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8 avril 2017 6 08 /04 /avril /2017 12:45

« J’ai vu mourir des animaux de compagnie pendant toute ma carrière », déclare le Dr John Robb, vétérinaire. Des décennies de recherche ont pourtant établi un lien entre les décès d’animaux de compagnie et la sur-vaccination

Le Dr John Robb, vétérinaire dénonce la survaccination des animaux

Son plaidoyer est accueilli avec le sourire !

 

Au cours de 32 dernières années, le Dr John Robb s’est battu pour sauver des animaux de compagnie. En tant que vétérinaire, il a prêté serment de protéger ses patients à tout prix, même si cela devait enfreindre la loi.

 

Son principal combat a porté sur le problème de la sur-vaccination des animaux de compagnie.- Il a été ridiculisé, arrêté, mis en probation, et a une fois perdu sa clinique. Mais rien ne peut l’arrêter après avoir vu tous ces animaux souffrir et même mourir. Le vaccin qui l’a le plus préoccupé est le vaccin contre la rage. Le Dr Robb estime que le vaccin reste efficace pour toute la vie d’un animal (un test sanguin peut le déterminer). Toutefois, en raison, en grande partie, de l’immense influence et de la puissance des fabricants de vaccins, le vaccin contre la rage est recommandé chaque année. Le Dr Robb déclare qu’il a vu des animaux vomir immédiatement après le vaccin, devenir malades, développer des maladies auto-immunes, des cancers et parfois même la mort. Non seulement le nombre de vaccins n’est pas réglementé, mais la dose n’est pas non plus ajustée en fonction du poids corporel, ce qui rend le vaccin potentiellement dangereux et même létal pour les animaux de petite taille. Un chat de 5 livres reçoit normalement le même vaccin que celui d’un chien de 100 livres.

 

Le Dr Robb trouve cela scandaleux, et il a administré des demi-plans de vaccin à ses plus petits patients. Cela lui a valu quantité de problèmes au cours des années, mais il n’est pas prêt à abandonner.

 

Le 22 février, il s’est exprimé devant le Conseil des fonctionnaires de l’Etat du Connecticut, les exhortant à se pencher sur la recherche en ce domaine, de même qu’à prêter une oreille attentive à ce que racontent les vétérinaires qui ont pu observer les effets secondaires désastreux des vaccins. Il les a exhortés à changer les lois traitant des vaccins pour animaux de compagnie. Mais au lieu d’être entendu, on l’a ignoré, ri de lui, et ces gens ont agi comme s’il n’avait rien dit.

 

Le Dr Robb s’exprime devant les fonctionnaires de l’Etat du Connecticut au sujet de la sur-vaccination des animaux de compagnie.

 

« Il y a des milliers d’animaux de compagnie qui meurent chaque jour », a déclaré le Dr Robb aux responsables de l’Etat du Connecticut.

 

Pour appuyer son point de vue, le Dr Robb a fourni à ces autorités 45 documents montrant que les vaccins sont « dose-dépendants ». Il leur a expliqué que des doses trop importantes pouvaient tuer un animal. Ces documents montraient également que, dans de nombreux cas, les vaccins de rappel ne sont pas nécessaires et ne protègent pas l’animal.

 

« Le patient ne reçoit aucun bénéfice et peut être exposé à un risque sérieux lorsqu’un vaccin inutile lui est administré », comme le précise un des articles présenté et écrit par le Dr Schultz.

 

Les vaccinations de rappel sont une pratique courante. Alors que les lois du Connecticut sur le dosage du vaccin sont vagues, la plupart des Etats exigent des vétérinaires qu’ils donnent la dose complète du vaccin, quelle que soit la taille de l’animal.

 

En ce qui concerne le vaccin contre la rage, celui-ci est administré à 12 semaines, puis répété au moins tous les trois ans. Mais en fait, il est le plus souvent administré chaque année. Il est également recommandé que quatre doses du vaccin soient administrées en seulement deux semaines chaque fois qu’un animal de compagnie entre en contact avec un animal potentiellement enragé.

 

Pourquoi tous les trois ans? Le Dr Schuttz explique que le coût élevé de ces études sur les vaccins a empêché de poursuivre les recherches pour savoir pendant combien de temps ces vaccins pouvaient se maintenir efficaces.

Le Dr John Robb, vétérinaire dénonce la survaccination des animaux

         Ne sur-vaccinez pas vos animaux de compagnie. Cela peut les tuer !

 

La plus longue étude sur le vaccin contre la rage a duré trois ans, ce qui, selon lui, n’est tout simplement pas assez long. Il fait valoir que le vaccin est capable de fournir une immunité pendant des périodes beaucoup plus longues.

 

Actuellement, le Dr Schuttz est impliqué dans la « Rabies Challenge Fund », un projet visant à prolonger l’intervalle recommandé entre les rappels de trois ans à cinq ans, voire sept ans.

 

De son côté, le Dr Robb est convaincu qu’un vaccin contre la rage est valable, non seulement pour sept ans, mais pour la vie entière. Le Dr Robb a pu observer différents effets secondaires du vaccin comme des vomissements, des tumeurs au site d’injection, des maladies immunitaires et des décès immédiats (réaction allergique à un antigène).Le Dr Robb refuse d’administrer un vaccin complet aux animaux qui sont trop petits. Pour avoir pensé et agi de la sorte, il a été mis en probation et ne peut plus administrer aucun vaccin.

 

Il a contesté l’avis du Conseil d’Etat du Connecticut. La réponse qui lui a été faite l’a profondément choqué. « J’ai demandé au conseil d’Etat si je devais tuer un animal pour obéir à cette loi. Devrais-je vraiment le faire ? a-t-il demandé. - On lui a répondu que « oui ».

 

Quand une représentante a commencé à rire en disant : « J’ai passé toute ma carrière dans la pharmacie… », le Dr Robb lui a coupé la parole en disant : « Moi, j’ai passé ma carrière en voyant ces animaux mourir. »

 

Il est aussi possible que cette discussion sur les effets secondaires des vaccins administrés aux enfants constitue l’un des plus importants problèmes ayant trait aux lois sur la santé. Ces lois sont passées par des gens qui ont été mis en place par le principe des « portes tournantes ».

 

« Je dois faire ce que disent les fabricants. Et, le Conseil d’Etat du Connecticut dit: «si je dois tuer mon animal de compagnie, je dois le tuer parce que c’est la loi ».

