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25 mars 2017 6 25 /03 /mars /2017 21:27

Le vaccin contre la grippe porcine a déclenché une narcolepsie chez ma fille, 2 semaines après le vaccin

 

MAINTENANT, JE VEUX QUE JUSTICE SOIT RENDUE POUR MA FILLE, MATHILDA, explique Clara Crisp

 

Paul Gallagher, 11 janvier 2017

Narcolepsie chez sa fille deux semaines après le vaccin contre la grippe pandémique. Elle réclame justice à présent...

Clara Crisp avec sa fille Mathilda qui a souffert de graves troubles du sommeil endéans les 2 semaines qui ont suivi le vaccin. Aujourd’hui, elle souffre de catalepsie.

 

Des militants demandent maintenant une enquête publique à l’échelle européenne sur la façon dont un vaccin peut déclencher un sommeil dévastateur pour la santé, ainsi que des troubles cérébraux. Il s’agit d’un scandale qu’ils prétendent  aussi important que celui de la thalidomide. Près de 1700 personnes ont souffert de narcolepsie après avoir été vaccinées contre la grippe porcine. Ces personnes se sont engagées à poursuivre leur lutte pour la justice à l’Union Européenne. Ce groupe d’Européens, dont près de 100 Britanniques, réclame une enquête publique après avoir souffert d’une maladie débilitante déclenchée par l’utilisation du vaccin Pandemrix pour traiter l’épidémie de grippe porcine de 2009/2010.

 

La narcolepsie est une affection neurologique rare qui affecte la capacité du cerveau à réguler le cycle normal veille-sommeil. Cela peut conduire à des symptômes tels que le sommeil nocturne perturbé, une somnolence diurne excessive. Elle peut aussi conduire à la catalepsie – terme donné à la faiblesse musculaire soudaine déclenchée par des émotions fortes comme le rire, la colère et la surprise. En conséquence, la catalepsie est souvent considérée comme un trouble du sommeil, mais sa cause sous-jacente la fait davantage classer comme un trouble du système nerveux central. Les familles britanniques se sont vu refuser l’indemnisation du Ministère du Travail et des Pensions car le gouvernement ne reconnaît pas cette condition comme une « invalidité grave ». Des représentants des groupes nationaux de narcolepsie du Royaume-Uni, d’Irlande, de Suède, de Finlande, du Danemark et de Norvège, ainsi que d’autres parents d’enfants touchés ont, en décembre, rencontré Vytenis Andriukaitis, commissaire européen à la Santé et à la Sécurité Alimentaire, à Bruxelles . Ils l’ont pressé de reconnaître ces problèmes et ont exigé une enquête publique sur les leçons apprises en ce qui concerne les futures pandémies. Le groupe a également plaidé pour l’introduction de normes de compensation pour les dommages dus aux vaccins dans toute l’Union européenne, car il existe une grande disparité parmi les méthodes d’indemnisation des complications vaccinales. Ils ont également demandé plus de clarté par rapport au financement de la recherche pour les traitements.

 

On ne sait pas trop comment ces dommages peuvent être causés par le vaccin

 

Alors que la vaste majorité des personnes ayant reçu le Pandemrix n’ont pas connu d’effets indésirables, 1698 adultes et enfants de toute l’Europe ont été enregistrés dans la base de données de l’UE sur les effets indésirables qui ont déclenché des narcolepsies après avoir reçu le vaccin contre le H1N1. Alors que GlaxoSmithKline (GSK) le fabricant du Pandemrix, avait reconnu le lien, et que certains patients et leurs familles aient été indemnisés, la façon dont le vaccin a pu déclencher la maladie n’a pas encore pu être éclairci. Peter Todd, un avocat qui représente 88 personnes touchées par ces troubles, a comparé la situation au scandale de la thalidomide à la fin des années 1950, début de l’année 1960.

 

Aujourd’hui, tout le monde est au courant du drame de la thalidomide, mais je pense que la narcolepsie faisant suite au Pandemrix est un incident plus important parce que la base de données de l’UE compte 1698 personnes reprises dans les dossiers. Alors que le système de surveillance est passif, a-t-il déclaré.

 

Semblable à la thalidomide

 

« Alors qu’il y avait eu des centaines de cas de malformations congénitales causées par la thalidomide, la plupart des cas ne concernaient qu’un seul membre raccourci. Je sais qu’il y a eu quelques cas de plusieurs membres raccourcis. Mais si on prend l’ensemble des cas, la situation peut être largement comparable, bien que la situation ne soit pas du tout appréciée de la même façon par le public. Il y a maintenant environ 7 ans qu’a eu lieu cette pandémie et il a fallu un temps considérable pour que l’épidémiologie de la narcolepsie qui a suivi l’administration du vaccin devienne plus claire. L’étude du Royaume-Uni sur la narcolepsie des adultes à la suite du Pandemrix a seulement été publiée au début de cette année.

 

Alors que la science est maintenant claire, il n’est pas possible de trouver d’acceptation claire de ce qui s’est passé tant sur les sites de l’UE que sur le site national. Il n’est pas possible de trouver quoi que ce soit qui ait trait à une reconnaissance officielle. C’est pourquoi, la reconnaissance de l’UE est si importante.

 

Des soins permanents pour ma fille

Narcolepsie chez sa fille deux semaines après le vaccin contre la grippe pandémique. Elle réclame justice à présent...

Mathilda qui a maintenant 10 ans a besoin de mesures extrêmes pour améliorer son état. La narcolepsie est incurable. Les symptômes des malades doivent être gérés pendant toute une vie. Mathilda est l’une de ces enfants dont la santé a basculé à la suite de sa vaccination contre la grippe porcine. Elle a commencé à souffrir de graves troubles du sommeil dans les deux semaines qui ont suivi le vaccin et a finalement été atteinte de catalepsie. Mathilda qui a maintenant 10 ans doit recevoir des soins 24 heures sur 24. L’année qui a suivi les premiers symptômes, n’a été qu’une lutte incessante pour trouver les meilleurs traitements pour Mathilda, alors que son état de santé ne faisait que se détériorer.

 

Le papa de Mathilda a dû chercher un emploi en Californie alors que cela ne faisait pas partie de nos projets, mais nous étions désespérés. La maman : « j’ai fait l’impossible pour rendre une vie normale à ma fille. » Pour payer les traitements, nous avons finalement dû vendre notre maison abandonner notre famille pour aller finalement vivre en Angleterre. Madame Crisp a écrit un livre sur le drame qu’a vécu sa famille : « Réveillons Mathilda – Mémoire d’une narcolepsie infantile. » Le livre doit sortir ce printemps. Monsieur Todd a expliqué : « nous ne voulons pas saper le vaccin ou enfoncer son fabricant GSK, mais… pour ceux qui ont été affectés par la maladie, il est très important d’obtenir une reconnaissance officielle de ce qui s’est véritablement passé. »

 

Source: inews.co.uk

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22 juin 2016 3 22 /06 /juin /2016 13:25

Souvenez-vous, en 2009, notre collectif citoyen (pas que lui bien sûr mais lui aussi!) mettait en garde contre les dangers très conséquents que les populations du monde entier encoureraient à recevoir pareil vaccin expérimental..... comme seul "argument" les officiels avaient alors essayé en vain de nous présenter comme des illuminés ou des membres de sectes....

 

Ce petit rappel qui suit vous aidera, il nous semble, à mieux comprendre les dangers véritables de s'en remettre naïvement à l'avis des "grands experts" officiels dont la dangerosité en termes de conseils et de recommandations dépasse hélas a bien des égards celle des prétendus "membres de sectes", une étiquette très commode qui fait le plus souvent office d'épouvantail. Qu'en serait-il advenu à la santé globale/générale des populations (déjà si déclinante actuellement!) si 100% des populations avaient suivi 100% des conseils vaccinaux officiels depuis toujours? En voilà une sacrément bonne question quand vous entendrez les prochaines culpabilisations et pressions pour vous faire vacciner à tout prix....

 

A Stockholm, en Suède, pour parler des conséquences catastrophiques du vaccin H1N1 - par Anne-Françoise Hivert

 

 

En 2009, une campagne de vaccination contre la grippe H1N1 a eu des conséquences catastrophiques pour plus de 300 personnes. De nombreuses personnes ont contracté une narcolepsie (grave trouble du sommeil) après avoir été vaccinées. Reportage auprès de victimes de ce vaccin... 

 

Ecoutez l'émission!

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 10:15

« On a volé ma vie »

Vaccin H1N1 & narcolepsie: on a volé ma vie

Madame Heather McFarlane était enceinte quand elle fut vaccinée contre la grippe porcine. Elle explique que cette vaccination a déclenché une narcolepsie qui fait qu’elle tombe endormie HUIT fois par jour…Elle espère pouvoir obtenir un dédommagement d’un million de livres sterling.

 

The Informed Parent, issue two 2015 (Extraits)

 

Quand Madame McFarlane, qui était enceinte, reçut une lettre  des services officiels de la Santé (NHS) lui conseillant de se faire vacciner contre la grippe porcine pour la protéger elle, ainsi que son fœtus, elle n’a pas hésité une minute.

 

Cependant, Madame McFarlane (40 ans) explique que l’injection qui lui fut administrée en 2009 quand elle était enceinte a eu comme effet de déclencher une narcolepsie invalidante (trouble du sommeil).

 

Cette maman de trois enfants explique qu’à cause de sa maladie elle s’endort jusqu’à huit fois par jour.

 

Madame McFarlane, enseignante à Glasgow, explique aussi qu’elle est constamment épuisée et qu’elle peut tomber endormie en faisant la vaisselle, en descendant les escaliers ou juste en parlant à ses trois enfants.. Il ne lui est plus possible de conduire et elle fait régulièrement des « siestes » au travail.

 

Alors qu’elle était enceinte de son troisième enfant, on lui administra le vaccin Pandemrix contre la grippe porcine, comme recommandé par les autorités de Santé (NHS) pour les femmes enceintes. Elle explique que ses avocats sont en train de négocier un dédommagement d’un million de livres sterling avec le fabricant du vaccin GlaxoSmithKline sans passer par les procédures de la justice.

 

La narcolepsie se développe quand le système immunitaire détruit des neurones dans une région du cerveau appelée hypothalamus. Les scientifiques poursuivent leurs recherches pour comprendre comment le Pandemrix peut provoquer cette maladie.

 

Madame McFarlane est en colère parce qu’elle a si peu l’occasion de voir grandir ses enfants, étant donné qu’elle s’endort souvent à des moments-clé où ses enfants auraient besoin d’elle.

 

Elle explique : «  la narcolepsie a dévasté ma vie. La plupart des gens pourraient croire que c’est un véritable bonheur que de pouvoir dormir ainsi tout le temps. Mais pour moi, précise-t-elle, c’est un véritable cauchemar. Son travail est régulièrement interrompu par des périodes de sommeil et elle a l’impression de perdre les meilleures années de sa vie.

