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9 mars 2018 5 09 /03 /mars /2018 12:34

La "belle" grande crasse des vaccins: induction de lésions rénales (syndrome néphrotique) chez les enfants après le vaccin Bexsero, vaccin contre la méningite à méningocoque de type B.... une maladie excessivement rare agitée comme épouvantail et dont le vaccin peut donc valoir aux enfants d'être gavés de corticostéroïdes et d'immunosuppresseurs pour sauver leurs reins! Mais on dit ne pas savoir d'où ça vient alors que ce vaccin contient de l"aluminium +++ et que cette substance est AUSSI un poison pour les reins.... 

Vaccin Bexsero contre la méningite de type B et dommages rénaux chez les enfants

Enquête épidémiologique sur l’association entre le vaccin Bexsero et le syndrome néphrotique

Lire le document

En mai 2014, les jeunes de 2 mois à 20 ans de la région du Saguenay−Lac-Saint-Jean ont été vaccinés avec le nouveau vaccin à 4 composantes contre le méningocoque de groupe B (4CMenB) commercialisé sous le nom de Bexsero. En raison de l’expérience clinique limitée avec ce vaccin, une surveillance active concernant la sécurité de ce vaccin a été réalisée.

Trois cas de syndrome néphrotique (SN) ont été rapportés pour la période de six mois suivant la deuxième dose de vaccin parmi les ~10 000 participants à la surveillance active. Ceci correspondait à une incidence de 60 par 100 000 personnes-années (p.-a), ce qui est élevé par rapport à l’incidence attendue de 1 à 4 par 100 000 p.-a.

Le SN est un problème rénal qui cause une perte de protéines dans les urines, une baisse des protéines plasmatiques et un œdème généralisé.

Dans le contexte où une campagne de vaccination des enfants âgés de 2 mois à 4 ans était en cours dans une autre région, le Directeur national de santé publique du Québec a mandaté la tenue d’une enquête épidémiologique pour clarifier l’excès de cas de SN possiblement liés au vaccin contre le méningocoque de sérogroupe B, identifier les facteurs de risque associés au SN et apporter les interventions appropriées le cas échéant.

Résultats : La révision des dossiers médicaux des trois cas identifiés par la surveillance active a montré qu’ils répondaient bien à l’ensemble des critères (oedème généralisé, hypoalbuminémie à < 30g/L et protéinurie à ≥ 3 g/L) définissant un SN confirmé.

À partir du fichier administratif des hospitalisations au Québec (MED-ÉCHO), l’enquête a identifié les patients âgés de 20 ans et moins hospitalisés pour une 1ière fois avec un SN. Au Québec il y a eu 408 cas hospitalisés entre avril 2006 et mars 2016 (10 ans), soit un taux d’hospitalisation de 2,23 par 100 000 p.-a. Ce taux était semblable à celui du Saguenay−Lac-Saint-Jean au cours des huit années précédant la campagne de vaccination (2,03 par 100 000 p.-a). Par contre, chez les jeunes de 1 à 9 ans, le taux provincial était deux fois plus élevé que celui du Saguenay−Lac-Saint-Jean (3,5 vs 1,6 par 100 000 p.-a).

Cette enquête a identifié un quatrième cas confirmé de SN vacciné qui n’avait pas participé à la surveillance active. Les quatre cas confirmés de SN étaient âgés de 2 à 5 ans et aucun n’avait d’antécédent de maladie rénale. Deux patients ont commencé leurs symptômes avant de recevoir la 2e dose. Trois patients ont été hospitalisés et l’autre a été traité de façon ambulatoire. Aucun des patients n’a eu de biopsie rénale, mais comme ils ont bien répondu aux corticostéroïdes, le diagnostic présomptif est un syndrome néphrotique à lésions minimes. Un patient a présenté des récidives et doit prendre un traitement d’immunosuppresseurs.

Avec 4 cas chez les vaccinés au cours des 13 mois suivant le début de la campagne de vaccination, le taux d’incidence dans la région 02 a été de 7,5 par 100 000 personnes-années (IC 95 % 2,4 à 18,2) pour les 0 à 20 ans, mais 16,3 par 100 000 (IC 95 % 5,2 à 39,4) pour les 1 à 9 ans où se retrouvent tous les cas.

Lorsqu’on exclut le cas ambulatoire, le taux d’hospitalisation des jeunes vaccinés âgés de 1 à 9 ans était de 12,3 par 100 000 p.-a (IC 95 % 3,1 à 33,4), ce qui est significativement plus élevé que celui observé dans ce groupe d’âge de cette région au cours des 8 années précédant la campagne (rapport de taux d’hospitalisation 7,65, IC 95 % 1,02 à 57,09). Ce taux était aussi 3,5 fois plus élevé que le taux provincial, mais sans atteindre le seuil de signification statistique (p = 0,11).

Conclusion : Avec seulement quatre cas, même si les probabilités atteignent le seuil de signification statistique habituel, on ne peut exclure que cette association puisse être due au hasard. Bien qu’il n’existe pas pour le moment de mécanisme connu qui pourrait fournir une plausibilité biologique à un lien causal, l’identification de quatre cas est un signal préoccupant compte tenu de la rareté du SN. Pour confirmer ou infirmer si ces cas sont réellement dus au 4CMenB, il faudra voir si cette association se manifeste aussi dans d’autres pays ou territoires où ce vaccin est administré aux jeunes de 1 à 9 ans.

Même si des études futures confirmaient que le 4CMenB est associé au SN, l’utilisation du 4CMenB continuerait d’être justifiée lors d’éclosions de méningocoque de sérogroupe B ou lorsqu’il y a une forte incidence en raison du haut taux de mortalité et des graves séquelles causées par ces infections.

Source : Institut National de Santé Publique du Québec (INSPQ)

Voir aussi

Méningite C: le vaccin + risqué que la maladie (les chiffres sont là!)

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

Dr Saluzzo (de Sanofi Pasteur): "On ne sait pas comment marchent les vaccins!"

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

In vitro studies of aluminium-induced toxicity on kidney proximal tubular cells

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9 février 2018 5 09 /02 /février /2018 10:35

L’ancien médecin de Bill Gates dit que le milliardaire « a refusé de vacciner ses enfants »

Dmitri Baxter, 7 février 2018

Bill Gates, son épouse et leurs trois beaux enfants qu'ils ne voulaient surtout pas voir souillés par les vaccins-poisons

Bill Gates, son épouse et leurs trois beaux enfants qu'ils ne voulaient surtout pas voir souillés par les vaccins-poisons

Le médecin qui a officié comme médecin privé de Bill Gates à Seattle dans les années 90’ dit que le fondateur de Microsoft et défenseur des vaccins « a refusé de vacciner ses propres enfants » quand ils étaient petits.

