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10 septembre 2018 1 10 /09 /septembre /2018 15:08

Multiplication des procès contre le vaccin anti-zona

Multiplication des procès contre le vaccin anti-zona

Par Brian Shilhavy, Health Impact News, 27 août 2018

Drugwatch.com rapporte que Zostavax, le vaccin contre le zona de Merck, fait actuellement l’objet de plusieurs poursuites pour avoir causé le zona, alors que le vaccin était censé protéger contre cette maladie. Dix-huit personnes dans le pays ont intenté des poursuites judiciaires contre Zostavax au New Jersey.

Les plaintes soutiennent que le vaccin a permis le développement du zona. Un cas a entraîné une  hospitalisation avec douleur nerveuse chronique appelée névralgie post-herpétique.

Le texte de la plainte précise : « Merck savait ou aurait dû savoir que son produit pouvait causer une infection virale, et n’était donc pas sans danger ».

Jane Boda fut l’une des premières personnes à déposer plainte au Wisconsin en mai 2018. Au cours du procès, il a été prétendu que Zostavax avait donné le zona à Boda. Elle dit avoir subi des lésions nerveuses chroniques.

Les ventes de Zostavax ont chuté lors du premier trimestre de 2018.

Au premier trimestre de 2018, Merck a rapporté que Zostavax avait permis de réaliser 65 millions de dollars. Ce chiffre est inférieur de 58% à celui du premier trimestre de 2017.

Le nombre de prescriptions de Zostavax a également diminué de 80% au cours du premier trimestre 2018.

La baisse des ventes s’est poursuivie au cours du deuxième trimestre de 2018. Les ventes de Zostavax ont atteint 44 millions de dollars.

Merck attribue les mauvaises ventes à la décision du CDC de recommander le vaccin contre le zona de son concurrent, Shingrix de GlaxoSmithKline, et non à cause des poursuites judiciaires.

Le danger du vaccin contre le zona résulterait d’un vaccin raté contre la varicelle

Plus tôt cette année (août 2018), nous avons publié un article sur le développement du vaccin contre la varicelle-zona, article écrit par Barbara Loe Fisher et Kate Raines.

Ils ont rapporté comment un lanceur d’alertes avait révélé que le CDC avait manipulé les données sur le zona dans le développement du vaccin contre la varicelle.

Gary S. Goldman,PhD a travaillé pendant huit ans (de janvier 1995 jusqu’à sa démission en octobre 2002) en tant que chercheur sur le projet de surveillance active de la varicelle (VASP). Il s’agissait d’un projet de coopération, avec les Centres de contrôle des maladies et de prévention (CDC d’Atlanta).

Goldman a été embauché pour mener des études sur l’impact du vaccin universel contre la varicelle.

Lorsque le Dr Goldman a été empêché de publier ses conclusions sur les effets négatifs de l’utilisation universelle du vaccin contre la varicelle chez les enfants, il a démissionné en 2002.

Dans sa lettre de démission, il a déclaré :

"Lorsque des données de recherche concernant un vaccin utilisé dans des populations humaines sont supprimées et/ou mal représentées, cela est très inquiétant et va à l’encontre de toutes les normes scientifiques. Cela compromet aussi l’éthique professionnelle."

En 2005, le Dr Goldman a publié un article prouvant que le zona disparait naturellement dans les populations humaines grâce à une exposition répétée au virus naturel de la varicelle qui fournit une stimulation asymptomatique protectrice.

Il a prédit que la vaccination à grande échelle contre la varicelle entraînerait une perte d’immunité naturelle, ainsi qu’une augmentation de l’incidence du zona chez les adultes.

Il a noté que l’industrie pharmaceutique s’attendait à une diminution de la varicelle en circulation en vaccinant contre le zona (Déclaration du Dr Goldman).

Utiliser le vaccin contre le zona pour lutter contre les épidémies de zona chez les adultes échouerait probablement parce que les programmes de vaccination chez les adultes se sont rarement avérés efficaces….Il ne semble y avoir aucun moyen d’éviter une épidémie massive de zona chez les adultes qui puisse être efficace sur plusieurs générations.

Le lanceur d’alertes accuse le CDC de manipuler les données sur le zona avec le vaccin contre la varicelle

Ce qui se passe dans le cas de ces dangereux vaccins contre le zona, c’est qu’un vaccin dangereux et non nécessaire, le vaccin contre la varicelle, a eu des conséquences négatives. Il a entrainé le développement d’un autre vaccin dangereux, le vaccin contre le zona.

Aucun de ces vaccins n’est nécessaire si un enfant non vacciné contracte la varicelle et développe une immunité à vie.

C’est alors la population qui souffre, alors que l’industrie amasse des profits.

Alors que les sociétés pharmaceutiques jouissent d’une immunité juridique aux Etats-Unis contre les dommages et les décès causés par les vaccins, elles peuvent néanmoins être poursuivies pour fraude ou pour dissimulation d’effets secondaires connus. C’est bien ce qui semble être à la base des poursuites judiciaires contre Merck.

Source: Health Impact News

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6 septembre 2018 4 06 /09 /septembre /2018 21:28

En septembre 2017, l'association française Canis Ethica avait fait parvenir une plainte à la Commission Européenne pour s'indigner de la liberté étrangement laissée aux pharmas de faire croire à la nécessité de revaccination annuelle des animaux de compagnie français, alors que les mêmes vaccins sont présentés comme au moins valables 3 ans dans d'autres pays de l'UE....

 

La Commission Européenne vient de répondre à Canis Ethica, en noyant le poisson et en renvoyant la patate chaude à l'échelon national. La Commission, toujours si prompte à prôner l'uniformisation et "l'harmonisation" (terme ô combien à la mode!) quand il s'agit d'étendre à la hausse les politiques vaccinales, se rabat sur la liberté des Etats quand il s'agit d'aller dans un sens contraire aux lobbys, véritable gangrène de l'UE. On l'a hélas bien vu aussi en matière de vaccination humaine, avec la résolution du Parlement évoquant la "neutralisation" des voix dissidentes en matière vaccinale ou encore, les récentes mesures de "coopération" entre Etats européens pour faire face aux réticences vaccinales car le dogme est de vacciner toujours plus, indépendamment de la liberté élémentaire des individus et du droit à protéger leur corps, leur intégrité.

 

Nous vous invitons donc à prendre connaissance du travail rigoureux de l'association Canis Ethica qui oeuvre pour le bien-être des chiens et qui démontre avec brio les incohérences d'un système corrompu et à bout de souffle pour lequel le profit prime tristement sur la Vie.


