C’est à vous de décider !
Les risques et les bénéfices de la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole)
Par Michelle Goldstein, 18 février 2016
La plupart d’entre nous pèsent le pour et le contre des procédures médicales avant de s’y soumettre. Nous signons alors un formulaire de consentement éclairé quand nous avons compris les risques potentiels par rapport aux avantages présentés.
Dans le cas de la vaccination, la grande majorité des parents n’hésitent pas à faire vacciner leurs enfants parce qu’ils sont influencés par la propagande et par les tactiques de peur qui sont utilisées par les médecins. Ceux-ci assurent les parents que la vaccination est sans danger et qu’il est utile de protéger les enfants contre toute une série de maladies qui peuvent s’avérer mortelles. Si, comme il m’est arrivé de le faire, nous faisons aveuglément confiance aux médecins, il ne nous reste finalement qu’à accepter.
Il est important que nous utilisions notre esprit critique avant de donner notre accord pour n’importe quelle vaccination. Les vaccins sont en effet des actes médicaux qui peuvent, dans certains cas, comporter des risques graves avec seulement quelques bénéfices « théoriques ».
Qu’est-ce que la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) ?
Les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) signalent que ces trois maladies sont très graves. Le CDC reconnait aussi qu’avant les vaccinations ces maladies étaient très fréquentes, surtout chez les enfants. La rougeole provoque souvent des éruptions cutanées, de la toux, le nez qui coule, des irritations oculaires et de la fièvre. Les oreillons peuvent provoquer de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, une perte d’appétit et des ganglions enflés. La rubéole peut provoquer des éruptions cutanées, ainsi qu’une légère fièvre chez les enfants.
Le CDC signale que le vaccin ROR peut protéger les enfants et les adultes de ces trois maladies.
On recommande deux doses du vaccin ROR. La première à 12-15 mois. La deuxième est recommandée entre 4 et 6 ans.
Dans de très rares cas, la rougeole a conduit à des infections de l’oreille, à des pneumonies, des convulsions, des lésions cérébrales et même à la mort. Les oreillons chez les adultes peuvent provoquer la surdité, des méningites, le gonflement douloureux des testicules, des ovaires ou la stérilité. Pour une femme enceinte, le fait d’être infectée par la rubéole peut provoquer des fausses couches ou des malformations chez le bébé. [1]
Quels sont les bénéfices réels du vaccin ROR ?
En théorie, le vaccin ROR protège contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. En vérité, la seule chose qui ait pu être prouvée pour le vaccin ROR, comme pour tous les autres vaccins, c’est qu’il entraine une augmentation des anticorps vis-à-vis de ces trois maladies.
Le Dr R. Blaylock, neurochirurgien et chercheur a écrit et donné de nombreuses conférences pour montrer que si les vaccinations augmentent les anticorps vis-à-vis de certaines maladies, elle dépriment l’immunité cellulaire qui est le type d’immunité le plus important pour la protection contre les maladies. [2]
Le Dr Blaylock a aussi précisé que l’immunité réelle obtenue grâce aux vaccinations, si immunité il y a, est relativement faible et limitée dans le temps, [3]
Preuves supplémentaires des échecs vaccinaux dans les cas de rougeole et d’oreillons.
Les graphiques montrent que les taux de plusieurs maladies infantiles avaient considérablement diminués AVANT l’introduction et la pratique généralisée des vaccinations. La diminution des maladies doit avant tout être attribuée à l’hygiène, à l’assainissement des conditions de vie et à l’amélioration des qualités de l’eau, et non à la vaccination. [4], [5].
Le Dr Viera Scheibner a fait état de plusieurs épidémies récentes de rougeole chez des enfants complètement vaccinés. Cet argument réfute celui de l’efficacité de la vaccination contre la rougeole. [6]
Le Dr Russel Blaylock a également signalé que, parmi des cas de rougeole récemment infectés, la majorité, et, dans certains cas, cent pour cent des personnes avaient reçu le vaccin ROR. Cette information vitale n’a pas été signalée dans les médias traditionnels. [7]
Des reportages ont également relié de récentes épidémies d’oreillons chez des personnes qui avaient été vaccinées contre cette maladie. [8]
Il faut absolument que l’on se pose la question : Pourquoi des individus vaccinés ont-ils été infectés par les maladies contre lesquelles ils auraient dû être protégés ?
