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18 février 2019 1 18 /02 /février /2019 22:00

La FDA américaine admet que le gouvernement recommande l’utilisation de vaccins non testés et non homologués pour les femmes enceintes

Par « Children Health Defense » -  Health Impact News, 11 février 2019

Aveu de l'agence FDA: les vaccins recommandés aux femmes enceintes par le gouvern&ment sont non testés et non homologués

Robert F. Kennedy Jr. a déclaré : «  En tant que nation, nous ne pouvons plus prétendre que nos Agences de confiance protègent nos enfants. Il est temps de demander des comptes aux Agences fédérales. »

 

WASHINGTON ,D.C. Feb. 11, 2019 – En réponse à un procès ayant trait à la loi sur la liberté de l’information (FOIA), la FDA (Food and Drug Administration) a admis pour la première fois que des Agences gouvernementales, y compris le CDC recommandent des vaccins pour les femmes enceintes qui n’ont été ni homologués par la FDA pour les femmes enceintes, ni testés pour leur sécurité au cours d’essais cliniques.

Le procès intenté par l’avocat du Centre de Défense pour la Protection Santé des enfants, Robert F.Kennedy, Jr. au nom de l’Informed Consent Action Network (ICAN) un groupe de défense de la sécurité des vaccins, visait à obtenir toutes les données d’essais cliniques utilisées par la FDA pour pouvoir approuver les vaccins antigrippaux destinés aux femmes enceintes.

La réponse succincte de la FDA : « Nous ne possédons aucun enregistrement qui corresponde à vos demandes. »

Les fabricants de vaccins contre la grippe et le Tdap mettent en garde contre leur utilisation par les femmes enceintes, car leur sécurité n’a jamais été établie. Les notices expliquent que l’on ne sait pas si ces vaccins « vont nuire à l’enfant à naître » et que les données sont insuffisantes par rapport à l’utilisation de ces vaccins, notamment par rapport aux risques qui pourraient être associés aux vaccins.

Les réglementations de la FDA interdisent formellement aux sociétés pharmaceutiques de commercialiser des produits destinés à des utilisations « non autorisées ». Les entreprises qui ne se conformeraient pas à ces règles sont régulièrement poursuivies criminellement et civilement et paient des milliards de dollars en poursuites et règlements.

Le CDC recommande néanmoins activement la vaccination antigrippale à n’importe quel trimestre de la grossesse depuis 2004 et a recommandé aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le dcaT (pour le tétanos, la diphtérie et la coqueluche ) depuis 2011.

La FDA est responsable de la sécurité des vaccins et de la délivrance des licences, mais dans les documents judiciaires récemment publiés, elle admet qu’elle ne dispose d’aucune donnée de sécurité permettant d’appuyer les recommandations concernant la grossesse. Le site web de la FDA indique qu’elle n’a jamais officiellement approuvé des vaccins destinés spécifiquement à être utilisés pendant la grossesse pour protéger les nourrissons.

Les recommandations générales concernant la vaccination pendant la grossesse sont une proposition dangereuse en raison de la capacité de la vaccination à activer une réponse immunitaire maternelle susceptible d’endommager le cerveau en développement du fœtus, comme le font parfois les infections pendant la grossesse.

En 2008, le neuroscientifique Paul Patterson avait averti : « Même si cela se produit moins de 1% du temps, la vaccination de toute une population de femmes enceintes pourrait toucher des milliers d’enfants… »

Les études d’innocuité à long terme n’ont pas été conçues pour détecter les lésions fœtales liées au vaccin, mais l’étude Kaiser menée en 2017 auprès de 45.000 femmes (publiée dans JAMA Pediatrics) a montré un risque élevé de malformations congénitales et un risque 20% plus élevé d’autisme chez les enfants dont les mères avaient reçu un vaccin antigrippal au cours du premier trimestre de grossesse.

Après que les auteurs eurent appliqué une correction statistique réduisant l’association significative, le célèbre statisticien de l’UCLA, Sander Greenland, critiqua la décision méthodologiquement « inappropriée », soulignant que les chercheurs des firmes pharmaceutiques utilisaient cette technique quand ils n’aimaient pas un résultat et « veulent voir s’ils peuvent obtenir d’autres résultats en « se débarrassant » du problème »

Les données du CDC montrent que les femmes qui ont reçu certains vaccins antigrippaux de 2010 à 2012 avaient 7,7 fois plus de risques de fausses couches que les femmes n’ayant pas reçu ces vaccins. Le CDC a publié l’étude dans « Vaccine », mais a omis les conclusions de son communiqué de presse, laissant les femmes enceintes ignorantes des véritables risques associés aux vaccins.

Le Président du CHD, Robert F.Kennedy, Jr. note que la plupart des vaccins antigrippaux administrés aux femmes enceintes contiennent encore (pour la conservation) du thiomersal à base de mercure. Le thiomersal est reconnu dans la proposition 65 en Californie comme un produit toxique pour la reproduction. L’exposition à ce produit pendant la grossesse peut causer à la descendance des problèmes d’apprentissage et de comportement. Le dcaT contient de l’aluminium que la FDA régule en tant que toxine dans l’alimentation parentérale, mais pas dans les vaccins !

Le fait que le CDC recommande des vaccins que la FDA n’a pas autorisés à utiliser chez les femmes enceintes fait suite à une autre divulgation forcée par une poursuite de l’ICAN/ CHD. La précédente action en justice demandait que le HHS fournisse une documentation sur le respect des exigences légales en matière d’examens réguliers de la sécurité des vaccins pour enfants et des rapports au Congrès.

La réponse du  Ministère de la Santé ( = HHS) précise : « les recherches n’ont pas permis de localiser les enregistrements correspondant à votre demande », indique que le HHS ne s’est plus conformé – depuis plus de 30 ans – aux exigences en matière d’examens réguliers de la sécurité vaccinale et n’a pas communiqué au Congrès des mesures visant à améliorer la sécurité vaccinale. La loi nationale sur les traumatismes liés aux vaccins infantiles a établi les exigences, tout en éliminant essentiellement la responsabilité légale des fabricants pour les dommages liés aux vaccins infantiles.

Sources: Childrenhealthdefense & Health Impact News

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8 février 2016 1 08 /02 /février /2016 23:25

Microencéphalies chez les bébés brésiliens :

Causées par le virus Zika ou par un vaccin ?

Zika: la nouvelle star des pandémies?

Les Brésiliens ne peuvent pas croire que ce soit le virus Zika qui ait endommagé le cerveau des bébés

 

Jim Stone, 25 janvier 2016

 

Depuis le 1er novembre 2015 plus de 4.000 bébés ont été atteints de microencéphalie. Chaque année, il y a, au Brésil, environ 150 cas de ce type de malformation. Ce qui signifie que si tout ceci s’était produit dans une fenêtre de temps de 3 mois, les anomalies de ce type à la naissance auraient en fait augmenté d’environ 13.000 % ! Ci-dessous un rapport de la BBC qui prouve que tous ceux qui disent que c’est le virus Zika qui a causé tous ces dommages, ne font que mentir. Il n’est pas possible que ce soit le virus Zika ; ils le savent et les Brésiliens cherchent les véritables réponses  tandis que le MSM et la plus grande partie de la communauté médicale est toujours en train d’essayer  d’attribuer tout le mal au virus Zika.

 

BBC, 21 janvier 2016 :

 

Le Brésil affirme  que, depuis octobre, le nombre de bébés soupçonnés d’être nés avec une microencéphalie ou avec de petites têtes anormales approche maintenant des 4.000.

 

Dans la région la plus touchée, environ 1% des nouveau-nés sont suspectés d’être atteints de microencéphalie.

 

Les autorités Brésiliennes estiment que cette hausse est due à la dissémination du virus Zika. Il est à noter que pour l’année 2014, le nombre de bébés touchés par ces malformations s’élevait à tout juste 150.

 

Ces dommages cérébraux peuvent être mortels ou provoquer des déficiences intellectuelles et des retards de développement.

 

Le Ministre de la santé colombien a recommandé aux femmes de retarder leur grossesse.

 

Le Ministre de la santé brésilien déclare qu’il y a eu 3.893 cas suspectés d’être atteints de microencéphalie depuis le mois d’octobre.

 

DANS CET ARTICLE, JE VEUX PROUVER QUE LA CLE DU PROBLEME N’EST PAS LE VIRUS ZIKA :

 

Le lien avec le virus Zika n’a pas encore été confirmé, mais on a retrouvé le virus Zika chez un petit nombre de bébés décédés, et il n’y a toujours pas eu d’autre explication pour la flambée de microencéphalies.- Je veux maintenant traduire ce passage : on sait qu’il y a eu une épidémie du virus Zika au Brésil. IL FAUT CEPENDANT NOTER QU’IL N’Y A EU QU’UN PETIT NOMBRE DE BEBES DECEDES QUI ETAIENT PORTEURS DU VIRUS. Ceci veut dire qu’UN GRAND NOMBRE DE BEBES DECEDES N’ETAIENT PAS PORTEURS DU VIRUS. On en a conclu que les cas qui étaient porteurs de Zika relevaient de coïncidences, et que le véritable problème restait complètement inconnu. Cette citation de la BBC fait apparaitre très clairement l’arnaque du Zika.

 

La suite du rapport de la BBC est précise :

 

Les cas de Zika sont généralement bénins et ne provoquent des symptômes que chez une personne sur cinq. Le virus se propage par le moustique Aedes Aegypti qui répand également la Dengue et le Chikungunya.

 

Mon commentaire :

 

OK, un virus qui n’est pas méchant se répand et fait qu’une personne sur cinq attrape une maladie bénigne alors qu’aucun symptôme n’apparait chez 4 personnes sur 5. Ce virus est connu depuis 1948 et n’a jamais été accusé de provoquer des malformations congénitales. Comme il a été prouvé qu’il s’agissait d’un virus peu dangereux qui n’a jamais causé de malformations, ET comme une GRANDE MAJORITE des bébés présentant des malformations n’étaient pas contaminés par le virus Zika, on peut facilement conclure que ce n’est pas le virus Zika qui en est la cause. Sans craindre de se tromper, on peut affirmer que l’on utilise le virus Zika pour servir d’excuse dans le but de camoufler autre chose. Et qui aurait des raisons de blâmer un virus qui n’est même pas présent dans la majorité des cas de la hausse spectaculaire des malformations ? DEVINEZ, la réponse devrait paraitre évidente.

 

Comme il n’est pas possible que ce soit le virus Zika qui soit le véritable responsable vu que la majorité des bébés ne sont pas porteurs du virus, essayons donc de trouver la véritable cause possible : un nouveau vaccin DTPa (Diphterie-Tétanos – Coqueluche acellulaire) a été rendu obligatoire au Brésil au début de 2015 ; ce qui coïncide parfaitement avec la période au cours de laquelle toute une série de bébés sont nés avec des malformations. C’est, en effet, à la fin de 2014 que le Ministre brésilien de la santé a annoncé l’arrivée d’un nouveau vaccin DTCa qui devait être rendu obligatoire pour toutes les femmes enceintes dès que ce vaccin arriverait au Brésil, époque qui se terminait début 2015. Le virus Zika n’a pas été retrouvé dans la majorité des bébés qui sont nés avec des malformations, mais TOUTES LES MERES QUI ONT MIS AU MONDE DES BEBES MALFORMES AVAIENT RECU LE NOUVEAU VACCIN ALORS QU’ELLES ETAIENT ENCORE ENCEINTES. L’explication parait évidente.

