La vaccination obligatoire jugée INCONSTITUTIONNELLE
Par TVR Staff , 30.08.2017
La Cour constitutionnelle de Colombie a récemment statué que l’obligation du vaccin contre le HPV était inconstitutionnelle. Cependant la décision judiciaire est allée au-delà du principe de l’obligation vaccinale contre le vaccin HPV. Elle a affirmé que le principe éthique du consentement éclairé était applicable à tout acte médical portant des risques.
Selon la Cour, qui est la plus haute juridiction du pays chargée d’interpréter la Constitution, l’Etat ne peut prendre de décisions concernant l’intégrité physique parce que pareille décision violerait la dignité humaine. [1, 2 ]
La cour a souligné que les décisions impliquant des procédures médicales devraient finalement être prises par les patients eux-mêmes, et non par le gouvernement. La Cour a averti le ministère de la Santé de Colombie qu’il « devait obtenir le consentement éclairé [des patients] avant de leur administrer le vaccin ».[1]
La décision de la Cour soulève maintenant des questions sur une loi (loi 1626 de 2013) adoptée en 2013 par le gouvernement colombien et qui « garantissait » la vaccination gratuite et obligatoire de la population de Colombie contre le HPV. La loi prévoyait à l’origine le vaccin contre le HPV pour les jeunes-filles des écoles primaires et secondaires (de la 4ème à la 7ème année). La couverture a ensuite été élargie pour inclure les filles jusqu’à la 11ème année. [1,3]
Pour les enfants qui ne fréquentent pas l’école, la loi de 2013 prescrit le vaccin contre le HPV pour les filles âgées de 9 à 17 ans. [1]
Le journal colombien El Espectador a signalé que les porte-parole du ministère de la Santé ont déclaré qu’ils n’avaient pas encore reçu d’avis sur la décision de la Cour constitutionnelle, mais ont noté que malgré la loi de 2013, toute personne désireuse de ne pas recevoir le vaccin contre je HPV pourrait, par écrit, demander une exemption. [1]
Le 4 août 2017, un groupe connu sous le nom de « Colombian Rebuilding Hope Association » a déposé un recours collectif contre le gouvernement colombien ainsi que contre Merck Sharp & Dohme au nom de 700 personnes, alléguant avoir eu la santé endommagée. Ces personnes demandent une indemnisation d’environ 30,5 millions de dollars pour « préjudices censés être dus au vaccin qui affecterait les systèmes immunitaire et neurologique ». Le procès demande aussi que l’on « déclare que le vaccin est dangereux ». [4]
De nombreuses inquiétudes se sont manifestées depuis 2014 en Colombie au sujet du vaccin contre le HPV depuis que 200 jeunes-filles d’El Carmen de Bolivar dans le nord du pays furent hospitalisées après avoir reçu le vaccin Gardasil. Les jeunes-filles âgées de 9 à 16 ans présentaient des symptômes comme des évanouissements, des engourdissements dans les mains, ainsi que des maux de tête. [5]
« L’allaitement maternel n’est pas naturel, il fait des mamans des anti-vaccins »
Dans une des plus extraordinaires déclarations médicales, l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) demande aux professionnels de santé de cesser de qualifier l’allaitement maternel de « naturel » : cela pourrait, en effet, conduire des parents à adopter des médecines alternatives, l’écolage à domicile ou à devenir anti-vaccins.
Ce terme peut donner l’impression que l’allaitement maternel est supérieur et plus sain, expliquent Jessica Martucci et Anne Barnhill du département d’éthique médicale de l’Université de Pensylvanie qui a lancé une campagne pour mettre un terme à l’usage positif du mot « naturel ».
Dans leur article publié dans le journal Pediatrics, elles expliquent que le terme contribue à provoquer des « conséquences inattendues », comme le fait de devenir anti-vaccins. « Des études ont montré que le sentiment anti-vaccins coïncide avec un intérêt et une confiance accrues dans les médecines complémentaires et alternatives, avec une attitude sceptique par rapport à l’autorité institutionnelle ; coïncide également avec un intérêt accru pour la connaissance en matière de santé, avec une plus grande autonomie, ainsi qu’avec des pratiques de vie saine » écrivent-elles.
