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4 août 2016 4 04 /08 /août /2016 21:03

Augmentation alarmante des troubles épileptiques chez les enfants

La responsabilité des vaccins 

 

Vactruth, 25 juillet 2015 

Epilepsie et vaccinations

Les troubles épileptiques chez les enfants sont montés en flèche au cours des dernières années. Aujourd’hui, un enfant sur 20, en dessous de 5 ans, souffre d’épilepsie. De nombreux parents savent que les vaccins sont à blâmer parce que les crises de leurs enfants ont commencé juste après la ou les vaccinations. Pour les représentants du gouvernement, il s’agit de pure coïncidence. [1]

 

L’épilepsie est le diagnostic médical officiel donné aux patients qui souffrent de crises multiples.

 

Selon la Fondation pour l’épilepsie, au moins 360.000 enfants aux Etats-Unis ont reçu le diagnostic d’épilepsie. 200.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. [2]

 

L’épilepsie

 

Selon les autorités de l’Université John Hopkins [3], l’épilepsie est une maladie au cours de laquelle des crises se reproduisent à répétition, au moins deux ou plusieurs crises non provoquées.[3]

 

Selon le Dr Sarah Shalev, MD, chercheur sur les problèmes d’épilepsie de l’Université de Californie à San Francisco « une crise se produit lorsque trop de cellules nerveuses du cerveau « s’enflamment » trop rapidement et finissent par produire une sorte d’ « orage ». [4]

 

 

Aux Etats-Unis, environ un adulte sur 100 est épileptique, et un enfant sur 20 de moins de 5 ans souffre également de la même maladie.

 

Il existe plus de 40 types différents de crises. Certaines impliquent des convulsions,  des crises tonico-cloniques ou grand mal.

 

L’infection du cerveau est une cause de convulsions et d’épilepsie. Il existe plusieurs formes d’épilepsie et le type d’épilepsie dont souffre un enfant peut changer à mesure qu’il grandit.

 

Les symptômes des crises comprennent des évanouissements, de la confusion, des chutes inexpliquées, des clignotements des yeux et mâchonnements à des moments inappropriés. L’épilepsie est diagnostiquée par l’histoire même du patient, des examens médicaux, et un examen neurologique.

 

Information sur les risques de crises dans les notices de vaccins

 

Malheureusement, les vaccins sont à blâmer pour de nombreux cas d’épilepsie infantile. L’épilepsie causée par les vaccins peut comporter de la fièvre, de l’infection et un œdème du cerveau. Dans différentes études, les enfants dont l’autisme a été mis en relation avec les vaccins, présentent un taux plus élevé de crises. [5]

 

Selon les notices des fabricants de vaccins, les crises sont signalées comme comportant un risque pour les vaccins contre la varicelle, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la coqueluche, les infections à pneumocoques, la poliomyélite, le tétanos, l’hépatite B, la diphtérie et le rotavirus. [6-10]

 

En outre, bien que sa notice ne mentionne pas spécifiquement les crises comme un risque, le vaccin contre la grippe augmente le risque d’encéphalopathie qui est un trouble du cerveau qui altère ses fonctions, en augmentant le risque de convulsions. [11, 12]

 

L’encéphalite qui provoque également un gonflement du cerveau est une autre réaction indésirable des vaccins qui augmente la possibilité de convulsions. [13]

 

Pour les militaires qui sont obligés de se faire vacciner contre la variole, le vaccin comporte également un risque accru d’encéphalite, d’encéphalomyélite, d’encéphalopathie et de troubles neurologiques qui augmentent le risque de convulsions. [14]

 

La notice du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) met en garde les patients contre l’utilisation de ce vaccin s’il existe dans leur famille une histoire de convulsions. [15]

 

Les données du VAERS au sujet des vaccins et des convulsions

 

Une recherche dans les données du VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montre qu’après vaccination, 13.288 cas de convulsions ont été rapportés, ainsi que 1.670 cas d’épilepsie. Une recherche dans les données du VAERS concernant différentes formes d’encéphalite et d’encéphalopathie montre  que 1.490 événements indésirables ont été rapportés. Ces conditions pourraient, dans la suite, conduire à des crises. [16]

 

Selon les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies, «  le VAERS ne reçoit des rapports que pour une faible fraction des événements indésirables réels. » Le NVIC (National Vaccine Information Center stipule que moins de 1 à 10% des effets indésirables des vaccins sont signalés. [17, 18]

 

Risque de décès après convulsions

 

Une recherche bien conçue réalisée en Nouvelle-Ecosse a étudié les cas de 692 enfants pendant plus d’une décennie et a noté que les enfants atteints d’épilepsie avaient 5 fois plus de risques de mourir que les autres enfants. C’étaient les enfants atteints de troubles neurologiques et qui, en outre, souffraient d’épilepsie qui couraient le plus grand risque de mourir dans une crise.

 

Une étude similaire menée aux Pays-Bas a confirmé ces conclusions. Elle a montré que les enfants souffrant de troubles épileptiques étaient neuf fois plus susceptibles de mourir que des enfants en bonne santé. Dans cette étude, tous les enfants qui sont décédés souffraient également de problèmes neurologiques. [19]

 

Risques de troubles cérébraux après des convulsions

 

Selon une étude publiée dans l’ « American Journal of Neuroradiology », les crises peuvent causer des lésions cérébrales. Les études animales ont montré que les crises peuvent causer des dommages à l’hippocampe. Une autre étude a démontré que l’épilepsie  du lobe temporal chez les humains pouvait provoquer « un dysfonctionnement progressif du cerveau ».

 

L’auteur de l’article, le Dr Richard A. Bronen a déclaré : « Quand la crise se prolonge…des dommages cérébraux peuvent s’ensuivre et être profonds. » [20]

 

Autres risques de complications à la suite de crises

 

Outre un risque plus élevé de décès, les enfants épileptiques souffrent de taux plus élevés de dépression et d’anxiété. Une étude publiée dans la revue internationale Epilepsy and Behaviour a montré que 31% des enfants qui souffraient d’épilepsie souffraient d’anxiété, et 21% des enfants épileptiques montraient des symptômes évocateurs d’une dépression. Ces deux taux étaient encore plus élevés que les taux relevés par les parents d’enfants épileptiques qui s’occupaient d’un enfant souffrant de troubles neurologiques. [21]

 

En plus de l’augmentation des taux de décès, de lésions cérébrales, de dépression, d’anxiété chez les personnes souffrant d’épilepsie, les médicaments qui leur sont prescrits pour combattre les crises, présentent aussi des effets secondaires graves. Parmi ces effets secondaires des médicaments anti-épileptiques on trouve : la fatigue, des maux d’estomac, de la confusion, des étourdissements, des problèmes de foie, une mauvaise coordination, des problèmes d’équilibre, une marche instable, de la perte osseuse, des maux de tête, des troubles cognitifs, des problèmes d’humeur, de motivation, de la perte d’énergie. [22]

 

Comme plusieurs études le montrent, le trouble obsessionnel compulsif est aussi couramment diagnostiqué chez les personnes atteintes d’épilepsie. [23]

 

Les problèmes de sommeil sont aussi une préoccupation sérieuse pour les personnes atteintes d’épilepsie.

 

Selon « The Epilepsy Foundation » :

 

  • Les patients souffrant d’épilepsie partielle ont deux fois plus de risques de faire de la somnolence que les personnes ne souffrant pas d’épilepsie, ce qui aggrave considérablement leur qualité de vie. Une partie de ces problèmes peut être mise en relation avec une apnée qui n’est pas souvent diagnostiquée.
  • Les enfants atteints d’épilepsie  ont plus souvent un sommeil de mauvaise qualité, font de l’anxiété par rapport à leur sommeil, et connaissent aussi des troubles respiratoires.
  • Il est connu que les patients qui prennent des anticonvulsivants (phénobarbital, phénytoïne, carbamazépine, acide valproïque) voient leur somnolence augmenter par rapport aux patients épileptiques que ne prennent pas d’anticonvulsivants. [24]

 

Conclusion

 

L’épilepsie est une maladie grave avec des conséquences pour les enfants, les adultes, les familles qui sont touchés par cette maladie de grande envergure. De nombreux vaccins font courir le risque aux enfants de développer une épilepsie. Les effets de crises répétées sont parfois susceptibles de durer des années, parfois pour la vie entière.

 

Références :

 

  1. http://www.examiner.com/article/parents-question-vaccines…
  2. http://www.epilepsy.com/learn/seizures-youth
  3. http://www.hopkinsmedicine.org/neurology…epilepsy/seizures/
  4. http://www.epilepsy.va.gov/Library/VAepilepsybasics.pdf
  5. http://www.hopkinsmedicine.org/neurology…seizures/causes/
  6. http://www.merck.com…varivax_pi.pdf
  7. http://www.merck.com…mmr_ii_pi.pdf
  8. https://www.gsksource.com/…Pediarix/pdf/PEDIARIX.PDF
  9. http://www.merck.com/…pneumovax_pi.pdf
  10. http://www.merck.com…rotateq_pi.pdf
  11. http://www.fda.gov…Vaccines/ApprovedProducts/UCM112836.pdf
  12. http://www.ninds.nih.gov/disorders/encephalopathy/encephalopathy.htm
  13. https://www.nlm.nih.gov/medlineplus/ency/article/001415.htm
  14. http://www.fda.gov/downloads/BiologicsBloodVaccines…pdf
  15. http://www.merck.com…mmr_ii_pi.pdf
  16. http://www.wonder.cdc.gov
  17. https://vaers.hhs.gov/data/index
  18. http://www.nvic.org…cdc-changes-restrict-vaccine-reaction-reports.aspx
  19. http://www.epilepsy.com/learn/seizures-youth/can-children-die-epilepsy
  20. http://www.ajnr.org/content/21/10/1782.full
  21. www.epilepsy.com…symptoms-anxiety-and-depression-school-aged
  22. http://www.epilepsy.com…seizure-and-epilepsy-medicines/side-effects
  23. http://www.epilepsy.com…mood-and-behavior-101/obsessive-compulsive-disorder
  24. http://www.epilepsy.com/learn/impact/sleep-and-epilepsy

 

