont pas été retirés du commerce. On a toujours pu les trouver dans les rayons des pharmacies et ces vaccins ont été injectés aux enfants. La raison de cette situation : si ces vaccins avaient été retirés du commerce, la confiance du public dans les programmes vaccinaux aurait été sérieusement mise à mal.

 

L’information qui suit pourrait à jamais changer le regard que vous portez sur les vaccins. La page 11 de la première notice du vaccin Tripedia stipulait :

 

« Les effets secondaires  rapportés après l’approbation du vaccin Tripedia comprennent : Purpura Thrombocytopénique, Mort Subite du Nourrisson (=SIDS pour Sudden Infant Death Syndrome), Réaction Anaphylactique, Cellulite, Autisme, Convulsions/ Convulsions Grand Mal, Encéphalopathie, hypotonie/hyporéactivité, Neuropathie, Somnolence et Apnée. »

 

Le  Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (SIDS) se produit généralement entre 2 et 4 mois. [9] Le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche acellulaire (vaccin DTaP) est lui administré à 2, 4 et 6 mois [6]  Etrange coïncidence, n’est-ce pas ?

 

La notice précise qu’il n’est pas possible d’établir une « relation causale » entre les réactions et les composants du vaccin. En d’autres mots, on ne peut pas incriminer le vaccin bien que ces « effets secondaires » soient cependant bel et bien rapportés.

 

Conclusion

 

Le colloque secret de Simpsonwood  avait fait ressortir une relation causale directe entre les vaccinations et l’autisme. Ces informations poussèrent les fabricants de vaccins à fabriquer rapidement et sans bruit un vaccin  sans thimerosal.

 

Quatre ans après que ce vaccin « sans thimerosal » soit devenu disponible, la notice du vaccin comportait un paragraphe évoquant la mort subite du nourrisson et l’autisme. Aujourd’hui cette information a été supprimée des sites gouvernementaux, comme des sites des fabricants.

 

Et ce n’est pas tout : aujourd’hui 2 mai 2012, les parents peuvent apprendre que La Sûreté des Vaccins de l’Institut John Hopkins est au courant que le vaccin Tripedia  comporte des traces de thimerosal. [10]

 

Références

  1. Communication with Marcella Piper-Terry regarding Johns Hopkins Institute for Vaccine Safety website. http://www.vaccinesafety.edu/package_inserts-bymanuf.htm
  2. http://www.ashp.org/DrugShortages/NotAvailable/Bulletin.aspx?id=764
  3. http://www.fda.gov/BiologicsBloodVaccines/SafetyAvailability/VaccineSafety/UCM096228
  4. http://vactruth.com/2009/09/16/confidential-thimerosal-vsd-study-phase-i/
  5. http://www.putchildrenfirst.org/chapter2.html
  6. http://www.cdc.gov/vaccines/schedules/hcp/child-adolescent.html#printable
  7. http://www.fda.gov/BiologicsBloodVaccines/Vaccines/ApprovedProducts/ucm101582.htm
  8. http://www.fda.gov/downloads/BiologicsBloodVaccines/Vaccines/ApprovedProducts/UCM101580.pdf
  9. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmedhealth/PMH0002533/
  10. http://www.vaccinesafety.edu/thi-table-12-0502.pdf

 

Source: Vactruth

 

Cette notice doit être particulièrement gênante pour les autorités qui n’ont jamais cessé d’affirmer avec aplomb qu’il n’y a aucun lien entre vaccination & autisme et entre vaccination & mort subite du nourrisson. Quelle immense contradiction de plus ! Cela fait inévitablement penser au déni farouche et ridicule de l’ONE par rapport au lien clair existant entre vaccination hépatite B et sclérose en plaques alors que toutes les notices (que l’ONE recommande pourtant de lire) mentionnent pourtant la sclérose en plaques dans les effets secondaires !

 

Toutes ces contradictions incessantes sont inévitables dès lors que les bases mêmes de la vaccinologie n’ont en réalité rien de scientifique.

 

L’expérimentation à grande échelle continuera donc de se poursuivre au quotidien avec des vaccins aux effets ô combien immaîtrisables mais « officiellement prétendus sûrs ». Et les parents qui n’auront pas conscience de toutes ces tentatives de camouflage continueront de ne pas bénéficier de leur droit au consentement libre et éclairé pour la santé de leur(s) enfant(s)…

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 14:15

Remi-et-Stephanie-Gueret.jpg

Cette triste saga dure déjà depuis plus d'un an. Les enfants de Stéphanie et Rémi Guéret sont ainsi privés d'école depuis tout ce temps en dépit d'une vaccination règlementaire déjà réalisée chez un enfant et d'un certificat médical de contre-indication en bonne et due forme couvrant l'autre enfant.

 

Un article du Dauphiné d'il y a trois jours revient sur ce scandale en faisant état de la dernière "trouvaille" des autorités locales et académiques pour tenter d'échapper à leurs responsabilités: permettre la scolarisation d'un des enfants mais... dans un village voisin!

 

Le site internet des parents fait également état de la lettre envoyée le 10 septembre dernier par le maire d'Allevard aux parents de l'école communale dans le but de dénigrer les parents et de faire, par compensation, passer l'attitude des autorités comme plus légitime.