« Si, ce qui est « naturel » dans le cas de l’allaitement maternel est la meilleure chose à faire, comment pourrions-nous nous attendre à ce que les mères puissent ignorer cette conscience commune partout dans le monde, quand elles sont amenées à faire des choix sur des pratiques de santé, comme la vaccination ? »
Une jeune fille se suicide après que le vaccin Gardasil ait détruit sa vie
Maddie est décédée le 24 juin 2017
L’équipe « VAXXED » a récemment interviewé une maman qui raconte comment sa fille s’est finalement suicidée après avoir souffert des suites du vaccin Gardasil pendant plusieurs années. Un médecin qui appartenait à leur groupe spirituel avait recommandé aux parents de faire vacciner leur fille Maddie contre le HPV. Après avoir reçu la seconde dose du vaccin à 15 ans, Maddie est devenue très léthargique. Elle pouvait à peine sortir de son lit et souffrait d’horribles maux de tête. Ne pouvant supporter la lumière qui la faisait souffrir, elle devait vivre dans une chambre volets fermés et lumière éteinte. Elle n’a pas pu sortir de son lit pendant des jours et des jours.
Avant de recevoir ses vaccins, Maddie était active et en parfaite santé. Il était très rare qu’elle manque un jour d’école.
La famille a dû avoir recours à un précepteur pour lui enseigner la matière de la deuxième année de lycée car elle ne pouvait quitter la maison.
La famille avait gardé espoir de voir leur fille se remettre après un régime très strict prescrit par un thérapeute.
Mais Maddie devait cependant aussi se battre contre une terrible dépression. C’est seulement après sa mort que son journal intime a révélé qu’elle souffrait beaucoup d’un bourdonnement constant dans la tête. Elle avait essayé, sans succès, tous les antidépresseurs qui se trouvaient sur le marché…
Ecoutez la tragique interview de la maman : « Le vaccin Gardasil a tué ma fille »
Le gouvernement fédéral américain publie les chiffres des règlements financiers pour les dommages liés aux vaccins, réduisant ainsi à néant les fausses affirmations des médias qui prétendent que les vaccins ne font jamais de mal à personne.
Par Mike Adams, 11 mai 2017 (Extraits)
Natural News)
Même si les médias continuent de mentir au public avec des affirmations aussi peu scientifiques que ridicules affirmant que « les vaccins sont sûrs » - lisez par exemple le WashPost, The Atlantic, le NYT, ou USA Today qui sont dans le déni par rapport aux dégâts produits par les vaccins, - le gouvernement fédéral Américain vient néanmoins de rendre publics les chiffres ayant trait au dédommagement des victimes de vaccins. Ces chiffres prouvent que les vaccins endommagent la santé des enfants ou provoquent leurs décès partout en Amérique.
Le propre document du gouvernement que l’on peut trouver sur le lien ci-dessous, fait état de plus de 18.000 requêtes d’indemnisation déposées par les familles d’enfants dont la santé a été gravement endommagée, qui ont été handicapés ou sont décédés aux seuls Etats-Unis.
Une copie de sauvegarde du document a également été publiée par Natural News, au cas où le gouvernement tenterait d’en faire disparaître la trace :
Le document révèle le chiffre choquant de 633requêtes de dédommagement pour atteintes graves à la santé ou décès attribués aux vaccins au cours de la seule année 2017. Ces requêtes font suite aux 1.120 autres requêtes de l’année 2016.
Le nombre de requêtes déposées constitue cependant une petite fraction du nombre total d’enfants gravement atteints dans leur santé à la suite de vaccinations, car les médecins continuent de conditionner agressivement les parents en leur faisant croire que les convulsions, l’autisme, et autres graves problèmes ne sont jamais causés par les vaccins. En outre, les parents d’un enfant victime des vaccinations doivent payer un avocat pour introduire une requête auprès du gouvernement Américain, et attendre de deux à dix ans la décision d’un « tribunal spécial » (« Kangaroo Court »). C’est ainsi que, dans presque tous les cas de dommages causés par les vaccins, on parvient à faire croire aux parents que les vaccins n’ont rien à voir avec l’état de l’enfant ou que c’est une pure perte de temps de vouloir se retourner contre le gouvernement. On peut dire qu’en conséquence de tout cela, le nombre réel d’enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins en Amérique est au moins 100 fois plus élevé ; on pourrait raisonnablement dire 1000 fois plus élevé quand on prend en compte les dégâts cérébraux « mineurs », les convulsions de courte durée et autres problèmes de santé qui, cependant, traumatisent les parents.
En d’autres termes, on pourrait dire qu’à partir de 2017, il y a au moins 63.000 enfants dont la santé aurait été endommagée par les vaccins en Amérique. Ceci montrerait que les dommages de santé causés par les vaccins constitueraient une des principales causes de troubles de santé chez les enfants. Tout ceci est bien entendu caché et nié par les médias contrôlés par l’industrie pharmaceutique ; ceux-ci préfèrent attirer l’attention sur les 48 enfants qui ont fait une rougeole au Michigan plutôt que d’évoquer les 63.000 enfants dont la santé aurait été endommagée par les vaccins partout en Amérique.
