La vaccination est une des grandes causes d'épilepsie, pas la seule, mais indéniablement une des causes principales. Pour comprendre, il faut savoir que tout dommage au cerveau est à même de déboucher sur une épilepsie. Or, étant donné que les vaccins peuvent causer des dommages neurologiques, il n'est donc guère surprenant d'apprendre que les vaccins peuvent donc aussi déboucher, par voie de conséquence, sur de l'épilepsie.
Les dommages neurologiques des vaccinations sont nombreux et variés, comme en atteste la littérature médico-scientifique à ce sujet: encéphalite, encéphalopathie, méningo-encéphalite, sclérose en plaques, AVC, etc etc
Selon le Dr Gherard Buchwald, un médecin allemand qui a étudié le sujet des effets secondaires des vaccins pendant une quarantaine d'années, les convulsions d'origine post-vaccinale sont le plus souvent résistantes aux médications, là où celles qui ont une autre origine y répondent traditionnellement mieux. Le Dr Buchwald rappelle aussi que l'auteur scientifique "Radtke étudia l'électro-encéphalogramme de 58 enfants sains qui venaient de subir leur première vaccination. Le jour de l'examen, seulement 34 de ces enfants eurent un électro-encéphalogramme inchangé. Chez 24% d'entre eux par contre, les tracés révélèrent des transformations. Même si ces transformations ne peuvent encore être interprétées comme des modifications pathologiques, ce travail montre cependant que le cerveau de l'enfant réagit très souvent à la vaccination."
Chaque effet secondaire grave des vaccins étant tabou, il est donc déraisonnable pour la santé publique de s'arrêter à pareil déni irresponsable et c'est pourquoi chaque citoyen gagne à bien lire ce qui suit pour lui même et pour ses enfants. Ne pas hésiter non plus, pour les parents concernés, à aller rechercher le carnet de vaccinations pour vérifier les dates et évaluer la chronologie des troubles épileptiques qui auraient débuté chez un enfant ou les éventuelles exacerbations des troubles (tout en sachant qu'un traitement anti-épileptique constituera un biais, celui-ci étant de nature à masquer les effets d'une exacerbation post-vaccinale des troubles).
Le 4 mai 2010, l'agence de presse internationale Reuters publiait une dépêche intitulée "Les vaccins peuvent déclencher le début précoce de l'épilepsie infantile."
Cette dépêche faisait suite à l'étude de Mc Intosh et al. Anne Mc Intosh du Centre de Recherche sur l'Epilepsie de l'Université de Melbourne et ses collègues ont examiné les données médicales de 40 patients souffrant du syndrome de Dravet (= une forme grave d'épilepsie) avec une mutation génétique caractéristique et qui ont été vaccinés contre la coqueluche.
Ils ont trouvé que 30% de ces enfants ont développé leurs premières convulsions dans les 2 jours qui ont suivi la vaccination anti-coquelucheuse.
Mais comme expliqué supra, le sujet est tabou, c'est la raison pour laquelle les auteurs ont dit que cela n'était surtout pas une raison pour ne pas faire vacciner ses enfants, en mettant finalement ce désordre sur le seul compte d'une mutation génétique dans 80% des cas. Cependant, tout généticien sait très bien que, pour l'immense majorité des maladies, les gènes ne font pas tout (excepté par exemple dans des maladies comme la mucoviscidose où la présence d'une mutation génétique donnée suffit à l'apparition certaine d'une maladie au cours de la vie) et que, par conséquent, des tas de faiblesses génétiques peuvent ne jamais se concrétiser dans les faits si tel ou tel facteur extérieur ne vient pas se greffer sur ce terrain déjà fragilisé/prédisposé. Ceci signifie donc en d'autres mots que des gens ayant une faiblesse génétique donnée peuvent très bien échapper toute leur vie à une maladie donnée, à condition bien sûr qu'on leur épargne les facteurs toxiques pouvant s'avérer décisifs...
La dépêche de Reuters mentionne d'ailleurs le caractère éminemment sensible de toute communication sur les risques vaccinaux, quels qu'ils soient:
" Sujet sensible
Les rapports liant les vaccinations infantiles à toutes sortes de désordres sont toujours délicats parce qu'ils pourraient amener des parents à refuser de faire vacciner leurs enfants." Le 4 mai 2010, l’agence Reuters continuait: « Les chercheurs ont dit qu’ils craignaient que l’étude publiée dans le Lancet Medical Journal dissuade les parents de faire vacciner leurs enfants. »
En effet, c'est donc un sujet commercialement très sensible et c'est pourquoi les médias servent le plus souvent de béquille commerciale aux fabricants de vaccins qui doivent, emplois obligent, continuer à tout prix à fabriquer ET à écouler leurs produits!
Après vérification, il se trouve que cette information est connue de l'Association des familles touchées par ce Syndrome de Dravet puisqu'on peut notamment lire sur leur site:
« Les crises convulsives débutent dans la première année de vie alors que le nourrisson se développe normalement. Le plus souvent la première crise se manifeste lors d’un épisode fiévreux consécutif à un vaccin ou problème ORL par exemple. […] Le syndrome de Dravet est dit pharmaco-résistant car si les traitements actuels peuvent réduire la fréquence et la durée des crises ils ne les éliminent pas complètement. Le plus souvent plusieurs médicaments sont associés pour lutter contre les crises. […]
Depuis 2001 on sait que la maladie est associée à la mutation du gène SCN1A- le plus souvent les parents ne sont pas porteurs de cette mutation. Certains enfants présentent toutes les caractéristiques de la maladie mais ils ne sont pas porteurs de cette mutation. »
« Le syndrome de Dravet se manifeste aussi par des altérations plus ou moins importantes du comportement et des apprentissages.
