Les bactéries de la coqueluche se montrent plus futées que les vaccins – Les experts expliquent pourquoi
Par Barbara Loe Fisher, NVIC, Mars 2016
Au cours de la dernière décennie, les Américains ont été soumis à de sévères avertissements par rapport aux cas de coqueluche qui étaient à la hausse. La faute en aurait été aux parents qui ne vaccinent pas leurs enfants.[1,2,3]. Ce mythe remonte en fait au début des années 1980 [4] lorsque des parents d’enfants dont la santé avait été endommagée par le DTC aux Etats-Unis ont demandé des vaccins plus sûrs, tout en découvrant en même temps que le vaccin contre la coqueluche à cellules entières n’avait pas pu empêcher les infections, [5] et alors que l’immunité ne durait que de deux à 5 ans. [6,7]
La même vieille excuse « c’est la faute des parents » est à nouveau invoquée au 21ème siècle par les promoteurs de la vaccination forcée et qui veulent éliminer les exemptions [8,9,10,11], tout juste comme une autre génération de parents sont en train de découvrir que les vaccins DTCa acellulaires n’empêchent pas non plus l’infection. [12,13,14] Ces parents découvrent également que l’immunité conférée par le vaccin ne dure au mieux que deux à 5 ans. [15,16,17]
Le temps est venu de dissiper les mythes et les mensonges sur la coqueluche et sur les vaccins contre cette maladie.
Il est grand temps de dissiper les mythes et les mensonges qui ont été proférés au sujet de la coqueluche et du vaccin.
En bref :
- FAIT : Tant le vaccin DTC à cellule entière autorisé en 1949 que le vaccin DTCoq acellulaire moins toxique autorisé en 1996 n’empêchent pas l’infection ni la transmission. Il ne fournit au mieux qu’ une immunité temporaire de deux à 5 ans.
- FAIT : Des millions d’enfants et d’adultes vaccinés contre la coqueluche sont silencieusement infectés par la maladie (Coqueluche) aux Etats-Unis, chaque année, tout en ne présentant que peu ou pas de symptômes. Il n’empêche qu’ils propagent la coqueluche aux enfants vaccinés et non vaccinés – sans que les médecins puissent les identifier et rapporter leurs cas au gouvernement.
- FAIT : En réponse aux campagnes de vaccination de masse qui ont débuté dans les années 1950, la bactérie de la coqueluche (B.Pertussis) a évolué pour échapper à la fois au vaccin à cellules entières comme au vaccin acellulaire, créant ainsi de nouvelles souches produisant davantage de toxines pour supprimer l’action du système immunitaire et provoquer des maladies plus graves.
Les taux de vaccination contre la coqueluche aux Etats-Unis sont restés très élevés pendant 35 ans.
Aux Etats-Unis, les taux de vaccination contre la coqueluche sont restés très, très élevés pendant 35 ans. [18] Sans arrêt, plus de 94 % d’enfants de la maternelle ont reçu de quatre à 5 vaccinations contre la coqueluche, soit le vaccin DTC à cellules entières, soit le DTCa acellulaire.[19] Le taux vaccinal contre la coqueluche pour les enfants de moins de 35 mois [20] s’élève à 94% aujourd’hui et à 88% pour les adolescents qui ont déjà reçu six rappels.[21]
Depuis bien longtemps, cela fait beaucoup de vaccinations contre la coqueluche chez les enfants de tous âges, dont beaucoup ont maintenant 20, 30 ou 40 ans.
Aux Etats-Unis, les taux de vaccination contre la coqueluche sont restés très, très élevés pendant 35 ans. [18] Sans arrêt, plus de 94 % d’enfants de la maternelle ont reçu de quatre à 5 vaccinations contre la coqueluche, soit le vaccin DTC à cellules entières, soit le DTCa acellulaire.[19] Le taux vaccinal contre la coqueluche pour les enfants de moins de 35 mois [20] s’élève à 94% aujourd’hui et à 88% pour les adolescents qui ont déjà reçu six rappels.[21]
Depuis bien longtemps, cela fait beaucoup de vaccinations contre la coqueluche chez les enfants de tous âges, dont beaucoup ont maintenant 20, 30 ou 40 ans.
