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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 19:15

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Plusieurs parents qui ne se connaissent pas entre eux nous ont fait parvenir, écoeurés, le formulaire distribué à leurs enfants à l'école grâce aux "bons soins" de la Fédération Wallonie-Bruxelles (ex Communauté française), la même instance officielle qui a déjà été désapprouvée pour publicité trompeuse sur les vaccins en novembre 2011 par le Jury d'Ethique Publicitaire.

 

Un enfant d'un des parents nous ayant contactés a même confié à sa maman après avoir reçu ces documents "Ils m'ont gâché ma journée !", ce qui signifie fort heureusement que nos jeunes sont encore capables de discernement... pour peu qu'ils puissent disposer d'informations alternatives à la seule propagande officielle simpliste et scientifiquement lénifiante. 

  

Suivant les versions du document distribué, il était mentionné en titre qu'il s'agissait de "vaccination de rattrapage" ou non. Certains garçons ont même aussi reçu les dépliants pour la vaccination faussement appelée "contre le cancer du col de l'utérus" avec l'objectif inavoué que cela atteigne aussi leurs petites soeurs qui n'auraient pas encore reçu ce genre de propagande-là. Dans certains cas, le document était nominatif avec le nom, la date de naissance, l'école et l'identifiant "PSE" (= "promotion de la santé à l'école"!) déjà pré-remplis!

 

Comme de plus en plus de parents s'en rendent compte, l'unique but de la vaccination scolaire est d'accroître les pourcentages de couverture vaccinale parce qu'il y aura toujours un certain nombre de familles qui croiront à tort que ces vaccinations sont obligatoires, certaines autres  en déduiront à tort que ces vaccinations sont vraiment très importantes si les autorités les proposent dans le cadre scolaire et d'autres enfin succomberont à l'appât assez grossier de "la gratuité". On se trouve donc ici dans le registre de la tentative, qui prendra hélas pour certains parents crédules ou trop débordés pour se renseigner ailleurs et pas chez les autres.

  

Il est cependant capital que les jeunes qui liront cet article sachent qu'ils ont LE DROIT de refuser les vaccins que leurs parents auraient demandé qu'ils reçoivent, s'ils ne sont pas d'accord avec la décision de leurs parents. Ainsi, en droit belge, même si les parents ont donné leur accord et rempli le formulaire, les enfants ayant une maturité suffisante (ce qui est bien le cas des enfants de 6° primaire et au-dela, en secondaire) ont tout à fait le droit d'exprimer leur refus au médecin scolaire et celui-ci est tenu de le respecter, sous peine de poursuites.

 

Par ailleurs, il est aussi fait état dans ce document d'une banque de données vaccinales dans laquelle seront enregistrées les vaccinations scolaires effectuées en Fédération Wallonie-Bruxelles à partir de septembre 2012, au prétexte que cette banque de données a été autorisée par la Commission de la Vie Privée et qu'elle servirait à éviter la perte des données vaccinales chez les jeunes.

 

Enfin, il faut souligner le caractère inquisitorial du "choix multiple final" demandant aux parents de signifier s'ils demandent au médecin scolaire de compléter les vaccinations en fonction du carnet de vaccination, s'ils demanderont cela à leur médecin traitant ou "s'ils ne souhaitent pas faire vacciner leur enfant actuellement."

 

Qu'un formulaire soit à remplir pour donner son avis, en tant que parent, sur la vaccination scolaire de ses enfants est normal (bien qu'il faudrait alors que l'on fournisse aux parents des informations suffisamment objectives sur le sujet) mais, il n'est alors nul besoin de faire cocher des cases superflues et anormalement indiscrètes aux parents, pour savoir s'ils refusent les vaccins ou s'ils s'adresseront à leur médecin traitant! Ces considérations ne concernent ni l'école, ni l'inspection scolaire et encore moins la Fédération Wallonie Bruxelles qui pousse ici décidément son idéologie vaccinale à l'extrême!

 

Peut-être serait-il ici nécessaire de rappeler à la Fédération Wallonie Bruxelles les dispositions élémentaires relatives au secret médical? En inscrivant pourquoi pas sur leur formulaire préalablement barré une mention de ce style "SECRET MEDICAL. NE VOUS REGARDE PAS." Ou en ne le complètant tout simplement pas, sans rien leur renvoyer.

 

Voir ICI et ICI les modèles possibles de ce genre de document.

 

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 16:00

Pr Berche

On retiendra surtout de cette émission "C'est dans l'Air" de ce 5 octobre consacrée à la vaccination antigrippale, les aveux accablants du Pr Patrick Berche, microbiologiste et doyen de la faculté de médecine Paris V.

 

Celui-ci, bien qu'ayant regretté la non participation des médecins généralistes à la vaccination H1N1 initiée par Roselyne Bachelot, a tout de même lâché:

 

"Vouloir vacciner 70% de la population, c'est une erreur à mon sens. 30% suffisent d'après les épidémiologistes. On n'est pas obligé de vacciner tout le monde. Quand vous vaccinez 30% de la population, d'après les épidémiologistes, vous arrêtez la pandémie. Alors là (avec le H1N1), on a vacciné 9% de la population mais le but était 70%."

 

Ce sont là des aveux assez fantastiques, vous ne trouvez pas? 

  

Car alors pourquoi, si 30% suffisaient, l'objectif des autorités sanitaires était-il de 70% avec la grippette H1N1?

 

Pourquoi aussi, les taux de vaccination largement supérieurs à 70% n'ont pas du tout permis l'éradication de la variole, bien au contraire, puisque les zones où cette vaccination était obligatoire connaissaient plus de flambées épidémiques que les autres et pourquoi aussi cette éradication n'a en réalité été rendue possible que par le seul changement de stratégie (consistant surtout à identifier puis isoler les malades)?