Plainte de Canis Ethica à la Commission Européenne (septembre 2017)

 

Réponse de la Commission Européenne (août 2018)

 

Dernière réponse de Canis Ethica à la Commission Européenne

 

Communiqué de presse de Canis Ethica sur la situation et sur ses démarches

 

Signez ici la pétition pour le bien-être des chiens, et n'hésitez pas à en parler aussi largement autour de vous car des millions d'animaux encourent les risques de la survaccination!

 

Une vidéo de synthèse pour comprendre l'enjeu. N'oubliez pas... vous n'êtes pas que clients-consommateurs mais aussi consom'acteurs...

Visitez le site Canis Ethica et parlez-en à vos proches, amis, vétérinaires, ostéopathes animaliers, dans vos clubs canins ou à vos éleveurs ou clients!

https://www.canisethica.org

 

Ou via la page Facebook de l'association

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1 septembre 2018 6 01 /09 /septembre /2018 21:45

La FDA autorise un nouveau vaccin contre l’hépatite B malgré de graves problèmes de sécurité

Par Rishma Parpia, 3 août 2018

La FDA autorise un nouveau vaccin contre l’hépatite B malgré de graves problèmes de sécurité

En février 2018, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC a approuvé la recommandation d’un nouveau vaccin contre l’hépatite B, l’Heplisav-B (HepB-CpG) destiné aux adultes de plus de 18 ans. (1)

Heplisav-B est fabriqué par Dynavax Technologies Corp. Et le nouveau vaccin est administré en deux doses par rapport aux trois doses recommandées pour le vaccin contre l’hépatite B homologué de Merck en 1986 et le vaccin Engerix-B de Glaxo Smith Kline, homologué en 1989.

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a rejeté à deux reprises la demande de Dynavax d’autorisation de mise sur le marché de l’Heplisav-B en raison de signaux de sécurité.(2). La FDA a accordé cette licence en novembre 2017, malgré des problèmes de sécurité non résolus. Vous trouverez ci-dessous la séquence de ces événements menant à l’homologation de l’Heplisav-B.

En 2013, la FDA a rejeté pour la première fois la demande de licence de Dynavax concernant l’ Heplisav-B en raison de l’inquiétude de l’organisme de réglementation selon lequel le nouvel adjuvant du vaccin expérimental, conçu pour stimuler l’immunogénicité, pourrait entraîner le développement de maladies auto-immunes. (3)

L’Heplisav-B diffère des autres vaccins homologués contre l’hépatite B en ce sens qu’il contient un nouvel adjuvant synthétique connu sous le nom de cytosine phosphoguanine 1018 (CpG 1018) composé de courtes molécules d’ADN de synthèse. (4)

Les vaccins contre l’hépatite B déjà homologués aux Etats-Unis contiennent des adjuvants à base d’alun (sels d’aluminium) qui stimulent une réponse inflammatoire générale (3). Le CpG 1018 stimule une réponse inflammatoire plus spécifique en produisant des anticorps spécifiques à l’antigène de surface contre l’hépatite B. (3) 

Selon un article publié dans Medscape, la première demande de Dynavax Technologies visant à obtenir une licence pour le vaccin Heplisav-B a été rejetée par la FDA pour la raison suivante :

Bien que les analyses d’innocuité n’aient pas révélé de différences statistiquement significatives entre Heplisav et Engerix-B (GlaxoSmithKline) en ce qui concerne les effets secondaires systémiques, locaux ou les décès, il s’est avéré que le nombre de patients recevant l’Heplisav et qui ont présenté des troubles auto-immuns, y compris des troubles de la thyroïde, était plus important. Ces augmentations n’étaient pas statistiquement significatives, mais les membres du groupe consultatif ont déclaré que la base de données sur l’innocuité était trop petite pour pouvoir détecter des événements indésirables rares. (3)

A l’époque, Melinda Wharton, directrice adjointe du Centre national d’immunisation et des maladies respiratoires du CDC, a déclaré : « Je ne pense pas que la base de données sur la sécurité soit suffisamment vaste pour pouvoir appuyer une recommandation pour l’utilisation de ce vaccin chez les adultes, étant aussi donné le fait que ce vaccin contient un nouvel adjuvant. » (3)

En 2016, la FDA a rejeté une deuxième demande de Dynavax visant à obtenir une licence pour le vaccin Heplisav-B. A cette époque, l’agence s’inquiétait de l’augmentation du taux de problèmes cardiovasculaires et des décès chez des personnes ayant reçu le vaccin Heplisav-B, par rapport à l’Engérix-B. (5)

Au cours d’un essai clinique randomisé portant sur environ 8.400 sujets, 5.600 participants ont reçu Heplisav-B et 2.800 participants ont reçu Engerix B. (6,7). Au cours de l’essai, environ 14 sujets du groupe Heplisav-B ont eu des crises cardiaques en comparaison avec un seul cas pour le groupe des personnes qui avaient reçu Engerix-B. (6,7) Compte tenu du fait que le groupe Heplisav-B était deux fois plus important que le groupe Engerix-B, le risque de crise cardiaque était sept fois plus élevé chez les personnes ayant reçu le vaccin expérimental. (6)

Dans le but de minimiser l’importance du taux accru de complications cardiaques graves, Dynavax a soutenu que le nombre plus élevé de crises cardiaques enregistrées dans le groupe Heplisav-B était dû aux cas « moins nombreux que prévu » survenus dans le groupe Engerix-B. (8)

[…] En juillet 2017, le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques (VRBPAC) s’est réuni pour réévaluer les preuves scientifiques et décider si l’utilisation de l’Heplisav-B aux Etats-Unis devait être ou non approuvée. (6) Une majorité des membres du comité étaient des spécialistes de l’immunologie et des maladies infectieuses. Un seul cardiologue faisait partie de l’équipe, le Dr Milton Packer, chercheur distingué en sciences cardiovasculaires au Baylor University Medical Center de Dallas au Texas. (6)

Selon le Dr Packer, il était possible que la forte réponse inflammatoire induite par le nouvel adjuvant du vaccin Heplisav-B soit liée au nombre plus élevé de crises cardiaques chez les participants à l’étude ayant reçu le vaccin expérimental. Il a précisé :

« Le comité consultatif devait se demander s’il était biologiquement plausible que le nouveau vaccin puisse provoquer des crises cardiaques. Le nouvel adjuvant dans le vaccin a provoqué une réponse inflammatoire de durée incertaine. Nous savons que l’inflammation provoque la rupture des plaques d’athérosclérose dans les artères coronaires, ce qui déclenche la plupart des crises cardiaques. Ainsi, un lien de causalité entre le vaccin et les crises cardiaques n’était pas exclu. Plus important encore, nous devions décider si le déséquilibre des crises cardiaques entre les deux groupes pouvait être dû au hasard. C’était une excellente question, mais à laquelle il fut impossible de répondre ». (6)

Pour savoir si le déséquilibre (7-1) représente un risque réel, nous aurions besoin de données comparatives sur 50.000 personnes. Le meilleur moyen d’obtenir cette preuve serait de procéder à un essai après commercialisation. Mais un essai post-commercialisation ne serait possible que si le vaccin était approuvé pour un usage public. (6).

