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28 mars 2019 4 28 /03 /mars /2019 22:59

Des études indiquent que les vaccins sont une cause potentielle de douleurs articulaires chez les enfants

 Tracey Watson, 18 mars 2019

Les vaccins, cause potentielle de douleurs articulaires chez les jeunes, selon des études

Beaucoup d'entre nous associons les douleurs articulaires et l'inflammation de l'arthrite aux personnes âgées, dont un grand nombre souffrent effectivement de cette maladie. En réalité, cependant, des milliers d'enfants souffrent également de douleurs articulaires débilitantes, le plus souvent sous la forme d'arthrite juvénile idiopathique (AJI).

Selon Natural Health 365, au moins 250 000 enfants américains ont reçu un diagnostic d'arthrite infantile, et leur nombre ne cesse de croître. En fait, deux fois plus d'enfants développent cette maladie comparativement aux années 1980. Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) signalent qu’il n’existe pas de traitement pour l’arthrite juvénile, et que cela peut causer des lésions physiques permanentes aux articulations, rendant les tâches quotidiennes simples comme la marche ou l’habillement cauchemardesques pour les jeunes patients.

Le CDC note sur son site Web que "la cause exacte de l'arthrite infantile est inconnue". Il ajoute cependant que cette maladie est souvent liée à un système immunitaire qui "peut ne pas fonctionner correctement", provoquant une inflammation dans diverses parties du corps, y compris les articulations. Alors, quelle pourrait être la cause de telles défaillances du système immunitaire chez les jeunes enfants? La science dit que le coupable - du moins pour certains de ces enfants - pourrait être un vaccin.

Le lien entre les vaccins et l'arthrite juvénile

Le problème des vaccins est qu’ils créent un environnement idéal pour le développement de l’arthrite chez les enfants. Natural Health 365 explique:

« La génétique et l'environnement jouent un rôle important pouvant expliquer quels sont les enfants qui risquent de souffrir d’arthrite.

En ce qui concerne les facteurs environnementaux, nous savons déjà que les infections infantiles peuvent favoriser un effet boule de neige auto-immun, un effet qui peut amener le système immunitaire d’un enfant à attaquer ses propres tissus articulaires.

Le résultat? Douleur articulaire chronique, raideur et gonflement.

Maintenant, réfléchissez à ce que font les vaccins: ils simulent une infection «contrôlée» avec le virus injecté dans le corps. Cela se fait dans l’intention pure de déclencher une réponse du système immunitaire, l’idée étant que le corps de l’enfant crée des anticorps afin que, lors de sa prochaine exposition au virus, le système immunitaire soit mieux armé pour le combattre.

Les vaccins créent donc intentionnellement un tel «effet boule de neige auto-immun».

En fait, des études ont montré que les âges auxquels le diagnostic d'arthrite infantile est diagnostiqué - entre 1 et 2 ans, puis entre 8 et 12 ans - coïncident exactement avec l'âge auquel les enfants reçoivent leurs vaccins initiaux, puis leurs injections de rappel. .

L'incidence de l'arthrite chez les enfants culmine également en hiver, à peu près au moment où des parents bien intentionnés veillent à ce que leurs enfants se fassent vacciner contre la grippe.

La preuve scientifique d'un lien

Bien qu'il existe peu d'études sur le lien entre les vaccins et l'arthrite infantile, de telles études existent néanmoins.

Par exemple, une étude intitulée «Effets indésirables associés au vaccin anti-hépatite B chez les enfants américains de moins de six ans», 1993 et 1994, publiée dans la revue Annals of Epidemiology, en 2001, a établi un lien clair entre les enfants ayant reçu le vaccin anti-hépatite B pendant la petite enfance et le développement de l'arthrite juvénile, avec un risque accru d'infections aiguës de l'oreille et de pharyngite. (Info connexe: l’utilisation abusive d’antibiotiques peut doubler le risque d’arthrite juvénile selon ce que renseigne la littérature.)

De plus, selon le site Web Drugs.com, certains effets secondaires les plus communs du vaccin antigrippal Quadrivalent Fluarix incluent : des «difficultés à bouger», des «douleurs articulaires», et de «l’enflure aux articulations».

Les vaccins pour enfants contiennent également du thimérosal (mercure) et des métaux lourds tels que l'aluminium, qui ont été associés aux maladies auto-immunes.

De toute évidence, les parents préoccupés par l'arthrite juvénile ont plus d'une raison de faire preuve de prudence avant d'autoriser leurs enfants à recevoir des vaccins.

Découvrez-en davantage sur les dangers potentiels associés à la vaccination sur Vaccines.news.

Source : Health News

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19 mars 2019 2 19 /03 /mars /2019 10:22

Nous venons d'apprendre avec une grande tristesse le décès de notre ami Michel Georget, un grand homme, scientifique rigoureux et exigeant, dont les ouvrages "Vaccinations: les vérités indésirables" et "L'apport des vaccinations à la santé publique: la réalité derrière le mythe" ont donné des clefs de compréhension à des milliers de lecteurs, y compris bien sûr à certains médecins, bien conscients de la pauvreté de leur "formation" sur les vaccins, des produits en mesure de faire basculer à jamais certaines personnes dans la maladie et ce, au prix d'une efficacité discutable, en tout cas loin d'être aussi flamboyante que ce que l'establishment tente désespérément de nous faire croire.

 

Entre croire ou savoir, Michel avait incontestablement fait le choix de la seconde option, considérant que la vaccination est un thème beaucoup trop important pour ne pas faire l'effort de s'y pencher sérieusement. Merci Michel pour tous les milliers d'heures inlassablement passées à enquêter sur cet immense scandale médico-scientifique, dont Isabelle Adjani a eu la lucidité de dire" C'est un crime contre l'immunité qui, probablement, dans les 20, 30, 40, 50 prochaines années sera/serait appelé un crime contre l'humanité."