 

Pourquoi, l'OMS préconise-t-elle alors la vaccination généralisée de TOUS les nourrissons en-déans les 24H qui suivent la naissance contre le virus de l'hépatite B et ce, même dans les pays de très faible endémie?

 

Tout ceci démontre donc que les pseudo-experts en qui nous sommes censés avoir confiance ne connaissent pas grand chose aux virus et finissent le plus souvent par prôner la vaccination du plus grand nombre de gens pour des bénéfices incertains mais avec des risques inéluctables!

 

Cette idéologie vaccinale est assez nette et on a pu d'ailleurs à plusieurs occasions du débat, en prendre le pouls.

 

Après que le Pr Berche ait précisé, non sans arrogance que "la Nature fait mal les choses puisqu'elle tue 2 femmes sur 3 quand il n'y a pas de soins et qu'elle tue 50% des enfants de moins de 5 ans dans les pays du Tiers Monde." (alors que ce n'est pas "la Nature qui les tue" mais l'égoïsme humain!) et placé la vaccination sur le même pied que l'hygiène et l'alimentation, on put également entendre la pharmacienne invitée sur le plateau affirmer (sur base de quelles preuves?) que les risques de la vaccination antigrippale sont minimes et que se faire vacciner équivaut à choisir entre un billet de loto gagnant et un non gagnant, sans rien avoir à perdre! 

 

Patrick Berche nie aussi tout lien de causalité possible entre une vaccination et un décès au seul motif hallucinant qu'il ne comprend pas par quel mécanisme cela pourrait se produire!  Pour un doyen de faculté, c'est là un raisonnement assez surréaliste (et arrogant qui plus est) dès lors que la terre tournait déjà bien avant que les hommes comprirent qu'elle n'était pas plate mais ronde!!

 

Par ailleurs, Patrick Berche a rappelé qu'un virus animal pouvait devenir très dangereux en passant la barrière d'espèce, en citant le cas du virus Ebola, tout à fait anodin pour les chauves-souris qui l'hébergent mais très dangereux pour l'homme. Il aurait cependant alors été bien inspiré d'évoquer aussi le cas des virus simiens SV40 qui ont infecté des centaines de millions de gens dans les années 50 et 60 via les vaccins anti-polio contaminés (tant oraux qu'injectables) et qui sont hélas impliqués dans de nombreux cancers humains...

 

La bonne surprise fut toutefois d'entendre enfin un médecin évoquer le rôle préventif d'un taux suffisant de vitamine D (dont une majorité de gens sont pourtant carencés) puisque cette vitamine, comme une bonne d'hygiène de vie, renforcent le système immunitaire. Marc Girard a également placé quelques bonnes interventions en rappelant utilement en début d'émission le caractère hélas forcé de cette vaccination antigrippale pour quantité de pensionnaires des maisons de repos qui n'ont le plus souvent rien à dire en la matière (soit qu'ils n'ont pas accès à l'information et ne sont donc pas en mesure d'opérer un vrai choix, soit qu'ils n'ont tout simplement pas voix au chapitre s'ils sont jugés mentalement inaptes, comme par exemple en cas de maladie d'Alzheimer).

 

La conclusion finale de cette émission?

 

Une réelle "perche" tendue par ce Pr Berche à l'occasion des futures pandémies tant attendues et des volontés très perceptibles d'obligations vaccinales (cfr Suisse, Pologne etc)...

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 14:36

Le magazine trimestriel  Profil N°123 de la Mutualité belge Euromut désinforme les lecteurs sur la vaccination antigrippale.

 

Ironie du sort, c'est justement en regard de l'article sur l'incapacité de travail qu'Euromut diffuse le traditionnel baratin sur la vaccination antigrippale.

 

Mais le plus grave n'est-il finalement pas ici la malhonnêteté intellectuelle qu'il y a à ne mentionner QUE les seuls effets secondaires bénins alors même que les notices des vaccins antigrippaux (que tous les patients n'ont malheureusement pas l'occasion de lire!) mentionnent pourtant clairement le risque d'effets secondaires graves, y compris d'ordre neurologique, lesquels sont parfois susceptibles d'entraîner des séquelles irréversibles, des incapacités de travail et même des décès ?

 

Cette présentation scandaleuse et partiale de cette mutualité est donc en violation avec les exigences de la loi du 22 août 2002 sur les droits du patient, dont l'article 8, il est bon de le rappeler, stipule pourtant très clairement:

 

« Les informations fournies au patient, en vue de la manifestation de son consentement visé au § 1er, concernent l'objectif, la nature, le degré d'urgence, la durée, la fréquence, les contre-indications, effets secondaires et risques inhérents à l'intervention et pertinents pour le patient, les soins de suivi, les alternatives possibles et les répercussions financières. Elles concernent en outre les conséquences possibles en cas de refus ou de retrait du consentement, et les autres précisions jugées souhaitables par le patient ou le praticien professionnel, le cas échéant en ce compris les dispositions légales devant être respectées en ce qui concerne une intervention. »

 

Or, il faut savoir que LA LITTERATURE MEDICALE LA PLUS OFFICIELLE reprend de nombreux effets secondaires graves associés à cette vaccination, pourtant constamment présentée comme banale ou routinière.

 

En éludant complètement ces données, Euromut manifeste un profond manque de respect envers ses + de 500 000 affiliés et démontre soit son incompétence scientifique à se tenir au courant de l'ensemble des données médicales pertinentes, soit sa collusion ou sa complaisance avec les fabricants de vaccins qui sont ainsi soutenus via ces aides au remboursement de vaccins mais dont les dégâts ne font, eux, l'objet d'aucun remboursement spécifique. En outre, précisons qu'il est trop facile de tirer ici son parapluie en se réfugiant derrière des recommandations ou avis officiels des autorités, dont la partialité n'est plus à prouver.