La FDA a demandé au comité de voter pour savoir si le vaccin contre Heplisav-B était sûr. Douze membres du comité ont voté en faveur de la sécurité du nouveau vaccin, l’un a voté contre et trois se sont abstenus. (6) M. Packer était l’un de ceux qui se sont abstenus. (6)

Le Dr Packer explique pourquoi il s’est abstenu :

« Pourquoi je me suis abstenu ? Sur la base des données disponibles, il était impossible à quiconque de savoir si l’augmentation du risque de crise cardiaque dans le groupe Dynavax était réelle ou fausse. Donc, bien que les questions aient été fascinantes et les discussions formidables, mon vote n’a pas été très compliqué. Il y a une règle très simple dans la vie : si vous ne savez pas, vous devriez dire que vous ne savez pas ». (6)

Après la réunion, la FDA a demandé à Dynavax de plus amples informations sur son étude post-commercialisation (6). Quatre mois plus tard, en novembre 2017, la FDA a autorisé l’Heplisav-B à être utilisé aux Etats-Unis pour les adultes de plus de 18 ans.

Cependant, l’approbation continue doit reposer sur une étude post-commercialisation qui comparera les résultats de santé des personnes ayant reçu l’Heplisav-B avec celles qui ont reçu l’Engerix-B (2).

Sur le site de la FDA, l’agence affirme que « les règlements de la FDA pour le développement des vaccins garantissent leur sécurité, leur pureté, leur puissance et leur efficacité. » (10)

Cependant, le fait que le vaccin Heplisav-B ait été approuvé pour usage public malgré des preuves manifestes, au cours des essais cliniques préalables à l’homologation, que le nouveau vaccin était associé à des problèmes d’auto-immunité, à des crises cardiaques et des décès, remet en cause l'engagement de la FDA à respecter ses propres réglementations.

Références:

1 Centers for Disease Control and Prevention. Heplisav-B (HepB-CpG). CDC.gov Apr. 28, 2018.
2 Lowes R. Heplisav-B Vaccine for Hep B Finally Wins FDA Approval. Medscape Nov. 10, 2017.
3 Tucker M. FDA Rejects Novel Hepatitis B Vaccine. Medscape  Feb. 23, 2013.
4 Dynavax Technologies Corp. Heplisav-B. FDA.gov 2017.
5 National Vaccine Support Group. Heplisav Hep B Vaccine Linked to Heart Attacks, Deaths.
6 Packer M. Is the new Dynavax hepatitis vaccine safe? I couldn’t tell — and I was advising the FDA. StatNews Aug. 4, 2017.
7 Food and Drug Administration. FDA Advisory Committee Briefing Document – Heplisav-B. FDA.gov July 28, 2017.
8 Clarke T. Dynavax hepatitis B vaccine works; raises safety issues: FDA. Reuters July 26, 2017.
9 Dynavax Innovative Immunology. Dynavax Receives Complete Response Letter from U.S. Food and Drug Administration for Biologics License Application for HEPLISAV-B. Dynavax Nov. 14. 2016.
10 FDA. Ensuring the Safety of Vaccines in the United States. July 2011.

Source: The Vaccine Reaction

Et voici ici une très courte vidéo, particulièrement éclairante quant à la façon dont le vote d'une recommandation vaccinale se déroule au sein de l'ACIP, le Comité américain des vaccinations. Ces pantins votent à 100% pour une recommandation fumeuse, malgré les données qu'ils ne possèdent pas (de co-administration avec d'autres vaccins) et malgré les soucis de sécurité (troubles cardiaques, maladies auto-immunes,...). A vous de vous demander si vous souhaiteriez confier votre santé à pareils pantins, lesquels se gardent plus que probablement de soumettre leur propre santé ou celle de leurs enfants à ces recommandations délirantes, dont ils sont bien placés pour connaître le peu de sérieux et de "scientificité" qu'elles possèdent...

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28 août 2018 2 28 /08 /août /2018 06:57

Dédommagements officiels pour effets secondaires des vaccins

L’indemnisation des victimes s’élève à plus de 3,8 milliards de dollars, alors que les fabricants de vaccins empochent les profits

Dédommagements officiels pour effets secondaires des vaccins

                      Par l’équipe du projet World Mercury, 22 mars 2018

 

La loi (National Childhood Vaccine Injury Act) qui est entrée en vigueur en 1988 stipulait que les fabricants de vaccins ne pouvaient être tenus responsables pour les dommages ou les décès résultant de l’utilisation de leurs vaccins, alors qu’ils étaient  recommandés par les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC). Le programme national d’indemnisation des dommages vaccinaux (NVICP) ou « Tribunal des Vaccins » n’est pas un tribunal ordinaire, mais un programme gouvernemental de recours (financé par les consommateurs) qui emploie des avocats particuliers, des employés des Services de Santé (HHS) plutôt que des juges pour prendre des décisions sur l’indemnisation des victimes. Les fabricants de vaccins sont défendus par les avocats du Ministère de la Justice financés par le gouvernement. D’autre part, les plaignants, tout en souffrant et payant pour les dommages qu’ils ont subis ou que leurs enfants ont subis, se retrouvent mêlés à un système judiciaire, où les cas, selon le Bureau de comptabilité du gouvernement américain, traînent depuis des années.

Les fabricants de vaccins se retrouvent dans une position gagnant-gagnant qui ne serait octroyée à aucune autre industrie américaine. Alors que les profits vont essentiellement aux fabricants de vaccins, les montants accordés aux victimes par le « Tribunal des Vaccins » sont payés par les consommateurs. Comme les fabricants de vaccins ne sont pas tenus responsables pour des produits qui peuvent s’avérer dangereux pour les enfants, ils ne se sentent guère incités à s’assurer que les vaccins qu’ils fabriquent sont sûrs.

Si les chiffres du VAERS et du HHS sont corrects – seulement 1% des dommages vaccinaux sont rapportés et seulement 1/3 des plaintes sont effectivement reçues et dédommagées – alors que 99% des dommages vaccinaux ne sont pas rapportés.

Le total des sommes accordées aux victimes est mis à jour tous les mois par l’Administration des Ressources et Services de Santé (HRSA). Notre groupe World Mercury Project veut partager ces mises à jour avec ses abonnés.