Comme l’a commenté « Waking Times » :
Les personnes qui affirment toujours que les vaccins sont « sûrs et efficaces », que les seuls problèmes qu’ils puissent provoquer sont vraiment mineurs ont ainsi encaissé un fameux choc. Ces personnes ont bien été obligées d’admettre que le gouvernement des Etats-Unis pour l’Administration des Ressources et des Services de Santé a récemment publié une feuille de compte pour à peine la demi année fiscale de 2017 concernant les dommages vaccinaux indemnisables. Ces dépenses dépassent actuellement 142 millions de dollars. Ceci concerne 377 cas qui ont obtenu un dédommagement en 2017 par le biais d’un système prétendument mis en place pour indemniser les dommages causés par les vaccins aux Etats-Unis.
Au rythme où vont les choses, nous pourrions nous attendre à ce que le Programme d’indemnisation des accidents vaccinaux dépasse quelques 220 millions de dollars ou davantage avant la fin de l’exercice financier 2017. Pour être précis, l’exercice financier 2017 des Etats-Unis s’étend du 1er octobre 2016 au 30 septembre 2017 – il reste encore quelques mois pour que grandisse encore ce carnage.
Selon le site du CDC, il existe des « limites à notre connaissance des risques associés aux vaccins ». Les vaccinations n’en présentent pas moins les problèmes suivants :
1. Compréhension limitée des processus biologiques qui sous-tendent les effets indésirables des vaccins.
2. Information incomplète et incohérente des rapports individuels.
3. Etudes et recherches mal construites (manque de personnel).
4. Systèmes inadéquats pour suivre les effets secondaires des vaccins.
5. Peu d’études expérimentales ont été publiées dans la littérature médicale.
[…] A ce jour, le gouvernement des Etats-Unis a versé près de 3,6 milliards de dollars en dédommagement aux victimes de vaccins. Ce fait met à mal les mensonges et les fausses nouvelles des grands médias (The Atlantic, CNN, WashPost, NYT, etc. qui persistent à soutenir stupidement que les vaccins ne provoquent aucun dégât. (Les journalistes médicaux de tous ces médias avec toute leur science ne seraient-ils pas, eux-mêmes, victimes de dégâts vaccinaux ?) […]
Excellent article d'information rédigé par Senta Depuydt pour Biocontact de septembre 2017, à télécharger ci-dessous et à photocopier en masse pour le mettre notamment sous le nez de votre pédiatre ou médecin de PMI/ONE....
Elargir les taux de vaccination en permettant à plus de personnes de les administrer
Par Kate Raines, 6 juillet 2017
* Aux Etats-Unis, de nombreux professionnels médicaux non médecins, y compris les infirmières, les étudiants en médecine, les pharmaciens et les dentistes, ont le pouvoir d’administrer des vaccins.
* Les dentistes peuvent administrer un vaccin contre la grippe avec seulement trois heures de formation, tandis que les pharmaciens peuvent administrer de nombreux types de vaccins aux adultes et aux adolescents s’ils ont suivi un cours de formation en ligne.
* Les pharmaciens peuvent administrer de nombreux types de vaccins aux adultes et aux adolescents après la fin de leur formation en ligne de 12 heures, un séminaire en direct et une vérification de la technique d’injection.
En 2009, les responsables de santé publique aux Etats-Unis ont dû répondre à une « importante saison de grippe » en adoptant un règlement permettant aux dentistes, aux pharmaciens, aux ambulanciers paramédicaux, aux étudiants en nursing, ainsi qu’aux étudiants en médecine d’administrer le vaccin antigrippe annuel. [1] Depuis lors, il est devenu banal de voir des invitations à venir se faire vacciner contre la grippe à la pharmacie, et partout où des soins médicaux peuvent être proposés.
Sont révolus les jours où nous pouvions supposer que les personnes qui administrent des vaccins par injection aient été soigneusement formées, à la fois sur la manière de les administrer en toute sécurité, comme sur leur compréhension dont les ingrédients des vaccins pourraient réagir les uns avec les autres, ainsi que sur la manière de traiter les effets secondaires négatifs potentiels.
Aujourd’hui, il existe de nombreux cours en ligne pour former les professionnels de santé leur permettant de devenir « Vaccine certified ». Ces cours sont généralement offerts à toute personne qui travaille dans le domaine médical, aux pharmaciens, aux infirmières, aux étudiants en médecine et aux dentistes.