Alors pourquoi les responsables de la Santé publique déclarent-ils qu’en Floride [22] un grand nombre de petits enfants qui sont vaccinés, que les adolescents de Californie qui sont complètement vaccinés [23], que les frères et sœurs de nourrissons qui sont complètement vaccinés répandent la coqueluche – [24] alors que la plupart ont reçu tous les vaccins recommandés par le CDC ?
Avant d’examiner pourquoi les experts se battent entre eux au sujet de la réponse à cette question, examinons de plus près l’histoire des vaccins contre la coqueluche.
Le vaccin DTC a reçu sa licence en 1949 et le vaccin DTCa pour les bébés en 1996.
La coqueluche était déjà connue au 16ème siècle. La maladie pouvait être particulièrement grave pour les bébés qui éprouvaient de grosses difficultés à respirer suite au mucus qui obstruait leurs minuscules voies respiratoires. [25 ,26]
Le premier vaccin brut à cellules entières a reçu sa licence en 1914, [27] mais il n’a été largement administré aux enfants qu’après 1949, quand il a été combiné avec les vaccins contre la diphtérie et le tétanos. [28] Il a été utilisé jusqu’en 1996, quand un vaccin DTCa moins réactif a été autorisé aux Etats-Unis. [29]
En 2014, les responsables de la Santé publique ont indiqué que 86% des enfants du monde avaient au moins reçu trois vaccins contre la coqueluche [30]. Ils estiment cependant qu’il existe encore 16 millions de cas de coqueluche, et sur un plan mondial,195.000 décès dus à la coqueluche, chaque année. [31]
Les décès par coqueluche ont baissé de 75% avant que le DTC obtienne sa licence en 1949
Mais que penser des décès dus à la coqueluche aux Etats-Unis ?
Dans notre pays, les décès dus à la coqueluche ont chuté de plus de 75% entre 1922 et 1948, l’année qui a précédé l’obtention de la licence pour le vaccin. En 1948, le taux de mortalité représentait moins d’1 cas de décès par coqueluche pour 100.000 personnes et n’a jamais été plus élevé. [32 33].
En 2013, environ 29.000 cas de coqueluche ont été déclarés, ainsi que 13 décès liés à la coqueluche en Amérique, dont neuf décès chez les nourrissons de moins d’un an. [34]
Cependant, le nombre de cas de coqueluche rapportés ne correspond pas au nombre total de cas réels de coqueluche en Amérique. La plupart des cas de coqueluche, comme la plupart des réactions aux vaccins ne sont ni diagnostiqués ni rapportés par les médecins au gouvernement. [35] Les responsables de la Santé publique admettent qu’ils ne disposent pas toujours de tests de laboratoire fiables pour mesurer l’immunité contre la coqueluche et ne peuvent pas se mettre d’accord sur la façon de diagnostiquer la coqueluche lorsque des personnes infectées, en particulier les personnes vaccinées, se présentent dans leurs cabinets avec des symptômes atténués. [36,37,38]
Aux Etats-Unis, des millions de cas de coqueluche chez des personnes vaccinées ne sont ni diagnostiqués, ni rapportés aux autorités de Santé
Mais ce que les responsables de la Santé publique savent depuis longtemps, tout en n’en parlant pas publiquement, c’est que des millions d’enfants et d’adultes vaccinés aux Etats-Unis attrapent la coqueluche et ne sont jamais identifiés. [39,40,41,42] Il est bien exact que des millions d’infections de la coqueluche se développent aux Etats-Unis chez des personnes vaccinées, mais les médecins ne les diagnostiquent pas et ne les rapportent pas aux autorités.
En fait, si vous ou votre enfant avez été vacciné ou non, vous pouvez attraper une infection coquelucheuse asymptomatique silencieuse et la transmettre à quelqu’un d’autre sans même le savoir. [43,44, 45].
L’enfant qui est assis à côté de vous dans le bus, dans une salle de classe, au cinéma ou dans le cabinet du médecin et qui présente peu ou pas de toux pourrait être infecté par la coqueluche, même s’il a reçu toutes les doses recommandées contre la coqueluche par le gouvernement fédéral.