 

 

"Les vaccinations en question": synthèse du colloque au Parlement Européen en 2002, sous la direction de Paul Lannoye, Ed. Frison-Roche (Michel Georget avait participé).

 

Notice rédigée par la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations:

 

Né en 1934, Michel Georget a fait ses études universitaires à la Faculté des Sciences de Poitiers. Agrégé en Sciences naturelles, il a enseigné la biologie dans les classes préparatoires aux grandes écoles, au lycée Descartes de Tours. Il a présidé la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations en 1992-1993. Retraité en 1994, il a consacré les années suivantes à écrire deux ouvrages précieux et accessibles au grand public :

 

«Vaccinations, les vérités indésirables » (trois éditions depuis 2007, dont la dernière début 2018), préfacé par le Professeur CORNILLOT (décédé début 2018). «L’apport des vaccinations à la santé publique, la réalité derrière le mythe » (2014).

 

Jusqu’à l’an passé, il a donné des conférences et a participé à des entretiens pour contester la généralisation des vaccins. Il a également soutenu jusqu’au bout EFVV, l’AIMSIB et de nombreuses actions pour la liberté en matière vaccinale.

 

Une grande perte…

 

Ci-dessous, voici quelques vidéos de Michel Georget, des vidéos de salut public:

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15 janvier 2019 2 15 /01 /janvier /2019 11:11

Un vaccin contre la fièvre jaune tue un célèbre cancérologue en quelques minutes

 

Le docteur Martin Gore, un célèbre cancérologue reconnu pour avoir «sauvé des milliers de vies», est décédé des suites d’une «défaillance totale d’un organe» quelques minutes seulement après avoir reçu un vaccin hier. Le Dr Gore était professeur de cancérologie à l’Institut du cancer, basé à Londres. Il « est décédé subitement hier après une vaccination systématique contre la fièvre jaune », rapporte le Times (Royaume-Uni) .

«Son décès met en évidence les risques accrus associés au vaccin pour le nombre croissant de voyageurs âgés se rendant dans des destinations exotiques», explique le journal.

Jusqu’à présent, les médias américains ont complètement obscurci l’histoire dans un effort supplémentaire visant à faire taire toute vérité sur les dangers mortels des vaccins. Il n’y a pas un seul établissement d’information aux États-Unis qui ait rapporté avec précision le décès soudain d’un cancérologue provoqué par un vaccin. En vérité, les vaccins tuent des gens , mais les médias américains dirigés par les CDC prétendent que personne ne meurt des vaccins dans le but d’induire délibérément le public en erreur, ce qui ferait encore plus de victimes par suite de blessures causées par les vaccins .

La BBC ment sur le décès du médecin, affirmant que «la cause du décès est inconnue» et élimine le mot «vaccin» de son titre.

La BBC a également tenté de cacher la vérité sur cette fatalité provoquée par un vaccin en éliminant tout mot de «vaccin» dans le titre de l’histoire annonçant sa mort. «Martin Gore, grand spécialiste du cancer chez Royal Marsden, meurt», déclare BBC News , délibérément en trompant les lecteurs, car la BBC est, bien entendu, une fausse nouvelle gérée par l’État.

La BBC affirme même à tort que «la cause de son décès n’est pas connue». Nous nous demandons ce que penserait le Dr Gore s’il savait que la BBC profite de sa mort pour promouvoir davantage de vaccins qui tueront plus de personnes tout en les enterrant. la vérité sur les risques graves associés aux vaccins.

Le quotidien britannique Daily Mail a relaté l’histoire avec une plus grande précision: «Martin Gore, âgé de 67 ans, est décédé des suites d’une défaillance totale d’un organe peu de temps après l’injection, ce qui est recommandé à quiconque se rend en Afrique subsaharienne, en Amérique du Sud et centrale et dans les Caraïbes.». Le Daily Mail cite même une étude qui décrit certains des effets secondaires graves du vaccin contre la fièvre jaune:

Les effets indésirables graves enregistrés dans l’étude comprenaient l’hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle, une invalidité permanente et le décès. Cinq personnes sont décédées des suites de cette attaque au cours de cette période.

Le Dr Martin Gore faisait partie d’une équipe d’examinateurs qui a exposé des fautes professionnelles commises au sein du Royal Marsden.

Ajoutant à l’intrigue de l’histoire, le Dr Gore a mené en 2013 une enquête qui révélait les fautes professionnelles commises par d’autres médecins du cancer travaillant à Royal Marsden. « Un grand cancérologue a admis que des erreurs avaient été commises dans les soins d’un enfant en bas âge décédé après que les médecins eurent omis de détecter son état cérébral fatal à temps pour la sauver. », Rapporte le UK Mirror . « Le professeur Martin Gore, directeur médical du Royal Marsden, qui a mené une enquête sur les soins d’Alice à l’hôpital et à l’hôpital de Kingston après sa mort, a constaté plus d’une douzaine d’échecs de la part du personnel médical. »

Le Royal Marsden est le même hôpital qui a tenté de détruire la carrière d’un chirurgien spécialisé dans le cancer, Joseph Meirion Thomas, qui a dénoncé les fraudes médicales commises à l’hôpital. Comme Natural News l’a signalé le 29 août 2015 : 

Une campagne de haine vicieuse a été menée contre un chirurgien du cancer de renommée internationale, Joseph Meirion Thomas. Au début, ses supérieurs dans le système médical ont essayé de le faire taire, mais maintenant ils ont eu recours à son licenciement.

Le courageux chirurgien âgé de 69 ans a été renvoyé de l’hôpital Royal Marsden de Londres parce qu’il avait commencé à dire la vérité sur les fautes du National Health Service (NHS) au Royaume-Uni tout en remettant en question la qualité des soins fournis par les médecins généralistes.

Par Mike Adams.

