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15 décembre 2016 4 15 /12 /décembre /2016 09:12

Qui n'a jamais déjà entendu de la bouche de tel ou tel médecin-perroquet qu'en se vaccinant contre le tétanos, on ne pouvait plus faire cette maladie, que le vaccin était "une arme absolue"? Mais que dit vraiment la littérature médicale à ce sujet? La question mérite d'autant plus d'être posée que TOUT vaccin antitétanique contient notamment du formaldéhyde qui est un cancérigène certain (alors que le potentiel cancérogène des vaccins n'est jamais testé!) ainsi que de l'aluminium neurotoxique qui va notamment, rappel après rappel, s'accumuler de façon irréversible au niveau cérébral en favorisant des maladies neurologiques comme Alzheimer, nettement plus fréquentes que les cas rarissimes de tétanos (une vingtaine de cas annuels à tout casser dans un pays comme la France, pour se faire une idée).

 

NB: En Belgique, et ce depuis 2003, tout vaccin contre le tétanos est TOUJOURS couplé au minimum avec la valence diphtérique (pas si anodine que cela, mais au contraire assez réactogène, encore plus chez l'adulte) suite à une décision de nos "bons experts" au sujet de la sacrosainte "couverture vaccinale"[info diphtérie ici].

Infection tétanique chez un patient qui avait un taux "protecteur" d'anticorps...

Un cas d’infection tétanique chez un adulte avec un niveau protecteur d’anticorps antitétaniques

 

Vollman KE, Acquisto NM., Bodkin RP

Am J Emerg Med. 2014 Apr;32(4):392.e3-4. doi: 10.1016/j.ajem.2013.10.025. Epub 2013 Oct 15. Am J Emerg Med. 2014 Apr;32(4):392.e3-4. doi: 10.1016/j.ajem.2013.10.025. Epub 2013 Oct 15.

 

Résumé

 

Le tétanos est une infection bactérienne causée par le clostridium tetani. La maladie prend le plus souvent l’aspect d’un trismus ou d’autres spasmes musculaires. Malgré le développement du vaccin contre le tétanos, une infection tétanique n’a pas pu être éradiquée. En outre, alors que l’hypothèse a été émise que des taux suffisants d’anticorps étaient protecteurs, il peut arriver que l’infection tétanique puisse cependant se produire chez des personnes parfaitement vaccinées.

 

Nous rapportons ici le cas d’un homme de 31 ans qui s’est présenté  aux urgences, alors que depuis 2 jours il souffrait de douleurs au cou et à la mâchoire. Cet homme explique que 10 jours avant il s’est perforé la main avec un clou rouillé. Il a expliqué qu’il avait reçu son dernier rappel 13 ans plus tôt. Aux urgences, on lui administra le vaccin antitétanique, des immunoglobulines antitétaniques, ainsi que du métronidazole. Ses symptômes s’améliorèrent au cours des deux jours qui suivirent et le problème fut résolu le sixième jour. Malgré le fait qu’il présentait une infection tétanique et que d’autres causes qui auraient pu expliquer ses symptômes aient été exclues, son taux d’anticorps antitétaniques était de 8,4 U/mL*, un taux qui est jugé protecteur. Un taux d’anticorps antitétanique qui est suffisant pour assurer une immunité protectrice ne devrait pas empêcher un traitement de l’infection tétanique. L’histoire de ce cas démontre qu’il est nécessaire qu’une histoire complète du cas soit examinée, qu’un examen physique soit effectué et que d’autres causes possibles soient écartées pour pouvoir guider un traitement quand une infection tétanique est à craindre.

 

Source: Pubmed

 

** Le taux protecteur minimal est de 0,01UI/ml de sang (soit 10UI/l). Les instances comme OMS et les services d'urgence se basent sur des tests pour lesquels le taux d'anticorps soi-disant protecteur est de 0,1UI/ml (voire 0,15 UI/ml). Le patient dont le cas est présenté ci-dessus présentait donc un taux plus de 80 fois supérieur à ce qui est jugé satisfaisant dans les services d'urgences...

 

Cette publication scientifique peut-être notamment complétée par les données suivantes (en anglais):

 

"Immunization does not rule out tetanus" (= "La vaccination ne permet pas d'exclure le (diagnostic) de tétanos"), Dr Vinson, British Medical Journal, 2000.

 

Tetanus toxoid  vaccination: An overview by Dr Kris Gaublomme

 

Sur le caractère "scientifique" des recommandations vaccinales en matière de tétanos, une maladie qui est, rappelons-le, non immunisante (donc pour laquelle, la Nature n'a PAS prévu que des anticorps naturels puissent prévenir d'une nouvelle atteinte), on appréciera notamment le sérieux du différentiel des recommandations entre la France et la Belgique. En France, en effet, il est préconisé aux adultes de - de 65 ans, une revaccination tous les 20 ans, alors qu'en Belgique, le calendrier vaccinal maintient le rappel tous les 10 ans. Pourtant, il convient de savoir à ce sujet deux aspects très importants:

 

- " Des études cliniques ont montré que les patients étaient porteurs d’antitoxines à des taux dits protecteurs pour 95 % d’entre eux après 5 ans et 91 % d’entre eux après 10 ans. " (source: Document de la Haute Autorité de Santé française, 2009, voir p. 6/36)

 

- Plus haut est le taux résiduel d'anticorps au moment d'une revaccination, plus élevé sera aussi le risque d'effets secondaires (et la raison simple en est qu'au lieu que le corps fabrique surtout de nouveaux anticorps à partir du vaccin,  les anciens anticorps, liés aux précédentes vaccinations, vont s'accoupler de façon privilégiée aux antigènes de la nouvelle vaccination et former ce qu'on appelle des "complexes immuns", susceptibles de migrer au niveau des vaisseaux, des articulations, en donnant lieu à de fâcheuses complications comme des arthrite, des vascularites etc.)

 

> En conclusion: Pour ceux désirant absolument se faire vacciner contre le tétanos, il est aberrant (et même illogique tout en restant strictement dans le cadre de leurs propres croyances!) d'accepter le principe de rappels automatiques, à date fixes. En lieu et place, nous préconisons à ces personnes de faire pratiquer à tout le moins un dosage d'anticorps préalable à toute revaccination (tout en sachant, comme on l'a vu ci-dessus, que même avec un taux d'anticorps soi-disant "protecteur", les sujets peuvent cependant encore faire la maladie).

 

Par ailleurs, la loi sur les droits du patient (4 mars 2002 en France; 22 août 2002 en Belgique) stipule ce que doit comprendre normalement un consentement libre et éclairé: une information SUFFISANTE sur les risques du traitement, même sur les risques soi-disant "rares" (nature, fréquence, gravité) mais aussi sur l'efficacité attendue ET sur les alternatives possibles en prévention comme en traitement. En matière de vaccins plus que dans tout autre domaine médical, il est coutume de répéter qu'il n'y a RIEN D'AUTRE DE POSSIBLE/FAISABLE. Ahh bon?! En est-on vraiment si sûr?

Comparaison de la mortalité tétanique avec et sans traitement à la vitamine C chez les sujets de 1 à 30 ans (il est évident qu'il ne s'agit pas des doses ridiculement faibles et insuffisantes, telles que préconisées dans les "AJR"/apports journaliers recommandés de l'ordre de quelques centaines de mg!) Mais quel médecin vous parlera donc de ça?

Comparaison de la mortalité tétanique avec et sans traitement à la vitamine C chez les sujets de 1 à 30 ans (il est évident qu'il ne s'agit pas des doses ridiculement faibles et insuffisantes, telles que préconisées dans les "AJR"/apports journaliers recommandés de l'ordre de quelques centaines de mg!) Mais quel médecin vous parlera donc de ça?

En lien avec la dia ci-dessus et de façon complémentaire, ne manquez pas non plus cet excellent article-ci sur la pertinence du chlorure de magnésium !

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14 décembre 2016 3 14 /12 /décembre /2016 21:28

Certains vaccins pourraient doper les virus au lieu de les éradiquer

Légende "savoureuse" de cette photo sur le site de Sud Ouest disant: "Les vaccins humains actuels sont "parfaits", mais des risques persistent pour les vaccins en cours d'élaboration © AFP ALIX GUIGON

Légende "savoureuse" de cette photo sur le site de Sud Ouest disant: "Les vaccins humains actuels sont "parfaits", mais des risques persistent pour les vaccins en cours d'élaboration © AFP ALIX GUIGON

28/07/2015 (mais reste hélas tout à fait actuel...)

 

Des chercheurs britanniques ont constaté l'aggravation des symptômes d'un virus chez les animaux alors qu'ils avaient subi préalablement une grande campagne de vaccination

 

Certains vaccins pourraient doper la virulence de maladies, selon une recherche sur le virus de la maladie de Marek chez les volailles. C'est la première fois que ce phénomène est observé lors d'une expérience, ce qui conforte une hypothèse controversée.

 

De tels vaccins dit imparfaits protégeraient les individus vaccinés tout en permettant au virus de survivre et d'évoluer pour devenir plus virulent. Il infecterait ainsi les sujets qui n'ont pas eu le vaccin, les rendant encore plus malades, expliquent ces chercheurs dont les travaux paraissent dans la revue américaine PLOS Biology.