Pas question d’immunité de groupe : les vaccins n’empêchent pas l’infection ou la transmission
Quand il y a beaucoup de personnes ayant des infections asymptomatiques de la coqueluche, il est impossible de savoir si telle ou telle personne transmet la maladie, ce qui signifie que les cas de coqueluche signalés ne représentent que la pointe émergée de l’iceberg. Cela signifie également que les articles qui accusent les enfants non vaccinés ne représentent rien d’autre que la volonté de trouver des boucs émissaires ou que des vœux pieux. [46]
En fin de compte : l’immunité acquise naturellement et l’immunité acquise par le vaccin sont toutes les deux temporaires [47] et alors que la vaccination peut prévenir les symptômes cliniques, elle ne bloque pas l’infection, ou la transmission de la maladie. Si les gens vaccinés peuvent être silencieusement infectés et transmettre l’infection sans manifester de symptômes – même après avoir reçu de quatre à six vaccins contre la coqueluche – alors « l’immunité collective » qui serait acquise grâce au vaccin n’est qu’une illusion, comme elle l’a toujours été.
Alors la grande question se résume à ceci : pourquoi plus d’un demi-siècle de vaccination contre la coqueluche n’a-t-il pas réussi à produire une véritable immunité collective comme les responsables de la Santé publique prétendent qu’elle est théoriquement possible, si de plus en plus de vaccins sont administrés la plupart du temps à de plus en plus de personnes ? [48,49]
Le vaccin DTC extrêmement réactif et le DTCa beaucoup moins réactif ont tous deux une faible efficacité
La bactérie B.Pertussis a évolué au cours des 65 dernières années pour échapper aux vaccins à cellules entières et aux vaccins acellulaires commercialisés par les firmes pharmaceutiques. Les médecins ont ensuite entrepris une croisade agressive pour tuer ces espèces de bactéries dont ils savent très peu de chose. [50, 51]
Une revue de la littérature médicale révèle que les experts sont mécontents à propos de leur manque de connaissances de la bactérie B. Pertussis. [52]. Ils se disputent entre eux pour savoir si, quand, comment et pourquoi les vaccins anticoquelucheux n’ont toujours pas réussi à réaliser l’immunité de groupe pour éviter que la bactérie de la coqueluche ne se répande dans les populations hautement vaccinées sur un plan mondial. [53,54,55]
L’ensemble dérangeant des faits scientifiques sur lesquels ils se penchent sont :
FAIT : l’efficacité (formation d’anticorps) du vaccin anticoquelucheux à cellules entières a été mesurée. Il est efficace (formation d’anticorps) entre 30 et 85%, dépendant du type de vaccin et du fabricant [56,57,58,59,60]. Mais la protection de ce vaccin a duré de deux à cinq ans. [61]
FAIT : après qu’environ 1.000 cas de coqueluche aient été rapportés aux Etats-Unis en 1976 [62], il est devenu évident tout au long des années 1980 et 1990 que le vaccin DTC à cellules entières n’empêchait ni l’infection ni la transmission [63, 64, 65,66,67]. Les cas de coqueluche ont augmenté parmi des populations hautement vaccinées au cours de cycles de trois à cinq ans – tout comme précédemment le vaccin DTC avait été largement utilisé dans les années 1950. [68,69,70,71,72]
FAIT : Le vaccin DTC à cellules entières utilisé aux Etats-Unis jusqu’à la fin des années 1990 était un vaccin extrêmement réactif. Les réactions au vaccin qui comprenaient de la fièvre, des douleurs, et de l’irritabilité ont touché de 50 à 85% des enfants. Des convulsions et des états de choc se produisaient dans un cas sur 875 vaccinations. [73,74]. L’inflammation du cerveau se produisait dans un cas sur 110.000 vaccinations. Avec des dommages irréversibles au cerveau dans un cas sur 310.000 vaccinations. [75,76]. Finalement, en 1996, le vaccin DTC à cellules entières peu efficace, mais extrêmement réactif a été remplacé par le vaccin DTCacellulaire, beaucoup moins réactif, mais peu efficace. [77] Comme pour le vaccin à cellules entières, l’efficacité du vaccin acellulaire a montré, au cours des essais cliniques, une efficacité qui variait entre 40 et 89%, selon qu’il s’agissait de tel ou tel producteur de vaccin. [78,79,80]
FAIT : Les vaccins anticoquelucheux acellulaires ne préviennent pas l’infection, [81,82]. Il en va de même pour les vaccins à cellules entières. Au 21ème siècle, les épidémies de coqueluche comme les augmentations cycliques des cas ont continué de se produire [83,84,85] – même après qu’une injection de rappel ait été ajoutée au programme pour tous les adolescents et adultes en 2006. [86,87] En 2010, le vaccin DTCa a été jugé efficace à 66% pour fournir une immunité temporaire pour les adolescents et les adultes. [88]
La bactérie de la coqueluche a évolué pour esquiver tant le vaccin DTC que le vaccin DTCa.