 

Le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline qui fabrique le vaccin contre la grippe a fait savoir qu’il est prêt à régler les affaires avec une centaine de personnes au Royaume-Uni et avec 800 autres dans le monde.

 

Ses avocats lui ont dit qu’elle peut réclamer un dédommagement d’un million de livres sterling pour avoir apparemment développé une narcolepsie à la suite d’une injection qui était sensée la protéger de la grippe porcine. L’affaire est sur le point d’être réglée en dehors des tribunaux.

 

Au moment où elle fut vaccinée, il y avait de sérieuses craintes qu’une épidémie puisse éclater au Royaume-Uni. Mais Madame McFarlane affirme que sa vie a commencé à tourner au cauchemar après avoir subi l’injection du vaccin.

 

Madame McFarlane souffre aussi de catalepsie, une paralysie terrifiante qui signifie qu’elle peut faire de terribles convulsions au cours desquelles elle est conciente de tout ce qui se passe autour d’elle, tout en étant incapable de dire ou de faire quoi que ce soit.

 

Cette dame laisse tomber tout ce qu’elle a dans les mains quand elle se trouve devant l’évier, quand elle parle à ses enfants ou même quand elle commence à rire – des émotions toutes simples comme la tristesse, la colère ou même le rire semblent être des déclencheurs de réactions dans le cerveau.

 

Tous les aspects de sa vie comme le simple fait de descendre les escaliers affectent la qualité de sa vie. Elle a besoin constant du soutien de sa mère et elle est terrifiée par la paralysie qui semble s’éveiller.

 

« Au cours de la catalepsie, je puis être pleinement consciente tout en étant affreusement paralysée. La narcolepsie me fait en outre dormir. Je laisse tomber des assiettes, je tombe endormie en préparant le repas. Les enfants en prennent un coup. »

 

« On m’a volé ma vie et mes enfants sont privés de leur maman. »

 

« Je suis tout le temps trop fatiguée et je m’endors à tout bout de champ. »

 

Les autres mamans peuvent passer du bon temps avec leurs enfants. Elles peuvent sortir avec eux, aller aux concerts, aux musées, aux spectacles etc.

 

Je dois dépendre de mon mari Kevin, de ma maman Elly,  de ma sœur Lorna et d’amis pour m’aider sans arrêt. »

 

Le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline qui fabrique le vaccin contre la grippe a fait savoir qu’il était prêt à régler les affaires avec une centaine de personnes au Royaume-Uni et avec 800 autres dans le monde.

 

Il s’agit surtout de sages-femmes, de médecins, d’infirmières, de pharmaciens, car ce personnel des soins de santé ont été pressés de se faire vacciner pour éviter d’exposer le public à des risques. Un porte-parole de GSK a déclaré que la société procédait activement à des recherches pour pouvoir comprendre le lien éventuel entre le Pandemrix et la narcolepsie. Chez les personnes concernées, il se pourrait qu’il y ait interaction entre le vaccin et d’autres facteurs de risque. L’ampleur et la rapidité avec lesquels les programmes de vaccination contre le H1N1 ont été mis sur pied sont sans précédent. Pour ces raisons, GSK et les gouvernements se sont mis d’accord pour gérer et partager la responsabilité en répondant aux réclamations et en couvrant les frais d’investigation et d’indemnisation s’il pouvait être démontré que les plaintes étaient fondées.

 

Tout au cours de la mise au point des vaccins contre la grippe H1N1, aucune donnée n’a pu permettre de penser qu’il existait une augmentation du risque de narcolepsie.

 

Madame Mc Farlane explique que c’est pour ses enfants Molly, 14 ans, Maisie, 11 ans et Dougie, 5 ans que ce syndrome des coups de sommeil a été le plus pénible.

 

J’aimerais tant pouvoir prendre la voiture pour aller faire des emplettes avec mes filles, mais c’est impossible.

 

Je suis remplie de tristesse en pensant à toutes ces choses qui me manquent. Comme les crises se présentent sans avertir, Madam Fralane se sent complètement épuisée. La narcolepsie perturbe sérieusement  les véritables rythmes de son sommeil. Le pire aspect de son calvaire a été le réveil de la paralysie dont elle souffre.

 

Il suffit parfois, qu’au cours d’un programme de télévision, je commence à rire pour me sentir à nouveau paralysée. Je me sens alors totalement impuissante, incapable de parler pour pouvoir communiquer.

 

Quand la chose m’est arrivée la première fois, mon mari a cru que je m’étais endormie – mais ce n’était pas le cas, et il m’était même impossible de lui dire que j’étais parfaitement consciente. C’est véritablement horrible et effrayant !

 

Tout ceci est arrivé parce que j’ai suivi les conseils du NHS en me faisant vacciner contre la grippe porcine pour éviter l’épidémie.

 

Madame McFarlane de Jordanhill, près de Glasgow a développé cette maladie après avoir reçu le vaccin Pandemrix comme l’avait conseillé le NHS pour les femmes enceintes.

 

J’ai reçu plusieurs courriers qui me conseillaient de me faire vacciner et j’avais peur de ce qui aurait pu m’arriver si je ne le faisais pas, explique-t-elle.

 

Ils ne m’ont évidemment pas dit qu’il n’y avait pas eu suffisamment de tests de sécurité long terme. Si j’avais su la chose, jamais je n’aurais accepté que l’on m’injecte le vaccin.