Route à suivre pour obtenir la certification « vaccine certified »:
Dans un cours en ligne de 10 heures, organisé par l’Université du Minnesota, on promet aux dentistes qu’à la fin du cours, ils pourront :
1. Reconnaître l’impact sur la santé publique des maladies évitables par la vaccination aux Etats-Unis.
2. Identifier les niveaux auxquels un dentiste peut entreprendre un plaidoyer sur la vaccination.
3. Apprécier les occasions uniques pour les dentistes de pouvoir contribuer à la prévention des maladies aux Etats-Unis.
4. Obtenir une compréhension approfondie de l’immunologie en ce qui concerne les vaccins.
5. Identifier les patients ayant des contre-indications à l’administration d’un vaccin.
6. Décrire la grippe qui peut être évitée grâce à un vaccin.
7. Reconnaître les populations à risque de faire une grippe.
8. Expliquer l’impact social de la grippe.
9. Expliquer les recommandations du CDC par rapport aux personnes qui doivent recevoir le vaccin antigrippal.
10. Identifier les contre-indications, ainsi que les limites pour chaque vaccin antigrippal.
11. Décrire les réactions indésirables communes et inhabituelles associées aux types de vaccins contre la grippe.
12. Décrire l’administration appropriée du vaccin antigrippal par injection intramusculaire.
13. Connaître dans le détail les procédures à adopter pour les patients présentant des effets secondaires indésirables locaux et systémiques à l’administration du vaccin.
14. Décrire les exigences relatives au stockage et à la manipulation appropriée des vaccins.
15. Déterminer les étapes nécessaires pour mettre en place une pratique vaccinale. [2]
Dans un cours en ligne de trois heures, l’Université du Minnesota prétend pouvoir enseigner une version plus simple qui permettrait aux dentistes d’acquérir le degré d’expertise nécessaire pour administrer les vaccins contre la grippe à leurs patients.
Pour les pharmaciens, la formation en ligne est plus importante, mais elle qualifie également les pharmaciens à administrer d’autres vaccins que le seul vaccin antigrippal.
L’Association Américaine des Pharmaciens (APHA) offre un modèle en trois parties comprenant une section de 12 heures d’étude dans des modules axés sur divers aspects de la vaccination, y compris des études de cas, un examen d’évaluation, un séminaire en direct de huit heures comprenant un examen final, ainsi qu’une évaluation de la personne qui est amenée à pratiquer les techniques d’injection intramusculaire et sous cutanée. [3] […]
> Mise en garde d'Initiative Citoyenne à destination des dentistes:
Dans sa course folle au tout vaccin, l'establishment compte bien faire tout son possible pour essayer d'user (et d'abuser!) de votre influence auprès des patients; en d'autres mots, vous utiliser comme des pions! Le gros problème est le suivant: même en passant des milliers d'heures à étudier le sujet des vaccins, les inconnues restent énormes, les volumineux documents confidentiels des firmes sur la pharmacovigilance des vaccins restent très difficiles d'accès et tout à fait parcellaires quand ils "fuitent", ce qui implique de facto que les vaccinateurs ne maîtrisent absolument pas les conséquences de leurs gestes. C'est d'ailleurs (tristement) si vrai que même le Dr Jean-François Saluzzo, ex directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur et expert pour l'OMS, a bien dû avouer dans un cours de vaccinologie aux médecins (disponible en ligne) qu'ils ne "savent pas comment marchent les vaccins" et que si à l'avenir, on voulait développer de nouveaux vaccins, il faudra D'ABORD commencer par étudier le système immunitaire (sic!). Comment s'étonner alors d'apprendre par exemple que 61% des professionnels de santé qui administrent un vaccin antigrippal sont tout à fait incapables de reconnaître les effets secondaires graves qui peuvent en découler?
Si les dentistes plus âgés seront sans doute plus méfiants ou plus circonspects, ce genre de "qualification" vaccinale risque de séduire peut-être certains jeunes praticiens, surtout si cela finissait par leur être proposé très précocement (comme aux USA), quand ils sont encore aux études et qu'on leur présente les choses comme étant une façon plus globale ou plus holistique d'aborder le patient! Certains étudiants dentistes pourraient même se sentir flattés d'une sorte de "titre en plus", mais prenez bien garde que vous aurez immensément plus à perdre qu'à gagner en tant que praticien en vaccinant quiconque! Imaginez en effet tous ces patients très satisfaits de vos soins et avec qui vous avez pu bâtir une relation de confiance qui risquent de voir leur vie basculer à jamais ou de se retrouver en fauteuil roulant à vie suite à cette "petite piqûre" de plus (piqûre de trop!) que vous vous serez risqué à leur faire et qui, c'est quasiment inévitable, vous associeront sans doute à jamais à un "mauvais dentiste", un "mauvais praticien", indépendamment de votre seul travail dentaire antérieur ... il sera assurément plus facile grâce à l'instrumentalisation vaccinale des praticiens de détricoter les bonnes relations aux patients que de les consolider! Certains diront "oui mais ça, c'est pour les USA, pas en Europe!" Qu'on se "rassure", ce sont les politiques américaines de "santé" qui font la pluie et le beau temps dans le monde et finissent en général tôt ou tard par être copiées. Il en fut ainsi pour les propositions de vaccination par les pharmaciens (aux USA, les pharmaciens peuvent vacciner dans les 50 états du pays). En général, quelques années après les "bonnes idées" américaines finissent par arriver en Europe. Au début, on parlera peut-être uniquement du vaccin antigrippal et puis après?
