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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 15:00

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On apprenait il y a peu le prétendu succès de chercheurs de Sanofi Pasteur au sujet d'un futur vaccin contre la Dengue.

 

Ces chercheurs auraient  mis au point un candidat vaccin contre trois des virus de la Dengue.

 

Voici un extrait de ce qu'on peut lire sur le site de RTL à ce sujet puis décryptage en fin d'article puisque les médias ne jouent plus de rôle à ce niveau:

 

« Comme l’explique notre expert, le Dr Senikies, la dengue est liée à un virus qui entraîne un syndrome grippal violent, avec de la fièvre et des maux de tête. La maladie se termine le plus souvent spontanément au bout de trois ou quatre jours mais elle laisse une très grande fatigue et des douleurs multiples.

 

Comme pour la grippe, il existe plusieurs sérotypes de dengue (DENV-1, DENV-2, DENV-3 et DENV-4) dont une forme hémorragique qui peut entraîner la mort chez les personnes les plus fragiles. Et, malheureusement, il n’existe actuellement aucun traitement spécifique contre cette maladie.

 

Il y a longtemps que les chercheurs de différentes nationalités travaillent à la mise au point d’un vaccin contre la dengue. Mais la complexité de l’infection par le virus de la dengue freinait la recherche vaccinale. Or, cette fois il semble que ces recherches aient fait un grand bond en avant car le laboratoire Sanofi-Pasteur vient de publier dans le Lancet des résultats d’une étude clinique montrant que son candidat vaccin est capable de protéger contre la maladie causée par trois types du virus de la dengue.

 

A propos du vaccin contre la dengue

 

L’étude sur l’efficacité de ce vaccin a porté sur 4000 enfants âgés de 4 à 11 ans, vivant dans une zone de Thaïlande particulièrement touchée par la Dengue. Plus de la moitié d’entre eux a reçu le vaccin test. Le résultat de cette vaccination est une efficacité de 61%, 82% et 90 % pour 3 sérotypes de la dengue mais de 0 pour le dernier. C'est ce dernier point qui fait l'objet de recherches complémentaires pour comprendre pourquoi le vaccin en cours ne permet pas une protection même partielle de la totalité des formes de la maladie. D’autres études sont en cours qui portent sur 31 000 enfants et adolescents, vivant dans 10 pays d’Asie et d’Amérique latine. »

 

Ce qu’on fait passer pour une « victoire » en est-elle vraiment une ?


D’abord, il faut souligner que le vaccin n’a pas une efficacité totale, loin de là, sur les trois souches déjà ciblées, ensuite, qu’il n’en a pas du tout sur la 4° souche du virus de la Dengue. Par conséquent, il n’est guère difficile d’imaginer qu’un vaccin actuel pourrait entraîner par « compensation naturelle », une hausse des cas de la souche 4 « moins combattue » et même si ce vaccin venait à combattre également la souche N°4, les pourcentages de « protection » actuels tendraient sans doute à favoriser les souches contre lesquelles le pourcentage d’efficacité du vaccin est le moins grand…

 

Même sur un site non indépendant comme celui de Global Vaccines, on peut lire

 

« Il y a une compréhension limitée de la façon dont le virus interagit avec le système immunitaire et du fait qu’une immunité préexistante pourrait exacerber la maladie. Par conséquent, un vaccin sûr et efficace contre la Dengue devra être tétravalent et induire une solide protection à vie contre les 4 souches simultanément, de façon à ne pas sensibiliser les vaccinés à une maladie encore plus sévère. »

 

Cependant, en dépit de cette « compréhension limitée » du baBA de l’infection NATURELLE, ces chercheurs n’hésitent pas à jouer aux apprentis sorciers en créant des vaccins-chimères en mélangeant les virus vivants atténués de la dengue avec des souches vaccinales de virus vivant atténué de la fièvre jaune ! Sans compter les approches par génie génétique, ou l’idée de vaccins à ADN. Quelle sera la sécurité de ces « soupes virales » concoctées par des gens qui disent ne même pas en savoir assez sur les mécanismes naturels d’infection ? Une fois encore, les résultats et effets de ce genre de mixtures seront tout bonnement incontrôlables et immaîtrisables….

 

Autre extrait vu sur le site de Global Vaccines :

 

« Un inconvénient propre à tous les candidats vaccins à virus vivants atténués en cours d’essais cliniques, c’est qu’une seule vaccination n’est pas suffisante pour induire une protection contre les 4 types de sérotypes, probablement en raison d’interférences virales entre les différentes souches du vaccin elles-mêmes. En outre, les injections de rappel ne sont pas efficaces lorsqu’elles sont administrées à moins de 6 mois d’intervalle. Par conséquent, les vaccins vivants atténués exigent trois injections sur une période minimale de 12 mois, pour induire des réponses équilibrées d’anticorps contre les 4 souches du virus de la dengue. Le résultat est qu’il y a un risque qu’une réponse incomplète aux vaccinations initiales puisse exacerber l’infection si celle-ci survient entre la première et la dernière injection du vaccin. Tandis qu’il s’agit là d’un risque théorique, il faut qu’il soit considéré au cours des essais cliniques et des approches vaccinales alternatives sont en cours de développement. »

 

Un des adjuvants sur lesquels les chercheurs semblent s’orienter est appelé l’adjuvant « GVI ». Ce nouvel adjuvant est constitué d’ARN modifié d’alphavirus (qu’on trafique ainsi par génie génétique pour faire exprimer des séquences du virus de la dengue) introduits dans des pseudo-particules virales. L’adjonction de cet adjuvant dans des vaccins inactivés monovalents donc dirigés contre un seul virus de la dengue augmenterait de 50 fois la réponse immunitaire.

 

Vers quoi va-t-on, encore une fois? Où nous mènera la sélectivité des chercheurs, guidés par une idéologie vaccinale dont ils n’ont eux-mêmes d’ailleurs pas toujours bien conscience qu’elle les mène par le bout du nez…


 

Voir aussi: Vaccin contre la Dengue de Sanofi: un désastre en perspective?

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

Dr Jean-François Saluzzo (de Sanofi): "On ne comprend pas comment marchent les vaccins"

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 13:21

MOUTONS.jpg

Le 9 mars dernier, nous relayions déjà un article à ce sujet.

 

Le 11 septembre dernier, un nouvel article du média 20min.ch revenait sur ce véritable scandale avec à la clé, une unanimité des + de 20 commentaires de désapprobation extrême des internautes que cet article aura suscité.

 

Voici le contenu-clé de cet article:

 

Les cantons suisses pourront déclarer des vaccinations obligatoires.

 

Se faire vacciner pourra être exigé par les cantons. Le National s'est rallié mardi à cette proposition du Conseil des Etats et a renoncé à limiter cette compétence à la Confédération. Il a toutefois maintenu une autre divergence dans la loi sur les épidémies.

 

Dans le droit actuel, les cantons disposent déjà de la compétence de décréter une obligation de vaccination. De plus, cette mesure ne peut être prise qu'à des conditions strictes, ont relevé plusieurs orateurs: il faut qu'«un danger sérieux soit établi» et seules les personnes exerçant certaines activités sont concernées, par exemple les sages-femmes ou le personnel qui travaille aux soins intensifs.

 

Cela permet de réagir rapidement dans certaines situations, a estimé la majorité du plénum. Et les cantons agissent avec mesure, a souligné le ministre de la Santé Alain Berset. Le vote a été serré: 88 voix contre 78. La minorité a notamment fait valoir en vain que les vaccinations obligatoires constituent une atteinte trop importante à la liberté de la personne.

 

Quel scandale une fois encore : SANS DEMANDER L’AVIS DES GENS dont une part croissante et significative en ras-le bol de cette obsession vaccinale, voilà que des autorités sont une fois encore dans une situation d’ABUS DE POUVOIR. Le nombre de moutons bêlants semble pourtant en régression à en lire les + de 20 commentaires de désapprobation unanime, tels qu’on peut les lire sur le site 20min.ch….