 

"Les tests effectués avec le vaccin imparfait contre le virus de la maladie de Marek chez des poulets vaccinés et non-vaccinés, ont révélé que les non-vaccinés sont morts en dix jours tandis que ceux avec le vaccin ont survécu mais en continuant à transmettre un virus plus dangereux aux autres volailles avec lesquelles ils étaient en contact", explique le professeur Venugopal Nair, un des principaux co-auteurs de ces travaux.

 

Ces chercheurs n'ont pas pu prouver que le vaccin était directement responsable de l'évolution de ces souches plus virulentes. Ce n'est pas aussi clair que le phénomène d'évolution des microbes qui deviennent résistants aux antibiotiques.

 

Mais cette recherche montre la forte corrélation entre la vaccination et le développement de souches du virus qui sont devenues, avec le vaccin, beaucoup plus dangereuses pour les volailles. Avant les vastes campagnes de vaccination pour protéger les élevages, cette maladie n'était pas mortelle et sa contagion était beaucoup plus lente, rappellent ces scientifiques. 

 

Inquiétude pour les vaccins en développement 

 

Mais ce phénomène n'a été observé, jusqu'à présent, qu'avec des vaccins contre des agents pathogènes affectant les animaux. Les vaccins humains actuels sont "parfaits", permettant à la fois de protéger les personnes contre les virus et d'empêcher la transmission.

 

"Quand un vaccin fonctionne parfaitement comme ceux contre la variole, la polio ou la rougeole pour les enfants, les sujets vaccinés sont non seulement protégés, mais ils ne transmettent pas le virus aux non-vaccinés", a souligné Andrew Read, un autre co-auteur.

 

Ces vaccins sont conçus pour reproduire une forte réaction immunitaire que le corps humain développe naturellement après avoir été exposé à ces maladies.

 

Mais il y a une inquiétude pour les futurs vaccins actuellement en développement contre Ebola, le paludisme ou dans le futur, contre le VIH, le virus responsable du sida, ont estimé ces scientifiques.

 

Dans la mesure où il est quasiment impossible de développer une immunité naturelle totale contre ces infections il est probable que les premiers vaccins efficaces qui seront produits seront "imparfaits" avec un risque d'intensifier la virulence de ces virus, estiment les chercheurs.

 

Mais ils s'accordent à dire avec d'autres scientifiques qu'un vaccin même "imparfait" sera mieux que rien et représentera malgré cela une percée très importante contre ces maladies dévastatrices. 

 

Source : Sud Ouest

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 22:04

Le nombre d’hospitalisations liées à une maladie de type polio passe à 9 après la mort d’un enfant

 

Fox News.com, 2 novembre 2016

 

 

Daniel Ramirez est décédé d’une maladie que les médecins pensent être une myélite  flasque aiguë

Le nombre d’hospitalisations liées à une maladie de type polio passe à 9 après la mort d’un enfant

La famille Ramirez a ouvert un compte pour venir en aide aux soins médicaux de ces enfants. Ils ont fait parvenir cette photo

 

Des responsables de la Santé de Washington ont déclaré mardi qu’ils enquêtaient sur un groupe de malades atteints d’une maladie de type polio. Neuf enfants ont jusqu’ici été hospitalisés et un garçon de 6 ans est décédé.

 

Le Seattle Times a rapporté qu’un porte-parole du département de la Santé de l’état a confirmé que deux des neuf enfants hospitalisés ont été testés positifs pour une maladie à virus rare, connue sous le nom de myélite flasque aiguë (AFM). Le département signale que ces enfants ont tous perdu de la force dans un ou plusieurs de leurs membres ou ne peuvent plus faire de mouvements. Le Centre Américain de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) a signalé une augmentation des cas de myélite flasque aiguë de 2015 à 2016.

 

Il n’y a rien qui indique une cause individuelle pour aucun des cas ou un quelconque lien entre les cas » a déclaré Julie Graham au Seattle Times. Les enfants ont entre 3 et 14 ans.

 

Le garçon qui est décédé au cours du week-end, connu sous le nom de Jonathan Daniel Ramirez Porter de Bellinham était soupçonné avoir souffert de myélite flasque aiguë. […]

 

Les médecins disent que la myélite flasque aiguë n’est pas contagieuse, mais qu’il n’existe aucun vaccin pour cette maladie. Cette maladie semble être une réaction anormale à diverses affections, y compris le virus du Nil occidental et le rhume.

 

Les parents Ramirez ont déclaré aux médias locaux que l’enfant avait été envoyé à l’hôpital avec des symptômes de rhume et des étourdissements. En quelques heures, il fut paralysé et ne put jamais récupérer.

 

Les officiels ont déclaré que cinq enfants étaient sortis des hôpitaux locaux.

 

Deux cas de myélite flasque aiguë ont aussi été enregistrés dans l’état de Washington il y a deux ans. Un de ces patients est resté paralysé à partir du cou.

 

Source : Foxnews

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1 novembre 2016 2 01 /11 /novembre /2016 10:40

Voilà une information (datant déjà de quelques mois, il est vrai, mais restant néanmoins très actuelle) qu'on ne répétera jamais assez en ces temps de période vaccinale contre la grippe. Elle démontre que les prétendues "solutions" d'hier sont, en vaccinologie, les fracassants échecs d'aujourd'hui... A méditer en cette fête des (vaccins) morts!

Les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC)  mettent fin à l’utilisation du vaccin (Spray nasal) contre la grippe

Le fiasco prévisible du vaccin nasal contre la grippe (pourtant jadis vanté lui aussi comme indispensable...)

Il y a quelques jours, un Comité consultatif des Centres de Contrôle des Maladies (CDC) a voté contre l’utilisation du vaccin nasal contre la grippe pour la prochaine campagne de vaccination contre la grippe en raison de son extrême inefficacité. Le groupe de travail du CDC connu sous le nom de Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) a annoncé que le vaccin vivant atténué n’avait que 3% d’efficacité pour les enfants de 2 à 17 ans. Ce groupe d’experts des vaccins a déclaré qu’ « aucun effet protecteur ne pouvait vraiment être mesuré ».

 

Dans la population générale, l’efficacité globale du vaccin contre la grippe était de seulement 49% [1]

 

L’Académie Américaine de Pédiatrie avait déjà officiellement recommandé de mettre fin à l’utilisation du vaccin à spray nasal contre la grippe. [2]

 

Ce vote qui marque l’absence de confiance dans ce vaccin nasal intervient après trois saisons d’inefficacité.

 

A propos du vaccin spray nasal contre la grippe

 

Le vaccin à pulvérisation nasale contre la grippe est connu dans les  milieux médicaux comme le vaccin vivant atténué contre la grippe. Il est connu du public sous le nom « Flumist ». Il a été autorisé en 2003 comme vaccin « trois en un ». Depuis lors, et selon le fabricant, 116 millions de doses ont été distribuées dans le monde entier. [3] Les ventes du vaccin Flumist aux Etat-Unis au cours de l’exercice 2015 se sont élevées à 206 millions de dollars. Les ventes à l’échelle mondiale ont été de 290 millions de dollars.

 

Les données suggèrent que jusqu’à un tiers des enfants qui ont jusqu’à présent été vaccinés contre la grippe l’ont été au moyen du vaccin nasal. Pour la prochaine saison, le vaccin à spray nasal était censé représenter huit pour cent des doses de vaccin contre la grippe aux Etats-Unis.

 

Un manque d’efficacité

 

Les données du CDC montrent, qu’au cours des dernières saisons de grippe, le vaccin à pulvérisation nasale a été inefficace pour prévenir la grippe chez les enfants. Au cours de la saison 2013-2014,  ce vaccin n’a montré « aucune efficacité mesurable ». Au cours de la saison 2014-2015, aucun de ces vaccin  n’a bien fonctionné contre la grippe chez les enfants âgés de deux à huit ans. [4]

 

Encore plus choquant, le CDC admet sur son propre site web que les vaccins contre la grippe sont inefficaces dans la prévention de la grippe chez les enfants.« Depuis que le CDC a commencé à mesurer l’efficacité du vaccin en 2004-2005, les estimations d’efficacité ont varié de 10% à 60%. »

 

AstraZeneca, le fabricant du FluMist, a contesté les conclusions du CDC, mais déclare que son vaccin à spray nasal contre la grippe a eu une efficacité de 48-56% au cours de la dernière saison de grippe.

 

Ce vaccin à spray nasal contre la grippe, possède la possibilité de répandre le virus de la grippe d’une personne vaccinée à une autre personne. Une étude a été menée chez des enfants d’une garderie, et la probabilité de contracter le virus de la grippe à partir d’un enfant qui avait reçu le vaccin à spray nasal a été estimée à 2,4%. Suite à cette possibilité d’excrétion du virus, ces vaccins à spray nasal pourraient théoriquement avoir causé plus de cas de grippe qu’ils n’en aient empêchés. [5]

 

Le Dr Margot Savoy, membre de l’Académie Américaine des Médecins de Famille, a mis en garde ses collègues médecins. «  Vous ne devriez pas utiliser le LAIV (Live Attenuated Influenza Vaccine) que vous auriez commandé pour des adultes ou des enfants…Ce vote ne laisse aucune place pour l’utilisation du LAIV dans aucune population. » [6]

 

Une recherche dans les rapports du VAERS montre qu’avec l’utilisation du FluMist, 2.893 effets secondaires ont été rapportés. [7]

 

Conclusion

 

Enfin, après des années de recueil de données, il n’est plus possible de cacher le manque d’efficacité de ce vaccin. Même le gouvernement et les organisations professionnelles ont été obligées de prendre bonne note du fait que  les vaccins contre la grippe ne fonctionnent pas.

