Samedi 18 août 2012- Heidi Stevenson [Extraits]
[...] La science fait autorité : Non seulement le vaccin contre l'hépatite B est associé à cette maladie du foie, mais il la provoque. Les dégâts précis qu’il fait sont connus, clairement documentés. De faibles doses de vaccin contre l'hépatite B avec adjuvant aluminique entraînent la perte de l'intégrité mitochondriale, la mort cellulaire et l'apoptose, en particulier chez les cellules hépatiques.
Il est vraiment ironique qu'un vaccin dont le but prétendu est de protéger le foie, soit lui-même cause de maladie du foie.
Les auteurs de Hepatitis B vaccine induces apoptotic death in Hepa1–6 cells [Le vaccin contre l'hépatite B induit la mort par apoptose chez les cellules Hepa1-6], signalent clairement que leur inquiétude se porte sur l'adjuvant hydroxyde d'aluminium, et ses profondes répercussions, car l'aluminium est systématiquement utilisé dans les vaccins pour enfants.
Voici leur conclusion :
"Nous concluons que l'exposition des cellules Hepa1-6 à une faible dose de vaccin contre l'hépatite B avec adjuvant entraîne la perte de l'intégrité mitochondriale, l’induction de l'apoptose, et la mort cellulaire ; l’effet de l'apoptose a été aussi observé dans la lignée des cellules myoblastes de souris C2C12 après traitement avec de faibles doses de vaccin (0,3, 0,1, 0,05 μg/ml). En outre l’effet apoptotique du vaccin contre l'hépatite B a été observé in vivo dans le foie des souris. "
Solde final : le vaccin contre l'hépatite B est responsable de la mort des cellules hépatiques. Cela ne serait pas en soi une grosse affaire, mais cette étude recoupe un nombre croissant de preuves montrant que la maladie du foie, avec d'autres troubles, résulte des vaccinations contre l'hépatite B et de l’adjuvant aluminique :
- Dans l'étude in vivo des effets du vaccin contre l'hépatite B sur l'inflammation et l'expression des gènes du métabolisme : L’expression de 144 gènes ayant des liens avec la fonction hépatique est modifiée.
- Vaccin contre l'hépatite B et réactions gastro-intestinales adultes associés : Analyse de suivi : Les fonctions gastro-intestinales et du foie sont associées à la vaccination contre l'hépatite B.
- Vaccin contre l’hépatite B et problèmes hépatiques chez l’enfant de moins de 6 ans, 1993 et 1994 : Les enfants ayant été vaccinés contre l'hépatite B sont 2,57 fois plus susceptibles de souffrir de problèmes de foie.
[…]
L’absence d’intérêt du vaccin contre l’hépatite B
Bien que la vaccination contre l'hépatite B prélève un lourd tribut d’enfants, une question reste toujours en plan : Quel est l’intérêt de vacciner des nouveau-nés, comme cela se pratique couramment dans les hôpitaux ?
La réponse à cette question est particulièrement troublante. La maladie contre laquelle ces bébés sont censés être protégés peut s’attraper seulement par contact sexuel ou être transmise par la voie sanguine. Il est possible de l’avoir de naissance quand la mère est infectée, mais les futures mères peuvent être protégées de l'hépatite B, de sorte qu’il n’y a aucun risque plausible pour le nouveau-né des mères non infectées.
Peut-être est-il logique de vacciner la femme enceinte afin de protéger son bébé ? Cette idée ne marche pas, car l’innocuité est très douteuse pour le fœtus.
Et la durée de l'efficacité du vaccin contre l'hépatite B ? On peut répondre de deux façons à cette question. Tout d'abord, même si le vaccin dure toute la vie, cela ne justifie pas de vacciner un nourrisson qui n’a même pas développé sa barrière hémato-encéphalique, en augmentant considérablement les risques.
La deuxième réponse, est encore plus convaincante : Selon la propre estimation des Centers for Disease Control eux-mêmes (qui, comme beaucoup d'entre nous en sommes conscients, sont suspects), la couverture maximale du vaccin dure 20 ans. Ainsi, juste au moment où l’enfant entre dans l’âge de la plus grande activité sexuelle, le vaccin ne procure plus aucun avantage. (Il convient de noter qu'il existe d'importantes questions quant à son efficacité, même quand il est récent.)
Il ne peut y avoir aucune justification à la vaccination généralisée des nouveau-nés contre l'hépatite B. Elle ne leur confère aucun atout possible.
Les raisons de vacciner contre l'hépatite B à la naissance
Vu l'absence totale d’intérêt du vaccin contre l'hépatite B à la naissance, pourquoi est-il pratiquement obligatoire aux Etats-Unis ? [Ndt : Il n’est pas obligatoire en France.]
La première raison, et la plus évidente, est naturellement les profits. Il y a de l'argent à gagner en assurant pratiquement que quasiment tous les nouveau-nés soient vaccinés. Il y a pourtant une possibilité encore plus perfide.
