C'est peu dire que la coqueluche sert d'alibi parfait à l'acharnement sans limite des zélateurs de la vaccination. Relayant docilement les diktats du Conseil Supérieur de la Santé (une instance aux étranges priorités), les chefs de service de gynécologie mettent ainsi la gomme pour la vaccination des jeunes parents et plus particulièrement des jeunes mères.
Avant l'accouchement ou très vite après dans l'empressement et l'angoisse du séjour à la maternité, il est question de vacciner encore et toujours. Les parents se voient ainsi distribuer des formulaires dramatisants et surtout culpabilisants, leur rappelant que la coqueluche peut être mortelle pour les nourrissons non complètement vaccinés et que dans plus de la moitié des cas, ce sont les parents, insuffisamment immunisés qui contaminent leurs enfants.
Ainsi apeurés, les parents cocheront donc le plus souvent "oui" à la vaccination Boostrix, dont il n'est cependant noté NULLE PART qu'elle comporte aussi étrangement un rappel de diphtérie tétanos au passage (car "nos bons experts" en ont décidé ainsi). Ils n'auront ainsi sans doute jamais reçu la moindre information sur les risques possibles de cette vaccination, ni sur la présence d'aluminium neurotoxique dans le vaccin, substance qui va inévitablement aller se loger dans le cerveau sans jamais plus pouvoir en ressortir.
De même, il n'est sûrement guère dit aux parents comme il est pourtant avoué sur le site de Test-Achats que "la durée d'immunité apportée par la vaccination Boostrix n'est pas encore connue". En revanche, ce qui est scientifiquement établi, c'est que plus les rappels antitétaniques sont rapprochés dans le temps, plus le risque d'effets secondaires augmente (réactions dites à complexes immuns notamment, ce qui peut donner lieu à des arthrites, à des vascularites, à des réactions d'Arthus,..) or le vaccin Boostrix contient aussi cette valence antitétanique. On vaccine donc des gens, sans dosage préalable de leur taux d'anticorps anti-tétaniques, avec un vaccin dont on ne connaît même pas la durée d'action et qu'on risque de leur reproposer éventuellement 5 ou 10 ans plus tard, à l'occasion d'une nouvelle naissance, avec là aussi, un risque donc encore majoré d'effets secondaires. Quelle belle logique!
Chose étrange, les mères qui ne veulent pas de cette vaccination doivent cependant cocher la case "refus" alors qu'il aurait été tellement plus simple et plus logique que seules celles qui acceptent et qui souhaitent se faire vacciner aient la moindre case à cocher.
Il est piquant de constater le piètre bilan de cette vaccination acharnée contre la coqueluche depuis une quarantaine d'années: alors que les nombreux cas de cette maladie infantile ne faisaient pas les grands titres des journaux dans les années 60, 70 ou 80 (bien que nettement plus nombreux), on ne cesse de déplorer à présent la hausse des cas problématiques qui surviennent soit chez les tous jeunes nourrissons soit chez les jeunes adultes, preuve évidente de l'infériorité d'une "immunisation artificielle" par rapport à la robustesse d'une immunisation naturelle, plus durable et nettement plus protectrice pour les nourrissons (précédemment protégés par un lait riche en anticorps de mères non vaccinées)
Des cas graves et/ou mortels de coqueluche du nourrisson amènent certains parents à croire que s'ils avaient été vaccinés (ou revaccinés), ils auraient forcément pu éviter le décès de leur enfant. (lire également la réaction envoyée par un père de famille à Initiative Citoyenne en date du 6 mars 2012). Rien n'est moins sûr puisque l'efficacité de cette vaccination est assez médiocre et que, c'est un fait médical incontestable, on peut être vacciné, avoir des anticorps et néanmoins encore contracter et transmettre la maladie.
Il est très important de savoir que ces formulaires culpabilisants qui sont ainsi distribués aux jeunes mères, au sein même des hôpitaux belges (fussent-ils cosignés par plusieurs médecins, histoire d'"impressionner") sont clairement désapprouvés par plusieurs professionnels de santé expérimentés qui estiment ces méthodes inadmissibles et incompatibles avec le droit belge et la déontologie médicale la plus élémentaire. Nous en voulons d'ailleurs pour preuve la mise à disposition de ces informations qui nous sont rapportées du terrain par des professionnels et intervenants de plus en plus scandalisés et écoeurés par ces méthodes, davantage basées sur l'émotion que sur la raison.
Pour pouvoir réaliser un consentement pleinement libre et éclairé, nous conseillons aux jeunes parents qui auront lu ou reçu pareil formulaire culpabilisant, de lire également les articles suivants sur l'efficacité très relative et les risques possibles de cette vaccination: