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14 février 2021 7 14 /02 /février /2021 21:56

Nous vous recommandons de visionner le récent documentaire du réalisateur Bernard Crutzen intitulé "Ceci n'est pas un complot" et traitant de divers mensonges éhontés des médias et des autorités au sujet du Covid-19:

Ceci n'est pas un complot: le documentaire qui dérange
Ceci n'est pas un complot: le documentaire qui dérange

Faut-il sincèrement s'étonner qu'un tel documentaire gêne l'establishment dans sa volonté pathétique de vacciner à tout prix, au mépris de la rationalité la plus élémentaire??

 

«Ce documentaire tombe à un mauvais moment car nous sommes à un tournant dans la lutte contre le coronavirus. Ce serait dommage que certains Belges refusent de se faire vacciner uniquement parce qu’ils n’ont plus confiance dans le gouvernement, déplore par exemple Yves Coppieters dans Vers l'Avenir, celui qui fait semblant de dénoncer certaines choses tout en continuant finalement à les cautionner....

Les personnes ayant participé au documentaire qui disent à présent regretter leur participation (Marius Gilbert, Jacinthe Mazzochetti) font penser à ces intellectuels qui ont joué le même tour après Hold-Up (Monique Pinçon Charlot, Douste Blazy). Ce manque de courage des milieux universitaires n'est un secret pour personne, là où ces personnes auraient dû depuis bien longtemps jouer un rôle, leur complaisance, d'une façon générale, n'a que bien trop fait le jeu du pouvoir et c'est évidemment toute la société qui en a payé le prix fort.  Il ne faut pas oublier que ces personnes dans leurs universités n'ont pas la liberté du franc-parler, tout est sans arrêt contraint à la tiédeur, à la contenance, au conformisme, c'est ce que le philosophe Alain Deneault a bien expliqué avec son concept de médiocratie, cette gangrène du politiquement correct pour se maintenir à un poste, en dehors de laquelle ces universitaires craignent l'ostracisation et les outrances de leurs pairs. Leur petit périmètre est archi étroit, et hélas, assez incompatible avec l'esprit critique véritable qui ne peut souffrir de ce genre d'oeillères. Ahhhhh la terreur de l'étiquette "complotiste" qui les tétanise!! On les entend pourtant peu se pencher sur une série de faits kilométriques de ce dossier attestant d'anomalies innombrables, au rang desquelles hélas des indices de délits d'initiés, entre autres qualifications... à noter: même une récente résolution du Conseil de l'Europe met encore en garde contre ce risque, notamment, de délit d'initiés dans le présent contexte... un texte que ces intellectuels n'ont sans doute pas du lire non plus, mais passons.

 

Lisons à présent ce que Bernard Crutzen a commenté des critiques qui lui sont faites (Facebook, 8 février 2021):

 

6 5 0 0 0 0 vues !

Merci à tous pour le formidable partage ! Nous avons dépassé 650 000 vues sur les différentes plateformes, c’est énorme. Les adaptations en néerlandais, anglais, italien et malgache (!) sont en cours. Les retours sont très majoritairement positifs. Malheureusement, certains médias ont réagi négativement, nous nous y attendions. J’ai décidé de répondre aux critiques -nécessaires en démocratie - dans le but de faire avancer le débat, en espérant qu’il dépasse les réseaux dits sociaux.

Tout d’abord, une précision sur le GENRE. Il s’agit d’un documentaire, et la meilleure définition que je connaisse du documentaire est « le cinéma du réel » Il s’agit bien d’une démarche cinématographique avec un scénario, des mises en scène, une musique originale, etc. Mais ce n’est pas une fiction puisqu’il s’attache au réel. Or dans cette crise, il m’a semblé que le réel n’était pas nécessairement celui que nous présentaient la plupart des médias. Il y a comme une distorsion entre réalité et perception, les chiffres sont éloquents à ce sujet (0,02% de mortalité à l’échelle mondiale au 31/12/2020). Non, je ne balaie pas du revers de la main les 20 000 décès belges : je les mets en perspective. C’est le cœur de mon projet. D’où l’enquête que j’ai menée pendant quelques mois. Entre cinéma et investigation, c’est donc un film hybride, transgenre, ce qui gêne les journalistes professionnels en recherche d’objectivité.

Je suis en tous cas déçu que certain.e.s journalistes collent au film l’étiquette complotiste, « à la sauce Hold-Up » comme le titre Le Vif ce 8 février. C’est précisément l’écueil que j’ai tenté d’éviter. Déçu aussi de décevoir Arnaud Ruyssen, qui s’est senti attaqué alors qu’il a probablement organisé les débats les plus équilibrés. J’en déduis que le journaliste est allé se faire un café lorsque le commentaire disait : « On me reprochera de me focaliser sur les gros titres des JT et les unes des quotidiens, c’est vrai ! Parce que ce sont les gros titres que l'on envoie d’un clic et qui créent la panique. J’admets que certains journalistes ont analysé et investigué, mais très peu se sont aventurés à questionner le discours dominant, à douter.»

Je ne répondrai pas aux multiples « pourquoi » parce que la réponse est simple : un documentaire de 70 min ne peut pas traiter tous les aspects d’une problématique aussi complexe. Quant aux possibles erreurs factuelles, j’y répondrai après avoir vérifié mes sources.

On accuse mon film de "manipuler le spectateur en sous-entendant un complot mondial mêlant médias et élites vers une société de contrôle". Je n'ai pas dit ça. On prétend aussi que je les trouve « complices », un mot que je n’ai pas utilisé. Mon hypothèse est que le traitement médiatique (la peur, le sensationnalisme, la cécité sur les conflits d'intérêts...) déroule le tapis rouge pour ceux qui rêvent d’une société hygiéniste et sécuritaire, pour laquelle nous n’avons pas voté. Il me semble que peu de journalistes rêvent de ce monde-là.

J'accepte que mon film soit démonté par des médias blessés, mais j’espère en retour que les rédactions s’intéresseront à ce que le film pointe du doigt (VanRanst, le papa, AstraZeneca…) J’attends que les médias cessent d’annoncer « de nouvelles contaminations » alors qu’ils savent que ce ne sont que des tests positifs. Ce genre de glissement sémantique provoque une réaction disproportionnée de la part des citoyens et des gouvernements.

On estime que je n’ai pas assez parlé du CŒUR du problème ? Pour moi, le cœur du problème ce n’est pas la saturation hospitalière, mais la NARRATION autour de la saturation hospitalière. Cette façon de rejeter la faute sur un virus ou des comportements sociaux, et non sur des choix économiques et politiques. Cette manière de faire porter au virus la responsabilité du tsunami économique qui va nous tomber dessus dans les mois à venir. Ce n’est pas moi qui le dis dans le film, c’est un professionnel de la finance internationale.

Oui, je persiste : les journalistes pourraient se montrer plus critiques à l’égard des autorités. Il me semble que certain.e.s ont confondus information et communication.

Je ne suis pas devenu complotiste, je suis plutôt un réalisateur “mainstream”. Mes documentaires antérieurs ont été co-produits par des télévisions grand public et ont connu un beau succès d’audience. Je n'ai pas changé, je travaille toujours de la même manière. C’est le sens du courant qui a changé. Je me retrouve aujourd’hui à contre-courant. C’est fatigant de nager à contre-courant, mais je suis poussé dans le dos par des milliers de personnes, qui ont bien compris le message : «douter, douter, et encore douter».

Merci à ma petite équipe pour le soutien moral, et à vous, toutes et tous, pour les encouragements massifs !

 

Terminons enfin par l'attitude de Emmanuel André et de Savics, une réaction qui masque assez mal la peur il nous semble. 

Bernard Crutzen, 12 février 2021:

 

E R R A T U M
K. Ce n’est qu’une lettre en trop, mais elle a failli nous coûter cher. TracKing > Tracing.
La société Savics a réagi suite à la diffusion de la courte séquence consacrée à Emmanuel André. Nous continuons à penser que la position du microbiologiste a été ambiguë, mais pour éviter toute procédure dont nous ne pourrions supporter le coût, nous supprimons cette séquence du film et publions la mention suivante :
"ERRATUM : Nous avons retiré du montage l’information selon laquelle «M. André conseillait le gouvernement pour le tracing alors qu’il continuait en parallèle d'être rémunéré par la société Savics, spécialisée dans le tracing.» Cette information est partiellement erronée. En effet, Savics ne fait pas de tracing mais du tracking. Il n’y a donc aucun lien entre les objectifs poursuivis par les acteurs mentionnés."
J’ai commis des erreurs, et je le reconnais. Je me suis ici trompé d’un K. Si de leur côté les médias reconnaissaient qu’ils font une erreur en parlant de « nouveaux cas », on aura déjà fait un grand pas.
Voici le nouveau lien vers le film : https://linktr.ee/CNPC_2020

 

Or voici ce que l'on peut tout de même préciser par rapport à Emmanuel André et Savics donc, afin d'apporter un éclairage complémentaire à ces manoeuvres (la meilleure "défense" n'est-elle pas l'attaque dit-on?):

 

Visiblement, Emmanuel André ne convainc pas grand monde, à en lire l’avis des lecteurs

Rajoutons en outre à cela que nous apprenions le 8 juin 2020, soit le même jour auquel nous recevions l'accusé de réception du palais royal à notre courrier du 1er juin au gouvernement, la démission de Mr André de son poste de coordinateur du traçage, alors que notre courrier soulevait justement la question des conflits d'intérêts à son endroit.... Il évoquait alors des « raisons personnelles », quel drôle de hasard de calendrier. Mais chûût, oser dire cela vaudra encore l’étiquette de complotistes sûrement !! ;-))

Ci-dessous, capture d'écran de la "team Savics" réalisée en mai 2020... à comparer à ce qu'on voit maintenant (tout ayant été expurgé, vive l'opacité!), l'establishment aux abois n'ayant jamais eu à sa disposition que mensonges, opacité, répétition (propagande) et peur/intimidation....!!

Ceci n'est pas un complot: le documentaire qui dérange
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18 avril 2019 4 18 /04 /avril /2019 22:30

Docteur Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ; il s’agit de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

Brian Shilhavy, Health Impact News,  12 mars 2019

Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d'un demi siècle

Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d'un demi siècle

Dr Richard Moskowitz

Le Dr Richard Moskowitz est médecin depuis 1967. Il a fait ses études à Harvard en sciences biochimiques et a reçu son diplôme de médecin à l’Université de New-York en 1963. Après avoir fait un graduat en philosophie à l’Université du Colorado, il a effectué un stage à l’hôpital St. Anthony de Denver.

En 2015, lorsque la première hystérie au sujet de la rougeole a éclaté dans les médias, le Dr Moskowitz a eu la gentillesse de nous autoriser à publier son article : The Case against immunizations qui reste l’un de ses écrits les plus brillants sur le sujet que nous ayions jamais publié. Pour réaliser ce travail, le Dr Moskowitz s’est, bien entendu, appuyé sur ses connaissances du sujet comme sur des décennies de pratique de la médecine clinique.

Le Dr Moskowitz vient de rédiger un autre article sur le thème des « Epidémies de rougeole » en 2019, ainsi que sur le récent appel à une vaccination obligatoire.

Il y expose le sophisme selon lequel « la science est bien établie » en matière de rougeole et de vaccins.

« Contrairement à ce que l’on nous a dit, la science est bien loin d’être établie sur l’efficacité des vaccins.

Ces suppositions ne relèvent pas de la science, mais essentiellement du scientisme, d’une foi quasi religieuse caractérisée par son dogmatisme et  par l’étouffement de la pensée critique, du doute, du questionnement par rapport aux vérités prétendument établies.  La véritable science a bien d’autres exigences ! Tout ceci fait comprendre pourquoi les médias s’abstiennent de signaler les dommages et les décès dus aux vaccins. »

Ces épidémies de rougeole : des pensées hors saison

Par le Dr Richard Moskowitz, M.D.

Alliance pour la protection de la Recherche

Extraits :

Avant que l’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne dégénère encore plus, un brin de bon sens pourrait nous aider à réfléchir plus attentivement avant de nous dépêcher de prendre des mesures qui ne fonctionneront pas et feront vraiment des dégâts.

Refuser un traitement médical non souhaité est un droit fondamental que toutes les nations civilisées ont juré de respecter, à la seule exception possible d’une menace grave et imminente pour la santé publique. Les quelques épidémies de rougeole localisées qui ne dépassent souvent pas quelques dizaines ou centaines de cas ne correspondent pas en fait à ce critère.

Toutes ces épidémies sont typiques de celles qui se sont produites depuis l’introduction du vaccin. D’autres épidémies semblables continueront sans doute de se produire, même si la campagne bien financée de l’industrie du médicament parvenait à vacciner tout le monde.

Pourtant, le Département de la santé de l’Etat de Washington a déclaré une urgence de santé publique sur cette base. Plusieurs autres Etats envisagent de faire la même chose, et les médias se sont associés avec enthousiasme à cette politique comme les éditoriaux du New-York Times, du Boston Globe et autres grands magazines. Les stations radio comme les émissions débats sur NPR, toutes bien intentionnées, mais propageant sans cesse des peurs alarmistes et des exagérations, comme s’il s’agissait de vérités bien établies. Ces médias citent souvent des cas d’épidémies modestes comme justification suffisante pour éliminer les exemptions aux vaccinations pour croyance personnelle, et qui ont encore cours dans divers Etats.

Une violation flagrante du Premier amendement et l’exemple le plus récent et le plus inquiétant est la pression exercée par le Congrès sur Facebook et autres médias sociaux pour censurer les publications qui osent susciter des questions ou des doutes sur les vaccins, ainsi que sur l’obligation vaccinale.

D’un autre côté des politiciens et des journalistes n’ont rien fait de plus que de croire les informations que des médecins et des autorités de santé publique leur communiquent.

Malheureusement, ce qui leur est communiqué ne relève pas seulement d’une mauvaise éthique, mais aussi d’une mauvaise science, basée sur des hypothèses totalement contredites par la recherche actuelle, tout en violant les droits de l’homme les plus fondamentaux, ainsi que les valeurs morales qui nous sont chères.

Souvent supposées aller de soi sans même avoir besoin d’être énoncées, encore moins prouvées, leurs hypothèses fondamentales sont en réalité deux postulats qui s’appuient l’un sur l’autre pour les soutenir, à savoir 1) que ces petites épidémies de rougeole et autres maladies infectieuses contre lesquelles nous vaccinons sont en fait initiées et propagées par des individus non vaccinés, et 2) que les vaccins sont, non seulement miraculeusement sûrs, mais également uniformément efficaces pour immuniser les personnes; de sorte que seules les personnes non vaccinées restent susceptibles et donc capables de transmettre ces maladies à d’autres.

Mais il n’est pas possible d’avoir les deux à la fois. Car si ces postulats étaient tout à fait vrais, si l’immunité conférée par le vaccin antirougeoleux était vraiment comparable à l’immunité absolue et permanente résultant de la maladie et de son rétablissement, les non-vaccinés ne constitueraient une menace pour personne d’autre qu’eux-mêmes, sur la base d’un libre choix de leur part ; de sorte que ceux qui prennent le vaccin n’auraient absolument rien à craindre.

Inversement, si les personnes vaccinées risquent effectivement de contracter la maladie à partir de personnes non vaccinées, c’est que le vaccin est manifestement inefficace au point que tout ce qu’il offre ne peut constituer une immunité réelle ou authentiquement efficace.

Quoi qu’il en soit, il existe de nombreuses preuves scientifiques solides selon lesquelles ces deux hypothèses sont tout simplement fausses.

La grande majorité des cas de rougeole, d'oreillons et d'autres maladies que l’on prétend pouvoir être prévenues par un vaccin, au cours d’épidémies passées ou récentes, ont été, dans 75 à 95% des cas, observées chez des personnes vaccinées. Une étude récente sur la rougeole en Chine, où plus de 99% de la population fut vaccinée en fonction d’une loi rendant cette vaccination obligatoire a néanmoins permis d’observer plus de 700 épidémies localisées, et ce, en une seule année, pour un total de près de 26 000 cas.

Il en va à peu près de même pour les éclosions récentes d'oreillons aux États-Unis, où 95 à 100% des cas ont été trouvés chez des vaccinés.

Ainsi, même si toutes les exemptions non médicales étaient éliminées et que pratiquement tout le monde était vacciné, comme le nécessiteraient les nouvelles lois proposées, des épidémies similaires continueraient sans doute de se produire.

En d’autres termes, la prétendue immunité conférée par les vaccins est une astuce, une contrefaçon de la réalité et «l’immunité collective», objectif justifiant les obligations, généralement lié à un taux de vaccination de 95% ou plus dans le cas de la rougeole, constitue une chimère, des vœux pieux que la vaccination ne peut tout simplement pas atteindre, contrairement à la maladie naturelle. Les experts de la santé publique savent depuis longtemps que les épidémies de grande ampleur ne se produisent plus lorsqu'au moins 80% de la population a été atteinte par la maladie et en a guéri. C’est cela, et seulement cela, qu’est l’immunité de groupe. S’attendre à ce que le vaccin atteigne un niveau encore plus élevé, sans épidémie, est un pur fantasme et contraire de la science pure et dure.

En outre, des scientifiques ont également démontré que les personnes vaccinées à partir de virus vivants, tels que la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, le rotavirus, la poliomyélite orale et certaines versions de la grippe, les «répandaient» régulièrement dans leur entourage et étaient donc contagieuses  pendant plusieurs semaines.

En ce qui concerne la réapparition de la coqueluche ces dernières années, par exemple, de nombreuses études ont montré que les épidémies de plus en plus importantes et fréquentes de la maladie étaient également transmises par des individus vaccinés, même si la bactérie n’était plus vivante, en partie par sélection naturelle de souches résistantes aux vaccins, comme cela a été documenté dans le cas d’autres vaccins non vivants (HiB, pneumocoques et, éventuellement, poliomyélite injectable).

"En bref, la volonté de vacciner autant de personnes que possible et l'intimidation et la colère contre les parents qui choisissent de ne pas vacciner qui vont de pair, sont non seulement cruels et peu réalistes, mais contribuent également à créer et à propager les maladies que les vaccins ont été conçus pour éradiquer."

Plutôt que de simplement accepter le fait que les vaccins ont, au mieux, une efficacité partielle et limitée, nous permettons au CDC et à l’industrie du médicament de jouer sur nos craintes au point de transformer ces épidémies localisées de rougeole en un semblant redoutable de menace imminente, une urgence de santé publique, constituant une menace sérieuse pour la société, justifiant la vaccination forcée de tous, même contre la volonté des intéressés si nécessaire, et annulant ainsi tous les codes et traités auxquels nous avions souscrit: le Code des droits de l'homme de Nuremberg et la Déclaration d'Helsinki régissant la recherche biomédicale, qui insistent tous deux sur le droit de chaque patient et de chaque sujet de donner son consentement éclairé à toutes les procédures médicales et chirurgicales, en interdisent explicitement leur administration par la force.

La science n'est pas définitivement établie une fois pour toutes

Contrairement à ce qu’on nous dit, la science est loin d’avoir dit son dernier mot sur l’efficacité des vaccins. Cela serait déjà suffisant pour effacer le mythe selon lequel la vaccination obligatoire serait nécessaire.

Mais ce n’est pas la seule raison, ni même la plus importante.

La sécurité des vaccins est encore très loin d’être établie, pour le dire gentiment et pour de très bonnes raisons.

En premier lieu, de nombreuses études ont montré que les enfants qui contractent des infections fébriles aiguës telles que la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle et la grippe et guérissent dans la suite sont beaucoup moins susceptibles de développer des maladies auto-immunes chroniques et un cancer au cours de leur vie que les enfants simplement vaccinés contre ces maladies.

D’autres études encore relient les risques de décès, d’hospitalisation et d’autres réactions indésirables graves, non pas à un vaccin ou à des vaccins en particulier, mais plutôt au nombre total de vaccins administrés, à la fois simultanément ou au cours de la vie du patient.

En d'autres termes, ces terribles résultats ne peuvent pas simplement être considérés comme des bizarreries individuelles, qui ne seraient spécifiques qu'à certains individus hypersensibles, mais semblent plutôt être liés à la nature même du processus de vaccination.

Ces résultats sont déjà plus que suffisants pour remettre en question, voire discréditer, le respect presque universel accordé au concept de vaccination, sans parler du chèque en blanc qui permet et même incite l’industrie pharmaceutique à développer, commercialiser et finalement imposer de plus en plus de vaccins, partant du principe que les vaccins sont sans danger et efficaces dans tous les domaines, qu’ils économisent d’énormes sommes d’argent grâce à la non-prise en charge des patients atteints de ces maladies, et qu’il est donc correct, voire souhaitable, d’empiler autant de doses de nombreux vaccins différents qu’il est possible de commercialiser, souvent sans autre raison que celle de disposer de la capacité technique pour les fabriquer.

C’est la même hypothèse qui permet à l’industrie pharmaceutique d’organiser ses propres études d’innocuité sans véritable contrôle placebo des individus non vaccinés. Cette façon de procéder limite les effets indésirables à ceux qui sont examinés quelques heures ou quelques jours après la vaccination, excluant ainsi automatiquement les maladies chroniques qui pourraient survenir dans la suite; cela donne à l'enquêteur principal le pouvoir illimité de déterminer si une réaction indésirable rapportée est liée ou non à un vaccin, selon des critères jamais spécifiés; et cela permet au CDC d'insister sur le fait que les vaccins sont uniformément sûrs et efficaces sans mener leurs propres études indépendantes, même si le Congrès a légiféré et la Cour suprême a confirmé que les vaccins sont «inévitablement dangereux», afin de protéger les fabricants de toute responsabilité par rapport aux décès et aux dommages qu'ils provoquent, une « faveur » gratuite jamais accordée à aucune autre industrie.

En bref, ces hypothèses ne relèvent pas de la science, mais simplement du scientisme, une religion qui prétend parler au nom de la science et qui se caractérise par un dogmatisme, qui étouffe l'esprit critique, le questionnement et le doute par rapport à des vérités prétendument établies. La véritable science est en droit d’exiger beaucoup plus. Tout ceci explique pourquoi les médias s'abstiennent de signaler les décès ou les dommages dus aux vaccins sans avoir à s’interroger, et pourquoi la plupart des médecins offrent à leurs enfants les mêmes vaccins que ceux qu'ils administrent à leurs patients.

Ce qui m'amène à mon dernier point, à savoir que si la vaccination et les vaccins étaient effectivement sûrs et efficaces dans leur ensemble, alors les milliers de parents qui croient sincèrement que leurs enfants sont décédés après avoir été vaccinés ou ont eu la santé endommagée par les vaccins et doivent vivre chaque jour de leur vie avec cette terrible réalité, sont soit de fieffés menteurs, ignorants ou stupides, et méritent donc peut-être même que leurs histoires soient ignorées et rejetées d'emblée par la communauté médicale, les médias et le grand public !

Pourtant, leurs souffrances, quelle qu'en soit la cause, appellent à tout le moins à de la prudence, de la retenue et à une simple compassion pour le point de vue de ceux dont l'expérience vécue est si tragiquement différente de celle de tous ceux qui ont le privilège d'ignorer ou de se montrer insensibles à  tous ces drames.

En tant que médecin de famille qui a soigné bon nombre de ces enfants au fil des ans, je peux affirmer avec une certitude absolue que la grande majorité de ces parents ne sont en aucun cas des «anti-vaccins» ignorants, crédules ou hostiles à la science.

Bien au contraire, ils sont souvent bien éduqués, bien informés et ont généralement consacré leur vie à percer le mystère de ce qui est vraiment arrivé à leurs enfants et ne demandent plus qu’une seule chose, c’est que les vaccins soient rendus aussi sûrs que possible, sur la base d'une enquête minutieuse menée par des scientifiques indépendants de l'industrie du médicament.

Après plus de cinquante ans passés « dans les tranchées », je puis également attester que le sens instinctif et pratique de parents attentionnés est souvent un guide beaucoup plus précis et plus fiable sur les causes des tragédies qu’ils ont subies que des déclarations savantes qui les prémuniraient contre le besoin de prendre réellement en compte les détails de leur expérience vécue.

Enfin, le respect généralisé et presque universel accordé à la vaccination, fondé sur le catéchisme selon lequel les vaccins sont non seulement sûrs et efficaces, mais également parmi les réalisations suprêmes de la médecine moderne, m’a poussé à écrire. J’étais animé d’un réel pressentiment, comme du sens de l’urgence, à un moment critique de notre histoire, alors que les droits des patients de refuser un traitement médical non souhaité ont depuis toujours été considérés comme sacrés. Il en va de même pour le droit des parents de pouvoir prendre des décisions au nom de leurs enfants. Ces droits sont aujourd’hui, comme jamais, remis en question !

Je me sentirais bien récompensé si mes paroles, mon raisonnement, la tristesse, la peur et l’indignation que je ressens depuis longtemps à ce sujet pouvaient favoriser un débat sain et permettraient de faire davantage avancer le travail scientifique rigoureux qui reste à faire.

Source: Vaccine Impact

Voir aussi:

Vaccin rougeole: ce qu'en pensent les médecins suisses

Bénéfices-risques du vaccin ROR: c'est à VOUS de décider!

Pas de vaccination ROR sans consentement parental a ordonné la Haute Cour de Delhi

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

Effets du vaccin ROR: des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

L'autisme et la mort subite repris dans la notice du vaccin Tripedia (diphtérie, tétanos, coqueluche)

Audition du Dr Moss s'indignant du ramdam sur la rougeole et de l'omerta sur les 127 décès après ce vaccin...

Aveux et conscience que l'autisme peut être lié aux vaccins (c'est d'ailleurs en toutes lettres dans la notice du vaccin Tripedia contre diphtérie, tétanos, coqueluche)

Les plans mondiaux de vaccination sont pilotés par l'OMS d'où la panique bien concertée et organisée en même temps dans tous les pays, par exemple sur la rougeole

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10 mars 2019 7 10 /03 /mars /2019 23:25

La Belgique se prépare à une pandémie de grippe: "C'est nécessaire" selon les experts

Emmanuel Dupond et Regjep Ahmetaj, publié le 02 février 2019

capture d'écran vidéo RTL

capture d'écran vidéo RTL

La ministre de la santé veut préparer notre pays à une épidémie mondiale de grippe. Maggie De Block annonce que la Belgique va participer à un marché public européen. Son but: garantir la disponibilité de vaccins en cas de pandémie.

En 2009, plus de 70 pays à travers le monde doivent faire face à une pandémie grippale. Le virus AH1N1 fait près de 17.000 victimes. Notre pays n’est pas épargné : 17 belges sont mortellement touchés. Problème, les vaccins sont insuffisants.

Yves Van Laethem, président section vaccin au conseil supérieur de la santé: "En 2009, la dernière pandémie, on sait que certains pays n'ont pas eu la quantité de vaccins qu'ils souhaitaient, ou l'ont eu trop tard par rapport à l'arrivée du virus dans le territoire et donc on craignait qu'en cas de pandémie plus sévère, plus mortelle que celle de 2009, le même genre de scénarios se reproduise..."

Depuis trois ans, une quinzaine de pays européens se sont regroupés pour lancer un appel d’offre à plusieurs firmes pharmaceutiques. Objectif: obtenir la garantie qu’elles puissent fournir des vaccins à temps. Maggie De Block a annoncé hier qu’un accord allait être signé avec deux sociétés.

Maggie De Block, ministre de la santé: "On s’est inscrit dans ce projet Européen de fourniture de vaccins, ce qui nous permettra d’obtenir 6 millions de vaccins en cas de pandémie de grippe".

La Belgique va débourser deux millions d’euros par an pendant 4 ans, pour avoir l’assurance d’obtenir ces vaccins. Un budget important, mais une assurance nécessaire pour certains experts.

Yves Van Laethem, président section vaccin au conseil supérieur de la santé: "C'est permettre surtout d'assurer notre sécurité sanitaire, et comme c'est les firmes pharmaceutiques qui font les vaccins, il n'y a pas d'autre solution. Il n'y a pas de laboratoire d'état qu'il le fait. Il faut bien payer quelqu'un pour, à la fois, financer la recherche et fournir la capacité de production rapide si nécessaire."

La grippe pandémique n’est pas une grippe saisonnière. La dernière épidémie remonte à 2009. Notre pays peut décider dans 4 ans de renouveler le contrat, ou d’y mettre fin.

Source : RTL.be

Affligeant. Surréaliste, écœurant... la même clique (et ses conflits d'intérêts) recommence le pitoyable scénario du "c'est nécessaire", "au cas où", "il faut se préparer" et blablabla. On remarquera que l'on a de nouveau droit à une même litanie de mensonges, sans que les journalistes n'apportent le moindre démenti ou la moindre information contradictoire correctrice, le champ est de nouveau laissé complètement libre aux fieffés menteurs de service qui prétendent agir au nom de la santé publique! Oser dire que les vaccins étaient insuffisants en 2009 confine littéralement au délire merdiatique le plus pur, alors que des millions de doses périmées ont été détruites, quand les autres ont été écoulées inutilement aux malheureux Africains, comme s'en indignait à l'époque le Pr Gentilini, infectiologue et membre de l'Académie de Médecine...

 

Il faut le dire et le redire: cet affairement au sujet des pandémies n'est pas normal. L'OMS avait modifié ses critères de pandémie en 2009, très peu avant que la fausse pandémie ne soit déclarée et les vaccins décrétés indispensables et "salvateurs". On a hélas vu ce qui s'est produit avec les nombreux effets secondaires, comme la narcolepsie, à tel point que même le Commissaire européen à la Santé a déclaré que toute une série d'enfants souffrent d'effets secondaires "terrifiants" suite à ces vaccins... Les pays comme la Pologne, qui ont tenu bon et refusé d'acheter ces vaccins expérimentaux hasardeux, n'ont pas eu proportionnellement plus de cas et ont fait au passage de fameuses économies.

 

Mais voilà, il fallait éviter à l'avenir ce genre de "vilain petit canard" permettant ce genre de contraste dérangeant et dès lors concevoir un modèle d'achat européen aliénant toujours plus les Etats-membres à ce modèle contre-productif et iatrogène à souhait, à l'exclusion évidemment de tout autre approche intelligente, naturelle, qui respecterait les souhaits d'une large partie de la population et le plus élémentaire bon sens, tout simplement. Il faut dire qu'il existe des plans mondiaux de vaccination et tout un agenda pour assommer de plus en plus les populations par des batteries de plus en plus fournies et incessantes de vaccins, qui sont, à l'évidence, une des hontes les plus flagrantes de la médecine, devenue en réalité un si triste pharma-business.

 

L'OMS crée une "nouvelle maladie X" comme cadre d'accueil des prochaines pandémies tant attendues et aussi si bien annoncées à longueur d'année par des gens comme Bill Gates (un des plus grand contributeur privé au budget de l'OMS). Il est donc plus que grand temps de se réveiller, le piège étant de nouveau béant. Mais c'est bien connu, plus c'est gros, plus ça passe. Le H1N1 n'était en réalité qu'un exercice grandeur nature, une phase de test en vue d'une suite... histoire de toujours mieux rôder la désinformation, la coercition et la manipulation.

10 ans après le H1N1, l'Etat belge recommande 6 millions de vaccins pandémiques!
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30 octobre 2018 2 30 /10 /octobre /2018 12:03

L'anesthésie générale peut être donnée pour forcer la vaccination chez les enfants aux besoins spécifiques

 

Erin Elizabeth, 30 septembre 2018

Vacciner les enfants sous anesthésie générale: la nouvelle proposition criminelle des idéologues de la vaccination pour les cas difficiles

En juin dernier, à l'occasion de la Conférence Nationale sur la Vaccination à Adelaïde, en Australie, Julie Leask, Professeure associée à l'Université de Sidney,a fait une déclaration dérangeante, annonçant que certains enfants "dont le cas est médicalement complexe" pourront nécessiter une sédation ou même une anesthésie générale afin de leur faire un rattrapage des vaccinations. Et, comme si cela n'était pas encore assez choquant, elle a aussi annoncé que les parents qui refuseront seront privés d'allocations familiales. 

 

Voici un extrait de sa présentation: 

Mais gardez à l'esprit que même l'anesthésie générale comporte ses propres risques; en réalité, une étude réalisée en 2015 a lié l'anesthésie générale à "une réduction de QI et à des changements dans la structure du cerveau". [1]

 

Voici quelques effets secondaires possibles de l'anesthésie générale tels qu'indiqués sur le site du Ministère de la Santé de l'Etat de Victoria [2]:

 

- Blessure au site d'injection

- Infection

- Troubles respiratoires

- Dommages nerveux à court terme

- Réactions allergiques (ex: crise d'asthme)

- Sensations et douleurs durant l'opération

- Dommages à la bouche, aux dents, aux lèvres et à la langue

- Dommages causés aux cordes vocales ou au larynx

- Lésions pulmonaires

- Attaque cardiaque

- Dommages cérébraux

- Accident vasculaire cérébral

- Insuffisance rénale

- Insuffisance hépatique

- Paraplégie

- Quadriplégie

 

Maintenant, puisqu'il ne s'agit ici que des risques liés à l'anesthésie générale, pouvez-vous imaginer ce qui pourrait se passer lorsque les vaccins sont administrés en même temps? Cela a-t-il déjà été étudié en termes de sécurité? Et peut-être aussi la question la plus importante de toutes: pourquoi ces enfants complexes sur le plan médical ne bénéficient-ils pas plutôt d'exemptions à la vaccination?

 

Bien que le Pr Leask n'ait pas expliqué en quoi consiste "un enfant médicalement complexe", il est prudent de supposer qu'il s'agit d'enfants atteints de troubles neurologiques, tels que l'autisme, qui peut d'ailleurs avoir été initialement causé par la vaccination. [3]

 

Quelle cruelle ironie dès lors! Nos pensées vont aux parents de ces enfants qui pensent ne pas avoir le choix. Nous ne pouvons pas imaginer une telle situation! 

 

Références

 

[1] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

[2] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

[3] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

 

Sources: Healthnutnews & Australian Vaccination Network (AVN)

 

Commentaire additionnel d'Initiative Citoyenne:

Il ne faut, du reste, pas oublier non plus que l'anesthésie générale comporte, en elle-même, des effets d'immunosuppression (bien connus et préoccupants, notamment en matière de chirurgie oncologique puisqu’on peut notamment lire dans des publications médicales à ce sujet, nous citons : « La chirurgie carcinologique est à l’origine d’un chaos immunologique périopératoire, favorable à la prolifération de cellules cancéreuses » ; que « Les agents hypnotiques de l’anesthésie ont un effet sur l’activité des cellules NK. » (NB : les « NK » = « natural killers » = un type de globule blancs particulier) ou encore : « Les opioïdes ont un effet direct et un effet indirect sur la prolifération de cellules cancéreuses, in vitro. L’effet résultant serait en faveur d’une immunosuppression des défenses de l’hôte. ».) ; cela signifie donc qu'à l'instar de divers médicaments très connus (ex: cortisone), l'anesthésie et ses effets sur l'oxygénation du corps constitue un stress particulier pour le système immunitaire, lequel est justement celui mis à contribution au 1er chef avec les vaccinations, qui déjà, constituent un stress très supérieur à ce que serait celui occasionné par une infection naturelle, non seulement parce que l'organisme, dans la nature, ne sera pas exposé à tous ces germes à la fois, mais aussi parce que ces germes entreront par des voies précises, harmonieuses et progressives (en commençant par la barrière cutanéo-muqueuse que la vaccination court-circuite allègrement). Diverses études ont déjà montré que la vaccination induit une immunodépression dans ses suites (inversion du rapport des lymphocytes T4/T8, comme ce que qui se passe en cas de SIDA mais de façon plus temporaire, pendant parfois plusieurs semaines, expliquant de facto pourquoi les sujets vaccinés sont nettement plus vulnérables que les non vaccinés à quantité d'infections opportunistes dans leurs suites, certaines pouvant hélas s'avérer mortelles).

Conclusion: on va solliciter ici un système immunitaire immature, mis en état de stress maximum alors que tant l'anesthésie que les vaccins vont provoquer un effondrement immunitaire relatif, imposant dès lors aux organismes déjà fragilisés des injonctions contradictoires (faire travailler le système immunitaire et le faire taire)... une fois encore, bonjour les dégâts!

 

Voir aussi:

 

La vaccination des patients à risque? Encore plus risquée!

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13 mai 2018 7 13 /05 /mai /2018 13:03

Il nous paraissait important de refaire le point sur ce sujet des futures pandémies, surtout pour ceux qui n'ont jamais vraiment suivi ce dossier, afin de leur fournir de nouveaux éléments de décryptage des enjeux. Ces dernières semaines et ces derniers mois, plusieurs appels insistants aux pandémies futures se sont encore fait entendre: de la part de l'OMS mais aussi de Bill Gates. De quoi s'agit-il, quel est le contenu du message et surtout, comment le comprendre... en fonction des messagers (et de tout leur passé!)?

L'OMS et la voie royale des pandémies: comment le puzzle se construit

Après tout, certaines personnes endormies au gaz et qui n'ont que le mot "complot" à la bouche sont trop occupées à leurs anathèmes et autres élucubrations pour regarder en face l'enchaînement parfait des "actus pandémiques" de ces dernières années. Mais voici qu'une petite piqûre de rappel paraît maintenant obligatoire, histoire de vraiment protéger votre santé!

 

L'OMS: L'Organisation mondiale de la Santé est financée à l'heure actuelle à environ 80% par le secteur privé, son plus grand contributeur étant Bill Gates, pour qui les vaccins sont une réelle obsession. Malgré l'état actuel des priorités de santé dans le Monde, le tout premier post financier de l'OMS est consacré... à la vaccination polio et bien sûr, sans aucun débat démocratique (ça va sans dire!). 

 

L'OMS a modifié les critères de définition de pandémie à l'occasion du H1N1 en supprimant la mention d'un grand nombre de morts (gardant seulement un grand nombre de malades) pour pouvoir déclencher l'alerte 6 donc l'alerte maximale qui déclenche immédiatement en cascade la production mondiale des vaccins. Rien d'étonnant donc à ce que l'OMS ait été sous le coup d'une enquête pour collusion par le Conseil de l'Europe.

 

L'OMS a aussi supprimé très opportunément plusieurs catégories pour l'évaluation des effets secondaires et des décès après vaccination dans les pays pauvres (de façon à faire passer à la trappe quantité de rapports comme étant non liés ou probablement pas liés), comme l'explique ici le pédiatre indien chef de service Dr Jacob Puliyel.

 

L'OMS ne respecte absolument pas ses propres règles, et les contourne en réalité continuellement car tout ce qui compte, c'est de garder son influence sur les Etats dans une action uniformisatrice et coordinatrice. Or la priorité n°1 de l'OMS, c'est la vaccination et encore la vaccination. L'OMS fait ainsi des plans mondiaux sur les vaccins, des décennies de la vaccination (comme si ça ne faisait déjà pas assez de décennies que les populations sont de plus en plus bombardées de vaccins), des journées puis des semaines mondiales de la vaccination, ses agents n'hésitent pas à brutaliser les femmes pour vacciner à tout prix des enfants. Plusieurs épisodes passés dans plusieurs pays (Afrique, Amérique du Sud, etc.) ont également montré, après analyse des vaccins par des laboratoires indépendants, que des vaccins destinés à des femmes des pays pauvres (et promus par l'OMS) contenaient des hormones ayant des effets anti-fertilisants... faut-il s'étonner que le milliardaire Bill Gates soit le premier contributeur privé de l'OMS, lui aussi estimant que nous sommes beaucoup trop nombreux sur terre et que "si nous faisons un réel bon travail avec les vaccins et les techniques de procréation médicalement assistées, nous pouvons espérer réduire la population mondiale de 10 à 15%" ? Certaines personnes ont essayé de couvrir ces propos de Bill Gates en disant qu'il aurait été simplement mal interprété, que ce qu'il voulait dire était qu'avec moins d'enfants malades (soi-disant protégés par les vaccins), les familles feraient spontanément moins d'enfants et que la natalité baisserait en conséquence...

 

L'OMS a un Règlement Sanitaire International (RSI) en mesure de recommander à tous les pays d'appliquer une vaccination mondiale généralisée, par exemple à l'occasion d'une future pandémie (tant attendue, apparemment). Les obligations vaccinales ne répondent en réalité absolument pas à des urgences épidémiologiques véritables (comme l'ont montré les récents exemples en France, en Italie) mais à un agenda géopolitique piloté par les calendriers, comme l'explique Maxence Layet, journaliste scientifique et attaché parlementaire de l'eurodéputée française Michèle Rivasi. Il importe dès lors de ne pas mélanger santé (véritable) et politique qui, le plus souvent hélas, ne se superposent pas vraiment.

 

Si vous lisez par exemple ici les aveux d'"experts" de l'OMS et ce qu'ils disaient des dangers possibles du vaccin contre la dengue et ce qu'il en est finalement advenu du désastre de ce vaccin en Asie, vous comprendrez évidemment beaucoup mieux à quel point cette instance est dangereuse et n'a ni l'indépendance suffisante ni la rigueur scientifique ni non plus même la volonté politique de protéger la santé des populations, et cela n'a tout simplement jamais été le cas. Peu importe les scénarios véritables, ces gens laissent des millions de gens encourir des risques exorbitants à longueur d'années avec toutes ces batteries d'injections vaccinales et cela est inacceptable. 

 

 

En février dernier (pour fêter les 100 ans de la grippe espagnole?), on pouvait déjà lire dans la presse la première salve "Selon l'OMS, le monde est menacé par une pandémie mondiale" ou encore "L'OMS est formelle: nous sommes à deux doigts d'une pandémie mondiale". Avec un peu de bon sens, le lecteur peut déjà se dire qu'à part pour ceux qui les créent de toutes pièces, un tel degré de certitude est impossible... Mais voici maintenant que l'OMS revient à la charge avec de l'"encore plus gros" (Plus c'est gros, plus ça passe...): la "MALADIE X"! 

 

Oui, vous lisez bien: "maladie X"... attendez, on travaille dessus, on ne saura vous dire le nom du dernier produit tendance que quand ça sera sorti mais on peut déjà vous dire qu'il faudra médocs et vaccins et que ce sera sans doute une zoonose ou qqch aussi de lié au bioterrorisme, des croisements de virus ou des machins comme ça. Patience, ça va venir! Mais il n'y en aura sans doute pas pour tout le monde (vu qu'il y aura des morts!) alors attendez encore un peu et vous pourrez bientôt être au balcon pour le fascinant-méchant spectacle à venir!

 

Sur le site de Sciences et Avenir, on peut notamment lire ceci: "La maladie X a été incluse dans la liste, non pour terrifier, mais pour veiller à ce que la communauté internationale en santé soit prête à s'attaquer à toutes les formes de menaces, prévisibles et imprévisibles", explique l'OMS dans un communiqué. "Cela peut paraître étrange d'ajouter une 'maladie X', mais nous voulons être sûrs d'être prêts, d'avoir des vaccins et des diagnostics, a ajouté au Telegraph John-Arne Rottingen, conseiller scientifique à l'OMS. Nous voulons développer des systèmes prêts à l'emploi qui pourront traiter toutes sortes de maladiesL'Histoire nous montre que la prochaine grosse épidémie est plus à même d'être quelque chose que nous n'avons jamais vu auparavant." Que pourrait être cette "maladie X"? Arme chimique ou biologique, mauvaise manipulation dans un laboratoire, plusieurs hypothèses sont envisagées par l'OMS.

 

"L'Histoire nous montre"? Quelle histoire, la leur, celle qu'ils écrivent? Comme avec le H1N1? Là aussi, l'histoire a surtout bien montré que les "vaccins-maquettes", les produits prêts à l'emploi font de tous les patients de tristes cobayes...avec des milliers de victimes en perspective liés à "leurs bons soins"!

 

Si on vous dit, avant d'aller faire vos achats que le pain "X" ou "l'aliment Y" sera le prochain pain ou aliment que vous allez acheter, comment allez-vous réagir? En explosant de rire bien sûr, mais est-ce que cela fait tellement rire quand des prétendues instances de santé mondiales s'adonnent à ça? Sont-elles assez sottes pour se ridiculiser de la sorte ou bien cela traduit-il bien plutôt un autre genre de certitude préparatoire? Si on lit en tout cas ce qui a été précédemment exposé sur l'OMS notamment, on ne peut que se dire que ce serait des questions dignes d'être traitées par de véritables journalistes d'investigation (une dimension qui a fini par être gommée quasi à 100% de nos paysages....). Car l'OMS constitue aussi une sorte de navire idéologique (les journalistes Bertrand Deveaud et Bertrand Lemennicier ont parlé quant à eux de "bateau ivre de la santé publique"). C'est une façade, une étiquette qui sert à donner une illusion d'indépendance mais pour promouvoir de façon universelle et mondialisée une idéologie en priorité, en tout premier lieu l'idéologie vaccinale. Cette idéologie est imposée de façon implacable et sans aucun débat démocratique à l'ensemble des populations mondiales qui se retrouvent ainsi littéralement enfermées dans un paradigme malsain qui les rend de plus en plus malades.

 

Le poster choisi par l'OMS pour sa semaine mondiale de vaccinations 2018 est d'ailleurs tout à fait éloquent/révélateur à ce sujet, regardez bien comme, au-delà des mots, sans besoin de mots, les images trahissent les politiques et les paradigmes sous-jacents: tous ces visages enfermés, prisonniers dans la goutte, prisonniers des vaccins (dépendants de tout ce secteur pharmaco-chimique), esclaves même des vaccins et devant s'adapter à eux, sommés de s'incliner face à des produits standards pour des individus immunologiquement tous différents, au lieu de vaccins qui seraient réellement sains et au service des populations. Toute l'idéologie vaccinale de l'OMS se trouve ainsi picturalement résumée par cette triste goutte (de trop)! 

L'OMS et la voie royale des pandémies: comment le puzzle se construit

L'OMS entend en fait créer des (faux) besoins, elle l'explique nommément dans ses divers plans vaccins, elle veut que les gens en viennent à réclamer eux-mêmes les vaccins, érigent ça en droit, mais il est bien évident que si ce n'est pas le cas, c'est précisément parce que de plus en plus de personnes se rendent compte qu'elles ne vont pas se maintenir en santé avec des produits chimiques toxiques, des vaccins mal évalués et tous expérimentaux, ni non plus cette crainte obsessionnelle des microbes sur laquelle prospèrent combien d'actionnaires qui se pourlèchent déjà les babines. Pour essayer de banaliser l'idée d'obligation vaccinale, l'OMS travaille à en faire un droit, ça s'appelle la novlangue ou l'art de l'inversion, vous aurez juste le droit à la fin d'être obligé de vous laisser faire..... pour le bien de l'humanité, ça va sans dire (et quiconque conteste un droit doit aussi être sanctionné... cf aussi la récente résolution du Parlement européen en matière de réticence à la vaccination et qui parle de "neutraliser" les voix dissidentes...). 