 

Les symptômes ont commencé à se manifester peu de temps après la naissance de Dougie en 2010.

 

Je luttais chaque fois pour me maintenir éveillée attribuant ces crises à l’énorme travail que doit accomplir une maman.

 

Après plusieurs mois de tests peu agréables, le médecin spécialiste du sommeil a suggéré que la narcolepsie de Madame McFarlane pouvait avoir un rapport avec l’injection qu’elle avait eue. Après avoir manifesté ces symptômes pendant plus d’un an et après avoir fait quantité de tests pour n’aboutir à aucun résultat fiable, mon médecin de famille m’a adressé à un neurologue.

 

On me soumit à nouveau à toute une série de tests, mais, à nouveau, sans résultat.

 

Après toutes ces recherches effectuées à l’hôpital Gartnavel, je fus orientée vers un spécialiste des troubles du sommeil. C’est alors que l’effrayante vérité a pu émerger.

 

Ce spécialiste m’a immédiatement demandé si j’avais reçu le vaccin contre la grippe. Ce spécialiste devait déjà avoir vu d’autres patients présentant les mêmes symptômes, et voilà qu’il tombait su un nouveau cas.

 

J’étais heureuse d’avoir enfin reçu un diagnostic, mais j’étais choquée de découvrir qu’il n’y avait pas de traitement.

 

Madame McFarlane doit prendre quotidiennement de puissants médicaments qui n’ont cessé de la faire grossir. Mais ce qui la rend la plus furieuse c’est tout ce temps qu’elle a perdu et qui ne peut plus être rattrapé. Elle regrette tellement de réaliser que ses enfants n’ont pas la maman qu’ils méritent. […]

 

Le porte-parole du Ministère de la Santé a déclaré : «  Nous comprenons à quel point la narcolepsie peut être une maladie angoissante. »

 

Le Pandemrix a été utilisé pour prévenir une maladie grave et des décès au cours de la pandémie de grippe porcine de 2009/10.

 

A cette époque, l’association possible avec la narcolepsie n’était pas connue.

 

«  Nous travaillons avec le fabricant de vaccins et les demandeurs » déclarent les avocats pour prendre au plus vite en compte les plaintes des patients.

 

Source : The Informed Parent, issue two, 2015 (Extraits)

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 19:04

Ce reportage a le mérite d'exister mais il reste bien plus de questions à ce stade que de réponses. Parmi ces questions éminemment éthiques et juridiques:

 

- Quid de toutes les autres victimes qui ont introduit un dossier auprès de l'ONIAM et qui vont souffrir TOUTE LEUR VIE d'une narcolepsie sans la moindre aide financière?

 

- Quid aussi de toutes les autres victimes dont la santé a aussi été amochée à vie avec ce vaccin mais qui souffrent d'un autre effet grave que la narcolepsie, n'ayant pas été médiatisé mais pouvant pour autant tout à fait exister, même si aucune étude spécifique n'y a été consacrée?!

 

- Quid de toutes les autres victimes de ce vaccin qui s'ignorent? Combien y en a-t-il exactement? Quel coût auront tous leurs soins pour la collectivité/Sécurité sociale et ce, même si elles n'arrivent ou ne pensent pas à faire le lien avec le vaccin (ce qui n'enlève rien à la charge financière induite par ce désastre post-vaccinal)?

 

- Quid de toutes les autres victimes, enfants, adultes et personnes âgées de tous les autres vaccins en plus de 200 ans de vaccinations? Bien sûr, ces chiffres réels une fois découverts feraient tomber purement et simplement (et définitivement!) la vaccination....

 

- Quid de la responsabilité écrasante de ces experts qui affirment péremptoirement un jour que le vaccin est sûr et qu'une campagne de masse (voire des obligations vaccinales) doit être exécutée puis qui, le lendemain, n'assument déjà plus rien quand les risques sont mis en lumière?

 

- Quid de Mme Bachelot, de Mme Onkelinx, de ces Ministres et instances internationales comme l'OMS qui ont pesé de tout leur poids pour encourager cette vaccination au plus grand nombre de personnes possible en violation de leurs devoirs éthiques élémentaires d'information et de prudence? 

 

Voilà des questions, non exhaustives mais ô combien aiguës (et qui le seront d'ailleurs de plus en plus à l'avenir) tant le public se rendra inévitablement compte que la véritable épidémie, c'est la vaccination; que le véritable risque le plus grand pour les enfants d'aujourd'hui n'est statistiquement parlant pas du tout celui d'une quelconque infection mais des risques graves et nettement moins cernables/maîtrisables des vaccins. Le public va se rendre compte, hélas de façon douloureuse, qu'il va devoir absolument se protéger des vaccins et des pseudo-experts qui entendent les lui fourguer de gré ou de force. Ce sera tout un travail de prise de conscience et de discernement sur la véritable nature de la menace qu'il avait toujours été conditionné à voir dans tel ou tel germe. 

 

Voir aussi

 

Narcolepsies & vaccin H1N1: des indemnisations record

 

H1N1: le calvaire des victimes du vaccin et les tragédies familiales dont on ne parle jamais

 

H1N1: une victime du vaccin attaque l'hôpital Brugmann de Bruxelles

 

La maman d'un jeune tué par le vaccin H1N1 en 2009 témoigne

 

Liens de plus en plus évidents entre le vaccin H1N1 de GSK et la narcolepsie

 

Vaccin H1N1: risques de narcolepsie chez les adultes aussi

 

Si les vaccins n'entraînent pas de dommages au cerveau, pourquoi GSK paie 63 millions de dollars aux victimes des vaccins?

 

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 13:37
La maman de Christopher : « C’est le 20 novembre 2009 que mon monde s’est effondré ! »

 

D’après le récit de la maman de Christopher, 31 mai 2014

La maman d'un jeune tué par le vaccin H1N1 en 2009 témoigne

« J’ai toujours vu Christophe comme mon petit garçon, celui qui aimait de dessiner, lire, construire, écouter de la musique, faire du ski jouer au golfe. Il possédait en outre une soif énorme de connaissances. Il pouvait parler de quasi n’importe quel sujet : politique, religion, musique rock, problèmes environnementaux, architecture…Il aimait tout. »

La maman d'un jeune tué par le vaccin H1N1 en 2009 témoigne

Il a d’abord étudié le droit à l’université de Westminster, puis finalement, il a décidé qu’il ne deviendrait pas avocat. Il a voulu ensuite devenir ingénieur civil puis poursuivre une formation en architecture.

 

Christopher avait toujours été en parfaite santé. S’il lui arrivait d’attraper un microbe, c’était une question d’un jour ou deux. Il faisait beaucoup de sport. Au cours de ses visites médicales, aucun problème n’avait jamais été décelé. Enfant, il avait reçu tous ses vaccins, mais il n’avait jamais reçu de vaccin contre la grippe.

 

En 2009, nous avons discuté du vaccin contre la grippe H1N1. Il voulait savoir ce que j’en pensais. Je lui ai dit de ne pas s’inquiéter au sujet du vaccin contre la grippe du fait qu’il n’avait jamais fait de rhume ou de grippe. Nous avions tous les deux des doutes au sujet de ce vaccin H1N1. Il faisait cependant partie du groupe d’âge le plus sensible : étudiant, vie de campus, il vivait dans un milieu où il rencontrait beaucoup de monde. Je l’ai laissé réfléchir et choisir.

 

Le 9 octobre, il nous appela pour nous dire qu’il avait décidé de faire le vaccin. Il a reçu le vaccin Flumist H1N1. Le 4 novembre il a envoyé un message à son amie pour lui dire qu’il se sentait vraiment mal. Le lendemain, il envoya un nouveau message pour dire qu’il se sentait beaucoup mieux, mais qu’il avait juste un peu mal à la gorge. Dans la suite, il m’a dit qu’il se sentait fatigué. Il pensait que son état était dû au fait qu’il allait dormir trop tard à cause de ses études ou de sa passion pour la guitare.

 

Le 19 novembre, Christophe passa la soirée avec des amis, puis il contacta son père pour lui parler de ses projets de ski pendant le week-end de Thanksgiving. Il a ensuite parlé à son amie jusqu’à environ 3 heures. Un ami avait essayé de le convaincre de rester debout pour regarder un film. Il a répondu qu’il était trop fatigué et qu’il allait se coucher.

 

Le 20 novembre, Christopher devait aller chercher son amie à la gare de Frontrunner. N’ayant pu le voir, ni l’atteindre, son amie appela un des copains de Christopher. C’est ce dernier qui me téléphona. De suite, j’ai moi-même téléphoné à l’étudiant qui partageait son logement et qui l’avait retrouvé. Il était mort dans son sommeil. Ce fut le jour où mon monde s’effondra.

La maman d'un jeune tué par le vaccin H1N1 en 2009 témoigne

Au cours des deux mois qui ont suivi son décès, nous avons discuté plusieurs fois avec le médecin légiste pour pouvoir déterminer la cause de son décès. La seule chose qui sortait de l’ordinaire était le vaccin. Ce médecin légiste nous a appelés le 10 février pour nous dire qu’elle pensait que la cause du décès était « inconnue », mais qu’elle s’apprêtait à faire un autre test sur son cœur. (Je me rappelle de la date, c’était le 11 février, date de l’anniversaire de Christopher)

 

A la mi-février 2010, nous avons finalement reçu les résultats de l’autopsie. Cause du décès : myocardite virale. Le médecin légiste déclara que c’était la « grippe » qu’il avait eue en octobre. Je me suis empressée de lui rappeler que Christopher n’avait pas fait la grippe, mais que c’était le vaccin qu’il avait reçu en octobre. Je lui ai demandé de vérifier tout ce qu’il fallait à propos du vaccin. Elle m’a répondu que trop de temps s’était écoulé et qu’ils ne pourraient plus isoler quoi que ce soit après pareil laps de temps.

 

Une personne qui travaille dans les Services de l’Administration des Ressources de Santé (The United States Health Resources and Services Administration) m’a un jour dit que le vaccin ne peut pas provoquer la grippe, mais bien provoquer des symptômes pseudo-grippaux du fait que le système immunitaire réagit au vaccin. Or, précisément les symptômes pseudo-grippaux sont un symptôme fréquent de myocardite. Cette explication ne cesse de hanter mon esprit.

 

J’entends parler de tant de jeunes en bonne santé qui décèdent de causes inconnues que je me demande combien de ces «causes « inconnues »  ne sont pas en fait des myocardites. J’ai aussi entendu parler de jeunes personnes en parfaite santé s’effondrer d’un problème cardiaque non détecté. S’agit-il, dans ces cas, de problèmes non détectés ou de myocardite ? Il y a tellement de questions mais pas assez de réponses. Parmi toutes ces réactions, combien pourraient-elles avoir comme cause une mauvaise réaction au vaccin ? Il y a tellement d’informations que l’on ne donne pas aux parents…c’est comme cela qu’ils n’établissent jamais la relation.

 

Dans le cas de Christopher, je crois que c’est le vaccin qui a déclenché la myocardite, mais je crois aussi  que beaucoup de problèmes médicaux peuvent être déclenchés par une réaction indésirable au vaccin.

 

Je ne voudrais souhaiter pareil drame à personne… Il était mon petit garçon ! »

 

Source : Vaxtruth

 

Autres articles :

 

Death by Flu Shot. 7 Year-Old Receives Flu Shot; Dies 4 Days Later

 

Kaylynne Matten: Cause of Death “Undetermined.” Parents Believe Flu Vaccine Killed Their 7 Year-Old Daughter.

 

Flu Vaccine Deaths:  Just How Rare Are They?  Learn How to Find Out for Yourself

La maman d'un jeune tué par le vaccin H1N1 en 2009 témoigne

« Ceux qui sont capables de voir au-delà des ombres et des mensonges de leur culture, ne seront jamais compris et encore moins crus par les masses » Platon

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 13:25

Des victimes de dommages cérébraux suite à la vaccination contre la grippe porcine vont recevoir

60 millions de livres de dédommagement

 

D’après Tom Porter, 2 mars 2014

 

Flacons-nombreux.jpgJosh : «  Je souhaiterais n’être jamais né ! »

Sa maman se sent terriblement coupable de l’avoir fait vacciner

 

Les patients qui ont souffert de dommages cérébraux à la suite de la vaccination contre la grippe porcine vont, en dédommagement, recevoir  des millions de livres du gouvernement britannique.

 

Le gouvernement devrait recevoir un montant de 60 millions de livres (= près de 72 MILLIONS euros) pour les 60 victimes qui devraient, chacune, recevoir 1 million de livres (= environ 1,2 million d'euros).

 

Peter Todd, l’avocat qui a représenté  un grand nombre de demandeurs, a déclaré au Sunday Times : « On n’a jamais vu une chose pareille. Les victimes de ce vaccin souffrent d’une maladie incurable et permanente qui nécessitera un traitement médicamenteux important.»

 

A la suite de l’épidémie de grippe porcine de 2009, environ 60 millions de personnes, dont principalement des enfants, ont reçu ce vaccin.

 

Il s’est avéré dans la suite que le vaccin Pandemrix  pouvait provoquer la narcolepsie et la cataplexie chez environ une personne sur 16.000. On s’attend à voir encore de nombreux autres cas semblables.

 

Partout en Europe et jusqu’à présent, plus de 800 enfants ont été rendus malades par ce vaccin.

 

La narcolepsie affecte le cycle du sommeil d’une personne en l’empêchant de dormir pendant plus de 90 minutes à une heure. Elle peut aussi la faire tomber inconsciente au cours de la journée. La maladie peut endommager les fonctions mentales, la mémoire et conduire à des hallucinations ou à la maladie mentale.

 

La cataplexie peut faire perdre conscience à une personne quand celle-ci éprouve de fortes émotions, y compris quand ces personnes commencent à rire.

 

Le vaccin Pandemrix a été fabriqué par le géant pharmaceutique Glaxo Smith Kline qui a refusé d’approvisionner les gouvernements s’il n’était pas indemnisé par rapport à toute plainte pour dommages causés. La compagnie payera  la facture et réclamera l’argent au gouvernement.

 

« Il n’existe aucun doute dans mon esprit que le Pandemrix ait augmenté la fréquence des cas de narcolepsie chez les enfants dans certains pays – et probablement dans la plupart des pays. » a déclaré Emmanuelle Mignot, spécialiste des troubles du sommeil à l’Université de Stanford (USA), à l’Agence Reuters.

 

Mignot a été payée par GSK pour effectuer une recherche sur les effets de ce vaccin.

 

Parmi les personnes touchées, il y a eu des membres du NHS (Service National de Santé) dont beaucoup sont maintenant incapables de travailler en raison des symptômes provoqués par le vaccin. Ces personnes se préparent à poursuivre le gouvernement pour les millions de revenus perdus.

 

Cependant, la grande majorité des patients atteints, soit environ 80% - sont des enfants.

 

Parmi eux se trouve Josh Hadfield du Somerset qui est sous médicaments anti-narcolepsie, et qui coûtent à ses parents la somme de 15.000 livres (18.000 euros) par an pour l’aider à rester éveillé pendant la journée d’école.

 

Josh-Hadfield-et-sa-maman-Caroline.JPG

Josh Hadfield et sa maman Caroline à qui les autorités britanniques avaient d'abord refusé une indemnisation dérisoire de 120 000 £...

 

« Si vous le faites rire, il s’effondre. Sa mémoire est sérieusement touchée. Il n’existe aucun remède. Il dit qu’il souhaiterait n’être jamais né. Je me sens terriblement coupable de l’avoir fait vacciner », déclare sa maman, Caroline Hadfield, 43 ans).

 

Malgré un avertissement de 2011 de l’Agence européenne du médicament contre l’utilisation de ce vaccin chez les moins de 20 ans, et malgré une étude qui montre un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie chez les enfants vaccinés, GSK a refusé de reconnaître un lien.

