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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 17:27

Les vaccins vivants contre la grippe multiplient par 100 fois les taux de bactéries chez les souris


Par Sayer Ji, 27 février 2014

 

Souris-bacteries-cent-fois.jpg

Si  les vaccins « atténués » contre la grippe sont probablement supposés protéger contre la grippe et ses complications qui peuvent être parfois mortelles, alors pourquoi les souris vaccinées présentent-elles des taux de bactéries pathogènes associées à la grippe 100 fois plus élevés que les souris non vaccinées ?

 

Une nouvelle étude préoccupante publiée dans mBio,  journal ayant un accès ouvert à l’American Society of Microbiology, et intitulée : « Le Vaccin Vivant Atténué Contre la Grippe Augmente la Colonisation du Streptocoque de la Pneumonie et du Staphylocoque Doré chez les Souris », révèle que les vaccins à virus vivants atténués conduisent à la prolifération rapide et soutenue de bactéries pathogènes dans le tractus respiratoire supérieur de la souris, et à des densités de colonisation 100 fois plus élevées que chez les souris non vaccinées.

 

Cette étude est la première du genre à démontrer que la vaccination avec un vaccin viral vivant atténué peut modifier radicalement le comportement et la colonisation de bactéries pathogènes humaines d’une manière très semblable à celle qui suit l’infection de « type sauvage », à savoir les infections grippales qui circulent naturellement.

 

On sait très bien que l’infection de la grippe peut entraîner des complications graves de santé, mais c’est la première fois que l’on a découvert qu’une souche vaccinale de la grippe a pu induire des modifications similaires chez les bactéries liées à la maladie.

 

Les auteurs décrivent les effets indésirables typiques de l’infection grippale :

 

«  L’infection due au virus de la grippe augmente la susceptibilité aux infections bactériennes graves des voies respiratoires inférieures et supérieures, ayant pour conséquence des complications comme la pneumonie, la bactériémie, la sinusite, et l’otite moyenne aiguë (11) Les infections bactériennes associées au virus de la grippe peuvent être une cause primaire de mortalité en l’absence d’une comorbidité préexistante (12, 13). L’infection primaire du virus de la grippe augmente l’acquisition, la colonisation et la transmission d’agents pathogènes bactériens (14), et plus particulièrement du streptocoque de la pneumonie et du staphylocoque doré. (11,15)

 

Parce que les infections bactériennes secondaires à l’infection grippale constituent la cause principale des dommages de santé et même des décès communément attribués à la grippe elle-même, ces découvertes pourraient avoir d’importantes implications pour les politiques de vaccination qui, à l’heure actuelle, ne prennent pas en compte le fait que les vaccins, qui peuvent réduire le risque d’une maladie infectieuse, peuvent aussi en contrepartie augmenter le risque d’apparition d’autres agents pathogènes tout aussi inquiétants, voire plus inquiétants.

 

[…] Les chercheurs ont souligné l’importance de leur découverte dans la mesure où «l’infection de la grippe conduit les individus à devenir transitoirement sensibles à davantage d’infections bactériennes, tout particulièrement au streptocoque de la pneumonie et au staphylocoque doré. »

 

Parce que «  les infections bactériennes constituent une cause majeure de maladies graves au cours des épidémies de grippe », l’implication est que les effets modificateurs de l’immunité dus au vaccin vivant contre la grippe peuvent inclure la suppression des défenses immunitaires innées, rendant l’hôte plus sensible aux infections bactériennes secondaires susceptibles de causer des dommages associés à la grippe.


nasally-flu-vaccine.jpg

En plus de la découverte que les vaccins atténués contre la grippe favorisent une croissance bactérienne accrue dans les voies respiratoires supérieures, les chercheurs ont aussi découvert une augmentation du « transport » bactérien quasi identique à ce qui est observé dans les infections à virus sauvage contre la grippe.


Même 28 jours après la vaccination, après que le nasopharynx soit complètement débarrassé de ces virus (approximativement 7 jours après le vaccin), une prolifération excessive de bactéries a été observée chez les souris (2 à 4 fois plus élevée entre les jours 1 et 3  qui ont suivi l’infection).