 

 

Bill Gates, pour revenir à lui, a donc également insisté sur cette perspective de pandémie d'origine bioterroriste...

capture d'écran sur le site Sciences et Avenir, selon les infos d'une dépêche AFP du 21 février 2017

capture d'écran sur le site Sciences et Avenir, selon les infos d'une dépêche AFP du 21 février 2017

Cette annonce de bioterrorisme intervient dans un contexte historique qui n'est malheureusement pas rappelé par Sciences et Avenir ou par l'AFP mais que nous jugeons, pour notre part, assez digne d'intérêt: en effet, qui a oublié (ou plutôt qui se souvient?) qu'un virus H5N1 ultra dangereux, "le plus dangereux jamais créé en laboratoire", a été créé par des scientifiques hollandais qui ont fait se croiser des virus afin de rendre le H5N1 (dangereux mais peu contagieux) transmissible d'homme à homme ? Or c'est justement, nous dit-on (la belle affaire!) pour chercher un vaccin à ce virus que les chercheurs l'ont rendu redoutablement dangereux et l'OMS qui nous dit (ci-dessus), qu'elle tient vraiment à être prête, et à disposer aussi de vaccins prêts à l'emploi, ben voyons, comme tout cela fait une magnifique recette bien congruente.... tout va vraiment pour le mieux dans le meilleur des mondes! Ces travaux de l'équipe de Ron Fouchier avaient fait l'objet d'un moratoire fantoche d'un an, histoire juste de se faire un peu oublier des médias mais ça n'a servi à rien, tout a continué. Une équipe chinoise s'est d'ailleurs également lancée dans l'aventure des mutations volontaires, là encore pour le plus grand intérêt de l'humanité et de la science (en réalité: "Une recherche qui pourrait coûter la vie à des dizaines de milliers de personnes si les choses venaient à mal tourner" peut-on lire sur Franceinfotv le 2 mai 2014)

 

En parlant de virus grippaux, Bill Gates vient  justement de lancer un concours à 12 millions de dollars pour le développement d'un vaccin universel contre la grippe...  or qui dit universel dit aussi (officiellement) "bon à tout", à diverses souches, dit aussi prêt à l'emploi, sorte de moule général, vaccin de débrouillage, "il ne suffirait que d'une dose", "protection à vie en échange" et blablabla, on imagine déjà (aisément) la suite.... on sait que l'OMS n'a pas hésité à recommander un vaccin dangereux et inefficace contre la grippe H1N1 responsable de milliers de cas inutiles de narcolepsies et de beaucoup d'autres handicaps, et n'a pas hésité non plus (comble de l'indécence) à aller écouler ces vaccins H1N1 occidentaux auprès des populations pauvres du Sud! Il y a donc fort à parier qu'en cas de vaccin universel contre la grippe, l'OMS trouvera sûrement et par principe à le recommander aveuglément à un maximum de gens!

 

La Collaboration Cochrane, groupe de scientifiques indépendants qui se concentrent sur la recherche médicale, passent en revue les publications médicales pour tenter de dégager des conclusions scientifiques fiables et probantes sur les pratiques, a toujours jusqu'ici été très critique sur la vaccination antigrippale: pas de preuve concluante d'efficacité et de sécurité pour recommander une telle vaccination aux seniors et aux professionnels de santé (cf Jefferson, T., Di Pietrantonj, C., AlAnsary, L. A., Ferroni, E., Thorning, S., & Thomas, R. E. (2010). Vaccines for preventing influenza in the elderly. The Cochrane Library. & Thomas, R. E., Jefferson, T., & Lasserson, T. J. (2013). Influenza vaccination for healthcare workers who care for people aged 60 or older living in longterm care institutions. The Cochrane Library). Mais voilà que l'analyse des bilans financiers du groupe Cochrane a fait apparaître que ... Bill Gates et sa fondation ont financé en 2016 Cochrane pour + de 500 000 dollars... étrange, n'est-ce pas (ou tellement logique, au contraire) pour quelqu'un qui rêve d'étendre le vaccin antigrippal au monde entier et qui sait que Cochrane fait encore un peu autorité dans le domaine de certaines recommandations médicales....

L'OMS et la voie royale des pandémies: comment le puzzle se construit
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2 avril 2018 1 02 /04 /avril /2018 23:11

Mateja Cernic :  Nous devons croire aveuglément à l’efficacité miraculeuse et complète de la vaccination

 

Mateja Cernic, PhD. est l’auteur de la monographie scientifique « Constructions idéologiques de la vaccination » (Thèse de Doctorat -  School of Advanced Social Studies (SASS), une analyse systématique et détaillée des mythes habituels concernant la vaccination. Cernic a reçu son doctorat à la Faculté d’études sociales appliquées. Son travail de recherche consiste principalement à traiter de sujets concernant le pouvoir social, les idéologies et les discours dans le domaine de la médecine et de la vie quotidienne.

Depuis plusieurs années, vous signalez au public slovène que les études qui permettent aux vaccins d’être mis sur le marché sont en fait protégées en tant que secrets commerciaux. Que penser de cette politique en matière de santé publique ?

En effet, depuis 2013, je me bats contre l’ARSZMP – L’Agence de la République de Slovénie pour les médicaments, les dispositifs médicaux. Je me bats pour que les études d’efficacité et de sécurité des vaccins, sur  base desquels l’ARSZMP s’appuie pour accorder les autorisations de mise sur le marché, soient disponibles pour le public.- Signalons que personne (à l’exception des employés d’ARSZMP) n’a accès à ces études. Ces études ne sont ni accessibles au grand public, ni au public spécialisé. Les médecins ne s’en préoccupent pas – En tant qu’individus ou en tant que professionnels, les médecins n’ont jamais demandé l’accès à ces études (du moins pas avant 2013, lorsque j’ai pris cette initiative). En outre, les médecins n’ont jamais remis en cause la législation qui protège les secrets des études concernant la sécurité et l’efficacité des vaccinations (dans le cadre de la procédure d’enregistrement des médicaments.)

 

 

Signalons que personne (à l’exception des employés de l’ARSZMP) n’a accès à ces études.

Cette affaire a été présentée pour la deuxième fois devant un tribunal. Les arguments développés par l’ARSZMP sont vraiment incroyables. Ils estiment que la divulgation d’études sur la sécurité et l’efficacité des vaccins conduirait à de « mauvaises » interprétations, ce qui contribuerait à un rejet à grande échelle de la vaccination. D’autres arguments indiquent que la divulgation de ces informations causerait des dommages importants, inciterait les fabricants à abandonner le marché, que ces derniers seraient moins compétitifs, etc.

L’ARSZMP travaille constamment en défenseur acharné des intérêts de l’industrie pharmaceutique, et non en tant que gardienne de la santé publique, comme le stipule notre législation. L’Agence se défend aussi vigoureusement -  les études sur  base desquelles les vaccins obtiennent des autorisations de mise sur le marché (ici et à l’étranger) comprennent des bavures méthodologiques. La manière dont ces études sont conçues ne permettent pas une évaluation réaliste des effets à court terme et encore moins à long terme des vaccins.

Dans le même temps, l’Agence se défend vigoureusement – les études sur base desquelles les vaccins obtiennent l’autorisation de mise sur le marché (ici et à l’étranger) semblent bien en fait relever d’une mascarade méthodologique.

Le combat pour accéder à ces études ressemble à une farce totale, car les arguments présentés par l’ARSZMP sont vraiment incroyables (ils sont présentés plus en détails dans mon livre : Ideological constructs of VACCINATION. (2018) Cependant le plus choquant concerne la position du commissaire à l’information, Mojica Prelesnik (Cet IC est également impliqué dans une procédure judiciaire). En réponse à ma note, dans laquelle j’ai prouvé l’inadéquation méthodologique des études, elle a, le 14 novembre 2016, déclaré ce qui suit : «  Le plaignant déclare qu’un problème encore plus grave est que ces études sont des « mascarades méthodologiques » Si ces études étaient rendues publiques, quelles valeurs supplémentaires, cette divulgation apporterait-elle au public si elles n’étaient que des mascarades méthodologiques ?... Si ces études étaient soumises à une évaluation, contribueraient-elles à une prise de décision responsable sur la vaccination des enfants, ce qui serait dans l’intérêt du public ? »

Bref, le commissaire à l’information croit que si les études ne sont pas de qualité professionnelle, il est préférable de les garder inaccessibles au public. Faut-il ajouter autre chose ?

L’ARSZMP travaille constamment en tant que défenseur des intérêts de l’industrie pharmaceutique, et non en tant que gardien de la santé publique

Ce type de confidentialité des données est-il acceptable dans une société démocratique ?

Absolument pas. Les gens ont le droit de savoir ce que contiennent les médicaments et les vaccins. Ils ont aussi le droit de savoir comment leur efficacité et leur innocuité ont été testées. Le public doit être informé de la manière dont les institutions nationales responsables de la protection de la santé font bien ou moins bien leur travail. La disponibilité publique des études sur la sécurité et l’efficacité des vaccins est une condition préalable et fondamentale à la transparence et à la protection de la santé publique. A ce stade, nous devrions également pointer du doigt les médecins qui ne semblent guère préoccupés par le fait qu’ils n’ont accès qu’à un résumé des caractéristiques du produit. Ce qui ne leur permet en aucun cas d’évaluer l’adéquation d’un vaccin ou d’un médicament pour tel ou tel patient. Des études publiées dans les revues scientifiques (qui sont bien entendu accessibles aux médecins et autres) ne sont pas suffisantes.

Mateja Cernic, sociologue: "Nous devons croire aveuglément à l'efficacité miraculeuse et complète de la vaccination"

Mateja Cernic : « Nous devons croire aveuglément à l’efficacité miraculeuse et complète de la vaccination »

Effectuent-ils une surveillance à long terme des enfants vaccinés pour déterminer les conséquences potentielles à long terme sur la santé ?

Non ! La plupart des études sur la sécurité et l’efficacité des vaccins sont conçues pour surveiller (juste surveiller, à l’exclusion de tout examen, sauf pour mesurer la température) les effets secondaires seulement 5 à 30 jours après avoir reçu la dose de vaccin. Et c’est tout !

Sur la base de ces 5 à 30 jours de surveillance, le vaccin est alors déclaré sans danger.

Plus encore, le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a déclaré ce qui suit : « Le suivi à long terme des enfants vaccinés pour rechercher les conséquences à long terme sur la santé serait impraticable et contraire à l’éthique, car ce fait qui serait utilisé pour effectuer des études à long terme priverait les autres enfants des vaccins. »

Mais il est clair qu’il serait parfaitement éthique de vacciner des millions d’enfants avec des vaccins dont la sécurité et l’efficacité n’ont jamais été suffisamment testées !! Les systèmes passifs pour l’enregistrement des effets secondaires sont également inutiles, car ils enregistrent seulement un faible pourcentage du niveau attendu d’effets secondaires. Tout cela est analysé en détail, et soutenu par des sources adéquates dans mon livre.

En Allemagne, ils ont beaucoup d’épidémies de rougeole, mais la vaccination reste volontaire. Cela reflète-t-il une qualité supérieure de leur système médical ?

Suite à leur expérience avec le nazisme, les Allemands comprennent probablement que le droit absolu de l’individu de décider de ce qui pénètre dans son propre corps est l’un des droits humains des plus fondamentaux et sacrés. Ces droits ne devraient jamais être violés. Il est également clair pour eux (et après les procès de Nuremberg, il devrait être clair pour tout le monde) qu’aucune procédure médicale ne devrait jamais être pratiquée sans le consentement volontaire et éclairé du patient.