 

Soulignons enfin que le magazine Profil de la mutualité Euromut est imprimé par Roularta, le même groupe de presse qui édite Le Vif et qui n'est PAS indépendant des industries pharmaceutiques. (Cfr Roularta Medica)

 

Hélas, cette mutualité est loin d'être la seule à désinformer les gens sur les vaccins. Cet exemple n'est donc certainement pas unique mais méritait cependant d'être épinglé.

 

Pour mieux s'informer sur l'efficacité et les risques de la vaccination antigrippale :

 

 

Voir aussi cette vidéo d’une des victimes d’un vaccin antigrippal saisonnier.

Cette dame est une ex-infirmière. C’était sa deuxième vaccination antigrippale. Elle a développé une paralysie de Guillain-Barré avec séquelles irréversibles. Elle a dû subir une trachéotomie (comme son cou le laisse voir) pour pallier au risque d’asphyxie. Elle nécessite à présent une aide constante et ne sait plus se déplacer seule. Sa famille vit un drame au quotidien et aurait énormément souhaité savoir AVANT les risques graves possibles...

  

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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 18:16

Sans surprise, l'Agence européenne pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire (=EFSA) a estimé que la récente étude du Pr Séralini sur les risques des OGM,  était "d'une qualité scientifique insuffisante pour être considérée valide pour l'évaluation des risques".

 

Peut-on franchement s'en étonner?

 

Non bien sûr, quand on sait que les conflits d'intérêts règnent en maîtres au sein de ces agences et que donc, elles sont en quelque sorte le bras armé des industriels, surtout destinées à leur faciliter la tâche... sous couvert d'"intérêt public"! La preuve en est qu'à l'occasion d'une récente enquête publique de la Commission européenne sur l'agriculture dans l'U.E, il était demandé aux gens si leur image de Monsanto était positive ou négative (!)... indice on ne peut plus clair que l'U.E marche main dans la main avec des industriels comme Monsanto qu'elle aide ainsi au niveau de sa com' en lui offrant même du coup des sondages gratuits!

 

 

Le Pr Gilles-Eric Séralini a toutefois fort bien répondu au déni de l'EFSA en rappelant que le public n'avait plus rien à attendre de pareille instance compte tenu de ses conflits d'intérêts.

 

Le Pr Séralini s'est dit disposé à fournir sur un site public les précisions additionnelles souhaitées par l'EFSA à la condition on ne peut plus logique que cette agence révèle alors au public les données précises (et jusqu'ici tenues secrètes!!) sur base desquelles elle a osé approuver ces aliments OGM.

 

« Pour autoriser ces produits, l'EFSA a travaillé de manière laxiste à très court terme avec les données problématiques de Monsanto et très, très insuffisantes, qu'elle garde anormalement secrètes », ajoute-t-il dans un communiqué.

 

Ces données concernent une étude menée chez des rats sur trois mois par le Français Gérard Pascal qui a "beaucoup de liens avec l'industrie". Leur publication permettra de montrer qu'il a "négligé 50 effets significatifs", précise auprès de Sipa Gilles-Eric Séralini, qui rapporte avoir prolongé cette étude sur deux ans sur "le même nombre de rats et les mêmes souches" animales.

 

Source: Nouvel Obs

  

La réponse et l’esprit de répartie du Pr Séralini font réellement du bien et tranchent avec la lâcheté habituelle des mandarins, souvent plus prompts à veiller à leur carrière personnelle qu'au bien-être des citoyens.

 

Cette réponse, à elle seule, suffit à démontrer que le vent tourne et que nous assistons bien à une véritable fin de règne où la peur est en train de changer de camp : les masques tombent les uns après les autres, avec les vaccins, les OGM, le Mediator et bien d’autres scandales encore. Partout et dans tous les secteurs, les gens se rendent compte du scandaleux deux poids deux mesures des autorités officielles qui ont CONSTAMMENT avantagé les profits des fabricants au détriment de leur santé…

 

Ainsi, quelles que soient les décisions futures de ces agences officielles, le bon sens citoyen a d’ores et déjà gagné. Ces instances fumeuses se sont décrédibilisées de façon bel et bien irréversible. Méfions-nous donc bien de ceux qui prétendent agir « pour notre bien  ou notre sécurité » et occupons-nous en avant tout NOUS-MÊMES !

 

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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 20:49

Fotolia-bebe-premature.jpg

Vers un vaccin anti-prématurité grâce à la mémoire des lymphocytes T régulateurs :

 

lequotidiendumedecin.fr 27/09/2012

 

"Pour être menée à bien, la grossesse enclenche un état inhabituel de tolérance immunitaire vis-à-vis des antigènes d’origine paternelle. La protection conférée repose sur l’expansion de cellules T régulatrices (T rég), qui ont pour rôle de supprimer l’activité des cellules effectrices dirigées contre le fœtus.

 

Des chercheurs américains du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center viennent de montrer que, de façon inattendue, ces cellules T rég fœto-spécifiques persistent à des taux élevés après l’accouchement, maintiennent la tolérance vis-à-vis des antigènes fœtaux et ... réaugmentent très rapidement lors de la grossesse suivante pour la protéger. Cette observation est concordante avec le fait qu’il y a souvent moins de complications dans les grossesses suivantes par rapport à la première. D’où l’idée de concevoir des vaccins « anti-prématurité », capables d’activer la protection fœtale via la stimulation de cellules T rég fœto-spécifiques.