Parmi les troubles et retards les plus généralement relevés:
Retards psychomoteurs et langage
Ataxies de la marche et de la motricité fine
Comportement (hyperactivité/ autisme )
Troubles alimentaires
Troubles du sommeil
Affections chroniques des voies respiratoires supérieures
Trouble de la régulation de la température du corps et de la transpiration
Ces troubles et retards affectent plus ou moins sévèrement tous les aspects de la vie quotidienne des enfants porteurs du Syndrome de Dravet. »
Voici à présent un cas assez explicite détaillé par le Dr Gherard Buchwald. Qu'il ne s'agisse pas ici du Syndrome de Dravet n'a que peu d'importance, cela démontre en réalité un lien entre la vaccination d'enfants sains et leur basculement possible dans des épisodes de crises convulsives assez désespérantes et résistantes aux traitements:
Kirsten B. a reçu le vaccin oral contre la polio le 24 mai 1977. Trois jours plus tard après le déjeuner, le bébé devint complètement amorphe, présentant un rougissement au visage avec révulsion des yeux et tomba dans un sommeil profond. Cet incident se répéta plusieurs fois et, à partir de mai 1977, il s'en suivit une série de consultations chez le pédiatre, de traitements à l'hôpital et de souffrances sans pareille. Au terme de longues batailles juridiques, ce cas a été reconnu le 15 mai 1984 comme étant une lésion due à la vaccination. Suite à la vaccination, cette petite fille (à présent jeune femme) souffre de convulsions permanentes, elle a passé une grande partie de sa vie dans les hôpitaux et les cliniques de pédiatrie. J'ai parlé du cas tragique de cette fille dans l'article intitulé "Convulsions cérébrales résistantes aux traitements avec déficience intellectuelle accrue consécutives au vaccin par voie buccale contre la polio." Dr Gherard Buchwald.
Voyons à présent quel est le poids d'une maladie comme l'épilepsie en Belgique ou en France puis examinons dans un second temps l'incidence en fonction de l'âge d'une telle maladie.
Selon des données du CHU Saint-Luc de Bruxelles, il y aurait pas moins de 70 000 épileptiques en Belgique. Ces chiffres seraient de 300 à 600 000 en France, soit 0,5 à 1% de la population générale.
En Belgique, il y a 5000 nouveaux cas par an. Selon ce que disait le Pr Brotchi en 2001, "l'incidence est maximale chez les enfants et les personnes âgées (surtout chez les moins de 4 ans et les plus de 65 ans)."
5% de la population fera au moins une crise unique dans sa vie.
Parmi les causes possibles, toute lésion du cerveau...
Incidence de l’épilepsie en fonction de l’âge en années, d’après Hauser et al, 1993 (LFCE)
Quel est le facteur commun entre ces deux groupes d'âge (les jeunes enfants de - de 4 ans et les + de 65 ans)? La vaccination bien sûr: les multiples cocktails de vaccinations infantiles (qui ont plus que doublé en 20 ans) et la vaccination antigrippale annuelle des + de 65 ans...
Les effets de la vaccination vont bien au-delà de ce que Mr ou Mme tout le monde peut imaginer sans jamais avoir rien lu de spécifique sur ce sujet ou sans jamais n'avoir rien fait d'autre qu'écouter bien docilement son médecin traitant (vraiment très mal informé sur ce sujet!). L'intérêt des populations n'est donc pas de continuer tête baissée mais de chercher et d'exiger des réponses à ces données accablantes.
"Il est très difficile de découvrir de nouvelles vérités. Il est beaucoup plus difficile de les faire accepter, surtout si elles renversent les idées en place, proclamées définitives par l'officialité académique." Voltaire.
"Je n'ai pas prêté le serment d'Hippocrate pour intoxiquer les gens."
Dr Lefebvre-Gary.
"L'organisme doit rester vierge de toute pollution autant que possible et aussi longtemps que possible. [...] Aujourd'hui, nous créons nous-mêmes des maladies et nous allons vers la cancérisation généralisée et les débilités mentales par encéphalites, par l'usage des médicaments, des vaccins et autres abus chimiothérapiques."
Pr Léon Grigoraki, Dr ès Sciences,
Professeur à la Faculté de Médecine d'Athènes.
"Nous regrettons amèrement d'avoir participé, au début de notre carrière professionnelle, au malfaisant totalitarisme vaccinal, et remercions le Professeur Tissot de nous avoir révélé leur terrible nuisance. Nous avons pu constater de nombreuses maladies postvaccinales apparentes (les inapparentes cliniquement agissent sournoisement comme le fait la syphilis chronique) dans notre modeste clientèle: cas d'épilepsie, de troubles mentaux, d'asthmes, de retards scolaires, etc et même de cancer cutané, confirmé histologiquement, sur la cicatrice du bras de notre dévouée femme de ménage, Anne-Marie L. que nous avions précédemment vaccinée contre la variole; et sincèrement, nous demandons pardon à ces personnes auxquelles nous avons inconsciemment nui de façon considérable."
Dr Y. Couzigou.