En ce qui concerne le système de santé actuel, les médecins allemands peuvent, en plus de la médecine allopathique, légalement et sans problème, pratiquer des médecines alternatives, comme l’homéopathie, l’acupuncture, etc., ce qui contribue à une meilleure qualité du système. Ici la situation est franchement absurde, car le médecin qui commence à pratiquer l’homéopathie perd immédiatement sa licence d’exercer, même si la législation stipule que l’homéopathie ne doit être pratiquée que par des médecins. Ils ne pourront recouvrer leur licence que s’ils arrêtent de pratiquer l’homéopathie, et « retournent aux vieilles habitudes. »

Les médecins qui critiquent les vaccins sont-ils discrédités ? Par exemple, les arguments d’Andrew Wakefield qui a révélé le lien entre le vaccin ROR et l’autisme sont-ils démystifiés de plusieurs manières ?

Oui ! La plupart de ceux qui doutent des vaccins, ou osent même les critiquer, sont confrontés à de sévères sanctions formelles et informelles ; ces personnes sont discréditées, menacées de voir leur carrière interrompue, on les accuse de mensonges etc.- Qu’est-il arrivé au Dr Wakefield ? (sa recherche n’était pas fausse) Il s’agit de l’une des histoires les plus tristes et les plus embarrassantes de notre temps.

Mais le fonctionnement du système et la pression exercée sur tous les « hérétiques » (C’est-à-dire les critiques des vaccins) se reflètent le mieux dans le cas du médecin autrichien Johann Loibner. Le Dr Loibner qui est également expert pour les tribunaux pour l’évaluation de dommages vaccinaux, s’est vu retirer sa licence pour avoir publié des mises en garde par rapport à la vaccination. Il a organisé des symposiums professionnels au cours desquels il a informé des médecins sur la vaccination. Ce médecin, ainsi que d’autres collègues critiques ont été dénoncés à la Chambre médicale. Après avoir refusé de se conformer et de mettre fin à ses conférences sur les vaccins, le gouvernement autrichien a retiré sa licence en 2009. Dans une interview pour Natural Immunity (Naravna Imunost), le Dr Loibner a déclaré ce qui suit : « Ils m’ont définitivement radié de la liste des médecins. Suite à ma plainte devant la Cour Suprême, le tribunal a retiré l’interdiction après quatre ans. »

Il y avait un autre médecin qui se trouvait dans une situation similaire, mais dans son cas, il s’agissait d’une interdiction conditionnelle. Ce qui veut dire que ce médecin perdrait son permis d’exercer s’il parlait de la vaccination n’importe où en public. Grâce au jugement de la Cour Suprême pareils désagréments ne pourront lui arriver…Nous avons fait la demande à la Cour Suprême et veillé à ce que les médecins puissent s’exprimer publiquement sur la vaccination.

Nous entendons souvent le terme « anti-vaccinateurs », mais est-ce là un terme adéquat pour un groupe de personnes qui préconisent la vaccination volontaire ? Les médias semblent s’efforcer d’attribuer à ce terme autant de connotations négatives que possible. Les anti-vaccinalistes sont présentés comme des fanatiques égoïstes, aveugles, incultes et irrationnels, ce qui est bien sûr un non-sens complet et une manipulation délibérée. Il s’agit d’une manipulation pire encore quand les médias tentent de dépeindre les anti-vaccinalistes comme des personnes qui « veulent faire interdire les vaccins ». Il s’agit ici d’un honteux mensonge auquel certains ont recours pour retourner les masses contre ceux qui critiquent les vaccins.

Les anti-vaccinalistes n’essaient nullement de « faire interdire les vaccins ». Ils s’efforcent plutôt de permettre à tout un chacun de choisir en connaissance de cause. Nous luttons pour la liberté personnelle et la santé de tous, par opposition à la domination d’un pôle sur l’autre. C’est sensiblement différent. En réponse aux manipulations médiatiques, certains anti-vaccinalistes insistent pour qu’on les désigne comme des « freevaxers », ce qui parait plus approprié à la situation des personnes qui s’interrogent sur ces questions.

Les médias ont tendance à considérer les critiques des vaccins comme des partisans de la théorie du complot. Pourquoi réagissent-ils différemment en ce qui concerne les révélations telles que celles de Snowden ou Assange ?

La vaccination est le Saint Graal. Vous pouvez douter de tout, vous pouvez tout critiquer, mais dès que vous dites quelque chose contre les vaccins, vous devez être « brûlé sur le bucher ». Tout cela est assez révélateur !

S’il n’existe pas de débat public sur le problème des vaccins, ne sommes-nous pas obligés de CROIRE en l’efficacité des vaccins ? Pouvons-nous encore nous réclamer de la science dans pareil cas ? – Les récents commentaires publiés sur Facebook ont été supprimés.

Oui, nous devons croire aveuglément à l’efficacité miraculeuse et complète de la vaccination.

Il n’existe pratiquement aucun débat public avec des arguments de fond et des contre-arguments sur le thème de la vaccination.

Les pro-vaccins (y compris les médecins et les institutions) contredisent habituellement les arguments des anti-vaccinalistes ou mieux « freevaxxers » par la censure et les tentatives de discréditation, tout en évitant les contre-arguments de fond réels. Un exemple de cette stratégie est la censure sur une page du Ministère de la Santé.

Il est très révélateur qu’ils aient choisi d’effacer les commentaires (le mien et d’autres) qui contenaient des arguments spécifiques, des chiffres, des sources etc.

Les Allemands comprennent, probablement grâce à l’expérience qu’ils ont eue avec le nazisme, que le droit absolu de décider de tout ce qui touche à notre corps est un des droits les plus fondamentaux et sacré qui ne devrait en aucun cas être violé.

Mateja Cernic, sociologue: "Nous devons croire aveuglément à l'efficacité miraculeuse et complète de la vaccination"

Source: Valeriekchm

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1 septembre 2017 5 01 /09 /septembre /2017 22:14

« L’allaitement maternel n’est pas naturel, il fait des mamans des anti-vaccins »

Le caractère naturel de l'allaitement maternel dérange terriblement les idéologues de la vaccination

Dans une des plus extraordinaires déclarations médicales, l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) demande aux professionnels de santé de cesser de qualifier l’allaitement maternel de « naturel » : cela pourrait, en effet, conduire des parents à adopter des médecines alternatives, l’écolage à domicile ou à devenir anti-vaccins.

Ce terme peut donner l’impression que l’allaitement maternel est supérieur et plus sain, expliquent Jessica Martucci et Anne Barnhill du département d’éthique médicale de l’Université de Pensylvanie qui a lancé une campagne pour mettre un terme à l’usage positif du mot « naturel ».

Dans leur article publié dans le journal Pediatrics, elles expliquent que le terme contribue à provoquer des « conséquences inattendues », comme le fait de devenir anti-vaccins. « Des études ont montré que le sentiment anti-vaccins coïncide avec un intérêt et une confiance accrues dans les médecines complémentaires et alternatives, avec une attitude sceptique par rapport à l’autorité institutionnelle ; coïncide également avec un intérêt accru pour la connaissance en matière de santé, avec une plus grande autonomie, ainsi qu’avec des pratiques de vie saine » écrivent-elles.

« Si, ce qui est « naturel » dans le cas de l’allaitement maternel est la meilleure chose à faire, comment pourrions-nous nous attendre à ce que les mères puissent ignorer cette conscience commune partout dans le monde, quand elles sont amenées à faire des choix sur des pratiques de santé, comme la vaccination ? »

Pediatrics, 2016; Pii :Peds 2015- 415.

Le caractère naturel de l'allaitement maternel dérange terriblement les idéologues de la vaccination
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23 août 2017 3 23 /08 /août /2017 14:39

Elargir les taux de vaccination en permettant à plus de personnes de les administrer

Par Kate Raines, 6 juillet 2017

Après les pharmaciens, les dentistes instrumentalisés eux aussi pour vacciner à tout prix!

* Aux Etats-Unis, de nombreux professionnels médicaux non médecins, y compris les infirmières, les étudiants en médecine, les pharmaciens et les dentistes, ont le pouvoir d’administrer des vaccins.

* Les dentistes peuvent administrer un vaccin contre la grippe avec seulement trois heures de formation, tandis que les pharmaciens peuvent administrer de nombreux types de vaccins aux adultes et aux adolescents s’ils ont suivi un cours de formation en ligne.

* Les pharmaciens peuvent administrer de nombreux types de vaccins aux adultes et aux adolescents après la fin de leur formation en ligne de 12 heures, un séminaire en direct et une vérification de la technique d’injection.

En 2009, les responsables de santé publique aux Etats-Unis ont dû répondre à une « importante saison de grippe » en adoptant un règlement permettant aux dentistes, aux pharmaciens, aux ambulanciers paramédicaux, aux étudiants en nursing, ainsi qu’aux étudiants en médecine d’administrer le vaccin antigrippe annuel. [1] Depuis lors, il est devenu banal de voir des invitations à venir se faire vacciner contre la grippe à la pharmacie, et partout où des soins médicaux peuvent être proposés.

Sont révolus les jours où nous pouvions supposer que les personnes qui administrent des vaccins par injection aient été soigneusement formées, à la fois sur la manière de les administrer en toute sécurité, comme sur leur compréhension dont les ingrédients des vaccins pourraient réagir les uns avec les autres, ainsi que sur la manière de traiter les effets secondaires négatifs potentiels.

Aujourd’hui, il existe de nombreux cours en ligne pour former les professionnels de santé leur permettant de devenir « Vaccine certified ». Ces cours sont généralement offerts à toute personne qui travaille dans le domaine médical, aux pharmaciens, aux infirmières, aux étudiants en médecine et aux dentistes.

Route à suivre pour obtenir la certification «  vaccine certified »: 

Dans un cours en ligne de 10 heures, organisé par l’Université du Minnesota, on promet aux dentistes qu’à la fin du cours, ils pourront :

1. Reconnaître l’impact sur la santé publique des maladies évitables par la vaccination aux Etats-Unis.

2. Identifier les niveaux auxquels un dentiste peut entreprendre un plaidoyer sur la vaccination.

3. Apprécier les occasions uniques pour les dentistes de pouvoir contribuer à la prévention des maladies aux Etats-Unis.

4. Obtenir une compréhension approfondie de l’immunologie en ce qui concerne les vaccins.

5. Identifier les patients ayant des contre-indications à l’administration d’un vaccin.

6. Décrire la grippe qui peut être évitée grâce à un vaccin.

7. Reconnaître les populations à risque de faire une grippe.

8. Expliquer l’impact social de la grippe.

9. Expliquer les recommandations du CDC par rapport aux personnes qui doivent recevoir le vaccin antigrippal.

10. Identifier les contre-indications, ainsi que les limites pour chaque vaccin antigrippal.

11. Décrire les réactions indésirables communes et inhabituelles associées aux types de vaccins contre la grippe.

12. Décrire l’administration appropriée du vaccin antigrippal par injection intramusculaire.

13. Connaître dans le détail les procédures à adopter pour les patients présentant des effets secondaires indésirables locaux et systémiques à l’administration du vaccin.

14. Décrire les exigences relatives au stockage et à la manipulation appropriée des vaccins.

15. Déterminer les étapes nécessaires pour mettre en place une pratique vaccinale. [2]

Dans un cours en ligne de trois heures, l’Université du Minnesota prétend pouvoir enseigner une version plus simple qui permettrait aux dentistes d’acquérir le degré d’expertise nécessaire pour administrer les vaccins contre la grippe à leurs patients.

Pour les pharmaciens, la formation en ligne est plus importante, mais elle qualifie également les pharmaciens à administrer d’autres vaccins que le seul vaccin antigrippal.