De plus en plus à l'avenir, les dentistes seront confrontés au dogme vaccinal, y compris dans leur propre spécialité, où on finira sans doute par leur proposer un hypothétique futur vaccin contre les caries (qui fut initialement, au cours des essais cliniques préliminaires, un désastre, les protéines de Streptococcus mutans ayant des similitudes antigéniques avec les protéines du coeur du singe et donc aussi du coeur humain, la vaccination contre les caries aurait donc pu valoir en bout de ligne une destruction cardiologique grave et donc une greffe de coeur! On peut en effet lire sur le site e-sante.fr: "Des chercheurs ont déjà tenté de mettre au point un vaccin dirigé contre des protéines de la paroi bactérienne des Streptococcus mutans, pour l’instant sans succès. La difficulté vient notamment du fait que ces protéines de surface ressemblent à celles des cellules du muscle cardiaque. Il ne faudrait pas que sous prétexte de détruire certaines bactéries buccales, notre système immunitaire se retourne également contre nos cellules qui composent notre cœur..." Or il convient hélas de se rappeler que les vaccinalistes sont champions pour créer avec leurs prétendues "solutions" des échecs et des aggravations toutes plus retentissants les uns que les autres! Un exemple parlant parmi beaucoup d'autres ici, pour mieux comprendre qu'en voulant faire "mieux" avec les vaccins, en réalité on fait bien pire!
Photo prise au cours du 1er Congrès Régional de la Fédération dentaire internationale, au Maroc, en 2016.
Nous terminons enfin cette mise en garde par un rappel au bon sens et à la cohérence. En effet, le vaccin antigrippal que l'on propose déjà aux dentistes du Minnesota contient notamment du formaldéhyde qui est un cancérigène de classe 1 donc cancérigène certain... alors que les dentistes reçoivent pourtant des formulaires de retrait du marché de certains produits dentaires au motif... qu'ils contiennent du formaldéhyde qui est cancérigène (cliquer sur le lien précédent pour en avoir la preuve en images...)!
La police pense que la thérapeute holistique anti-vaccins a été assassinée
Par Jay Greenberg, 10 août 2017
La naturopathe Ann Boroch a été tragiquement trouvée morte la semaine dernière, pendue dans son garage. Selon un communiqué publié sur la page officielle de Facebook, le Dr Boroch serait décédée de causes naturelles, mais cette praticienne de 51 ans ne souffrait d’aucun problème de santé connu.
Le rapport officiel du médecin légiste du Comté de Los Angeles a estimé que son décès était dû à un suicide par pendaison, ce qui est en contradiction avec les déclarations de la famille. En dépit de l’avis officiel selon lequel elle se serait suicidée, les détectives du Département de la Police de Los Angeles pensent que la jeune thérapeute a été assassinée par des « professionnels du crime ». - « Nous considérons qu’il s’agit ici d’un homicide » déclare-t-on à la Police. La scène du crime était trop parfaite. « Il semblerait, à première vue qu’elle se soit suicidée, mais quand on analyse toute la scène, il apparaît vite qu’il ne s’agirait pas d’un suicide typique. »
« Ceux qui ont fait cela savaient ce qu’ils faisaient. Il devait clairement s’agir de professionnels. »
Selon le département de police de Los Angeles (LAPD), des tentatives auraient été faites pour lancer une enquête sur le meurtre d’Ann Boroch, mais l’affaire aurait été « étouffée de plus haut ». Les amis et la famille de la doctoresse décrivent Ann comme une dame « heureuse » et « pleine de vie ». Ils veulent préciser « qu’en aucun cas il ne peut s’agir d’un suicide ». Tous les amis et connaissances se disent profondément choqués par la nouvelle de son décès. En regardant ses vidéos, on peut très vite se rendre compte que l’on a affaire à une femme sûre d’elle, confiante qui ne montre pas le moindre signe de vouloir en finir avec la vie.