 

Alors que les chercheurs n’ont pas trouvé que les vaccins à virus vivants atténués augmentaient la morbidité ou la mortalité associées à la maladie bactérienne des voies respiratoires des souris, ils ont cependant mis en garde :

 

« Ces résultats pourraient avoir des conséquences sur les processus de la maladie bactérienne individuelle au niveau des voies respiratoires supérieures, ainsi que sur la dynamique de transmission bactérienne au sein de populations vaccinées au moyen de vaccins à virus vivants atténués. »

 

En d’autres termes, même si les augmentations significatives des infections bactériennes ne sont pas responsables de la morbidité et/ou mortalité accrue dans les populations vaccinées, leur transmissibilité à d’autres personnes augmenterait en raison des niveaux plus élevés et une plus longue durée du « transport » des bactéries pathogènes. Ceci est bien sûr, le principal argument utilisé pour faire pression afin que les non vaccinés se plient à la vaccination , parce que les non-vaccinés seraient en quelque sorte davantage susceptibles de transmettre la maladie que les vaccinés. Si cette étude effectuée sur des animaux devait s’appliquer à l’homme, ce serait le contraire qui serait vrai. La vaccination à virus vivants augmenterait à la fois le nombre de bactéries que portent les vaccinés et prolongerait le temps de « transport » et donc de transmissibilité – pendant 28 jours ou plus après l’administration du vaccin. Cette remarque s’ajoute au fait que la notice du vaccin elle-même (notice du Flumistfournit de nombreuses preuves que le vaccin peut infecter le destinataire avec une forme infectieuse de la grippe et qui peut être transmise à d’autres pendant trois semaines après avoir reçu le vaccin. […]

 

La principale implication de cette étude est que : «  les vaccins à virus vivants peuvent avoir des conséquences inattendues sur des bactéries pathogènes pour l’homme sans rapport avec les cibles visées par le vaccin. »

 

En fait, cette étude peut apporter des explications en ce qui concerne les effets secondaires associés au Flumist à virus vivants atténués que l’on a généralement attribués au virus vaccinal – et non aux infections secondaires qu’il peut provoquer

 

[…]  Ce que cette étude révèle également c’est que nous ne faisons que commencer à comprendre les effets « hors cible » inattendus que les vaccins peuvent avoir sur le système immunitaire. Si le vaccin vivant atténué contre la grippe augmente la colonisation de bactéries potentiellement mortelles dans des populations «immunisées», comme semble l’indiquer cette étude sur des animaux, c’est avant tout le principe de précaution qui doit nous guider en nous faisant nous abstenir de l’utiliser jusqu’à ce que des études cliniques sur l’homme puissent prouver qu’il est absolument sûr et efficace.

 

(Extraits)


Source: Greenmedinfo.com

 

Le vaccin FluMist de la firme Astra Zeneca –qui est appelé Fluenz en Europe- est déjà utilisé largement chez les enfants aux Etats-Unis depuis plusieurs années. Il est proposé gratuitement aux enfants britanniques de 2 à 17 ans depuis 2012 (alors qu’il augmente pendant 6 mois leur risque d’hospitalisation !) et il existe aussi dans un pays comme la France. Ce type de vaccin qui est fabriqué par génie génétique pose un autre problème éthique pour les non vaccinés dans la mesure où il risque de propager dans la Nature des assemblages de virus artificiels ayant encore un pouvoir infectieux et pouvant dès lors interférer avec la volonté souveraine de sujets ne souhaitant PAS être en contact avec ces virus vaccinaux. Prenons le cas d'élèves qui auraient été vaccinés parce que leurs parents sont grégaires ou mal informés: cela va interférer d'une façon inacceptable avec la volonté des parents d'autres élèves ou la volonté de l'enseignant qui ne voudraient pas du vaccin car ils seront alors forcés de devoir partager une même atmosphère viciée par des rejets éventuels de virus trafiquotés en laboratoire. (Une action de protestation est d'ailleurs en cours à cet égard sur Facebook dès lors que le Royaume-Uni instaure cette année la vaccination scolaire contre la grippe des enfants de 5 à 17 ans avec ce vaccin.) Est-ce cela "la santé" et la solidarité que nous proposent les idéologues de la vaccination?

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