Références:

https://www.thetimes.co.uk/article/cancer-pioneer-martin-gore-dies-after-jab-for-yellow-fever-vccwwxdq2

https://www.dailymail.co.uk/news/article-6579561/Leading-cancer-expert-dies-suddenly-routine-yellow-fever-jab.html

https://www.naturalnews.com/2019-01-11-vaccine-shot-killed-famed-cancer-doctor-in-mere-minutes-total-organ-failure.html

Source: Lyme Métaux Lourds 

Voir aussi

Une femme décède après avoir reçu le vaccin contre la fièvre jaune

Un célèbre journaliste de la BBC devenu psychotique après le vaccin anti-fièvre jaune

Vaccins: une descente dans la folie [témoignage de la femme d'un ex journaliste de la BBC, victime du vaccin contre la fièvre jaune]

Vaccination contre la fièvre jaune: quel bénéfice/risque?

Vaccination des femmes qui allaitent: quels risques pour les nourrissons? (encéphalite infantile causée par le virus vaccinal de la fièvre jaune inoculé à la mère allaitante, et qui a alors contaminé son bébé)

Fièvre jaune: les rappels sont inutiles (et c'est seulement maintenant qu'on le dit!)

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1 janvier 2019 2 01 /01 /janvier /2019 18:52

Comme pour le Levothyrox, un dossier dans lequel, là encore, la composition officielle indiquée dans la notice ne correspondait pas à ce qui fut retrouvé après analyse de laboratoire indépendante (le tout couvert par l'Etat au nom du "secret des affaires"...), on a donc affaire ici à une nouvelle fraude de la part de l'industrie pharmaceutique mafieuse et des autorités de santé qui en sont complices. On vend donc aux gens un triple mensonge: que la vaccination protégera de maladies (alors qu'on ne retrouve pas trace des antigènes dans le vaccin, donc de la substance même censée "vacciner"), que la vaccination est bien étudiée et qu'elle n'entraînera pas de risque. La réalité est hélas tout autre: les vaccins entraînent des risques graves à une fréquence inacceptable, et quand on voit la soupe chimique incommensurable qu'ils peuvent contenir, comment  franchement s'en étonner..... Comme l'avait déjà dit il y a quelques années le Dr Marcia Angell, ex rédactrice en chef du New England Journal of Medicine (NEJM), "Il n'y a plus de confiance qui tienne" !!

 

Vaccingate: L'Italie découvre une fraude massive liée aux vaccins

Vaccingate: la notice du vaccin Infanrix hexa ne vous dit pas la vérité!

L’association pour la liberté de vaccination, Corvelva, fondée en 1993 et composée de scientifiques et de juristes, a annoncé avoir reçu un don de 10 000 euros de l’Ordre national des biologistes italiens le 26 octobre afin de tester la sécurité et l’efficacité des vaccins couramment utilisés pour la vaccination des enfants.

Le premier vaccin qu’ils ont testé de manière approfondie avec ce don est Infanrix Hexa, un vaccin six en un fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) qui est supposé contenir les antigènes suivants: toxoïdes du tétanos, de la diphtérie et de la coqueluche; souches virales 1-2-3 inactivées de la poliomyélite, antigènes  pour l'Haemophilius influenza de type b, et antigène de surface de l’hépatite B.

Corvelva n’a trouvé AUCUN de ces antigènes dans le vaccin, ce qui signifie qu’aucun anticorps ne serait créé contre les antigènes prévus.

Non seulement aucun antigènes vaccinaux n’ont été détectés, mais ils ont trouvé ce qui suit :

– Des traces de 65 contaminants chimiques dont 35% seulement sont connus, issus du processus de fabrication ou de contamination croisée avec d’autres chaînes de fabrication.

– Toxines chimiques.

– Toxines peptidiques bactériennes, des allergènes potentiels capables d’induire des réactions auto-immunes.

– Macromolécule insoluble et non digestible qui réagit au dosage des protéines, mais qui ne peut être reconnue par aucune base de données de protéines.

Vous pouvez trouver le résumé des premières analyses du vaccin Infanrix Hexa du groupe Corvelva sur leur site.

Ici, le rapport des premiers résultats détaillés d'analyse d'Infanrix hexa

Le 24 décembre, sur leur site, Corvelva a publié une mise à jour concernant les résultats d’analyses, débutées il y a quelques mois, du vaccin Priorix Tetra (rougeole-rubéole-oreillons-varicelle) fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK). Les analyses précédentes montraient des problèmes au niveau des mutations dans le génome des virus et au niveau des quantités absurdes d’ADN.

L’extension des analyses chimiques/protéines révèlent la présence de traces de composés de contaminants résiduels, dont des traces du médicament Vigabatrin et Gabapentine (antiépileptiques), d’un médicament expérimental anti-VIH, d’antibiotiques, d’herbicides, d’acaricides (insecticides), de métabolites de la morphine, de Viagra, … !!

La présence d’ADN fœtal en grande quantité a aussi été confirmée (1,7 µg dans le premier lot et 3,7 µg dans le deuxième lot), soit environ 325 fois la limite maximale fixée à 10 nanogrammes et 325 000 fois supérieur à la limite minimale de 10 picogrammes. Les cellules issues de bébés avortés font partie de la composition des vaccins, c’est connu et utilisé depuis les années 60.

Source : Corvelva

Conclusion: Les enfants reçoivent des vaccins qui ne contiennent pas ce que les notices indiquent (pour cause d'obligations vaccinales car bien des parents ne sont évidemment pas très enclins, et on les comprend!), les enfants sont donc des cobayes forcés et cela est inacceptable. Si les parents acceptent cela, ils sacrifient alors sciemment l'intégrité physique de leurs enfants et ils ouvrent la porte à ce qui suit, c'est-à-dire ce qui se constate déjà en Argentine, une dictature vaccinale, également pour les adultes, où Big Pharma et/ou l'Etat aura le pouvoir de vous administrer sous n'importe quel prétexte fumeux (d'urgence, fausse pandémie etc.) n'importe quel produit chimique. Il est temps de se réveiller et de prendre conscience que l'acceptation par trop de gens du principe de l'obligation vaccinale a ouvert la voie à des abus dont il ne faut pas penser naïvement qu'ils sont "réversibles", ponctuels, exceptionnels. Dans le domaine pharmaceutique, toutes les preuves sont hélas là depuis longtemps pour montrer que les malhonnêtetés sont bien plus la règle que l'exception.... L'OBLIGATION VACCINALE N'A PAS, N'A JAMAIS EU ET N'AURA JAMAIS LA MOINDRE LEGITIMITE POSSIBLE, D'AUCUNE SORTE... NULLE PART DANS LE MONDE....

 

Ci-dessous, quelques captures d'écran pour se rappeler la non surprenante similarité de ce qui se produit au niveau pharmaceutique.... malgré l'évidence d'analyses indépendantes qui démontrent noir sur blanc les mensonges des notices, les firmes continuent de nier (avec la complaisance des Etats)....

Publié par France Bleu, le 14 juin 2018

Publié par France Bleu, le 14 juin 2018

Publié par Mediacités, le 4 octobre 2018

Publié par Mediacités, le 4 octobre 2018

Publié par le Capital (Capital.fr), le 5 octobre 2018

Publié par le Capital (Capital.fr), le 5 octobre 2018

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13 décembre 2018 4 13 /12 /décembre /2018 22:39

Un de nos lecteurs médecin- que nous remercions- a eu la gentillesse de nous faire parvenir l'information importante suivante: le CDC américain dont on connaît pourtant les liens troubles avec les pharmas et avec l'idéologie vaccinale (cf notamment le documentaire Vaxxed) a donc modifié et élargi, dans une mise à jour du 12 février dernier, la liste des contre-indications à la vaccination rougeole-oreillons-rubéole (ROR), lesquelles incluent donc désormais aussi:  un historique de problème immunitaire chez un parent ou dans la fratrie.

 

Ceci inclut donc un nombre potentiellement très important de maladies avec composante immunitaire ou auto-immune: sclérose en plaques, diabète de type I, lupus, thyroïdite de Hashimoto, spondylarthrite ankylosante, maladie de Crohn, maladie coeliaque, rectocolite hémorragique, polyarthrite rhumatoïde, autisme, périartrite noueuse (PAN), PANDAS, asthme, rhinite allergique, eczéma, vitiligo, psoriasis,.... autrement dit, un nombre énorme de personnes et d'enfants concernés, l'édifice vaccinaliste s'effritant véritablement de toutes parts....

 

Parmi les risques graves (autre qu'auto-immunitaires et immunitaires) pour les sujets vaccinés, la page du CDC mentionne "la surdité, les convulsions à long terme, le coma, la baisse de conscience et les dommages cérébraux" même s'ils estiment que "recevoir le vaccin ROR est beaucoup plut sûr qu'attraper la rougeole, les oreillons ou la rubéole" (ce qui reste évidemment d'autant plus à prouver après avoir visionné le documentaire Vaxxed, qui a montré à souhait à quel point cette instance a déjà couvert une fraude criante au sujet de ce même vaccin ROR, consistant à dissimuler un sur-risque exorbitant d'autisme, tout particulièrement pour les enfants afro-américains vaccinés...)

 

Lire la fiche du CDC mise à jour du vaccin ROR

 

PS: Il faut croire que les avis (datant d'il y a déjà une dizaine d'années!) comme celui qu'avait donné la Dre Bernadine Healy, ex Directrice du National Institute of Health (NIH), laquelle s'indignait que tellement d'enfants seraient sacrifiés par une vaccination aveugle sans prise en compte suffisante de contre-indications, ait fini par trouver un certain écho, quelques dizaines de milliers de victimes innocentes plus tard.... visionnez sans attendre, si vous ne l'aviez pas encore fait, cette courte vidéo sous-titrée en français pour comprendre l'immense gâchis de santés qu'on aurait tellement pu éviter depuis toutes ces années, avec plus de bon sens, d'intelligence et de coeur et moins d'idéologie:

NB: Correctif sur la date (celles-ci étant inversées aux USA mais cela ne change rien au fond): la mise à jour par le CDC datant du 12 février et pas du 2 décembre 2018

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4 décembre 2018 2 04 /12 /décembre /2018 21:55

Une vidéo (certes de quasi 2H), pour ne plus jamais vous faire embobiner par quelque discours simpliste sur le sujet du moindre médecin, "expert" officiel, médecin ONE/PMI etc....

 

Source: Agoravox

 

Voir aussi ici Le documentaire "L'aluminium, les vaccins, et les deux lapins"

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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 22:53

Un manque d’études sur la sécurité des vaccins dans :

Questions éditoriales du British Medical Journal (BMJ)

By TVR Staff, 14 nov. 2018

Editorial du British Medical Journal: pas assez d'études pour affirmer la sécurité des vaccins

Dans un éditorial publié dans le British Medical Journal et intitulé : « Nous avons besoin d’un aperçu des politiques et des programmes de vaccination », Allan Cunningham, MD écrit qu’il souscrivait au récent témoignage de Bernadette Pajer,  paru de l’Informed Choice Washington, à l’adresse du Conseil de santé de l’Etat de Washington concernant la nécessité d’examiner de manière réfléchie l’effet des politiques de vaccination sur le public américain. [1,2,3]

Le Dr Cunningham a déclaré : «  Bernadette Pajer a absolument raison de reprocher à la communauté médicale de ne pas avoir pris du recul pour examiner l’impact global des programmes de vaccination sur la santé publique. » [1]

Le Dr Cunningham a déclaré que, tout en estimant que les vaccins avaient contribué à la réduction de l’incidence de maladies infectieuses, telles que la rougeole et la polio, il était important d’inclure une évaluation des «effets bénéfiques ou néfastes non spécifiques à plus long terme » des programmes de vaccinations actuellement recommandés. Il a déclaré : « A mesure que les calendriers de vaccination se sont développés, notre ignorance des risques et des avantages globaux s’est également élargie. » [1]

Le Dr Cunningham semble craindre que la science vaccinale, comme celle de leurs effets secondaires ne soit pas aussi bien définie que le pensent beaucoup de responsables de la santé publique, ainsi que des médecins. Il a cité un lien présumé entre les vaccins et l’autisme. « Je doute que les vaccins soient une cause majeure de l’augmentation de l’autisme, mais sans essais contrôlés, nous ne pouvons ni prouver, ni exclure le lien de causalité, contrairement à ce que nous disent sans cesse les autorités responsables de la politique vaccinale », a déclaré Cunningham, qui a cité une étude marquante de la sante publique.