 

Les parents informés savent qu’il existe des moyens plus sûrs et plus efficaces de garder leurs enfants en bonne santé sans qu’il soit nécessaire de leur injecter des vaccins qui contiennent des ingrédients toxiques.

 

Vous faites-vous vacciner ou faites-vous vacciner vos enfants contre la grippe ? S’il vous plaît, ayez la gentillesse de partager l’information de cet article avec d’autres !

 

Références:

 

  1. http://www.cdc.gov/media/releases/2016/s0622-laiv-flu.html
  2. http://www.aappublications.org/news/2016/06/22/InfluenzaVaccine…
  3. https://www.astrazeneca.com/media-centre/press-releases/2016…
  4. http://www.cdc.gov/media/releases/2015/s0226-acip.html
  5. http://www.fda.gov/downloads…ApprovedProducts/UCM294307.pdf
  6. http://www.aafp.org/news/health-of-the-public/20160623laivvote.html
  7. https://vaers.hhs.gov/data/data

 

Source: Vactruth

En 2002, les CDC américains ont "la bonne idée" de recommander la vaccination annuelle de tous les enfants de - de 5 ans contre la grippe: il s'en suit une HAUSSE de la mortalité liée à la grippe chez les enfants.... BRAVO!

En 2002, les CDC américains ont "la bonne idée" de recommander la vaccination annuelle de tous les enfants de - de 5 ans contre la grippe: il s'en suit une HAUSSE de la mortalité liée à la grippe chez les enfants.... BRAVO!

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14 octobre 2016 5 14 /10 /octobre /2016 16:19

Les vaccins ont-ils vraiment éradiqué la polio ?

 

Dr Suzanne Humphries, MD., néphrologue, 26 juin 2016

 

 

La tendance d’un programme de vaccination de masse est  de traiter les gens en troupeau. Mais les gens ne sont pas des bovins ou des moutons. Il n’est pas question de vouloir les parquer comme du bétail. Un programme de vaccination de masse porte en lui la tentation inhérente à simplifier les problèmes, à exagérer les avantages afin de minimiser ou même ignorer complètement les dangers, à décourager ou à réduire au silence certains experts, comme aussi toute opposition prudente et réfléchie. Il faut créer une urgence là où ce n’est pas nécessaire, attiser l’enthousiasme qui peut être porteur du germe de l’impatience, voire de l’intolérance. Il faut mettre l’accent sur le pouvoir qu’a la police d’état de mettre les gens en quarantaine, bien au-delà des réelles nécessités, faire croire à la simplicité quand, en fait, ces problèmes sont très complexes, finalement de soutenir un vaccin qui a depuis longtemps été discrédité… et ridiculiser le consentement honnête et éclairé [1]

 

Il y a beaucoup de confusion au sujet de la vaccination, en particulier chez les médecins endoctrinés qui ont fait confiance à leurs écoles de médecine. Il y a aussi le public qui ne se doute de rien et qui leur fait confiance…parce que l’establishment médical doit savoir mieux, non ? Et puis les médecins sont des gens très bien qui veulent faire ce qui a de mieux. Tout à fait exact.

 

Mais, j’ai moi aussi fait partie de ces médecins endoctrinés qui croyaient à la bienveillance du système médical, et je pensais que tout ce que j’apprenais, c’étaient les meilleures solutions que le monde moderne avait à offrir. Il est maintenant extrêmement clair pour moi que beaucoup de ce qui m’a été enseigné en Faculté de Médecine est extrêmement limité. Je vois maintenant que la plupart des médecins sont à peine plus que des techniciens-esclaves aveugles qui suivent docilement les dogmes qui leur ont été inculqués et qui sont en fait récompensés pour répéter, répéter, alors même que la vérité qui se déroule devant leurs yeux est d’un tout autre ordre.

 

A l’insu de la plupart des médecins, l’histoire de la polio a impliqué une refonte massive des services de santé publique, à une époque où, une souche mortelle du virus de la polio avait infecté les vaccins Salk et paralysé des centaines d’enfants, ainsi que leurs contacts. Il s’agissait des vaccins qui étaient soi-disant responsables de la baisse des cas de poliomyélite entre 1955 et 1961 ! Mais il y a une raison plus sinistre pour expliquer le « déclin » des cas de poliomyélite au cours de ces années. En 1955, on inventa une redéfinition très créative des infections à poliovirus pour « camoufler » le fait que, dans de nombreux cas de « polio » paralytique, aucun virus de la polio n’était détectable (Traduction littérale : « qu’il n’y avait pas le moindre virus de la polio dans leurs systèmes ») Alors que ce stratagème protégeait la réputation du vaccin Salk, il brouillait du même coup énormément les cartes de toute cette histoire.

 

Même pendant les épidémies de pointe, l’infection unifactorielle par le virus de la polio entraînant une paralysie à long terme était une maladie de très faible incidence [2] qui fut faussement représentée par les campagnes  publicitaires de Basil O’Connor  comme une grande cause d’invalidité  omniprésente. Au même moment où Basil O’Connor utilisait 45 millions de dollars pour financer le développement du vaccin Salk, les scientifiques ont commencé à réaliser que d’autres virus comme le Coxsackie, l’Echo et des entérovirus pouvaient aussi provoquer les symptômes de la polio. Ces scientifiques ont également discuté du fait que le plomb, l’arsenic, le DDT et autres neurotoxines couramment utilisées pouvaient, de manière identique, imiter les lésions de la poliomyélite. Pendant les grandes épidémies de polio aux Etats-Unis, la pathologie appelée « polio » a été renversée par des médecins alternatifs qui obtenaient de grands succès en utilisant les procédures de désintoxication disponibles à l’époque – mais ils furent finalement et catégoriquement ignorés.[3]

 

Maintenant, il est admis dans la littérature médicale que d’autres virus peuvent causer la polio, bien que l’homme de la rue n’en soit pas nécessairement informé.

 

Avant 1954, ce qui suit était, sans aucun doute, caché sous le nom de « poliomyélite » :

 

myélite transverse, méningite virale ou « aseptique », Syndrome de Guillain Barré (GBS)- ce qui fut la maladie de Franklin Roosevelt [4] Syndrome Paralytique Chinois, Syndrome de Fatigue Chronique, Epidémie de choléra, Choléra morbus, méningite cérébro-spinale, fièvre intermittente inhibitrice, Apoplexie spinale, Paralysie, « worm fever », ergotisme, Syndrome post-polio, Paralysie flasque aiguë.

 

Le terme générique « Paralysie flasque aiguë » inclut : la poliomyélite, la myélite transverse, le Syndrome de Guillain Barré, l’encéphalopathie à entérovirus, la névrite traumatique, le Syndrome de Reye, etc.

 

Avant que vous croyiez que la polio ait été éradiquée, jetez un coup d’œil à ce graphique de l’AFP sur la polio :

Les vaccins ont-ils vraiment éradiqué la polio ?

Quand les gens me demandent où ont disparu les enfants qui étaient dans des poumons d‘acier, je suis tentée de leur répondre de demander au Dr Douglas Kerr de l’hôpital John Hopkins qui a écrit à la page XV du livre de Donna Jackson Nakazawa : «  L’épidémie auto-immune »…

 

« Des nourrissons de l’âge de 5 ans peuvent faire une myélite transverse, et certains restent définitivement paralysés, dépendant d’un respirateur…mes collègues à l’Hôpital John Hopkins et moi-même entendent parler ou traitent des centaines de nouveaux cas chaque année. »

 

Le public a-t-il la moindre idée qu’il existe des centaines de cas d’une maladie qui aurait jadis été diagnostiquée « polio » et que certains de ces enfants dépendront d’une version moderne du poumon d’acier ? NON !

 

Aujourd’hui, les parents pensent que le vaccin Salk a éliminé toute nécessité d’avoir recours à une version moderne du poumon d’acier parce qu’on a éliminé toutes ces photos d’enfants se trouvant dans des poumons d’acier et qui entretenaient la peur. En outre, il faut signaler que les « poumons d’acier » d’aujourd’hui ne ressemblent plus du tout  à des prototypes de sous-marins. Les ventilateurs aujourd’hui sont à peine reconnaissables.

 

Le vaccin contre la polio a reçu la licence la plus rapide de toute l’histoire de la FDA. Il a été approuvé pour la commercialisation après une délibération qui a seulement duré deux heures, dans un environnement sous pression….

 

Auparavant, le vaccin avait été distribué en tant que produit expérimental (et non sous licence)… Le comité a été invité à prendre une décision très rapide. [5]

 

[…] Aucun vaccin n’est sûr. Qu’un vaccin soit « efficace » signifie qu’il génère une réponse d’anticorps, et non pas qu’il est nécessairement susceptible d’empêcher la maladie.- Il y a beaucoup de façons de garder les enfants en bonne santé, autrement qu’en leur injectant des éléments de maladie, des produits chimiques, de l’ADN animal, des protéines animales, des détergents, des agents tensioactifs qui affaiblissent la barrière hémato-encéphalique, ce qui pourrait causer une inflammation comme bien d’autres problèmes.

 

Savez-vous quel enseignement les médecins reçoivent en Faculté sur les vaccins ?