 

Cette attitude est scandaleusement hypocrite puisque si la situation de ces enfants était réellement en contradiction avec la loi, on comprend mal la phrase de ce maire d'Allevard selon qui "Si l'enfant doit être scolarisé, qu'il le soit ailleurs"!! D'autant que c'est ce même maire qui avait comme slogan politique paradoxal "Vous représenter, c'est vous respecter et vous défendre."

 

maire-allevard.jpg

Mais encore, analysons d'un peu plus près ce que ce maire particulièrement incohérent avait tenu comme discours dans ses voeux à la population le 17 janvier 2011:

 

« Quand on gère la vie quotidienne, placer l’idéologie comme guide, c’est interdire la respiration des autres, c’est imposer un point de vue théorique sur une matière vivante, c’est proférer des certitudes là où doivent prévaloir l’écoute, le dialogue et la recherche de consensus. Je sais que l’idéologie existe. La fermeture d’esprit. La critique comme prisme de chaque décision, comme guide de la désinformation. Ceux qui vivent la politique avec ces œillères là ne méritent pas d’accéder aux responsabilités. Mais je crois en revanche aux convictions. »

 

Ca ne peut que nous rappeler les propos surréalistes de la Ministre Laurette Onkelinx (ministre belge fédérale de la Santé) qui n'a jamais osé débattre publiquement avec Initiative Citoyenne sur un plateau mais qui n'hésitait cependant pas à affirmer le 30 septembre 2009 dans le Journal satyrique le Pan, « […] J’ai horreur de la pensée unique et je n’ai aucun problème quand il y a des conflits d’idées. Et j’ai l’habitude d’assumer complètement mes décisions[…] » 

 

La seule réponse de Mme Onkelinx à l'insatisfaction d'Initiative Citoyenne au regard des pseudo réponses qu'elle a fournies au sujet du H1N1, fut qu' « il y a des fantasmes qui sont toujours les mêmes pour la vaccination. » !

   

Voir ICI la lettre qu'Initiative Citoyenne a envoyé par recommandé aux directrices d'école et d'Académie, Mmes Béatrice Rosset et Monique Lesko.



Ecouter l'interview radio de Stéphanie Guéret le 22 septembre sur Radio Grésivaudan.

 

Initiative Citoyenne soutient sans réserve le combat légitime et bienfaisant de ces parents face à l’autoritarisme administrativo-sanitaire ambiant qui constitue une menace actuellement très préoccupante, tant pour la démocratie que pour la santé des enfants. Le combat des Guéret constitue un très bon exemple pour tous ces parents écœurés mais qui sont encore trop nombreux à courber l'échine, même quand ils ont LA LOI POUR EUX (droit à l'information, au consentement libre et éclairé, droit aux contre-indications médicales à la vaccination etc).

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 13:22

Un article paru le 20 septembre dernier sur le site Romandie mérite le détour parce qu'il démontre à quel point la Suisse est un état plus démocratique que des pays comme la Belgique, la France ou encore les USA.

 

Petits extraits tout à fait rafraîchissants:

 

« Le National a mis sous toit jeudi la révision de la loi sur les épidémies en éliminant la dernière divergence. Le peuple devra peut-être se prononcer, car un référendum est annoncé pour s'opposer à la possibilité de déclarer les vaccinations obligatoires.

 

En cas de situation particulière, la Confédération et les cantons pourront en effet déclarer obligatoire la vaccination de certaines personnes. Cette mesure, qui constitue l'"ultima ratio", concerne les groupes de population en danger, les personnes particulièrement exposées et celles exerçant certaines activités.

 

Pour que les cantons puissent y recourir, il faut en outre qu'un "danger sérieux" soit établi, précise la loi. La vaccination obligatoire a été un des points sensibles des débats, une partie des élus estimant qu'elle contrevient à la liberté individuelle et à l'intégrité corporelle.

 

Personne ne sera pourtant contraint d'être vacciné contre son gré, car en Suisse, il est interdit d'administrer des médicaments sous la contrainte, a fait valoir la majorité. Un membre du personnel médical qui refuserait de se faire vacciner ne pourrait par exemple plus travailler avec des nouveau-nés. »

 

Que diraient les Suisses alors des obligations systématiques de l’ONE de 8 vaccins minimum pour TOUS les nourrissons devant être admis en crèche? Nul doute que cela aurait suscité depuis fort longtemps un référendum et même, que cela n’aura jamais pu être institué dans ce pays. Mais quand on habitue les populations à la docilité et à la fausse fatalité qu’ils ne pourront jamais donner leur avis sur ce qu’ils ont de plus cher (leur santé), on constate que les gens acceptent en majorité ce triste sort de mouton avec une résignation désespérante.

 

Quand on repense à un sondage réalisé parmi les Français en 2004 et qui montrait que seuls 55% seraient prêts à se faire vacciner contre la variole en cas de menace bioterroriste et malgré cela, à la demande en 2009 par le Ministère français de la Santé au Conseil Constitutionnel de vérifier la légalité d’une éventuelle obligation de vaccination H1N1, on ne peut que souhaiter que Roselyne refasse ses classes en Suisse où elle finirait peut-être par apprendre les bons réflexes…

 

 

Voir aussi à ce sujet:

 

- l'article "La grande peur des vaccinations obligatoires"

 

- l'article "Suisse: texte de loi totalitaire, prévoyant le fichage des malades et la vaccination obligatoire."

 

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