Source: Vactruth

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commentaires

J
Je viens d'écouter l'émission de Frédéric Taddei sur Europe 1. Il avait invité l'auteur d'une bande dessinée "Manipulator" où il décrit les différentes techniques de manipulation. "Manipulator, c'est le disque rayé, il n'écoute pas ce qu'on lui dit, tente constamment de nous enfermer dans des mots dont on ne pourra sortir, il est irrationnel, avec lui il ne faut pas chercher à discuter, il faut s'enfuir dit-il ..." J'ai cru reconnaitre quelqu'un ?
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I
Comme promis, voici une liste d'affirmations infondées qui proviennent de votre argumentaire, Louis.<br /> <br /> - "un enfant sur 20, en dessous de 5 ans, souffre d’épilepsie".<br /> C'est l'affirmation non fondée originelle de cet article. Ce chiffre infondé est en contradiction avec des données vérifiables. Vous n'êtes pas l'auteur de cet article, vous ne pouvez donc objecter que sur la base du contenu en citant telle ou telle partie du texte. Toute affirmation de votre part du style "en fait ce qu'ils voulaient faire/dire c'est ..." est par définition infondée et invalide.<br /> <br /> - "l'article tient compte de la sous-notification et estime que seuls 1 à 10 % des crises d'épilepsie sont répertoriées"<br /> Vous devez citez dans le texte la partie qui indique ce fait. Sans cela, cette affirmation est infondée et invalide.<br /> <br /> - "seuls 1 à 10 % des crises d'épilepsie sont répertoriées"<br /> C'est un chiffre que vous semblez justifier par "seuls 1 à 10 % des effets secondaires sont répertoriés" alors que ces deux statistiques n'ont aucun rapport (l'une se rapporte au nombre total, l'autre au sous-groupe des effets secondaires). C'est comme si la statistique "90% des hommes qui trompent leur femme divorcent" vous autorisait à conclure "90% des hommes divorcent". Votre affirmation est donc fausse ou infondée, mais invalide dans tous les cas.<br /> <br /> - L'épilepsie est un effet secondaire la vaccination.<br /> Je pourrais vous citer des études qui montrent que vous avez tort, mais ce serait renverser la charge de la preuve. Cette affirmation est infondée et invalide.<br /> <br /> - "la sous-notification des épilepsie post vaccinales concerne en grande majorité la population pédiatrique"<br /> Cette affirmation est infondée et invalide.<br /> <br /> - Un médecin qui pense qu'un vaccin ne peut causer d'épilepsie va diagnostiquer autre chose plutôt que de diagnostiquer une épilepsie sans lien avec les vaccins.<br /> Cette affirmation est infondée et invalide.<br /> <br /> <br /> Toutes ces affirmations infondées soutiennent votre argumentation, dans le sens ou elles y occupent une position centrale. Vous notez, à juste titre, que des affirmations infondées desservent votre argumentaire. Jusqu'à présent, vous n'avez fait rien d'autre que dire "j'ai raison quand je dis qu'ils ont raison, croyez moi sur parole" ce qui serait un motif parfaitement légitime pour vous laisser à vos divagations.<br /> <br /> Cependant, je trouve cette conversation distrayante et j'adore lire vos rationalisations. J'attends donc votre réponse avec impatience.
I
Louis, vous objectez que cet article énonce une vérité qui serait "la causalité vaccinale dans l'augmentation des cas d'épilepsie". Pourtant cet article s'est révélé incapable de montrer une augmentation "alarmante" des cas d'épilepsies, sans même parler de corréler cette augmentation avec l'augmentation la couverture vaccinale. Comme je le signale, la source qui auparavant indiquait 200.000 nouveaux cas par an en indique maintenant 150.000 par an.<br /> <br /> Outre le fait que votre remarque est une variante à peine voilée de "on peut mentir pour la bonne cause", elle est également irrationnelle. C'est comme si vous commentiez un article disant que la vaccination est responsable de l'augmentation alarmante des cas de transformation en dinosaure par ces mots: "Cet article raconte n'importe quoi, mais il énonce une vérité: La causalité vaccinale dans l'augmentation des cas de dinosaurisation".<br /> <br /> Vos affirmations infondées ne peuvent se substituer à d'autres affirmations infondées. Vous dites que cet article est "une insulte à la science tant de par ses approximations que de par ses raccourcis desquels une simple lecture pousse à pleurer", ne commettez pas la même erreur avec des affirmations péremptoires infondées. Dire "et pourtant c'est vrai" n'est pas un argument, c'est une opinion. Si vous vous en estimez capable, il vous reste à le prouver.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> "la prévalence de l'épilepsie est naturellement de l'ordre de 0,8 %. négliger ces 0,8% revient à dire "l'épilepsie post vaccinale atteint 4,2 à 5% des enfants aux USA"<br /> <br /> Cette réponse confuse est en contradiction avec vos affirmations précédentes.<br /> <br /> La prévalence chez les enfants aux états unis est de 8 pour 1000. Votre remarque "seuls 1 à 10 % des crises d'épilepsie sont répertoriées" et votre définition de "l'épilepsie post vaccinale" non comptabilisée implique qu'il y aurait selon vous entre 8% et 80% des enfants aux USA qui seraient épileptiques sans le savoir.<br /> <br /> L'article dit "un enfant sur 20, en dessous de 5 ans, souffre d’épilepsie", soit 5%, ce qui n'entre pas dans l'intervalle 8%-80% de votre explication. D'autant plus que l'intervalle est censé représenter les cas non répertoriés alors que les 5% représentent selon vous la totalité des épilepsies (officielles + virtuelles).<br /> <br /> Votre explication postérieure ad hoc ne peut justifier cette affirmation infondée particulière de l'article.<br /> <br /> <br /> <br /> "je précise donc où se situe la perte de dimension [...] Dimension n = données corrigées cumulées, dimension n-1 = données brutes ponctuelles"<br /> <br /> Tout laisse penser que vous tenter de calquer une nouvelle signification sur un argument déjà réfuté.<br /> <br /> Je vous rappelle que votre réponse concerne ce que vous affirmez être une comparaison de "données cumulées à des données annuelles faisait fi de la dimension TEMPORELLE". Vous avez égaré votre perte en chemin. Voudriez-vous préciser votre précision ?<br /> <br /> <br /> <br /> "[comment imaginez-vous que le nombre de personnes épileptiques est évalué ?] certainement pas par échantillonnage aléatoire en population générale et vous ?"<br /> <br /> Les données collectées par le CDC proviennent du National Survey of Children's Health, une enquête basée sur un échantillonnage aléatoire de la population générale des États-Unis.<br /> http://www.cdc.gov/nchs/slaits/nsch.htm<br /> <br /> Vous savez maintenant comment le nombre de personnes épileptiques est évalué. Comment vous, vous évaluez le nombre d'épilepsies qui ne sont pas diagnostiquées reste à définir. N'hésitez pas à fournir des données chiffrées.<br /> <br /> <br /> "[par quel mécanisme mystérieux une crise d'épilepsie causée par la vaccination, sera en fait complètement ignorée dans 90 à 99% des cas] Par la magie du double standard il est inconcevable dans la tête de beaucoup de médecins que les vaccins causent l'épilepsie"<br /> <br /> Pour nombre de médecins, il est inconcevable que le vaccin puisse causer une fracture. En suivant votre raisonnement, les médecins de ce genre ne diagnostiqueront jamais de fracture chez les enfants vaccinés. En fait, ils ne diagnostiqueront jamais rien puisqu'absences, perte d'équilibre, convulsions, ou tout autre problème médical postérieur à une vaccination pourrait être vu comme un effet secondaire par ces médecins intégriste qui sont incapables d'imaginer qu'une épilepsie peut également survenir pour des raisons indépendantes.<br /> <br /> Le corollaire de votre affirmation est que le nombre apparent d'épilepsies devrait être plus faible pour les enfants vaccinés puisque le médecin va également oublier comment faire correctement son métier pour les épilepsies "naturelles" après qu'il aura constaté que l'enfant est vacciné.