 

Lors de la formation en pédiatrie, nous apprenons que les vaccins doivent être administrés dans des délais déterminés. Nous apprenons que la variole et la polio ont été éliminées par les vaccins. Nous apprenons qu’il n’y a pas besoin d’apprendre comment traiter la diphtérie parce que nous ne rencontrerons plus cette maladie. Nous sommes endoctrinés par le mantra : « les vaccins sont sûrs et efficaces » - Aucune de ces affirmations n’est vraie.

 

Les médecins d’aujourd’hui sont surtout formés pour apprendre comment parler aux parents « hésitants » - comment leur faire peur en gonflant considérablement les risques des infections naturelles. Ils sont formés à pousser les parents à se conformer, ou à les expulser de leur clientèle. Rien de mal ne peut être dit au sujet de quelque vaccin que ce soit. Point final.

 

[…] Si vous avez des doutes sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins, de grâce restez curieux et continuez à vous documenter, car la santé de vos enfants pourrait en dépendre. Vous aurez certes pas mal de travail de déprogrammation à faire, tout comme cela s’est produit pour la plupart d’entre nous.

 

Conseil Médical International sur la Vaccination – www.vaccinationcouncil.org

 

[1] Statement from Clinton R. Miller, Intensive Immunization Programs, May 15th and 16th, 1962. Hearings before the Committee on Interstate and Foreign Commerce House of Representatives, 87th congress, second session on H.R. 10541.

 

[2]  Meier, P. 1978. “The biggest public health experiment ever: The 1954 trial of the Salk poliomyelitis vaccine.”  Statistics: A Guide to the Unknown, Ed. J. M. Tanur, el al., pp. 3-15. San Francisco: Holden Day.

 

[3] Scobey, R. 1952.  “The poison cause of poliomyelitis and obstructions to its investigation.”  Arch.  Pediatr.  April;69(4):172-93.

 

[4] Goldman.2003.”What was the cause of Franklin Delano Roosevelt’s paralytic illness?” J Med Biog, 11:233-240.

 

[5] Opening brief of Defendant and Appellant Cutter Laboratories Gottsdanker v. Cutter Laboratories (1960) 182 Cal. App.2d 602 pp. 31-33.

 

Source : Health Impact News

 

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9 octobre 2016 7 09 /10 /octobre /2016 21:54

Les bactéries de la coqueluche se montrent plus futées que les vaccins – Les experts expliquent pourquoi

 

Par Barbara Loe Fisher, NVIC, Mars 2016

Les bactéries de la coqueluche se montrent plus futées que les vaccins – Les experts expliquent pourquoi

Au cours de la dernière décennie, les Américains ont été soumis à de sévères avertissements par rapport aux cas de coqueluche qui étaient à la hausse. La faute en aurait été aux parents qui ne vaccinent pas leurs enfants.[1,2,3]. Ce mythe remonte en fait au début des années 1980 [4] lorsque des parents d’enfants dont la santé avait été endommagée par le DTC aux Etats-Unis ont demandé des vaccins plus sûrs, tout en découvrant en même temps que le vaccin contre la coqueluche à cellules entières n’avait pas pu empêcher les infections, [5] et alors que l’immunité ne durait que de deux à 5 ans. [6,7]

 

La même vieille excuse « c’est la faute des parents » est à nouveau invoquée au 21ème siècle par les promoteurs de la vaccination forcée et qui veulent éliminer les exemptions [8,9,10,11], tout juste comme une autre génération de parents sont en train de découvrir que les vaccins DTCa acellulaires n’empêchent pas non plus l’infection. [12,13,14] Ces parents découvrent également que l’immunité conférée par le vaccin ne dure au mieux que deux à 5 ans. [15,16,17]

 

Le temps est venu  de dissiper les mythes et les mensonges sur la coqueluche et sur les vaccins contre cette maladie.

 

Il est grand temps de dissiper les mythes et les mensonges qui ont été proférés au sujet de la coqueluche et du vaccin.

Les bactéries de la coqueluche se montrent plus futées que les vaccins – Les experts expliquent pourquoi

En bref :

 

  • FAIT : Tant le vaccin DTC à cellule entière autorisé en 1949 que le vaccin DTCoq acellulaire moins toxique autorisé en 1996 n’empêchent pas l’infection ni la transmission. Il ne fournit au mieux qu’ une immunité temporaire de deux à 5 ans.
  • FAIT : Des millions d’enfants et d’adultes vaccinés contre la coqueluche sont silencieusement infectés par la maladie (Coqueluche) aux Etats-Unis, chaque année, tout en ne présentant que peu ou pas de symptômes. Il n’empêche qu’ils propagent la coqueluche aux enfants vaccinés et non vaccinés – sans que les médecins puissent les identifier et rapporter leurs cas au gouvernement.
  • FAIT : En réponse aux campagnes de vaccination de masse qui ont débuté dans les années 1950, la bactérie de la coqueluche (B.Pertussis) a évolué pour échapper à la fois au vaccin à cellules entières comme au vaccin acellulaire, créant ainsi de nouvelles souches produisant davantage de toxines pour supprimer l’action du système immunitaire et provoquer des maladies plus graves.

Les taux de vaccination contre la coqueluche aux Etats-Unis sont restés très élevés pendant 35 ans.

 

Aux Etats-Unis, les taux de vaccination contre la coqueluche sont restés très, très élevés pendant 35 ans. [18] Sans arrêt, plus de 94 % d’enfants de la maternelle ont reçu de quatre à 5 vaccinations contre la coqueluche, soit le vaccin DTC à cellules entières, soit le DTCa acellulaire.[19] Le taux vaccinal contre la coqueluche pour les enfants de moins de 35 mois [20] s’élève à 94% aujourd’hui et à 88% pour les adolescents qui ont déjà reçu six rappels.[21]

 

Depuis bien longtemps, cela fait beaucoup de vaccinations contre la coqueluche chez les enfants de tous âges, dont beaucoup ont maintenant 20, 30 ou 40 ans.

 

Aux Etats-Unis, les taux de vaccination contre la coqueluche sont restés très, très élevés pendant 35 ans. [18] Sans arrêt, plus de 94 % d’enfants de la maternelle ont reçu de quatre à 5 vaccinations contre la coqueluche, soit le vaccin DTC à cellules entières, soit le DTCa acellulaire.[19] Le taux vaccinal contre la coqueluche pour les enfants de moins de 35 mois [20] s’élève à 94% aujourd’hui et à 88% pour les adolescents qui ont déjà reçu six rappels.[21]

 

Depuis bien longtemps, cela fait beaucoup de vaccinations contre la coqueluche chez les enfants de tous âges, dont beaucoup ont maintenant 20, 30 ou 40 ans.

Les bactéries de la coqueluche se montrent plus futées que les vaccins – Les experts expliquent pourquoi

Alors pourquoi les responsables de la Santé publique déclarent-ils qu’en Floride [22] un grand nombre de petits enfants qui sont vaccinés, que les adolescents de Californie qui sont complètement vaccinés [23], que les frères et sœurs de nourrissons qui sont complètement vaccinés répandent la coqueluche – [24] alors que la plupart ont reçu tous les vaccins recommandés par le CDC ?

 

Avant d’examiner pourquoi les experts se battent entre eux au sujet de la réponse à cette question, examinons de plus près l’histoire des vaccins contre la coqueluche.

 

Le vaccin DTC a reçu sa licence en 1949 et le vaccin DTCa pour les bébés en 1996.

 

La coqueluche était déjà connue au 16ème siècle. La maladie pouvait être particulièrement grave pour les bébés qui éprouvaient de grosses difficultés à respirer suite au mucus qui obstruait leurs minuscules voies respiratoires. [25 ,26]

 

Le premier vaccin brut à cellules entières a reçu sa licence en 1914, [27] mais il n’a été largement administré aux enfants qu’après 1949, quand il a été combiné avec les vaccins contre la diphtérie et le tétanos. [28] Il a été utilisé jusqu’en 1996, quand un vaccin DTCa moins réactif a été autorisé aux Etats-Unis. [29]

 

En 2014, les responsables de la Santé publique ont indiqué que 86% des enfants du monde avaient au moins reçu trois vaccins contre la coqueluche [30]. Ils estiment cependant qu’il existe encore 16 millions de cas de coqueluche, et sur un plan mondial,195.000 décès dus à la coqueluche, chaque année. [31]

 

Les décès par coqueluche ont baissé de 75% avant que le DTC obtienne sa licence en 1949

 

Mais que penser des décès dus à la coqueluche aux Etats-Unis ?

 

Dans notre pays, les décès dus à la coqueluche ont chuté de plus de 75% entre 1922 et 1948, l’année qui a précédé l’obtention de la licence pour le vaccin. En 1948, le taux de mortalité représentait moins d’1 cas de décès par coqueluche pour 100.000 personnes et n’a jamais été plus élevé. [32 33].