Depuis 1988, plus de 19.178 plaintes ont été introduites auprès du HHS. Au cours de cette période de 30 ans, 17.079 plaintes ont été jugées, dont 5928 ont été considérées indemnisables (environ 30%), tandis que 11.151 plaintes ont été rejetées. La rémunération totale versée (par les consommateurs) pendant cette durée du programme dépasse la somme de 3,8 milliards de dollars. Ce montant ne couvre pas le coût du programme lui-même, ni pour le HHS ni pour les personnes employées par le DOJ qui défendent les produits vaccinaux.

Aussi astronomiques que soient les sommes allouées aux plaignants, il est encore bien plus inquiétant de se pencher sur les allégations du HHS selon lesquelles seulement 1% des dommages vaccinaux sont rapportés au Système de Notification des Effets Indésirables des Vaccins (VAERS). Si les chiffres du VAERS et du HHS sont corrects – seulement 1% des dommages vaccinaux sont rapportés et seulement 1/3 des plaintes sont prises en compte avec indemnisation – alors que jusqu’à 99% des dommages vaccinaux ne sont pas signalés, et les familles ne sont pas indemnisées pour des produits apparemment défectueux.

Dédommagements officiels pour effets secondaires des vaccins
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4 août 2018 6 04 /08 /août /2018 22:30

Après le vaccin ROR, Alina a perdu la parole, l’appétit. Elle a souffert d’horribles crises épileptiques et est finalement décédée

Melissa Curtin, 1er août 2018

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

C’est l’histoire déchirante d’une maman australienne, Rajni Sharma, qui a reconstitué  et tracé la chronologie des problèmes de santé et de la mort de sa petite fille après la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) à 18 mois. La maman veut partager sa douloureuse expérience et l’histoire tragique de son unique petite fille. Elle espère que cette histoire en aidera d’autres à prendre des décisions éclairées.

Rajni : ma merveilleuse petite fille a vécu pleinement et merveilleusement chaque jour de sa courte vie avant de recevoir le vaccin ROR. Alina est née à terme le 12 mai 2016. Elle était en parfaite santé ; elle était heureuse et adorait la vie. Elle était mon rêve devenu réalité. C’est avec elle que j’ai appris ce qu’était l’amour d’un enfant, un amour qui n’a pas de limite ou de condition ; un pur amour altruiste. Alina était très aimante, attentionnée. Elle avait le sens de l’humour et aimait beaucoup jouer.

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Quand elle eût cinq mois, Alina commença à fréquenter la garderie. Elle aimait rencontrer d’autres enfants. Se sentant beaucoup aimée, elle avait un grand sentiment de sécurité. Dès qu’elle voyait Patrick, son père, elle courait se jeter dans ses bras…

La vie était vraiment bonne ! Je vivais mon rêve. C’étaient les derniers moments qu’Alina s’est vraiment sentie heureuse. Puis est venu le moment de la visite médicale de ses 18 mois avec le vaccin ROR.

Après avoir reçu ce vaccin, Alina a commencé à dormir beaucoup; elle a cessé de jouer et a perdu tout attrait pour la nourriture. La garderie m’a fait savoir qu’elle dormait beaucoup et paraissait extrêmement fatiguée. Comme Alina était mon premier enfant, j’ai pensé qu’elle pouvait peut-être faire une poussée dentaire. J’étais à ce point naïve que je n’ai même pas pensé au vaccin. Comme elle n’allait pas bien du tout, nous avons appelé l’ambulance qui l’a transportée à l’hôpital.

Le personnel de l’hôpital n’avait jamais vu ce genre de crise et ne savait quoi faire.

Il nous avait fallu 55 minutes pour nous rendre à l’hôpital. Pendant tout ce trajet Alina n’a pas cessé de faire crise sur crise. A l’hôpital on lui a administré du Midozalam par voie intraveineuse et les crises ont cessé après une heure. J’étais secouée et brisée tout en ne sachant toujours pas qu’il s’agissait d’une réaction indésirable au vaccin parce qu’on m’avait souvent répété que « les vaccins ne tuent pas les bébés ».

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Deux jours plus tard, Alina a recommencé à faire des crises. Elle a dû être transférée à l’hôpital pour enfants de Randwick pour y subir une IRM. Cette IRM était très claire : pas de tumeur, pas de masse, pas de cicatrice. Le neurologue nous a dit : « Ne vous inquiétez pas pour votre petite fille ; elle ira bien, son IRM semble bonne. C’est le bébé en meilleure forme de toute la salle ; elle ne risque pas de mourir. »

Dans la suite, ils ont diagnostiqué une épilepsie. Les neurologues ont été incapables de déterminer la cause de ses crises car elle n’avait pas de fièvre ou quelqu’autre maladie.

On m’a demandé si les vaccins d’Alina étaient à jour, et j’ai répondu : « Oui, elle a reçu son ROR la semaine dernière. » Je me suis alors arrêtée un moment, puis ai demandé au médecin : «  Pensez-vous que le vaccin puisse être la cause des crises  d’Alina ? » Ils m’ont répondu que ce n’était pas possible. – «  Je croyais encore le médecin parce que je me disais pourquoi un médecin mentirait-il ? Ce n’est pas l’ennemi de mon bébé !

Nous sommes finalement rentrés à la maison. Alina a reçu du Keppra contre l’épilepsie. Au cours de la semaine, elle a refait une crise. Ce fut le dernier jour qu’Alina passa à la maison. Nous étions le 25 novembre 2017.

Après 14 heures de crises quasi ininterrompues Alina fut plongée dans le coma. Elle se réveilla cinq jours plus tard et put me reconnaitre.

Alina dut subir par deux fois des tests pour les troubles  mitochondriaux. Tous les tests sont revenus négatifs. C’est alors, que je fus certaine que la santé d’Alina fut altérée par le vaccin.

A chaque crise, la santé d’Alina se détériorait. Elle a commencé par perdre la mémoire, elle ne nous reconnaissait plus, ni moi, ni Patrick, puis ce furent ses mots, ses jeux et la motricité de sa main gauche. C’est alors que je me suis écriée : «  Pourquoi personne ne m’écoute quand je parle des vaccins ? » - On m’a fait taire parce que « les vaccins ne tuent pas les bébés. »

Le 12 janvier 2018, Alina put à nouveau articuler quelques mots, mais à midi les crises recommencèrent, et ce fut le commencement de la fin de sa petite vie. Les crises se répétèrent pendant le reste du mois de janvier et début février et ce, jusqu’au 26 mars 2018 qui fut le jour de sa mort. Alina est morte dans mes bras. Je tenais le corps raide et froid de mon bébé au lieu de la petite fille pleine de vie que j’avais connue auparavant.