 

Le fait que les différents articles parus sur la question désignent le virus Zika comme le véritable coupable, devrait tout nous faire comprendre. « Eh bien, ce n’est pas l’Organisation Mondiale de la Santé, la Fondation Bill Gates, ou quelque personnalité que ce soit du Nouvel Ordre Mondial qui souhaiteraient une population asservie et stupide. NON, c’est ce virus pratiquement bénin qui provoque tout cela. NON, N’INCRIMINEZ PAS NOTRE VACCIN. NOUS AVONS LA REPONSE, C’EST ZIKA, ZIKA, ZIKA et AU DIABLE le fait que la majorité des bébés atteints de microencéphalies qui N’ ETAIENT PAS CONTAMINES PAR LE VIRUS ZIKA. Nous n’envisagerons même pas cette hypothèse PARCE QU’IL NOUS FAUT UN BOUC EMISSAIRE. »

 

Il est intéressant de faire remarquer que ce nouveau vaccin a été spécialement conçu pour être administré A TOUTES LES FEMMES ENCEINTES après que l’arnaque du vaccin et de l’autisme soit apparue sur la place publique. Je parierais qu’en Amérique, il doit y avoir de nombreux cas de microencéphalies. Mais, en Amérique toutes les grossesses sont suivies de très près, notamment par ultrasons, et quand une malformation est détectée, la mère est pratiquement obligée d’avorter suite à « l’Obamacare » et aux financements fédéraux du « Canned Parenthood ». Pratiquement tous ces problèmes seront réglés de la même manière. De cette façon les statistiques ne seront pas modifiées, et les familles d’enfants qui, malgré tout naitront, risqueront d’avoir des ennuis venant d’une presse à la botte. Quelques rares histoires de « Zika » peuvent cependant être rapportées par la presse pour en quelque sorte couvrir les cas dont on ne parlera jamais. Je suis vraiment étonné de voir l’ampleur que l’on a permis à ces événements de prendre dans la presse du Brésil.

 

Le drame des enfants dont le cerveau n’aura été que partiellement touché (cela pourrait être la majorité) sera sans aucun doute attribué aux gènes. Après tout, ces bébés pourraient très bien être nés stupides !

 

Source : Vaccinationinformationnetwork

 

Un autre élément pointé dans ce dossier, ce sont les pesticides (> quelle synergie au final avec les vaccins administrés aux femmes enceintes ??) :

Zika: la nouvelle star des pandémies?

« Le Brésil est le plus grand consommateur de pesticides au monde. Certains de ces pesticides sont interdits dans 22 autres pays ! » Source: Zengardner.com

 

Commentaires suscités par l’article de Dan Olmsted: Pesticides, Pregnancy, Anencephaly and Zika virus

Zika: la nouvelle star des pandémies?

"Votre logique et votre scepticisme sont pleins de bon sens, par exemple en ce qui concerne les moustiques génétiquement modifiés qui seraient responsables de dommages aux fœtus dans le ventre de leur mère. MAIS, c’est exactement de cette manière que fonctionne la cabale dogmatique Vaccins/Pesticides : jeter le doute sur n’importe quelle cause à l’exception de la toxicité des pesticides et des vaccins, en accusant toujours un « virus » (ou rétrovirus). Posté par David M. Burd, 4 février 2016.

 

Voir aussi (…. très révélateur !) :

 

Virus Zika : pas de vaccin avant des années !

 

Un vaccin contre Zika peut-être disponible d’ici la fin 2016

 

Etats-Unis: un vaccin anti-Zika testé sur des humains avant fin 2016

 

Un vaccin contre Zika aurait été trouvé

 

A qui profite le virus Zika dont le brevet est détenu par la Fondation Rockfeller ?

 

Virus Zika: les moustiques génétiquement modifiés à la base de l'épidémie?

 

Atrophies crâniennes et virus Zika: suspicion autour d'un produit chimique de Monsanto

 

Le monde est-il prêt à combattre la prochaine pandémie ? (« Le monde n’est pas prêt » nous dit Margaret Chan de l’OMS comme au temps du H1N1,… et pour elle, les vaccins sont « des armes »…elle ne croit pas si bien dire mais contre qui?)

 

Sur les mensonges liés à la saga « Ebola » (plusieurs liens très importants car quiconque oublie le passé est condamné à le répéter : voir ICIICIICIICIICIICI et ICI)

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8 février 2016 1 08 /02 /février /2016 08:27

90% des femmes enceintes américaines refusent de se faire vacciner contre la grippe

Image credit pixabay

Image credit pixabay

 

Helen Sco, 18 décembre

 

Les femmes enceintes représentent un groupe démographique sur lequel les compagnies pharmaceutiques comptent pour faire de plantureux bénéfices.

 

Pourtant, les femmes enceintes sont généralement et essentiellement désireuses de tout faire pour être certaines que leur bébé soit en bonne santé et qu’elles puissent maintenir leur grossesse jusqu’à son terme. Il est cependant intéressant de noter que la plupart des femmes enceintes sentent intuitivement que la santé de leur bébé, ainsi que le maintien de leur grossesse n’a rien à voir avec le vaccin contre la grippe qui leur est proposé. Selon le « Waking Times », « la plupart » signifie 90% d’entre elles. Pour être honnête, je dois dire que cette information me rend particulièrement heureux. Malheureusement les médecins pensent qu’ils contrôlent parfaitement la situation, qu’ils ont autorité sur les femmes enceintes, et donc pensent qu’ils peuvent se permettre de dénoncer les craintes et l’intuition de ces femmes. Il ne s’agit évidemment pas de tous les médecins, mais il semble que nombre d’entre eux n’hésitent pas à pousser les femmes enceintes à se faire vacciner contre la grippe.

 

Mais, il se fait cependant que le vaccin contre la grippe peut présenter des complications pour le fœtus.

 

Faire le vaccin contre la grippe pendant le grossesse peut présenter des risques imprévus pour le fœtus. Ainsi, plus précisément, une étude a montré que, pendant la pandémie de grippe H1N1, le vaccin avait été associé à des milliers de cas de fausses-couches et d’enfants mort-nés. (Le CDC n’en aurait pas informé les fournisseurs de vaccins).

 

Les données actuelles d’une base de rapports de trois ans confirment les rapports précédents qui faisaient déjà apparaitre que la majorité des femmes enceintes refusaient le vaccin contre la grippe et autres vaccins qui auraient pu mettre en danger leur propre santé, ainsi que la santé de leur bébé.

 

En 2011, le Dr Alessandro Bertoucci qui a analysé les pratiques de 256 médecins qui ensemble traitaient plus de 600.000 patients, a rapporté le nombre astronomique de 91% de femmes enceintes qui refusaient le vaccin contre la grippe en raison de leurs craintes que les toxines du vaccin puissent provoquer une fausse-couche.

 

Votre médecin, surtout si vous êtes enceinte, devrait respecter vos souhaits et vos objectifs en vous fournissant les meilleurs soins de santé. Si vous avez l’impression qu’il s’agit surtout de dogme et de programmes de vaccinations, ce ne serait pas une mauvaise idée de votre part de chercher un autre médecin avec qui vous pourrez vous sentir à l’aise. Ne craignez surtout pas de faire vos propres recherches et de vous diriger vers d’autres médecins. Un médecin qui vous suggère de faire le vaccin contre la grippe, c’est une chose, mais s’il veut vous pousser à faire le vaccin malgré vos réticences, cela devrait vous donner à réfléchir.

 

Vous pourrez trouver plus d’informations sur le site « Waking Times ».

 

Source: Vaxxter.com

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 19:31

Votre enfant à naître fait-il partie d’une expérimentation vaccinale ?

Votre enfant à naître fait-il partie d’une expérimentation vaccinale ?

Par Christina England, 8 octobre 2015, Health Impact News

 

Une femme enceinte fera naturellement tout pour protéger son enfant à naître. Par conséquent quand on lui proposera une série de vaccinations pour protéger son bébé à naître de la maladie au cours des quelques premières semaines de sa vie, elle n’hésitera probablement pas à accepter des vaccinations sans la moindre hésitation.

 

Cependant, marquerait-elle son accord aussi facilement si elle savait que son bébé à naître allait être utilisé dans le cadre d’une expérimentation vaccinale menée par les Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention (CDC) et par les fabricants de vaccins ?

 

Le fœtus en croissance désigné pour être le dernier cobaye de Big Pharma ?

 

Selon les documents du CDC, tant le TDaP (Diphtérie-Tétanos-Coqueluche acellulaire) et le DtaP sont des vaccins qui sont offerts aux femmes enceintes pour soi-disant protéger leur bébé de la coqueluche au cours des premières semaines de vie.

 

Cependant, malgré que ces vaccins soient recommandés pour toutes les femmes enceintes, le CDC admet dans sa propre documentation qu’aucun de ces vaccins n’a jamais été testé pour sa sécurité au cours de grossesses. Le CDC ajoute qu’ils n’ont aucune idée si ces vaccins pourraient nuire au fœtus en croissance.

 

En d’autres mots, en recommandant ces vaccins aux femmes enceintes, le CDC est tout à fait prêt à se servir de ces enfants à naître dans le cadre d’une vaste expérimentation vaccinale. Ce qui est plus inquiétant encore, c’est qu’en faisant cela, ils mettent potentiellement en péril la vie de millions d’enfants à naître.

 

Pourquoi le CDC ferait-il une chose pareille ?

 

Health Impact News a décidé d’enquêter plus profondément sur la question. Ce que nous avons découvert pourrait vous choquer et vous horrifier.

 

Trois années peuvent faire une fameuse différence

 

En 2008, comme recommandé par le Comité Consultatif sur les Pratiques d’Immunisation (ACIP), le CDC a précisé ce qui suit au début du rapport MMWR intitulé : Prévention de la coqueluche, du tétanos et de la diphtérie chez les femmes enceintes, les femmes qui ont accouché et leurs nourrissons – Recommandations du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP)

 

« Les preuves disponibles ne traitent pas suffisamment de la sécurité du TDaP pour les femmes enceintes, leurs fœtus ou des résultats de la grossesse. Les données disponibles n’indiquent pas non plus si les anticorps maternels transplacentaires induits par le TDaP peuvent fournir une protection précoce contre la coqueluche des nourrissons ou interférer avec les réponses immunitaires du nourrisson à l’administration des vaccins pédiatriques de routine. »

 

Ces quelques phrases indiquent que ce vaccin est clairement dangereux pour les femmes enceintes et qu’il n’existe pas de données qui pourraient faire penser que ce vaccin serait susceptible d’offrir une protection précoce.