 

« Des recherches complémentaires sont nécessaires pour confirmer le rôle que le vaccin peut avoir joué dans le développement de la narcolepsie chez les personnes concernées », a indiqué la compagnie dans un communiqué.

 

Sources: International Business Times & The Mirror

 

 

C’est toujours la même chose : l’Etat conseille aux gens des vaccins hasardeux (et ils le sont hélas tous, pas que les vaccins pandémiques !) puis essaie de payer le moins possible ou mieux encore, de ne rien payer du tout, laissant les gens se démener comme des fous pour espérer au bout du compte une indemnisation indispensable, bien que cela ne leur rendra cependant jamais la santé qui leur a été volée ! La famille de Robert Fletcher, handicapé à vie après le vaccin ROR (il ne sait plus ni parler, ni marcher ni manger seul depuis lors) en sait quelque chose : il lui a fallu 18 ans de combat judiciaire pour arracher une somme de 90 000 £, montant tout à fait dérisoire au regard du préjudice subi !


Mais ce qui est le plus instructif, le plus utile et à la fois le plus urgent en vue de ce qui se prépare notamment (les pandémies si bien préparées et tant attendues dont ce site a déjà parlé plus d’une fois) c’est de se rappeler les propos faussement rassurants des autorités qui disaient avoir bien évalué ce vaccin, qu’il était sûr, non expérimental, faisable chez les femmes enceintes etc. etc.   


 

Voyez notamment cette vidéo-ci :

 

 

 

Voir aussi le "film" d'Initiative Citoyenne ("H1N1 ou le réveil salutaire du citoyen").

 

Puis confrontez cela au lien suivant et à la vidéo suivante, en vous demandant si vous êtes prêt à vous faire vacciner lors de la pandémie suivante :

 

 

 

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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 19:23

 

 

Et dire qu'ici en Belgique, la Ministre de la Santé fédérale, Laurette Onkelinx, avait déclaré à la Chambre qu'on ne réutiliserait l'adjuvant vaccinal en cause dans ces vaccins (le squalène) qu' "en cas de nécessité absolue" (cf p. 34)! Entendez par là : si les mêmes experts réaffirment qu'il faut vacciner contre un futur virus pandémique dans un contexte où des Etats financent des recherches étrangement destinées à croiser des virus grippaux pour les rendre plus virulents et plus transmissibles! Mais même si un virus était véritablement virulent, rendez-vous bien compte à quel point il est inacceptable d'imposer ou de recommander aux personnes des vaccins capables de donner lieu à pareilles tragédies.... même s'il ne s'agissait que d'1 cas sur 1 milliard et c'est hélas infiniment plus!!!!!!!!!!! Le caractère "absolu" de la prétendue nécessité de vacciner ne doit jamais être laissée à l'appréciation de quelque expert que ce soit, pour la simple et bonne raison que les plus grands vaccinologues ont avoué ne même pas savoir ou comprendre comment marchent les vaccins... Triste bilan humain de ces manoeuvres d'apprentis-sorciers!

 

En Belgique, selon les chiffres officiels, 12 699 enfants ont reçu ce vaccin H1N1 adjuvanté avec une répartition par âge telle que celle-ci:

 

- 1323 enfants de - de 4 ans

- 2586 enfants entre 5 et 9 ans

- 3489 enfants entre 10 et 14 ans

- 5301 ados entre 15 et 19 ans 

 

Pour eux, le vaccin a multiplié le risque de narcolepsie par au moins 14 selon les données de l'étude du British Medical Journal. Et quid de tous les autres risques d'autres maladies associées à ce vaccin et pouvant survenir à court, moyen et long terme (alors que les essais cliniques eux, n'ont porté que sur quelques jours!)?? Comme par hasard, aucun cas de narcolepsie post-vaccinale n'aurait été signalé en Belgique... mais le Dr Saluzzo, médecin de Sanofi Pasteur et consultant OMS avait aussi affirmé dans une vidéo que "par chance" le virus de singe cancérigène  SV40 qui a infecté des dizaines de millions de gens dans les années 50 et 60 via les vaccins polio n'était pas... cancérigène (contrairement à d'autres publications qui ont retrouvé de façon convergente ce virus dans de nombreuses tumeurs de localisations diverses: système nerveux, os, plèvre etc.). Prudence donc avec ces affirmations faussement rassurantes qui sont somme toute assez peu crédibles au regard des cas à l'échelle du monde.

 

Dr Saluzzo: faut-il rire ou pleurer, s'inquiéter ou se rassurer? Nous vous laissons juges....

 

 

NB: Il est intéressant mais aussi effrayant de noter dans ce compte rendu parlementaire, en p.35, à quel point Laurette Onkelinx nie les derniers résultats (donc des informations nouvelles tombées au fur et à mesure, y compris des confirmations) sur les risques de l'adjuvant AS03 et à quel point elle essaie de couvrir son choix d'achat des seuls vaccins adjuvantés...De deux choses l'une: ou bien elle était déjà au courant des risques au moment de l'achat et alors celui-ci était d'autant plus criminel ou bien elle n'était pas au courant et alors elle doit avoir le courage et l'honnêteté de reconnaître le caractère nouveau des publications et des confirmations du risque de narcolepsie associé à cet adjuvant à base de squalène. Au lieu de ça, c'est un entêtement préoccupant qu'elle "offre" si on peut dire à un public qui mérite mieux!