L’épidémiologiste Andrew Mawson compare les résultats pour la santé des enfants vaccinés et des enfants non vaccinés. [1]

« Une étude menée auprès d’enfants américains scolarisés à domicile a révélé que les troubles du développement neurologique, y compris l’autisme, étaient 3 à 4 fois plus fréquents chez les enfants vaccinés que chez les enfants non vaccinés : p<0,001. Les enfants partiellement vaccinés présentaient des risques intermédiaires », a déclaré Cunningham. [1,4]

Selon Claire Dwoskin, fondatrice de l’Institut de recherche sur la sécurité médicale des enfants (CMSR), « l’étude [Mawson] a conclu que les enfants vaccinés étaient beaucoup plus susceptibles d’avoir reçu un diagnostic de maladie chronique (y compris des allergies et des troubles de l’apprentissage) que des enfants non vaccinés. En outre, 7,5% des 666 enfants de l’étude avaient été diagnostiqués avec un trouble neurodéveloppemental (DDN). » [5]

Cunningham a également évoqué les « maladies mystérieuses » et le peu d’attention qui a été prêté à la possibilité d’une association avec des vaccins ou le calendrier de vaccinations. Il a souligné :

« Il existe d’autres « maladies mystérieuses » telles que le syndrome de la mort subite du nourrisson (SMSN) et la maladie de Kawasaki qui ont été associées à la vaccination, et qui ont été rejetées par les autorités responsables, là encore sans essais contrôlés. La dernière maladie mystérieuse est la myélite flaccide aiguë (MFA). Cette maladie affecte principalement les enfants qui rentrent à l’école en septembre. Un rôle a été suggéré par rapport aux vaccinations : la « paralysie par provocation ». Jusqu’à présent, les autorités de santé publique n’en ont pas encore étudié la possibilité. » [1]

Cunningham a spécifiquement cité le cas de Jonathan Daniel Ramirez Porter, âgé de 6 ans, habitant Ferndale, dans l’état de Washington, et qui est décédé des suites d’une « maladie de type MFA avec encéphalite. » le 30 octobre 2016. «  Il avait reçu plusieurs vaccins, dont un vaccin contre la grippe, 14 jours avant le début de la maladie qui lui fut fatale, écrit Cunningham ». [1,6]

Les vues de Cunningham coïncident avec celles de Barbara Loe Fisher du Centre national d’information sur les vaccins (NVIC), qui a souvent souligné le problème de la pénurie d’études méthodologiques épidémiologiques, biologiques et rationnelles pouvant démontrer clairement la sécurité des vaccins pour les enfants.

En 2013, Fisher a déclaré que l’Institut de médecine (IOM) avait « souligné à maintes reprises l’étonnant manque d’études scientifiques de qualité qui pourraient prouver la sécurité du nombre de doses recommandées par le CDC et du calendrier de vaccinations des enfants de 0 à 6 ans. »

Le comité a confirmé l’existence d’importantes lacunes dans les connaissances, en particulier concernant les enfants présentant une susceptibilité biologique accrue aux réactions et aux dommages dus à la vaccination. [7,8]

Références :

1 Roy We DO need a broad look at vaccination policies and programsThe BMJ Sept. 25, 2018.
2 Informed Choice Washington. 
Brave Mom Exposes Vaccine Corruption to Washington Board of HealthThe Vaccine Reaction (via YouTube.com) Nov. 7, 2018.
3 Informed Choice WA. InformedChoiceWA.com.
4 Mawson AR, Ray BD, Bhuiyan AR, Jacob B. 
Pilot comparative study on the health of vaccinated and unvaccinated 6- to 12-year-old U.S. children.  J Transl Sci 2017; 3:1.
5 Dwoskin C. 
First of Its Kind Survey Shows Vaccinated Children Get SickerThe Vaccine Reaction Aug. 19, 2017.
6 Hurley D. 
More cases reported of a mysterious polio-like illness that killed a 6-year-oldThe Washington Post Nov. 3, 2016.
7 Fisher BL. 
IOM Issues Report on Safety of the Child Vaccine Schedule: When Will the Real Science Begin? NVIC Newsletter Jan. 16, 2013.
8 Cáceres M. Safety of Childhood Vaccination Schedule Still UnprovenThe Vaccine Reaction Jan. 10, 2018.

9 Responses to "BMJ Editorial Questions Lack of Vaccine Safety Studies"  

 

Source : The Vaccine Reaction

 

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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 13:18

Le Mans : lourdement handicapé après son vaccin contre la variole, il demande 400.000 € à l’Etat

Lu sur Actu.fr, 6 nov. 2018. 

Un habitant du Mans, lourdement handicapé après son vaccin contre la variole en 1969, a porté l'affaire devant la justice. Il a partiellement obtenu gain de cause.

La cour administrative d’appel de Nantes a donné en partie raison, ce lundi 5 novembre 2018, à un quinquagénaire du Mans(Sarthe), handicapé à 70 % depuis qu’il a reçu le vaccin obligatoire contre la variole en octobre 1969 à l’âge de 10 mois.