 

L’accumulation de cellules T rég maternelles au cours de la grossesse reflète le besoin croissant d’une tolérance envers les antigènes fœtaux. Ces cellules T rég appelées FOXP3+ sont très importantes, car même une baisse partielle et transitoire peut suffire à activer les cellules T effectrices dirigées contre le fœtus et entraîner une fausse couche. De nombreuses complications en cours de grossesse inexpliquées mais supposées provenir d’une mauvaise tolérance fœtale sont associées à une faible expansion des cellules T rég. Mais l’une des conséquences négatives de l’expansion des cellules FOXP3+ est la susceptibilité majorée aux infections prénatales. Compte-tenu des enjeux encourus, il était nécessaire de faire la part des choses et de mieux déterminer les bénéfices des cellules T rég pour la tolérance fœtale.

 

« Nous avons démontré de manière incontestable que les cellules régulatrices suppressives entraînent une mémoire immunologique spécifique, explique le Dr Sing Sing Way, l’auteur principal. Ces caractéristiques de la mémoire à l’occasion d’une grossesse (...) peuvent aussi être appliquées de manière plus large afin de mieux contrôler l’équilibre délicat entre la stimulation et la suppression immunitaire dans les maladies auto-immunitaires ». Les auteurs évoquent la possibilité de mettre au point des vaccins, qui cibleraient non pas les cellules effectrices chargées d’éradiquer un virus comme pour le vaccin polio, mais les cellules suppressives en vue de taire des réponses indésirables et d’empêcher une auto-agression dans des maladies auto-immunitaires. »

 

Dr IRÈNE DROGOU

 

Il y a des gens qui ne sont capables de concevoir le système immunitaire qu’à travers le prisme obsessionnel des vaccins.

 

Mais le plus tragique dans tout ça, c’est la spirale descendante infernale que cela suscite, le véritable nivellement par le bas de la santé publique que cela implique : on vaccine de plus en plus (y compris les femmes enceintes) et on a donc sans surprise de plus en plus d’allergies, de maladies auto-immunes, de cancers et d’affections neurodégénératives, sans parler des cas accrus de prématurité.

 

Et quelles sont les pseudos solutions miracles que la « Science » nous propose pour ne pas dire nous impose ? Autant d’autres vaccins qui seront censés lutter contre les effets secondaires des premiers. Asthme, maladie d’Alzheimer, cancer, maladies auto-immunes et même prématurité. Les mêmes fabricants qui créent une majorité de ces maladies de toutes pièces seront ceux qui profiteront de vaccins « curatifs » censés y pallier… on croit rêver !

 

Aller manipuler le vivant alors que les mécanismes NATURELS du système immunitaire sont encore trop méconnus (puisque tout est toujours analysé à l’aulne des processus artificiels de vaccination) relève de la folie. Ce n’est plus une Science responsable mais une Science menaçante pour ne pas dire plus, comme l’évoquait déjà Einstein à son époque…

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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 16:00

1.10.2012

 

"Décès d’une jeune fille de 13 ans. Prises de position officielles

 

A la mi-septembre, une jeune Espagnole de 13 ans, originaire de Gijón (Asturies) a fait une crise sévère d’asthme dix heures après l’administration de la deuxième dose de Gardasil, censé protéger contre deux souches de papillomavirus humains (HPV 16 et HPV 18) impliquées dans certains cancers du col de l’utérus. La jeune fille est décédée.

 

Des investigations sont en cours, notamment par les services de santé des Asturies (Consejería de Sanidad del Principado de Asturias) et par le ministère fédéral de la Santé, des Affaires sociales et de l’Egalité (Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad).

 

Mais, sans attendre les conclusions de l’enquête, des sociétés savantes ont déjà déclaré que rien ne laissait supposer un lien de causalité entre le Gardasil et cette crise d’asthme

 

Ainsi, le 17 septembre, la Société espagnole de pédiatrie (AEP : Asociación Española de Pediatría) a repris les conclusions de son comité technique des vaccinations et a émis un communiqué réaffirmant la sécurité et l’efficacité du Gardasil et du Cervarix et rappelant qu’ils ont fait l’objet d’une homologation par les diverses agences du médicament : la FDA (Food and Drug Administration) aux Etats-Unis, l’EMA (European Medicines Agency) en Europe, l’AEMPS (Agencia Española de Medicamentos y Productos Sanitarios) en Espagne. Sans oublier l’OMS." [...] 

 

Selon la Société espagnole de pédiatrie, le Gardasil et le Cervarix ne seraient pas contre-indiqués chez les asthmatiques. Dans ce communiqué – « Comunicado de la AEP sobre la vacuna VPH y el caso de la niña de Asturias » -, l’AEP affirme que les seuls effets indésirables fréquents seraient la rougeur locale (à l’endroit de l’injection) et, dans une moindre mesure, des épisodes fébriles. La société de pédiatrie appelle à la poursuite de la vaccination, disant que les 100 millions de doses déjà administrées dans le monde servent de preuve de la bonne tolérance et de la sécurité du vaccin, bref, d’un rapport bénéfices/risques clairement favorable.

 

[…] L’association des victimes des vaccins HPV Asociación de Afectadas por la Vacuna del Papiloma, fondée à Valence suite aux effets indésirables sévères subis par deux jeunes filles de 14 ans, appelle à signer la pétition.

 

Les signataires demandent aux professionnels de santé d’informer correctement et complètement les parents et les jeunes filles ; ils demandent aux autorités sanitaires de créer un fond de compensation pour les victimes d’effets indésirables, de retirer le Gardasil du calendrier vaccinal et de ne plus le rembourser, de renoncer aux projets d’extension de la vaccination aux garçons. […] Cette pétition est notamment soutenue par l’Association espagnole des médecins indépendants.