L
Cet article énonce une vérité dans son titre :<br /> <br /> "Augmentation alarmante des troubles épileptiques chez les enfants La responsabilité des vaccins "<br /> La vérité énoncée est la causalité vaccinale dans l'augmentation des cas d'épilepsie. L'épilepsie faisant partie des effets secondaires de l'acte vaccinal, l'augmentation du nombre d'actes vaccinaux augmente d'autant le nombre de cas d'épilepsies d'origine vaccinale. Cette vérité est décrite et expliquée : l'autisme c'est telle symptomatologie et ces symptômes sont causés de manière admise par tels vaccins.<br /> Vous affirmez " Vous rendez-vous compte ce n'est possible que si la totalité des épilepsies à l'heure actuelle sont causées par la vaccination et donc que si l'épilepsie n'existait pas auparavant ?" Je vous réponds que la prévalence de l'épilepsie est naturellement de l'ordre de 0,8 %. négliger ces 0,8% revient à dire "l'épilepsie post vaccinale atteint 4,2 à 5% des enfants aux USA", soit 1 enfant sur 20 (ici le raccourci implicite qui prête à pleurer c'est que la totalité de l'augmentation est post vaccinale mais ce n'était pas l'objet de vos interventions...).<br /> Vous enchaînez sur 1/20 vs 460 000 je précise donc où se situe la perte de dimension.<br /> 1/20 est une estimation d'IC dont le détail est mentionné dans l'article (sous-notification) 460 000 est le chiffre d'epilepsy.com qui ne tient pas compte de la sous-estimation. <br /> Dimension n = données corrigées cumulées, dimension n-1 = données brutes ponctuelles.<br /> Par exemple, dire que 1 femme sur 20 a été victime d'agression en Belgique en 2015 contre 1/ 40 en 2012 n'est pas incompatible avec le fait que la gendarmerie n'ait constaté que 100 000 agressions à leur encontre ces trois dernières années. Le fait que la gendarmerie en ait enregistré 200 000 les trois années d'avant ne change rien au fait que l'augmentation est alarmante.<br /> <br /> Vous me dites<br /> "D'autre part, comment imaginez-vous que le nombre de personnes épileptiques est évalué ?" Je vous réponds "certainement pas par échantillonnage aléatoire en population générale et vous ?" Vous me dites "Merci de préciser par quel mécanisme mystérieux une crise d'épilepsie causée par la vaccination, au lieu d'être simplement classée comme crise d'épilepsie sera en fait complètement ignorée dans 90 à 99% des cas." Je vous réponds "Par la magie du double standard" il est inconcevable dans la tête de beaucoup de médecins que les vaccins causent l'épilepsie, le diagnostic en cas de "mon enfant allait bien, depuis le vaccin il a des absences" sera donc "TDA", "on ne sait pas" ou "il n'a rien" dans 90 à 99% des cas et le diagnostic en cas de "mon enfant allait bien, depuis qu'il est tombé sur la tête il a des absences" sera épilepsie dans le même ordre de proportions.<br /> "<br /> "La prochaine fois, je ferai une synthèse de toutes les affirmations infondées qui soutiennent votre argumentation." Ne vous donnez pas cette peine : une affirmation infondée ne soutient pas un argumentaire, elle le dessert (sauf à comprendre que par "affirmations infondées" vous visez votre argumentaire, et à ce moment, je conçois l'utilité de la synthèse ;-) ).
I
Louis, vous dites "Cet article énonce une vérité", je vous demande laquelle.<br /> <br /> Ce n'est pas exigence extraordinaire, ce serait même le minimum requis. Si vous pensez qu'au milieu de toutes ces bêtises (par rapport à ce que vous en dites, je suis modéré) réside une vérité, vous devriez être capable de l'énoncer.<br /> <br /> <br /> "Je n'ai pas tenu à rappeler mon commentaire initial car il me semblait (vous n'avez d'ailleurs pas protesté à ce sujet) qu'il était assez clair que comparer des données cumulées à des données annuelles faisait fi de la dimension temporelle"<br /> <br /> Vous êtes malencontreusement passé à coté de ma protestation, je vais donc détailler. Si vous souhaiter commenter ma conclusion "La France compte 60 millions d'habitants, dont 120 millions de parisiens", vous DEVEZ prendre en compte LES VÉRITABLES ARGUMENTS et non pas telle citation distincte qui ne tient pas de rôle dans cette conclusion particulière.<br /> <br /> Les arguments sont:<br /> <br /> - Un enfant sur 20, en dessous de 5 ans, souffre d’épilepsie<br /> - Il y a 460.000 enfants de moins de 17 qui souffrent d'épilepsie aux états unis<br /> <br /> Votre commentaire est invalide à moins que vous ne puissiez expliquer en quoi ces deux mesures de prévalence tout à fait comparables se distinguent dans votre argument à base de "projection en dimension n-1 de données valides en dimension n".<br /> <br /> De même, si vous souhaitez commenter la seconde conclusion concernant l'affirmation infondée de l'"augmentation alarmante", vous DEVEZ prendre en compte LES VÉRITABLES ARGUMENTS et non pas telle citation distincte qui ne tient pas de rôle dans cette conclusion particulière.<br /> <br /> Les arguments sont:<br /> <br /> - La source indiquait par le passé 200.000 nouveaux cas par an<br /> - La source indique à présent 150.000 nouveaux cas par an<br /> <br /> Votre commentaire est invalide à moins que vous ne puissiez expliquer en quoi ces deux mesures d'incidence tout à fait comparables se distinguent dans votre argument à base de "projection en dimension n-1 de données valides en dimension n".<br /> <br /> <br /> C'est une protestation suffisamment visible, j'espère.<br /> <br /> <br /> <br /> "Je vous affirme que l'article tient compte de la sous-notification des cas d'épilepsie, vous me dites que vous n'arrivez pas à trouver de citation précise. C'est normal, la sous-notification englobe tous les effets secondaires des vaccins desquels font partie les cas d'épilepsie répertoriés comme tels."<br /> <br /> Passons sur cette nouvelle affirmation infondée pour couvrir l'affirmation infondée précédente, et intéressons directement aux implications de cette affirmation infondée:<br /> <br /> Vous nous dites "l'article tient compte de la sous-notification et estime que seuls 1 à 10 % des crises d'épilepsie sont répertoriées". Vous nous expliquez qu'il y aurait donc en réalité entre 10 et 100 fois plus d'épileptiques et que c'est à cause des épilepsies causées par les vaccins qui ne sont pas comptabilisées.<br /> <br /> Par quel raisonnement êtes vous passé de "seuls 1 à 10 % des effets secondaires sont répertoriés" à "seuls 1 à 10 % des crises d'épilepsie sont répertoriées" ? Vous rendez-vous compte ce n'est possible que si la totalité des épilepsies à l'heure actuelle sont causées par la vaccination et donc que si l'épilepsie n'existait pas auparavant ?<br /> <br /> <br /> D'autre part, comment imaginez-vous que le nombre de personnes épileptiques est évalué ? On pourrait penser que :<br /> <br /> - Si la personne n'est pas vaccinée le médecin se dit "c'est une crise d'épilepsie" et diagnostique: "crise d'épilepsie".<br /> - Si la personne est vaccinée et que le médecin ne fait pas le lien, il se dit "c'est une crise d'épilepsie" et diagnostique: "crise d'épilepsie".<br /> <br /> Pourtant, dans votre vision de "l'épilepsie post vaccinale", les épilepsies consécutives à un vaccin ne sont pas comptabilisées, elles sont ignorées dans 90 à 99% des cas. Vous nous affirmez donc :<br /> <br /> - Si la personne est vaccinée, non seulement le médecin ne fait pas le lien, mais il se dit "c'est une épilepsie pas grave, on ne va pas s'embêter à laisser des traces papier". Voire, il ne se rend même pas compte que c'est une crise d'épilepsie.<br /> <br /> <br /> Merci de préciser par quel mécanisme mystérieux une crise d'épilepsie causée par la vaccination, au lieu d'être simplement classée comme crise d'épilepsie sera en fait complètement ignorée dans 90 à 99% des cas.<br /> <br /> <br /> <br /> "La notion de double standard s'applique ..."<br /> <br /> Je vois que vous avez du mal à avec cette expression. Remplacez la par "Deux poids, deux mesures", si cela peut aider à lever votre confusion.<br /> <br /> https://initiativerationnelle.wordpress.com/2016/04/20/double-standard/<br /> <br /> <br /> La prochaine fois, je ferai une synthèse de toutes les affirmations infondées qui soutiennent votre argumentation. Dans l'intervalle, vous avez donc la possibilité de préciser quelques inconnues, ou d'en introduire de nouvelles. Le suspense est palpable.