 

Le CDC soutient également cette perspective en fournissant les informations suivantes dans l’introduction de son rapport :

 

« La sécurité et l’efficacité du TDaP n’ont pas été démontrées chez les femmes enceintes et le TDaP n’est recommandé chez les femmes enceintes dans aucun pays. Il n’existe aucune preuve de surmorbidité ou de décès parmi les femmes enceintes qui seraient dus à la coqueluche. Il n’existe aucune preuve que :

 

- Le TDaP peut endommager le fœtus chez les femmes enceintes ou augmenter le risque de problèmes durant la grossesse;

 

- les anticorps maternels transplacentaires induits par le TDaP administré pendant la grossesse protégeront les nourrissons de la coqueluche, ou

 

- que les anticorps maternels transplacentaires induits par le DTaP auront un impact négatif sur la réponse immunitaire protectrice du nourrisson à l’administration ultérieure d’un vaccin DTaP pédiatrique de routine, comme à l’administration de vaccins multiples contenant l’anatoxine tétanique ou l’anatoxine diphtérique. »

Votre enfant à naître fait-il partie d’une expérimentation vaccinale ?

Ayant cette information à l’esprit, nous devons nous demander comment il se fait que trois années plus tard, le TDaP, un vaccin non testé et non recommandé puisse brusquement être recommandé comme, non seulement sûr, mais aussi nécessaire par le CDC pour être offert à toutes les femmes enceintes pour protéger leur nouveau-né de la coqueluche.

 

Ceci est particulièrement inquiétant si l’on considère le fait que les fabricants de vaccins eux-mêmes ne peuvent fournir quelque preuve que ce soit qui pourrait suggérer que le vaccin est  sûr ou efficace.

 

Les fabricants de vaccins admettent que ces vaccins n’ont pas été testés pour les cas de grossesse

 

Commençons d’abord par étudier les fiches d’information qui accompagnent les deux vaccins que le CDC recommande pour les femmes enceintes, l’Adacel et le Boostrix, deux vaccins destinés à assurer une protection contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche.

 

L’Adacel, un vaccin fabriqué par Sanofi Pasteur

 

Dans la section 8 de la notice du vaccin intitulée Utilisation dans des populations particulières, Sanofi Pasteur déclare :

 

 « 8.1. Catégorie grossesse C

 

On n’a pas réalisé d’études sur la reproduction animale avec le vaccin Adacel. On ne sait pas non plus si le vaccin Adacel peut provoquer des dommages au fœtus quand il est administré à des femmes enceintes ou affecter la capacité de la reproduction. Le vaccin Adacel ne devrait être administré à une femme enceinte que si la chose est clairement nécessaire (souligné par l’auteur de l’article).

 

Dans sa fiche d’information, Sanofi Pasteur fait référence au fait qu’ils ont effectué des tests limités sur des animaux en gestation ; ils ont cependant très clairement indiqué qu’Adacel n’avait jamais été testé pour sa sécurité chez les femmes enceintes et dès lors ne savent pas si le vaccin serait susceptible de nuire à la croissance du fœtus.

 

Il est aussi intéressant de remarquer que le fabricant a stipulé que le vaccin Adacel ne devrait être administré à une femme enceinte que si celui-ci est « clairement nécessaire ». Ils ne précisent cependant pas ce que suppose ou veut dire « clairement nécessaire ».

 

Comment un vaccin quel qu’il soit pourrait-il JAMAIS être « clairement nécessaire » chez des femmes enceintes ?

 

Nous allons ensuite jeter un coup d’œil à la notice de Boostrix, fabriqué par GlaxoSmithKline et destiné une fois de plus à protéger du tétanos, de la diphtérie et de la coqueluche.

 

Boostrix, un vaccin fabriqué par GlaxoSmithKline

 

Une fois de plus, dans la section 8 intitulée utilisation pour des populations spécifiques, le fabricant a précisé :

 

« 8.1 Grossesse

 

Grossesse Catégorie B

 

Une étude de toxicité sur le développement a été effectuée sur des rats femelles à une dose approximativement 40 fois la dose administrée à des humains (sur base de poids ajusté). Cette étude n’a révélé aucune preuve que le Boostrix ait causé des dommages aux fœtus. On n’a pas réalisé d’études avec Boostrix sur la fertilité animale. Il n’existe aucune étude adéquate et bien contrôlée chez les femmes enceintes. Du fait que les études de reproduction animales ne sont pas toujours prophétiques par rapport aux réponses que l’on pourrait attendre d’êtres humains, Boostrix ne devrait être administré à une femme enceinte que si le vaccin est clairement nécessaire. (souligné par l’auteur de l’article)

 

Une fois de plus, le fabricant de Boostrix a également mentionné que le vaccin avait été testé sur des animaux gestants. Cependant, GlaxoSmithKline avait déclaré qu’aucune étude adéquate ou parfaitement contrôlée n’avait été réalisée chez les femmes enceintes. En d’autres mots, ils n’avaient non plus aucune idée si leur vaccin pouvait être sûr pendant la grossesse ou aurait pu nuire aux fœtus en croissance.

 

GlaxoSmithKline avait également déclaré que ce vaccin ne devait seulement être administré à une femme enceinte que si la chose était clairement nécessaire.

 

Le CDC est prêt à mettre les bébés à naître en péril

 

Malgré l’absence de preuves que ces vaccinations étaient sans danger pour les femmes enceintes, le CDC décida en 2011 d’effectuer un revirement complet. Ils décidèrent donc d’aller de l’avant et de recommander le vaccin de toute manière.

 

Le CDC est-il une organisation qui se soucie de savoir si ces vaccins sont sûrs pour être injectés à des femmes enceintes ? Comme nous l’avons déjà signalé dans Health Impact News, le CDC est le plus grand  acheteur de vaccins, dépensant plus de 4 milliards de dollars par an dans ce but, ce qui représente un grave conflit d’intérêts par rapport à la supervision de la sécurité des vaccins. (Voir : le CDC achète pour 4 milliards de vaccins, un conflit d’intérêts par rapport à la supervision de la sécurité des vaccins.)

 

L’année au cours de laquelle le CDC a recommandé des vaccins non testés à des femmes enceintes

 

En 2011, le CDC a commencé à mettre ses recommandations à jour en expliquant que la majorité des enfants hospitalisés qui mouraient de coqueluche et qui n’avaient pas encore atteint l’âge de deux mois étaient dès lors trop jeunes pour être vaccinés. C’est la raison pour laquelle, le CDC a pensé qu’il était nécessaire de mettre une nouvelle stratégie en place.

 

Pour rassurer le public, faire comprendre que tout était bien parce qu’ils avaient vérifié la sécurité des vaccins, le CDC a expliqué que, bien qu’ils étaient parfaitement conscients que les vaccins n’avaient pas été testés pour la sécurité au cours de la grossesse, ils ont néanmoins utilisé les registres de grossesse mis en place par les fabricants de vaccins, ainsi que de petites études pour recueillir des données de sécurité mises à jour.

 

Encore une fois, en utilisant le conseil qui lui avait été fourni par l’AICP, le CDC a déclaré :

 

« …L’ACIP a fait des recommandations pour l’utilisation du TDaP chez les femmes enceintes non vaccinées et mises à jour sur le cocooning et les situations spéciales. »

 

En faisant cette déclaration, le CDC a indiqué qu’il était d’accord avec l’ACIP et a recommandé que le TDaP soit offert aux femmes enceintes pour la protection de leur fœtus au cours des premières semaines de leurs vies.

 

Le CDC a précisé :

 

« Au cours des évaluations préalables à l’homologation, la sécurité de l’administration d’une dose de rappel du TDaP à des femmes enceintes n’avait pas été étudiée. »

 

Ils ont cependant tenté de rassurer les femmes enceintes en déclarant que :

 

« A la suite du manque d’information sur l’utilisation du TDaP chez les femmes enceintes, les deux fabricants du TDaP ont établi des registres pour récolter de l’information sur les grossesses de femmes vaccinées avec le TDaP. Les données concernant la sécurité de l’administration du TDaP à des femmes enceintes sont maintenant disponibles. L’ACIP a examiné les données des registres publiées et non publiées du VAERS, de Sanofi Pasteur (Adacel) et de GlaxoSmithKline (Boostrix), ainsi que les petites études auxquelles il a été fait allusion. L’ACIP a conclu que les données disponibles de ces études ne suggèrent aucune fréquence élevée ou des types d’effets indésirables inhabituels chez les femmes enceintes qui ont reçu le TDaP et que les quelques effets graves rapportés n’étaient vraisemblablement pas causés par le vaccin. (Souligné par l’auteur de l’article).

 

Le public est-il averti par les médecins des risques et des inconnues concernant la sécurité de ce vaccin qui est administré aux femmes enceintes ?

 

Qu’en est-il du protocole vaccinal ?

 

Avant que tout vaccin soit commercialisé comme étant sûr et efficace, il doit passer par une série d’essais cliniques. Ces essais comportent généralement trois phases. La phase 1 comprend des études de sécurité et d’immunogénicité réalisées sur un petit nombre de sujets suivis de très près. La phase 2 concerne des études ayant trait au problème des doses. Elles peuvent porter sur des centaines de sujets. Finalement, les essais de phase 3 portent sur des milliers d’individus et fournissent une documentation cruciale sur l’efficacité, ainsi que sur des données importantes de sécurité requises pour l’obtention des licences.

 

Cette procédure est généralement mise en place par la FDA

 

Si un vaccin doit être recommandé pour un groupe particulier d’individus, on pourrait s’attendre à ce que les fabricants aient préalablement réalisé des essais exhaustifs tout spécialement s’il s’agit de personnes vulnérables comme les femmes enceintes et leurs bébés à naître.

 

Le système VAERS (Rapports des effets secondaires des vaccins) et les registres des fabricants sont incapables de fournir les preuves scientifiques de la sécurité d’un vaccin. Cela s’explique parce qu’il n’y a pas de groupes de contrôle (non randomisés et en double aveugle). Dès lors, leurs données ne possèdent aucune validité pour établir des dossiers de sécurité en ce qui concerne leur utilisation pour l’indication du vaccin chez des femmes enceintes.

 

Deux études ont fourni des preuves insignifiantes pour déterminer la sécurité du vaccin

 

En lisant attentivement le document 2011 du CDC, vous pourrez remarquer qu’il fait référence à deux petites études qui ont été utilisées pour servir de preuves que les vaccins destinés aux femmes enceintes sont sûrs. Nous pensons cependant que le nombre de participants était beaucoup trop réduit pour fournir de la substance à leurs revendications.

 

La première étude référencée par le CDC était intitulée : Vaccination maternelle avec le vaccin tétanos-diphtérie-coqueluche : effet sur les niveaux d’anticorps sériques maternels et néonataux. L’étude a été réalisée par Stanley A.Gall,MD.,John Myers, PhD et Michael Pichichero, MD.