 

Lire l’article original: sur Pharmacritique

 

Comme d’habitude, chaque effet secondaire grave est nié et « les sociétés savantes » (généralement non indépendantes des firmes) appellent à continuer la vaccination comme si de rien n’était, au motif grotesque que les vaccins ont été approuvés par les instances ad hoc (elles aussi bien sûr non indépendantes des firmes!) 

 

Il est cependant intéressant de noter que l’Association italienne de Pédiatrie a une position différente puisqu’elle avait, déjà en 2008, initié une pétition pour faire cesser cette même vaccination anti-HPV… 

 

DERNIERES NOUVELLES, publiées sur le site de SaneVax :

 

Vous pouvez aider l’Espagne à faire interdire le vaccin HPV

 

Madrid : des professionnels de santé, des victimes des vaccinations, des experts en santé publique, des scientifiques, des promoteurs de la sécurité vaccinale ont joint leurs efforts pour demander officiellement au Ministère de la Santé et de la Politique Sociale de retirer le vaccin HPV du programme vaccinal et de créer un fond d’indemnisation pour les personnes qui ont été victimes des vaccinations.

 

AAVP

Vaccins HPV: dites NON !

 

Ce mardi 9 octobre 2012, Don Carlos Alvarez Dardet, Professeur de Médecine Préventive et de Santé Publique à l’Université d’Alicante et Dona Alicia Capilla Lanagran, Vice Présidente de l’AAVP (Association des Victimes de vaccins HPV) présenteront une conférence de presse pour expliquer les raisons de cette requête.

 

Ce n’est pas la première fois que des professionnels de santé et des citoyens espagnols manifestent leurs inquiétudes en ce qui concerne les programmes de vaccinations HPV dans leur pays. En juillet 2009 plus de 10.000 professionnels de santé et d’Associations de scientifiques ont signé un document intitulé « Justifications d’un moratoire sur l’utilisation des vaccins HPV en Espagne » qui a été remis au Département de la Santé. Il semble que les officiels du gouvernement n’ont pas pensé que les inquiétudes de plus de 10.000 professionnels étaient suffisamment significatives pour pouvoir apporter des modifications au programme de vaccination.

 

Il n’empêche que le nombre d’effets secondaires graves et de décès ayant fait suite aux vaccinations HPV n’a cessé de croître. En dépit de la propagande passée dans les médias, les citoyens espagnols continuent à voir d’un très mauvais œil que des jeunes filles (et bientôt des garçons) courent le risque d’effets secondaires graves et de décès à la suite des vaccins HPV sensés les protéger d’une maladie pour laquelle des moyens préventifs et curatifs efficaces et sûrs ont déjà fait leurs preuves.

 

Les citoyens espagnols ne comptent pas se croiser les bras alors que leurs enfants participent à une expérimentation qui devrait durer de 15 à 20 ans afin de pouvoir déterminer si oui ou non les vaccins HPV sont susceptibles de prévenir le cancer.

 

L’Espagne a besoin de votre aide

 

Avez-vous des inquiétudes par rapport à la sécurité des vaccins HPV (Garsasil et Cervarix) ? Ces vaccins sont-ils sûrs ? Sont-ils nécessaires ? Sont-ils efficaces ? Sont-ils abordables ?

 

Si vous ne pouvez répondre franchement « oui » à ces quatre questions, penez à vous joindre à la lutte de l’Espagne pour que les vaccins HPV soient retirés du marché et ce, jusqu’à ce que l’on puisse scientifiquement prouver qu’ils répondent bien à ces quatre critères.

 

L’AAVP a demandé le retrait des vaccins HPV, ainsi que la création d’un fond d’indemnisation des victimes.

 

Peu importe où vous vivez dans le monde, vous pouvez vous aussi apposer votre signature en dessous de cet important document.

 

Des professionnels de santé, des victimes de vaccinations, des experts de santé publique, des scientifiques demandent votre collaboration ; ils ont déjà signé le document pour protéger la santé des enfants espagnols.

 

Pour signer la pétition, voir en bas de ce lien: ICI

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 18:30

Le 17 septembre dernier, le journal belge La Meuse (édition Basse Meuse) diffusait un publi-reportage de Pfizer pour son vaccin Prevenar 13. Il s'agissait donc bien d'une publicité mais déguisée et présentée comme un article classique. L'article mettait en scène le Pr Van Laethem et incitait, en dramatisant la maladie au maximum, à vacciner aussi les adultes contre les pneumocoques avec le vaccin Prevenar 13. Le tout bien entendu sans un seul mot sur les risques graves possibles du vaccin, sur le fait qu'il contient de l'aluminium ou encore sur l'échec retentissant de la précédente version du Prevenar, remplacée en catimini par cette nouvelle version pour garantir au fabricant le maintien de ses profits avec ce genre de vaccin contre-productif.

 

Le jour même, Initiative Citoyenne adressait une plainte détaillée et argumentée au Jury d'Ethique Publicitaire concernant ce publi-reportage. Voir notre plainte: ICI

 

Le 25 septembre dernier, le Jury d'Ethique Publicitaire nous faisait parvenir sa décision (ICI).

 

Celle-ci considère que ce public-reportage est contraire à la loi du 25 mars 1964 sur les médicaments car celle-ci interdit les publicités de médicaments  sur ordonnance. Normalement, elle fait une exception pour les campagnes de vaccination qui comme par hasard, elles, peuvent être diffusées mais il semble que ces campagnes ne soient permises qu'après aval des autorités publiques.(ce qui renvoie à notre article sur la stratégie des pouvoirs publics voulant le monopole de la pub sur les vaccins)

 

Le Jury d'Ethique Publicitaire a donc demandé à Pfizer de ne plus reproduire ce genre de publicité.