Cet habitant du Mans avait 10 mois quand il a reçu le vaccin qui allait ruiner sa vie

Cet habitant du Mans avait 10 mois quand il a reçu le vaccin qui allait ruiner sa vie

Bertrand – représenté en justice par sa mère, devenue sa représentante légale – demandait initialement une provision de 400.000 € à l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) après l’aggravation de son état de santé en décembre 2009 : alors âgé de 41 ans, il avait commencé à perdre la vue, ce qui l’avait privé de la possibilité de conduire.

Un an plus tard, une « hypoacousie » l’avait contraint à porter une prothèse auditive.

Un coma après sa vaccination et une chute en 1969

Pour rappel, ses tout premiers symptômes étaient survenus une semaine après sa vaccination, en 1969, quand il était encore enfant : il avait fait sans raison apparente deux chutes dans la même journée. La seconde avait alors entraîné un coma, avec une hémorragie méningée et un hématome sous-dural.

En avril 2018, le juge des référés du tribunal administratif de Nantes n’avait donc accordé qu’une provision de 50.000 € au requérant.

L’Oniam avait fait appel de la décision, estimant que l’indemnisation devait se limiter à 20.000 € tout au plus : son état initial était « particulièrement lourd » et avait été jugé « consolidé » en 1986, il y a trente-deux ans.

La mère de Bertrand avait également contesté cette ordonnance, pour que le montant alloué à son fils soit sensiblement réévalué.

"Il n’est pas contesté (…) que les troubles visuels et auditifs subis par M. Hérault (…) constituent une aggravation de son état de santé en lien avec l’accident dont il a été victime à la suite d’une vaccination obligatoire, dont les conséquences doivent être prises en charge (…) par la solidarité nationale », tranche la cour administrative d’appel de Nantes.

 « En l’état de l’instruction, l’existence d’un préjudice d’agrément, d’une perte de revenus et d’un préjudice professionnel n’est pas établie, en l’absence (…) de pièces justificatives », poursuivent les juges.

En revanche, (…) M. Hérault a subi (…) un déficit fonctionnel temporaire qui s’ajoute au déficit fonctionnel permanent arrêté en 1986. »

L’aggravation de son handicap, passé de 60 à 70 %, nécessite ainsi l’assistance par une « tierce personne » trois heures de plus dans la semaine.

La cour administrative d’appel de Nantes a donc porté à 80.000 € la provision que l’Oniam devra verser à la mère du requérant. A cette somme, devront s’ajouter 1.500 € pour ses frais de justice.

Compte-rendu Guillaume Frouin/ PressPepper  

Source: Actu.fr

L'encadré ci-dessous ainsi que l'image ne sont pas de l'article original:

Cette décision est absolument capitale car elle montre plusieurs choses :

- La prétendue  « solidarité » évoquée par les officiels pour pousser un max de gens à se faire vacciner est évidemment un leurre géant (puisque par la suite, quand le mal est fait, l’ONIAM donc l’Office d’indemnisation des accidents médicaux, organisme d’Etat, agit CONTRE l’intérêt des patients en faisant des pieds et des mains pour payer le moins possible et tout contester !)

- Les vaccins obligatoires constituent, de par leur risques graves évidents, en mesure de ruiner des vies et des familles entières, une atteinte à l’intégrité physique et au respect de la vie privée et familiale.

- Il doit y avoir un nombre très nettement supérieur à ce que vous auriez pu penser en première intention de personnes abîmées, handicapées à 70,80,90% ou + qui moisissent dans leur coin, sans aide suffisante parce qu’elles ou leurs parents ont été manipulés par le corps médical, constamment dans le déni au sujet des risques vaccinaux graves. Imaginez un peu si toutes les victimes graves saisissaient la justice… le mythe des « grands vaccins sauveurs » s’effondrerait instantanément…

- L'élargissement des obligations vaccinales va inévitablement multiplier des cas comme celui-là, que cela soient avec de futures actions en justice ou "des cas de l'ombre" avec la même détresse, mais la médiatisation en moins.

- Cette décision montre aussi qu’il y a moyen de saisir la justice longtemps après le préjudice vaccinal et attire l’attention aussi sur les effets à long terme des vaccins : bien loin des seules « douleur, rougeur au point d’injection ou fièvre », il y a quantité d’effets neurologiques, auto-immuns et autres qui seront à subir toute une vie durant, comme conséquence de la folie furieuse vaccinaliste qui a cru agir avec discernement, en réalité au nom d’un scientisme qui ne dit pas son nom.

 

Voir aussi

Variole: aveux explosifs a posteriori sur le vaccin

 

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Vacciné contre la variole, un laborantin se pique et l'attrape quand même

 

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Leicester: haut lieu de la résistance à l'idéologie vaccinale

 

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6 novembre 2018 2 06 /11 /novembre /2018 12:08

Un nourrisson de 14 semaines en bonne santé reçoit 8 vaccins et meurt en moins de 24 heures

                                        Melissa Curtin, 19 octobre 2018

Décès d'un nourrisson de 14 semaines, né en bonne santé, moins de 24H après ses 8 vaccins

Matthew et Angeline Le Grange d’Afrique du Sud ont récemment perdu leur plus jeune fils, Malakai, après les 8 vaccins qu’il reçut le 22 septembre 2018. Il n’avait que trois mois et demi. Malakai était un bébé dynamique, heureux et en bonne santé, et pour qui les parents avaient pris rendez-vous pour sa visite médicale de 14 semaines. Malakai est décédé un jour après avoir reçu son dernier vaccin.

Aucune famille ne devrait jamais avoir à enterrer son enfant à la suite du processus destructeur de la vaccination. Les histoires de familles déchirées liées aux décès d’enfants à travers le monde continuent d’être rapportées, criées aux quatre coins du monde. Nous avons plus d’une douzaine de ces histoires de décès liés aux vaccins uniquement sur ce site web. Nous voudrions vous prier d’écouter nos voix, les voix de parents qui évoquent leur agonie, leur chagrin, leurs larmes. La douleur que doivent supporter ces papas et ces mamans est insondable et insupportable. Pourtant ces récits émanent de parents désintéressés qui ont le coeur brisé, mais qui ont décidé de parler de leurs tragédies pour que d’autres soient, à temps, informés et avertis.