 

Les chercheurs ont étudié le cas de 104 femmes enceintes et ont vacciné 52 d’entre elles. Bien que les chercheurs aient affirmé qu’il n’y avait eu aucune réaction indésirable, aucune donnée de sécurité n’a été fournie ; nous ne disposons dès lors que de leur parole.

 

Les chercheurs ont conclu :

 

« L’administration du TDaP au cours de la grossesse augmente les titres d’anticorps contre la diphtérie et la coqueluche. Le TDaP peut prévenir l’infection néonatale de la coqueluche. (souligné par l’auteur de l’article)

 

Compte tenu que ces vaccins sont conseillés aux femmes enceintes pour protéger leurs nourrissons de la coqueluche au cours des huit premières semaines de vie, cette étude ne fournit aucune preuve substantielle qui confirmerait la sécurité ou l’efficacité de ces vaccins. Cette étude n’apporte non plus pas de preuves que ce vaccin puisse effectivement protéger les nourrissons de l’infection coquelucheuse.

 

Ceci est particulièrement inquiétant étant donné que les chercheurs ont déclaré que l’objectif de cette étude était de déterminer si oui ou non le fait d’offrir le TDaP au cours de la grossesse protégeait les nourrissons contre la coqueluche :

 

« Nous avons cherché à déterminer si le fait de vacciner contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche (TDaP) au cours de la grossesse fournissait aux nouveau-nés des anticorps contre la coqueluche si on les comparait aux bébés de mères mères qui n’avaient pas reçu le TDaP »

 

Il est également intéressant de signaler que le chercheur principal Stanley A.Gall, MD avait reçu des subventions  et du soutien pour la recherche de deux grands fabricants de vaccins, GlaxoSmithKline, le fabricant de Boostrix et Merck où il avait été consultant.

 

Le site Protect cme.org stipule que :

 

 «  Le Dr Stanley Gall a reçu des subventions et du soutien pour le recherche de GalxoSmithKline et de Merck. »

 

Etant donné que le chercheur principal de l’étude avait des conflits d’intérêts, comment peut-on utiliser cette étude en guise de preuve ?

 

La deuxième étude citée a été réalisée par Elizabeth A. Talbot, Kristin H. Brown, Kathryn B. Kirkland, andrew L. Baughman, Scott. Elle est intitulée : Sécurité de la vaccination avec le vaccin contre le tétanos, la diphtérie et la coqueluche (acellulaire) (TDaP) moins de deux ans après une précédente vaccination antitétanique : expérience d’une campagne de vaccination de masse du personnel de santé au cours  de l’éclosion d’une maladie respiratoire.

 

Une fois de plus cette étude s’est montrée moins que convaincante du fait que les chercheurs n’ont vacciné que 16 femmes enceintes avec le TDaP. Et, bien que plusieurs effets indésirables aient été signalés tout au cours de l’étude, ils furent ignorés par le CDC dans son rapport comme n’ayant aucun lien avec le vaccin.

 

Conclusion : il n’est pas possible de faire confiance au CDC en ce qui concerne la sécurité du vaccin pour les enfants à naître

 

Selon notre enquête, il est clair que le CDC a décidé de recommander aux femmes enceintes une vaccination potentiellement dangereuse et inefficace, même s’il est dans l’impossibilité de fournir des données convaincantes qui pourraient rassurer les mères que le vaccin ne pourra nuire à la croissance de leur fœtus.

 

Les deux études utilisées par le CDC n’ont testé qu’un petit groupe de personnes ne pouvant fournir que des données insuffisantes qui permettraient de prouver la sûreté des vaccins. Tous les effets indésirables qui ont été rapportés par les chercheurs ont été ignorés par le CDC. Il a été précisé qu’il était peu plausible que ces problèmes aient été causés par le vaccin.

 

Comment les parents peuvent-ils avoir confiance dans la sûreté de ce vaccin vu que le CDC n’a pas présenté d’études longitudinales pour démontrer que ce vaccin était susceptible de nuire ou non à leurs enfants ?

 

Remerciements : l’aide d’un grand chercheur israélien qui préfère rester anonyme a été beaucoup appréciée.  

 

Source : Health Impact News

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 10:15

« On a volé ma vie »

Vaccin H1N1 & narcolepsie: on a volé ma vie

Madame Heather McFarlane était enceinte quand elle fut vaccinée contre la grippe porcine. Elle explique que cette vaccination a déclenché une narcolepsie qui fait qu’elle tombe endormie HUIT fois par jour…Elle espère pouvoir obtenir un dédommagement d’un million de livres sterling.

 

The Informed Parent, issue two 2015 (Extraits)

 

Quand Madame McFarlane, qui était enceinte, reçut une lettre  des services officiels de la Santé (NHS) lui conseillant de se faire vacciner contre la grippe porcine pour la protéger elle, ainsi que son fœtus, elle n’a pas hésité une minute.

 

Cependant, Madame McFarlane (40 ans) explique que l’injection qui lui fut administrée en 2009 quand elle était enceinte a eu comme effet de déclencher une narcolepsie invalidante (trouble du sommeil).

 

Cette maman de trois enfants explique qu’à cause de sa maladie elle s’endort jusqu’à huit fois par jour.

 

Madame McFarlane, enseignante à Glasgow, explique aussi qu’elle est constamment épuisée et qu’elle peut tomber endormie en faisant la vaisselle, en descendant les escaliers ou juste en parlant à ses trois enfants.. Il ne lui est plus possible de conduire et elle fait régulièrement des « siestes » au travail.

 

Alors qu’elle était enceinte de son troisième enfant, on lui administra le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine, comme recommandé par les autorités de Santé (NHS) pour les femmes enceintes. Elle explique que ses avocats sont en train de négocier un dédommagement d’un million de livres sterling avec le fabricant du vaccin GlaxoSmithKline sans passer par les procédures de la justice.

 

La narcolepsie se développe quand le système immunitaire détruit des neurones dans une région du cerveau appelée hypothalamus. Les scientifiques poursuivent leurs recherches pour comprendre comment le Pandemrix peut provoquer cette maladie.

 

Madame McFarlane est en colère parce qu’elle a si peu l’occasion de voir grandir ses enfants, étant donné qu’elle s’endort souvent à des moments-clé où ses enfants auraient besoin d’elle.

 

Elle explique : «  la narcolepsie a dévasté ma vie. La plupart des gens pourraient croire que c’est un véritable bonheur que de pouvoir dormir ainsi tout le temps. Mais pour moi, précise-t-elle, c’est un véritable cauchemar. Son travail est régulièrement interrompu par des périodes de sommeil et elle a l’impression de perdre les meilleures années de sa vie.

 

Le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline qui fabrique le vaccin contre la grippe a fait savoir qu’il est prêt à régler les affaires avec une centaine de personnes au Royaume-Uni et avec 800 autres dans le monde.

 

Ses avocats lui ont dit qu’elle peut réclamer un dédommagement d’un million de livres sterling pour avoir apparemment développé une narcolepsie à la suite d’une injection qui était sensée la protéger de la grippe porcine. L’affaire est sur le point d’être réglée en dehors des tribunaux.

 

Au moment où elle fut vaccinée, il y avait de sérieuses craintes qu’une épidémie puisse éclater au Royaume-Uni. Mais Madame McFarlane affirme que sa vie a commencé à tourner au cauchemar après avoir subi l’injection du vaccin.

 

Madame McFarlane souffre aussi de catalepsie, une paralysie terrifiante qui signifie qu’elle peut faire de terribles convulsions au cours desquelles elle est conciente de tout ce qui se passe autour d’elle, tout en étant incapable de dire ou de faire quoi que ce soit.

 

Cette dame laisse tomber tout ce qu’elle a dans les mains quand elle se trouve devant l’évier, quand elle parle à ses enfants ou même quand elle commence à rire – des émotions toutes simples comme la tristesse, la colère ou même le rire semblent être des déclencheurs de réactions dans le cerveau.

 

Tous les aspects de sa vie comme le simple fait de descendre les escaliers affectent la qualité de sa vie. Elle a besoin constant du soutien de sa mère et elle est terrifiée par la paralysie qui semble s’éveiller.

 

« Au cours de la catalepsie, je puis être pleinement consciente tout en étant affreusement paralysée. La narcolepsie me fait en outre dormir. Je laisse tomber des assiettes, je tombe endormie en préparant le repas. Les enfants en prennent un coup. »

 

« On m’a volé ma vie et mes enfants sont privés de leur maman. »

 

« Je suis tout le temps trop fatiguée et je m’endors à tout bout de champ. »

 

Les autres mamans peuvent passer du bon temps avec leurs enfants. Elles peuvent sortir avec eux, aller aux concerts, aux musées, aux spectacles etc.

 

Je dois dépendre de mon mari Kevin, de ma maman Elly,  de ma sœur Lorna et d’amis pour m’aider sans arrêt. »

 

Le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline qui fabrique le vaccin contre la grippe a fait savoir qu’il était prêt à régler les affaires avec une centaine de personnes au Royaume-Uni et avec 800 autres dans le monde.

 

Il s’agit surtout de sages-femmes, de médecins, d’infirmières, de pharmaciens, car ce personnel des soins de santé ont été pressés de se faire vacciner pour éviter d’exposer le public à des risques. Un porte-parole de GSK a déclaré que la société procédait activement à des recherches pour pouvoir comprendre le lien éventuel entre le Pandemrix et la narcolepsie. Chez les personnes concernées, il se pourrait qu’il y ait interaction entre le vaccin et d’autres facteurs de risque. L’ampleur et la rapidité avec lesquels les programmes de vaccination contre le H1N1 ont été mis sur pied sont sans précédent. Pour ces raisons, GSK et les gouvernements se sont mis d’accord pour gérer et partager la responsabilité en répondant aux réclamations et en couvrant les frais d’investigation et d’indemnisation s’il pouvait être démontré que les plaintes étaient fondées.

 

Tout au cours de la mise au point des vaccins contre la grippe H1N1, aucune donnée n’a pu permettre de penser qu’il existait une augmentation du risque de narcolepsie.

 

Madame Mc Farlane explique que c’est pour ses enfants Molly, 14 ans, Maisie, 11 ans et Dougie, 5 ans que ce syndrome des coups de sommeil a été le plus pénible.

 

J’aimerais tant pouvoir prendre la voiture pour aller faire des emplettes avec mes filles, mais c’est impossible.

 

Je suis remplie de tristesse en pensant à toutes ces choses qui me manquent. Comme les crises se présentent sans avertir, Madam Fralane se sent complètement épuisée. La narcolepsie perturbe sérieusement  les véritables rythmes de son sommeil. Le pire aspect de son calvaire a été le réveil de la paralysie dont elle souffre.

 

Il suffit parfois, qu’au cours d’un programme de télévision, je commence à rire pour me sentir à nouveau paralysée. Je me sens alors totalement impuissante, incapable de parler pour pouvoir communiquer.

 

Quand la chose m’est arrivée la première fois, mon mari a cru que je m’étais endormie – mais ce n’était pas le cas, et il m’était même impossible de lui dire que j’étais parfaitement consciente. C’est véritablement horrible et effrayant !