 

Il semble tout de même pertinent de rappeler que ce n'est pas la première fois que Pfizer diffuse une publicité problématique.

 

Il y a quelques mois déjà, Initiative Citoyenne avait adressé une plainte contre Pfizer et sa publicité trompeuse et dramatisante pour son vaccin Meningitec, auprès du Jury de Déontologie publicitaire français. Celui-ci nous avait alors renvoyés à l'Agence française des Médicaments qui nous avait in fine donné raison.

 

Mais en attendant, cette publicité dangereuse a été diffusée et pour Pfizer, c'est surtout ça qui compte. C'était donc au média impliqué (La Meuse, Groupe Sudpresse) à jouer son rôle de contrôle préalable de la légalité d'une telle publicité AVANT de la diffuser dans ses pages!

 

Cela démontre une fois encore que l'industrie n'hésite jamais à violer les lois si on ne lui met aucune balise. Comme beaucoup de médias et la totalité de la classe politique ne se sont jamais montrés aptes à le faire jusqu'ici, cet Xième exemple suffit donc à démontrer l'utilité et la nécessité de collectifs de vigilance comme le nôtre.

 

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 15:45

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Lu en ce moment dans le tout nouveau livre de Virginie Belle, « Faut-il faire vacciner son enfant ? » aux Editions Max Milo, un livre dont nous recommandons d'ailleurs très vivement la lecture:

 

Extraits (en pages 94, 95 et 96) :


"Plus récemment, en 2010, l'OMS nous apprend également "la découverte d'ADN de circovirus porcins dans le Rotarix (GSK) et le Rotateq (Sanofi Pasteur MSD). L'ADN de circovirus porcins peut avoir contaminé la trypsine, enzyme isolée à partir du pancréas de porc, pour la multiplication des cellules issues de reins de singe et appelées cellules Vero, sur lesquelles sont produits les rotavirus (humains ou bovins). Plus de 100 000 molécules d'ADN de circovirus porcins (PCV) ont été détectées dans chaque dose de vaccin, soit un niveau 10 fois plus élevé que celui de rotavirus présents! Une contamination mise en évidence par le Dr Eric Delwart et son équipe, en 2010.


"Après évaluation complète de l'origine de cette contamination de certains lots de vaccins Rotarix et Rotateq et analyse des données cliniques rétrospectives, le Comité d'évaluation des médicaments à usage humain de l'Agence européenne du Médicament a conclu le 18 novembre 2010 à l'absence de risque de santé publique. Ce type de virus n'étant pas considéré comme pathogène pour l'Homme." indiquait, toujours rassurante, l'Agence française du médicament (Afssaps devenue ANSM) dans un communiqué de janvier 2011. Et d'ajouter "Les laboratoires fabricants mettent en place actuellement les mesures correctrices pour éliminer cette contamination afin que dans un avenir aussi proche que possible les lots de vaccins soient indemnes de toute présence de l'agent contaminant d'origine porcine." Ainsi, ces circovirus étaient toujours présents un an après leur découverte. Sont-ils encore dans les vaccins? "Nous sommes tenus régulièrement au courant de l'avancée de ces travaux que les firmes prévoient de terminer en 2013.", nous a précisé, par mail, l'ANSM, en juin 2012. Les nourrissons seront donc vaccinés avec ces produits contaminés, à minima jusqu'en 2013! Et QUI prévient les parents?[…] On nous affirme que ce circovirus n'est pas pathogène, mais qui peut présager avec certitude de l'innocuité de ces séquences ADN de porc dans l'organisme d'un nourrisson? Pour clore le tout, l'ADN du circovirus porcin a été retrouvé dans les selles d'enfants vaccinés dans le cadre d'essais cliniques."

 

Extraits en pages 99,100, 101 et 102 :


"Enfin, intéressons-nous aux cellules hétéroploïdes, qui ont la particularité de se multiplier très rapidement. Ce sont des cellules "anormales" qui contiennent une quantité variable de chromosomes. Dit plus clairement, ces cellules sont tumorigènes, c'est à dire susceptibles d'induire des tumeurs cancéreuses. Depuis peu, elles constituent une étape essentielle dans la fabrication des vaccins mais posent encore énormément de questions. "Le grand débat philosophique est: peut-on utiliser une cellule tumorigène pour faire un vaccin destiné à des enfants? Certains disent que les quantités d'information génétique, c'est à dire d'ADN, étant extrêmement faibles, il n'y a aucun risque, certains disent attention, on vaccine des enfants, que va-t-il se passer dans cinquante ans?" explique Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur avant de rajouter "C'est actuellement le débat aux Etats-Unis, avec le vaccin contre la grippe produit sur MDCK par Novartis. Le débat au niveau de la FDA reste très élevé, car c'est moralement un problème très important."


Parmi les cellules tumorigènes utilisées et pouvant induire des tumeurs malignes on compte donc les MDCK, issues de reins de chiens! Marche-t-on sur la tête? Surprenante découverte que ces manipulations. Le fameux vaccin antigrippal "américain" dont parle Jean-François Saluzzo, est l'Optaflu de Novartis. Il a également reçu son autorisation de mise sur le marché en Europe, depuis juin 2007! C'est le premier vaccin homologué à être produit sur de telles cellules."