Il est désormais évident que les profiteurs de vaccins et leurs larbins gouvernementaux ne permettront pas que l’on se mette en travers de leurs profits. Tel que Jagannath Chatterjee l’a documenté dans Autisme : Conspiration du silence, peu importe que des carrières soient ruinées ou des vies détruites. Si les prébendes vaccinales sont menacées par la démonstration des préjudices des vaccins, alors cette information doit être étouffée, surtout s’il est question d'autisme.
L’une des choses que les parents d'un enfant autiste relèvent systématiquement, c'est sa normalité avant le vaccin. Leur enfant n’est pas né autiste. Ils le savent.
Seulement, si un bébé est vacciné à la naissance, il n'y a aucun moyen de savoir qu'il y a eu régression dans l'autisme. Pour les parents, il est impossible de savoir que le saccage définitif de leur enfant est dû à un vaccin fait à la naissance.
Étant donné le saccage de la réputation du Dr Wakefield et de ses recherches de haute qualité, et le fait que l'autisme a été clairement associé aux vaccinations dans d'autres études, et aussi la reconnaissance par des tribunaux spécialisés d’une relation de cause à effet entre symptômes et vaccinations, on doit se demander si le but réel d'injecter le vaccin contre l'hépatite B aux nouveau-nés n’est pas de cacher la vérité sur l'autisme, qu’il s’agit d’un état induit par les vaccins.
Par quel moyen un parent peut-il savoir que son bébé parfaitement normal a régressé dans l'autisme, plutôt que d’être né ainsi, si la régression de l'enfant a commencé avec un vaccin à la naissance ? Combien de parents d'aujourd'hui croient que leurs bébés sont nés autistes tout simplement parce qu'ils n'ont jamais eu l'occasion de le connaître normal ?
Sources : Alter Info & Gaia Health
Quel comble ! Rien que cela devrait IMMEDIATEMENT faire lever toutes les obligations de vaccination anti-hépatite B pour le personnel soignant et les autres professions concernées car il est totalement inacceptable d’obliger les gens à troquer le risque d’hépatite B contre des dommages certains au foie, qui est un organe si crucial pour notre bonne santé !
Pour les enfants également, le forcing parental pour les faire accepter le vaccin le plus combiné (l’hexavalent, avec la valence anti-hépatite B) est totalement inadmissible.
Une fois encore, on remarque que les vaccins ne résolvent RIEN mais ne font « au mieux » que créer d’autres problèmes encore plus graves. Car qui dit un foie qui fonctionne moins bien dit aussi une moins bonne détoxification du corps vis-à-vis des très nombreux polluants cancérogènes et mutagènes qui nous entourent mais également un dysfonctionnement possible de toute une série de circuits métaboliques dans lesquels le foie est impliqué (conversion des précurseurs des hormones thyroïdiennes en hormone T3 bio-assimilable ; synthèse de la coenzyme Q10 endogène et participation à la synthèse de plusieurs hormones, participation à la régulation de l’équilibre glycémique,etc etc…).
En prétendant « protéger » les gens, on les affaiblit encore donc beaucoup plus puis le système profite hélas par après, sur le plan financier, de leurs maladies en faisant vendre des médicaments aux pharmas et en faisant tourner les hôpitaux et les machines.
Les vaccins anti-hépatite B actuellement disponibles sont en outre des vaccins transgéniques (c'est-à-dire fabriqués par génie génétique, avec tous les risques propres que cela comporte bien entendu). Les premières versions sont sur le marché depuis 1986 déjà soit depuis plus de 25 ans. Et c’est seulement en 2012 qu’une étude sort sur les dégâts cellulaires objectifs que ces vaccins peuvent causer au foie, l’organe pourtant cible de cette vaccination! Les vaccins anti-HPV prétendument « contre le cancer du col de l’utérus » sont soit disant déjà étudiés depuis plusieurs années. Pourtant, des données récentes indiquent que ces vaccins peuvent aussi favoriser et augmenter les taux de frottis anormaux, dysplasies du col et de cancer du col de l’utérus liés à des souches non vaccinales mais aussi aux souches vaccinales lorsqu’une jeune fille déjà contaminée se fait malgré tout vacciner (+ 44,6% de risque !)
Tout cela suffit donc à démontrer une fois encore que les vaccins sont en réalité des produits purement expérimentaux dont on sait bien trop peu des effets possibles avant de les utiliser massivement sur le public. Et d’ailleurs, même le Dr Anne-Marie Moulin du CNRS a admis en conclusion du documentaire « Vaccins, le virus du doute », qu’ « il ne faut pas cacher au public que ces nouveaux vaccins sont des vaccins expérimentaux et que quelque part, on ne peut pas se passer d’un saut, qui est le saut dans la population pour appliquer à un grand nombre d’individus un vaccin qui, par définition, n’est pas nécessairement adapté à la constitution de chacun. »
Au prochain nouveau vaccin qu'on vous présentera, posez-vous donc la question de savoir s'il ne risque pas de faire pire que bien, et de vous faire échanger un risque incertain de maladie contre des dégâts certains de l'organe prétendûment protégé par la vaccination!