 

Tout ceci est arrivé parce que j’ai suivi les conseils du NHS en me faisant vacciner contre la grippe porcine pour éviter l’épidémie.

 

Madame McFarlane de Jordanhill, près de Glasgow a développé cette maladie après avoir reçu le vaccin Pandemrix comme l’avait conseillé le NHS pour les femmes enceintes.

 

J’ai reçu plusieurs courriers qui me conseillaient de me faire vacciner et j’avais peur de ce qui aurait pu m’arriver si je ne le faisais pas, explique-t-elle.

 

Ils ne m’ont évidemment pas dit qu’il n’y avait pas eu suffisamment de tests de sécurité long terme. Si j’avais su la chose, jamais je n’aurais accepté que l’on m’injecte le vaccin.

 

Les symptômes ont commencé à se manifester peu de temps après la naissance de Dougie en 2010.

 

Je luttais chaque fois pour me maintenir éveillée attribuant ces crises à l’énorme travail que doit accomplir une maman.

 

Après plusieurs mois de tests peu agréables, le médecin spécialiste du sommeil a suggéré que la narcolepsie de Madame McFarlane pouvait avoir un rapport avec l’injection qu’elle avait eue. Après avoir manifesté ces symptômes pendant plus d’un an et après avoir fait quantité de tests pour n’aboutir à aucun résultat fiable, mon médecin de famille m’a adressé à un neurologue.

 

On me soumit à nouveau à toute une série de tests, mais, à nouveau, sans résultat.

 

Après toutes ces recherches effectuées à l’hôpital Gartnavel, je fus orientée vers un spécialiste des troubles du sommeil. C’est alors que l’effrayante vérité a pu émerger.

 

Ce spécialiste m’a immédiatement demandé si j’avais reçu le vaccin contre la grippe. Ce spécialiste devait déjà avoir vu d’autres patients présentant les mêmes symptômes, et voilà qu’il tombait su un nouveau cas.

 

J’étais heureuse d’avoir enfin reçu un diagnostic, mais j’étais choquée de découvrir qu’il n’y avait pas de traitement.

 

Madame McFarlane doit prendre quotidiennement de puissants médicaments qui n’ont cessé de la faire grossir. Mais ce qui la rend la plus furieuse c’est tout ce temps qu’elle a perdu et qui ne peut plus être rattrapé. Elle regrette tellement de réaliser que ses enfants n’ont pas la maman qu’ils méritent. […]

 

Le porte-parole du Ministère de la Santé a déclaré : «  Nous comprenons à quel point la narcolepsie peut être une maladie angoissante. »

 

Le Pandemrix a été utilisé pour prévenir une maladie grave et des décès au cours de la pandémie de grippe porcine de 2009/10.

 

A cette époque, l’association possible avec la narcolepsie n’était pas connue.

 

«  Nous travaillons avec le fabricant de vaccins et les demandeurs » déclarent les avocats pour prendre au plus vite en compte les plaintes des patients.

 

Source : The Informed Parent, issue two, 2015 (Extraits)

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3 janvier 2015 6 03 /01 /janvier /2015 11:19

Vaccin contre la grippe et grossesse : une dangereuse pratique

 

Flulaval---pregnancy.jpg

La sûreté et l’efficacité du vaccin FLULAVAL QUADRIVALENT n’ont pas été établies chez les femmes enceintes ou les mères allaitantes (8.1, 8.3) Source : notice sur le site FDA.gov.

 

Commentaires de l’éditeur de « Health Impact News »

 

L’excellent commentaire du Dr Brownstein sur la recommandation de l’Académie Américaine d’Obstétrique et de Gynécologie du vaccin contre la grippe pour les femmes enceintes montre à quel point la logique et la science sont souvent mises de côté pour promouvoir le business lucratif du vaccin contre la grippe.

 

Qu’est-il arrivé à notre pays alors que des professionnels de la santé ont recommandé un produit aux femmes enceintes en l’absence de toute fiche de sécurité démontrée ?

 

La question à laquelle il faut absolument répondre est celle-ci : le vaccin contre la grippe est-il sûr pour tout le monde ? Quand quelqu’un se fait vacciner contre la grippe est-il averti des effets secondaires que d’autres ont rapporté ? Ces effets secondaires sont repris dans la notice du vaccin :

 

Les effets indésirables suivants ont été spontanément rapportés lors de l’utilisation post-approbation du FLULAVAL. Du fait que ces effets secondaires sont rapportés volontairement par une population dont l’importance n’est pas connue, il n’est pas toujours possible d’estimer de manière fiable leur taux d’incidence ou d’établir une relation causale avec le vaccin.


Les effets secondaires qui sont repris ci-dessous le sont parce que :

 

ils correspondent à des réactions qui sont connues et qui surviennent  tant après la vaccination contre la grippe qu’après d’autres vaccinations ; ces réactions sont potentiellement graves, ou sont fréquemment rapportées.

 

Affections hématologiques et du système lymphatique : lymphadénopathie

Troubles oculaires : douleurs oculaires photophobie

Troubles gastro-intestinaux : dysphagie, vomissements

Troubles généraux spécialement au site d’administration : douleurs thoraciques, inflammation au site d’injection, asthénie, éruptions au site d’injection, symptômes pseudo-grippaux, démarche anormale, ecchymoses au site d’injection,  abcès stérile au site d’injection.

Troubles du système immunitaire :réactions allergiques incluant anaphylaxie, œdème de Quincke.

Infections, infestation : rhinite, laryngite, cellulite

Troubles neuro-squelettiques et du tissu conjonctif : faiblesse musculaire, arthrite.

Troubles du système nerveux : étourdissements, paresthésie hypoesthésie, hypokinésie, tremblements, somnolence, syncope, syndrome de Guillain-Barré, convulsions/ crises d’épilepsie, paralysie des nerfs crâniens ou faciaux, encéphalopathie, paralysie des membres.

Troubles psychiatriques :insomnie

Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux : dyspnée, disphonie, bronchospasme, serrement de la gorge.

Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés : urticaire, éruptions cutanées locales ou généralisées, prurit, sueurs.

Troubles vasculaires : bouffées vasomotrices, pâleur.

 

Source: Notice du vaccin Flulaval.


Notez que la liste des troubles du système nerveux est la plus longue. Cela ne correspond pas aux sommes versées par le gouvernement américain en dédommagement aux victimes de vaccins, où le syndrome de Guillain-Barré (qui provoque des paralysies similaires à celles de la polio) représente la plainte # 1 pour les dommages attribués au vaccin contre la grippe.

 

 

Vaccin contre la grippe et grossesse : une pratique dangereuse 

 

Par le Dr Brownstein, M.D.

Dr Brownstein

 

L’Académie Américaine d’Obstétrique et de Gynécologie (ACOG) a publié un avis de son comité détaillant leurs points de vue sur la vaccination contre la grippe pendant la grossesse.[1]

 

Dans ce document, l’ACOG  précise : «  la vaccination contre la grippe est un élément essentiel au cours de la période de préconception, la période prénatale et celle des soins post-partum car les femmes enceintes courent un risque accru de maladie grave en raison de la grippe saisonnière et pandémique. Il est particulièrement important que les femmes qui sont ou seront enceintes pendant la saison grippale reçoivent un vaccin antigrippal inactivé dès qu’il est possible. Il est impératif que les obstétriciens-gynécologues, les médecins, les organisations de soins de santé et les autorités sanitaires poursuivent leurs efforts pour améliorer le taux de vaccination contre la grippe chez les femmes enceintes. »

 

Maintenant, on pourrait penser que pareille déclaration serait soutenue par des données qui prouveraient que le vaccin contre la grippe est à la fois sûr et efficace pour les femmes enceintes. La vérité, c’est que c’est tout le contraire. Le vaccin contre la grippe n’a pas été correctement étudié chez les femmes enceintes. Il ne s’est non plus pas montré très efficace pour prévenir la grippe chez qui que ce soit.

 

La plupart des vaccins contre la grippe sont conservés avec du mercure sous la forme de thimérosal. Le mercure est une des substances les plus toxiques qui soient et est une neurotoxine puissante. Dans le document du Comité de l’ACOG, il est dit : «  … il n’existe pas de base scientifique qui préciseraient que les formulations sans thimérosal du vaccin contre la grippe provoqueraient des effets indésirables chez les enfants nés de femmes ayant reçu des vaccins contenant du thimérosal..»

 

Des études animales ont clairement montré que le mercure sous forme de thiomersal traverse la barrière hémato-encéphalique et s’incorpore profondément au cerveau des lapins de même qu’à leur fœtus. [2]

 

Il existe de nombreuses autres études révisées par les pairs qui ont montré que le thimérosal  provoquait des dommages chez les fœtus d’animaux. Une des raisons pour lesquelles l’ACOG déclare : « … il n’y a pas de base scientifique qui montre que les formulations sans thimérosal de vaccins contre la grippe peuvent provoquer des effets indésirables chez les enfants » est le fait qu’il n’y a pas eu d’études réalisées qui confirment que le thimérosal injecté à des femmes enceintes provoque des dommages au fœtus. D’autre part, il n’y a pas d’études qui montrent qu’il est sans danger d’injecter du thimérosal chez les femmes enceintes.

 

Le bon sens à lui seul peut faire comprendre qu’il n’est probablement pas très sage d’injecter l’une des substances les plus toxiques qui soient à des femmes enceintes. Je ne pense pas que nous ayons besoin d’études randomisées en double aveugle pour évaluer les effets des injections de mercure chez les femmes enceintes !

 

Et, plus important encore, avant que l’ACOG recommande des injections contre la grippe pour toutes les femmes enceintes, ne pensez-vous pas qu’il devrait y avoir au moins une bonne étude qui montre que le vaccin contre la grippe est sûr et efficace pour les femmes enceintes ? Ce serait cependant trop simple. Mais voici la vérité : le vaccin contre la grippe n’a pas été correctement étudié chez les femmes enceintes. En fait, dans la notice du vaccin quadrivalent FluLaval il est écrit : «  Il  n’y a pas d’étude adéquate et bien contrôlée chez les femmes enceintes. Le FluLaval ne devrait être administré à une femme enceinte que si la chose est clairement nécessaire. »

 

Malheureusement, le mercure n’est pas la seule substance que l’on trouve dans le vaccin toxique contre la grippe. Beaucoup de vaccins contre la grippe (et d’autres vaccins) contiennent du formaldéhyde, produit cancérigène. Inutile de dire qu’il n’existe aucune étude montrant qu’il est sûr et efficace d’injecter un produit cancérigène connu à des femmes enceintes ou à tout autre être vivant.

 

Quel est donc le fond du problème ? Au cours de ma formation de médecin, j’ai appris qu’il était préférable de pécher par excès de prudence. Le bon sens nous fait de suite comprendre  qu’il ne faudrait jamais injecter du mercure à des femmes enceintes. En fait, je voudrais ajouter qu’il ne faudrait jamais injecter de mercure à quelque être vivant que ce soit.