 
Inquiété par ce nouveau process de fabrication, le médecin et épidémiologiste allemand Wolfgang Wodarg, également président de la subcommission pour la Santé du Conseil de l'Europe, a tiré la sonnette d'alarme. [...] "C'est sur ces cellules au rendement très élevé qu'on cultive les virus. Seulement pour fabriquer le vaccin, il faut extraire à nouveau les virus de ces cellules sur lesquelles ils ont été implantés. Et il peut donc se produire que durant le processus de fabrication du vaccin, des restes de cellules cancéreuses demeurent dans la préparation. [...] Il ne peut donc pas être exclu que des protéines, restes d'une cellule cancéreuse présente dans un vaccin fabriqué par bio-réacteur, engendrent une tumeur chez la personne vaccinée. Selon un vrai principe de précaution, il faudrait donc, avant qu'un tel produit ne soit autorisé sur le marché, avoir la certitude à 100% que de tels effets sont réellement exclus. Or l'Agence européenne du médicament (EMA), une institution sous la responsabilité du commissaire européen à l'économie, basée à Londres, qui donne les autorisations de mise sur le marché des vaccins en Europe, a donné son feu vert à la commercialisation de ce produit en arguant, en l'occurrence, que ce mode de fabrication ne constituait pas un risque significatif." En 2010, Wolfgang Wodarg est donc intervenu au Bundestag, l'Assemblée parlementaire allemande, dont il était membre, pour que le vaccin ne soit pas utilisé en Allemagne. "J'ai fait savoir que je n'étais certainement pas opposé à l'élaboration de vaccins avec cette technique. Mais qu'il fallait d'abord avoir une garantie totale d'innocuité. Le produit n'a donc pas été utilisé en Allemagne où le gouvernement a résilié le contrat avec Novartis." ajoute-t-il. Ce vaccin n'a pas encore été commercialisé en France... pour l'instant. En revanche, un vaccin nommé Celtura, du même laboratoire, a été administré aux Suisses, pendant la pandémie de grippe H1N1. Il contenait ces fameuses cellules tumorigènes. Et que lit-on sur la notice? "Contient des traces de protéines canines issues des lignées cellulaires MDCK." Auraient-ils accepté cette vaccination s'ils avaient su? La transparence devrait commencer ici. Le cas échéant, nous devenons des cobayes humains."
 
Sur l'aluminium vaccinal, AVEUX ACCABLANTS DU MEDECIN GSK RESPONSABLE DES ADJUVANTS (!) – en page 103 et 104:

 

"En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." Dr Nathalie Garçon, spécialiste des adjuvants pour Glaxo Smith Kline, à l'occasion d'un atelier sur l'évaluation de la sécurité des vaccins, Etats-Unis, 2002. (cfr ici, p 220)

(Nathalie Garçon dirige actuellement le Centre des adjuvants vaccinaux des laboratoires GlaxoSmithKline Biologicals (GSKB), en Belgique)

 

En dépit de cette « ignorance » poursuit Virginie Belle, la firme continue d’utiliser les sels d’aluminium dans la plupart de ses vaccins. Cette absence de données pharmacotoxicologiques ne dérange pas non plus les autorités qui valident docilement la commercialisation de ces produits. »


Propos des Prs Shaw et Petrik sur l'aluminium vaccinal (en page 106) :


"La neurotoxicité PROUVEE de l'hydroxyde d'aluminium et son ubiquité relative en tant qu'adjuvant semblent justifier une surveillance accrue de la part de la communauté scientifique." concluent ces professeurs.


"L'hydroxyde d'aluminium constitue UN DANGER POUR LES ENFANTS VACCINES, d'une part à cause de "l'effet retard" de cette substance, d'autre part car la barrière hémato-encéphalique, qui protège leur cerveau, reste ouverte jusqu'à l'âge de 2 ans et demi. La toxicité de l'aluminium représente donc un danger pour le rythme du développement du système nerveux central" précise encore le Pr Chris Shaw.

 

Les autorités et les fabricants de vaccins se foutent donc littéralement de vous, de votre santé et de celles de vos enfants. En dépit de leurs beaux « slogans » selon lesquels votre santé est leur priorité, il s’avère en réalité que ces « partenaires naturels » surpuissants des pouvoirs publics vous font courir des risques tout à fait disproportionnés après avoir habilement préparé l’opinion publique et dramatisé honteusement la maladie contre laquelle on vaccine.

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 14:50

25 septembre 2012

 

Medicago recevra jusqu'à 12 millions $ US en paiement initiaux et paiements d'étape ainsi que des redevances

 

"QUÉBEC, le 25 sept. 2012 /CNW/ - Medicago Inc. (TSX: MDG; OTCQX: MDCGF), société biopharmaceutique spécialisée dans la mise au point de vaccins très efficaces et concurrentiels, fondés sur des technologies de fabrication exclusives et sur des particules pseudo-virales (PPV), a annoncé aujourd'hui la signature d'une entente de licence avec Philip Morris Products SA (« PMP »), filiale de Philip Morris International Inc. (NYSE/Euronext Paris: PM), la principale société internationale de produits du tabac dont les produits sont vendus dans environs 180 pays

 

En vertu de l'entente, Medicago octroie à PMP une licence exclusive pour mettre au point, fabriquer et commercialiser des vaccins contre la grippe pandémique et saisonnière pour la Chine. En outre, Medicago a signé une licence mondiale exclusive portant sur un ensemble de technologies de mise au point de protéines à base de plantes de PMP."

 

Source: Newswire.ca 

 

Medicago, jusqu’ici peu connue a-t-elle besoin de s’allier à des marques connues et bien implantées dans le monde pour fourguer ses vaccins pseudo bios ?

 

Nul doute que cette technologie « à base de plantes » en leurrera certains en ce sens (hélas).  Mais il est aussi intéressant de ne pas avoir ici la mémoire trop courte… souvenez-vous, il y a quelques mois, des articles retentissants (dans le Monde notamment) faisaient état du scandale des « Tobacco Documents », des notes internes aux grands cigarettiers comme Philip Morris enfin révélées au public et attestant de toutes leurs manœuvres pour contourner les évaluations et les restrictions règlementaires et ainsi masquer la dangerosité de leurs produits.