L
Je n'ai pas tenu à rappeler mon commentaire initial car il me semblait (vous n'avez d'ailleurs pas protesté à ce sujet) qu'il était assez clair que comparer des données cumulées à des données annuelles faisait fi de la dimension temporelle (cf exemple des 120 millions de parisiens) pour justifier d'une impossibilité imaginaire, tout comme ne pas prendre en compte la dimension réelle (déduite des notifications observées et de la sous-notification attendue) pour la même justification d'impossibilité rendait compte d'une incompréhension du texte ou d'une perte de dimension. Vous venez ensuite me parler de 1/20 versus 460 000, ce à quoi je vous répond la même chose : relisez l'article dont vous niez le sens et déformez les données.<br /> Je vous affirme que l'article tient compte de la sous-notification des cas d'épilepsie, vous me dites que vous n'arrivez pas à trouver de citation précise. C'est normal, la sous-notification englobe tous les effets secondaires des vaccins desquels font partie les cas d'épilepsie répertoriés comme tels. <br /> Quant au pourquoi du fait que la sous-notification concernerait une des deux statistiques plutôt que l'autre, c'est simplement du fait que la sous-notification des épilepsie post vaccinales concerne en grande majorité la population pédiatrique et que l'immense majorité des épilepsies pédiatriques disparait à l'âge adulte (c'est d'ailleurs cette cuisine d'à peu près et d'implicites qui rend l'article à pleurer).<br /> La notion de double standard s'applique aux points communs de jeux de données comparables standardisées, pas à leurs différences !<br /> <br /> Vous dites "Quelle est-donc cette vérité qui doit être est énoncée coûte que coûte, quitte à raconter n'importe quoi ?" Alors que je vous dis "quitte à raconter n'importe comment"<br /> Pour ce qui est de la réponse à votre question, là encore, relisez l'article. Passé le titre vous devriez avoir une idée assez claire.
S
Y-en a un ici qu'a pris une initiative rationnelle : tout faire pour toucher sa prime de zèle pour pouvoir partir en vacances dans les îles. Faut reconnaitre, c'est très rationnel.
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P
Je suis contre les vaccins obligatoires en France. Je suis pour la liberté vaccinale, comme c’est le cas dans plusieurs pays de l’Union européenne. Et je partage tout à fait la déclaration de Marisol Touraine : « Mon corps m’appartient ! »<br /> http://www.marisoltouraine.fr/wp-content/uploads/2015/09/confIVG.jpg
I
Pensez-vous qu'on a Super, le droit de mentir pour la bonne cause ? Je précise deux choses qui sont, Super, détaillées plus bas:<br /> <br /> - Cet article fait une affirmation du style : "La France compte 60 millions d'habitants, dont 120 millions de parisiens", ce qui est une impossibilité mathématique.<br /> <br /> - Cet article dénonce une augmentation des épilepsies et cite une source qui montre que le nombre de nouveaux cas a BAISSÉ.<br /> <br /> Je serais, Super, ravi d'être payé pour le faire, mais les erreurs seront là que je sois, Super, payé, ou pas. Notez également que les erreurs sont là que je les montre, ou pas. Toutes les autres erreurs de cet article existent, même si je me suis, Super, concentré sur ces deux là.
I
"Un enfant sur 20, en dessous de 5 ans, souffre d’épilepsie"<br /> <br /> Cette information est fausse.<br /> <br /> Vous dites que 5% des enfants moins de 5 ans souffrent d'épilepsie ce qui représente environ un million d'enfants.<br /> http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMPagePyramide?codePays=USA<br /> <br /> Pourtant, comme le rappelle votre source [2], il y a 460.000 enfants de moins de 17 ans souffrant d'épilepsie.<br /> <br /> Il y aurait donc 460.000 enfants de moins de 17 ans dont un million de moins de 5 ans qui souffrent d'épilepsie, ce qui est mathématiquement impossible.
Répondre
I
"Ce sera ma conclusion, et vous n'aurez plus de commentaires de ma part"<br /> <br /> On peut toujours l'espérer, mais nombre de vos affirmations se sont révélées fausses par le passé.<br /> <br /> Notez que si cette conversation s'arrête, vos erreurs persistent. Je ne manquerai pas à l'avenir de vous demander des précisions sur ce que vous avez décidé de passer sous silence aujourd'hui en vous drapant dans votre psychanalosophie outragée.<br /> <br /> <br /> Vous avez un avis tranché et inaltérable. Vous ne changerez pas d'avis, sur ce point nous sommes d'accord. Mais au moins nous serons parvenu à établir que votre avis ne se base pas sur un raisonnement rationnel.<br /> <br /> Vous avez le droit d'être irrationnel, assumez le.<br /> <br /> <br /> <br /> "Je vous suggère la lecture de ce texte d'Edgar Morin: [...] La rationalisation, c’est la logique qui se prend absolument pour le réel. Il s’agit en fait d’une forme logique de l’irrationalité car il s’agit d’une pensée en divorce avec le réel"<br /> <br /> <br /> Je me souviens de ce texte. Vous imaginez qu'il explique qu'on ne peut pas tout expliquer, ce qui justifierai de fait votre comportement irrationnel. Vous vous trompez.<br /> <br /> Il décrit ce que vous trouverez également dans n'importe quel dictionnaire: Rationaliser, ce n'est pas être rationnel. C'est la description de raisonnements ayant leur logique interne, mais en rupture avec le réel. Cette citation nous décrit ici les raisonnements qui conduisent à l'astrologie ou l'homéopathie (et vos propres interventions, bien sûr).<br /> <br /> <br /> Permettez que je vous éclaire sur votre confusion avec cette citation du même auteur:<br /> <br /> "Mais la rationalité porte aussi en son sein une possibilité d'erreur et d'illusion quand elle se pervertit, nous venons de l'indiquer, en rationalisation. La rationalisation se croit rationnelle parce qu'elle constitue un système logique parfait, fondé sur déduction ou induction, mais elle se fonde sur des bases mutilées ou fausses, et elle se ferme à la contestation d'arguments et à la vérification empirique. La rationalisation est close, la rationalité est ouverte. La rationalisation puise aux mêmes sources que la rationalité, mais elle constitue une des plus puissantes sources d'erreurs et d'illusions."<br /> <br /> C'est la confrontation au réel qui permet de faire la distinction, ce qui rejoint ce que je disais à Claude un peu plus bas: Quand une hypothèse est en contradiction avec la réalité, ce n'est pas la réalité qui a tort.<br /> <br /> <br /> Confronté au réel, lorsqu'on vous demande d'expliciter vos raisonnements, de citer vos sources, de constater vos erreurs factuelles, vous vous effondrez. Votre discours "rejette les arguments empiriques qui lui sont contradictoires". Votre rationalisation est irrationnelle.<br /> <br /> <br /> En guise de conclusion, lassé de vos erreurs présentes vous prophétisez vos erreurs futures. C'est plus prudent. Vous aurez 20 ans de tranquillité avant qu'on ne vienne vous donner tort.
D