 

Je ne pense pas qu’il faut avoir fait de longues études pour en arriver à ces conclusions. Vous n’avez besoin que d’un peu de bon sens qui semble quelque peu manquer quant à la déclaration du comité ACOG.

 

J’ai écrit un article beaucoup plus long à ce sujet dans le numéro de décembre 2014 de ma Newsletter mensuelle : Dr Brownstein’s Natural Way to Health.

 

Pour plus ample information au sujet de ma Newsletter cliquer sur le lien suivant :

 https://www.newsmaxstore.com/newsletters/brownstein/renew.cfm

 

Pour plus d’information: http://healthimpactnews.com/2014/flu-vaccine-and-pregnancy-a-dangerous-practice/#sthash.ZYTGZ2BO.dpuf

- L’article complet (en anglais) : ici.

 

Références 

 

1. Committee Opinion. Number 608. September, 2014. American College of Obstetrics and Gynecology

 

2. Arch. Of Opth. 1975:93:52-55.

 

Femme-enceinte---CDC.jpg

 

Source : Health Impact News


Voir aussi :

 

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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 10:52

Incroyable mais vrai, alors que ce scandale aurait dû faire grincer les dents de tous les médecins, de tous les pharmaciens, de tous les politiciens, de tous les journalistes et de toutes les patientes, il semble que seules certaines personnes aient encore le bon sens et une éthique suffisante pour être en mesure de s'indigner de pareille abomination. 

 

En Suisse, et grâce au remarquable travail d'information effectué par le Réseau Choix Vaccinal , des parlementaires en sont enfin arrivés à se souvenir de la prudence de bon sens qui était jadis en vigueur avec les femmes enceintes pour TOUS les médicaments....Ces parlementaires vont faire quelques interpellations sur le sujet (Ce n'est vraiment pas trop tôt et que dire aussi de tous ces parlementaires amorphes ou complices qui ne disent jamais rien... la Belgique doit certainement avoir la palme par rapport à la France et la Suisse sur la question, taboue s'il en est, des vaccins!!!)

 

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 08:23

Evaluation par une gynécologue [du bien-fondé] des vaccins antigrippaux durant la grossesse

 

Par: SafeMinds, 24 septembre 2014


Par Cindy Schneider, M.D., membre du conseil consultatif clinique et scientifique chez SafeMinds.

 

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Primum non nocere, la philosophie attribuée à Hippocrate, est enseignée à tous les étudiants en médecine de nos contrées. Un médecin poursuit en tout temps deux objectifs: l'objectif le plus évident est de guérir, mais l'objectif prévalent, avant tous les autres, est de ne pas nuire - ne pas faire de mal.


Toutes les interventions comportent des risques, et souvent, nous acceptons ces risques. Un patient souffrant d'un cancer peut se résigner de plein gré à suivre une chimiothérapie, en toute connaissance de cause, sachant qu'il peut y avoir des effets indésirables sérieux, voire potentiellement mortels.


Si le risque de ne rien faire est passablement élevé, le risque posé par toute intervention peut être justifiable. Mais en matière de sécurité, la charge de la preuve devrait être beaucoup plus importante pour les interventions destinées à prévenir la maladie, plutôt qu'à la traiter.


Les vaccinations en sont un bon exemple.


Les vaccins sont administrés à des individus en bonne santé, dans l'espoir qu'ils confèrent une protection contre l'infection.


Mais l'espoir n'est pas de la science. Nous allons explorer la science.


Dans le cas des vaccins contre la grippe administrés pendant la grossesse, il y a deux individus à prendre en considération. S'il est recommandé, un vaccin contre la grippe doit être sûr autant pour la mère que pour son bébé à naître. De nombreux médecins et chercheurs remettent en question cette prétendue sûreté.


Durant les dernières phases de la grossesse, le bébé grandit et occupe un espace normalement disponible pour permettre au diaphragme de la mère de se dilater. Cela peut provoquer un essoufflement, même dans des conditions normales. A cause de ce changement physiologique, les femmes enceintes qui contractent la grippe ont un risque plus élevé de souffrir de difficultés respiratoires et d'être hospitalisées que les femmes qui contractent la grippe mais ne sont pas enceintes. En raison de ces observations, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains ont recommandé l'administration du vaccin contre la grippe aux femmes enceintes aux Etats-Unis en 2004. Etant donné que les anticorps de la mère traversent librement le placenta, on pensait alors que le vaccin fournirait aussi un certain degré de protection à son bébé. Mais la sécurité et l'efficacité de la vaccination contre la grippe pendant la grossesse sont remises en question.


Dans une étude publiée en mai 2014 dans le British Medical Journal, Giuseppe Traversa et ses collègues ont évalué les conséquences maternelles, fœtales et néonatales chez des femmes ayant reçu le vaccin contre la grippe A/H1N1. Les résultats, portant sur plus de 86 000 grossesses, ont révélé que les femmes vaccinées présentaient des taux de diabète gestationnel et d'éclampsie significativement plus élevés. L'éclampsie est le développement de crises chez une femme présentant une toxémie sévère (aussi connue sous le terme pré-éclampsie), une condition caractérisée par une pression sanguine élevée et une perte de protéines par l'urine. L'éclampsie est fatale chez 2% des femmes et peut provoquer des problèmes de santé à long terme chez celles qui survivent. Les complications fœtales, y compris les dommages neurologiques et la mort, sont fréquentes. Aussi bien le diabète gestationnel que l'éclampsie sont associées à une inflammation et à un dérèglement du système immunitaire, ce qui rend très plausible l'association avec la stimulation immunitaire par le vaccin contre la grippe.


Les vaccins contre la grippe provoquent-ils une inflammation chez les femmes enceintes?


Il existe étonnamment peu de recherches dans ce domaine, mais une étude par Christian et al, qui a suivi des femmes enceintes ayant reçu un vaccin contre la grippe saisonnière, a montré une augmentation de deux marqueurs inflammatoires, la protéine C-réactive (CRP) et le facteur-alpha de nécrose tumorale (TNF-a). Les augmentations de ces deux composés inflammatoires indiquent un niveau d'inflammation significatif, identifié au cours des deux premiers jours après la vaccination.


Cette augmentation de l'inflammation a été confirmée par une étude publiée fin septembre 2014, qui rapportait un niveau d'activation immunitaire post-vaccinale plus élevé chez les femmes enceintes que chez les femmes contrôles, non enceintes, ayant reçu un vaccin contre la grippe.


Une précédente étude par Lisa Christian, Ph.D., et ses collègues avait montré que les femmes enceintes souffrant de dépression développaient une réponse inflammatoire plus marquée aux vaccins contre la grippe que les femmes qui ne présentaient pas de symptômes de dépression.


Ces découvertes sont pour le moins inquiétantes. Une récente étude par Alan Brown, M.D., et ses collègues sur plus de 1,2 million de femmes enceintes a découvert que des élévations de CRP, le même marqueur d'inflammation qui augmente après la vaccination contre la grippe, sont associées à un risque 43% plus élevé d'avoir un enfant souffrant d'autisme.


Des millions de femmes enceintes ou qui espèrent le devenir dans un futur proche sont désormais confrontées à la décision annuelle de recevoir, ou pas, un vaccin contre la grippe.  C'est une décision qui ne devrait pas être prise sans tenir compte sérieusement des nouvelles données disponibles.


Alors qu'ils sont censés protéger les femmes enceintes et leurs bébés, les vaccins contre la grippe pourraient en fait faire plus de mal que de bien.


Outre les effets inflammatoires et de stimulations du système immunitaire indésirables des vaccins contre la grippe, leur formulation soulève de graves inquiétudes. On trouve du mercure, une puissante neurotoxine, dans le conservateur thiomersal, qui est un éthylmercure à 49.6% en poids. Etant donné que la FDA a recommandé la réduction ou l'élimination immédiate du mercure dans les vaccins pédiatriques en 1999, et que le rapport sur le thiomersal par l'Institut de médecine (IOM) publié en 2001 recommandait que «les associations professionnelles et les agences gouvernementales accordent une pleine considération à l'élimination du thiomersal des vaccins administrés aux nourrissons, aux enfants et aux femmes enceintes aux Etats-Unis», de nombreuses personnes, y compris les médecins, pensent que tous les vaccins sont désormais exempts de mercure. Comme la plupart de nos lecteurs le savent, ce n'est PAS le cas.


Le tableau 1 donne la liste des vaccins disponibles pour la saison grippale 2014-2015 et indique leur teneur en mercure. Cliquez ici ou sur le tableau pour une meilleure résolution.

 

tableau grippe vaccination femmes enceintes

 

Le mercure est une toxine liposoluble (soluble dans les graisses), qui traverse facilement le placenta et s'accumule dans les tissus du fœtus. Pour des raisons qui restent actuellement peu claires, les niveaux de mercure dans le fœtus deviennent même plus élevés que les niveaux maternels. Les effets du mercure sur le développement du cerveau peuvent être dévastateurs.


Malgré ces faits bien connus, les vaccins contre la grippe contenant du thiomersal sont systématiquement administrés aux femmes enceintes. La teneur en mercure de ces vaccins contre la grippe est 250 fois plus élevée que le niveau défini comme déchet dangereux par l'EPA. Les vaccins contre la grippe contenant du mercure qui n'ont pas été utilisés doivent être éliminés comme des déchets dangereux, et pourtant ils sont approuvés pour une utilisation chez les femmes enceintes et les bébés.


En ce moment, nous sommes bombardés par des rappels pour le vaccin annuel contre la grippe. Les médecins, les pharmacies, la publicité et les informations tentent de nous faire croire que tout le monde en a besoin. Les gynécologues-obstétriciens les recommandent systématiquement à leurs patientes, comme les CDC et leurs associations médicales le leur conseillent, mais ils ne sont probablement pas conscients des résultats de recherche cités ci-dessus. Il est également improbable que votre médecin sache que l'essai clinique le plus important à ce jour concernant l'efficacité du vaccin contre la grippe pendant la grossesse, qui a suivi près de 50 000 femmes enceintes pendant cinq saisons grippales, a découvert que le taux de maladie d'allure grippale chez les femmes vaccinées était identique au taux de maladie chez les femmes qui n'étaient pas vaccinées.


En ce qui me concerne, j'ai terminé ma spécialisation en gynécologie et obstétrique en 1990.  A l'époque, on nous enseignait qu'il ne fallait jamais administrer des vaccins pendant la grossesse, parce que la grossesse implique un état délicat d'immunosuppression.  Le système immunitaire d'une femme doit rester partiellement supprimé pour prévenir le rejet de son bébé, qui porte des protéines codées par des gènes paternels. Toute stimulation immunitaire peut faire pencher la balance du mauvais côté, permettant au système immunitaire de la mère de reconnaître les tissus fœtaux comme étrangers et d'organiser une réponse immunitaire contre le fœtus. Ce phénomène a été documenté par BraunschweigZimmerman, Pirasa et d'autres chercheurs chez un pourcentage de mères dont les enfants avaient développé l'autisme.