 

En 2013, environ 29.000 cas de coqueluche ont été déclarés, ainsi que 13 décès liés à la coqueluche en Amérique, dont neuf décès chez les nourrissons de moins d’un an. [34]

 

Cependant, le nombre de cas de coqueluche rapportés ne correspond pas au nombre total de cas réels de coqueluche en Amérique. La plupart des cas de coqueluche, comme la plupart des réactions aux vaccins ne sont ni diagnostiqués ni rapportés par les médecins au gouvernement. [35] Les responsables de la Santé publique admettent qu’ils ne disposent pas toujours de tests de laboratoire fiables pour mesurer l’immunité contre la coqueluche et ne peuvent pas se mettre d’accord sur la façon de diagnostiquer la coqueluche lorsque des personnes infectées, en particulier les personnes vaccinées, se présentent dans leurs cabinets avec des symptômes atténués. [36,37,38]

 

Aux Etats-Unis, des millions de cas de coqueluche chez des personnes vaccinées ne sont ni diagnostiqués, ni rapportés aux autorités de Santé

 

Mais ce que les responsables de la Santé publique savent depuis longtemps,  tout en n’en parlant pas publiquement, c’est que des millions d’enfants et d’adultes vaccinés aux Etats-Unis attrapent la coqueluche et ne sont jamais identifiés. [39,40,41,42]  Il est bien exact que des millions d’infections de la coqueluche se développent aux Etats-Unis chez des personnes vaccinées, mais les médecins ne les diagnostiquent pas et ne les rapportent pas aux autorités.

 

En fait, si vous ou votre enfant avez été vacciné ou non, vous pouvez attraper une infection coquelucheuse asymptomatique silencieuse et la transmettre à quelqu’un d’autre sans même le savoir. [43,44, 45].

 

L’enfant qui est assis à côté de vous dans le bus, dans une salle de classe, au cinéma ou dans le cabinet du médecin et qui présente peu ou pas de toux pourrait être infecté par la coqueluche, même s’il a reçu toutes les doses recommandées contre la coqueluche par le gouvernement fédéral.

 

Pas question d’immunité de groupe : les vaccins n’empêchent pas l’infection ou la transmission

 

Quand il y a beaucoup de personnes ayant des infections asymptomatiques de la coqueluche, il est impossible de savoir si telle ou telle personne transmet la maladie, ce qui signifie que les cas de coqueluche signalés ne représentent que la pointe émergée de l’iceberg. Cela signifie également que les articles qui accusent les enfants non vaccinés ne représentent rien d’autre que la volonté de trouver des boucs émissaires ou que des vœux pieux. [46]

Les bactéries de la coqueluche se montrent plus futées que les vaccins – Les experts expliquent pourquoi

En fin de compte : l’immunité acquise naturellement et l’immunité acquise par le vaccin sont toutes les deux temporaires [47] et alors que la vaccination peut prévenir les symptômes cliniques, elle ne bloque pas l’infection, ou la transmission de la maladie. Si les gens vaccinés peuvent être silencieusement infectés et transmettre l’infection sans manifester de symptômes – même après avoir reçu de quatre à six vaccins contre la coqueluche – alors « l’immunité collective » qui serait acquise grâce au vaccin n’est qu’une illusion, comme elle l’a toujours été.

 

Alors la grande question se résume à ceci : pourquoi plus d’un demi-siècle de vaccination contre la coqueluche n’a-t-il pas réussi à produire une véritable immunité collective comme les responsables de la Santé publique prétendent qu’elle est théoriquement possible, si de plus en plus de vaccins sont administrés la plupart du temps à de plus en plus de personnes ? [48,49]

 

Le vaccin DTC extrêmement réactif et le DTCa beaucoup moins réactif ont tous deux une faible efficacité

 

La bactérie B.Pertussis a évolué au cours des 65 dernières années pour échapper aux vaccins à cellules entières et aux vaccins acellulaires commercialisés par les firmes pharmaceutiques. Les médecins ont ensuite entrepris une croisade agressive pour tuer ces espèces de bactéries dont ils savent très peu de chose. [50, 51]

 

Une revue de la littérature médicale révèle que les experts sont mécontents à propos de leur manque de connaissances de la bactérie B. Pertussis. [52]. Ils se disputent entre eux pour savoir si, quand, comment et pourquoi les vaccins anticoquelucheux n’ont toujours pas réussi à réaliser l’immunité de groupe pour éviter que la bactérie de la coqueluche ne se répande dans les populations hautement vaccinées sur un plan mondial. [53,54,55]

 

L’ensemble dérangeant des faits scientifiques sur lesquels ils se penchent sont : 

 

FAIT : l’efficacité (formation d’anticorps) du vaccin anticoquelucheux à cellules entières a été mesurée. Il est efficace (formation d’anticorps) entre 30 et 85%, dépendant du type de vaccin et du fabricant [56,57,58,59,60]. Mais la protection de ce vaccin a duré de deux à cinq ans. [61]

 

FAIT : après qu’environ 1.000 cas de coqueluche aient été rapportés aux Etats-Unis en 1976 [62], il est devenu évident  tout au long des années 1980 et 1990 que le vaccin DTC à cellules entières n’empêchait  ni l’infection ni la transmission [63, 64, 65,66,67]. Les cas de coqueluche ont augmenté parmi des populations hautement vaccinées au cours de cycles de trois à cinq ans – tout comme précédemment le vaccin DTC avait été largement utilisé dans les années 1950. [68,69,70,71,72]

 

FAIT : Le vaccin DTC à cellules entières utilisé aux Etats-Unis jusqu’à la fin des années 1990 était un vaccin extrêmement réactif. Les réactions au vaccin qui comprenaient de la fièvre, des douleurs, et de l’irritabilité ont touché de 50 à 85% des enfants. Des convulsions et des états de choc se produisaient dans un cas sur 875 vaccinations. [73,74]. L’inflammation du cerveau se produisait dans un cas sur 110.000 vaccinations. Avec des dommages irréversibles au cerveau dans un cas sur 310.000 vaccinations. [75,76]. Finalement, en 1996, le vaccin DTC à cellules entières peu efficace, mais extrêmement réactif a été remplacé par le vaccin DTCacellulaire, beaucoup moins réactif, mais peu efficace. [77] Comme pour le vaccin à cellules entières, l’efficacité du vaccin acellulaire a montré, au cours des essais cliniques, une efficacité qui variait entre 40 et 89%, selon qu’il s’agissait de tel ou tel producteur de vaccin. [78,79,80]

 

FAIT : Les vaccins anticoquelucheux acellulaires ne préviennent pas l’infection, [81,82]. Il en va de même pour les vaccins à cellules entières. Au 21ème siècle, les épidémies de coqueluche comme les augmentations cycliques des cas ont continué de se produire [83,84,85] – même après qu’une injection de rappel ait été ajoutée au programme pour tous les adolescents et adultes en 2006. [86,87] En 2010, le vaccin DTCa a été jugé efficace à 66% pour fournir une immunité temporaire pour les adolescents et les adultes. [88]

 

La bactérie de la coqueluche a évolué pour esquiver tant le vaccin DTC que le vaccin DTCa.

 

Il y a 18 ans, en 1998, des biologistes moléculaires et d’autres scientifiques ont commencé à avertir que la bactérie de la coqueluche avait commencé à évoluer  pour échapper au vaccin anticoclucheux à cellules entières quand les vaccins DTC ont été administrés en masse aux enfants dans les années 1950. [89,90,91,92]

 

Au cours des deux dernières décennies, ces scientifiques ont publié les preuves tangibles qu’au cours des 65 dernières années, la bactérie B.pertussis s’était efficacement adaptée au deux vaccins, le vaccin à cellules entières et le vaccin acellulaire. [93,94,95]

 

De nouvelles souches de coqueluche plus toxiques qui provoquent des maladies plus graves

 

Dans sa lutte pour survivre la bactérie B.pertussis a créé de nouvelles souches qui produisent davantage de toxines pour supprimer le système immunitaire humain et provoquer de plus graves maladies. Aujourd’hui, les souches de coqueluche comprises dans le vaccin ne correspondent plus aux souches qui provoquent actuellement la coqueluche. [96,97,98,99,100]

 

En fin de compte : Il existe des preuves scientifiques irréfutables que les bactéries B. pertussis ont évolué pour survivre à la pression vaccinale. Il existe maintenant des souches de coqueluche plus virulentes qui sont plus facilement transmises par les enfants et par les adultes vaccinés dont l’immunité s’affaiblit.

 

Un chercheur a commenté en 2009 : «  une question importante à se poser est celle-ci : les autres vaccins utilisés pour les enfants sélectionneraient-ils également des agents pathogènes qui seraient plus facilement transmis, entraînant une augmentation de la virulence ? » [101]

 

La guerre contre la bactérie B.Pertussis et les politiques vaccinales ne reposent pas sur une approche scientifique solide

 

La croisade menée par les responsables de la santé publique pour éliminer la bactérie B.pertussis en multipliant dans le calendrier vaccinal pour les enfants et les adultes,  des doses de vaccins inefficaces- allant jusqu’à envahir ce lieu sacré de l’utérus tout en insistant pour que toutes les femmes enceintes se fassent vacciner [102,103] est un fameux avertissement qui nous incite à la prudence.

Les bactéries de la coqueluche se montrent plus futées que les vaccins – Les experts expliquent pourquoi

Comme nous assistons aux efforts efficaces d’adaptation d’une espèce bactérienne pour survivre à une guerre qui lui a été déclarée, ce qui aujourd’hui est devenu douloureusement clair, c’est que la vaccination de masse n’est pas basée sur une science pure, dure et transparente qui aurait pu être partagée avec toute la population. [104,105] Elle est dirigée par une politique de santé publique qui travaille en partenariat public-privé lucratif entre le gouvernement et l’industrie pour protéger des politiques de vaccination qui ont échoué, tout en ignorant le point de vue de la science pure et dure. [106,107]

 

Ce n’est pas à nous le peuple de faire semblant que la science n’existe pas. Il appartient à chacun d’entre nous d’informer les autorités de santé et le législateur qu’il est de leur responsabilité de nous montrer la science, comme de nous donner le choix en ce qui concerne les vaccins, en particulier lorsqu’aucun fabricant de vaccin, aucun responsable de la santé publique, aucun médecin ne peut être tenu responsable devant un tribunal civil lorsque des vaccins peuvent endommager des vies ou même conduire à la mort. [108]

 

Références 

 

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21 CDC. National, Regional, State and Selected Local Area Vaccine Coverage Among Adolescents Aged 13 to 17 Years – United States, 2014 . MMWR 2015; 64(29): 784-792.