 

Petits extraits :

 

« C'est une blague ou quoi? Chacun doit être libre de pouvoir choisir s'il veut se faire vacciner ou non. Ce projet de loi est sans doute l'un des plus absurdes que j'ai jamais vu... »

 

« Attention ya le virus H3N2, mais allez vous faire F.... avec tous vos vaccins et arrêtez de prendre les gens pour des moutons !!! La Suisse réveillez-vous MERDE !!! »

 

« Ca fait 37 ans que je vis très bien sans vaccins. Je fais confiance à mes anticorps. La personne ou l'autorité qui m'obligera à me vacciner, je vous garantis qu'il/elle n'est pas encore né/e. »

 

« À quand un vaccin contre la connerie? »

 

« Tous les vaccins ne sont pas bons, comme le vaccin de la grippe par exemple, qui m'a cloué au lit pendant quatre jours. A force de nous vacciner sans arrêt, plus aucune personne n'aura de défense immunitaire. C'est du n'importe quoi. »

 

« Seuls les pharmas rigolent...

Une excellente chose pour les pharmas et un scandale pour les citoyens quand on sait les dangers des vaccins ! On voit qui dirige les chambres…plus de doute. »

 

« Au lieu d'éviter les achats millionnaires compulsifs (voir A1H1), on cherche à nous les administrer par décret... »

 

« Big Brother est dans la place. »

 

« Vaccin = niet

J'ai hâte de voir comment ils s'y prendront pour me vacciner par la force. »

 

Etc.

 

 

Voir aussi "Vaccinations en obligatoires: un référendum en vue en Suisse."

 

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15 septembre 2012 6 15 /09 /septembre /2012 16:50

Le Parisien- 12. 09. 2012

 

Le vaccin contre la coqueluche perd de son efficacité dans les cinq ans après la cinquième dose, qui est administrée aux enfants américains entre 4 et 6 ans, selon une étude publiée mercredi dans le New England Journal of Medicine (NEJM).


«Il faut peut-être repenser les mesures de contrôle de la coqueluche (...) et prévenir de futures épidémies en revoyant les vaccins pour obtenir une immunité de plus longue durée», explique le docteur Nicola Klein, principal auteur de l'étude et co-directeur d'un centre d'étude des vaccins américain.

 
Conduite en Californie entre 2006 et 2011, l'étude couvre l'épidémie de coqueluche de 2010 qui, dans cet Etat, a touché plus de 8.000 personnes et tué onze nourrissons. Les chercheurs ont découvert que le risque de contamination augmentait de 42% chaque année après la cinquième dose. En fait, le degré de protection après cinq ans dépend largement de l'efficacité immédiate de la dernière dose, soulignent les médecins. Si l'efficacité était de 95%, elle sera encore de 71% après cinq ans, mais seulement de 42% pour une couverture initiale de 90%, expliquent-ils.

Actuellement, les autorités sanitaires américaines recommandent cinq doses de ce triple vaccin, coqueluche, tétanos et diphtérie. Les trois premières injections à deux, quatre et six mois, la quatrième entre 15 et 18 mois. La cinquième dose est administrée aux enfants commençant à aller à l'école, entre quatre et six ans.

 

Ce vaccin, qui est un des moins efficaces, continuera donc d’être aveuglément préconisé « le temps d’en fabriquer éventuellement un autre », avec une augmentation lucrative des rappels et des publics-cibles, plutôt qu’une salutaire remise en question. Ainsi, comme on pouvait récemment le lire dans le New England Journal of Medicine, certaines personnes « inspirées » recommandent déjà de vacciner encore plus tôt les nourrissons (pour qu’ils aient déjà reçu 3 doses une fois atteint l’âge de 3 mois !!) ou encore de vacciner à présent les femmes enceintes à qui on préconise déjà de façon follement hasardeuse de subir la très peu utile vaccination antigrippale !

 

A force d’avoir « fatigué », lassé et épuisé un système immunitaire extrêmement complexe et à l’équilibre fragile, on s’étonne à présent de voir ressurgir diverses maladies qu’on pensait avoir supprimées, avec l’arrogance et l’étroitesse d’esprit classiques du système médical en toile de fond. Il y a un an déjà, l'étude du Dr David Witt du Kaiser Permanente de Californie démontrait que l'efficacité du vaccin anti-coquelucheux s'évanouit après 3 ans. Le Dr David Witt disait alors "être perturbé d'avoir découvert que nous avions peut-être trop confiance dans le vaccin par rapport à celle qu'il mériterait vraiment.". Les fabricants de vaccins (GSK, Sanofi) avaient alors déjà refusé de commenter l'étude du Dr Witt...

 

Il faut dire que le vaccin n'opère pas du tout de la même façon que ce que fait la bactérie de la coqueluche en cas d'infection naturelle: ainsi, au lieu de pénétrer dans l'organisme via la muqueuse respiratoire, les antigènes du vaccin pénètrent par surprise, par une voie d'abord immunologiquement imprévue qu'est la voie sanguine et musculaire. Comment s'étonner alors que la vaccination déçoive de plus en plus en matière d'efficacité aussi?

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15 septembre 2012 6 15 /09 /septembre /2012 16:02

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Encore un vaccin, docteur?

 

Nathaëlle Morissette- La Presse.ca

(Montréal) Après avoir déterminé leur circuit, réservé les différents hôtels et bouclé leurs valises, la plupart des voyageurs estiment qu'ils sont bien préparés. Mais qu'en est-il des maladies exotiques? À peine 10% ou 20% des gens qui partent à l'étranger consultent un médecin avant le départ. Et selon ce que La Presse a pu constater, les différentes cliniques de santé-voyage administrent parfois des vaccins qui ne sont pas nécessaires.

«Beaucoup de cliniques santé-voyage pratiquent dans les livres. Et celles qui le font se trompent presque toujours», dit Brian Ward, médecin et directeur adjoint du Centre de médecine tropicale de l'Hôpital général de Montréal.

 

Pour sa part, il se rend au Pérou pour le travail depuis 26 ans. Et il a vite fait de constater qu'il n'y a aucune transmission de fièvre jaune et de paludisme. «Pourtant, les livres de référence vont vous dire que vous devez vous protéger contre la fièvre jaune et la malaria. C'est complètement illogique!»

 

Résultat: plusieurs voyageurs qui se préparent à escalader le Machu Picchu se verront administrer un vaccin contre la fièvre jaune - dont le coût peut aller jusqu'à 150$-, alors que ce n'est pas nécessaire.

 

Ce genre de situation n'est pas rare, estime Brian Ward. Et c'est également ce que La Presse a constaté en prenant contact avec six cliniques de santé-voyage de Montréal dans le but de s'informer des différents vaccins à recevoir pour trois destinations: le Kenya, le Salvador et Cuba. Dans les trois cas, certaines des recommandations faites étaient superflues. À noter que les services de santé-voyage ne sont pas couverts par la Régie de l'assurance maladie du Québec. La facture refilée aux patients est parfois salée.

 

Ainsi, dans le cas du Kenya, La Presse a précisé lors de ses appels aux différentes cliniques que le circuit comprendrait un séjour à Nairobi accompagné d'un safari dans les parcs nationaux. La plupart des centres ont recommandé un rappel des vaccins de base (hépatites A et B, tétanos, polio) ainsi que l'achat de comprimés contre la malaria. Ce qui représente, aux yeux du M. Ward, les principales précautions à prendre avant de monter à bord de l'avion.