Vous savez quoi?<br /> Je crois que vous êtes un grand malade, que la recherche de la rationalité pure a rendu fou.<br /> Vous avez poussé votre esprit de contradiction aux limites de la démence.<br /> Je vous suggère la lecture de ce texte d'Edgar Morin:<br /> "le propre de la rationalisation, c’est qu’elle est fermée : elle rejette les arguments empiriques qui lui sont contradictoires et elle se considère capable (et seule capable) d’embrasser l’univers dans sa totalité et de rendre compte exhaustivement de sa réalité. La rationalisation, c’est la logique qui se prend absolument pour le réel. Il s’agit en fait d’une forme logique de l’irrationalité car il s’agit d’une pensée en divorce avec le réel. Et la rationalité poussée à l’extrême débouche sur la folie."<br /> Vous allez donc vous reconnaitre, puisque vous vous prétendez rationnel:<br /> http://www.mangeur-ocha.com/fileadmin/contenusocha/13_E_Morin.pdf<br /> Maintenant, je vais vous faire une prophétie: malgré toute votre rationalité et vos arguments spécieux, les vaccins sont en train de se casser la figure et vont disparaitre dans les vingt ans qui viennent, sous les huées d'une foule en colère. De grands procès auront lieu, et de lourdes condamnations tomberont sur les laboratoires vaccinaux, nombre des charlatans des vaccins seront mis en taule pour génocide et crime contre l'humanité.<br /> Le résultat en sera une diminution spectaculaire des maladies de l'enfant, et des enfants en bien meilleure santé, qui ne connaitront plus l'asthme, les allergies, et pour qui angines, rhino-pharyngites et otites appartiendront à l'histoire ancienne.<br /> Vous enragerez, mais vous assisterez à cela.<br /> Peut-être même en tant que prévenu.<br /> Ce sera ma conclusion, et vous n'aurez plus de commentaires de ma part, quelque soit la longueur de vos diatribes. Votre croisade restera sans écho, et vous resterez, pour l'histoire, tel un Don Quichotte, pourfendeur de moulins à vent.
I
Claude, j'ai l'impression que vous mélangez plusieurs choses.<br /> <br /> <br /> "Pourquoi ne pratique t-on pas une recherche du groupe HLA à la naissance [...] C’est toujours très facile - après coup - de dire que rien ne prouve que c’est le vaccin qui est la cause du décès, de la SEP ou autre !!!"<br /> <br /> En suivant votre logique ce serait au contraire très facile - après coup - de dire que le vaccin est responsable. Il suffirait de faire une recherche du groupe HLA.<br /> <br /> Je pense que vous faites une confusion entre vos arguments qui s'appliquent à la prévention et ceux qui s'appliquent à la responsabilité. Par exemple, il y a des choses qu'on peut difficilement prévoir mais dont la responsabilité ne prête pas à interprétation, comme les réactions allergiques. Les deux sont distincts alors que dans votre démonstration vous utilisez l'un pour justifier l'autre.<br /> <br /> Ensuite, vous faites un argument par ignorance quand vous dites "A est vrai, donc B est vrai". Je ne pense que vous ayez précisé qu'un groupe HLA particulier favorise l'expression de la scléroses en plaques. Il est donc irrationnel que vous teniez ce fait pour acquis, compte tenu de que vous avez dit.<br /> <br /> <br /> <br /> Prenez deux carnets, un rouge et un bleu, et jouez à pile ou face un million de fois.<br /> Quand c'est pile, faites une marque sur le cahier bleu, et quand c'est face, faites en une sur le cahier rouge.<br /> Brûlez le cahier bleu.<br /> <br /> Vous pouvez maintenant dire au monde entier à quelle point cette pièce est truquée, puisque vous avez la preuve: Ce cahier littéralement rempli de tirages coté face. Vous ajouterez peut-être: "Et après on va me dire que ça ne prouve rien !!!"<br /> <br /> Les chercheurs, eux, regardent les deux carnets pour voir si l'un est plus rempli que l'autre, ce qui est LA SEULE méthode valable. Quand c'est le cas, la responsabilité du vaccin est possible, voir probable en fonction des données. Bien que vous disiez le contraire, cela arrive aussi. Quand ce n'est pas le cas, on sait que s'il y a responsabilité du vaccin, c'est tellement faible que ça passe sous la limite des instruments de mesure.<br /> <br /> Les recherches sur le HLA pourraient apporter des informations sur le "comment", mais elles sont inutiles pour avoir des informations sur le "combien". Pour cela, les chercheurs compilent déjà leurs carnets bleus et rouges. Quand les "combien" bleu et rouges sont très proches, il est rationnel de dire qu'il n'y a pas de causalité.<br /> <br /> https://initiativerationnelle.wordpress.com/2016/06/24/intox-le-petit-x-decede-de-y-apres-avoir-recu-z-vaccins-ysids/<br /> <br /> <br /> Je ne me prononcerai pas sur la seconde moitié de votre message. Vous reproduisez des citation qui, parce qu'elles ne sont pas sourcées, ne sont que des opinions personnelles.<br /> <br /> Je peux cependant faire une remarque d'ordre méthodologique. Pour le moment, tout ce que vous avez dit montre que la balance bénéfice-risque déjà très en faveur du vaccin pourrait être encore améliorée et, comme je vous l'ai dit la dernière fois, c'est effectivement ce vers quoi la recherche se dirige. Vous pourriez déplorer "la recherche ne va pas assez vite", je ne ferai pas d'objection.<br /> <br /> En revanche, vous n'avez pas encore montré dans quelle mesure les nouvelles connaissances sur le HLA viennent s'imbriquer dans ce que l'on sait déjà. En particulier, chaque nouvelle découverte permet de mettre à jour la balance bénéfice-risque, voire de la renverser comme vous semblez le penser sur ce point. Je ne pense pas que vous pourrez vous passer de données quantitatives pour le faire.<br /> <br /> Il est important de comprendre qu'une étude sur les HLA qui impliquerait des résultats suffisamment forts pour faire pencher la balance bénéfice-risque de l'autre coté ne serait pas suffisante sans une explication sur les données factuelles que cette étude contredirait.<br /> <br /> En clair, je peux produire une étude qui montre que l'air ambiant est mortel, elle ne sera pas acceptée par la communauté à moins d'expliquer également pourquoi la réalité semble nous montrer que l'air ambiant est inoffensif.<br /> <br /> Quand une hypothèse est en contradiction avec la réalité, ce n'est pas la réalité qui a tort.
I
- Affirmation infondée: "c'est une chaussure trouée et bas de gamme"<br /> - Affirmation infondée: "ce qui n'est pas du trou se délite en peu de temps"<br /> - Affirmation infondée: "elle ne protège que les gens qui n'en ont nul besoin"<br /> - Affirmation infondée: "ces chaussures ne protègent personne"<br /> <br /> Notez comme mon analogie est utilisée pour mettre à plat des concepts. Lorsque dans l'analogie j'ai fait une affirmation factuelle au sujet des vaccins, j'ai fourni les informations nécessaires pour prouver que l'analogie restait justifiée.<br /> <br /> Notez comme vous dites tout ce qui vous passe par la tête sans la moindre justification.<br /> <br /> <br /> <br /> "aucune étude où un laboratoire vaccinal a mis la main d'une façon ou d'une autre n'est fiable à mes yeux"<br /> <br /> Je vois que vous modifiez sans cesse vos critères initiaux pour ne pas avoir à modifier vos conclusions, ce qui est irrationnel.<br /> <br /> - Auparavant, vous affirmiez que ces études n'existaient pas.<br /> - Puis, vous nous avez montré que vous aviez tort parce qu'en fait les études existent mais ne doivent pas être crues parce que toutes les études sont mauvaises, point.<br /> - Enfin, vous nous montrez que vous aviez tort parce qu'en fait, ce ne sont pas toutes les études qui sont mauvaises, seulement celles qui ont un lien avec un laboratoire vaccinal.<br /> <br /> Intéressons nous donc à cette nouvelle définition en attendant la suivante.<br /> <br /> Vous avez donc mis en évidence qu'un laboratoire "a mis la main" dans chacune des études que je vous ai montré jusqu'à présent. Félicitations.<br /> <br /> Vous avez également mis en évidence qu'aucun laboratoire n'a "a mis la main" dans les études de la "page 115" que vous soutenez unilatéralement<br /> <br /> Auriez-vous l'amabilité, par acquis de conscience, de développer ou vous avez vu la main d'un laboratoire dans l'étude suivante ? http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17989383<br /> <br /> De la même façon, si l'étude suivante est vierge de toute main de laboratoire, comment êtes vous arrivé à cette conclusion ? http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/99841<br /> <br /> <br /> Je vous rappelle que la question est de savoir comment VOUS décidez quelle étude est pour VOUS digne de confiance. Si votre réponse est une variation autour de "tout le monde le sait", alors vous auriez aussi bien pu nous dire "Je fais confiance aux études qui sont digne de confiance et je ne fais pas confiance aux études qui ne sont pas dignes de confiance", ce qui serait un argument circulaire, donc irrationnel.