Malakai Le Grange est né le 12 juin 2018 à l’hôpital de Pretoria en Afrique du Sud. Il pesait 4,1 Kg et mesurait 55 cm. Notre petit garçon, en très bonne santé, était nourri au sein et grandissait rapidement. Il a eu un moment quelques coliques, mais à part cela, il n’était que sourires.

C’est le 21 septembre que ses parents l’ont amené à la clinique Dis-Chem pour son bilan de 14 semaines et pour ses vaccinations. On lui a administré le vaccin Rotavirus par voie orale, le Prevenar 13 dans la cuisse droite et une troisième dose de l’hexavalent (DTaP-IPV-Hib-HBV) dans la cuisse gauche.

Son carnet de vaccinations montre qu’à la naissance, il a reçu le vaccin BCG (tuberculose) et la première dose du VPO. A six semaines, il reçut la seconde dose du VPO, sa première dose du Rotavirus, le Prevenar 13, et sa première dose d’Hexavalent (DTaP-IPV-Hib-HBV). Lors de sa visite de 10 semaines, il a aussi reçu la deuxième dose de l’Hexavalent (DTaP-IPV-Hib-HBV).

Décès d'un nourrisson de 14 semaines, né en bonne santé, moins de 24H après ses 8 vaccins

L’infirmière a demandé à Angeline, la maman, de lui donner une dose de Calpol de 3,5ml dès le retour à la maison.- Angeline était seule avec Malakai lorsque l’infirmière lui a administré les vaccins. L’infirmière était assez agitée lorsqu’elle a tiré sur les jambes du bébé pour lui injecter les vaccins. J’ai eu l’impression qu’elle avait malmené le corps de notre petit.

Environ deux heures après que Malakai eut reçu ses injections, Angeline lui a administré une dose de 2 ml de Calpol et a étroitement surveillé son petit garçon, car il lui semblait que Malakai n’était plus lui-même. Malgré tout, nous avons considéré cette situation comme normale, car notre fils aîné Zachariah (20 mois) avait été comme un peu sonné après avoir été vacciné.

 

 

Ce soir là, Malakai est resté éveillé un peu plus tard que d’habitude et nous avons joué avec lui. Nous avons essayé de le divertir ; nous lui avons chatouillé les orteils et avons apprécié de retrouver son rire et les petits bruits qu’il émettait. . Le 22 septembre, vers 3 heures du matin il a pris le sein pour la dernière fois. Vers 4 heures du matin, Malakai s’est réveillé; il semblait avoir faim. Aux alentours de 6h45, la maman se réveilla parce qu’elle sentait que quelque chose n’allait pas. Après s’être levée, elle remarqua que Malakai ne se réveillait pas et ne respirait plus.  « Nous avons tenté de réanimer le petit et avons remarqué que ses poumons semblaient fortement encombrés. Nous nous sommes précipités vers la voiture pour conduire au plus vite Malakai à l’hôpital le plus proche. Les médecins et les infirmières ont tenté de réanimer le petit de toute urgence. Après ce qui nous a paru être des jours entiers, les médecins sont venus nous trouver pour nous dire  qu’ils avaient fait tout ce qui était possible, mais le petit avait manqué d’oxygène au cerveau et ils avaient finalement dû abandonner. Ils ont déclaré que Malakai était mort à 8h.10, le 22 septembre 2018.

 

 

Les infirmières nous ont introduits dans une chambre privée pour nous permettre de dire « au revoir » à notre petit garçon. Elles ont ensuite appelé le médecin légiste et la police, car ils disaient que la mort du petit n’était pas naturelle.

Comme il y eut un problème de communication entre l’hôpital et la police, nous avons dû attendre quatre heures dans cette chambre froide avec le corps de notre petit. Nous avons tenu ses petites mains qui sont vite devenues froides puis raides. Du sang et du mucus sortaient de la bouche de Malakai. Finalement son petit corps fut emmené pour l’autopsie afin d’établir la cause du décès. - Nos vies venaient d’être détruites. Bien que nous ayons perdu notre petit, il nous fallait encore être forts pour notre premier-né qui voyait son père et sa mère se séparer. Il n’arrêtait pas de réclamer son petit frère. - Nous avons dû aller identifier le corps de Malakai à la morgue. La pathologiste a voulu parler en privé avec Matthew, le papa. Elle voulait des informations générales sur la grossesse, et lui a demandé combien de temps le bébé avait été malade. Elle a eu l’air choquée quand Matthew lui a dit que le bébé allait parfaitement bien avant les vaccinations. Elle n’avait pas trouvé la cause du décès, mais avait découvert un gonflement du cerveau ainsi qu’une accumulation de liquide dans le cerveau, des contusions au niveau des poumons qui étaient assez encombrés. Elle avait pris tous les échantillons nécessaires pour envoyer au laboratoire. Matthew a ensuite été conduit dans une autre pièce pour y être identifié.

Matthew, le papa : j’ai regardé au travers d’une petite fenêtre et ai pu voir mon petit garçon enveloppé dans des couvertures de l’hôpital. Il avait l’air très paisible, mais ses lèvres étaient violètes. La pathologiste a eu la gentillesse de couvrir les parties du corps qui avaient été ouvertes pour l’autopsie… Aucun père, ni aucune mère ne devraient jamais voir leur enfant en pareilles conditions.

 

 

Un enquêteur a contacté Angie et a pris sa déclaration. Il allait faire en sorte que l’enquête soit réglée le plus rapidement possible. Mais il a averti la maman que les analyses de sang, ainsi que les autres échantillons prélevés pourraient prendre jusqu’à neuf ans, étant donné les problèmes avec les services de médecine légale en Afrique du Sud.