 

«Personnellement, j’ai fait le Serment d’Hippocrate. Il s’agit là d’une loi plus importante jamais passée dans l’Etat du Connecticut. Cette loi qui voudrait que je tue mon patient. Cela je ne le ferai jamais. »

 

Source : Althealthworks

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7 avril 2017 5 07 /04 /avril /2017 21:43

Oui, les jeunes sont terriblement en danger avec cette pléthore de vaccins indéfendables, au rang desquels bien sûr le sinistre vaccin HPV Gardasil, aussi inutile que dangereux. Il est salutaire et bienfaisant que les victimes de ces poisons témoignent pour offrir ainsi des chances supplémentaires aux autres d'éviter ce genre de drame sanitaire, social et professionnel. Ne sacrifiez plus votre santé et celle de vos enfants aux intérêts des lobbies, de grâce..... & grand merci aux victimes pour leur parole libre, indépendante et éminemment utile à tous!

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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 21:47

              Une pédiatre pratiquant depuis plus de 30 ans

 

Elle voit beaucoup d’enfants dont la santé est endommagée par les vaccins. Elle pense que les enfants reçoivent trop de vaccins

Pédiatre depuis 30 ans, elle estime que les enfants sont trop vaccinés et qu'ils sont endommagés...

Health Impact News, 4 avril 2017

 

Le Dr Franz commence l’entrevue en déclarant que son histoire est très semblable à celles des personnes que l’équipe du film VAXXED a interviewées. Comme ces personnes, elle croyait dur comme fer aux vaccins. Elle fait remarquer que quand elle a commencé à pratiquer on administrait jamais plus de deux vaccins à la fois. Le Dr Franz témoigne que même quand les enfants recevaient moins de vaccins, elle enregistrait des « problèmes » chez les enfants vaccinés. Des enfants sous monitoring présentaient davantage d’« alarmes » qui l’amenaient à faire face à des complications, comme à des fièvres élevées.

 

A la fin des années 1980 quand le nombre des vaccins a augmenté, les autorités sanitaires voulaient qu’elle administre davantage de vaccins (quatre ou cinq) au cours d’une seule visite. Elle avoue que cela lui posait problème. Elle finit par décider qu’elle n’administrerait qu’un maximum de deux vaccins au cours d’une même séance.

Pédiatre depuis 30 ans, elle estime que les enfants sont trop vaccinés et qu'ils sont endommagés...

Mais même en réduisant le nombre de vaccins administrés en une seule fois, elle était obligée de constater que la santé de certains enfants s’en trouvait vraiment endommagée.

 

Elle a commencé à voir beaucoup d’enfants autistes dont les parents rapportaient toujours la même histoire. Ces parents expliquaient que leur enfant était en parfaite santé avant qu’il ne reçoive le vaccin, puis en moins d’une semaine ils ne le reconnaissaient plus. Il perdait le contact visuel et ne parlait plus.

 

Des cas pareils, elle en avait entendu tellement qu’elle a commencé à faire ses propres recherches. Et comme beaucoup d’autres médecins qui, par habitude, croyaient aux vaccins sans avoir effectué leurs propres recherches, le Dr Franz fut profondément troublée par ce qu’elle découvrait.

 

Elle commença par se rendre compte que de nombreux ingrédients des vaccins s’avéraient toxiques.

 

« Je puis vous dire aujourd’hui, après avoir pratiqué la médecine pédiatrique depuis plus de 30 ans, que les enfants que je vois aujourd’hui sont plus malades que ceux que je voyais au début de ma carrière.

 

Selon le Dr Franz, avant qu’un enfant ait atteint l’âge de 5 ans, il aura reçu beaucoup trop de vaccins.

 

Source: Health Impact News

 

Voir aussi:

 

Réaction d'un médecin après avoir vu le documentaire Vaxxed

 

+ Partout, dans tous les pays et dans toutes les langues, les innombrables documentaires et reportages qui disent la même chose, que les risques GRAVES des vaccins sont dramatiquement sous-estimés.............. les vaccinations obligatoires n'auront jamais, nulle part, la moindre légitimité et violent la dignité et l'intégrité humaines!

Savoir avant, pour ne pas regretter indéfiniment après.... les langues ne se délient que progressivement mais maintenant + que jamais...

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4 avril 2017 2 04 /04 /avril /2017 20:49

LE DR. MEEHAN, M.D. REAGIT après avoir vu le film « VAXXED, cover-up to catastrophy »

Réaction d'un médecin après avoir vu "Vaxxed", le documentaire-vérité sur les vaccins...

(Extraits)

 

Ce soir, je voudrais chaudement vous recommander d’aller voir le film documentaire VAXXED.

 

C’est hier que j’ai eu l’occasion d’aller voir ce film. J’ai été très impressionné. Ce film extrêmement motivant devrait tous nous inciter à passer à l’action par rapport à cette fausse et frauduleuse science du gouvernement, du CDC (Centres Américains de Contrôle et de Prévention des maladies).

 

Ce film vous apprendra que des scientifiques se sont réunis pour détruire des documents gênants, des données qui montrent le lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’autisme.

 

Depuis des années, on n’a cessé de nous parler de l’étude parue dans Pediatrics où le vaccin ROR est présenté comme exempt de tout soupçon, alors qu’il s’agit en fait d’un sale vaccin. La vérité a été cachée au public pendant des années jusqu’à ce que le Dr William Thompson, PhD, directeur de cette étude, accablé de honte et de culpabilité se soit levé pour enfin dire la vérité. Cette fraude  a touché toute la profession médicale, comme des millions et des millions d’enfants.

 

Nous avons affaire à une épidémie d’autisme dans ce pays. Ici aux Etats-Unis, plus d’un million d’enfants ont reçu le diagnostic d’autisme, et leur nombre ne cesse de croître.- Aujourd’hui un enfant sur 48 est autiste. Si les choses continuent d’ évoluer de cette manière, dans 16 ans, soit en 2032, 1 enfant sur 2 sera autiste. 80% des garçons en seront atteints. Nous ne pouvons pas nous permettre de payer pareil prix ! Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre ces trésors, ces jeunes de notre pays. Nous ne pouvons pas permettre que des parents doivent quitter leur métier pour pouvoir s’occuper de leurs enfants autistes.

 

Que vous ayez des enfants ou pas importe peu. Il faut que tout le monde se lève pour dénoncer cette corruption du gouvernement, de l’industrie et des Agences de Santé. La situation est tout simplement intenable. […]

 

La science d’aujourd’hui est beaucoup trop corrompue. Une partie de cette science relève aujourd’hui de la pure fraude.

 

 

Renseignez-vous, informez-vous, protégez-vous, protégez vos enfants et exigez que l’on approfondisse les recherches. Demandez que le Dr Thompson soit entendu par le Congrès pour que la vérité éclate enfin au grand jour. Le fait que le Dr Thompson n’ait pas encore eu la possibilité d’être entendu par le Congrès Américain est tout simplement une parodie de justice. Il y a de plus en plus de preuves que c’est l’argent qui empêche que la vérité éclate au grand jour.

 

Je vous conseille vivement d’aller voir le film documentaire du Dr Wakefield et de Del Bigtree : VAXXED.

 

Toutes les preuves sont là : les notes, les enregistrements des coups de fil, des conversations. Tout dénonce la fraude. Ce film va vous ouvrir les yeux, vous motiver pour l’action.

 

On ne peut plus se permettre de perdre un enfant de plus à cause de toute cette corruption !

Le Dr Jim MEEHAN, MD s’adresse à tous les pédiatres (Extraits)

 

18 février 2017

Réaction d'un médecin après avoir vu "Vaxxed", le documentaire-vérité sur les vaccins...

Vous devriez vous DEMENER COMME DES DIABLES pour la sécurité de nos enfants par rapport à la possibilité même la plus lointaine que les vaccins ne soient pas sûrs, en tout cas pas aussi sûrs que l’on veut bien nous dire.

 

Au lieu de vous battre pour la vérité et la sécurité, vous vous battez comme des rats pour un morceau de fromage !

 

JE N’AI PAS LE MOINDRE RESPECT pour ceux qui profitent des vaccins, qui sont endoctrinés ou ignorent volontairement les preuves qui montrent clairement que les vaccins provoquent des dommages de santé, des maladies comme l’autisme régressif, qui exercent des pressions agressives sur le législateur pour rendre les vaccins obligatoires et refusent aux parents l’accès à l’information essentielle au sujet des risques des vaccins, comme de leurs ingrédients toxiques.

 

Achetés par les grandes compagnies pharmaceutiques, ceux qui devaient être les gardiens et les protecteurs de la santé de nos enfants contribuent par leur attitude à leur nuire. Ils profitent de situations où la santé de nos précieux enfants peut être mise à mal. Nos enfants peuvent même parfois mourir, par des vaccins remplis de conservateurs, d’adjuvants neurotoxiques, de matériel cellulaire humain dérivé de lignées cellulaires de fœtus avortés.

 

Ces gens-là peuvent être complices de meurtres à cause des vaccins qui ont fait que les enfants américains qui sont les plus vaccinés au monde, présentent le taux le plus élevé au monde de mortalité au cours de la première année de vie.

 

Le taux de mortalité infantile en Amérique est en effet le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays développés. Il s’agit d’une tragédie nationale.

 

Les preuves abondent: l’épidémie d’autisme, les maladies auto-immunes, l’asthme, les allergies, le TDAH, les cancers pédiatriques et bien pire encore.

 

L’épidémie d’autisme augmente de façon exponentielle. Aujourd’hui en Amérique un enfant sur 48 souffre d’autisme. D’ici 2032, au rythme actuel de cette progression, un enfant sur deux sera autiste (80% des garçons souffriront d’autisme). Nous ne pouvons pas nous permettre de sacrifier nos enfants et le futur de notre nation à l’ignorance et à la cupidité des pédiatres, comme aux fabricants de vaccins qui demandent que les parents soumettent leurs enfants à un programme de 72 injections non nécessaires, dangereuses, insuffisamment testées et dont le nombre ne cesse de croître. Il y aurait encore plus de 200 vaccins dans le pipeline.

 

Tout pédiatre, médecin de famille, personne qui profite du commerce des vaccins qui ne se lève pas contre la corruption de la science vaccinale relayée par le CDC, ne fait que trahir le serment d’Hippocrate « D’abord ne pas nuire ». Ces gens-là sont du mauvais côté de l’histoire. Ils sont trop nombreux à avoir abandonné l’objectivité et la raison. Ils sont devenus les représentants des fabricants de vaccins qui sont si facilement parvenus à les conditionner à croire à leurs mensonges. C’est le sang même des enfants handicapés ou tués qui entache les mains des pédiatres qui répètent comme des perroquets les mensonges dont on leur a bourré le crâne comme : « les vaccins ne provoquent pas l’autisme », « la science est fixée une fois pour toutes ».

 

La science n’est pas fixée; elle est corrompue.

 

L’industrie du vaccin sera bientôt confrontée à la réaction brutale des médecins, des scientifiques et des parents Américains qui commencent à prendre conscience des mensonges et des crimes commis et qui tiendront les auteurs de ces pratiques responsables. La tromperie et la fraude commencent à toucher à leur fin. Le peuple ne permettra dorénavant plus que tout ce drame continue. […]

 

Il est clair que je suis en colère contre tous ces collègues qui refusent de s’ouvrir à ce drame, qui refusent de dénoncer la situation ou qui ne font rien pour y mettre fin.

 

Pour terminer, je voudrais prier mes collègues d’ouvrir les yeux, leur esprit et d’oser regarder les preuves en face. Je voudrais vous suggérer d’oser accepter de voir que vous avez été dupé, contrôlé et endoctriné. Puissiez-vous exiger la transparence scientifique, l’intégrité et la réforme de la situation. Rejoignez-moi dans cette lutte pour la protection de nos enfants en vous mettant du bon côté de l’histoire.

 

Ensemble nous pouvons mettre fin à ces abus.

 

Source: Facebook

Réaction d'un médecin après avoir vu "Vaxxed", le documentaire-vérité sur les vaccins...

« Ce que le Centre de Contrôle des Maladies vous dit n’est pas scientifique. Ce que rapporte le New York Times n’est pas scientifique. Et ce que votre médecin vous raconte n’est pas scientifique… » Robert F. Kennedy Jr.

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2 avril 2017 7 02 /04 /avril /2017 14:22

Décès simultané de jumeaux après une série de vaccins

 

Le Comité médical juge qu’il s’agit d’une simple coïncidence

 

Erin Elizabeth, 1er février 2017

Décès simultané de jumeaux après une série de vaccins

Etant donné que des décès soudains et simultanés de jumeaux se produisent rarement, on pourrait penser – surtout étant donné que ces nourrissons ont été récemment vaccinés – que ce cas puisse recevoir un peu plus d’attention. Ce drame a cependant été largement ignoré […].

 

PubMed rapporte que des filles jumelles, âgées de 3 mois et demi nées par césarienne, ont été retrouvées mortes (par leur maman) dans leur berceau, toutes les deux étaient couchées sur le dos. Les deux bébés étaient en parfaite santé et n’avaient eu aucun incident médical grave.

 

Deux jours avant leur décès les deux petites filles avaient reçu leur deuxième dose de vaccin antipoliomyélitique oral, le DTCa, ainsi que leur première dose de vaccin contre l’hépatite B. Le lendemain, elles firent toutes les deux de la fièvre et reçurent une cuiller à café d’acétaminophène.

 

Pourtant, malgré l’enquête sur le décès, l’enquête judiciaire, l’évaluation parentale, les résultats de l’autopsie macroscopiques et microscopiques, ainsi que l’analyse toxicologique n’ont pas pu déterminer la cause du décès. Du fait que ce cas était très rare, les résultats des examens furent transmis à l’Institut de médecine légale, ainsi qu’au Ministère de la Justice à Istanbul. Le Conseil a statué que les données dont il disposait étaient compatibles avec un cas de Mort Subite du Nourrisson (MSN).