 

Mais la liste de recommandations des cliniques consultées ne s'arrête pas là. Dans la moitié des cas, la protection contre la fièvre jaune a été présentée comme obligatoire. Certaines ont aussi ajouté les vaccins contre la typhoïde et la méningite. «Le Kenya a déjà été considéré comme un pays endémique pour la fièvre jaune, admet le directeur adjoint du Centre de médecine tropicale. Mais la propagation se fait dans le nord-est du pays, région qui n'est jamais visitée par les touristes

 

En ce qui concerne la typhoïde, le vaccin peut devenir important si l'on se mêle aux populations locales. Mais pour les voyageurs qui dorment à l'hôtel et qui font des safaris, ce n'est pas obligatoire, estime le spécialiste. Le vaccin pour la méningite est quant à lui conseillé aux gens qui se rendent sur place pour des stages de longue durée ou encore pour ceux qui vont travailler dans les hôpitaux. Rien à voir avec notre projet de voyage de départ.

 

En ce qui concerne Cuba et le Salvador, les cliniques consultées recommandent les vaccins de base auxquels elles ajoutent celui contre la typhoïde (pour le Salvador). «Il y a une controverse autour du vaccin contre la typhoïde, affirme le médecin, car il a une efficacité d'environ 70%. Il y a peu de raisons de l'utiliser lorsqu'on dort dans les hôtels.» M. Ward déplore le fait que beaucoup de cliniques vont même jusqu'à recommander ce traitement lorsque des gens s'envolent pour des destinations soleil comme Cuba. «Elles le font parce que c'est rentable, croit-il. Mais c'est ridicule

 

L'aspect économique est d'ailleurs l'une des raisons invoquées par l'expert pour expliquer pourquoi certains centres proposent aux voyageurs plus de vaccins. Le manque de connaissances en santé-voyage pèse également lourd dans la balance. Aucune certification ou formation en maladies tropicales n'est nécessaire pour ouvrir un centre santé-voyage. «Ça vaut la peine de s'informer sur la clinique consultée, conseille Nancy Lyons, infirmière en chef de la Clinique santé-voyage CHUM. J'ai déjà vu des patients arriver chez nous avec une ordonnance pour un vaccin contre la fièvre jaune parce qu'ils préparaient un voyage en Asie alors qu'il n'y a pas de fièvre jaune là-bas

 

Par ailleurs, d'un point de vue médico-légal, les centres de santé-voyage veulent se protéger. «C'est beaucoup plus simple de suivre les recommandations générales plutôt que d'expliquer au patient que dans la région du pays où il va, les risques de propagation de la fièvre jaune ou de la typhoïde sont plutôt minces», souligne le M. Ward.

 

«Et après tout, ajoute Nancy Lyons, mieux vaut plus que pas assez.»

 

- Avec la collaboration de Marie-Eve Morasse

 

Les Travel Clinics sont des endroits où les vaccinations « pleuvent » et sont administrées « en cocktails », au risque parfois de gâcher purement et simplement les voyages et de compromettre la santé des voyageurs, puisque les effets secondaires de vaccins sont un motif valable d’annulation de voyages repris dans les contrats d’assurance-annulation

 

Il est en effet tout à fait classique selon nos informations également, de ne pas informer les gens qu’une vaccination anti-amarile (= fièvre jaune) n’est pas strictement obligatoire mais juste « chaudement recommandée ». La confusion est donc totale et savamment entretenue à ce niveau la plupart du temps, en violation des droits des patients (pigeons) voyageurs !

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15 septembre 2012 6 15 /09 /septembre /2012 15:00

La Cour d'Appel de Turin a condamné la région du Piémont à indemniser une mère à hauteur de 1,8 million d'euros parce que sa fille est dans le coma depuis 24 ans suite à l'erreur d'un médecin qui n'a pas administré de la cortisone assez rapidement suite à une réaction anaphylactique survenue après un vaccin contre le tétanos et la diphtérie.

 

Les faits remontent à 1988. L'enfant de 5 ans reçoit une vaccination contre le tétanos et la diphtérie. Très peu de temps après, l'enfant développe une forte fièvre, des douleurs dans les jambes, des maux de tête et de la diarrhée.

 

Le médecin a alors refusé d'administrer les médicaments indiqués, ce qui a entraîné l'aggavation de l'état clinique jusqu'à ce que l'enfant entre dans  un état végétatif dans lequel il est encore aujourd'hui, à l'âge de 29 ans. Selon un expert désigné, l'administration de cortisone endéans les 5 jours qui ont suivi la vaccination aurait permis d'éviter cette issue.

 

Pour les avocats de la famille, cette décision judiciaire est tout à fait justifiée. Ils ont rappelé que leur cliente avait été déboutée en première instance mais qu'il y avait de quoi être satisfait de la décision rendue en appel parce que c'est ici la deuxième fois en Italie que les tribunaux reconnaissent que la faute d'un médecin des services de soins primaires doit être assumée par les autorités sanitaires compétentes.

 

Sur le plan financier précise aussi un des avocats de la famille, "nous ne sommes que partiellement satisfaits puisqu'il n'est accordé que 5000 euros par an en compensation d'une vie professionnelle normale que l'enfant aurait pu avoir s'il n'avait pas subi le préjudice en question."

 

L'avocat espère qu'il n'y aura plus de recours juridique devant la Cour Suprême du pays puisque sa cliente est pauvre et qu'elle a déjà dû faire beaucoup de sacrifices jusqu'ici. Alors âgée de 23 ans seulement quand sa fille tomba dans le coma, cette maman a été abandonnée par son mari et a dû renoncer à un emploi stable pour pouvoir s'occuper de son enfant malade.

 

Source: tgcom24     

 

photo: Flickr

 

Il est fondamental ici de considérer aussi la vaccination dans ce drame car sans cette vaccination, cette enfant n’aurait pas fait ce choc anaphylactique ou elle ne serait pas forcément tombée sur ce médecin incompétent-là.

 

Cette vaccination riche en aluminium et dirigée contre deux maladies rarissimes met potentiellement la vie en danger puisqu’elle fait encourir à chaque fois un risque de choc anaphylactique et qu’il est toujours conseillé aux médecins d’avoir de l’adrénaline injectable à portée de main. On conseille toujours aux médecins de surveiller au moins 15 minutes les personnes vaccinées mais il ressort de données relayées sur le site Vax Info que des réactions anaphylactiques peuvent encore se produire plus de 30 minutes et parfois même… 120 minutes après la vaccination !

 

Ce triste cas refait donc inévitablement penser à la phrase du Dr Kris Gaublomme qui estime que « cela n’est pas une décision médicale sensée que de risquer sa vie avec une intervention probablement inefficace destinée à prévenir une maladie qui ne surviendra probablement jamais. »

 

On remarquera aussi que ces services de « soins primaires » sont probablement à l’Italie ce que des services comme l’ONE sont aux jeunes enfants belges francophones. Les médecins de ces services sont donc juridiquement couverts par leurs institutions et par les autorités « publiques » de tutelle et le risque qu’ils soient personnellement mis en cause apparaît donc faible.

 

Une fois l’enfant victime (ou l’adulte c’est pareil), c’est un véritable parcours du combattant pour obtenir en fait cet « altruisme » que ces autorités publiques ne cessent pourtant d’invoquer pour pousser tout le monde à accepter docilement ces hasardeux vaccins. Est-ce qu’1,8 million d’euros rendront pour autant à cette enfant sa santé ? Combien d’autres drames de ce genre faudra-t-il encore pour que les parents soient toujours aussi informés de ce genre d’issue dramatique possible ??

 

 

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 21:33

Grippe H1N1: le vaccin saisonnier pose problème

 

9 septembre 2012, par Helen Branswell (la Presse Canadienne)

 

TORONTO – Un étrange phénomène lié à un vaccin et observé au début de la pandémie de grippe de 2009 pourrait bien être vrai, suggère une nouvelle étude.