Nos vies ont été déchirées quand nous avons tenté de réanimer notre petit Malakai. L’identification de son corps à la morgue nous a plongés dans une grande fatigue, ainsi que dans une terrible dépression.

Décès d'un nourrisson de 14 semaines, né en bonne santé, moins de 24H après ses 8 vaccins

Dans la suite, nous avons contacté beaucoup de mamans qui ont perdu un enfant de la « mort subite du nourrisson » ou de cause inconnue. TOUTES ont perdu leur enfant dans les 24 heures qui ont suivi la vaccination. Nous essayons de notre mieux de leur venir en aide, alors que nous nous battons nous-mêmes à chaque instant pour tenir le coup. En nous demandant si nos vies pourraient, un jour, redevenir normales.

Malakai était un bébé en bonne santé avant ses injections. Nous avons pris une vidéo de lui la nuit précédant son décès et vous pouvez le voir soulever son corps et rire avec nous. Découvrir son corps sans vie nous a pratiquement rendus fous. 

Les parents de Malakai :

Quelque chose ne va pas du tout avec la mort de tous ces bébés en bonne santé. Ces drames ne sont pas rares du tout; cela se passe quasi tous les jours. Le drame, c’est que nos enfants meurent ! Nous devons nous aider les uns les autres.

Source: Stopmandatoryvaccination

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16 septembre 2018 7 16 /09 /septembre /2018 17:45

Plaidoyer de Robert KENNEDY Jr.

Dégradation de la santé des enfants, ses causes et exigence de justice pour tous les enfants du monde

Jusqu’à mon dernier souffle je me battrai pour la santé des enfants

Jusqu’à mon dernier souffle je me battrai pour la santé des enfants

Je me rappelle parfaitement du jour où mon premier enfant est né. Je n’avais qu‘un seul souhait : qu’il soit en parfaite santé. J’ai beaucoup prié pour cela. D’une certaine manière, peu importait que ce soit un garçon ou une fille, qu’il ou elle soit sportive, étudiante. Je voulais avant tout un bébé heureux et en parfaite santé.

Je puis à peine imaginer le déchirement intérieur, le bouleversement des parents qui, un jour, découvrent le délabrement de la santé de leur enfant, surtout quand ils réalisent que toutes ces souffrances auraient pu être évitées.

Je m’appelle Robert Kennedy Jr. Je suis le président du groupe d’avocats qui s’occupent de la protection de la santé des enfants.

Une génération de malades

La plus grande crise à laquelle doit faire face l’Amérique et qui est sûrement aussi importante et aussi grave que la crise environnementale, c’est l’épidémie de maladies chroniques qui frappe les enfants américains. La génération des enfants américains nés depuis 1990 est vraisemblablement la génération la plus malade de toute l’histoire de notre pays : maladies chroniques, nombre de troubles divers parmi les plus élevés du monde.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Selon le CDC (Centre de contrôle des maladies) 1 enfant sur 6 a reçu un des diagnostics suivants : troubles du développement, autisme, troubles de l’apprentissage, troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité.

Selon le Ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) 54% des enfants américains souffrent de maladies chroniques comme l’arthrite juvénile ou le diabète.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Une soupe toxique

Aujourd’hui, nos enfants évoluent dans un environnement toxique. Il faut absolument que le monde scientifique s’occupe de ce problème. Il nous faut absolument savoir quels sont les produits chimiques auxquels sont exposés nos enfants et qui provoquent leurs problèmes de santé.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Les 54% des enfants qui souffrent de maladies chroniques ne représentent qu’une partie de ce drame.

On enregistre également une baisse sérieuse du quotient intellectuel des enfants de la planète entière. Les chercheurs incriminent des facteurs environnementaux, comme aussi divers types d’éducation, bien avant toute origine génétique.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Comment se fait-il que nos Agences fédérales ne s’évertuent pas à poser les questions essentielles ?

Qu’est-ce qui endommage vraiment la santé de nos enfants?

Il nous faut obtenir des réponses et tout faire pour empêcher que nos enfants soient exposés à tous ces dangers.                                                               

Et la justice ?

J’ai décidé de me battre pour vous, pour vos enfants. J’ai, pour cela besoin de votre soutien parce que les forces auxquelles je suis confronté sont celles-là même qui ont été capables de compromettre toutes les principales institutions de notre démocratie.

Les personnes qui se dressent contre elles finissent par être brisées, broyées.

Mais je sais comment m’y prendre pour les combattre parce que j’ai passé ma vie à lutter contre les pires scandales, les tyrans et les brutes. C’est à ce genre de personnes que souvent nous avons affaire. C’est cette même espèce que nous combattons ; ces gens puissants et arrogants qui croient pouvoir écarter tout ce qui se trouve sur leur chemin. C’est dans cet esprit qu’ils n’hésitent pas à détruire la santé de nos enfants.

Nous voulons protéger nos enfants

Je ne permettrai pas à ces gens de continuer à faire ce qu’ils font, et pour cela je me battrai jusqu’au dernier jour de ma vie, jusqu’à l’épuisement de mes forces pour qu’enfin justice soit rendue, pour que nous puissions donner naissance à une génération d’enfants en parfaite santé, protégés à jamais de tous ces troubles neurologiques et autres maladies.

Je passerai le restant de mes jours à me battre pour pouvoir être certain qu’aucun enfant de notre pays ou d’ailleurs ne souffre encore de tous ces problèmes parfaitement évitables. Je me battrai jusqu’au bout, de mes forces pour tous ces enfants.

Mauvaise santé alarmante des enfants: l'appel pressant de Robert Kennedy

Pouvons-nous encore sérieusement oser prétendre que les vaccins ne font pas partie de cette soupe toxique, tristement imposée aux enfants dès leurs premiers jours de vie?

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