 

(Nous nous permettrons d’ajouter ceci :

 

Un journal médical rapporte que des jumelles sont décédées après avoir été récemment vaccinées, mais ce ne serait là rien de plus qu’un cas relevant du hasard. La chose est aussi sensée que ce que disent certains pédiatres qui prétendent que certains enfants « font tout le temps de la fièvre » !)

 

Source: Healthnutnews

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27 mars 2017 1 27 /03 /mars /2017 20:55

extrait de l'émission récente d'Arte sur les vaccins

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25 mars 2017 6 25 /03 /mars /2017 21:27

Le vaccin contre la grippe porcine a déclenché une narcolepsie chez ma fille, 2 semaines après le vaccin

 

MAINTENANT, JE VEUX QUE JUSTICE SOIT RENDUE POUR MA FILLE, MATHILDA, explique Clara Crisp

 

Paul Gallagher, 11 janvier 2017

Narcolepsie chez sa fille deux semaines après le vaccin contre la grippe pandémique. Elle réclame justice à présent...

Clara Crisp avec sa fille Mathilda qui a souffert de graves troubles du sommeil endéans les 2 semaines qui ont suivi le vaccin. Aujourd’hui, elle souffre de catalepsie.

 

Des militants demandent maintenant une enquête publique à l’échelle européenne sur la façon dont un vaccin peut déclencher un sommeil dévastateur pour la santé, ainsi que des troubles cérébraux. Il s’agit d’un scandale qu’ils prétendent  aussi important que celui de la thalidomide. Près de 1700 personnes ont souffert de narcolepsie après avoir été vaccinées contre la grippe porcine. Ces personnes se sont engagées à poursuivre leur lutte pour la justice à l’Union Européenne. Ce groupe d’Européens, dont près de 100 Britanniques, réclame une enquête publique après avoir souffert d’une maladie débilitante déclenchée par l’utilisation du vaccin Pandemrix pour traiter l’épidémie de grippe porcine de 2009/2010.

 

La narcolepsie est une affection neurologique rare qui affecte la capacité du cerveau à réguler le cycle normal veille-sommeil. Cela peut conduire à des symptômes tels que le sommeil nocturne perturbé, une somnolence diurne excessive. Elle peut aussi conduire à la catalepsie – terme donné à la faiblesse musculaire soudaine déclenchée par des émotions fortes comme le rire, la colère et la surprise. En conséquence, la catalepsie est souvent considérée comme un trouble du sommeil, mais sa cause sous-jacente la fait davantage classer comme un trouble du système nerveux central. Les familles britanniques se sont vu refuser l’indemnisation du Ministère du Travail et des Pensions car le gouvernement ne reconnaît pas cette condition comme une « invalidité grave ». Des représentants des groupes nationaux de narcolepsie du Royaume-Uni, d’Irlande, de Suède, de Finlande, du Danemark et de Norvège, ainsi que d’autres parents d’enfants touchés ont, en décembre, rencontré Vytenis Andriukaitis, commissaire européen à la Santé et à la Sécurité Alimentaire, à Bruxelles . Ils l’ont pressé de reconnaître ces problèmes et ont exigé une enquête publique sur les leçons apprises en ce qui concerne les futures pandémies. Le groupe a également plaidé pour l’introduction de normes de compensation pour les dommages dus aux vaccins dans toute l’Union européenne, car il existe une grande disparité parmi les méthodes d’indemnisation des complications vaccinales. Ils ont également demandé plus de clarté par rapport au financement de la recherche pour les traitements.

 

On ne sait pas trop comment ces dommages peuvent être causés par le vaccin

 

Alors que la vaste majorité des personnes ayant reçu le Pandemrix n’ont pas connu d’effets indésirables, 1698 adultes et enfants de toute l’Europe ont été enregistrés dans la base de données de l’UE sur les effets indésirables qui ont déclenché des narcolepsies après avoir reçu le vaccin contre le H1N1. Alors que GlaxoSmithKline (GSK) le fabricant du Pandemrix, avait reconnu le lien, et que certains patients et leurs familles aient été indemnisés, la façon dont le vaccin a pu déclencher la maladie n’a pas encore pu être éclairci. Peter Todd, un avocat qui représente 88 personnes touchées par ces troubles, a comparé la situation au scandale de la thalidomide à la fin des années 1950, début de l’année 1960.

 

Aujourd’hui, tout le monde est au courant du drame de la thalidomide, mais je pense que la narcolepsie faisant suite au Pandemrix est un incident plus important parce que la base de données de l’UE compte 1698 personnes reprises dans les dossiers. Alors que le système de surveillance est passif, a-t-il déclaré.

 

Semblable à la thalidomide

 

« Alors qu’il y avait eu des centaines de cas de malformations congénitales causées par la thalidomide, la plupart des cas ne concernaient qu’un seul membre raccourci. Je sais qu’il y a eu quelques cas de plusieurs membres raccourcis. Mais si on prend l’ensemble des cas, la situation peut être largement comparable, bien que la situation ne soit pas du tout appréciée de la même façon par le public. Il y a maintenant environ 7 ans qu’a eu lieu cette pandémie et il a fallu un temps considérable pour que l’épidémiologie de la narcolepsie qui a suivi l’administration du vaccin devienne plus claire. L’étude du Royaume-Uni sur la narcolepsie des adultes à la suite du Pandemrix a seulement été publiée au début de cette année.

 

Alors que la science est maintenant claire, il n’est pas possible de trouver d’acceptation claire de ce qui s’est passé tant sur les sites de l’UE que sur le site national. Il n’est pas possible de trouver quoi que ce soit qui ait trait à une reconnaissance officielle. C’est pourquoi, la reconnaissance de l’UE est si importante.

 

Des soins permanents pour ma fille

Narcolepsie chez sa fille deux semaines après le vaccin contre la grippe pandémique. Elle réclame justice à présent...

Mathilda qui a maintenant 10 ans a besoin de mesures extrêmes pour améliorer son état. La narcolepsie est incurable. Les symptômes des malades doivent être gérés pendant toute une vie. Mathilda est l’une de ces enfants dont la santé a basculé à la suite de sa vaccination contre la grippe porcine. Elle a commencé à souffrir de graves troubles du sommeil dans les deux semaines qui ont suivi le vaccin et a finalement été atteinte de catalepsie. Mathilda qui a maintenant 10 ans doit recevoir des soins 24 heures sur 24. L’année qui a suivi les premiers symptômes, n’a été qu’une lutte incessante pour trouver les meilleurs traitements pour Mathilda, alors que son état de santé ne faisait que se détériorer.

 

Le papa de Mathilda a dû chercher un emploi en Californie alors que cela ne faisait pas partie de nos projets, mais nous étions désespérés. La maman : « j’ai fait l’impossible pour rendre une vie normale à ma fille. » Pour payer les traitements, nous avons finalement dû vendre notre maison abandonner notre famille pour aller finalement vivre en Angleterre. Madame Crisp a écrit un livre sur le drame qu’a vécu sa famille : « Réveillons Mathilda – Mémoire d’une narcolepsie infantile. » Le livre doit sortir ce printemps. Monsieur Todd a expliqué : « nous ne voulons pas saper le vaccin ou enfoncer son fabricant GSK, mais… pour ceux qui ont été affectés par la maladie, il est très important d’obtenir une reconnaissance officielle de ce qui s’est véritablement passé. »

 

Source: inews.co.uk

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20 mars 2017 1 20 /03 /mars /2017 19:54

Le Dr Peter Gotzsche est co-fondateur et directeur de la Collaboration Cochrane, une collaboration de médecins indépendants qui étudient et révisent les données de la littérature médicale au sujet de divers traitements ou techniques possibles. 

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16 mars 2017 4 16 /03 /mars /2017 21:50

Nancy témoigne: « Notre enfant pleurait et hurlait comme si nous l’avions torturé»

 

Interview réalisé par Polly Tommey VAXXED, 14 février 2017 (Extraits) ​​​​​​​

Vaccins: Notre enfant hurlait comme si nous l'avions torturé

Je m’appelle Nancy. Je suis coordinatrice d’un groupe qui s’occupe d’améliorer le sort des enfants autistes et de soutenir les parents de ces enfants dans la région de San Diego.

 

La santé de mon petit garçon a été endommagée après les vaccins qu’il a reçus à trois mois. Il a fait une jaunisse et ses muscles se sont atrophiés. Il était pratiquement devenu impossible de le nourrir. Nous nous sommes vite rendu compte qu’il n’aurait jamais dû être vacciné.

 

Ayant toujours voulu être de bons parents, nous nous sommes fait un honneur de suivre les instructions de notre médecin. Notre petit a finalement fait une horrible réaction à ses vaccins de 3 mois. Il pleurait, criait d’une manière totalement incontrôlable comme si nous étions en train de le torturer. Ce calvaire a duré des jours et des jours.

 

Avant les vaccins, notre petit était toujours souriant, très actif. Un petit être adorable.

 

A ses douze mois, il n’a plus réagi à rien. Ma mère m’a fait la remarque qu’il ne réagissait même plus comme aurait fait un animal de compagnie ! Quand on l’appelait par son nom, il ne pouvait même plus tourner la tête ou répondre de quelque manière que ce soit. Il n’avait aucune conscience de qui rentrait, de qui sortait ou lui tenait compagnie. A 12 mois, il était en fait comme un bébé d’un mois.

 

On nous a alors recommandé de le placer dans une institution spécialisée parce que personne ne pouvait s’occuper de lui comme il aurait fallu. On nous a même conseillé de ne plus nous en occuper !

 

Il m’a fallu 7 ans pour lui apprendre à mâcher. Je lui préparais de la nourriture que je réduisais en purée. La nourriture était à peine dans sa bouche qu’il la vomissait.

 

Quand plus tard nous avons espéré qu’il puisse se nourrir seul, nous nous sommes rendu compte qu’il ne pouvait même pas trouver où se trouvait sa bouche. Chaque « repas » durait ainsi environ deux heures.

 

Aujourd’hui, il a dix ans et continue à souffrir  de faiblesses musculaires et de troubles moteurs. Il ne sait pas s’habiller seul. Il lui est très difficile de trouver où se trouvent ses manches. Il ne sait pas non plus se laver. Nous devons l’aider à se laver les dents.

 

Aucun médecin n’a voulu reconnaître la relation entre son état et les vaccinations et ne voulaient pas non plus le prendre en charge.

 

Quand nous lui coupions les cheveux, il hurlait tellement que les voisins auraient pu penser que nous le maltraitions. Notre fils ne supporte pas le bruit ; il ne supporte pas non plus de se trouver dans un groupe de personnes. Il se fatigue très vite.

 

Je crois personnellement que les cas d’autisme sont sous-estimés. Les parents ne peuvent généralement pas accepter que leur enfant reçoive l’étiquette d’autiste et ils font comme si de rien n’était…

Vaccins: Notre enfant hurlait comme si nous l'avions torturé
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11 mars 2017 6 11 /03 /mars /2017 21:48

Ecole de Médecine Vétérinaire de l’Université de Purdue

 

VACCINATION ET SANTE DE NOS ANIMAUX DE COMPAGNIE

 

Par Catherine O’Driscoll

 

 

Une équipe de l’école vétérinaire de l’Université de Purdue a mené plusieurs études (1,2) pour déterminer si les vaccins pouvaient provoquer des modifications dans le système immunitaire des chiens, et qui pourraient conduire à des maladies du système immunitaire, susceptibles d’entrainer la mort des animaux. Cette recherche a été menée à la suite des inquiétudes qui existaient déjà en la matière. Ces études ont été parrainées par la Fondation Haywood, qui était elle-même à la recherche de preuves que de tels changements dans le système immunitaire humain pourraient également être provoqués par les vaccins. La preuve en a été trouvée.

 

Les chiens vaccinés, mais pas les chiens non vaccinés de l’étude de Purdue, ont développé des autoanticorps vis-à-vis de nombreux de leurs propres éléments biochimiques, y compris la fibronectine, la laminine, l’ADN, l’albumine, le cytochrome C, la cardiolipine et le collagène. Cela signifie que les chiens vaccinés, - « mais pas les chiens non vaccinés » - attaquaient leur propre fibronectine, qui est impliquée dans la réparation des tissus, la croissance et la multiplication des cellules, ainsi que dans la différentiation entre tissus et organes dans un organisme vivant.

 

Les chiens de l’étude Purdue vaccinés ont également développé des autoanticorps contre la laminine qui est impliquée dans de nombreuses activités cellulaires, y compris dans l’adhérence, la propagation, la différentiation, la prolifération et le mouvement des cellules. Les vaccins semblent donc capables d’éliminer l’intelligence naturelle des cellules.

 

Les auto-anticorps contre la cardiolipine sont fréquemment observés chez des patients atteints de lupus érythémateux systémique grave et chez des personnes atteintes d’autres maladies auto-immunes. La présence d’anticorps anti-cardiolimine élevés est significativement associée à des caillots dans le cœur ou dans les vaisseaux sanguins, à une mauvaise coagulation sanguine, à des hémorragies, à des saignements au niveau de la peau, à des fausses-couches, ainsi qu’à des troubles neurologiques.