 

Des chercheurs canadiens ont constaté, dans les premières semaines de la pandémie, que les gens ayant reçu un vaccin antigrippal pour l’hiver 2008-2009 semblaient plus à risque d’être infectés par la nouvelle maladie que ceux n’ayant pas été immunisés.

 

Cinq études effectuées dans plusieurs provinces ont donné les mêmes résultats surprenants. Au départ, cependant, d’autres études similaires menées hors du pays n’ont pas produit les mêmes effets, et le tout a été classé comme le «problème canadien».

 

L’annonce des étranges découvertes est survenue au moment où les pays d’Amérique du Nord et certaines régions de l’Europe s’apprêtaient à entamer la vaccination de leur population contre le virus de la grippe H1N1.

 

En raison des risques supposément posés par le vaccin saisonnier contre la grippe lorsque celui-ci est utilisé conjointement avec le vaccin contre la grippe H1N1, le Québec a décidé de ne pas administrer le premier lors de sa campagne contre la pandémie.

 

Un groupe de chercheurs canadiens ont recréé l’effet chez des furets, qui sont les meilleurs modèles animaliers pour prédire la façon dont la grippe agira chez l’humain.

 

Selon la première auteure de l’étude, la Dre Danuta Skowronski, les tests effectués sur les furets prouvent que le vaccin antigrippal saisonnier fait ainsi augmenter les risques de contracter la grippe H1N1.

 

Elle affirme d’ailleurs que depuis la pandémie, des chercheurs d’autres pays ont rapporté une interaction similaire.

 

La raison de cet effet n’est pas clairement établie, et la chercheure a pressé d’autres groupes de scientifiques de se pencher sur la question. Selon Mme Skowronski, il est important d’éclaircir ce mystère, avant la prochaine pandémie.

 

Entre temps, elle se fait rassurante: les individus n’ont pas besoin de se passer de vaccin antigrippal saisonnier.

 

Source : Journalmetro.com

 

Cet article est FABULEUX :

 

- Tout d’abord, il confirme une donnée que nous avions relayée très tôt au cours de nos conférences de presse, dès 2009, à savoir que la vaccination saisonnière est PEJORATIVE par rapport au risque de contracter le H1N1 (ou toute autre infection pandémique). Rien de surprenant à cela puisqu’il est scientifiquement établi que les vaccinations dépriment et affaiblissent le système immunitaire, au moins transitoirement pour tous et hélas parfois aussi plus durablement pour les autres (les plus vaccinés en général) avec pour conséquence logique de faciliter ainsi toutes sortes d’infections opportunistes dans les suites immédiates de la vaccination. Cette vaccination saisonnière ayant été effectuée peu avant que le virus H1N1 ne circule ou quand il circulait déjà, il n’est donc pas véritablement surprenant d’entendre parler de ce genre de phénomène (même si les scientifiques font comme qui dirait semblant de « ne pas savoir le pourquoi » de ce phénomène…

 

- Ensuite, cet article démontre bel et bien pour ceux qui auront pu décrypter, que les prétendus experts et les gouvernements conseillent des produits dont ils ne connaissent quasi rien des effets. C’est donc vraiment comme s’ils conseillaient aux gens d’ « acheter un chat dans un sac » sauf qu’ici, il ne s’agit pas d’un chat mais de leur propre santé !

 

- Intéressant aussi ce sont ces nouvelles annonces de futures pandémies dont on est décidément si (trop) certain qu’elles arriveront au point que cela en est suspect. Qui sait à coup sûr qu’une prochaine pandémie arrivera si rapidement, si ce n’est celui qui les facilite ou les crée de toutes pièces via des financements publics de recherches destinées à faire se croiser les virus par exemple ??

 

- Enfin, le plus beau pour la fin, c’est cette conclusion de cette doctoresse qui est co-auteure de l’étude et qui « se veut rassurante » en déclarant que « les gens n’ont pas besoin de se passer du vaccin antigrippal saisonnier ». Etrange conclusion pour quelqu’un qui nous avertit déjà des nouvelles pandémies (et qui estimera plus que probablement celles-ci assez graves pour vacciner avec des vaccins pandémiques !) et qui, en même temps, semble banaliser ce risque accru d’infection A CAUSE d’un autre vaccin! A moins que ce soit surtout ELLE qu’elle tenait à rassurer en ne risquant ainsi surtout pas de fâcher Big Pharma dont on connaît l’influence mais parfois aussi les menaces et les tentatives d’intimidation/déstabilisation vis-à-vis des « chercheurs gêneurs »...

 

Un vaccin crée des problèmes puis ces problèmes feront l’objet d’un nouveau vaccin en guise de fausse solution puis, au fil du temps l’état de santé des gens se dégradant de plus en plus, une avalanche de nouveaux « médicaments miracles » viendra leur offrir un nouveau mirage de solutions auxquels certains croiront encore désespérément. La santé se dégradera alors encore un petit peu plus mais ce sera tout de même payant pour certains : pour les actionnaires de ces firmes qui prospèrent à la fois avec les ventes de vaccins mais aussi avec celles d’autres médicaments coûteux et palliatifs prescrits notamment aux victimes de leurs vaccins. La boucle de l’Absurde est bouclée mais le public continue encore pour l’heure de dormir….

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 19:53

drapeau polonaisALERTE AU SUJET DES VACCINATIONS FORCEES EN POLOGNE

 

Le gouvernement Polonais est en train d’adopter à la hâte de nouvelles lois concernant des vaccinations obligatoires pour une nouvelle pandémie.

 

Les mesures approuvées par le parlement polonais le 15 juin 2012  peuvent nous donner une idée de ce qui pourrait nous attendre en cas de déclaration d’une nouvelle pandémie.

 

Une pétition a d’ores et déjà été lancée par des citoyens polonais. (Voir avec Google Traduction pour avoir une idée globale du contenu)

 

Le Daily Mail  est l’un de ces importants médias qui font actuellement du battage au sujet d’une nouvelle pandémie de grippe aviaire et de la possibilité de recourir à des vaccins appelés « pré-pandémiques » qui pourraient ainsi même nous être administrés sans que le moindre état d’urgence ait été déclaré.

 

Ce qui est aussi questionnable, ce sont ces plans illégaux prévus par cette nouvelle législation polonaise et destinés à restreindre l’accès aux informations sur toutes les maladies infectieuses ou les virus pandémiques à un petit groupe d’institutions et de clients payants. Et même à ceux-là, l’accès à ces informations pourra encore leur être refusé suivant une clause particulière régissant le nouveau réseau d’information Sentinelle (GIS).

 

Sans accès possible aux documents et aux données factuelles, il sera beaucoup plus difficile aux bloggeurs et aux « citoyens vigiles » de réfuter la propagande pandémique comme cela fut possible de le faire en 2009. Il sera en outre beaucoup plus facile aussi de déclarer les contestataires aux vaccins comme  « mentalement dérangés », de faire fermer leurs blogs et leurs sites et de les écarter du chemin.

 

Il est cependant clair que restreindre l’information de cette façon est contraire au droit et plus spécifiquement au droit légal des gens à l’information.

 

La nouvelle législation polonaise a également étendu les critères de ce que peut constituer une maladie infectieuse, permettant ainsi une déclaration de pandémie beaucoup plus rapide. En fait, une pandémie peut être déclarée sans raison et donc de façon totalement arbitraire, a expliqué Ryszard, l’initiateur de cette pétition citoyenne.

 

En 2009, l’OMS avait aussi modifié ses critères d’une pandémie dans le but de déclarer l’état d’urgence maximal (de niveau 6) et ainsi déclencher les plans de production de vaccins pandémiques.

 

Selon les plans polonais, les gens pourront être forcés non seulement à une mais même à plusieurs vaccinations. Un langage flou et opaque au sujet de ceux pouvant être soumis à une obligation vaccinale, permet d’englober également les adultes et donc pas seulement les enfants.