22 Matthias J, Pritchard S, Martin SW et al. Sustained Transmission of Pertussis in Vaccinated, 1–5-Year-Old Children in a Preschool, Florida, USA . Emerging Infectious Diseases Jan. 15, 2016.

23 Klein NP, Bartless S, Fireman B, Baxter R.Waning Tdap Effectiveness in Adolescents. Pediatrics Feb. 3, 2016.

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73 Barkin RM, Pichichero ME. Diphtheria-Pertussis-Tetanus Vaccine: Reactogenicity of Commercial Products. Pediatrics 1979; 63(2).

74 Cody CL, Baraff LJ, Cherry JD et al. Nature and Rates of Adverse Reactions Associated with DTP and DT Immunizations in Infants and Children . Pediatrics 1981; 68(5).

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76 Institute of Medicine. DPT Vaccine and Chronic Nervous System Dysfunction: A New Analysis. Washington, D.C. The National Academies Press 1994.

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87 CDC. Preventing Tetanus, Diphtheria, and Pertussis Among Adults: Use of Tetanus Toxoid, Reduced Diphtheria Toxoid and Acellular Pertussis Vaccines. Recommendations of the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) and Recommendation of ACIP supported by the Healthcare Infection Control Practices Advisory Committee (HICPAC for Use of Tdap Among Health-Care Personnel. MMWR Dec. 15, 2006; 55(RR-17): 1-37.

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92 Mooi FR, vanLoo IHM, King AJ . Adaptation of Bordetella pertussis to vaccination: A Cause for Its Reemergence? Emerg Infect Dis 2001; 7(3): 526-528.

93 Weber C, Boursaux-Eude C, Coralie G et al. Polymorphism of Bordetella pertussis Isolates Circulating for the Last 10 Years in France, Where a Single Effective Whole-Cell Vaccine Has Been Used for More than 30 Years . J Clin Microbiol 2001; 39(12): 4296-4403.

94 Bart MJ, van Gent M, van der Heide HGJ et al. Comparative genomics of prevaccination and modern Bordetella pertussis strains . BMC Genomics 2010; 11: 627.

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99 Guiso N, Hegerle N. Other Bordetellas, lessons for and from pertussis vaccines. Expert Rev Vaccines 2014; 13(9): 1125-1133.

100 Bouchez V, Hegerle N, Strati F et al.New Data on Vaccine Antigen Deficient Bordetella pertussis Isolates. Vaccines (Basel) 2015; 3(3): 751-770.

101 Mooi FR, van Loo IHM, van Gent M et al. Bordetella pertussis Strains with Increased Toxin Production Associated with Pertussis Resurgence . Emerg Infect Dis 2009; 15(8): 1206-1213.

102 CDC. Updated Recommendations for Use of Tetanus Toxoid, Reduced Diphtheria Toxoid and Acellular Pertussis Vaccine (Tdap) in Pregnant Women and Persons Who Have or Anticipate Having Close Contact with an Infant Aged <12 Months --- Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP), 2011 . MMWR Oct. 21, 2011; 60(41): 1424-1426.

103 Healy CM, Rench MA, Wootton SH, Castagnini LA.Evaluation of the impact of a pertussis cocooning program on infant pertussis infection. Pediatr Infect Dis J 2015; 34(1): 22-26.

104 NVIC. National Vaccine Information Center Supports Three of Five Recommendations of New IOM Report on U.S. Childhood Immunization Schedule Safety and Calls for Transparency. Businesswire Jan. 16, 2013.

105 Collins F. Resurgence of Measles, Pertussis Fueled by Vaccine Refusals . NIH Mar. 22, 2016.

106 Fisher BL. The Vaccine Culture War in America: Are You Ready? NVIC Newsletter Mar. 8, 2015.

107 NVIC. National Vaccine Information Center Says Proposed 21st Century Cures Act Will Endanger the Public Health by Lowering FDA Licensing Standards . Businesswire July 22, 2015.

108 Fisher BL. Vaccine Injury Compensation: Government’s Broken Social Contract with Parents. Nov. 2, 2015. NVIC Newsletter Nov. 2, 2016.

 

Source : NVIC

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26 juin 2016 7 26 /06 /juin /2016 17:31

ENCEPHALITE JAPONAISE :

 

Une étude montre que le vaccin actuel contre la souche émergente de l’encéphalite japonaise pourrait ne pas être protecteur

 

Xinhua, 3 mai 2016 (New China)

Encéphalite japonaise: le vaccin actuel pourrait ne pas protéger

Washington, 3 mai (Xinhua)

 

Des chercheurs chinois ont déclaré mardi que les vaccins actuels  ne pouvaient pas protéger les individus contre une souche émergente du virus de l’encéphalite japonaise, la principale cause d’encéphalite virale en Asie.

 

Le virus de l’encéphalite japonaise peut être divisé en cinq génotypes, à savoir de G1 à G5. La souche G5  a été initialement isolée à partir d’un patient et décrite en 1951. Cette souche n’a plus été détectée jusqu’en 2009 où elle a été retrouvée en Chine et ensuite en Corée du Sud.

 

Il n’existe aucun traitement spécifique contre le virus, mais on utilise un certain nombre de vaccins pour protéger les populations locales et les voyageurs. Tous les vaccins sont basés sur les souches de virus G3. Il avait précédemment été démontré qu’ils pouvaient être efficaces contre les souches de G1 à G4.

 

Dans la nouvelle étude publiée dans la revue américaine PLOS (Neglected Tropical Diseases), Guodong Liang et ses collègues du Centre chinois pour le contrôle et la prévention des virus G3 et G5 ont effectué des tests pour vérifier si le vaccin couramment utilisé en Chine pouvait protéger contre les virus G5.

 

Ils ont injecté à des souris le vaccin à base de G3, et ont trouvé que le vaccin protégeait toutes les souris contre une provocation létale avec le virus G3, mais seulement 50% des souris infectées par le virus G5 ont survécu.

 

Ensuite, les chercheurs ont cherché à inactiver les anticorps de 26 enfants de 2 ans qui avaient été vaccinés. Ils furent capables de détecter  des anticorps neutralisants contre les souches G3 chez tous les enfants, mais seuls 35% d’entre eux avaient également des anticorps susceptibles de neutraliser les souches G5.

 

Enfin, les chercheurs ont analysé les échantillons de 45 patients qui avaient été infectés naturellement par le virus. Et alors que  tous les patients avaient des anticorps neutralisants contre les souches G3, seulement 29 parmi les 45 patients, soit 64% avaient la possibilité de neutraliser les souches G5.

 

La plupart de ces derniers étaient des patients plus âgés, tandis que moins de la moitié des moins de 15 ans avaient des anticorps neutralisants contre les virus G5.

 

Les résultats suggèrent que l’infection naturelle par une souche différente pourrait ne pas protéger contre une infection ultérieure de G5, en particulier chez les enfants.

 

Le document précise que « sur base de ces résultats, les chercheurs précisent que le vaccin actuel JE (Encéphalite Japonaise) dérivé du virus G3 JE (JEV) ne fournit pas un niveau adéquat de protection contre les génotypes émergents G5 JEV. »

 

«  Nos résultats démontrent la nécessité d’études plus détaillées pour réévaluer si oui ou non l’émergence apparente du G5 JEV peut être attribuée à l’échec du vaccin actuel pour induire une protection immunitaire appropriée contre ce génotype de JEV. »

 

Source: Xinhuanet

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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 08:34

Des enfants vaccinés attrapent la varicelle

En conséquence, l’école exclut tous les enfants non vaccinés… !

Des enfants vaccinés attrapent quand même la varicelle

Gary Truthkings, 8 mars 2016

 

Une nouvelle violation des droits et de la logique : 15 enfants d’une école maternelle ont été exclus de l’école pendant 21 jours après qu’une « épidémie » de varicelle se soit déclarée. L’épidémie en question ne concernait pas plus de 5 enfants. L’une des mamans, Chelsea Hedrick dont la fille Katie avait été exclue de l’école a décidé de s’exprimer dans le journal « The Charlotte Observer » sur ce qu’elle décrit comme une réaction outrancière du Comté.

 

« Elle se porte à merveille, mais elle ne peut plus aller à l’école pendant 21 jours » explique la maman. «  Les seuls qui sont infectés par le virus sont les seuls qui ont reçu le vaccin ». »

 

La maman Hedrick précise que sa fille, «  peut se rendre à la bibliothèque ; elle peut se rendre à l’épicerie. Nous pouvons aller manger un bout à gauche ou à droite, mais ma fille ne peut pas aller à l’école. Il ne s’agit pas ici d’Ebola; il ne s’agit pas de la peste. Ce n’est que la varicelle. »

 

 

Mais c’est ici que se trouve le cœur de la parodie : les cinq enfants qui ont contracté la varicelle avaient été vaccinés !!