 

Les études de Purdue ont également découvert que les chiens vaccinés développaient des anticorps contre leur propre collagène. Un quart environ de toutes les protéines du corps sont formées de collagène. C’est le collagène  qui fournit la structure à nos corps, protégeant et soutenant les tissus plus mous tout en les reliant au squelette. Il n’est donc pas étonnant que l’étude de 1997de « Canine Health Concern » qui a porté sur 4.000 chiens ait montré qu’un nombre élevé de chiens ont développé des problèmes de mobilité peu après avoir été vaccinés (repris dans mon livre de 1997 : « Ce que les vétérinaires ne vous diront jamais des vaccins).

 

Peut-être plus inquiétant encore, les études de Purdue ont constaté que les chiens vaccinés avaient développé des anticorps contre leur propre ADN. Est-ce que le signal d’alarme a été lancé ? La communauté scientifique a-t-elle mis fin au programme de vaccination ? Au lieu de cela, elle a voulu attirer l’attention sur le fait que d’autres études étaient nécessaires pour vérifier si les vaccins pouvaient provoquer des dommages génétiques. Les chiens ont finalement trouvé de bons maitres, mais aucun suivi à long terme n’a été mené.

 

A peu près à la même époque, le Groupe de travail sur le sarcome félin en collaboration avec l’Association Médicale Vétérinaire (AVMA) a lancé plusieurs études pour découvrir pourquoi, chaque année, 160.000 chats aux Etats-Unis développent un cancer terminal au site d’injection des vaccins(3) Le fait que les chats peuvent faire un cancer induit par la vaccination a été reconnu par les organismes vétérinaires du monde entier. Même le gouvernement britannique l’a reconnu à la suite des travaux du groupe de travail chargé de la recherche sur les vaccins pour les canins et les félins (4) suite à la pression du « Canine Health Concern ». Que pensez-vous que le groupe de travail de l’AVMA, des organismes vétérinaires et du gouvernement ont finalement conseillé ? Il faut « continuer à vacciner jusqu’à ce que nous découvrions pourquoi les vaccins tuent les chats, et quels sont les chats les plus susceptibles de mourir ? ».

 

Avec l’objectif d’atténuer ce problème, la vaccination des chats a été pratiquée dans la queue ou la patte afin de pouvoir les amputer quand le cancer apparait. Fameux conseil s’il ne s’agit pas de votre chat !

 

Mais il n’y aurait pas de problème avec les autres animaux ? Non, c’est faux ! En août 2003, en Italie, le « Journal of Veterinary Medicine » a mené une étude qui a montré que les chiens développaient également des cancers induits par les vaccins au site d’injection (5) Nous savons déjà que chez les humains, le cancer au site d’injection est une séquelle possible des vaccins. (5) Le vaccin Salk contre la poliomyélite comportait un retrovirus de singe (cultivé sur des organes de singe) et qu’il pouvait provoquer un cancer héréditaire. On continue de retrouver le rétrovirus SV40 du singe sur le sites cancéreux humains.

 

Il est également largement connu que les vaccins peuvent provoquer une maladie à action rapide, habituellement fatale appelée anémie hémolytique auto-immune (AIHA) Sans traitement et même souvent avec traitement, les individus peuvent entrer en agonie en quelques jours seulement. Merck, lui-même producteur international de vaccins déclare dans son Manuel de diagnostic et de thérapie que l’anémie hémolytique auto-immune peut être causée par des vaccins à virus vivants modifiés, comme le signalent aussi « Tizard’s Veterinary Immunology (4ème édition), ainsi que le « Journal of Veterinary Internal Medicine » (6) Le groupe de travail du gouvernement britannique, bien que doté en consultants en vaccinations qui se disent indépendants, a également reconnu ce fait. Cependant, personne ne prévient les propriétaires d’animaux avant que ceux-ci  ne soient soumis à un rappel inutile, et très peu de propriétaires de chiens savent pourquoi leurs animaux de compagnie meurent d’AIHA.

 

Un large éventail de maladies induites par les vaccins

 

Nous avons également trouvé des relations inquiétantes entre les événements vaccinaux et l’apparition de l’arthrite dans notre enquête de 1997. Nos préoccupations se sont aggravées par la recherche que nous avons faite dans le domaine humain.

 

Le « New England Journal of Medicine », par exemple, a signalé qu’il était possible d’isoler le virus de la rubéole des articulations touchées chez les enfants vaccinés contre la rubéole. Il a aussi évoqué l’isolement des virus du sang périphérique des femmes souffrant d’arthrite prolongée après la vaccination (7). 

 

 

En 2000, les résultats obtenus par le CHC ont été confirmés par des recherches qui ont montré que la polyarthrite, ainsi que d’autres maladies comme l’amyloïdose, qui affecte les organes chez les chiens étaient liées au vaccin combiné donné aux chiens (8). Beaucoup de recherches ont été entreprises malgré  le faible financement de l’industrie des vaccins pour confirmer que les vaccins peuvent causer une vaste gamme de dommages au cerveau, ainsi qu’au système nerveux central. Merck elle-même reconnait dans son Manuel que les vaccins (donc ses propres produits) peuvent provoquer une encéphalite :une inflammation ou des dommages au cerveau. Dans certains cas, l’encéphalite implique des lésions au cerveau, comme dans tout le système nerveux central. Merck déclare que comme exemples, il s’agit des encéphalites qui se produisent après les vaccinations contre la rougeole, la varicelle, la rubéole, la vaccination antivariolique, ainsi que de nombreuses autres infections virales moins bien définies.»

 

Lorsque les propriétaires de chiens qui avaient participé à l’enquête CHC ont signalé que leurs chiens avaient perdu une partie de leur capacité d’attention, il fut remarqué que 73,1% avaient été vaccinés dans les trois mois qui précédaient. Le même pourcentage de chiens ont fait des crises d’épilepsie dans les trois mois qui ont suivi la vaccination (en général l’épilepsie se manifestait dans les jours qui suivaient la vaccination. Nous avons également découvert que 72,5% des chiens que leurs maitres considéraient nerveux et dont l’état de santé les préoccupait, ont commencé à manifester ces traits dans les trois mois qui ont suivi la vaccination.

 

Je voudrais également ajouter qu’Oliver que j’aimais beaucoup et qui souffrait des pattes arrières est mort peu de temps après un vaccin et que la « parésie » était répertoriée dans le Manuel de Merck comme un symptôme d’encéphalite. Il s’agit d’une faiblesse musculaire d’origine neurale (cerveau) qui implique une paralysie partielle résultant de lésions au cerveau. La paralysie des membres postérieurs en est l’une des conséquences potentielles. L’encéphalite, soit dit en passant, peut être légère ou grave et même entrainer une mort subite.  La défaillance de l’un ou l’autre organe doit également être suspectée quand elle survient peu de temps après une vaccination.