L’Association Américaine des Pharmaciens (APHA) offre un modèle en trois parties comprenant une section de 12 heures d’étude dans des modules axés sur divers aspects de la vaccination, y compris des études de cas, un examen d’évaluation, un séminaire en direct de huit heures comprenant un examen final, ainsi qu’une évaluation de la personne qui est amenée à pratiquer les techniques d’injection intramusculaire et sous cutanée. [3] […]

Source : The Vaccine Reaction

 

> Mise en garde d'Initiative Citoyenne à destination des dentistes

Dans sa course folle au tout vaccin, l'establishment compte bien faire tout son possible pour essayer d'user (et d'abuser!) de votre influence auprès des patients; en d'autres mots, vous utiliser comme des pions! Le gros problème est le suivant: même en passant des milliers d'heures à étudier le sujet des vaccins, les inconnues restent énormes, les volumineux documents confidentiels des firmes sur la pharmacovigilance des vaccins restent très difficiles d'accès et tout à fait parcellaires quand ils "fuitent", ce qui implique de facto que les vaccinateurs ne maîtrisent absolument pas les conséquences de leurs gestes. C'est d'ailleurs (tristement) si vrai que même le Dr Jean-François Saluzzo, ex directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur et expert pour l'OMS, a bien dû avouer dans un cours de vaccinologie aux médecins (disponible en ligne) qu'ils ne "savent pas comment marchent les vaccins" et que si à l'avenir, on voulait développer de nouveaux vaccins, il faudra D'ABORD commencer par étudier le système immunitaire (sic!). Comment s'étonner alors d'apprendre par exemple que 61% des professionnels de santé qui administrent un vaccin antigrippal sont tout à fait incapables de reconnaître les effets secondaires graves qui peuvent en découler?

Si les dentistes plus âgés seront sans doute plus méfiants ou plus circonspects, ce genre de "qualification" vaccinale risque de séduire peut-être certains jeunes praticiens, surtout si cela finissait par leur être proposé très précocement (comme aux USA), quand ils sont encore aux études et qu'on leur présente les choses comme étant une façon plus globale ou plus holistique d'aborder le patient! Certains étudiants dentistes pourraient même se sentir flattés d'une sorte de "titre en plus", mais prenez bien garde que vous aurez immensément plus à perdre qu'à gagner en tant que praticien en vaccinant quiconque! Imaginez en effet tous ces patients très satisfaits de vos soins et avec qui vous avez pu bâtir une relation de confiance qui risquent de voir leur vie basculer à jamais ou de se retrouver en fauteuil roulant à vie suite à cette "petite piqûre" de plus (piqûre de trop!) que vous vous serez risqué à leur faire et qui, c'est quasiment inévitable, vous associeront sans doute à jamais à un "mauvais dentiste", un "mauvais praticien", indépendamment de votre seul travail dentaire antérieur ... il sera assurément plus facile grâce à l'instrumentalisation vaccinale des praticiens de détricoter les bonnes relations aux patients que de les consolider! Certains diront "oui mais ça, c'est pour les USA, pas en Europe!" Qu'on se "rassure", ce sont les politiques américaines de "santé" qui font la pluie et le beau temps dans le monde et finissent en général tôt ou tard par être copiées. Il en fut ainsi pour les propositions de vaccination par les pharmaciens (aux USA, les pharmaciens peuvent vacciner dans les 50 états du pays). En général, quelques années après les "bonnes idées" américaines finissent par arriver en Europe. Au début, on parlera peut-être uniquement du vaccin antigrippal et puis après?

De plus en plus à l'avenir, les dentistes seront confrontés au dogme vaccinal, y compris dans leur propre spécialité, où on finira sans doute par leur proposer un hypothétique futur vaccin contre les caries (qui fut initialement, au cours des essais cliniques préliminaires, un désastre, les protéines de Streptococcus mutans ayant des similitudes antigéniques avec les protéines du coeur du singe et donc aussi du coeur humain, la vaccination contre les caries aurait donc pu valoir en bout de ligne une destruction cardiologique grave et donc une greffe de coeur! On peut en effet lire sur le site e-sante.fr"Des chercheurs ont déjà tenté de mettre au point un vaccin dirigé contre des protéines de la paroi bactérienne des Streptococcus mutans, pour l’instant sans succès. La difficulté vient notamment du fait que ces protéines de surface ressemblent à celles des cellules du muscle cardiaque. Il ne faudrait pas que sous prétexte de détruire certaines bactéries buccales, notre système immunitaire se retourne également contre nos cellules qui composent notre cœur..." Or il convient hélas de se rappeler que les vaccinalistes sont champions pour créer avec leurs prétendues "solutions" des échecs et des aggravations toutes plus retentissants les uns que les autres! Un exemple parlant parmi beaucoup d'autres ici, pour mieux comprendre qu'en voulant faire "mieux" avec les vaccins, en réalité on fait bien pire!

Photo prise au cours du 1er Congrès Régional de la Fédération dentaire internationale, au Maroc, en 2016.

Nous terminons enfin cette mise en garde par un rappel au bon sens et à la cohérence. En effet, le vaccin antigrippal que l'on propose déjà aux dentistes du Minnesota contient notamment du formaldéhyde qui est un cancérigène de classe 1 donc cancérigène certain... alors que les dentistes reçoivent pourtant des formulaires de retrait du marché de certains produits dentaires au motif... qu'ils contiennent du formaldéhyde qui est cancérigène (cliquer sur le lien précédent pour en avoir la preuve en images...)! 

Voir aussi

Formaldéhyde dentaire et formaldéhyde vaccinal: deux poids, deux mesures pour une vérité qui dérange

Les pharmaciens autorisés à vacciner contre la grippe dans deux régions

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29 juin 2017 4 29 /06 /juin /2017 22:46

Serge Rader : « 11 vaccins obligatoires ? On marche sur la tête ! »

Serge Rader, pharmacien et lanceur d'alerte

Le nouveau ministre de la Santé, Agnès Buzyn, envisagerait de rendre onze vaccins obligatoires (contre trois aujourd’hui). Pour Serge Rader, le lobby pharmaceutique a encore frappé ! Ce n’est pas du tout, martèle-t-il, une priorité de Santé publique.

Serge Rader, vous avez 61 ans. Vous avez publié Le Racket des laboratoires pharmaceutiques et comment en sortir. Cela tombe très bien puisque la ministre de la santé, madame Agnès Buzyn, réfléchirait à rendre 11 vaccins obligatoires. Que vous inspire cette décision ?

 

Je dis qu’on marche sur la tête. Les vaccins ne sont pas une priorité de santé publique par rapport à d’autres infections. Je m’aperçois que le lobby pharmaceutique a encore frappé. Cela ne m’étonne pas.


J’ai beaucoup d’estime pour madame Buzyn, mais qu’elle n’aille pas sur le chemin de l’obligation vaccinale à 11 vaccins sinon je vais monter au créneau. On ne peut pas laisser faire.


En Italie, un décret vient de sortir le 07 juin pour obliger à 12 vaccins avec un quadrivalent, c’est-à-dire un vaccin avec 4 virus vivants atténués. On voudrait en faire autant en France, ou plutôt le lobby vaccinal voudrait en faire autant en obligeant à 11 vaccins qui ne sont pas une urgence de santé publique.


Je peux l’expliquer. Elle a cité le cas de la rougeole et de la méningite. Ce qui se passe avec ces maladies est parfaitement explicable, mais ce n’est pas vraiment une priorité de santé publique. La rougeole en France en 2012, c’est 859 cas. En 2013, c’est 259 cas. En 2014, c’est 267 cas. En 2015, c’est 364 cas. En 2016, 79 cas ! On vaccine de plus en plus. Alors qu’on vous dit le contraire.


Le vaccin ROR, alors qu’on pourrait au moins avoir le monovalent uniquement de la rougeole à 2 doses, représentait 85 % de couverture vaccinale en 2008. En 2015, il représentait 93 % de couverture vaccinale. On nous annonce maintenant un chiffre dont je ne sais pas d’où il sort de 75 %. Plus on vaccine, plus on aurait de cas de rougeole. Ce qui s’explique parfaitement par les effets secondaires des vaccinations de masse. On peut l’expliquer pour tous les vaccins, pour la diphtérie, pour la variole etc.


Les vaccinations de masse, ce n’est sûrement pas la solution. On vaccine de plus en plus et il y aurait soi-disant de plus en plus de cas et même des morts. J’aimerais savoir d’où sortent ces morts. Entre mourir de la rougeole et mourir avec la rougeole, il y a une nuance. On mélange tout et n’importe quoi, tout cela pour augmenter le nombre de vaccinations et donc le business. La Suède, par exemple, vient pourtant de décréter inconstitutionnelle l’obligation vaccinale.


Je dis que si on va vers une obligation vaccinale, je monterai au créneau. Il existe toute une batterie de textes pour défendre la liberté de l’individu à se vacciner ou pas avec des informations qui soient transparentes. C’est loin d’être le cas aujourd’hui. Je veux citer l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme, le nouveau Code civil qui reconnaît le principe du respect à l’intégrité du corps humain, l’article 36 du code de déontologie médicale, les différents arrêts de la Cour sur l’information transparente due au patient. Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Il y a aussi la loi Kouchner du 4 mars dit qu’aucun acte médical ne peut-être pratiqué sans consentement libre et éclairé de la personne. Enfin, l’article 1111 de la santé publique dit que tout citoyen a le droit à la liberté d’accepter ou de refuser un acte médical, et la vaccination est un acte médical.

Nous n’en resterons donc pas là! 

Source : Boulevard Voltaire

NB: Prenez le temps de comparer le discours de bon sens, précis et rigoureux, du pharmacien Serge Rader ci-dessus avec ce qui vient encore de paraître dans la presse, un appel affligeant signé par soi-disant "200 grands noms" de médecins et praticiens hospitaliers en faveur de la vaccination obligatoire sur laquelle planche la Ministre Agnès Buzyn. Le moins qu'on puisse dire est qu'il ne s'agit certainement pas de grands noms de l'histoire de la médecine à laquelle ils ne connaissent visiblement rien de rien puisqu'ils affirment que la vaccination systématique a permis l'éradication de la variole là où le rapport final d'éradication de l'OMS qu'ils n'ont à l'évidence jamais lu stipule pourtant en toutes lettres:  « Les campagnes d'éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. [...] ...il fallait absolument changer de stratégie. »

 

Voir aussi

 

Suède: le parlement déclare les obligations vaccinales inconstitutionnelles

 

Pourquoi la Suède refuse les obligations vaccinales: des raisons dérangeantes pour Big Pharma!

 

Méningite C: le vaccin plus risqué que la maladie (les chiffres sont là!)

 

Bénéfices/risques du vaccin ROR: c'est à vous de décider!

 

Effets du vaccin ROR: des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

 

Vaccin ROR: les aveux accablants d'un officiel de santé britannique dès 2006 dans le Daily Mail...

 

Sécurité des vaccins: on se fout carrément de vous!

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "On ne sait pas comment marchent les vaccins"!

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17 juin 2017 6 17 /06 /juin /2017 12:07

L'Italie a adopté il y a peu l'obligation vaccinale scélérate contre 12 maladies. En vérité, cette étiquette de "contre 12 maladies" est des plus trompeuses, car on créera bien plus que 12 types de maladies différentes possibles (en termes d'effets secondaires) mais des dizaines d'autres pour des milliers d'enfants concernés. Les manifestations, protestations et démarches diverses des activistes sont en cours.... et il faut dire qu'il y a de quoi!

 

Manifestation à Rome contre l'obligation vaccinale, il y a quelques jours à peine...

Manifestation à Rome contre l'obligation vaccinale, il y a quelques jours à peine...

Manif censurée par tous les médias mainstream...

Voici ce que le Quotidien du Médecin a récemment publié sur la situation italienne:

 

Pas de vaccins ? Pas d’école. Pour obliger les parents à tourner le dos aux croyances des mouvances anti-vaccins, la ministre de la Santé Beatrice Lorenzin, a décidé de taper un grand coup.

 

Le décret-loi finalement adopté vendredi dernier en conseil des ministres après des discussions particulièrement virulentes entre les ministres de la Santé et de l’Education, cette dernière refusant les sanctions, introduit 12 vaccins obligatoires. Le dispositif qui entrera en vigueur à la rentrée prochaine en septembre, comprend rougeole, rubéole, diphtérie, poliomyélite, tétanos, coqueluche, haemophilus B, méningocoques b et c, hépatite B, oreillons et la varicelle.