Le Dr Boroch était un auteur très vendu, très respectée, tout spécialement pour sa recherche sur la sclérose en plaques et la guérison du candida. Elle s’était elle-même guérie de la sclérose en plaques à l’âge de 24 ans. Elle a aussi écrit des livres d’avant-garde sur les thérapies alternatives. Elle menait aussi campagne contre les dangers des vaccinations. Elle incitait les gens à préférer les moyens de guérisons alternatifs et naturels aux solutions proposées par Big Pharma.
Ann Boroch est décédée d’une manière soudaine et complètement inattendue, comme ce fut aussi le cas pour Christopher Bayley King, 49 ans qui était en train de manger dans un restaurant bio quand un inconnu s’est approché de lui et l’a abattu.- King était médecin et chercheur. Il a été abattu de 4 balles dans la poitrine et l’épaule.
Peu après l'annonce de son décès, la famille d'Ann Boroch a publié une déclaration sur sa page Facebook officielle pour confirmer sa mort.
Message de la famille d'Anne Boroch:
C’est le cœur bien lourd que nous vous annonçons que Ann Boroch a trouvé brusquement la mort le mardi 1er août 2017.
Beaucoup parmi vous connaissaient toute l’histoire d’Ann.
A vingt ans, elle s’est battue contre la sclérose en plaques. Comme la médecine traditionnelle ne lui apportait pas de soulagement, elle décida de créer son propre programme de traitement. Elle découvrit que les levures et les toxines fongiques étaient les principaux coupables des maladies auto-immunes.
En ayant recours à une alimentation très stricte pour combattre le candida, Ann put finalement guérir sa sclérose en plaques. Remplie de gratitude par rapport au triomphe qu’avait représenté sa guérison, elle réalisa que sa mission était d’informer le public.
Ann reprit des études et devint naturopathe, hypnothérapeute certifiée et consultante en nutrition. Ann finit par ouvrir un cabinet de thérapeute à Los Angeles.
Pendant environ une vingtaine d’années, elle a joué le rôle de guide éclairé pour la guérison de milliers de personnes dans le monde.
Ann nous laisse un héritage d’amour, d’inspiration et de guérison. Son message continuera à se répandre au travers de ses livres, de ses vidéos pour que d’autres puissent eux aussi trouver la voie de la guérison.
Sachez que Ann aimait beaucoup son travail et prenait le cas de chacun de ses patients vraiment à cœur.
Ann n’arrêtait pas de rechercher les meilleurs moyens de pouvoir venir en aide à ses frères humains.
Si d’une manière ou d’une autre vous souhaitiez honorer la mémoire d’Ann, nous vous proposons de faire un don pour certaines de ses associations favorites.
MEDECINS SANS FRONTIERES
WOMEN FOR WOMEN INTERNATIONAL
DELTA RESCUE
TREE PEOPLE Los Angeles, CA
Depuis l’annonce du décès du Dr Ann Boroch par sa famille, la page officielle de Facebook consacrée à son décès a été retirée, de même que plusieurs mails postés par Ann Boroch ont peu à peu commencé à disparaître mystérieusement eux aussi . Son site apparaît cependant toujours en ligne jusqu’à ce que l’histoire le fasse disparaître à son tour.
Une sélection des ouvrages publiés par Ann Boroch.
Beaucoup trop de médecins et praticiens holistiques qui se sont exprimés contre les vaccins et les chimiothérapies sont aussi récemment décédés, bien entendu sans que l’on puisse parler de hasard.
Qu’ont donc découvert ces chercheurs pour qu’il faille ainsi désespérément tenter de tout faire pour camoufler leurs recherches ?
C'est parce que la mafia officielle est littéralement prête à tout qu'il est ESSENTIEL que le plus grand nombre de personnes soient présentes notamment le 9 septembre prochain à Paris, pour Anne Boroch, pour Claire Séverac et toutes ces futures personnes qui risquent la mort pour avoir été trop seules à défendre nos libertés sanitaires essentielles alors que des millions de personnes pensent pourtant la même chose....Si le public ne se lève pas maintenant, quel monde ou plutôt quel enfer laisserons-nous aux bébés d'aujourd'hui qui auront oublié en grandissant jusqu'à la liberté élémentaire de leur propre corps??
Une infirmière de Californie administre le vaccin Gardasil à sa propre fille. Celle-ci développe une leucémie et décède
Avant et après le vaccin Gardasil
Health Impact News, 13 juillet 2017
L’équipe VAXXED a interviewé une maman de Long Beach en Californie. Cette dernière est infirmière ; elle était favorable aux vaccins. Elle explique que tous ses enfants avaient reçu tous les vaccins prévus par le programme officiel avant qu’elle administre le Gardasil à sa propre fille de 16 ans.
En tant qu’infirmière, son travail consistait à administrer régulièrement des vaccins qu’elle n’a jamais remis en question. Elle déclare qu’elle n’a jamais été informée de leurs effets secondaires.