 

Le Dr Larry Glickman qui a dirigé la recherche de Purdue sur les changements biochimiques chez les chiens après vaccination, a écrit dans une lettre à Cavalier Spaniel, éleveur à Bet Hargreaves :

 

« Nos études en cours chez les chiens montrent que, suite à la vaccination de routine, il y a une augmentation significative du niveau d’anticorps. On a pu constater que certains de ces anticorps ciblaient la glande thyroïde, le tissu conjonctif, comme celui que l’on trouve dans les valves du cœur, les globules rouges, l’ADN etc.- Je crois que les problèmes cardiaques dans le cas de Cavalier King Charles Spaniels pourraient résulter d’immunisations répétées par des vaccins contenant des contaminants de culture tissulaire qui provoquent une réponse immunitaire progressive dirigée contre le tissu conjonctif des valves cardiaques. Les manifestations cliniques seraient plus prononcées chez les chiens présentant une prédisposition génétique, bien que les résultats soient généralement applicables à tous les chiens quelle que soit leur race. »

 

Je dois mentionner ici que le Dr Glickman estime que les vaccins sont un mal nécessaire, mais que des vaccins plus sûrs devraient être développés.- Les vaccins entrainent une réponse inflammatoire.

 

Le mot « allergie » est synonyme de « sensibilité » et d’« inflammation ». Il devrait, en outre, être synonyme du mot « vaccinations ». C’est là ce que font les vaccins : ils sensibilisent (rendent allergique) les individus, les forçant à développer des anticorps pour combattre une menace de maladie. En d’autres termes, et comme la chose est acceptée et reconnue, dans le cadre du processus de vaccination, le corps répondra par une inflammation. La chose peut être temporaire ou durer beaucoup plus longtemps.

 

Les médecins holistiques et les vétérinaires ont connu cela depuis au moins 100 ans. Ils parlent d’un large éventail de maladies inflammatoires ou « itis » qui se manifestent peu de temps après une vaccination. Les vaccins, en fait, plongent de nombreux individus dans un état allergique. Encore une fois, il s’agit d’un trouble qui peut être banal comme aussi s’avérer fatal. Le choc anaphylactique étant le point culminant : c’est alors que l’individu présente une réaction allergique massive à un vaccin et mourra en quelques minutes si de l’adrénaline ou un équivalent ne lui est pas administré.

 

Il y a des individus qui sont génétiquement pas bien placés pour résister à l’épreuve du vaccin. Ce sont les gens et les animaux qui ont hérité de fonctions défectueuses des cellules B et T. Ces cellules B et T sont des composantes du système immunitaire qui identifient les envahisseurs étrangers et les détruisent. Elles maintiennent l’envahisseur en mémoire afin qu’il ne puisse pas causer des dommages dans la suite. Cependant, en ce qui concerne les réponses inflammatoires, le système immunitaire réagit de manière excessive et provoque des effets indésirables tels que des allergies et autres états inflammatoires.

 

 

Merck prévient dans son Manuel que les patients atteints ou souffrant d’immunodéficience cellulaire B et/ ou T ne doivent pas recevoir de vaccins à virus vivants en raison du risque d’infection grave ou mortelle. Ailleurs, il énumère les caractéristiques des immunodéficiences des lymphocytes B et T comme les allergies alimentaires, les allergies à l’inhalation, l’eczéma, la dermatite, la détérioration neurologique et les maladies cardiaques. On peut traduire par le fait que les personnes atteintes de ces conditions peuvent mourir si elles reçoivent des vaccins à virus vivants. Leur système immunitaire n’est tout simplement pas suffisamment compétent pour garantir une réaction saine à l’agression virale à partir de vaccins à virus vivants modifiés.

 

Les vaccins à virus vivants modifiés (MLV) se répliquent chez le patient jusqu’à ce qu’une réponse immunitaire soit provoquée. Si une défense n’est pas stimulée, alors le vaccin poursuit sa tâche de reproduction jusqu’à ce qu’il donne au patient la maladie même qu’il avait l’intention de prévenir.

 

En variante, une réponse immunitaire perturbée mènera à des états inflammatoires tels que l’arthrite, la pancréatite, la colite, l’encéphalite et n’importe quelle maladie auto-immune telles que le cancer et la leucémie, où le corps attaque ses propres cellules.

 

Une nouvelle théorie sur laquelle est tombé un étudiant de l’Université Gary Smith explique ce que les praticiens holistiques ont dit depuis très longtemps. Voici ce qu’on dit quelques vétérinaires holistiques par rapport à leurs patients :

 

Dr Jean Dodds : « De nombreux vétérinaires relient les problèmes actuels de maladies allergiques et immunologiques à l’introduction des vaccins MLV… » (9)

 

Christina Chambreau, DVM : « Les vaccinations de routine sont probablement la pire chose que nous faisons à nos animaux. Ils causent tous les types de maladies. Mais pas nécessairement directement, ce qui nous permettrait de les relier définitivement aux vaccins. « 10)

 

Martin Goldstein, DVM : Je pense que les vaccins…sont les principaux tueurs de chiens et de chats en Amérique aujourd’hui. »

 

Dr Charles E. Loops, DVM : « Les vétérinaires homéopathes et autres praticiens holistiques ont maintenu pendant un certain temps que les vaccinations provoquaient plus de mal que de bien. » (12)

 

Mike John, DVM : « En réponse à cette violation [du vaccin], il y a eu un accroissement des maladies auto-immunes (les allergies en étant une composante): épilepsie, néoplasies (tumeurs), ainsi que des problèmes de comportement chez les petits.

 

Une théorie de l’inflammation

 

Gary Smith explique ce que les praticiens observateurs ont dit depuis très longtemps, mais il est possible qu’ils n’aient pas compris pourquoi leurs observations les ont amenés à parler. Sa théorie a provoqué une énorme agitation dans le sanctuaire scientifique (interne).  Certains croient que sa théorie pourrait mener à un traitement pour beaucoup de maladies, y compris le cancer. Pour moi, cela explique pourquoi le processus vaccinal est intrinsèquement discutable.

 

Gary s’est penché sur le phénomène d’inflammation dans le cadre de ses études quand il est tombé sur une étude tellement extraordinaire qu’elle pourrait avoir des implications dans le traitement de presque toutes les maladies inflammatoires, y compris la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la polyarthrite rhumatoïde et même le Sida.