Il y a 18 ans, en 1998, des biologistes moléculaires et d’autres scientifiques ont commencé à avertir que la bactérie de la coqueluche avait commencé à évoluer pour échapper au vaccin anticoclucheux à cellules entières quand les vaccins DTC ont été administrés en masse aux enfants dans les années 1950. [89,90,91,92]
Au cours des deux dernières décennies, ces scientifiques ont publié les preuves tangibles qu’au cours des 65 dernières années, la bactérie B.pertussis s’était efficacement adaptée au deux vaccins, le vaccin à cellules entières et le vaccin acellulaire. [93,94,95]
De nouvelles souches de coqueluche plus toxiques qui provoquent des maladies plus graves
Dans sa lutte pour survivre la bactérie B.pertussis a créé de nouvelles souches qui produisent davantage de toxines pour supprimer le système immunitaire humain et provoquer de plus graves maladies. Aujourd’hui, les souches de coqueluche comprises dans le vaccin ne correspondent plus aux souches qui provoquent actuellement la coqueluche. [96,97,98,99,100]
En fin de compte : Il existe des preuves scientifiques irréfutables que les bactéries B. pertussis ont évolué pour survivre à la pression vaccinale. Il existe maintenant des souches de coqueluche plus virulentes qui sont plus facilement transmises par les enfants et par les adultes vaccinés dont l’immunité s’affaiblit.
Un chercheur a commenté en 2009 : « une question importante à se poser est celle-ci : les autres vaccins utilisés pour les enfants sélectionneraient-ils également des agents pathogènes qui seraient plus facilement transmis, entraînant une augmentation de la virulence ? » [101]
La guerre contre la bactérie B.Pertussis et les politiques vaccinales ne reposent pas sur une approche scientifique solide
La croisade menée par les responsables de la santé publique pour éliminer la bactérie B.pertussis en multipliant dans le calendrier vaccinal pour les enfants et les adultes, des doses de vaccins inefficaces- allant jusqu’à envahir ce lieu sacré de l’utérus tout en insistant pour que toutes les femmes enceintes se fassent vacciner [102,103] est un fameux avertissement qui nous incite à la prudence.
Comme nous assistons aux efforts efficaces d’adaptation d’une espèce bactérienne pour survivre à une guerre qui lui a été déclarée, ce qui aujourd’hui est devenu douloureusement clair, c’est que la vaccination de masse n’est pas basée sur une science pure, dure et transparente qui aurait pu être partagée avec toute la population. [104,105] Elle est dirigée par une politique de santé publique qui travaille en partenariat public-privé lucratif entre le gouvernement et l’industrie pour protéger des politiques de vaccination qui ont échoué, tout en ignorant le point de vue de la science pure et dure. [106,107]
Ce n’est pas à nous le peuple de faire semblant que la science n’existe pas. Il appartient à chacun d’entre nous d’informer les autorités de santé et le législateur qu’il est de leur responsabilité de nous montrer la science, comme de nous donner le choix en ce qui concerne les vaccins, en particulier lorsqu’aucun fabricant de vaccin, aucun responsable de la santé publique, aucun médecin ne peut être tenu responsable devant un tribunal civil lorsque des vaccins peuvent endommager des vies ou même conduire à la mort. [108]
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Source : NVIC