« Je ne sais pas si ceux-ci ont été vaccinés à l’âge adulte, mais je peux vous dire qu’il a refusé de les vacciner quand ils étaient enfants », a dit le médecin lors d’un symposium médical à huit clos à Seattle, ajoutant que « c’était des enfants magnifiques, très intelligents et vifs, et il a dit que c’était bien comme ça, et qu’ils n’avaient pas besoin du moindre vaccin ».

Les commentaires ont provoqué une agitation chez les médecins lors du symposium avec des allégations qu'il rompait la confidentialité médecin-patient, selon les rapports. Cependant, comme il parlait à d'autres médecins, il ne violait pas le code de conduite de l'industrie. Gates a trois enfants avec sa femme Melinda - Jennifer, Rory et Phoebe - nés entre 1996 et 2002, et selon son ancien médecin, ils sont tous non vaccinés et en bonne santé.

La nouvelle que Bill Gates ne vaccine pas ses propres enfants, bien qu'il soit le militant le plus actif au monde pour les vaccinations obligatoires, ne devrait pas surprendre. Des études prouvent que l'élite ne vaccine pas ses enfants. Mais en même temps, ils s'attendent à ce que les masses vaccinent les leurs.

L'élite ne vaccine pas

En Californie, les enfants les plus susceptibles d'être non vaccinés sont blancs et proviennent des familles les plus riches de Los Angeles, selon une étude récente. Le pourcentage de jardins d'enfants bénéficiant d'exemptions de croyances personnelles émises par l'État a doublé entre 2007 et 2013, passant de 1,54% à 3,06%. C'est environ 17 000 des enfants les plus riches, sur plus d'un demi-million, qui se retirent de la vaccination. Selon CNN, les pourcentages d'exonération de vaccins étaient les plus élevés dans la plupart des quartiers blancs à revenu élevé tels que le comté d'Orange, Santa Barbara et certaines parties de la Bay Area.

L'étude, qui a été publiée dans le American Journal of Public Heath, a examiné plus de 6 200 écoles californiennes et constaté que les exemptions de vaccins étaient deux fois plus fréquentes chez les enfants d'âge préscolaire fréquentant des établissements privés. «Les parents très riches et privilégiés aiment l'idée de l'immunité collective, mais ils ne veulent pas prendre les risques associés à la vaccination lorsqu'il s'agit de leurs propres enfants. Ils s'inquiètent des réactions défavorables comprenant l'autisme. »

Source : Yournewswire.com

Propos tenus par Bill Gates lors d'une conférence en février 2010 (TED):

Certains commentateurs ont tenté de couvrir Bill Gates en disant que les vaccins aidant les enfants à survivre, les familles pauvres auraient alors moins besoin de faire autant d'enfants. Cette nouvelle info sur le statut vaccinal de ses propres enfants ne plaide absolument pas en faveur de cette interprétation complaisante...

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8 février 2018 4 08 /02 /février /2018 23:53

Bordeaux : la justice met en cause le vaccin contre l’hépatite B

Dominique Richard, 7 février 2018

L’ancien peintre chaudronnier de 53 ans domicilié à Gourdon, dans le Lot, avait contracté cette maladie du système nerveux, particulièrement invalidante, en 1996. [MYCHELE DANIAU / AFP]

L’ancien peintre chaudronnier de 53 ans domicilié à Gourdon, dans le Lot, avait contracté cette maladie du système nerveux, particulièrement invalidante, en 1996. [MYCHELE DANIAU / AFP]

Un arrêt de la cour d’appel de Bordeaux qui reconnaît la responsabilité du laboratoire Sanofi dans l’apparition d’une sclérose en plaques relance le débat.

A une époque où la suspicion relative aux vaccinations ne cesse de grandir, l’arrêt rendu le 23 janvier dernier par la 1re chambre civile de la cour d’appel de Bordeaux est sans doute appelé à avoir un retentissement national. La juridiction présidée par Élisabeth Larsabal a jugé que la société Sanofi Pasteur, l’un des leaders mondiaux des vaccins, était responsable de la sclérose en plaques dont souffre un ancien peintre chaudronnier de 53 ans domicilié à Gourdon…

Source: Sud Ouest

Lire la suite, ci-dessous:

Sud Ouest du 7 février 2018

Sud Ouest du 7 février 2018

Cet article appelle quelques commentaires:

 

1) Il est faux de croire que le lien entre vaccin anti-hépatite B et sclérose en plaques n'a pas encore été scientifiquement établi. Il y a déjà eu au moins 5 études plaidant en faveur d'un lien de causalité entre cette vaccination anti-hépatite B et cette maladie, cela n'est donc pas rien, et ne peut donc se réduire à une "malheureuse coïncidence". Ce qu'il y a, c'est que dans tout sujet sanitaire comportant un enjeu financier et industriel important, tout apparaîtra toujours comme contesté dans la littérature médico-scientifique car les firmes ont un pouvoir conséquent pour financer des contre-études par le biais de divers leaders d'opinion dont l'intervention servira donc avant tout à sauver des marchés et à éviter des avalanches de procès. Le déni des officiels doit donc être fermement balayé, d'autant aussi qu'ils ne sont pas en mesure d'expliquer la hausse de 65% des cas de scléroses en plaques de part et d'autre de la campagne vaccinale des années 90', d'une ampleur sans précédent, en matière de vaccination anti-hépatite B en France... les chiffres sont clairs, seule la mauvaise foi ou l'ignorance la plus profonde peut amener à conclure que "ce sont de meilleurs diagnostics" qui seraient en mesure d'expliquer pareil différentiel!, et ce d'autant plus, ne l'oublions tout de même pas non plus, que la mention de la sclérose en plaques se trouve en toutes lettres dans les notices de ces vaccins anti-hépatite B

> La condamnation du fabricant est donc plus que justifiée et ce d'autant plus que les médecins ne respectent, en pratique, jamais le consentement libre et éclairé et donc ne stipulent pas ces risques graves aux patients. Si cela ne plaît pas au labo, qu'ils poursuivent ou se déchargent alors sur les prescripteurs.... mais stop à l'hypocrisie et au baratin que ce vaccin n'est pas lié à la SEP, c'est évidemment grotesque et cela ne prendra plus très longtemps auprès des patients, du moins faut-il l'espérer pour leur propre sécurité.