 

Les pétitionnaires insistent aussi sur le fait que personne ne sera plus responsable des accidents et effets secondaires et qu’aucune indemnisation des victimes ne sera prévue en contrepartie.

 

La nouvelle loi contient aussi des dispositions permettant aux personnels médicaux de vacciner les gens de force, pour autant qu’ils soient sous la supervision d’un médecin.

 

Peut-être négativement impressionnés par la façon dont la moitié du gouvernement polonais a été éliminée dans le mystérieux crash d’avion de Smolensk- peu après que la Ministre polonaise de la Santé Ewa Kopacz eût témoigné devant la Commission d’enquête PACE des raisons pour lesquelles elle avait refusé d’acheter les vaccins pandémiques en 2009- les parlementaires polonais se sont empressés de renforcer la législation en faveur de Big Pharma.

 

Heureusement,  un mouvement massif de protestation a débuté.

 

Source : Investmentwatchblog.com

  

Il est gravissime que le scandale de 2009 puisse ainsi se perpétuer à l’infini : nous sommes ici en présence d’une nouvelle TRAHISON PARLEMENTAIRE, exactement comme celle que les Belges ont connue avec l’acceptation par les élus du peuple d’une loi d’exception qui aurait constitué un cadre juridique suffisant pour la réalisation d’une vaccination forcée.

 

Même Daniel Reynders, le « Monsieur Influenza » du gouvernement, avait admis publiquement dans une réunion filmée par Initiative Citoyenne le 30 septembre 2009 au Caméo de Ciney que la raison de l’achat d’un si grand nombre de doses (+ de 12 millions) était qu’ils avaient initialement envisagé de vacciner l’ENSEMBLE DE LA POPULATION et même « de faire cela à la manière d’un week-end électoral, en utilisant les bureaux de vote pour faire les vaccinations » !!

 

Il est aussi très clair que le contre-exemple polonais qui faisait particulièrement tache pour les fanatiques d’une vaccination tous azimuts, ne doit plus jamais se reproduire à leurs yeux. De là, les velléités d’achat groupé des futurs vaccins pandémiques au niveau européen et de là aussi, des pressions assez inimaginables pour mieux « verrouiller » la situation en Pologne et ainsi empêcher législativement parlant que des Ministres intègres comme Mme Kopacz puissent ainsi encore prendre la moindre décision censée et juste.

 

Ceux qui ont fait l’effort de lire l’infâme contrat signé par Mme Onkelinx au nom de l’Etat belge avec GSK se rendront compte que le mot « infâme » est un euphémisme. Or ici, avec ce genre de législation, on ne fait que consacrer l’illégitimité de ne rendre personne réellement responsable des dégâts vaccinaux qui s’en suivront. Avec le contrat belge signé par Onkelinx, le fabricant n’était déjà plus juridiquement responsable que des seuls « défauts de fabrication » qui sont tout bonnement impossibles à prouver pour les victimes (d’autant que l’adjuvant squalène était interdit d’analyse en vertu dudit contrat !). A présent, en vertu de cette nouvelle législation polonaise, l’état n’aura plus aucune obligation d’indemniser les victimes de sa tyrannie !

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 23:20

Incroyable: un article tout récent du Courrier de l'Ouest  relayait les recommandations de l'ECDC, une instance officielle européenne encore très mal connue des gens mais qui travaille de concert avec l'Agence européenne du Médicament.

 

L'ECDC (ou Centre européen de contrôle des maladies, calqué sur le modèle des CDC américains) exhorte à "vacciner toutes les filles (de 10 à 14 ans) contre le cancer du col de l'utérus."!

 

Mais le pire, ce sont bien sûr les pseudo-arguments qu'il utilise pour justifier un tel enthousiasme:

 

- les vaccins anti-HPV sont efficaces

- ces vaccins sont sûrs (sic!)

- ces vaccins sont trop peu utilisés

 

Et bien sûr, pour crédibiliser ce message surréaliste, l'ECDC souligne s'être basé pour ses nouvelles recommandations vaccinales anti-HPV sur des études menées ces 4 dernières années et sur les données issues de 19 pays européens.

 

L'ECDC dit-il vrai ou bien a-t-on encore ici droit à un flot préoccupant de mensonges??

 

La question de l'efficacité:

 

Il n'est toujours pas prouvé à ce jour que les vaccins Gardasil et Cervarix puissent prévenir le moindre cas de cancer du col et la raison en est que le cancer du col met 15 ou 20 ans à se déclarer à partir d'une infection initiale avec divers co-facteurs alors que ces vaccins ne sont pas sur le marché depuis tout ce temps. Pour le Pr Claude Béraud, ancien vice-président de la Commission Transparence de l'Agence Française du Médicament, qui s'exprimait dans le journal Sud Ouest en octobre 2011« Affirmer que ce vaccin diminuera de manière significative  le nombre de cancers est une imposture d'un point de  vue de santé publique. Aucune étude n'est en mesure de  le prouver. On a été beaucoup trop vite, il faudrait un recul  de vingt ans pour en avoir la certitude. On ne peut qu'au mieux l'espérer, ce qui n'est pas la même chose ! »

 

« Il y a des choses, dans les études, que le labo ne met pas en avant : par exemple, si une jeune fille non infectée se fait vacciner, trois ans plus tard, cela réduira de 0,8 % le risque d'apparition de lésion du col utérin, ce qui n'équivaut pas à un cancer ! On en est là. Et cela ne dispense pas les femmes de faire régulièrement des frottis, seule méthode capable de faire diminuer de 80 % le risque de cancer », continue le pharmacologue.

 

En 2008, dans le Monde, le Pr Béraud avait déjà averti dans une interview en 2008 que selon un modèle mathématique, « Dans le cas où cette vaccination serait efficace, le pourcentage de la population qui en bénéficierait sera faible. »  (Càd une baisse de seulement 10% des cancers et 13% de la mortalité en 2060  pour une vaccination de 85% des adolescentes si le vaccin était  efficace à 100%). 

 

Ces vaccins peuvent donc éventuellement prévenir certains types d'infections à HPV mais il est capital de pouvoir se demander à quel prix? Au prix de quels effets secondaires et de quel coût financier, d'autant que des données épidémiologiques sérieuses suggèrent un effet pervers et contre-productif de ces vaccins, à savoir celui de favoriser, par compensation, d'autres souches de HPV, non incluses dans ces vaccins!

 

La question de la sécurité:

 

C'est un euphémisme que de dire que ces vaccins ne sont pas sûrs du tout. Il s'agit donc en réalité d'un odieux mensonge de la part de l'ECDC que rien ne peut excuser puisqu'on dispose au contraire de données particulièrement alarmantes de pharmacovigilance à l'échelle du monde: par exemple, outre les chiffres très inquiétants d'effets secondaires enregistrés aux USA, il faut aussi voir la proportion tout à fait anormale d'effets secondaires de ces vaccins anti-HPV par rapport aux autres types de vaccins. Et là, c'est clair qu'il y a un problème: en Grande-Bretagne, il ressort selon une étude parue dans Annals of Medicine fin 2011 que le vaccin Cervarix entraîne 24 à 104 fois plus d'effets secondaires que chacun des autres vaccins du calendrier vaccin britannique pris tour à tour! Autre exemple: en Australie, en 2007, 50% de TOUS les effets secondaires recensés de médicaments (en général) provenaient du Gardasil! Une étude, parue en 2009 dans the Journal of the American Medical Association (JAMA), rapportait que le Gardasil avait entraîné 3 fois plus de signalements d'effets secondaires que tous les autres vaccins réunis avec un surplus de syncopes et d'évènements thrombo-emboliques (par rapport aux autres vaccins).