 

La théorie de Gary remet en question la sagesse reçue selon laquelle, lorsqu’une personne tombe malade, l’inflammation qui se produit autour de la zone infectée aide à guérir. Il prétend qu’en réalité l’inflammation empêche le corps de reconnaître une substance étrangère et sert donc de cachette pour les envahisseurs. […]

 

« Le cancer a été décrit comme la blessure qui ne guérit jamais », explique-t-il. «Tous les cancers qui prolifèrent, sont entourés par une zone inflammatoire. On pense généralement que c’est la réaction du corps qui essaye de lutter contre le cancer, mais ce n’est pas le cas.

 

« L’inflammation ne représente pas la lutte du corps contre l’infection. C’est en fait le virus ou les bactéries qui causent délibérément l’inflammation afin de se cacher du système immunitaire. » (14)

 

Si Gary a raison, alors le processus inflammatoire si communément stimulé par les vaccins, n’est pas, comme on l’a supposé jusqu’ici, un signe nécessairement acceptable. Au lieu de cela, il pourrait être un signe que le composant viral ou bactérien, ou l’adjuvant (qui contient une protéine étrangère, est considéré comme un envahisseur pour le système immunitaire) du vaccin qui parviendrait à l’emporter grâce à ce mode furtif.

 

Si Gary a raison de croire que la réponse inflammatoire n’est pas protectrice, mais un signe que l’invasion a lieu sous un mode furtif, caché, alors les vaccins ne pourraient pas être les amis que nous pensions qu’ils étaient. Ce seraient des assassins qui travailleraient secrètement pour le compte de l’ennemi. Les médecins et les vétérinaires agiraient donc involontairement en collaborant au processus. Pire encore, nous les gardiens d’animaux ou parents payerions les médecins et les vétérinaires pour trahir involontairement nos proches.

 

Les vaccins seraient donc potentiellement la bombe furtive du monde médical. Ils seraient utilisés pour catapulter les envahisseurs à l’intérieur du château où ils pourraient librement faire des ravages, sans que nous nous en apercevions. Ainsi plutôt que d’avoir affaire à des maladies virales franches comme la grippe, la rougeole, les oreillons et la rubéole (et, dans le cas des chiens, le parovirus et la maladie de Carré), nous permettrions de toute manière au virus de gagner,- alors que des cancers, des leucémies et autres maladies inflammatoires ou auto-immunes prendraient leur place.

 

L’insulte finale

 

Les 27 écoles vétérinaires d’Amérique du Nord ont modifié leurs protocoles pour vacciner les chiens et les chats selon les lignes suivantes : (15) .Cependant, dans la pratique, les vétérinaires sont réticents à suivre ces protocoles modifiés, et les organismes vétérinaires officiels au Royaume-Uni, ainsi que dans d’autres pays ignorent les faits qui vont suivre.

 

Le système immunitaire des chiens et des chats mûrit complètement à six mois. Si le vaccin modifié contre le virus vivant est donné après l’âge de six mois, il produit une immunité, ce qui est bon pour la vie de l’animal. Si un autre vaccin MLV est administré un an plus tard, les anticorps du premier vaccin neutraliseront les antigènes du second vaccin et il y aura peu ou pas d’effet. […]

 

Non seulement, les rappels annuels seront inutiles, mais ils risquent d’exposer l’animal à des problèmes potentiels tels que des réactions allergiques, l’anémie hémolytique à médiation immunitaire. En langage clair, les école vétérinaires américaines, comme aussi l’American Veterinary Medical Association, ont examiné des études pour montrer combien de temps peut durer l’efficacité des vaccins. Ils ont conclu et annoncé que la vaccination annuelle est inutile. (16-19)

 

En outre, ils ont reconnu que les vaccins ne sont pas sans danger. Le Dr Ron Schultz, chef des services de pathologie à l’Université du Wisconsin et chef de file dans ce domaine a dit cela poliment à ses collègues vétérinaires depuis les années 1980. Je le dis depuis 12 ans. Mais le changement est si long à venir et, dans l’intervalle, des centaines de milliers d’animaux risquent de mourir inutilement chaque année.

 

La bonne nouvelle est que des milliers d’amoureux des animaux (mais pas assez) ont bien entendu et compris ce que nous avons dit. Les membres du « Canine Health Concern » à travers le monde utilisent une nourriture de grande qualité comme mesure préventive naturelle en s’efforçant d’éviter les aliments transformés. Ils comptent ainsi minimiser le risque vaccinal. Certains d’entre nous, moi y compris, avons choisi de ne pas vacciner du tout nos animaux de compagnie. Notre récompense : des chiens en pleine santé et qui vivent longtemps. Je ressens de la gratitude pour vous avoir fait part, en un seul paragraphe, de ces simples et bonnes nouvelles.

 

 

Références

 

1. “Effects of Vaccination on the Endocrine and Immune Systems of Dogs, Phase II”, Purdue University, November 1,1999, at http://www.homestead.com/vonhapsburg/haywardstudyonvaccines.html.
2. See www.vet.purdue.edu/epi/gdhstudy.htm.
3. See http://www.avma.org/vafstf/default.asp.
4. Veterinary Products Committee (VPC) Working Group on Feline and Canine Vaccination, DEFRA, May 2001.
5. JVM Series A 50(6):286-291, August 2003.
6. Duval, D. and Giger,U. (1996). “Vaccine-Associated Immune-Mediated Hemolytic Anemia in the Dog”, Journal of Veterinary Internal Medicine 10:290-295.
7. New England Journal of Medicine, vol.313,1985.
See also Clin Exp Rheumatol 20(6):767-71, Nov-Dec 2002.
8. Am Coll Vet Intern Med 14:381,2000.
9. Dodds, Jean W.,DVM, “Immune System and Disease Resistance”, at http://www.critterchat.net/immune.htm.
10. Wolf Clan magazine, April/May 1995.
11. Goldstein, Martin, The Nature of Animal Healing, Borzoi/Alfred A. Knopf, Inc., 1999.
12. Wolf Clan magazine, op. cit.
13. ibid.
14. Journal of Inflammation 1:3,2004, at http://www.journal-inflammation.com content/1/1/3.
15. Klingborg, D.J., Hustead, D.R. and Curry-Galvin, E. et al., “AVMA Council on Biologic and Therapeutic Agents’ report on cat and dog vaccines”, Journal of the American Veterinary Medical Association 221(10):1401-1407, November 15,2002, http://www.avma.org/policies/vaccination.htm.
16. ibid.
17. Schultz, R.D., “Current and future canine and feline vaccination programs”, Vet Med 93:233-254,1998.
18. Schultz, R.D., Ford, R.B., Olsen, J. and Scott, P., “Titer testing and vaccination: a new look at traditional practices”, Vet Med 97:1-13, 2002 (insert).
19. Twark, L. and Dodds, W.J., “Clinical application of serum parvovirus and distemper virus antibody titers for determining revaccination strategies in healthy dogs”, J Am Vet Med Assoc 217:1021-1024,2000.

 

Source : Dogsnaturallymagazine.com

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