Personne n’a osé admettre que le vaccin ROR avait tué mon bébé. Au lieu de cela, je reçus une lettre de deux pages m’expliquant que mon bébé avait souffert  d’un cas rare de trouble mitochondrial, le CARS2. On nous expliquait que mon mari et moi-même étions porteurs d’une mutation génétique rare et que nous avions transmis ces gènes à notre petite fille.

Mais quelles étaient les chances pour que mon mari et moi-même soient porteurs du même gène récessif ? Nous ne faisons pas partie de la même ethnie, ni du même pays. Je suis indienne de naissance et mon mari est anglais.- Je me méfie de ces conclusions qui font penser que c’est un gène qui est la cause. Mais je sais qu’ils ne sont pas sûrs à 100%.

Ils ont suggéré que le gène CARS2 serait probablement la cause de l’état de notre petite fille. Il est très important de noter que les enfants atteints de troubles mitochondriaux présentent des niveaux élevés de lactate. Alina n’a jamais montré aucun signe de lactate élevé. Je ne crois donc pas qu’Alina ait souffert d’un trouble mitochondrial.

Il se trouve que personne dans ma famille ou dans celle de mon mari ne souffre de maladie génétique rare.- Je me casse la tête pour comprendre pourquoi l’hôpital décrète que les personnes pour lesquelles il ne trouve pas de réponse seraient atteintes d’un problème génétique rare.

La plongée en enfer d'Alina après le vaccin ROR, puis son décès

Des enfants et des nourrissons du monde entier meurent tragiquement des conséquences graves et des horribles risques que présentent les vaccins. Les parents dévastés s’efforcent courageusement de raconter leur histoire afin d’informer le plus grand nombre des tragédies qu’ils ont vécues. Ces parents ne cessent de se demander QUAND les masses se rendront-elles compte que des décès, des handicaps, des troubles neurologiques et auto-immuns sont causés par les vaccins ? Quand le grand public prendra-t-il en compte les avertissements de parents au coeur brisé qui feraient l’impossible pour voir revenir leur petit garçon ou leur petite fille ? Les parents devront-ils eux-mêmes perdre et enterrer leur propre enfant pour enfin ouvrir les yeux ?

Source : Stopmandatoryvaccination

Voir aussi

Effets du vaccin ROR: des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

Bénéfices/risques du vaccin ROR: c'est à VOUS de décider!

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

Cinq familles devant la justice (article sur les vaccins, Paris Match)

Deux enfants meurent à Samoa dans les minutes qui ont suivi l'administration du vaccin ROR

101 millions de dollars de dédommagement pour une encéphalopathie causée par le vaccin ROR

La fiche du M-M-RVAXPro sur le site Mesvaccins.net, laquelle fait état à "une fréquence indéterminée" de plusieurs complications neurologiques graves dont certaines peuvent être irréversibles (névrites, polyneuropathie, encéphalite, Guillain-Barré etc...).

Epilepsie et vaccins: le lien

Epilepsie et vaccinations

Epilepsie et vaccins: des parents s'interrogent très sérieusement

Epilepsie après un vaccin contre la varicelle

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28 juillet 2018 6 28 /07 /juillet /2018 21:04

101 millions de dollars de dédommagement pour une encéphalopathie causée par le vaccin ROR

Maglio Christopher & Toale. P.A., 17 juillet 2018 (extraits)

101 millions de dollars de dédommagement pour une encéphalopathie causée par le vaccin ROR

Les avocats Maglio Christopher & Toale ont négocié une indemnisation de 101 millions de dollars pour un nourrisson qui a présenté une grave réaction à la suite du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole).

La petite fille O.R. âgée d’un an savait déjà marcher et grimpait un peu partout.

Le 13 février 2013, elle a reçu les vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), le vaccin contre l’hépatite A, l’haemophilus influenzae de type B (Hib), le Prevnar (pneumonie) et le vaccin contre la varicelle.

Le soir même, la maman a remarqué que sa petite fille était irritable et fiévreuse. Le pédiatre consulté conseilla à la maman de donner du Tylénol et du Benadryl. La fièvre s’est, malgré tout maintenue pendant plusieurs jours et la veille de la visite prévue du pédiatre, la petite O.R. a commencé –à faire de graves crises. Elle a de suite été transportée aux urgences. Elle y a fait un arrêt cardiaque et respiratoire. Les médecins l’ont immédiatement placée sous respirateur.

Les médecins ont pu remédier aux crises et le coeur est reparti, mais la petite O.R. a gardé une grave lésion cérébrale, une encéphalopathie avec altération de la vision corticale, hypotonie musculaire et une insuffisance rénale.

Après des mois de traitement à l’hôpital, la petite est rentrée à la maison, mais son handicap nécessite des soins médicaux spécialisés et une supervision 24 heures sur 24 pour le restant de ses jours.

Le dédommagement de 101 millions de dollars servira à payer les soins médicaux de la petite fille pour le restant de ses jours. La famille a reçu une somme forfaitaire de 1 million de dollars pour couvrir les frais médicaux immédiats. Le restant de la somme sera versé sous forme de rente pendant toute la vie de la petite fille.

Source: Mctlawyers

"Pour la quasi-totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a pas de complication grave des vaccins et ceux-ci ont un intérêt majeur dans la promotion de la santé".  Office de la naissance et de l'Enfance (ONE, Belgique), article RTBF du 1er décembre 2011 intitulé "Décès d'un bébé à Charleroi: l'ONE tient à se défendre". 

 

Voir aussi:

Effets du vaccin ROR: des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

Bénéfices/risques du vaccin ROR: c'est à VOUS de décider!

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

Cinq familles devant la justice (article sur les vaccins, Paris Match)

Deux enfants meurent à Samoa dans les minutes qui ont suivi l'administration du vaccin ROR

La fiche du M-M-RVAXPro sur le site Mesvaccins.net, laquelle fait état à "une fréquence indéterminée" de plusieurs complications neurologiques graves dont certaines peuvent être irréversibles (névrites, polyneuropathie, encéphalite, Guillain-Barré etc...).

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14 juin 2018 4 14 /06 /juin /2018 09:16

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Dr Jacob PULIYEL, 26 mai 2018

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Le prestigieux journal Nature Medicine, rapportait dans son numéro de février, que le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) devait faire l’essai clinique d’un vaccin antitétanique (TT) associé à une hormone de grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG). Ce vaccin devait être étudié sur 120 femmes indiennes.