 

Voyons par exemple aussi en détail la fréquence comparée des effets secondaires du Gardasil par rapport à un autre vaccin, le Menactra, un vaccin contre le méningocoque commercialisé aux Etats-Unis. Les chiffres parlent d'eux-mêmes:

 

GARDASIL , par rapport au vaccin Menactra (méningite):

 

2X + de consultations en urgence

4 X + de décès

5X plus de victimes qui ne se remettent pas

7X plus d’handicaps

4X + d’arrêts cardiaques

4X + de lupus

15 X + d’épilepsie

6X + d’évanouissements & 3 X + de syncopes

33 x + de thromboses

5X + de vascularites

30X + d’aggravation avec d’autres doses du même vaccin

 

Ce genre de chiffres constituent un signal extrêmement clair de pharmacovigilance mais qui reste lamentablement ignoré des autorités pour d'obscures raisons...

Le fait qu'il y ait eu un nombre anormalement élevé aussi de morts violentes (attaque, accident vasculaire, arrêt cardiaque, embolie) suite à ce genre de vaccin aurait dû inclure d'ailleurs des évaluations nettement plus poussées sur ses effets circulatoires et vasculaires en particulier, ce qui n'a certainement pas été fait au cours d'essais cliniques biaisés et bâclés dans lesquels on donnait de l'aluminium toxique au faux groupe placebo, de façon à présenter comme "plus acceptables" les effets secondaires dans le groupe des vaccinées!

  

La réalité est en fait que "le taux d'effets secondaires de ces vaccins est assez élevé", comme avoué en fait par l'Assurance Maladie belge (INAMI), dans un document de réponse au fabricant du Cervarix, GSK. Ce même document précise d'ailleurs aussi que selon l'agence européenne du Médicament, les 2 vaccins ont un "profil de sécurité" similaire, ce qui signifie en d'autres termes que ni le Gardasil ni le Cervarix ne sont aussi sûrs que ce que l'ECDC laisse entendre de façon tout à fait malhonnête. Mais à ce constat que le taux d'effets secondaires est "assez élevé", il faut encore ajouter le fait que tous les effets secondaires de vaccins et de médicaments sont toujours considérablement sous-estimés, seuls 1 à 10% d'entre eux étant effectivement recensés et comptabilisés selon diverses publications médicales!



Par ailleurs, et cela n'est pas du tout négligeable, les deux vaccins anti-HPV sont des vaccins transgéniques, c'est à dire fabriqués par génie génétique, avec tous les risques additionnels que cela suppose en terme d'impuretés issues des procédés de fabrication. En effet, avec cette méthode et cela, les fabricants le reconnaissent, la pureté du produit fini ne peut jamais être garantie. Cela signifie donc qu'il reste ce qu'on appelle de "l'ADN contaminant hétérogène" à l'intérieur du vaccin qui est injecté aux gens.

 

Voici ainsi ce qu'écrit le biologiste Michel Georget dans son ouvrage "Vaccinations, les vérités indésirables" à ce sujet:

 

"Le risque majeur de l'ADN contaminant est donc qu'il puisse s'intégrer dans notre génome, y dérégler le fonctionnement de certains gènes, parmi lesquels les proto-oncogènes et les antioncogènes, et conduire ainsi au déclenchement d'un cancer."

 

Même l'OMS avait d'ailleurs admis que cet ADN hétérogène n'était pas anodin, à fortiori pour les enfants qui reçoivent de nombreux vaccins, y compris de ce type, depuis leur plus jeune âge:

 

"Même s'il est possible d'indiquer une limite supérieure de contamination d'un produit fini par de l'ADN hétérogène, et même si toutes les expériences indiquent que des quantités d'un tel ADN de l'ordre de quelques picogrammes sont biologiquement inactives dans un grand nombre d'épreuves, on ne peut pas plus affirmer l'absence totale d'ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires continues que dans les produits issus de cultures primaires de cellules diploïdes. [...] Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence] est le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière." ["Acceptabilité des substrats cellulaires pour la production de substances biologiques.", Rapport Technique de l'OMS, n°747; 1987]

 

Il a déjà été démontré sur base de plusieurs échantillons de Gardasil, que ce vaccin était contaminé avec de l'ADN recombinant (c'est à dire de l'ADN trafiqué, PAS l'ADN naturel du virus HPV tel que le corps pourrait y être confronté via une infection naturelle contre laquelle il est paré pour se défendre). Jasmine Renata, une jeune fille décédée en Nouvelle-Zélande 6 mois après sa vaccination anti-HPV a été autopsiée. On a retrouvé de l'ADN recombinant non éliminé dans son organisme, y compris dans son cerveau dont le Pr Shaw, du Canada, a réalisé une analyse. Selon le pathologiste américain Dr Lee, cet ADN recombinant pourrait rester anormalement dans le corps sans être éliminé en raison de son "accrochage ferme à l'aluminium du vaccin". Quels sont les risques à long terme de tous ces jeux d'apprentis-sorciers? Remarquez-vous que les officiels ne vous parlent jamais de tout ça en détails et de façon concrète, tout simplement parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font et que les conseilleurs ne sont pas les payeurs?? C'est vraiment hautement significatif en tout cas que les recommandations vaccinales soient toujours des affirmations très générales et simplistes, comme si on s'adressait à des enfants. Le public est donc constamment infantilisé et maintenu dans la croyance que le sujet serait trop compliqué au point qu'il faille définitivement abandonner ce sujet complexe aux médecins et laisser les "experts" décider in fine à sa place!!



Sur le caractère "trop peu utilisé des vaccins" :



Il est logique que, les effets secondaires redoutables de ces vaccins aidant, un nombre significatif de mères et de jeunes filles n'en aient tout simplement pas voulu et se soient en fait même félicitées  d'un tel choix au fur et à mesure qu'elles lisaient les histoires dramatiques de plusieurs victimes dans la presse. Alors que des autorités réellement à notre service devraient se réjouir du bon sens de la population évitant ainsi un nombre incalculable d'effets secondaires coûteux pour la Sécurité sociale (et donc la collectivité), ces autorités qui s'estiment en réalité être "les partenaires naturels" des pharmas ne peuvent donc que déplorer cette défiance légitime du public, encourager des programmes scandaleux dans les pays pauvres pour écouler les invendus tout en se donnant une image de "gens généreux" et aider les fabricants à trouver diverses stratégies destinées à forcer l'adhésion des gens. Une de ces stratégies (et c'est la même qui a aussi été "sortie du chapeau" pour l'hépatite B notez bien!) est à présent de prétendre que 2 doses sont suffisantes, au lieu de 3. Tout, plutôt que reconnaître l'arnaque et reverser intelligemment tout l'argent de ces inutiles vaccins en programmes organisés de dépistage par frottis!

 

A noter aussi: l'ECDC ne recommande pas la vaccination des garçons qui est pourtant déjà remboursée intégralement dans un pays comme l'Australie, sans parler du fait que le vaccin est à présent aussi destiné aux garçons dans des pays comme les USA et le Canada. Là encore, cela en dit long sur la crédibilité du discours officiel et la relativité des recommandations vaccinales considérées hélas à tort comme "paroles d'évangile" pour certains! Il est vraisemblable que si des décès de jeunes garçons et autres effets secondaires graves surviennent aussi après ces vaccins (ce qui se serait en toute logique produit également en vaccinant massivement les garçons), cela aurait pu être trop décisif comme "coïncidence" et aurait pu définitivement éveiller le public de moins en moins crédule sur ces vaccins. Ainsi, plusieurs décès de jeunes filles qu'on a attribués exclusivement à la prise de la pilule (qui a aussi des effets circulatoires) se seraient produits chez des garçons qui eux ne prennent pas cette même pilule. Ca aurait donc rendu la tâche plus ardue pour trouver un autre bouc émissaire et sauver l'image du vaccin!