 

Chiffres par année des cas de sclérose en plaques (SEP) et d'atteintes démyélinisantes du système nerveux central (ADSNC)- Les années 1994-1998 correspondent à la grande campagne de vaccination contre l'hépatite B lancée en France. [Données Afssaps/ANSM de 2012].

NB: Seuls 1 à 10% des effets GRAVES de vaccins sont comptabilisés selon ce qu'on trouve dans les revues médicales officielles (JAMA, Revue du Praticien etc...)

 

On vous dit: "le lien vaccin & sclérose en plaques, c'est juste franco-français"! Demandez-vous alors comment se fait-il qu'une étude américaine confirme que tout vaccin peut favoriser la sclérose en plaques dans ses suites (et une fois encore, c'est dans les notices, donc quand des pseudos-experts osent dire en télé que ce n'est que hasard, coïncidence, comme par exemple le Pr Alain Fischer, qu'attendent les journalistes pour demander alors pourquoi cela figure dans les notices, et qu'attendent-ils alors pour réviser les notices? De qui se moque-t-on à la fin? > Une étude américaine (Langer-Gould), publiée en 2014, spécifie quant à elle que "tout type de vaccination est associé à un risque accru de déclenchement d'une maladie démyélinisante du système nerveux central dans les 30 premiers jours qui suivent une vaccination en ce qui concerne les sujets de moins de 50 ans(OR, 2.32; 95% CI, 1.18-4.57).

 

2) Le vaccin anti-hépatite B est aussi un échec en termes de prévention des complications graves de l'hépatite: même en ayant beaucoup vacciné, cela n'a nullement permis de réduire les taux de complications graves en France liées à l'hépatite B. Pire, plusieurs études montrent au contraire que le vaccin anti-hépatite B détruit les cellules du foie (apoptose) et favorise les maladies hépatiques, notamment chez les enfants. Se vacciner est par conséquent un non sens, que l'on soit professionnel de santé ou non d'ailleurs, et que ceci soit obligatoire ou non...

 

3) Il est essentiel que les victimes portent plainte: trop souvent, elles sont découragées par la longueur des procédures, par les frais d'avocats etc. mais cette mascarade vaccinale qui fait chaque jour de plus en plus de victimes ne peut se poursuivre que parce qu'un trop faible nombre de victimes décident de réagir et de faire valoir leurs droits, restant ainsi sur le bord du chemin à souffrir en silence alors que leur parole est en mesure de sauver activement des vies et donc de faire en sorte que leurs souffrances ne soient pas vaines. Ce nouvel épisode judiciaire doit donner espoir aux victimes et offre une nouvelle jurisprudence en faveur des droits fondamentaux des patients. Il est inadmissible que les victimes soient laissées sur le bord du chemin et systématiquement taxées de "coïncidences" par les pseudos-experts en charge de la politique vaccinale ou implicitement jugées telles par la Ministre Buzyn qui ose prétendre que "les vaccins sont sûrs" et qu'il n'y a pas d'effets secondaires....

 

4) Cette décision judiciaire conforte également enfin la pertinence de la PLAINTE PENALE qui a déjà été déposée et qui est toujours en cours contre l'obligation vaccinale des enfants étendue à 11 vaccins et incluant notamment le vaccin anti-hépatite B. Cliquez ici pour signer et rejoindre cette plainte pénale. 

La vaccination anti-hépatite B est indéfendable; il s'agit de vaccins fabriqués par génie génétique dont les risques graves et variés sont largement sous-estimés (seuls 1 à 10% des effets GRAVES sont comptabilisés)

Sclérose en plaques et vaccin hépatite B: la Cour d'Appel de Bordeaux donne raison à un patient et condamne Sanofi
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1 février 2018 4 01 /02 /février /2018 12:01

Selon, l'association des Médecins pour le Consentement éclairé, 5700 enfants américains développent chaque année des convulsions après le vaccin ROR

 

Communiqué de presse de l'association Physicians for Informed Consent (PIC)

 

Los Angeles, Californie- L'association californienne sans but lucratif Physicians for Informed Consent a récemment rapporté dans le British Medical Journal (BMJ) que 5700 enfants américains souffrent chaque année de convulsions suite au vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR).

Un geste automatique dont les conséquences ne sont plus pensées alors qu'il peut bouleverser une vie à jamais...

Un geste automatique dont les conséquences ne sont plus pensées alors qu'il peut bouleverser une vie à jamais...

Ce chiffre dérive des résultats de l'étude statistique la plus puissante jamais réalisée pour étudier l'association entre le vaccin ROR et la survenue de convulsions fébriles. Plus d'un demi million d'enfants furent évalués, à la fois ceux vaccinés et ceux non vaccinés, au sein d'une population danoise sur laquelle on se fonde dans le monde entier pour examiner la sécurité des vaccins. Les résultats ont montré que les convulsions se produisent environ chez 1 enfant sur 640 vaccinés avec le ROR. L'extrapolation de ce risque aux 3,64 millions d'enfants américains vaccinés chaque année par le ROR porte ce chiffre à 5700.

 

« Pour prendre des décisions de Santé publique précises et éthiques, les risques d’un vaccin doivent être comparés aux risques de la maladie que l’on tente de prévenir », a déclaré le Dr Shira Miller, président fondateur du PIC.  « En considérant le vaccin ROR pour prévenir la rougeole, les risques de ce vaccin doivent être comparés aux risques de la rougeole.»

Le risque de convulsions fébriles avec le ROR est cinq fois plus élevé que le risque de convulsions fébriles de la rougeoleUn nombre important de convulsions avec le vaccin ROR provoquent des dommages permanents. Par exemple, 5% des crises fébriles entraînent une épilepsie, un trouble cérébral chronique qui entraîne des crises récurrentes. Chaque année, on relève environ 300 cas de convulsions dues au vaccin ROR (5% de 5700) conduiront à l’épilepsie.

En outre, le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), conçu pour être un système d’avertissement par rapport aux effets secondaires des vaccins, ne reçoit que 90 rapports annuels de convulsions en rapport avec la première dose du ROR, soit seulement 1,6% des 5700 cas de convulsions qui font suite au vaccin ROR. Il est également facile de réaliser que d’autres événements indésirables graves liés au vaccin, y compris des séquelles neurologiques permanentes et des décès peuvent également être sous-déclarés.

« Aux Etats-Unis, la rougeole est généralement une infection virale bénigne à court terme ; 99,99% des cas de rougeole se rétablissent complètement », a déclaré le Dr Miller. « Comme il n’a pas été prouvé que le vaccin ROR soit plus sûr que la rougeole, il n’y a pas suffisamment de preuves pour démontrer que la vaccination de masse antirougeoleuse obligatoire entraîne un bénéfice net pour la santé publique aux Etats-Unis. »

Source : Vaccine Impact

Voir aussi

 

Comprendre et déceler certains effets secondaires graves des vaccins (Dr G. Buchwald)

 

Bénéfices-risques du vaccin ROR: c'est à vous de décider!

 

Effets du vaccin ROR: des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

 

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

 

Une petite fille de 5 ans décède à cause du vaccin ROR

 

Vaccination des prématurés: in-dé-fen-da-ble!

 

Epilepsie & vaccins: le lien

 

Epilepsie et vaccins: des parents s'interrogent très sérieusement

 

Epilepsie et vaccinations

 

Voir également l'interview et les explications d'une maman dont l'enfant a sans arrêt des crises d'épilepsie suite aux vaccins:

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23 janvier 2018 2 23 /01 /janvier /2018 00:24

Colton qui s’était retrouvé paralysé après la 3ème dose du vaccin HPV, vient de mourir

Décès de Colton Berrett, un jeune homme paralysé par le vaccin anti-HPV Gardasil

Colton adorait le motocross et le parachutisme. C’est après avoir reçu sa troisième dose du vaccin contre le HPV qu’il a commencé à présenter des douleurs à la nuque. Il dut très vite abandonner le motocross. Il devint nauséeux et ses maux de nuque s’intensifièrent. Dans la nuit qui suivit, il appela sa maman pour l’aider à boire.

«  Maman, peux-tu me donner le verre dans la main gauche. Je ne sais plus très bien me servir de mon bras droit ; il me parait très faible. »

Colton finit par devenir paralysé. Un examen IRM à l’hôpital des enfants de Salt Lake City montra que le cou et la moelle épinière étaient enflammés. Le médecin fit un rapport qu’il envoya au VAERS (Vaccine Adverse Effects Reporting System).

Heather Lee Laurence de Middleburg a révélé que Colton venait de mourir, mais n’a pu donner d’autres détails sur la situation. Elle a demandé que l’on garde Colton dans nos pensées, nos cœurs et nos prières.

Décès de Colton Berrett, un jeune homme paralysé par le vaccin anti-HPV Gardasil
Décès de Colton Berrett, un jeune homme paralysé par le vaccin anti-HPV Gardasil

Voir aussi la vidéo de ce par quoi est passé ce jeune! Quel carnage vaccinal, une fois encore! Plus qu'à espérer que les parents s'interrogent sur ce qu'ils veulent pour leurs enfants, .... parce qu'il y a urgence à éviter ces effets inutiles à d'autres jeunes!

Source : Vaxxter

En Belgique, les "bons" experts du Conseil Supérieur de la Santé préconisent de façon absurde la vaccination des jeunes garçons avec ces vaccins dangereux et inutiles. Il va sans dire que s'il arrive ce genre de scénario catastrophe à vos enfants- beaucoup moins rares que l'on croit - ces mêmes experts ne se précipiteront pas au portillon pour vous indemniser, pas plus qu'ils n'arriveront à racheter les vies détruites par leurs bons conseils aux conséquences dramatiques!

 

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8 janvier 2018 1 08 /01 /janvier /2018 13:10

Vaccination antigrippale à dose renforcée:

Plus de 100 seniors décédés

Par Yelena Sukhoternia, 6 janvier 2016

Vaccination antigrippale à dose renforcée: plus de 100 seniors décédés dans les essais cliniques

Les praticiens de soins de santé et les personnes âgées reçoivent deux brochures différentes sur le vaccin contre la grippe. Des informations clés ne figurent pas dans la brochure des seniors.

Comme c’est le cas tous les hivers, le marketing continue de pousser le vaccin contre la grippe. Le CVS-Pharmacy offre même un bon de réduction de 20% sur les achats aux personnes qui acceptent de se faire vacciner contre la grippe On commercialise aussi un vaccin à forte dose qui est bien sûr plus rentable pour les fabricants et la pharmacie, bien qu’il y ait de multiples raisons de s’en méfier, en particulier pour les personnes âgées. Le Fluzone High-Dose est un vaccin injectable spécifiquement approuvé pour les personnes de 65 ans et plus. Fabriqué par Pasteur, ce vaccin contient trois souches de grippe et quatre fois plus d’antigènes (substances qui provoquent la réponse immunitaire) que les vaccins ordinaires contre la grippe, affirme CVS-Pharmacy. (Rite Aid offre également ce vaccin et admet que « d’autres études sont en cours » pour vérifier si ce vaccin apporte vraiment une amélioration.)

La compagnie pharmaceutique admet que le vaccin n’est pas recommandé pour les personnes ayant déjà présenté des réactions indésirables aux vaccins dans le passé (en particulier le Syndrome de Guillain-Barré).

Mais, entre les campagnes de marketing et l’offre d’une réduction de 20% sur des achats, une information essentielle a été omise : 105 seniors sont morts après avoir participé à deux essais cliniques des vaccins à haute dose (Fluzone haute-dose), et 91 personnes sont mortes après avoir été vaccinées avec le vaccin Fluzone habituel.

Vaccination antigrippale à dose renforcée: plus de 100 seniors décédés dans les essais cliniques

Rite Aid et d’autres compagnies pharmaceutiques offrent également le vaccin, mais beaucoup de personnes se demandent si on dit la vérité aux seniors par rapport aux risques que pourraient présenter ces vaccins.

Deux essais cliniques ont été menés avant l’approbation du Fluzone. Les deux études ont été menées et parrainées par Sanofi Pasteur, le fabricant même du vaccin (clair potentiel de conflits d’intérêts).

Dans la première étude, 2.573 adultes âgés de 65 ans et plus ont reçu la dose « élevée » du Fluzone et 1260 personnes ont reçu l’injection du vaccin habituel du Fluzone. Parmi ces personnes, on trouve un nombre important de seniors qui ont présenté un effet indésirable grave dans les 6 mois qui ont suivi la vaccination (156 personnes avaient reçu le vaccin à dose élevée et 93, le vaccin habituel.)

En outre, 16 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose et 7 autres qui avaient reçu le vaccin habituel sont mortes entre le 29ème jour et le 180ème jour après la vaccination. Mais, comme le dit la notice reçue par des patients sans méfiance, « aucun décès n’a été signalé dans les 28 jours qui ont suivi la vaccination. »

Les compagnies pharmaceutiques sont connues pour présenter les résultats des études de manière à minimiser les risques, et beaucoup se sont demandé si ce n’était pas le cas du Fluzone, y compris le site Health Impact News dans un article publié en 2013 dans les médias sociaux.

Habituellement, les études rapportent les résultats en chiffres ronds pour les effets indésirables survenus au cours des 30, 60 et 90 premiers jours. Dans le cas de cette étude, on a choisi de préciser qu’aucune personne n’est décédée au cours des 28 premiers jours après le vaccin. Mais un total de 23 participants à l’étude (dose élevée et dose régulière) sont morts à partir du 29ème jour. Pourquoi a-t-on choisi le 29ème jour pour commencer à compter ?

Deuxième étude : Davantage de réactions indésirables et plus de décès.

Au cours de la seconde étude, 15.992 adultes âgés de 65 ans ou plus ont reçu la dose élevée de Fluzone et 15.991 personnes ont reçu le vaccin habituel. Les résultats montrent que 1323 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose et 1442 qui avaient reçu le vaccin normal ont présenté des effets secondaires graves dans les 6 à 8 mois qui ont suivi la vaccination (204 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose et 200 personnes qui avaient reçu le vaccin normal ont présenté des effets secondaires graves endéans les 30 jours qui ont suivi la vaccination.) En outre, 83 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose et 84 personnes qui avaient reçu le vaccin normal sont mortes dans les 6 à 8 mois. 6 personnes qui avaient reçu le vaccin à forte dose sont mortes dans les 30 jours qui ont suivi la vaccination.

Selon la fiche d’information du vaccin Fluzone, aucun de ces décès n’était lié au vaccin. La fiche précise : « ces données ne fournissent pas la preuve d’une relation causale entre les décès et la vaccination Fluzone - haute dose. »

La première étude affirme que les décès ne peuvent être liés à l’étude clinique car, « la majorité de ces participants avaient des antécédents médicaux de maladies cardiaques, hépatiques, néoplasiques, rénales et/ ou respiratoires ». La deuxième étude affirme la même chose : la majorité des participants ayant « une ou plusieurs maladies comorbides chroniques.»

La question se pose – sans plus d’investigation, comment ces chercheurs sont-ils arrivés à la conclusion qu’aucun décès n’était lié à la vaccination ? Pourquoi les données concernant les personnes âgées ayant des problèmes de santé et les personnes n’ayant pas de problèmes de santé particuliers n’ont-elles jamais été comparées ou ajoutées à la notice ? Pouvons-nous vraiment faire confiance aux dires de l’entreprise pharmaceutique qui a commandité sa propre étude ?

Quoi qu’il en soit, 105 décès et la quantité d’effets secondaires indésirables enregistrés dans les deux études présentent de sérieux signaux d’alarme pour quiconque envisagerait de recevoir un vaccin contre la grippe. Les effets indésirables graves comprennent des problèmes potentiellement mortels, comme le Syndrome de Guillain-Barré qui, avec ses paralysies ressemble à la poliomyélite.

C’est peut-être là une des raisons pour lesquelles le patient doit, avant de recevoir le vaccin, signer un formulaire de consentement.

Le formulaire de consentement: sensibilisation au risque, ainsi qu’à l’impossibilité de poursuivre la Compagnie

Lors d’une vaccination, (selon Rite Aid), le patient doit lire et signer un formulaire qui comprend les éléments suivants :

« J’ai bien lu ou me suis fait lire la fiche d’information sur la vaccination. J’ai eu l’occasion de poser des questions à ma satisfaction, ainsi que de comprendre les avantages et les risques du/des vaccin(s). Je libère et décharge complètement Rite Aid Corporation, ses sociétés affiliées, ses dirigeants, ses administrateurs, ainsi que ses employés de toute responsabilité en cas de maladie, blessure, perte ou de dommage qui pourrait résulter de la /les vaccination(s). » Tel est le formulaire de consentement de Rite Aid.

Il y a deux parties importantes à ce consentement : vous signez que vous comprenez les risques, et que vous ne pourrez en aucun cas engager des poursuites envers la compagnie si jamais des réactions défavorables devaient se produire.

Pour bien comprendre les risques, vous devez lire la fiche complète sur les deux vaccins Fluzone (haute dose et vaccin normal) qui comprend les données sur les essais cliniques et les décès post-vaccination, ainsi que près de 30 effets indésirables (de légers à potentiellement mortels) rapportés après l’approbation du vaccin. Il faut cependant savoir que cette fiche est uniquement destinée aux fournisseurs de soins de santé ; ces derniers n’étant pas susceptibles de la montrer au patient. (Auraient-ils des choses à cacher ?)

Que reçoit le patient ?

Le patient reçoit une fiche d’information officielle qui reprend des effets secondaires comme : douleurs, fatigue, maux de tête apparaissant après l’injection du vaccin haute dose et qui vous conseille de consulter le fournisseur de soins de santé pour le reste. C’est là qu’en tant que patient vous devez être vigilant et poser des questions très spécifiques, comme aussi faire vos propres recherches.

La deuxième partie de votre consentement concerne le fait que vous ne pouvez pas poursuivre la pharmacie qui vous a administré le vaccin. Vous devez également savoir qu’il ne vous est, non plus, pas possible de poursuivre la firme pharmaceutique qui a fabriqué le/ les vaccin(s). […]

Les effets secondaires peuvent cependant être rapportés au VAERS (Système de déclaration des effets indésirables des vaccins). Il est également possible de demander une somme de dédommagement par le biais du Programme national d’indemnisation des victimes de la vaccination (VICP) qui a déjà dû débourser plus de 3,5 milliards de dollars depuis 1986. (Les deux tiers environ des demandes étant rejetées, on peut facilement comprendre que le nombre des victimes pourrait être beaucoup plus élevé).

Bien que certaines personnes aient pu prouver que le vaccin ait causé le dommage (comme dans le cas de Baily Banks où le vaccin ROR avait causé l’ADEM (Encéphalomyélite aiguë disséminée, un important gonflement du cerveau aux conséquences graves), les fabricants de vaccins ne peuvent jamais être tenus responsables. C’est une réalité malheureuse  qui a permis à l’industrie de prospérer, alors même que ces effets secondaires indésirables importants, comme des décès, continuaient d’augmenter. Assurez-vous de garder tous ces éléments à l’esprit avant que vous-même ou quelqu’un de votre famille envisage de se faire vacciner.