<br /> <br /> <br /> <br /> "Ces études qui, comme chacun le sait maintenant, portent sur quelques jours ou semaines, et un nombre très restreints de patients."<br /> <br /> Vraiment, c'est ce que vous savez ?<br /> <br /> Souvenez vous, il n'y a pas si longtemps je vous avait donné plusieurs exemples d'études qui selon vous n'existaient pas. Ou ne testait pas ceci. Ou pendant pas assez longtemps. Je vous avais montré à chaque fois que vous vous trompiez. "Comme chacun le sait maintenant", ce que vous dites n'est pas très souvent compatible avec la réalité.<br /> <br /> Avez-vous un commentaire à faire sur cet épisode passé ? Aujourd'hui avez-vous de quoi soutenir vos affirmations sur ce nouvel épisode ou est-ce qu'a nouveau ce ne sont que des choses que vous dites comme ça, parce que vous le sentez bien ?<br /> <br /> <br /> <br /> À l'époque je disais: L'ignorance d'un sujet n'est pas problème en soi. Tout le monde, tout les jours, a quelque chose de nouveau à apprendre. Le problème survient lorsque l'ignorance devient une stratégie et est activement recherchée. Plusieurs erreurs factuelles vous ont été signalées ici, l'avenir nous dira si cela aura permis de réduire le nombre de vos "Je ne sais pas".<br /> <br /> L'avenir c'est aujourd'hui et je constate que vous montrer qu'une chose existe n'est pas suffisant pour que vous cessiez de dire qu'elle n'existe pas.<br /> <br /> L'ignorance active est-elle votre ligne de défense ?
I
"Vous n'avez répondu à aucun argument de la page 115."<br /> <br /> J'y ai pourtant répondu: Vos autres bourdonnements autour de "La page 115" sont du même ordre. On touche à l'onirisme.<br /> <br /> <br /> Si vous le souhaitez, je peux détailler.<br /> <br /> <br /> - Affirmation infondée: "les vaccins protègent ceux qui n'en ont pas besoin, car ils avaient naturellement ce qu'il faut pour se défendre"<br /> - Affirmation infondée: "les vaccins ne protègent pas ceux qui en auraient eu besoin: ces derniers ne réagissent pas aux vaccins"<br /> - Affirmation infondée: "Les vaccins profitent de la bonne santé naturelle des enfants que la maladie épargne pour faire croire à leur efficacité."<br /> <br /> Pour chacune des trois affirmations ci-dessus, voulez-vous bien prendre la peine de citer le passage de ce document ou vous pensez l'avoir lu ? Je vous rappelle que vous dites que cette page le prouve.<br /> <br /> <br /> - Affirmation fausse: "On fait de leur [les anticorps] présence LE critère d'efficacité des vaccins, le seul en fait"<br /> <br /> L'efficacité d'un vaccin se calcule en comparant le nombre de malades chez les vaccinés et chez les non vaccinés. Souvenez vous: LE POURCENTAGE, EN MÊME TEMPS, AU MÊME ENDROIT. Je vous l'ai déjà expliqué ici: http://initiativecitoyenne.be/article-echec-du-vaccin-contre-la-varicelle-125318568.html<br /> <br /> <br /> - Affirmation infondée: "Leur [les anticorps] présence témoigne d'un contact antérieur, mais pas d'une protection"<br /> <br /> Lorsque vous aurez fourni la preuve de ce que vous avancez, nous regarderons ce que témoigne la présence d'anticorps qui ont une origine "bio".<br /> <br /> <br /> - Affirmation infondée: "seule la maladie confère [une protection], aussi bien dans l'immédiat que dans le temps"<br /> <br /> Vous dites que la présence d'anticorps n'est pas une preuve de protection. Vous dites la recherche d'anticorps est LE SEUL critère d'efficacité qui est observé. Selon vos propres affirmations, vous n'avez aucun moyen de savoir si la maladie confère une protection, et encore moins de pouvoir comparer son efficacité à celle du vaccin.<br /> <br /> <br /> - Affirmation fausse: "Preuve en sont les nombreuses épidémies (rougeole, polio) survenues chez des enfants vaccinés selon les règles, dans des proportions allant jusqu'à 99% d'une population"<br /> <br /> Je sais que les mathématiques vous posent quelques soucis, mais concentrez vous. Plus le taux de vaccination est élevé, et plus la probabilité augmente que les infections touchent des personnes vaccinées. C'est une certitude mathématique. Tout argument qui utilise cette information pour dire "c'est la preuve que" est invalide. Le critère décisif est le POURCENTAGE (encore lui) d'infections chez les vaccinés et chez les non vaccinés.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> J'ai donc répondu à votre élan masochiste et détaillé la somme de vos affirmation complètement infondées. On voit que vous avez complètement perdu pied avec le concept d'argumentation et que vous avez purement et simplement décidé de vous passer de sources. En clair: Vous savez ce que vous savez parce que vous le savez. Comme je le disais, on touche à l'onirisme.
I
"les troubles épileptiques chez les enfants sont montés en flèche au cours des dernières années"<br /> <br /> Cette information est fausse.<br /> <br /> Vous précisez: "Selon la Fondation pour l’épilepsie, au moins 360.000 enfants aux Etats-Unis ont reçu le diagnostic d’épilepsie. 200.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. [2]"<br /> <br /> Pourtant, si l'on suit la source, on constate que la fondation pour l'épilepsie ne vous donne pas raison. Elle indique 460.000 enfants épileptiques. Elle indique également 50.000 nouveaux cas par an.<br /> <br /> On pourrait supposer une simple trahison des sources. L'auteur s'est dit que 50.000 nouveau cas par an, ce n'était pas assez et il a décidé de mentir en disant qu'il y en avait en fait 200.000. Cependant internet n'oublie rien et les archives montrent que par le passé, la fondation pour l'épilepsie indiquait bien 200.000 nouveaux cas par an.<br /> <br /> L'auteur a donc utilisé les chiffres donnés sur le site de la fondation pour l'épilepsie, qui a par la suite mis à jour ses statistiques et recalculé le nombre total de cas en utilisant les chiffres de la population de 2013. (On peut se demander quand a réellement été écrit cet article)<br /> <br /> Il faut constater que l'incidence était de 200.000 nouveaux cas par an au moment de la rédaction de cet article, et de 50.000 nouveaux cas par an à l'heure actuelle. Il est donc faux de dire que "les troubles épileptiques chez les enfants sont montés en flèche au cours des dernières années", ce serait même l'inverse.
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I
Incidence. Prévalence. Vous imaginez que parce que vous faites vos propres calculs vous pourrez nier ces valeurs ET vous passer de fournir des données sourcées dont on vous demandera des comptes sur leur fiabilité. Pourtant, vous basez vos calcul sur des données directement issues de ces valeurs. Vous ne pouvez les nier et vous en servir. C'est un double standard.<br /> <br /> Notez que si mon commentaire reste pertinent, je vous ai également montré en quoi le votre était mathématiquement absurde. Quand vous, vous faites une argumentation, vous ignorez systématiquement la partie ou vous devriez expliquer en moi ma propre démonstration serait invalide. c'est bien entendu insuffisant. Vous entendez réfuter un argument tout en vous révélant incapable de le réfuter. (C'est la mauvaise réfutation)<br /> <br /> N'ayant pas été réfuté, mon argument reste pertinent: L'article dénonce une augmentation des épilepsies et cite une source qui montre que le nombre de nouveaux cas a BAISSÉ.
I