 

Le directeur de l’Union du Comté pour la santé, le Dr  Phillip Tarte le reprécise :  Les cinq enfants  des écoles Poplin et Hemby Bridge qui ont fait la varicelle avaient tous été vaccinés.

 

Ce directeur  de la santé continue à expliquer la manière dont il a voulu assurer la protection des enfants les plus vulnérables. Il précise aussi que le vaccin n’est pas efficace à 100%, ce qui parait être un énorme euphémisme compte tenu que  tous les enfants qui ont attrapé la maladie étaient vaccinés. Les parents devraient tout d’abord avoir le droit de choisir si oui ou non leur enfant pourrait être exposé à la maladie. En deuxième lieu il est triste et même effrayant de faire porter le blâme par les enfants non vaccinés pour une situation qui a été causée par le vaccin lui-même.

 

Le Comté n’est pas obligé de signaler tous les cas de varicelle. Les autorités sanitaires tentent de présenter cette histoire, comme si elles voulaient protéger des enfants innocents d’une maladie que leur système immunitaire pourrait très bien contribuer à juguler. Il convient aussi de faire remarquer que les enfants non vaccinés ne sont pas la cause de ce qui s’est passé. Ce sont les enfants vaccinés qui en sont la cause. En outre, comme ce sont les enfants vaccinés qui ont fait la maladie, pourquoi ne sont-ce pas ces enfants qui devraient être écartés de l’école pendant 21 jours ? C’est soit le vaccin qui a infecté les enfants ou alors il s’agit d’enfants plus sensibles à la maladie. Tout ceci n’est qu’une parodie inexcusable qui défie toute logique et montre à quel point le vaccin peut constituer une escroquerie. […]

 

Source: Truthkings.com

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11 mars 2016 5 11 /03 /mars /2016 18:22
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3 mars 2016 4 03 /03 /mars /2016 18:39

Des enfants récemment vaccinés répandent la coqueluche partout !

 

Barbara Loe Fisher, The Vaccine Reaction, 16 février 2016

Des enfants récemment vaccinés répandent la coqueluche partout !

Les médias ont fait beaucoup de bruit le mois dernier au sujet d’une étude qui portait sur 26 enfants en âge pré-scolaire et qui étaient tombés malades ; ils avaient attrapé la coqueluche ou ont présenté des symptômes de la coqueluche  pendant 5 mois en 2013. [1] Tous ces enfants, âgés de un à cinq ans qui fréquentaient l’école maternelle de Tallahssee avaient reçu 3 ou 4 doses du vaccin contre la coqueluche (DTCa) selon les recommandations du CDC (Calendrier vaccinal). Les médecins qui étaient devenus nerveux, et les experts des grands médias défendant l’orthodoxie vaccinale ont fait savoir que les critiques des vaccins risquaient d’en faire toute une histoire. [2]

 

Examinons un peu ces éléments pour voir s’il est logique ou non de faire toute une histoire parce que des enfants d’une école maternelle s’infectent l’un l’autre, tout en infectant d’autres enfants restés à la maison, alors que tous avaient été vaccinés contre la coqueluche.

 

Le vaccin contre la coqueluche ne serait efficace qu’à 45% chez des enfants d’école maternelle

 

L’étude a été réalisée par des responsables de la Santé publique de Floride le 15 janvier 2016, et a été publiée dans le journal médical Emerging Infectious Diseases. Elle a mis en valeur le fait que, chez les enfants en âge de fréquenter l’école maternelle, l’efficacité du  vaccin contre la coqueluche était estimée à 45%. Le nombre moyen de jours entre la dernière vaccination et l’apparition des symptômes de la coqueluche chez les enfants était de 22 mois. Sept enfants avaient été vaccinés l’année précédente.

 

Au cours de leur enquête, les autorités sanitaires ont constaté « qu’il est apparu que de nombreux médecins ont hésité à effectuer les tests nécessaires, comme à fournir le diagnostic de la coqueluche étant donné l’histoire de la vaccination de ces enfants, et en dépit du fait que les rapports de laboratoire confirmaient une épidémie de coqueluche. » Ces autorités sanitaires ont ajouté que, « la vaccination contre la coqueluche ne devait pas dissuader les médecins de diagnostiquer, de tester ou de traiter les personnes  atteintes de maladies compatibles avec les symptômes de la coqueluche. »

 

Le fait que des médecins ne se donnent pas la peine de vérifier si les enfants vaccinés sont infectés par la coqueluche et transmettent la maladie ne devrait pas surprendre les responsables de la Santé publique et les associations professionnelles médicales comme l’American Academy of Pediatrics. Ils ont passé des décennies à clairement enseigner aux pédiatres et aux médecins qui administrent les vaccins qu’ils devaient croire que les vaccins étaient efficaces à près de 100% et sans aucun danger, et que toute personne qui croyait autre chose ne serait qu’une imbécile ignorante, un danger pour la santé publique, et que cette personne devrait être soumise à une rééducation ou subir une sanction. [3, 4, 5 ]

 

Les pédiatres ne diagnostiquent pas la coqueluche chez les enfants vaccinés

 

Les auteurs de l’étude de Floride  ont mis le doigt sur l’évidence : le fait que les pédiatres et les vaccinateurs ne diagnostiquent pas la coqueluche chez un enfant vacciné tiendrait du fait qu’ils ne jugent pas ce diagnostic utile. Ils expliquent les choses de cette manière : « le spectre de la coqueluche chez les enfants vaccinés peut très fort varier d’un cas à l’autre. La maladie est souvent légère avec peu de symptômes classiques de la maladie elle-même. Mais l’hésitation des vaccinateurs à rapporter une coqueluche présumée retarde la réaction des responsables de la Santé publique qui permettrait de mieux prévenir la transmission de la coqueluche dans la communauté », ont-ils déclaré.

 

Il est compréhensible que les pédiatres ne veulent pas admettre, tant pour eux-mêmes que pour les parents, qu’un vaccin contre la coqueluche qu’ils ont fortement recommandé pour les enfants et les femmes enceintes ne soit pas efficace la plupart du temps. Pourquoi les pédiatres pourraient-ils suspecter qu’un enfant vacciné ne présentant que quelques symptômes ou même pas de symptômes de la coqueluche puisse être infecté et puisse transmettre la coqueluche, alors que le CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies) et l’AAP (Académie Américaine de Pédiatrie) leur ont appris à croire que l’orthodoxie vaccinale était la vérité et rien que la vérité ? Les médias n’hésitent pas non plus à renforcer le mythe vaccinal en ne mettant jamais en question cette orthodoxie. [6]

Les officiels du CDC et de l’AAP n’ont qu’à se blâmer eux-mêmes pour le fait que les pédiatres se mettent la tête dans le sable alors que ce sont ces gens du CDC et de l’AAP qui, pendant 50 ans, ont transmis le message que « la coqueluche peut être évitée grâce au vaccin », et qu’ils continuent à le prétendre. [7] Il est cependant clair que pour les petits enfants de Floride récemment vaccinés contre la coqueluche, le vaccin n’a été efficace que dans la moitié des cas !

 

Si une ceinture de sécurité ne fonctionnait que la moitié du temps, elle serait immédiatement retirée du marché.

 

Le vaccin DTCa ne protège plus les adolescents de Californie après un an

 

Dans la foulée de l’étude des petits enfants de Floride, une autre étude de Kaiser Permanente publiée dans Pediatrics a conclu que l’efficacité du vaccin DTCa ne fut efficace qu’à 69% chez 1200 adolescents de Californie qui avaient reçu le vaccin au cours des épidémies de coqueluche entre 2010 et 2014. [8] L’efficacité du vaccin a diminué à moins de 9% après 4 ans. Et, en dépit d’une couverture vaccinale de plus de 90% du vaccin DTCa en Californie du nord, les adolescents ont présenté la plus forte incidence parmi tous les groupes d’âge en 2014.

 

Le Dr Nicola Klein explique que dans un communiqué de presse de Kaiser Permanente du 5 février 2016, l’auteur principal de l’étude a estimé que les vaccins de routine DTCa pour les adolescents avaient représenté un échec dans le contrôle de la maladie.

 

Du fait que le vaccin DTCa fournit une protection raisonnable à court terme, il pourrait tenir la coqueluche en échec de manière plus efficace s’il était administré aux adolescents en prévision d’une épidémie locale au lieu d’être administré sur une base régulière à 11 ou 12 ans. [9]

 

Les législateurs de Californie auraient dû prendre note de la situation alors qu’ils ont passé une loi interdisant l’accès à l’école aux enfants qui n’ont pas reçu le vaccin DTCa de rappel à 11 ou 12 ans. [10]

 

Selon une autre étude, les frères et les sœurs d’une famille seraient la cause principale de la coqueluche chez les nourrissons

 

Il est intéressant de noter que l’attention médiatique accordée à l’étude des enfants de l’école maternelle en Floride (DTCa) et à l’étude de Kaiser Permanente chez des adolescents (DTCa) a éclipsé une histoire bien plus importante de l’échec du vaccin contre la coqueluche et qui a été révélée dans une étude publiée en octobre 2015 de Pediatrics [11] Cette étude menée par des fonctionnaires de la Santé publique a évalué les cas de coqueluche rapportés aux Etats-Unis entre 2006 et 2013 pour les enfants de moins d’un an. Cette étude a révélé que, dans une famille donnée, l’existence de frères et sœurs représentait le principal réservoir d’infection. Les chercheurs ont conclu que les nourrissons étaient davantage susceptibles de contracter la coqueluche de leurs frères et soeurs que de leurs propres mères.

