Augmentation alarmante des troubles épileptiques chez les enfants
La responsabilité des vaccins
Vactruth, 25 juillet 2015
Les troubles épileptiques chez les enfants sont montés en flèche au cours des dernières années. Aujourd’hui, un enfant sur 20, en dessous de 5 ans, souffre d’épilepsie. De nombreux parents savent que les vaccins sont à blâmer parce que les crises de leurs enfants ont commencé juste après la ou les vaccinations. Pour les représentants du gouvernement, il s’agit de pure coïncidence. [1]
L’épilepsie est le diagnostic médical officiel donné aux patients qui souffrent de crises multiples.
Selon la Fondation pour l’épilepsie, au moins 360.000 enfants aux Etats-Unis ont reçu le diagnostic d’épilepsie. 200.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. [2]
L’épilepsie
Selon les autorités de l’Université John Hopkins [3], l’épilepsie est une maladie au cours de laquelle des crises se reproduisent à répétition, au moins deux ou plusieurs crises non provoquées.[3]
Selon le Dr Sarah Shalev, MD, chercheur sur les problèmes d’épilepsie de l’Université de Californie à San Francisco « une crise se produit lorsque trop de cellules nerveuses du cerveau « s’enflamment » trop rapidement et finissent par produire une sorte d’ « orage ». [4]
Aux Etats-Unis, environ un adulte sur 100 est épileptique, et un enfant sur 20 de moins de 5 ans souffre également de la même maladie.
Il existe plus de 40 types différents de crises. Certaines impliquent des convulsions, des crises tonico-cloniques ou grand mal.
L’infection du cerveau est une cause de convulsions et d’épilepsie. Il existe plusieurs formes d’épilepsie et le type d’épilepsie dont souffre un enfant peut changer à mesure qu’il grandit.
Les symptômes des crises comprennent des évanouissements, de la confusion, des chutes inexpliquées, des clignotements des yeux et mâchonnements à des moments inappropriés. L’épilepsie est diagnostiquée par l’histoire même du patient, des examens médicaux, et un examen neurologique.
Information sur les risques de crises dans les notices de vaccins
Malheureusement, les vaccins sont à blâmer pour de nombreux cas d’épilepsie infantile. L’épilepsie causée par les vaccins peut comporter de la fièvre, de l’infection et un œdème du cerveau. Dans différentes études, les enfants dont l’autisme a été mis en relation avec les vaccins, présentent un taux plus élevé de crises. [5]
Selon les notices des fabricants de vaccins, les crises sont signalées comme comportant un risque pour les vaccins contre la varicelle, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la coqueluche, les infections à pneumocoques, la poliomyélite, le tétanos, l’hépatite B, la diphtérie et le rotavirus. [6-10]
En outre, bien que sa notice ne mentionne pas spécifiquement les crises comme un risque, le vaccin contre la grippe augmente le risque d’encéphalopathie qui est un trouble du cerveau qui altère ses fonctions, en augmentant le risque de convulsions. [11, 12]
L’encéphalite qui provoque également un gonflement du cerveau est une autre réaction indésirable des vaccins qui augmente la possibilité de convulsions. [13]
Pour les militaires qui sont obligés de se faire vacciner contre la variole, le vaccin comporte également un risque accru d’encéphalite, d’encéphalomyélite, d’encéphalopathie et de troubles neurologiques qui augmentent le risque de convulsions. [14]
La notice du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) met en garde les patients contre l’utilisation de ce vaccin s’il existe dans leur famille une histoire de convulsions. [15]
Les données du VAERS au sujet des vaccins et des convulsions
Une recherche dans les données du VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montre qu’après vaccination, 13.288 cas de convulsions ont été rapportés, ainsi que 1.670 cas d’épilepsie. Une recherche dans les données du VAERS concernant différentes formes d’encéphalite et d’encéphalopathie montre que 1.490 événements indésirables ont été rapportés. Ces conditions pourraient, dans la suite, conduire à des crises. [16]
Selon les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies, « le VAERS ne reçoit des rapports que pour une faible fraction des événements indésirables réels. » Le NVIC (National Vaccine Information Center stipule que moins de 1 à 10% des effets indésirables des vaccins sont signalés. [17, 18]
Risque de décès après convulsions
Une recherche bien conçue réalisée en Nouvelle-Ecosse a étudié les cas de 692 enfants pendant plus d’une décennie et a noté que les enfants atteints d’épilepsie avaient 5 fois plus de risques de mourir que les autres enfants. C’étaient les enfants atteints de troubles neurologiques et qui, en outre, souffraient d’épilepsie qui couraient le plus grand risque de mourir dans une crise.