Sur votre insistance, ce message est entièrement consacré à la description de votre erreur dite de "sortie de cadre". Parce que je suis de bonne composition, je vous avais décrit en surface les erreurs de votre raisonnement sans insister outre mesure. Vous persistez et vous me forcez à détailler, j'en suis désolé pour vous. Encore une fois, précisons que votre calcul était inutile si vous aviez compris ce que sont l'incidence et la prévalence.<br /> <br /> "Donc ces 25.555 cas qui sortent du cadre à dix huit ans sont bien remplacés progressivement par 50.000 nouveaux, qui n'en sortiront pas avant dix-huit ans."<br /> <br /> Disons qu'un matin vous vous postez à l'entrée d'un supermarché. Vous restez quelques minutes et vous constatez qu'environ 15 personnes par minutes entrent dans le supermarché. Aussitôt vous vous exclamez: "Mais à la fin de la journée il y aura plus de 8000 personnes dans ce magasin ! Il va exploser !"<br /> <br /> Si vous dites cela, les gens vont se moquer de vous pour deux raisons:<br /> <br /> La première raison est que vous considérez que les gens qui font leurs courses restent toujours jusqu'à la fin de la journée dans le magasin. De la même façon, vous considérez que les enfants qui font une épilepsie restent épileptique au moins jusqu'à votre moment "sortie de cadre" à 18 ans.<br /> <br /> Pourtant, pour 50% des enfants, leur épilepsie durera moins de 12 ans.<br /> http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa0911610#t=article<br /> <br /> La seconde raison est que vous pensez qu'a n'importe quelle minute de la journée il y aura toujours 15 personnes qui entrent dans le supermarché. Ce sont les chiffres du début de la journée, par la suite il y aura beaucoup moins de monde à passer la porte. De la même façon, pour faire votre division par 18 vous devez considérer que les épilepsies sont équiprobablement réparties sur les 18 années.<br /> <br /> Pourtant la distribution de l'épilepsie connaît deux pics : Chez l'enfant de moins d'un an, chez l'adulte après 75 ans.<br /> http://www.caducee.net/DossierSpecialises/neurologie/epilepsie.asp<br /> <br /> Ces deux raisons combinées font que chez les enfants, l'épilepsie disparaît à l'adolescence dans six cas sur 10.<br /> http://www.epilepsy.com/learn/epilepsy-101/will-i-always-have-seizures<br /> <br /> Donc quand vous dites "Un enfant classé épileptique avant dix-huit ans est traité bien au-delà de sa majorité", vous ne démontrez qu'une chose: Vous n'avez pas fait le travail le plus élémentaire de vérification.<br /> <br /> De même, quand vous affirmez "Il arrive qu'on arrête un traitement, beaucoup plus tard, et le plus souvent on assiste à une nouvelle crise qui oblige à le reprendre" vous n'avez pas non plus pris la peine de vérifier: Au bout de 2 à 5 ans de traitement réussi et d’absence de crises, on peut supprimer les médicaments chez environ 70% des enfants et 60% des adultes sans rechutes ultérieures.<br /> http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs999/fr/<br /> <br /> Votre calcul de "sortie de cadre" est donc faux. Une majorité des enfants qui "sortent du cadre" sont "sortis de l'épilepsie" bien avant. Vous faites un raisonnement du style "Attention ce supermarché va exploser !", il est donc rationnel de se moquer de vous.<br /> <br /> Vous auriez pu vous éviter une nouvelle description détaillée d'une nouvelle erreur flagrante de votre part si vous n'aviez pas une nouvelle fois omis de faire le plus élémentaire travail de recherche et persisté dans votre erreur.
I
"25.555 enfants sortent du cadre "épilepsie de moins de 18 ans". Tandis que 50.000 nouveaux y entrent. Ce qui veut dire une accentuation violente du problème"<br /> <br /> Vous bourdonnez un peu plus haut une démonstration de "sortie du cadre". Elle est amusante. Je pourrais m'étendre sur le fait que votre méthode implique forcément que quand on est épileptique on le reste toute sa vie, qu'une épilepsie a statistiquement la même probabilité de se déclarer quelque soit l'age, et que ces deux points sont évidemment faux mais ce ne serait pas très charitable alors passons. La prévalence et l'incidence d'une maladie sont les notions qui vous manquent, je vous invite à les découvrir.<br /> <br /> Je vous invite également à vous poser sur la source qui indique 50000 cas par an: http://www.epilepsy.com/learn/seizures-youth<br /> <br /> LA MÊME PAGE auparavant indiquait 200000 cas par an: http://web.archive.org/web/20140324233420/http://www.epilepsy.com/learn/seizures-youth<br /> <br /> Une augmentation se mesure au nombre de nouveaux cas. On ne peut pas dénoncer une "augmentation alarmante" quand les nouveaux cas passent de 200000 à 50000 par an.<br /> <br /> <br /> Remarquez que ce n'est pas moi qui présente cette source, elle a été mise en avant par le présent article. Je l'ai utilisée parce qu'il était intéressant de montrer que ce sont les sources fournies par cet article qui permettent de lui donner tort. Cependant pour constater que les chiffres de l'épilepsie sont en augmentation faible depuis de nombreuses années, il y a plus simple:<br /> <br /> Il suffit de constater que l'incidence qui est de 48/100000 était de 44/100000 en 1996 et que la prévalence qui est de 7.1/1000 était de 6.8/1000 en 1996.<br /> <br /> http://www.who.int/mental_health/neurology/epilepsy/wpro_report.pdf<br /> http://www.epilepsy.com/learn/epilepsy-statistics<br /> <br /> En clair: Les chiffres indiquent qu'il y aurait aux États unis 4.5% d'épileptiques de plus qu'il y a 20 ans.<br /> <br /> <br /> "ayez la curiosité de taper "vaccin" dans le moteur de recherche. Que trouvez-vous? Rien. [...] Or l'épilepsie figure en bonne place dans toutes les notices de tous les vaccins à la rubrique "effets indésirables"."<br /> <br /> C'est une affirmation totalement infondée de votre part. Ce que vous dites actuellement est équivalent à: "Ayez la curiosité de demander à votre garagiste de vous parler des gremlins. Que dira-t-il ? Rien. Or les gremlins sont la première cause de pannes de voitures et la communauté des garagistes, qui se disent spécialistes n'en parlent pas ? N'y a-t-il pas une volontée délibérée de cacher le problème ?"<br /> <br /> Je vous invite à nous fournir un lien vers ce que vous considérez comme une preuve valable de ce vous avancez ici sans preuve. Bien entendu, je ne manquerai pas de vous demander ce qui vous permet d'affirmer que votre preuve est digne de confiance. C'est une question essentielle à laquelle vous avez manqué de répondre jusqu'ici. Si contre toute attente vous y répondez ici, vous ferez le buzz.<br /> <br /> Pour rappel: Vous bourdonnez que toutes les études doivent être ignorées sauf celles que vous présentez, mais vous vous révélez incapable de dire pour quelle raison les vôtres seraient digne de confiance. Pour faire un raisonnement convainquant, il faut qu'il soit cohérent. La cohérence n'est pas facultative, c'est un prérequis. Dites nous comment vous déterminez une "bonne étude", un "bon chercheur", un "bon chasseur" et nous pourrons enfin aborder la source de la racine du cœur du fond du problème.<br /> <br /> C'est ici que cette question et d'autres vous attendent: http://initiativecitoyenne.be/article-echec-du-vaccin-contre-la-varicelle-125318568.html<br /> <br /> J'attends votre réponse avec impatience. Ferez vous mouche ?
D
Sur le site que vous citez, fondation pour l'épilepsie, ayez la curiosité de taper "vaccin" dans le moteur de recherche.<br /> Que trouvez-vous? Rien.<br /> http://www.fondation-epilepsie.fr/comprendre-epilepsie/causes/<br /> Or l'épilepsie figure en bonne place dans toutes les notices de tous les vaccins à la rubrique "effets indésirables".<br /> A la rubrique "comprendre l'épilepsie, au chapitre "les causes", aucune mention des vaccins.<br /> <br /> Au lieu d'enfiler les mouches, demandez-vous juste pourquoi?<br /> Entre nous, qui pensons que les vaccins sont aujourd'hui la cause première des épilepsies, et le site dédié qui ne fait même pas mention de cette cause, n'y a-t-il pas une volonté délibérée de cacher le problème, exactement comme vous tentez péniblement de le faire?

                    

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