Nombreuses sont les femmes qui remettent en question le bien-fondé de la vaccination contre la grippe pendant la grossesse, mais sont incapables de formuler leur inquiétude au cours des consultations prénatales. En tant que gynécologue-obstétricienne, j'ai passé plus de 24 ans à protéger les femmes et leurs enfants des toxines environnementales, et les 19 dernières années à étudier les causes potentielles de l'épidémie d'autisme. Permettez-moi de faire le pont entre vous et votre médecin, les membres de votre famille ou vos amis qui ne comprennent pas votre décision de ne pas vous faire vacciner alors que vous êtes enceinte.


J'ai inclus une liste des références citées pour que votre médecin ou les autres prestataires de soins puissent les examiner, et je vous encourage à imprimer cet article et à l'amener au cabinet de votre médecin. Aidez-nous à informer autant les médecins que le grand public en partageant cette information par e-mail, Facebook, et des copies imprimées.


En tant que médecin, chercheuse et mère de deux adultes souffrant d'autisme, j'ai abondamment étudié ce sujet. Face à de telles preuves de risque et à un bénéfice attendu peu convaincant, je ne peux pas recommander une vaccination de quelque sorte que ce soit pendant la grossesse


Hippocrate serait d'accord avec moi.

 

cindy-schneider-819x1024Dr. Cindy Schneider, M.D., est diplômée en gynécologie et obstétrique et est désormais Directrice médicale du Center for Autism Research and Education. Elle a publié plus de 20 rapports de recherche évalués par ses pairs au sujet de la vulnérabilité génétique aux toxines environnementales et sur d'autres sujets relatifs à l'autisme. Dr. Schneider enseigne à la faculté de la Medical Academy of Pediatric Special Needs et est conseillère médicale pour trois organisations remarquables, SafeMindsTACA et la Healthy U Now Foundation.

 


Références


Ayoub DM, Yazbak FE. A closer look at influenza vaccination during pregnancy. Lancet Infect Dis. 2008 Nov;8 (11):660–1. Author reply 1–3.


ACOG Committee Opinion number 305, November 2004. Influenza vaccination and treatment during pregnancy. Obstet Gynecol. 2004 Nov; 104 (5 Pt 1):1125-6.


Black et al. Effectiveness of influenza vaccine during pregnancy in preventing hospitalizations and outpatient visits for respiratory illness in pregnant women and their infants. Am. J. Perinatol. 2004 Aug; 21(6):333-9.


Braunschweig D, Van de Water J. Maternal autoantibodies in autism. Archives of Neurology. 2012;69(6):693–699.


Braunschweig D, Ashwood P, Krakowiak P, Hertz-Picciotto I, Hansen R, Croen LA, et al. Autism: Maternally derived antibodies specific for fetal brain proteins. Neurotoxicology. 2008; 29(2): 226–231.


Braunschweig D, Duncanson P, Boyce R, et al. Behavioral correlates of maternal antibody status among children with autism. Journal of Autism and Developmental Disorders. 2012; 42(7): 1435–1445.


Braunschweig, Daniel et al. Maternal autism-associated IgG antibodies delay development and produce anxiety in a mouse gestational transfer model. Journal of Neuroimmunology. 15 Nov 2012, 252(1-2); 56-65.


Pirasa IS,  Haapanen L, Napolionia V, Sacco R,  Van de Water J, and  Persico AM.. Anti-brain antibodies are associated with more severe cognitive and behavioral profiles in Italian children with Autism Spectrum Disorder. Brain Behav Immun.2014 May; 38: 91–99.


Traversa, Guiseppe et al. Evaluation of safety of A/H1N1 pandemic vaccination during pregnancy: cohort study. BMJ. 2014; 348: g3361.


Zimmerman AW, Connors SL, Matteson KJ, et al. Maternal antibrain antibodies in autism. Brain Behavior Immunity. 2007; 21(3): 351–357.


Voir aussi :


Autisme, mercure et vaccination antigrippe


Vaccination pendant la grossesse : est-ce sans danger ?


La vaccination des femmes enceintes est dangereuse : les officiels américains obligés d’avouer qu’ils ont menti

 

Mortalité fœtale en hausse de 4000% après la vaccination des femmes enceintes


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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 11:17

Le Journal International de Médecine (JIM) du 4 septembre dernier relayait, sans le moindre esprit critique, un des nouveaux dogmes vaccinaux du moment: vacciner les femmes enceintes. Seulement ici, il est question d'aller encore plus loin, en vaccinant même les femmes enceintes séropositives!

 

Comment décrypter un tel document?

 

- Tout d'abord, on remarque que quand il s'agit d'évaluation de l'"efficacité", là on recourt à des placebos -ce que l'on ose jamais faire en matière de sécurité (safety) bien sûr!

 

- Ensuite, on remarque la valeur de cette soi-disant "efficacité": dans le groupe des femmes enceintes séronégatives vaccinées, on évite seulement 1,8 cas de grippe en plus sur 100 que chez les femmes enceintes séronégatives qui ne reçoivent pas la vaccination antigrippale. Soit une réduction du risque de 50% (un peu comme si vous jouiez à pile ou face en somme...). Pour ce qui est du groupe des femmes enceintes séropositives vaccinées, on passerait de 50 à 57,7% mais avec une "efficacité" de seulement 26,7% chez leurs enfants soit à peine + d'une chance sur 4 d'éviter une grippe à leur enfant dans les 6 mois après leur naissance, contre un peu moins d'une chance sur deux en plus d'éviter cela aux enfants de mères séronégatives.

 

- Les "avantages" sont donc pour le moins négligeables, d'autant qu'il y a tout le vaste champ des risques nombreux et variés qui ne se réduisent donc pas qu'à UN SEUL ITEM ("grippe") qu'induit toute vaccination de ce type, a fortiori pendant une grossesse et chez des personnes déjà immunitairement fragilisées. Vacciner contre la grippe pendant la grossesse augmente par exemple le risque de survenue d'autisme chez les enfants de ces femmes car toute vaccination provoque aussi un phénomène inflammatoire. 

 

Par ailleurs, d'autres données in vitro et in vivo concernant la vaccination antigrippale ont déjà montré que ce vaccin augmente la susceptibilité des lymphocytes (= un type de globules blancs) des gens séronégatifs au HIV et que cela augmente aussi la charge virale -donc la contagiosité- des personnes infectées. Un vrai non sens donc de vacciner quiconque contre la grippe à une époque où on ne cesse de se plaindre de la progression alarmante des cas de SIDA, y compris dans nos pays occidentaux.

 

Il convient donc vraiment de se méfier d'affirmations gratuites comme celle qu'on trouve dans ce compte-rendu du JIM et affirmant  "La tolérance du vaccin a été satisfaisante dans les deux groupes de femmes", d'autant que les femmes et les enfants de ces pays pauvres servent de façon tristement habituelle et routinière à toutes sortes d'expérimentations dans le cadre desquelles la notion de "consentement" est évidemment bien différente de ce qu'elle est ici -ce qui reste bien sûr un scandale éthique absolu!

 

Voir aussiVaccination des patients à risque? Encore plus risquée!!

 

Les 60 à 70% d'efficacité du vaccin antigrippal sont un mensonge: voici où se situe le trucage

 

+ tous nos autres articles sur la vaccination des femmes enceintes (à partir d'un moteur de recherche comme Google.be, tapez par exemple des associations de mots comme:

"femmes enceintes initiative citoyenne" ou "vaccination des femmes enceintes initiative citoyenne" etc etc.

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30 janvier 2014 4 30 /01 /janvier /2014 21:45

VACCINATION CONTRE LA GRIPPE DES FEMMES ENCEINTES

 

Pic de 4.250% des rapports de mortalité fœtale ! 

 

Foetus--2-.jpg

 

COMMUNIQUE DE PRESSE   22 janvier 2014

 

National Coalition of Organized Women

 

Eileen Dannemann

 

Le CDC (Centres Américains de Contrôle et de Prévention des Maladies) a induit les nations en erreur (dans les domaines de l’obstétrique et de la gynécologie), en dissimulant le plus grand nombre de rapports de morts fœtales de l’histoire du VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System), et associées à la vaccination contre la grippe.

 

L’étude du Dr Gary Goldman portant sur le pic de 4.250% des rapports de mortalité fœtale  au cours de la « pandémie » de grippe H1N1 de 2009, est aujourd’hui disponible gratuitement pour le public. L’étude fut initialement rejetée par l’American Journal of Obstetrics & Gynecology (AJOG), aujourd’hui accusé par la Coalition Nationale de Femmes (NCOW) de complicité  dans une énorme opération de camouflage et de manipulation de données en relation avec les morts fœtales de la saison grippale 2009/10). Par la suite, l’étude de Goldman qui fut publiée dans le journal Human & Experimental Toxicology (HET), est aujourd’hui référée dans Pub Med comme « Free PMC article » (site gratuit d'archivage numérique de la recherche en sciences de la santé soumise à l'examen des pairs.)

 

L’étude :

 

« Comparaison des rapports du VAERS concernant les pertes fœtales au cours de trois saisons grippales consécutives : y a-t-il eu une toxicité fœtale synergique associée aux deux vaccins des saisons grippales 2009/10 ? » Goldman GS. Hum. Exp. Tocicol. 2013, May ;32(5) : 464-75.

 

Malgré la piste d’apparente collusion et de faute grave du CDC et de l’AJOG (Elsevier), ainsi que de 9 associations à buts non lucratifs dont March of Dimes, ces résultats alarmants de l’expérimentation vaccinale H1N1 de 2009 sur les fœtus de femmes enceintes a été camouflée avec succès par le CDC jusqu’à ce que le Dr Goldman  dévoile les statistiques et explique, au cours de sa dernière publication tout le mal qui a été fait.

 

Le Dr Marie McCormick, Présidente du groupe de travail du CDC sur les risques et la sécurité du vaccin H1N1 (VSRAWG) a témoigné et a présenté les rapports trompeurs au Département de la Santé et des Services Humains (HHS), rapports qui ne relevaient aucun signe inhabituel, ni aucun effet secondaire sur les femmes enceintes au cours de l’expérimentation de 2009/10 sur les femmes enceintes.

 

Cependant, pressé par les statistiques dévoilées par la Coalition Nationale des Femmes (NCOW), statistiques qui provenaient des propres données du gouvernement, le Dr Shimabukuro du CDC a corroboré ces données de la Coalition Nationale des Femmes (NCOW) en octobre 2010 au cours d’une conférence publique (dia n°20) à Atlanta, Géorgie.

 

Cette contradiction par rapport au témoignage du Dr McCormick met en évidence que le CDC était effectivement au courant de l’augmentation des rapports de morts fœtales en temps quasi réel.