Rougeole, Oreillons, Rubéole : des maladies de l’enfance relativement bénignes
Dans le passé, on a traité les cas de rougeole, rubéole et oreillons comme des maladies bénignes de l’enfance. L’hystérie de masse que l’on voit aujourd’hui n’existait tout simplement pas. Les enfants restaient simplement quelques jours à la maison jusqu’à ce que leurs symptômes disparaissent. [9]
Dommages de santé provoqués par la vaccination ROR
Les effets secondaires suivants ont été rapportés pour la vaccination ROR. Dans ses rapports de pharmacovigilance pour le ROR, Merck rapporte: l’inflammation du cerveau, le dysfonctionnement cérébral chronique, ainsi que les problèmes de santé suivants :
- Rougeole atypique
- Syncope (évanouissement, soudaine perte de conscience)
- Vasculite (inflammation des vaisseaux sanguins)
- Pancréatite (inflammation du pancréas)
- Diabète sucré
- Purpura thrombocytopénique (Maladie du sang)
- Leukocytose (nombre élevé de globules blancs)
- Choc anaphylactique
- Spasmes bronchiques
- Arthrite et arthralgie
- Myalgies (douleurs musculaires)
- Polynévrite (Inflammation de plusieurs nerfs)
Le Centre National d’Information sur les Vaccins (NVIC) rapporte :
« En utilisant le moteur de recherches MedAlerts qui facilite la recherche des effets secondaires de vaccins sur base de données du VAERS (Adverse Events Reporting System) on s’aperçoit qu’en date du 14 décembre 2014 que 6.962 effets secondaires liés au vaccin contre la rougeole ont été rapportés au VAERS depuis 1990. La moitié de ces effets secondaires se sont produits chez des enfants de 3 ans ou de moins de 3 ans. Parmi ces effets secondaires on a relevé 329 décès dont plus de la moitié se sont produits chez des enfants de moins de 3 ans. »
Les effets secondaires rapportés au VAERS à la suite de la vaccination ROR comprennent :
- Le lupus (Trouble auto-immun du tissu conjonctif)
- Le syndrome de Guillain Barré (inflammation des nerfs)
- L’encéphalite
- La méningite aseptique (Inflammation de la muqueuse du cerveau)
- Surdité
- Cardiomyopathie (Affaiblissement du muscle cardiaque)
- Episodes d’hypotonie-hyporéactivité (Collapasus/ Choc)
- Convulsions
- Panencéphalite sclérosante subaiguë
- Ataxie (Perte de la capacité de coordonner les mouvements)
- Paresthésie (engourdissements, brûlures, picotements, démangeaisons, irritation des nerfs. [10]
La vaccination ROR et l’autisme
L’autre énorme risque associé à la vaccination ROR est l’autisme. En dépit des démentis des médias traditionnels et des groupes médicaux conventionnels, la connexion est très forte. L’autisme est désormais monnaie courante, avec un enfant sur 50 qui reçoit le diagnostic de cette maladie débilitante. [11]
Plus récemment, un énorme scandale a eu lieu dans lequel un scientifique du CDC a avoué avoir caché une étude de 2001 qui montrait une augmentation significative des taux d’autisme pour les garçons afro-américains qui avaient reçu le vaccin ROR. [12]
C’est maintenant à vous de décider !
Il est clair que quand on fait l’analyse des risques par rapport aux bénéfices de la vaccination ROR, on sait qu’il existe des risques. Mais on ne peut cependant pas dire que le vaccin soit sûr comme l’a affirmé l’industrie du vaccin : 6.962 rapports d’effets secondaires graves est quand même assez significatif. Les 329 décès chez de jeunes enfants sont réellement tragiques. L’association avec une augmentation de l’autisme est particulièrement grave.
S’ils existent, les avantages pour la santé de cette vaccination sont limités. Il y a aussi ceux qui font une maladie généralement bénigne après s’être fait vacciner.
Il est très important d’évaluer les risques et les avantages avant de se lancer dans pareilles procédures médicales. Ce n’est qu’après avoir fait une enquête sérieuse sur les risques et les avantages qu’il faudra que vous preniez personnellement position et que vous décidiez de ce qu’il faudra faire ou ne pas faire.
Références:
- http://www.cdc.gov/vaccines/hcp/vis/vis-statements/mmr.html
- Blaylock, Russell. Outsmarting … And Beating … Infections. The Blaylock Wellness Report. Vol. 19, No. 4. April 2012.
- http://www.h4cblog.com/vaccines-and-the-myth-of-herd-immunity
- http://www.healthsentinel.com/joomla/index.php…
- http://www.whale.to/vaccines/decline1.html
- http://healthimpactnews.com/2013/…
- http://www.newsmax.com/Newsmax-Tv…
- http://www.inquisitr.com/1177096/…
- http://www.ageofautism.com/2015/01…
- http://www.nvic.org/vaccines-and-diseases/…
- http://www.whiteoutpress.com/timeless/…
- http://www.greenmedinfo.com/blog/…
Source: Vactruth