 

Il nous apparaît en conclusion que ces instances internationales opaques ne remplissent pas du tout leurs missions de protection du public et d’évaluation neutre et objective des produits pharmaceutiques. Elles servent en revanche de paravents aux décideurs publics sur base d’un modèle de « poupées russes » : OMS>FDA ET CDC américain (USA) et ECDC et EMEA (Europe) > Ministères nationaux de la Santé des divers pays du monde> PUBLIC TROP CREDULE.

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 13:43

Le cas d'Alan Smith est particulièrement exemplaire parce qu'il démontre tout simplement que les atteintes continuelles au pluralisme thérapeutique un peu partout dans le monde coûtent des vies au jour le jour. Alan Smith ne doit ainsi sa vie qu'à l'insistance de sa propre famille qui a pu ainsi infléchir l'obstination incompréhensible du personnel soignant de l'hôpital où il était, qui ne voulait tout simplement PAS lui administrer de la vitamine C intraveineuse, en dépit d'évidences scientifiques très solides de son utilité!

 

Alan Smith est un fermier néo-zélandais qui était atteint de grippe (porcine), d'une pneumonie avancée, d'une leucémie et d'un scorbut (déficience ultime en vitamine C). Il saignait du nez, de la bouche et des intestins. Son état (coma) était jugé désespéré et les médecins avaient averti la famille qu'ils comptaient débrancher les appareils....

 

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Contre l’avis des médecins, la famille insista pour que l’on administre à Alan de hautes doses de vitamines C. Les difficultés pour obtenir satisfaction furent énormes.

 

Les médecins ont déclaré : «  Le type de leucémie dont souffre M. Smith pourrait être traitée si c’était la seule maladie dont il souffrait.  Cependant étant donné son insuffisance respiratoire, il n’est pas possible que Monsieur Smith puisse survivre. »

 

Ultérieurement les médecins de l’hôpital ont déclaré : « Le groupe est unanime pour dire que Monsieur Smith doit être « débranché » des appareils (ECMO) et qu’il lui soit permis de mourir en paix. Continuer ne ferait que postposer un décès inévitable… Tout le personnel des soins intensifs est d’accord pour dire que la vitamine C ne lui sera d’aucune aide. Nous sommes tous d’accord pour déclarer que Monsieur Smith ne pourra survivre. Cependant un membre du personnel quelque peu mal à l’aise pensa que l’on pourrait attendre jusqu’au vendredi suivant avant de débrancher les appareils. Si alors aucune amélioration ne s’était produite, il serait alors débranché des appareils. »

 

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Etat des poumons après deux jours de traitement (hautes doses) à la vitamine C

 

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« Ils peuvent dire tout ce qu’ils veulent parce que le fait est que je suis bien vivant… alors que j’étais condamné à mort et qu’ils voulaient débrancher les appareils… ! »

 

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« Les médecins n’en revenaient pas que j’avais pu me rétablir si vite ! -  L’establishment médical devrait prendre un peu plus au sérieux le problème des hautes doses de vitamine C et le plus tôt sera le mieux ! »

 

 

4 SEPTEMBRE 2012  - Communiqué d’Alan Smith

 

Alan Smith dont la vie avait été sauvée par des injections intraveineuses de vitamine C à l’hôpital d’Auckland organise une manifestation de protestation le 15 septembre 2012 de 12 à 14 heures devant l’hôpital d’Auckland parce que celui-ci rejette maintenant ce traitement.

 

L’émission télévisée « 60 minutes » avait commenté l’histoire de cette extraordinaire guérison d’une maladie quasiment mortelle, alors que le personnel hospitalier avait voulu débrancher les appareils qui  maintenaient Alan Smith en vie, ce qui équivalait à le tuer, plutôt que de lui administrer de la vitamine C.

 

La vitamine C, tout particulièrement en hautes doses est un anti viral bien connu et accepté scientifiquement depuis plusieurs années. Malgré cela, l’hôpital avait initialement refusé de l’administrer à M Smith, prétextant qu’ils avaient « tout essayé » et en vain.

 

Quand, sous la pression de la famille, l’hôpital accepta finalement A CONTRECOEUR d’administrer de la vitamine C, M. Smith commença immédiatement à montrer les signes d’un rapide rétablissement. En quelques semaines il fut complètement rétabli.

 

Malheureusement l’hôpital d’Auckland, comme beaucoup d’autres en Nouvelle Zélande semblent ne rien avoir appris de cette expérience et jusqu’à aujourd’hui, ils ont REFUSE d’administrer de la vitamine C aux autres patients atteints de maladies virales graves.

 

Ils continuent à prétendre faussement qu’il n’y a « pas de preuves » de l’efficacité de la vitamine C, alors que leur propre littérature médicale « revue par les pairs » regorge de preuves de son efficacité.

 

Ils ont initialement refusé de l’administrer à Alan Smith et continuent de le refuser à d’autres personnes atteintes de maladies virales ou bactériennes.

 

On rapporte que certaines personnes seraient décédées pour s’être vu refuser ce traitement.

 

Sans la persistance et l’acharnement de la famille de M. Smith, ce dernier serait sûrement mort lui aussi… alors qu'il est pourtant guéri, y compris de sa leucémie!

 

Pareilles erreurs coûtent la vie à des milliers de personnes. Il est maintenant connu qu’en Nouvelle Zélande, le système médical lui-même est considéré comme étant la troisième cause de décès.

 

Nous nous demandons pourquoi l’hôpital d’Auckland éprouve tant de difficultés à admettre son erreur…comme à apporter toutes les modifications nécessaires à une politique ridicule qui coûte des vies humaines.

 

Cette histoire, tout à fait véridique, a fait l'objet d'un reportage de la télévision nationale néo-zélandaise (sous-titrage français grâce à un internaute généreux et intelligent): 

Témoignage de guérison de ce fermier: ICI (cfr temps 14'56'')

 

Plus d'informations en français sur la vitamine C liposphérique que ce fermier a aussi prise après les injections intraveineuses de vitamine C finalement reçues à l'hôpital.

 

VIT.-C-curing-the-incurable.JPG

 

En conclusion, on se rend compte que le véritable intérêt des patients est constamment malmené par une dangereuse combinaison : la désinformation des soignants et leur dogmatisme, savamment entretenu par les pharmas qui décident du contenu même de leur formation !

 

Les atteintes au pluralisme thérapeutique coûtent donc des vies mais il faut bien toutefois se rendre compte que ces atteintes ne peuvent se solder par leurs funestes effets QUE parce que le public est hélas trop crédule et trop confiant dans le discours de ses médecins crus souvent à tort comme des « experts infaillibles ».

 

Cet exemple devrait aussi nous faire prendre conscience à tous de la valeur très relative du discours médical ce qu’ils affirment inutile peut sauver des vies mais à l’inverse, ce qu’ils prétendent incontournable, comme par exemple les vaccins, peut en détruire et en handicaper d’autres. Il y a donc une banalisation d’actes potentiellement graves d’une part avec la dangereuse banalisation des vaccins et de certains autres traitements médicamenteux lourds et, d’autre part, une dramatisation de certains états de santé au point de prétendre que des gens sont condamnés alors qu’ils ne le sont pas et tout cela, parce que les médecins IGNORENT des données fondamentales mais portant sur des approches potentiellement concurrentes aux traitements standards dont on leur a sélectivement et exclusivement bourré le crâne durant leurs études.

 

Les patients gagnent donc vraiment à prendre confiance en eux-mêmes et ainsi se rendre compte qu’ils peuvent parfois faire les bons choix là où leurs médecins ne savent pas les faire pour eux. L’exemple de cette famille est magnifique puisqu’elle fut ainsi un « bien meilleur médecin » pour Alan Smith que les gens entêtés et bornés de l’hôpital. C’est là avant tout une question de BON SENS or le bon sens ne s’apprend hélas pas sur les bancs de la fac!