Ce « vaccin » contre la grossesse a été développé par le Dr G.P. Talwar en 1972. L’idée était de faire produire des anticorps contre l’hormone de grossesse, pour que les femmes ne puissent pas être en mesure de mener à terme une grossesse normale. Les femmes enceintes devaient avorter, et celles qui ne l’étaient pas devaient devenir stériles. Le rapport est en effet troublant. Quelques mois plus tôt, un article intitulé « HCG trouvé dans le vaccin de l’OMS au Kenya contre le tétanos a suscité des inquiétudes dans les pays en voie de développement » Cet article a été publié par Oller et collègues dans l’ « Open Access Library Journal ».

Le rapport Oller décrit des jeunes femmes au Kenya qui ont été vaccinées avec ce vaccin Talwar » sous prétexte de prévenir le tétanos maternel et néonatal. Un grand nombre d’échantillons du vaccin contre le tétanos qui ont été testés positifs à l’hCG provenaient du Sérum Institute of India.

Le programme de vaccination qui a été promu par l’OMS et le gouvernement du Kenya a été financé par la Fondation Gates. Les futures mères ont été encouragées à prendre le vaccin pour prévenir le tétanos chez leur bébé à naître, sans qu’on leur dise que le vaccin empêcherait le bébé à naître. Le rapport Oller souligne certains aspects intéressants de la campagne. Les vaccins utilisés au cours de cette campagne n’ont pas été stockés localement, mais ont été distribués directement à partir de Nairobi. Ces vaccins ont, en outre, été gardés par la police. Chaque flacon de vaccin utilisé a été retourné à Nairobi sous escorte militaire et à des frais considérables. – Il a été conseillé que le vaccin soit administré cinq fois à six mois d’intervalle. Cette façon de faire diffère complètement du calendrier de l’anatoxine tétanique partout dans le monde. Il s’agit en fait du calendrier recommandé pour le « vaccin Talwar ».

Les publications de l’OMS décrivent apparemment un objectif à long terme de réduction de la croissance démographique dans les « pays moins développés » instables et travaillent sur un vaccin anti-fertilité plus puissant, en utilisant de l’ADN recombinant.

Dans le contexte de ces rapports sur l’utilisation non éthique de « vaccin Talwar » au Kenya, fabriqué par le « Serum Institute of India », les nouvelles de l’étude de l’ICMR sont alarmantes. On prétend que l’effet du vaccin n’est pas permanent, mais il n’existe aucune preuve claire que les femmes seront capables de concevoir à volonté, après avoir été immunisées avec ce vaccin.

La crédibilité de l’OMS et de la Fondation Gates a été irrémédiablement entachée par cette stérilisation non éthique des femmes du Kenya. Il est important que l’ICMR, qui a déjà été critiqué par le 72ème Comité parlementaire permanent sur la santé et le bien-être familial pour sa participation à l’essai HPV, reconsidère sérieusement la nécessité de ce nouvel essai clinique. Le Parlement et le public doivent chercher à savoir qui ou quoi a incité l’ICMR à étudier ce vaccin développé et abandonné en Inde, il y a 45 ans.

Jacob Puliyel est pédiatre. Les opinions exprimées sont les siennes.

 

 

 

 

Source : Sunday Guardianlive

 

Voir aussi: 

Eugénisme et vaccination: qu'en penser?

Kenya: des médecins dénoncent la vaccination antitétanique des seules femmes en âge de procréer

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

Mary Holland, prof de droit à l'université de New York interpelle les Nations-Unies sur les politiques vaccinales qui violent le Code de Nuremberg

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7 juin 2018 4 07 /06 /juin /2018 10:00

« Le vaccin contre l’hépatite B et l’injection de vitamine K ont tué mon bébé qui avait à peine 4 jours ! » Leah Feuerberg

Par Melissa Curtin, 19 mai 2018 (Extraits)

"Le vaccin contre l'hépatite B et l'injection de vitamine K ont tué mon bébé de 4 jours", affirme une maman infirmière.

Jamais aucun parent ne devrait avoir à se pencher sur la tombe de leur bébé ! Aucun parent ne devrait, pour aucune raison, vivre la terrible déchirure de la perte d’un de leur tout petits, et tout spécialement à cause de vaccins, et surtout quand leur maman était initialement une infirmière pro-vaccins ! La maman, Leah Feuerberg, vient tout juste de se réveiller à la terrible réalité que le vaccin contre l’hépatite B et l’injection de vitamine K ont pu tuer leur petite Emily qui avait à peine 4 jours !

Cette tragédie rappelle à Leah, la maman, les problèmes de santé qu’elle avait été amenée à vivre à la suite des vaccins qu’elle fut obligée d’accepter  pour pouvoir rentrer à l’école d’infirmière quand elle avait 18 ans. Ses problèmes de santé se sont à ce point aggravés qu’elle s’est retrouvée alitée et a dû abandonner son travail pendant 3 ans.

Leah Feuerberg :

« Administrez de la vitamine K à votre bébé, sinon il risque de faire des hémorragies cérébrales. »

«  Il est prouvé que les vaccins sont sûrs et efficaces. Pourquoi hésiteriez-vous à faire administrer le vaccin contre l’hépatite B à vos bébés pour les protéger contre les maladies sexuellement transmissibles ? »

Voilà quelques-uns des mensonges que ne cesse de nous répéter le personnel médical et notre gouvernement en qui nous avions placé toute notre confiance ! A partir du moment où vous commencez à vous interroger sur ces mensonges sans cesse répétés, vous devenez le cinglé ou la personne archi mal informée. Quand, malgré tout, vous rapportez des faits et des expériences, les instances de santé n’hésitent pas à vous dire, que cela ne correspond pas à la réalité parce que « les vaccins sauvent des vies ». Rappelez-vous de la polio, etc…

Je souhaiterais aujourd’hui m’être posée un peu plus de questions. J’aurais voulu être moins naïve en attribuant de l’importance à des choses que je ne connaissais vraiment pas. Comme j’étais infirmière, je n’aurais jamais pu croire que la médecine pouvait faire des dégâts. Il est assez ironique de réaliser que peu d’information parvient aux professionnels de la santé sur la vaccination, alors que celle-ci fait intégralement partie de la médecine.

Il m’a fallu payer le prix fort pour pouvoir comprendre à quel point les vaccins pouvaient être dangereux et dévastateurs.

Les vaccins n’ont pas sauvé des vies ; ils ont ruiné et volé des vies. Ils ont pris la vie d’Emily alors qu’elle avait à peine quatre jours et qu’elle avait toujours été en parfaite santé.