Quand elle a appris que le Gardasil était un vaccin destiné à prévenir le cancer, et que sa fille devait le recevoir avant qu’elle ne devienne sexuellement active, elle n’a pas hésité à faire venir sa fille dans le bureau où elle travaillait et lui a administré la première dose du vaccin.
Après ce premier vaccin, sa fille était toujours fatiguée. On pensait qu’elle pouvait souffrir de mononucléose. Elle souffrait sans arrêt et avait du mal à parcourir de longues distances. Avant qu’elle ne reçoive ce vaccin sa fille était cependant en parfaite santé et très active.
Sa maman n’a cependant pas associé ses symptômes au vaccin. Elle les a attribués à une alimentation déficiente et à un mode de vie trop actif.
Comme sa fille avait peur des vaccins, elle a décidé de ramener le vaccin Gardasil à la maison et de le lui administrer chez elle.
Peu de temps après le deuxième vaccin, on diagnostiqua une leucémie chez sa fille. Dix mois plus tard, elle devait décéder.
« Je veux partager mon histoire parce qu’elle est très importante.
Ce vaccin est horrible. Je ne puis pas dire qu’elle serait peut-être toujours là si je ne le lui avais pas administré.
Je me sens vraiment responsable parce que c’est moi-même qui lui ai administré ce vaccin. Je croyais faire ce qu’il fallait pour protéger ma fille du cancer, et elle a fini par attraper le cancer ! J’avais pourtant essayé de la protéger ! »
Maman faussement accusée du « Syndrome du bébé secoué » après des dommages cérébraux post-vaccinaux
Health Impact News, 25 juillet 2017
L’équipe VAXXED a récemment interviewé une maman du New Jersey qui vit maintenant en Floride, au sujet de son enfant dont la santé a été endommagée par des vaccins. Comme son fils présentait des lésions cérébrales, la maman fut accusée du Syndrome du Bébé Secoué (SBS). Alors que son autre enfant lui était enlevé, on essaya de lui faire avouer un crime qu’elle n’avait jamais commis.
Alors que l’enfant était presque mort, on encouragea la maman et son mari pour qu’ils acceptent de donner les organes de leur enfant.
Finalement, l’enfant a survécu grâce au recours à des thérapies alternatives : l’oxygénothérapie hyperbare et le cannabis médical (CBD oil). L’enfant a finalement connu une amélioration significative.
Voici l’histoire de cette famille :
Naissance tout à fait normale avant l’administration des vaccins
La maman raconte que la naissance de son bébé avait été tout à fait normale et qu’il était en parfaite santé.
Comme presque tous les bébés nés dans les hôpitaux aux Etats-Unis, il a reçu le vaccin contre l’hépatite B le jour de sa naissance. Le deuxième vaccin contre l’hépatite B lui a été administré quand il eut un mois. La maman explique qu’après avoir reçu ce second vaccin, l’enfant commença à cambrer son dos, à rouler sur l’ côté avec les yeux révulsés.
Quand la maman emmena son petit chez le médecin, elle lui exprima son inquiétude au sujet des effets secondaires apparents des vaccins. Mais celui-ci ne tint aucun compte de ses inquiétudes et administra à l’enfant la série complète des vaccins prévus pour l’âge de 2 mois. Cette série de vaccins comprenait le vaccin antipolio oral, vaccin qui n’est plus utilisé aux Etats-Unis à la suite des graves effets secondaires qu’il avait produits.
Après la série des vaccins de deux mois, le petit a commencé à vomir. Appelée par le babysitter, la maman prit l’enfant dans ses bras. Il était complètement léthargique et déshydraté et tout pâle. Après lui avoir donné à boire, elle appela le pédiatre.
Le médecin déclara qu’il s’agissait probablement de la grippe et qu’il n’était pas nécessaire d’amener l’enfant chez lui.
15 minutes après avoir raccroché le téléphone, l’enfant commença à présenter les signes d’une crise épileptique.
La maman appela immédiatement son mari parce qu’elle devait aussi s’occuper de son autre enfant de 4 ans. Elle rappela aussi le médecin qui ne put lui donner un rendez-vous que tard le lendemain.
Quand le mari se rendit compte de l’état de son fils, il décida de l’emmener dans le centre de soins intensifs le plus proche.
Comme l’enfant refit une crise aux urgences, un médecin suspecta qu’il pouvait souffrir de méningite. Le médecin et deux infirmières appelèrent une ambulance pour emmener l’enfant dans le centre de traumatologie de l’Université Robert Wood Johnson.
Dommage cérébral grave. La maman mise en cause
Comme l’enfant avait arrêté de respirer, l’ambulance l’amena à l’hôpital Saint Peter’s University Hospital qui était plus proche.