Une étude similaire menée aux Pays-Bas a confirmé ces conclusions. Elle a montré que les enfants souffrant de troubles épileptiques étaient neuf fois plus susceptibles de mourir que des enfants en bonne santé. Dans cette étude, tous les enfants qui sont décédés souffraient également de problèmes neurologiques. [19]
Risques de troubles cérébraux après des convulsions
Selon une étude publiée dans l’ « American Journal of Neuroradiology », les crises peuvent causer des lésions cérébrales. Les études animales ont montré que les crises peuvent causer des dommages à l’hippocampe. Une autre étude a démontré que l’épilepsie du lobe temporal chez les humains pouvait provoquer « un dysfonctionnement progressif du cerveau ».
L’auteur de l’article, le Dr Richard A. Bronen a déclaré : « Quand la crise se prolonge…des dommages cérébraux peuvent s’ensuivre et être profonds. » [20]
Autres risques de complications à la suite de crises
Outre un risque plus élevé de décès, les enfants épileptiques souffrent de taux plus élevés de dépression et d’anxiété. Une étude publiée dans la revue internationale Epilepsy and Behaviour a montré que 31% des enfants qui souffraient d’épilepsie souffraient d’anxiété, et 21% des enfants épileptiques montraient des symptômes évocateurs d’une dépression. Ces deux taux étaient encore plus élevés que les taux relevés par les parents d’enfants épileptiques qui s’occupaient d’un enfant souffrant de troubles neurologiques. [21]
En plus de l’augmentation des taux de décès, de lésions cérébrales, de dépression, d’anxiété chez les personnes souffrant d’épilepsie, les médicaments qui leur sont prescrits pour combattre les crises, présentent aussi des effets secondaires graves. Parmi ces effets secondaires des médicaments anti-épileptiques on trouve : la fatigue, des maux d’estomac, de la confusion, des étourdissements, des problèmes de foie, une mauvaise coordination, des problèmes d’équilibre, une marche instable, de la perte osseuse, des maux de tête, des troubles cognitifs, des problèmes d’humeur, de motivation, de la perte d’énergie. [22]
Comme plusieurs études le montrent, le trouble obsessionnel compulsif est aussi couramment diagnostiqué chez les personnes atteintes d’épilepsie. [23]
Les problèmes de sommeil sont aussi une préoccupation sérieuse pour les personnes atteintes d’épilepsie.
Selon « The Epilepsy Foundation » :
- Les patients souffrant d’épilepsie partielle ont deux fois plus de risques de faire de la somnolence que les personnes ne souffrant pas d’épilepsie, ce qui aggrave considérablement leur qualité de vie. Une partie de ces problèmes peut être mise en relation avec une apnée qui n’est pas souvent diagnostiquée.
- Les enfants atteints d’épilepsie ont plus souvent un sommeil de mauvaise qualité, font de l’anxiété par rapport à leur sommeil, et connaissent aussi des troubles respiratoires.
- Il est connu que les patients qui prennent des anticonvulsivants (phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, acide valproïque) voient leur somnolence augmenter par rapport aux patients épileptiques que ne prennent pas d’anticonvulsivants. [24]
Conclusion
L’épilepsie est une maladie grave avec des conséquences pour les enfants, les adultes, les familles qui sont touchés par cette maladie de grande envergure. De nombreux vaccins font courir le risque aux enfants de développer une épilepsie. Les effets de crises répétées sont parfois susceptibles de durer des années, parfois pour la vie entière.
Références :
- http://www.examiner.com/article/parents-question-vaccines…
- http://www.epilepsy.com/learn/seizures-youth
- http://www.hopkinsmedicine.org/neurology…epilepsy/seizures/
- http://www.epilepsy.va.gov/Library/VAepilepsybasics.pdf
- http://www.hopkinsmedicine.org/neurology…seizures/causes/
- http://www.merck.com…varivax_pi.pdf
- http://www.merck.com…mmr_ii_pi.pdf
- https://www.gsksource.com/…Pediarix/pdf/PEDIARIX.PDF
- http://www.merck.com/…pneumovax_pi.pdf
- http://www.merck.com…rotateq_pi.pdf
- http://www.fda.gov…Vaccines/ApprovedProducts/UCM112836.pdf
- http://www.ninds.nih.gov/disorders/encephalopathy/encephalopathy.htm
- https://www.nlm.nih.gov/medlineplus/ency/article/001415.htm
- http://www.fda.gov/downloads/BiologicsBloodVaccines…pdf
- http://www.merck.com…mmr_ii_pi.pdf
- http://www.wonder.cdc.gov
- https://vaers.hhs.gov/data/index
- http://www.nvic.org…cdc-changes-restrict-vaccine-reaction-reports.aspx
- http://www.epilepsy.com/learn/seizures-youth/can-children-die-epilepsy
- http://www.ajnr.org/content/21/10/1782.full
- www.epilepsy.com…symptoms-anxiety-and-depression-school-aged
- http://www.epilepsy.com…seizure-and-epilepsy-medicines/side-effects
- http://www.epilepsy.com…mood-and-behavior-101/obsessive-compulsive-disorder
- http://www.epilepsy.com/learn/impact/sleep-and-epilepsy
Source: Vactruth