Le 26 septembre, Emily était très difficile. J’ai éprouvé d’énormes difficultés à la nourrir tant elle pleurait et criait. Finalement, elle s’est endormie et l’ai couchée dans son berceau. J’en ai profité pour m’occuper quelque peu du ménage. Deux heures plus tard j’ai voulu la réveiller, bien que l’on m’avait dit qu’il ne fallait jamais réveiller un bébé qui dort. J’ai encore attendu une heure parce que j’estimais qu’étant si petite, elle devait boire. J’ai touché son visage ; il était froid. J’ai aussi remarqué que son côté gauche était devenu violet.  J’ai alors réalisé que son petit corps était froid et qu’elle était « partie ». J’ai, malgré tout, voulu tout faire pour la sauver. Après avoir appelé le 911, j’ai effectué la réanimation cardio-respiratoire (CPR). Ensuite, ce sont les médecins qui ont pris la relève. Ils l’ont conduite aux soins  intensifs. Les médecins finirent par nous dire qu'Emily était décédée, qu’ils n’avaient pas réussi à la réanimer.

Après avoir attendu 4 mois pour obtenir les résultats de l’autopsie, nous avons découvert que le rapport avait établi que la cause du décès était la mort subite et inexpliquée du nourrisson (MSIN). Les médecins légistes n’ont pas pris en compte  les contaminants qu’elle avait dans le sang, son foie, sa rate qui étaient devenus volumineux, le B5 Coxsackie qu’elle avait dans les poumons, ni non plus l’œdème pulmonaire. Ils se sont juste efforcés de prouver que ce n’était pas moi qui avais provoqué son décès.

Rapport d’autopsie  (partiel) et risques de l’injection de vitamine K

"Le vaccin contre l'hépatite B et l'injection de vitamine K ont tué mon bébé de 4 jours", affirme une maman infirmière.
"Le vaccin contre l'hépatite B et l'injection de vitamine K ont tué mon bébé de 4 jours", affirme une maman infirmière.
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4 juin 2018 1 04 /06 /juin /2018 18:54

La vaccination contre l’hépatite B néonatale a entravé le comportement et la neurogenèse des souris de manière transitoire au début de l’âge adulte 

Les médias occidentaux sont restés muets !

 

Par J.B. Handley, 10 mai 2018

La vaccination anti-hépatite B précoce a affecté le développement neuronal des souriceaux: que dire de ce qu'elle fait en réalité aux cerveaux des bébés?

« Ce travail révèle, pour la première fois, que la vaccination précoce contre l’hépatite B induit des altérations du comportement et de la neurogenèse hippocampique, apportant des données innovantes confirmant l’action potentielle du vaccin contre l’hépatite B avec certains troubles neuropsychiatriques tels que l’autisme et la sclérose en plaques. »

GUANDONG, Chine – Université  de Sun Yat-Sen (une des 10 meilleures universités de Chine) – le Dr Zhibin Yao n’est pas un nom connu dans la communauté américaine de l’autisme. Il devrait cependant peut-être l’être. Il est, non seulement diplômé de l’Université de Pittsburgh, Etats-Unis, mais il est aussi l’auteur de 33 études évaluées par des pairs et l’auteur principal de deux des études biologiques les plus importantes jamais réalisées sur l’autisme.

 

Dr Zhibin Yao

 

En 2015, le Dr Yao fut l’auteur principal de l’étude : « La vaccination néonatale avec le bacille de Calmette-Guérin et les vaccins contre l’hépatite B modulent la plasticité synaptique de l’hippocampe chez le rat ».

 

La vaccination anti-hépatite B précoce a affecté le développement neuronal des souriceaux: que dire de ce qu'elle fait en réalité aux cerveaux des bébés?

« Vaccine Papers », un site web consacré à une analyse rigoureuse et scientifique des risques et des avantages des vaccins, explique le document de cette façon :

« C’est la première étude qui a pu tester les effets de l’activation immunitaire par la vaccination sur le développement du cerveau. Toutes les autres études sur l’activation immunitaire ont utilisé des conditions essentiellement pathologiques qui imitent l’infection et provoquent une forte fièvre. Une critique que j’ai souvent entendue des promoteurs de la vaccination est que les expériences d’activation immunitaire ne sont pas pertinentes pour les vaccins, car les vaccins provoquent une activation immunitaire plus douce que les injections de poly-IC ou de lipo-polysaccharide (deux types d’activateurs du système immunitaire) Cette étude démontre que les vaccins peuvent affecter le développement du cerveau via l’activation immunitaire. Par conséquent, les expériences d’activation immunitaire sont pertinentes pour les vaccins… Le vaccin contre l’hépatite B a augmenté l’IL-6 dans l’hippocampe (la seule région du cerveau analysée pour les cytokines).

Malgré son importance, expliquer l’article de 2015 du Dr Yao à la personne moyenne n’était pas facile, en partie parce que cette étude couvrait un certain nombre d’autres sujets, ce qui signifiait qu’il fallait isoler les données qui impliquaient le vaccin contre l’hépatite B et ensuite l’expliquer. Avec son prochain article, cependant, le Dr Yao et son équipe ont tout expliqué beaucoup plus facilement, et laissé très peu de place à l’interprétation.

Information tellement plus importante encore que celle de Wakefield, et… aucune couverture médiatique !

En 1998, le Dr Andrew Wakefield a fini par être « crucifié » pour un article qui ne faisait que reprendre ce que certains parents avaient rapporté, à savoir que leurs enfants avaient régressé vers l’autisme après avoir reçu le vaccin ROR.

D’un autre côté, le deuxième article du Dr Yao a mené une étude approfondie de l’impact du vaccin contre l’hépatite B sur le cerveau des souris, par comparaison à un groupe témoin de souris ayant reçu un placebo salin. Il s’agit d’une étude sur animaux « de référence » qui se ferait habituellement AVANT qu’un médicament ne soit introduit dans la population humaine.

Dans un monde où les vaccins auraient été traités comme les autres médicaments, l’étude du Dr Yao aurait fait l’effet d’un énorme drapeau rouge au sujet de la neurotoxicité du vaccin contre l’hépatite B. Bien sûr, la chose ne s’est pas produite, et c’est probablement la première fois que vous entendez parler de cette étude : la vaccination contre l’hépatite B néonatale a entravé le comportement et la neurogenèse des souris de manière transitoire au début de l’âge adulte.

La vaccination anti-hépatite B précoce a affecté le développement neuronal des souriceaux: que dire de ce qu'elle fait en réalité aux cerveaux des bébés?

Comme vous pouvez le voir, cette étude a été publiée fin 2016. Je l’ai lue pour la première fois, il y a deux semaines. Je ne pouvais presque pas croire ce que je lisais.