 

Pourtant, le CDC a omis d’informer les services d’obstétrique et de gynécologie du pays qui, n’étant pas au courant, ont continué d’administrer les vaccins contre la grippe qui furent fatals aux foetus et qui comportaient jusqu’à 50 microgrammes de mercure. En raison du succès de ce camouflage bien orchestré et de la complicité de l’AJOG et des associations à buts non lucratifs, les femmes enceintes subissent aujourd’hui des pressions pour 4 doses de vaccin  (Grippe, Diphtérie, Tétanos, coqueluche acellulaire). Ces pauvres femmes se voient ensuite obligées  de faire administrer 49 doses de vaccins à leurs enfants survivants pour qu’ils puissent fréquenter l’école.

 

Au-delà d’une science de pacotille

 

«Si les vaccinations étaient basées sur une véritable science, on peut dire que cette expérimentation est un échec », déclare Madame Dannemann, Directrice  de la Coalition Nationale des Femmes (NCOW) et fondatrice de « Vaccine Liberation Army ». Alors, pourquoi continuons-nous d’administrer de plus en plus de vaccins à des femmes enceintes alors qu’il n’existe aucune science  qui prouve que les vaccins sont sans danger pour l’enfant en développement ? Les données disponibles à partir de cette expérimentation publique imposée aux femmes enceintes à leur insu, prouvent justement tout le contraire: les vaccins contre la grippe sont dangereux et entraînent des morts fœtales. »

 

En 2009/10, le CDC a lancé un vaste essai clinique, dont les résultats, terriblement morbides furent camouflés, tordus par les rédacteurs de revues médicales, des organismes gouvernementaux et organisations à but non lucratif afin de fournir une base trompeuse et contre-nature pour une campagne de publicité dans le monde entier : « Le vaccin contre la grippe est sans danger pour les femmes enceintes ». Le succès de cette manipulation et de cette collusion continue de se traduire par un nombre sans cesse croissant de recommandations de vaccins pour les femmes enceintes, étant donné que l’on met en avant le fait non prouvé du transfert des anticorps au fœtus.

 

(Aux USA), les fabricants de vaccins sont protégés contre toute poursuite judiciaire par rapport aux dommages que pourraient provoquer les vaccins. La loi fédérale empêche de poursuivre les fabricants de vaccins de même que l’Agence fédérale chargée de veiller à la sécurité des vaccins. Toutefois, le personnel du gouvernement peut être tenu responsable pour faute intentionnelle, mais la décision est subordonnée à l’approbation du secrétaire d’HHS. […]

 

Une lettre commune  émise par le CDC et co-signée par 9 associations sans but lucratif a été envoyée à l’automne 2010 aux Centre nationaux d’obstétrique et de gynécologie qui, sur recommandation du CDC avaient fait injecter aux femmes enceintes deux différents vaccins contre la grippe : le vaccin contre la grippe saisonnière et le vaccin H1N1, contenant chacun 25 mcgs de mercure totalisant 50 mcgs de mercure, sans tenir compte de la période de grossesse  ou du poids du fœtus. La lettre, omettant stratégiquement  la référence  aux donnés du VAERS  et au thiomersal (mercure), recommandait un seul vaccin pour la grippe saisonnière pour l’année suivante. Comme il s’agissait d’un vaccin trivalent, il possédait bien entendu toutes les souches nécessaires et limitait la dose toxique de mercure à 25 mcgs au lieu des 50 mcgs qui pouvaient s’avérer fatals pour les fœtus. Si 50mcgs sont capables de tuer un fœtus, peut-on considérer que 25 mcgs ne pourront pas nuire aux survivants ? Où est la science ?

 

[…]  Le plus flagrant, de l’avis même de la Coalition Nationale des Femmes, est que l’agence sensée informer les médecins et protéger la santé du public a choisi, de ne pas avertir en temps réel les Centres nationaux d’obstétrique et de gynécologie, faisant ainsi passer le programme de vaccination avant la santé de la population pour pouvoir sauver  de l’effondrement qu’il mérite, ce programme de vaccination en expansion. Plus hypocrite encore : malgré les données troublantes du VAERS, la lettre précise :

 

«  Le vaccin contre la grippe est sans danger » parce que :

 

« Les vaccins contre la grippe ont été administrés à des millions de femmes enceintes au cours des dix dernières années et n’ont pas montré d’effets néfastes pour les femmes ou leurs nourrissons. »

 

« Attendez » dit Madame Dannemann. « Les fabricants de vaccins eux-mêmes précisent et ont précisé au cours des dix dernières années qu’il n’existait pas d’études adéquates sur l’effet des vaccins sur les fœtus humains ou sur la reproduction. Dans les notices des fabricants, catégorie « C » grossesse on peut lire et je cite : « Les études de reproduction chez l’animal ont montré un effet négatif sur les fœtus et il n’existe pas d’études adéquates et contrôlées chez l’homme. »

 

Comment le CDC a-t-il pu s’en sortir avec la recommandation de la vaccination pour les femmes enceintes au cours des dix dernières années sans preuve de sécurité ? La loi exige la preuve de sécurité ! Et bien, il existe une étude de sécurité, mais cette dernière montre les tristes résultats d’une autre expérimentation imposée à un public inconscient, » déclare Madame Dannemann, « c’est l’étude du Dr Goldman » !

 

Ces organismes sans but lucratif peuvent-ils être tenus responsables de cette collusion qui a trompé le public ? Le CDC a-t-il averti « March of Dimes »  avant qu’ils ne signent la lettre commune pressant les Centres de gynécologie et d’obstétrique de continuer à vacciner les femmes enceintes. Le CDC a-t-il averti que le résultat de l’initiative gouvernementale de 2009/10 de vacciner les femmes enceintes contre la grippe a entraîné la hausse la plus marquée de rapports de mortalité fœtale de l’histoire du VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) ?

 

Ou bien, le CDC aurait-il délibérément trompé March of Dimes, ainsi que les autres organisations sans but lucratif, en omettant de signaler les données morbides pour les séduire et les engager dans une campagne ciblant les médecins tout en trompant le public, en vue d’empêcher que le programme mal fondé de vaccination contre la grossesse ne s’effondre ? Pourquoi le public américain ne dispose-t-il pas d’un mécanisme qui lui permette d’enquêter sur l’inconduite du CDC qui permet à cet organisme de continuer à nuire à la population alors qu’il est censé la protéger ?

 

Qui a le pouvoir, au nom de la population, au nom de l’humanité d’obtenir réponse à cette très simple question : les 9 associations sans but lucratif ont-elles été complices  en consignant le lettre induisant tous les médecins du pays en erreur ? Le HHS (Health & Human Services) a-t-il été induit en erreur lorsque le Dr Mc Cormick a omis de faire état des données mensuelles du VAERS ? « Parce que le public n’a apparemment pas de champion ou de moyen de pouvoir enquêter sur cette prétendue collusion, sur le programme de vaccination des femmes enceintes qui continue à handicaper les nouvelles générations par l’affaiblissement des fœtus, comme à saboter la formation et le bien-être des fœtus.. ! Exhorte Madame Dannemann.

 

Les notices des fabricants de vaccins précisent qu’aucune étude n’a été faite sur l’effet que les vaccins pourraient avoir sur les fœtus ou la reproduction, et pourtant, malgré l’absence d’études de sécurité prévues par la loi, la lettre commune du CDC admet  que, depuis une dizaine d’années, le vaccin contre la grippe a été administré à des femmes enceintes.

 

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Sur quelle espèce de science se fonde la rhétorique du CDC pour prétendre qu’il n’y a pas d’effets négatifs, alors que l’autisme, les allergies, l’asthme, le diabète juvénile, l’obésité et les soi-disant « maladies mentales » sont observées chez les enfants à un très jeune âge pour atteindre des proportions épidémiques et qui présentent un parallélisme étonnant avec l’augmentation des obligations vaccinales ?

 

Comment cette augmentation des maladies chroniques de l’enfance correspondant à l’augmentation des obligations vaccinales, peut-elle justifier l’affaiblissement des nouvelles générations suite à des agressions in utero ? A la lumière de ce qu’a dû jusqu’ici endurer le public suite à des statistiques bidon, alors qu’aucune étude de sécurité n’a été réalisée par les fabricants, comment peut-on encore penser à vacciner les femmes enceintes ? S’interroge la présidente directrice de la Coalition Nationale des Femmes.

 

En outre, une autre étude de Brown et al., (2012) qui vient d’être publiée confirme les données de Goldman. Elle a trait à l’analyse du transfert du mercure au fœtus en développement Les résultats de cette étude ont montré que l’exposition au Hg (mercure), particulièrement au cours du premier trimestre de la grossesse (à des doses bien établies en fonction du poids) produisait de graves dommages chez l’homme, y compris la mort. (Brown IA, Austin, DW. Maternal transfer of mercury to the developing embryo/fetus: Is there a safe level?)

 

Malheureusement, en raison de la dissimulation du CDC, il n’y a pas de suivi officiel des enfants qui ont survécu à cette période catastrophique dans l’histoire des vaccinations. L’asthme, le diabète, les allergies, l’autisme, les troubles du déficit de l’attention avec hyperactivité, les troubles bipolaires associés aux dommages causés par les vaccins, tous ces problèmes sont à la hausse.

 

« Compte tenu de la récente publication des études de Goldman et Brown, le CDC n’est-il pas obligé d’alerter les pédiatres et les parents du pays de l’existence d’une crise sanitaire chez les enfants auxquels on a, en 2009/10, injecté in utero 50 mcgs de thiomersal (mercure), pour qu’ils puissent réfléchir à la situation et adopter des traitements adéquats ? Ou alors, les médias, les médecins, les professionnels de santé, les officiels du HHS et les législateurs vont-ils, dans une sorte d’impuissance apathique, continuer à permettre au CDC de tout fourrer sous le tapis dans le but de cacher la nature préjudiciable des arrogants et coûteux programmes vaccinaux des femmes enceintes et des enfants ?» comme le dit Madame Dannemann.

 

Accès à tous les liens : ICI

 

Ces données éclairent encore d’un jour nouveau l’irresponsabilité de tous ceux, « experts » mais aussi politiques et journalistes qui se rendent complices de cette propagande désinformatrice en vantant la vaccination des femmes enceintes. Citons par exemple le Pr Van Laethem, source fréquente du Soir et de ses journalistes. Le Dr Van Laethem n’a pas hésité à dire dans un article qu’il était personnellement favorable à la vaccination des femmes enceintes dès le 1er trimestre de la grossesse, affirmant sans preuves qu’aux deuxième et troisième trimestres, il n'y a « plus de risques du tout » ( !!!). La journaliste Violaine Jadoul a pour sa part signé un article intitulé « Vaccin grippe : les femmes (enceintes) d’abord » ! Si on ajoute à « ce beau monde », la complaisance des gens du Conseil de Déontologie Journalistique (CDJ) qui avaient débouté notre plainte suite à ce genre d’articles partiaux ou encore les relais dociles comme la RTBF en faveur de la vaccination des femmes enceintes (dans le cadre d’ « Air des familles » en partenariat avec…l’ONE), on se rend compte que beaucoup d’enfants non encore nés sont pourtant déjà en danger !

 

 

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