 

Embourbés dans leur arrogance, les soignants ont parfois du mal à reconnaître leurs erreurs et surtout à agir avec altruisme en faisant ainsi profiter d’autres patients de ces approches qu’ils n’avaient initialement pas conseillées eux-mêmes. Leur orgueil en prend donc un coup. Mais cela démontre aussi la nécessité d’une vigilance continuelle de tout un chacun dans un état de maladie donné plutôt qu’une dangereuse passivité/docilité face aux personnels soignants. Il y va de la santé et des droits de chacun !

 
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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 23:10

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Le journal Libération du 6 septembre dernier titrait un de ses articles "Les propos de Luc Montagnier sur les vaccins lui valent un tollé."

 

Eric Favereau y expliquait ceci:

 

«Le professeur Luc Montagnier, qui a obtenu le prix Nobel de médecine pour avoir participé à l’isolement du virus du sida, tient parfois des propos iconoclastes. Récemment, il a mis en cause l’intérêt des vaccins, suggérant que certains soient même la cause de l’autisme. Des propos qui n’ont pas plu à ses collègues. Alors qu’il devait être désigné pour présider un laboratoire de recherches au Cameroun, dans une démarche inédite, une quarantaine de Prix Nobel viennent d’écrire au président du Cameroun (voir le document) pour s’inquiéter de cette nomination, prétextant que les propos de Montagnier sur les vaccins pouvaient avoir «un impact désastreux sur la qualité du système de santé au Cameroun», et dénonçant «ses solutions, qui n’ont aucun début de preuves scientifiques».

 

Voir ICI les propos exactement tenus par Luc Montagnier sur la vaccination infantile.

Voir aussi ICI pour d'autres propos du Pr Montagnier sur la vaccination (H1N1).

 

Vu les enjeux commerciaux et tout le poids de l'idéologie qu'on connaît, rien d'étonnant à ce que d'anciens Prix Nobel se liguent pour protester contre la très dérangeante prise de position de Montagnier en matière vaccinale... forcément ça fait tache!! Il est amusant de noter que c’était le même journaliste qui avait aussi écrit un article fin 2008 sur un autre Professeur, à savoir Marc Tardieu, neuropédiatre, qu’on avait pour sa part « INTERDIT DE CONFERENCE DE PRESSE » parce que ses résultats attestant d’un lien entre vaccination hépatite B des enfants et sclérose en plaques étaient beaucoup trop dérangeants pour l’establishment. Il ne faut donc pas s’étonner que des personnalités scientifiques puissent d’autant plus faire grincer des dents en matière de vaccins qu’elles sont connues. Pourquoi cela fait-il grincer des dents ? Parce que ça serait faux ou peu sérieux ? Non bien sûr, la seule raison valable et nous en avons déjà parlé, étant en fait que ce genre de prises de positions de scientifiques connus tend tout simplement à casser la croyance du public en la prétendue unanimité médicale derrière la vaccination. Souvenez-vous par exemple des propos de l'Office de la Naissance et de l'Enfance (ONE) dans la presse, qui aimait à clamer que "Pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a pas de complications graves des vaccins"! Pour les tenants de ce type de discours fallacieux, des gens ayant une certaine notoriété comme Montagnier, d'autant plus s'ils reviennent sur le sulfureux et très encombrant lien entre vaccins et autisme, constituent donc un pur poison!

 

Tant que vous êtes "dans le rang" et que vous servez le système, le système vous le rend bien mais décidez seulement de penser et de réflechir par vous-mêmes et vous le vous mettrez vite à dos. C'est là une sorte de chantage qui ne dit pas son nom... la vieille méthode de la carotte et du bâton qui n'a plus rien à voir avec le véritable esprit scientifique. C'est aussi alors que le dérangeant débat de fond est volontairement dévié sur des débats de personnes, avec l'espoir que ces attaques ad nominem dissuaderont une majorité de gens de creuser le sujet!

 

Par ailleurs, voici une autre information additionnelle intéressante postée par un lecteur de Libération et qui apporte ainsi un tout autre éclairage à cette affaire (copier-coller):

 

Comme un conflit d'intérêts

Le Nobel premier signataire Sir Roberts est Chief Scientific Officer de New England Biolabs (voir en-tête du fac similé publié par Libé) une société privée qui vend aux labos des réactifs divers, utilisés en particulier pour la mise au point de vaccins. Pas vraiment une caution académique indépendante. Ses petits camarades n'ont pas précisé de quel(s) labo(s) ils sont consultants.

 

Sylvie Simon a aussi relevé de façon pertinente et cela nous avait échappé en ayant survolé le document un peu trop rapidement, que parmi les signataires figurent aussi Harald Zur Hausen, un médecin allemand qui a reçu le Prix Nobel pour ses travaux sur le lien entre HPV et cancer du col de l'utérus. Voici à ce sujet ce qu'écrit Sylvie Simon:

 

« Quant à un autre signataire, Harald Zur Hausen qui a eu le prix Nobel pour avoir identifié le papillomavirus (VPH) comme la principale cause du cancer du col de l'utérus, ses recherches ont mené au développement des vaccins contre le VPH. D’ailleurs, au cours d’une conférence au Canada, en automne 2008, le Dr Harald zur Hausen ne s’est pas gêné pour faire la promotion de la vaccination des hommes, afin de leur éviter des « cancers de l’anus et du pénis ».

Sur Pharmacritique, on peut lire notamment lire ceci au sujet de ce médecin et du scandale qui sous-tend l'attribution de son Prix Nobel:

« Gardasil et Cervarix : Astra Zeneca et la Fondation Nobel soupçonnées de corruption et conflits d’intérêts dans l’attribution du prix Nobel à Harald zur Hausen.

Le prix Nobel attribué à Harald zur Hausen est censé récompenser les recherches sur les papillomavirus, mais consacre surtout le triomphe des conflits d’intérêts qui entachent le Gardasil et le Cervarix depuis leur conception, et ce partout où des centres publics de recherche travaillent avec les firmes pharmaceutiques et adoptent les méthodes de ces dernières, au mépris de leur mission d'intérêt général.

J'ai parlé dans cette note du réseau tentaculaire de conflits d’intérêts par lequel Merck, Sanofi Pasteur MSD et CSL ont imposé le Gardasil et empêché un vrai débat sur l’utilité de ce vaccin et son rapport bénéfices – risques. Et les exemples concrets ne manquent pas.

La question des conflits d’intérêts se corse et se pose directement en termes de corruption, puisque c’est ce chef d’accusation qui est envisagé par le procureur Christer van der Kwast, de l’office suédois de lutte contre la corruption. L’affaire a été révélée par la Radio suédoise (Sveriges Radio) et par le journal Dagens Medicin, que nous citerons plus loin, et ce à peine deux jours avant la remise officielle des prix, qui a eu lieu le 10 décembre. La lauréat Harald zur Hausen, qui se disait déjà énervé par la contestation des 13 médecins et scientifiques allemands signataires d’un manifeste critique contre le Gardasil (voir cette note), a maintenant des raisons de se lamenter…

Les révélations, les soupçons et l’enquête concernent le Comité Nobel qui attribue les prix Nobel de médecine ainsi que la firme Astra Zeneca, qui tire elle aussi un grand profit commercial de l’attribution du prix à Harald zur Hausen.

Cela peut paraître étonnant au premier abord, mais nous verrons qu’elle perçoit des royalties pour des brevets et des droits de licence cédés aux firmes Merck, Sanofi Pasteur MSD et CSL, qui produisent et commercialisent les deux vaccins anti HPV : Gardasil et Cervarix. Comme nous l’apprend le journal allemand Die Tageszeitung (voir ici), Astra Zeneca reconnaît avoir perçu à ce titre 236 millions de dollars rien qu’en 2007. »

 

 

« Toute vérité passe par trois stades : en premier lieu on la ridiculise;
en deuxième lieu on s'y oppose violemment;
enfin on l'accepte comme si elle allait de soi. »

 

Schopenhauer

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