 

Quand les sources d’infection de la coqueluche furent connues (chez 44% des nourrissons), il a pu être possible de déterminer que : 36% provenaient des frères et soeurs, 21% des mères, 10% des pères, 15% des grands-parents, oncles et tantes et 11% d’autres sources.

 

Les auteurs de l’étude ont conclu

 

  • Qu’il existait une augmentation des cas de coqueluche : «  En dépit d’une couverture vaccinale élevée et croissante avec les vaccins anticoquelucheux, l’incidence de la maladie a augmenté lentement dans un certain nombre de pays, avec des pics épidémiques notables au cours des dernières années » ;
  • Que la plupart des cas de coqueluche apparaissaient chez les enfants vaccinés : La plupart des cas de coqueluche aux Etats-Unis apparaissent chez « des enfants et des adolescents récemment vaccinés » ;
  • Les changements avec le vaccin DTCa ont commencé à se produire en 2008 : «  Nous avons commencé à observer le « glissement » de la mère aux frères et sœurs en 2008, trois ans après l’introduction du DTCa aux Etats-Unis pour une utilisation courante chez les adultes et les adolescents. »
  • L’augmentation du nombre de vaccins s’est avérée inutile : « Des doses supplémentaires de DTCa se sont avérées peu susceptibles de réduire le fardeau global de la coqueluche » ;
  • Le « cocooning » ne fonctionne pas : « La revaccination des membres adultes de la famille proches des nourrissons s’avère peu efficace pour arrêter la transmission de la maladie aux nourrissons si les frères et les sœurs sont les principaux réservoirs de l’infection » ;
  • Transmission de la coqueluche sans qu’il y ait de symptômes : « Même dans les cas où tous les contacts familiaux sont à jour de vaccination contre la coqueluche, la transmission asymptomatique de la coqueluche peut se produire. Ceci empêche le succès de la stratégie du cocooning » ;
  • Les sources d’infection sont souvent inconnues : « Une source d’infection n’est identifiée que dans moins de la moitié des cas. Ceci fait penser soit à une infection provenant d’une personne extérieure à la famille soit d’une transmission asymptomatique de la maladie. »

 

Des enfants et des adultes transmettent la coqueluche alors qu’ils présentent peu ou pas de symptômes

 

Ce qui est gênant par rapport au vaccin anticoquelucheux est le fait que pas mal d’enfants et d’adultes transmettent la maladie sans présenter les symptômes classiques de celle-ci, sans que des analyses de laboratoire soient effectuées. Cette situation présente un problème majeur pour les chercheurs qui tentent d’identifier la source de l’infection chez les nourrissons de moins d’un an. Ils ajoutent : les sources potentielles asymptomatiques ou les maladies bénignes sans toux ont pu ne pas apparaitre dans notre étude du fait que nous nous sommes appuyés uniquement sur des rapports de parents sans tests de laboratoire des différents membres du ménage ou d’autres contacts proches des nourrissons.

 

Un autre problème rencontré par les chercheurs est le fait qu’ils ne savaient pas si les gens qui présentaient les symptômes de la toux avaient la coqueluche ou un autre type d’infection bactérienne ou virale des voies respiratoires. Ils ont admis : « …En outre, sans confirmation de laboratoire, nous avons été incapables de déterminer si B. Pertussis était la cause réelle de la toux dans les différentes sources d’infection. »

 

Pour le vaccin contre la coqueluche l’immunité de groupe relève du mythe

 

L’orthodoxie vaccinale nous dit que si 90% ou plus de personnes faisant partie d’une communauté se font vacciner, cette communauté sera protégée des maladies infectieuses incriminées. Les objectifs de couverture vaccinale du gouvernement fédéral « Healthy People 2020 » confirment ce principe de l’orthodoxie vaccinale. [12]

 

Cependant, le CDC admet maintenant tranquillement sur son site internet que « les bactéries qui causent la coqueluche sont en constante évolution au niveau génétique », qu’il existe « une baisse de l’immunité » du vaccin et qu’une augmentation des cas rapportés a commencé à se manifester aux Etats-Unis dans les années 1980 [13] quand plus de 94% des enfants d’écoles maternelles avaient reçu 4 ou 5 vaccins DTC à germes entiers. [14] Aujourd’hui, 94 à 98% des enfants de maternelle reçoivent 4 ou 5 vaccins DTC acellulaires [15], alors qu’en plus 88% des enfants de 13 à 17 ans avaient reçu un rappel supplémentaire du vaccin DTCa. [16]

 

Il parait clair que six doses du vaccin contre la coqueluche administrées à des enfants entre deux mois et 16 ans ne peuvent empêcher l’infection de la coqueluche de même que la transmission asymptomatique de l’infection par des personnes vaccinées. La vaccination anti-coquelucheuse  n’empêche pas les enfants et les adultes complètement vaccinés de transmettre l’infection aux nourrissons de moins de deux mois qui sont les plus susceptibles de mourir de complications de la coqueluche.

 

Pour le vaccin contre la coqueluche l’immunité de groupe relève du mythe

 

En dépit de trois décennies de vaccination contre la coqueluche (à germes entiers et acellulaires) des enfants américains atteignant un taux de 94% ou plus - taux de couverture vaccinale qui dépasse le taux d’immunisation de 90% qui était l’objectif du gouvernement (Healthy People 2020) – la bactérie de la coqueluche B. Pertussis continue de circuler. Elle circule souvent d’une manière silencieuse dans toute la population sans avoir été diagnostiquée. C’est là ce qui s’est produit depuis bien longtemps. [17]

 

La solution  que les officiels ont trouvée?  Vacciner les femmes enceintes

 

Quelle est donc la solution qu’ont trouvée les officiels de la Santé publique ? La chose est tout à fait irrationnelle et complètement non scientifique, mais la voici : « vacciner toutes les femmes enceintes » !

 

Après avoir confirmé l’inefficacité du vaccin contre la coqueluche pour prévenir l’infection ainsi que la transmission asymptomatique parmi les enfants vaccinés, les auteurs officiels (Santé publique) de l’étude de Pediatrics d’octobre 2015, ont néanmoins conclu que :

 

Un appui solide de la vaccination pendant la grossesse était nécessaire pour maximiser la protection des enfants au cours des premiers mois critiques de la vie.

 

Quelle tristesse ! Au lieu de simplement informer le public que le vaccin contre la coqueluche avait été un échec, les autorités sanitaires se sont désespérément accrochées à l’orthodoxie vaccinale, faisant du même coup courir les risques du vaccin aux femmes enceintes vulnérables. Cette situation a duré depuis 2011, sans que la sécurité et l’efficacité de cette politique soit démontrée. [18]

 

Lire tout l’article sur le site The Vaccine Reaction

 

Références:

 

1 Matthias J, Pritchard S, Martin SW et al. Sustained Transmission of Pertussis in Vaccinated, 1–5-Year-Old Children in a Preschool, Florida, USA. Emerging Infectious Diseases Jan. 15, 2016.  
2 Saunders R. Florida Whooping Cough Outbreak Fuels Anti-Vaxxers. The Daily Beast Jan. 16, 2016.
3 DHHS. Vaccines Are Effective. Vaccines.gov.
4 Diekema DS. Response to Parental Refusals of Immunization of Children. Pediatrics 2005; 115(5).
5 Walker EP. AAP: Dismissing Patients over Refusal to Vaccinate Okay, Doc Says. MedPage Today Oct. 21, 2009.
6 Oregonian Editorial Board. Putting other kids in harm’s way: Vaccine refusal leaves many doors open to dangerous whooping cough infection. Oregonian July 4, 2010.
7 CDC. Pertussis Frequently Asked Questions. CDC Sept. 8, 2015.
8 Klein NP, Bartless S, Fireman B, Baxter R. Waning Tdap Effectiveness in Adolescents. Pediatrics Feb. 3, 2016.
9 Kaiser Permanente. Kaiser Permanente study finds effectiveness of routine Tdap booster wanes in adolescents. Eureka Alert Feb. 5, 2016.
10 California Senate Bill 277 signed into law by Governor Jerry Brown on June 29, 2015.
11 Skoff TH, Kenyon C, Cocoros N et al. Sources of Infant Pertussis Infection in the United States. Pediatrics 2015; 136(4): 635-641.
12 DHHS. Healthy People 2020 Immunization Goals. March 2015.
13 CDC. Pertussis Frequently Asked Questions. CDC Sept. 8, 2015
14 Hinman A, Orenstein WA, Schuchat A. Vaccine Preventable Diseases, Immunization and MMWR 1961-2011. MMWR Oct. 7, 2011; 60(04): 49-57.
15 CDC. Vaccination Coverage Among Children in Kindergarten–United States, 2014-15 School Year. Aug. 28, 2015: 64(33): 897-904.
16 CDC. National, Regional, State and Selected Local Area Vaccine Coverage Among Adolescents Aged 13 to 17 Years–United States, 2014. MMWR 2015; 64(29): 784-792.
17 Fisher BL. Whooping Cough Outbreaks and Vaccine Failures. NVIC Newsletter July 8, 2010.
18 Fisher BL. Vaccination During Pregnancy: Is It Safe? NVIC Newsletter Nov. 9, 2013.

 

Source: Vaccine Impact

 

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