Le Dr Yao et ses collègues commencent par une déclaration qui devrait faire frémir tous les parents américains. :

« Le vaccin contre l’hépatite B est administré à plus de 70% des nouveau-nés dans le monde. Personne ne sait si cette vaccination néonatale affecte le développement du cerveau. »

Etant donné que l’on ne sait pas si oui ou non  le vaccin contre l’hépatite B affecte le développement du cerveau, le Dr Yao et ses collègues se sont efforcés de répondre à la question. Leurs réponses sont dérangeantes à plusieurs niveaux. J’essaie de résumer :

1) Le vaccin contre l’hépatite B a eu un impact négatif sur le comportement des souris.

Plus précisément, les souris qui ont reçu le vaccin contre l’hépatite B ont montré une « diminution significative de la locomotion » et une « augmentation de l’anxiété ».

2) Les souris qui ont reçu le vaccin contre l’hépatite B ont connu un pic de cytokine IL-6. Les auteurs ont noté que les souris qui ont reçu le vaccin contre l’hépatite B ont présenté une «  IL-6 significativement augmentée » que nous savons être un biomarqueur de l’autisme.

3) Il a fallu du temps pour que l’impact neurologique du vaccin se manifeste. Cette observation a troublé les auteurs de l’étude. Ils ont discuté de cette « latence », à savoir le temps qui s’est écoulé entre la vaccination et l’apparition des troubles neurologiques. (Il est à noter que les essais de vaccins contre l’hépatite B chez les nourrissons suivaient généralement les nourrissons pendant une semaine ou moins pour surveiller les effets indésirables.)

« … la différence trouvée dans la présente étude se situe entre les souris immunisées et les souris témoins, plutôt qu’entre les souris de 8 semaines et les souris d’un autre âge. Par conséquent, cette différence reflète les effets de la vaccination néonatale. Le mécanisme sous-jacent à la latence et au phénomène transitoire est très complexe et nécessite d’autres études pour bien comprendre, car une telle latence implique de nombreux aspects des réponses immunitaires dans la périphérie et le SNC, ainsi que la plasticité neuronale. »

4) Ils ont conclu en déclarant que, dans un monde sain d’esprit, l’administration immédiate (le premier jour après la naissance aux USA) du vaccin contre l’hépatite B aux bébés devrait être immédiatement interrompue.

Que puis-je dire après tout cela ? Lisez ce qu’eux-mêmes ont écrit :

« Ce travail révèle pour la première fois que la vaccination précoce contre l’hépatite B induit des altérations du comportement et de la neurogenèse de l’hippocampe. Ce travail fournit des données innovantes soutenant l’association potentielle longtemps suspectée de certains désordres neuropsychiatriques tels que l’autisme et la sclérose en plaques. »

Conclusion

Tout est là noir sur blanc. Un nombre considérable, fascinant et croissant de travaux de recherche liant les vaccinations à l’autisme grâce à la science biologique. Le document de Yao nécessite peu d’interprétation. Il est là caché bien qu’au nez et à la barbe de tous. (C’est en fait la toute première fois qu’en Amérique, quelqu’un prend la plume pour commenter ce document) Récemment un groupe de scientifiques a publié un éditorial soulignant l’importance des études animales pour comprendre la neurotoxicité de l’adjuvant aluminium utilisé dans les vaccins. Ils ont noté que « l’administration de vaccins multiples, ainsi que leurs effets neurologiques/ immunologiques indésirables sont difficiles à établir ». L’épidémiologie qui étudie un grand nombre de personnes, ainsi que leurs résultats en matière de santé à l’aide d’un tableur, présente de nombreuses possibilités d’abus, de manipulations et de lacunes. C’est pourquoi la science biologique est si importante et c’est aussi la raison pour laquelle cette nouvelle étude de Yao et collègues porte un coup dévastateur à toute personne qui prétend qu’un vaccin ne pourrait pas causer des lésions cérébrales et l’autisme, comme le Dr Yao et collègues l’ont montré :

« Cette étude a utilisé le même vaccin et un calendrier similaire à ceux qui sont utilisés pour la vaccination des nourrissons humains en Chine. Par conséquent, ces résultats suggèrent qu’il pourrait y avoir des effets similaires de la vaccination néonatale contre l’hépatite B sur le développement du cerveau et le comportement des humains.»

Source : J.B. Handleyblog

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29 mai 2018 2 29 /05 /mai /2018 17:07

Un enfant décède quelques heures après avoir été vacciné,

toute une famille en pleurs

Sibdas Kundu, TheTelegraph, India, 25 mai 2018

Une maman dévastée tient son bébé mort dans les bras

Une maman dévastée tient son bébé mort dans les bras

Balasore : Le père de la petite Nilgiri, âgée de 18 mois, a déposé plainte auprès de la police alléguant que sa petite fille est morte quelques heures après avoir reçu, mercredi, une série de vaccins dans le centre hospitalier de Mardarajpur.

La petite fille aurait reçu une injection de rappel de DTC (diphtérie, tétanos coqueluche), un vaccin contre l’encéphalite japonaise (JE2), ainsi qu’une dose de rappel de la polio.

Le plaignant, Parameswar Mahapatra, a allégué que sa petite fille est tombée malade à son retour du Centre de santé. Cette petite fille a été déclarée morte après  qu’elle ait  été transportée à l’hôpital général du quartier.

Soupçonnant une négligence de la part du personnel de santé, Mahapatra a déclaré : «  Je soupçonne que ma fille a reçu de mauvais vaccins. Il faudrait que des mesures strictes soient prises à l’encontre du personnel de santé. »

Environ 51 enfants ont reçu mercredi les doses du DTC, du JE2 et de la polio. Parmi eux, trois enfants seraient tombés malades. Ils ont été admis à l’hôpital de Nilgiri.

Réfutant ces allégations, le médecin en chef du district, Meenakshi Roy, a déclaré qu’il n’y avait rien d’anormal dans le processus de vaccination.

« L’autopsie de l’enfant a été menée hier soir. Les parents attendent le rapport. La petite fille est morte dans sa maison environ deux heures après avoir été vaccinée » a déclaré Roy. « Elle est devenue bleue quand l’enfant a été emmenée à l’hôpital général du quartier. Il semble que quelque chose soit resté coincé dans son œsophage pendant qu’elle mangeait. Roy déclare aussi qu’après la vaccination, certains enfants peuvent faire de la fièvre et avoir des vertiges.

La police de Nilgiri a déclaré qu’une affaire relevant de l’article 304(a) du Code pénal indien avait été enregistrée sur base de la plainte déposée par le père de l’enfant. Nous sommes en train d’examiner cette plainte, a déclaré le policier.

Source: Telegraph India

Voir aussi:

Vaccins: Comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

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