Après que l’état de l’enfant fut stabilisé, les parents virent apparaitre le pédiatre qui leur avait dit qu’il n’était pas nécessaire de lui amener l’enfant. Il demanda aux parents ce qui s’était passé.
La maman lui répondit que la seule chose qui s’était passée c’est que son enfant avait, 10 jours plus tôt, reçu dans son bureau la série de vaccins prévus pour son âge. Le médecin répondit : Jamais les vaccins ne pourraient causer pareille chose.
L’enfant fut ensuite transféré à l’hôpital Robert Wood Johnson où il passa un scanner. Cet examen fit apparaître d’importantes hémorragies au cerveau.
Le médecin de l’unité pédiatrique ICU expliqua à la maman qu’il souhaitait parler à son mari.
Les médecins finirent par expliquer au couple que « quelqu’un devait avoir fait cela à l’enfant », c’était un peu comme si quelqu’un l’avait frappé avec une batte de baseball.
La maman expliqua que cela ne s’était évidemment pas produit du tout. - Alors que son fils était conduit aux soins intensifs, les services sociaux, la Police, ainsi que le bureau du Procureur furent appelés.
Le lendemain, deux détectives et deux travailleurs sociaux sont venus escorter la maman qui était restée toute la nuit à veiller son enfant qui était entre la vie et la mort.
La maman n’avait pas mangé de toute la journée. C’est dans le froid d’un jour de janvier qu’ils descendirent les rues enneigées jusqu’à un endroit où ils questionnèrent la maman pendant 5 heures, essayant de lui faire avouer qu’elle avait endommagé la santé de son fils. Ces personnes prétendaient qu’elle devait avoir secoué son bébé pour qu’il présente pareilles atteintes.
Charges criminelles et enfant kidnappé
Ils ont dit que j’avais secoué mon bébé
La famille a dû avoir recours à un avocat pour leur défense, alors que leur autre enfant de 4 ans avait été emmené par les services sociaux. (DCF)
La maman était très perturbée par le diagnostic de « Bébé Secoué » qu’avaient prononcé les médecins. Elle savait qu’elle n’avait absolument pas secoué son enfant et ne croyait pas que quiconque aurait pu le secouer. Il n’y avait d’ailleurs aucun signe extérieur d’abus (qui seraient par exemple visibles sur la tête si quelqu’un avait frappé l’enfant avec une batte de baseball, comme l’avait d’ailleurs suggéré un médecin.)
Comme les parents se montraient coopérants, les médecins leur ont fait savoir deux semaines plus tard qu’ils voulaient effectuer une analyse de sang comme pour tester quelque chose de très rare qu’ils n’avaient jamais vu auparavant.
Dans la suite, la maman s’est tournée vers d’autres médecins pour demander de l’aide et a commencé à effectuer des recherches. Elle a ensuite contacté quelques neurochirurgiens pour obtenir des conseils.
Un neurochirurgien de Dallas s’intéressa vraiment à leur cas et a demandé aux parents de lui faire parvenir les résultats des scanners, car en l’absence de quelque preuve extérieure comme des fractures, des oedèmes etc., le médecin voulait manifestement en savoir plus.
Après avoir examiné les résultats des scanners, ce médecin convoqua la maman ainsi que son avocat pour leur signifier qu’il ne trouvait aucune preuve d’abus ou aucune preuve du Syndrome du Bébé Secoué. Il conseilla ensuite de retirer leur enfant de l’hôpital Robert Wood Johnson afin qu’il puisse recevoir de meilleurs soins à l’hôpital de Newark, NJ.
Les médecins de l’hôpital Robert Wood Johnson s’y opposèrent en confirmant leur diagnostic du Bébé Secoué et programmèrent une intervention chirurgicale pour le lendemain matin.
La maman a refusé net. Et quand les médecins lui ont demandé ce qu’elle comptait faire, elle a répondu qu’elle allait venir elle-même reprendre son petit pour le conduire à l’autre hôpital. Les médecins finirent par accepter le transfert parce que les lois du New Jersey lui permettaient d’opérer ce transfert.
Dommages vaccinaux et accusation de « Bébé Secoué »
Le petit fut finalement conduit en thérapie de réadaptation en raison de l’importance de sa lésion cérébrale. Il n’y eut pas d’autre diagnostic que « Syndrome du Bébé Secoué ». Le lien avec les vaccins ne fut établi que quelques années plus tard.
Dans la suite, la maman a été très impliquée dans la recherche sur le Syndrome du Bébé Secoué. Elle a rapidement pu découvrir des preuves que ces symptômes et dommages pouvaient bel et bien apparaître après des vaccinations.