 

Déchéance de l'autorité parentale

 

Pour avoir accès aux crèches et à l’école maternelle, les parents devront donc faire obligatoirement vacciner leurs enfants. Faute de quoi, ils devront se replier sur les nounous. Cette partie du dispositif concerne les enfants de moins de six ans. En revanche, ils pourront inscrire leurs enfants dans le primaire mais devront payer une amende salée (entre 500 et 7 500 euros) s’ils ont oublié de faire vacciner leur progéniture. Par ailleurs, les parents réfractaires seront également signalés au tribunal des mineurs et pourront être temporairement déchus de leur autorité parentale. « L’objectif de ce décret est d’éviter que les difficultés se transforment en urgences », estime la ministre de la Santé. Urgences, cela veut dire épidémies et augmentation du taux de mortalité enfantine ce qui est le cas dans les régions notamment du nord où les mouvements anti-vaccins ont le vent en poupe. Et pour débusquer les parents qui feraient de la voltige anti-vaccins et les médecins complaisants prêts à signer de faux certificats, le ministère annonce des contrôles perlés et ponctuels dans les établissements italiens.

 

Bientôt obligation vaccinale pour les professionnels de santé

 

Le combat entrepris par le gouvernement et le ministère de la Santé contre les opposants à la vaccination touchera bientôt la communauté médicale. Dans un deuxième temps, en effet, le ministère de la Santé veut introduire la vaccination obligatoire pour les opérateurs de santé ce qui n’est pas le cas en l’état actuel. En fait, l’idée de Beatrice Lorenzin est d’augmenter le seuil de la couverture vaccinale qui a chuté en dessous des 85 %, un taux inadmissible qui favorise les épidémies. Cette politique, toutefois, suscite des réactions contrastées. Si les pro-vaccination applaudissent la décision ministérielle, en revanche les opposants entassent les sacs de sable et creusent les tranchées. Leur bataille sera toutefois difficile, l’ordre des médecins ayant commencé à radier les praticiens anti-vaccins.

 

Concernant l'Italie et le délire en cours là-bas, quelques rappels nous paraissent toutefois nécessaires pour se faire une plus juste idée du contexte. Car il s’agit bien d’un combat des autorités contre les libertés fondamentales des citoyens et donc contre leur propre population….

 

* C’est dans ce pays qu’une infirmière s’est récemment faite radiée de façon surréaliste parce que sur base de tests limités (démontrant une faible ou non production d’anticorps chez une vingtaine d’enfants seulement qu’elle aurait vaccinés –et ce sur plus de 5000 autres personnes visées), on a prétendu qu’elle n’aurait jamais vacciné réellement des milliers de patients ! C’est surréaliste car finalement, cela montre l’ampleur de l’épée de Damoclès qui pèse également sur la tête de milliers de « bons vaccinateurs » (dociles) qui sont à tout moment susceptibles d’être accusés d’avoir fait semblant de vacciner parce que les patients n’ont pas été immunologiquement de bons petits patients avec un sacrosaint taux d’anticorps jugé « anormal » (et ceci alors que les preuves scientifiques abondent pour montrer que quantité de gens ont déjà pu faire des maladies malgré la présence préalable d’anticorps à des taux jugés « protecteurs »….).

 

* C’est dans ce pays aussi que plusieurs médecins italiens consciencieux et appréciés de leurs patients ont été radiés et d’autres menacés/intimidés pour avoir osé parler des risques vaccinaux, sujet hautement tabou s’il en est. Citons le Dr Roberto Gava, le Dr Dario Medico (lequel participait par exemple en 2002 au Colloque sur les vaccinations organisé au sein du Parlement européen par l’ex député Paul Lannoye ; on peut d’ailleurs retrouver son intervention au sein du livre «Les vaccinations en question », la synthèse du colloque, aux éditions Frison-Roche).

 

* C’est dans ce pays toujours que Giorgio Tremante, père de deux fils morts suite au vaccin polio oral et d’un troisième fils (toujours vivant) handicapé à vie par le même vaccin, s’est battu sans relâche au cours de ces dernières décennies pour informer inlassablement le public, les médecins aussi et avait obtenu qu’on place une plaque commémorative à Vérone (ville hébergeant le siège central de GSK en Italie…) à la mémoire de ses deux fils tués « des suites d’une vaccination obligatoire ».

Plaque commémorative à Vérone, à la mémoire de Marco et Andrea tués par le vaccin polio obligatoire

Plaque commémorative à Vérone, à la mémoire de Marco et Andrea tués par le vaccin polio obligatoire

* Mais l’Italie, c'est aussi le pays de Francesco de Lorenzo, ex Ministre de la Santé qui, en 1991, a touché de nombreux pots de vin de plusieurs laboratoires, dont SmithKline Beecham. Le Président de cette firme, qui fabrique le vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné au ministre 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été inculpé et condamné à 8 ans de prison ferme ainsi que Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget et le Pr. Dulio Poggiolini, directeur de la Direction du médicament dans son pays, après avoir été Président de l’Ordre des médecins, mais aussi membre influent des instances européennes du Médicament. Plus d’une soixantaine d’autres membres tout puissants du ministère de la Santé ont également été condamnés pour diverses fautes graves que le Giornale per la protezione della salute (n° 6, mars 1998) qualifie de “ pratiques mafieuses ”.

Un dessin vaut 1000 mots, merci à l'excellent René Bickel...

Un dessin vaut 1000 mots, merci à l'excellent René Bickel...

* L’Italie, c’est aussi le pays originaire de Mme Testori-Coggi de la DG Santé de l’UE, laquelle avait fait part dès le 5 octobre 2010 de son souhait qu’à l’occasion des futures pandémies (si bien préparées notez…), ce soit la Commission européenne –donc des gens non élus- qui puissent décider sur une base juridique forte et contraignante et à l’instar de ce qui se fait déjà pour les animaux, qui doit être vacciné, en se félicitant que cela ne soit pas contesté pour ce qui est des animaux. 

 

* Tout récemment encore, des informations sont sorties sur la véritable fourmilière de conflits d’intérêts qui sont derrière la récente décision italienne prise par la Ministre De Lorenzin : le directeur du cabinet du ministère de la Santé italien siège en effet « comme par hasard » au conseil d'administration de GSK, qui rappelons-le a même reçu l'exclusivité pour la fourniture des vaccins obligatoires passés en force il y a quelques jours...

 

* L’Italie, c’est également le pays du Pr Carlo Ruta, professeur de médecine à l’université de Pérouse qui déclarait textuellement dans le New York Medical Journal en 1899 (époque où il n’existait encore qu’un seul vaccin, celui contre la variole, mais déjà pourvoyeur de très lourds effets secondaires….) : "La vaccination est une chose monstrueuse ; elle est le résultat malencontreux de l’ignorance et de l’erreur. Elle ne devrait avoir aucune place ni en hygiène ni en médecine…Il ne faut pas croire à la vaccination ; le monde entier a été plongé dans l’illusion. La vaccination n’a aucune base scientifique ; il s’agit d’une désastreuse superstition dont les conséquences ne peuvent se mesurer que dans la douleur et des larmes sans fin."

 

Malgré ces évidences, Agnès Buzyn, nouvelle ministre française de la Santé réfléchit à implémenter pareille obligation en France, suivant en cela la triste marche de sa prédécesseur pour laquelle "La vaccination, ça ne se discute pas!". Après les élucubrations de Touraine, Buzyn en rajoute donc une couche en osant de façon pitoyable affirmer que "cela permettra à la société d'évoluer" (!)... " Je déteste la coercition, ce n'est pas dans mon tempérament. Mais là, il y a une urgence. (...) Il y a des fois où l'obligation est une bonne chose pour permettre à la société d'évoluer», défend-elle, citant en exemple l'obligation de la parité hommes-femmes dans les conseils d'administration.  > Tout le monde aura cependant compris qu'ici, il s'agira aussi d'un nivellement (d'une "parité") mais d'un nivellement par le bas car cela ne fera que rendre les enfants encore plus malades qu'ils ne le sont aujourd'hui...

Une même règle commune pour les deux: Buzyness as usual....

Une même règle commune pour les deux: Buzyness as usual....

Agnès Buzyn n'évoque pas la clause d'exemption que proposait le Pr Fischer pour les parents qui refuseraient catégoriquement la vaccination – et qui s'est révélée difficilement applicable, après analyse juridique. Seul le Quotidien du Médecin évoque l'abandon de l'exemption… ben oui, laisser voir que les gens se jettent sur la clause d'exemption offrirait une chance supplémentaire que le public les désavoue!

Obligation vaccinale: le délire validé en Italie et Buzyn en France qui a l'air de vouloir s'en inspirer....

Buzyn qui retarde à 1000% (vu le temps depuis lequel il est prouvé que non seulement la vaccination antigrippale des adultes ne permet pas d'éviter des décès, pas plus que ceux des seniors mais qu'en plus, elle majore les risques respiratoires) dit ainsi s'étonner de tous ces soignants qui ne font pas bêtement vacciner contre la grippe et compte en informer le Conseil de l'Ordre, en planchant sur une obligation vaccinale des soignants contre la grippe.... peut-être en effet que cela offrirait une occasion en or aux soignants d'enfin oser balancer tout ce qu'ils pensent sur les vaccins mais que, jusque là, ils n'osaient lâcher que dans le confort de leur anonymat? Comme ces résultats de l'enquête de l'INPES en 2005 sur une échantillon représentatif de 400 médecins pédiatres et généralistes de laquelle il ressortait que 58% se posent des questions sur l'utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité (là où le pipeau des médias habituels tend à faire croire que 99,99% des médecins seraient très très en faveur des vaccins...). Les soignants se trouvent en effet maintenant à un vrai carrefour et face à un vrai choix: là où jadis, ils en restaient majoritairement au "Faites ce que je dis, pas ce que je fais" (que ce soit pour des raisons financières ou de prétendu confort vis-à-vis de l'Ordre), ils vont maintenant être obligés de constater que la défense loyale et courageuse de l'intérêt des patients permet la défense logique et efficace de leur propre intégrité physique et vice-versa. En ayant promu la division et le paternalisme médical, il est clair que le système a aussi largement voulu favoriser la soumission et la docilité. 

 

Une chose est certaine, c'est qu'Agnès Buzyn n'arrivera certainement pas à éluder le fond du dossier: que tous les vaccins sont expérimentaux de par la manière scandaleusement laxiste dont ils sont évalués et que la vaccination obligatoire, qui revient à une expérimentation humaine sans consentement, est contraire au Code de Nuremberg, comme l'explique la docteure en droit et professeur d'univ Mary Holland à la tribune des Nations Unies, où elle y avait d'ailleurs été vivement applaudie....

 

Un rapport du Sénat français de 2007 qualifiait déjà les laboratoires pharmaceutiques de "partenaires naturels des pouvoirs publics".... Michèle Rivasi, eurodéputée, vient d'ailleurs de sortir un communiqué de presse intitulé "11 vaccins obligatoires; dans l'intérêt de qui? Non à la vaccination forcée" pour dire à quel point ce genre d'obligation serait une erreur politique et sanitaire majeure.

 

Le 8 juillet prochain, et de façon convergente avec les manifestations qui auront lieu en Italie, diverses manifestations seront organisées dans plusieurs grandes villes françaises en faveur de la liberté vaccinale. Il est bien évident que nous appuyons la tenue de ces manifestations car le temps est maintenant venu pour chaque citoyen de prendre enfin ses responsabilités, sans se contenter de simples "like" sur facebook. Ne pas se retrousser les manches maintenant équivaudra à ne plus pouvoir se plaindre ensuite. L'avenir de générations entières d'enfants dépend de ce moment crucial.

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