Source : Althealthworks

Voir aussi :

Le vaccin antigrippal ou le mépris total du système immunitaire des seniors

Certains effets secondaires graves du vaccin contre la grippe classique

Grippe: de nouveaux vaccins mais toujours le même baratin

Le vaccin contre la grippe est le plus dangereux selon les chiffres des indemnisations aux USA

Le vaccin contre la grippe provoque 5,5 fois plus d'infections respiratoires

Un vaccin obligatoire contre la grippe la laisse aveugle avec une sclérose en plaques

Les vaccins antigrippaux triplent le risque d'hospitalisation chez les enfants

Vaccination des patients à risque? Encore plus risquée!

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1 janvier 2018 1 01 /01 /janvier /2018 22:57

TURQUIE : Plus de 10.000 familles rejettent les vaccinations pour leurs enfants 

 

Meltem Ozgenç

 

Daily News, Ankara, 26 décembre 2017

TURQUIE : Plus de 10.000 familles rejettent les vaccinations pour leurs enfants

Selon le Prof. Dr Mehmet Ceyhan chef de l’hôpital universitaire pédiatrique de Haceteppe, Unité « maladies », le nombre de familles qui refusent de faire vacciner leurs enfants en raison de la rumeur non fondée que l’aluminium des vaccins pourrait conduire à la maladie d’Alzheimer est passé à plus de 10.000 par an.

« Les analyses menées dans notre pays ont montré que les vaccinations ont permis d’éviter 14.296 décès par an. Si nous abandonnons les vaccinations, il est clair qu’il y aura des milliers de morts », a déclaré M. Ceyhan, ajoutant que le taux d’aluminium utilisé comme catalyseur dans certains vaccins est « trop faible pour affecter la santé humaine. »

Ces derniers jours, il y a eu des professeurs d’université qui ont publié dans des organes de presse des déclarations contre divers vaccins. Nous n’en connaissons pas la raison, mais ils ont néanmoins laissé l’impression qu’ils essayaient de se faire entendre. Malheureusement, pareilles déclarations causent de graves dommages aux soins de santé de notre pays », a-t-il dit.

Ceyhan a déclaré que les vaccins se sont révélés efficaces contre les maladies. Ils ont permis une diminution de 98% des maladies. Certaines maladies ayant même complètement disparu grâce aux vaccins, mais il y a eu une « augmentation sérieuse du refus de vaccinations » à la suite de rumeurs infondées.

« Par exemple, le nombre de familles qui ont refusé la vaccination pour leurs enfants en 2011 était de 183, 913 en 2013, 5091 en 2015 et plus de 10.000 en 2016. En conséquence, nous constatons malheureusement une augmentation de certaines maladies » a dit Ceyhan, en se référant à l’augmentation des cas de coqueluche au cours des trois dernières années.

« En dehors de cela, certaines personnes fournissent au public de fausses informations comme celles qui colportent que les vaccins contiennent du mercure. Dans notre pays, les vaccins ne contiennent pas de mercure, étant donné qu’ils sont actuellement administrés en doses uniques », a-t-il ajouté.

L’unité des maladies infectieuses pédiatriques de l’hôpital universitaire de Haceteppe a vu des enfants non vaccinés mourir de méningite à pneumocoques et des handicapés, a ajouté M. Ceyhan, précisant «qu’un nombre important d’enfants » sont morts du fait qu’ils n’ont pas reçu le vaccin contre la grippe. »

« Il ne faut pas oublier que les vaccins sont la méthode la plus efficace et la moins coûteuse pour protéger des millions de personnes de la mort et de l’invalidité. Cette pratique qui a été initiée dans les années 1700 s’est répandue dans le monde entier ».

Par ailleurs, le ministre de la Santé a déclaré dans un communiqué au quotidien Hürriyet que l’aluminium utilisé dans les vaccins « n’a pas entraîné d’effets secondaires graves ou de maladie à long terme. »

«  L’aluminium a été utilisé dans divers vaccins à raison de plus de trois milliards de doses. Aucun autre effet secondaire n’a été signalé, si ce n’est qu’une exposition à long terme à l’aluminium en grande quantité pourrait entraîner une faiblesse des os. D’autre part, les niveaux d’aluminium dans les vaccins sont très bas. Dans notre pays, aucun des vaccins contre la grippe ne comprend d’aluminium », a déclaré le ministère.

Source : Hurriyetdailynews

Voir aussi (de quoi comparer les mensonges repris par les officiels dans cet article à la réalité des faits, autrement moins glorieux pour les vaccins…) :

Des enfants récemment vaccinés répandent la coqueluche partout

Coqueluche : la bactérie a muté à cause du vaccin… encore un fiasco vaccinal de plus !

Coqueluche : grosse baisse d’efficacité après la 5e dose

Coqueluche : l’échec cuisant de la vaccination « cocoon »

La moitié des cas de coqueluche surviennent chez des sujets vaccinés

Les vaccins antigrippaux triplent les risques d’hospitalisation chez les enfants

Pneumocoques : échec retentissant de la vaccination

Pneumocoques : le vaccin Prevenar est-il sûr et sans danger ?

Prevenar de 7 à 13 : le marketing vaccinal dans tous ses états

Méningite C : le vaccin plus risqué que la maladie (les chiffres sont là !)

Nouvelle étude sur la toxicité de l’aluminium vaccinal en pédiatrie

Une nouvelle étude du MIT incrimine l’aluminium vaccinal, y compris dans l’autisme

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31 décembre 2017 7 31 /12 /décembre /2017 22:16

Vaccins, quand la justice contredit les autorités sanitaires

Pierre Bienvault , le 27/12/2017

 

La cour administrative d’appel de Nantes vient d’ordonner l’indemnisation d’une secrétaire dentaire estimant être tombée malade à cause de l’aluminium contenu dans un vaccin. Cette décision, qui n’est pas isolée, intervient alors que les autorités sanitaires et la majorité des scientifiques réaffirment l’innocuité de l’aluminium.

Gino Santa Maria - stock.adobe.com

Gino Santa Maria - stock.adobe.com

Pourquoi, dans certains dossiers vaccinaux, la justice prend-elle parfois des décisions semblant aller contre les données scientifiques majoritaires ? La question se pose après un arrêt rendu vendredi 22 décembre par la cour administrative d’appel de Nantes.

Celui-ci donne raison à une secrétaire d’un cabinet dentaire estimant être victime d’effets secondaires liés à l’aluminium dans un vaccin contre l’hépatite B. Les juges ont condamné l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) à lui verser 190 000 €. Cette décision intervient alors que doit entrer en vigueur, le 1er janvier, l’extension de l’obligation vaccinale décidée par le gouvernement.

À la demande de son employeur, cette secrétaire avait été vaccinée contre l’hépatite B en 1994. Dans les semaines suivantes, elle a développé des douleurs musculaires et une fatigue généralisée. Elle a alors saisi l’Oniam, estimant être atteinte d’une myofasciite à macrophages. Une maladie que certains scientifiques, minoritaires, relient à la présence d’aluminium dans les vaccins. Ce que contestent fermement le ministère de la santé ou l’Inserm.

« Ce n’est pas une première »

Avocat de la secrétaire médicale, Me François Jégu se refuse à commenter cette décision de Nantes à la demande de sa cliente, qui souhaite rester discrète. « Mais ce n’est pas une première. À plusieurs reprises, notamment à Versailles et Caen, j’ai obtenu gain de cause pour des personnes ayant développé une myofasciite à macrophages après un vaccin. Et le Conseil d’État nous a soutenus, estimant que le lien de causalité, sans être certain, était plausible », souligne MeJégu, qui défend des membres de l’association E3M, opposée à l’aluminium dans les vaccins.

En juin, le tribunal administratif de Caen a ainsi condamné l’Oniam à verser 367 418 € ainsi qu’une rente annuelle de 9 900 € à une infirmière ayant présenté des problèmes de santé neuf ans après avoir été vaccinée contre l’hépatite B.

En dépit de ce délai très long, le tribunal a estimé que l’existence d’un lien de causalité entre ce vaccin contenant de l’aluminium et la fatigue, les douleurs articulaires et les troubles cognitifs de cette infirmière « n’est pas exclue et revêt une probabilité suffisante pour que ce lien puisse, sous certaines conditions, être regardé comme établi ». Ce qui va donc à l’encontre du constat de la très grande majorité de la communauté scientifique.

Le même phénomène s’est déjà produit ces dernières années dans des dossiers judiciaires de soignants victimes d’une sclérose en plaque liée, selon eux, à un vaccin contre l’hépatite B. Alors même que, là encore, aucun lien de causalité n’est prouvé, pour les autorités sanitaires internationales.

Des « indices graves, précis et concordants »

En juin dernier, la Cour de justice de l’Union européenne a marqué les esprits dans un dossier de ce type. Elle a estimé que, même en l’absence de consensus scientifique, des juges nationaux pouvaient donner raison à une personne s’estimant victime de ce vaccin, à condition qu’elle présente des « indices graves, précis et concordants » pouvant permettre de conclure à un lien de causalité entre la vaccination et une maladie.

Suivant cette logique, ces dernières années, des juges français ont, malgré l’absence de certitude scientifique, accordé des indemnisations à des requérants ayant juste apporté la preuve que leur sclérose en plaque s’était développée peu de temps après une vaccination et en l’absence d’antécédents familiaux de la maladie.

Pierre Bienvault

Source: La Croix

Voir aussi

Vaccin hépatite B: la Cour Européenne reconnaît le lien avec la sclérose en plaques

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26 décembre 2017 2 26 /12 /décembre /2017 23:28

Une dame déclare que « le vaccin obligatoire contre la grippe » l’a rendue aveugle et lui a provoqué une sclérose en plaques

Vaxxter Staff, 24.12.2017

Un vaccin obligatoire contre la grippe la laisse aveugle, avec une sclérose en plaques

Ce n’est que quelques semaines après avoir reçu le vaccin antigrippal que Jennifer Whitney affirme avoir reçu un diagnostic de sclérose en plaques. Mukilteo, une résidente de Washington âgée de 34 ans, explique que Whitney  a été poussée par son patron à faire le vaccin. Finalement, Whitney a été licenciée suite aux nombreux jours de congé qu’elle a dû prendre pour pouvoir faire face à l’apparition des symptômes de la sclérose en plaques. Pendant 10 mois, Whitney n’a plus pu rien voir. En outre, elle ne peut maintenant plus avoir d’enfants.

Un vaccin obligatoire contre la grippe la laisse aveugle, avec une sclérose en plaques

Elle a déclaré à MailOnline : « certaines personnes me disent que tout se passe dans mon imagination parce qu’elles croient que les vaccins sont sûrs, ce qui n’est évidemment pas le cas. »

« Je n’imagine absolument pas tous ces symptômes et je n’imagine sûrement pas non plus comment je me sentais auparavant. Je ne sais pas si je pourrai, un jour,  recouvrer ma santé. »

Un vaccin obligatoire contre la grippe la laisse aveugle, avec une sclérose en plaques

Whitney était gestionnaire dans une entreprise d’optométrie au moment où elle a reçu son diagnostic de sclérose en plaques. Elle déclare que son patron lui a pratiquement forcé la main pour qu’elle se fasse vacciner contre la grippe.

« J’ai senti les pressions qui s’exerçaient sur moi pour que je puisse servir d’exemple pour les autres employés », affirme-t-elle. Mon patron encourageait tout le monde à se faire vacciner.

Je ne voulais pas créer d’incident et je me suis rendue à la pharmacie à l’heure du déjeuner pour recevoir mon vaccin contre la grippe. Ensuite, je suis retournée au travail. »

Dans les jours qui ont suivi, Whitney affirme avoir ressenti une variété d’effets secondaires possibles, comme des maux de tête, des douleurs et des vertiges.

«  J’ai juste réussi à rentrer chez moi, mais j’ai dû appeler mon mari pour me venir en aide. J’étais si faible que je ne pouvais plus marcher. Mon mari a dû me porter pour rentrer dans notre appartement.  Une fois à l’intérieur, il m’a allongée sur le canapé. A ce moment, je ne savais pas que j’allais passer les semaines suivantes au même endroit ! »

Les médecins lui ont dit qu’elle souffrait de vertiges bénins. Le jour suivant Whitney a été soumise à un examen IRM qui a révélé qu’elle était atteinte de sclérose en plaques. On lui a expliqué que son système immunitaire attaquait son cerveau.

« J’étais tellement choquée » dit-elle. « j’ai toujours été une personne en bonne santé. Je n’ai jamais dû m’absenter de mon travail pour cause de maladie.

Je ne parvenais pas à comprendre comment j’ai pu, soudainement, du jour au lendemain, développer une maladie grave incurable.

En outre, les effets secondaires des médicaments qui m’avaient été prescrits ont drôlement compliqué ma vie. Ma peau a éclaté en cloques sur tout le corps. J’ai fait part de la chose à mon neurologue. Il m’a rappelée ultérieurement pour faire des tests pour le lupus qui est un effet secondaire rare du Gilenya. »

Son état l’a pratiquement rendue incapable de faire son travail. Les fortes secousses qu’elle éprouvait lui rendaient la manipulation des lunettes quasiment impossible. C’est à cette époque qu’elle fut licenciée. Dans la suite, elle a commencé à éprouver des sortes de brûlures aux yeux. Maintenant, elle est sans travail et vit de régulières périodes de cécité.

Elle vient de découvrir que le tribunal des vaccins dédommage les victimes de vaccins contre la grippe.

Source : Vaxxter

Voir aussi:

2018: les malades de longue durée pourront être virés

Scientifiquement prouvé: les vaccins causent l'auto-immunité

Maladies auto-immunes et vaccins: un lien incontestable

Le vaccin contre la grippe est le plus dangereux selon les chiffres des indemnisations aux USA

Grippes: de nouveaux vaccins mais toujours le même baratin

La vie tragique d'une ex-infirmière après un vaccin contre la grippe

Certains effets secondaires graves du vaccin antigrippal (recensés dans la littérature médicale)

TOUTE personne à qui on propose ou impose ces vaccins devrait avoir lu et visionné tout ceci AVANT...

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24 décembre 2017 7 24 /12 /décembre /2017 22:53

Le Mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu’il y a derrière…)

Interview de Joshua Coleman par Shawn Siegel (extraits)

20 avril 2017

 

Josh est le père d’un petit garçon qui est resté paralysé très peu de temps après avoir reçu 4 vaccins. Josh a rejoint l’équipe de VAXXED qui sillonne, en bus, les Etats-Unis pour présenter le documentaire VAXXED, comme pour informer le public et filmer les victimes de vaccins.

Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)

Josh : la santé de mon premier enfant a été endommagée par les vaccins. A 17 mois, alors qu’il était en parfaite santé et qu’il avait déjà pu marcher et courir, il a reçu une série de vaccins. Peu de temps après, il a commencé à perdre le contrôle de ses jambes et à faire des choses bizarres.

Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)

Un matin après s’être réveillé, il ne savait plus marcher. On a diagnostiqué une myélite transverse.

Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)

Nous nous sommes retrouvés à l’hôpital John Hopkins plus particulièrement spécialisé dans ce type de maladies. Après avoir fait passer toute une série de tests au petit, les médecins ont conclu que son problème devait être dû aux vaccins. On nous a dit qu’il s’agissait d’une maladie très rare (1 cas sur un million).

Comme je n’avais pas fait personnellement de recherches, j’ai cru ce que les médecins m’ont dit.- Malgré tout ce que nous avions traversé comme épreuves et comme problèmes, je n’étais pas encore tout à fait réveillé pour me décider à faire mes propres recherches et à approfondir mes connaissances sur la question des vaccins. Au fur et à mesure que nous approfondissions nos connaissances, au plus nous avions l’impression de rentrer dans un véritable cauchemar.

Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)

J’ai vu les vidéos du Dr Ayoub qui explique que l’aluminium attaque la myéline. C’est l’aluminium qui se trouve dans les vaccins qui pourrait provoquer ces terribles myélites. – J’avais aussi entendu parler du fameux documentaire : « Trace Amounts ». Alors que la salle était comble, j’ai malgré tout pu obtenir une place grâce à Laura Hayes dont le fils est gravement handicapé à vie à la suite d’une série de vaccinations. – Le film m’a complètement bouleversé. Ce que je découvrais grâce au film était tout à fait incroyable.

Au cours de la manifestation contre l’obligation vaccinale, j’ai présenté mon témoignage en public, comme me l’avait demandé Laura Hayes.- A la suite de mon témoignage, des gens m’ont dit que je voulais sûrement me venger. Je dois dire que rien ne peut être plus éloigné de la vérité. La seule chose que je voulais, c’était que le drame qui nous avait touchés, n’arrive plus jamais à un seul enfant ou adulte. Je ne veux pas que les compagnies pharmaceutiques perdent de l’argent. Je veux seulement que ces dommages de santé et ces décès dus aux vaccinations s’arrêtent tout net.

Je voulais aussi souligner que la maladie qui a frappé mon fils portait précédemment le nom de poliomyélite, tout comme le Guillain Barré. Ces maladies ont été redéfinies et rebaptisées.

Si au moins nous avions pu profiter d’un réel consentement éclairé. J’étais, comme quantités d’autres personnes, à mille lieues de m’imaginer qu’un vaccin pouvait produire des paralysies !

Le public est tellement peu informé que la majorité des gens ne peuvent même pas imaginer ce qui peut se produire avec les vaccins. C’est comme cela qu’en matière d’autisme nous sommes passés aux Etats-Unis, d’un cas sur 10.000, à un cas sur 48 aujourd’hui.- Ces personnes atteintes d’autisme sont souvent cloitrées chez elles ou sont placées dans des institutions. Il s’ensuit que peu de personnes se rendent compte qu’il existe maintenant presqu’une génération entière atteinte d’autisme. Si les gens pouvaient vraiment se rendre compte de ce qui a changé au cours des 30 dernières années, ils ouvriraient de très grands yeux !

Je me suis finalement joint à l’équipe de VAXXED qui, de ville en ville tente d’informer un maximum de personnes, comme de filmer les témoignages de victimes.

Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)
Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)

Nous avons eu le cœur brisé en filmant quantités de victimes

Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)
Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)

Quand nous regardions l’expression des parents, c’était tout autre chose que des statistiques. Ils veulent nous réduire à des statistiques ! J’ai ainsi filmé plus de 800 histoires de complications vaccinales au cours des 4 mois de notre périple avec le bus VAXXED. J’espère que ces témoignages, visibles sur internet, ouvriront les yeux de beaucoup et pourront sauver des vies.

Quand, dans les salles, nous demandions que les personnes qui avaient connu des complications vaccinales se lèvent, il y avait parfois les ¾ de la salle qui se tenaient debout. C’était tellement émouvant que pas mal de gens éclataient en larmes.

Combien de victimes ou parents de victimes ne sont-ils pas venus écrire leur nom sur le bus, qui sont venus prier, pleurer devant le bus ou même s’effondrer. Le bus est devenu un énorme symbole.

Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)
Le mythe vaccinal (et toutes les souffrances qu'il y a derrière...)

                                   Le geste d’une petite fille qui en dit long !

Dr Wakefield, le petit garçon de Josh, Polly, le deuxième petit fils de Josh, Del Bigtree (réalisateur du film VAXXED)

Dr Wakefield, le petit garçon de Josh, Polly, le deuxième petit fils de Josh, Del Bigtree (réalisateur du film VAXXED)

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