 

Extrait de cet article du Monde : « Les experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en ont tiré un rapport explosif de 260 pages, publié en juillet 2000, montrant comment les cigarettiers avaient infiltré leur organisation grâce à des associations écrans ou à des scientifiques secrètement payés par eux. Le tout, bien sûr, pour entraver la mise en œuvre de politiques de contrôle du tabac. Et lors des poursuites engagées en 1999 par l'administration Clinton, en partie fondées sur les "documents", les procureurs fédéraux ont plaidé que les manufacturiers américains du tabac ont "préparé et exécuté – et continuent à préparer et exécuter – un vaste complot depuis un demi-siècle pour tromper le public. »

 

Pouvons-nous donc vraiment avoir confiance cette fois ? Si ce genre de firme a déjà pu si facilement influencer et infiltrer l’OMS, ce sera un jeu d’enfants pour eux avec cette histoire de vaccins (compte tenu de l’infiltration préalable de l’OMS par les fabricants de vaccins et son idéologie vaccinale carrément maladive).

 

Mais il est sans doute apparu à des cigarettiers comme Philip Morris que ce genre de partenariat en matière de vaccination pourrait constituer une bonne « opération de com »  très stratégique, qui pourrait ainsi peut-être leur permettre de redorer leur blason décidément très obscurci depuis la publication de ces « Tobacco Documents ». Ainsi, de « Conspirateurs du tabac » (pour reprendre le titre d’un livre autour de ces « Tobacco Documents »), ils pourraient passer au statut de protecteurs de la santé mondiale en cas de dangereuse pandémie. Du moins le croient-ils…

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 13:22

tiques.jpg

Voici ce qu'on peut notamment lire sur le site de l'Office fédéral suisse de la Santé au sujet de l'encéphalite à tiques:  

 

"Il existe un vaccin sûr et très efficace pour se protéger de la maladie. Celui-ci est recommandé pour toutes les personnes, généralement dès l'âge de 6 ans, qui habitent ou séjournent temporairement dans des régions comportant des foyers naturels (zones d'endémie, voir aussi publications correspondantes)."

 

Ces vaccins actuellement commercialisés sont connus des chercheurs du monde entier et se cachent sous les noms commerciaux de FSME Immun, Ticovac ou encore Encepur. Ces vaccins sont censés protéger de l'encéphalite à tiques et pas de la maladie de Lyme (nous prenons le soin de le préciser).

 

Pourtant, le site bulletins-electroniques.com rapportait le 25 septembre dernier que des scientifiques slovaques planchaient sur la recherche d'un vaccin "efficace contre les tiques et les maladies qu'elles transmettent."

 

Jusque là, rien d'anormal, la maladie de Lyme n'étant pas prévenue par la vaccination contre l'encéphalite à tiques.

 

Mais ce qui est le plus troublant en revanche, c'est que ces scientifiques slovaques qui n'ignorent sûrement pas l'existence de ces vaccins déclarent:

 

« Il est important de mettre au point une méthode de fabrication de vaccins efficaces contre les morsures de tique qui protège de la transmission des maladies. Nous cherchons un vaccin inhibant le transfert du virus de l'encéphalite des tiques et des spirochètes Borrelia burgdorferi (à l'origine de la maladie de Lyme), de la tique vers l'organisme hôte ", explique Ladislav Roller de l'Institut de Zoologie de l'Académie slovaque des Sciences [3]. »

 

SI les vaccins actuellement disponibles contre l'encéphalite à tiques étaient réellement efficaces, comment se fait-il alors que ces chercheurs slovaques affirment vouloir mettre aun point des vaccins efficaces contre cette même encéphalite à tiques notamment?

 

Voilà une des innombrables incohérences qui émaillent ce qu'on appelle la "vaccinologie", une pseudo science qui n'a définitivement de scientifique que le nom.

 

Cela fait également penser au vaccin contre la coqueluche, qui s'avère de plus en plus inefficace malgré des taux de vaccination qui crèvent les plafonds mais que la communauté médicale continue de présenter comme "hautement efficace" aux parents pour ne pas les dissuader de faire vacciner leurs enfants. Dans le même temps, ces mêmes scientifiques écrivent dans leurs publications professionnelles (hors du regard des parents qui ne les lisent pas) qu'il serait bon de développer un nouveau vaccin plus efficace.

 

Ce double discours scandaleux se retrouve aussi pour un vaccin comme celui contre les oreillons mais aussi au sujet du vaccin anti-hépatite B qu'on nous a toujours présenté comme très sûr et très efficace. Toutefois, il y a 2 ou 3 ans, un reportage sur RTL évoquait la recherche d'un nouveau vaccin contre l'hépatite B. Cherchez l'erreur...

 

Et pour en revenir aux recherche sur de nouveaux vaccins contre l'encéphalite à tiques notamment, voyez aussi les méthodes qui seront notamment employées:

 

« La base de données, qui doit être crée dans le cadre de ce projet, couvrira un large spectre de génotypes de bactéries infectées, à partir desquels seront fabriquées des biopuces sensibles et des tests ADN pour la détection rapide des pathogènes. Les résultats attendus pour la fin de l'année 2013 laissent présager des applications en épidémiologie, parasitologie, immunologie et médecine clinique et vétérinaire. »

 

Quand on sait que l'Office de la Santé suisse conseille également de «respecter les mesures générales de protection contre les tiques : porter des vêtements couvrant la peau et fermant bien et éviter les sous-bois. Les produits répulsifs pour la peau et les insecticides pour les vêtements sont utiles. », on ne peut que se demander l’utilité d’encourir après cela les risques d’une vaccination et/ou conclure à la très mauvaise efficacité de celle-ci. CQFD !

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