 

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 13:20

Sur base de cinq décès prétendument causés par le H1N1 (alors que des centaines de décès mondiaux qui surviennent chaque année chez des gens sains fraîchement vaccinés sont systématiquement assimilés à de simples coïncidences!!), la province d'Alberta vient de réinstaurer des centres de vaccination pour recycler ses vieux vaccins anti-H1N1 en pressant tous les gens qui ne l'ont pas encore reçu de se faire piquer!!

 

Voyez ici: l'info est relayée par le Figaro.

 

Mais ce qui est finalement le plus corsé dans toute cette affaire, c'est la malhonnêteté flagrante ou, à tout le moins l'incompétence foncière des officiels qui osent encore recommander la vaccination alors qu'un document pdf qu'on peut trouver sur le site canadien de GSK (notice du vaccin Flulaval) avoue NOIR SUR BLANC la supercherie:

 

p.10/40 voici l'aveu en anglais original puis à sa suite la traduction:

 

Specific levels of hemagglutination inhibition (HI) antibody titer post-vaccination with inactivated influenza virus vaccines have not been correlated with protection from influenza illness but the antibody titers have been used as a measure of vaccine activity.”

 

 En Français =

 

«Les niveaux spécifiques des titres d’anticorps contre l’hémaglutinine obtenus après une vaccination contre la grippe à base de virus inactivé n’ont PAS été corrélés à une protection contre la maladie grippale mais les titres d’anticorps ont été utilisés comme une mesure de l’activité du vaccin. »

 

Les autorités osent donc promouvoir un acte dont l'efficacité n'est NULLEMENT avérée et ce alors que les effets secondaires du procédé n'ont pas été soigneusement évalués! Cette notice rappelle bien ces carences gravissimes dans l'évaluation de ces vaccins:

 

- un peu plus de 9000 personnes incluses dans trois essais cliniques en tout, ce qui représente un chiffre ridiculement bas tout à fait incompatible avec l'évaluation fiable des effets secondaires graves quand on vaccine massivement une population

 

- effets secondaires seulement évalués sur 4 jours.... 4 jours!!!!!!!

 

- pas d'évaluation contre véritable groupe placebo (= groupe neutre) pour l'évaluation de la sécurité donc on ne compare que des vaccinés à d'autres vaccinés et sur base d'une sorte de statu quo des effets secondaires, on fait un saut inacceptable consistant à affirmer frauduleusement que "la tolérance du vaccin est acceptable par rapport à celle du (faux) groupe placebo."

 

- pas d'évaluation du risque de mutation, de cancérisation et de problèmes chez la descendance des personnes vaccinées alors que l'acte vaccinal est un acte par définition irréversible (contrairement aux autres pilules dont on peut encore décider d'interrompre la prise), que les vaccins contiennent plusieurs produits notoirement cancérogènes (ex: formaldéhyde) et qu'ils sont également injectés aux femmes enceintes!!

 

Dans ces conditions, de plus en plus de gens considèrent qu'il s'agit d'une imprudence qu'on peut qualifier de criminelle, parce qu'elle fait courir de façon certaine des risques en échange d'une protection illusoire et jamais établie. Il devient vraiment urgent de comprendre ici qu'aucun terme n'est usurpé ou outrancier et affiché de façon gratuite mais que tout ceci est pesé et dûment justifié: les risques sont volontairement négligés et restent non évalués et la prétendue efficacité vaccinale est inventée de toutes pièces alors que les fabricants eux-mêmes l'avouent dans un jargon technique sur les notices qu'aucun patient ne lit jamais.

 

Réveillez-vous, il est plus que temps!

 

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 15:08

Chili : le virus H1N1 se propage au nord

 

Par Le Figaro.fr avec AFP

 

Mis à jour le 05/07/2013 à 07:29 Publié le 05/07/2013 à 07:18

 

Le Collège médical du Chili a exprimé hier ses inquiétudes face à la propagation du virus AH1N1, appelé aussi grippe porcine, dans la région de Tarapaca, dans le nord du pays. Il y a été été enregistré sept fois plus de cas que sur le reste du territoire et au moins 11 morts.

 

"La moyenne (de personnes touchées) dans tout le pays est de 24 patients pour 100.000 habitants, et dans la région de Tarapaca au cours de la dernière semaine, la proportion était de 148 patients pour 100.000 habitants", a déclaré hier après-midi le président du Collège médical, Enrique Paris.

 

Le ministre de la Santé Jaime Manalich a annoncé pour sa part qu'il se rendrait aujourd'hui dans la région, située à quelque 1900 km au nord de Santiago, à la frontière avec la Bolivie et peuplée d'environ 300.000 habitants. Le ministre a aussi indiqué que la région recevrait 115.000 vaccins afin d'immuniser la population.

 

Source : Le Figaro

 

Quid du risque de narcolepsies ? Les Chiliens en seront-ils informés ? Quid si le risque de narcolepsie est supérieur au risque de décès par H1N1, ce qui est hautement probable ??

 

Le recours systématique aux vaccins en cas de maladies infectieuses constitue un réflexe conditionné mais IRRATIONNEL. Il est tellement clair que les gens ont été conditionnés à cela que la simple idée de ne pas vacciner leur laisse inévitablement un grand vide qui les fait paniquer (mais alors sans vaccins, que va-t-on devenir, que fait-on ?!) et tout le bon sens des solides remèdes naturels passe alors sous le tapis. Avec la peur et le conditionnement, il n’y a plus aucune place pour la réflexion et les solutions efficaces et intelligentes.

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 19:25

Une victime française nous a fait parvenir l'information suivante (*):

 

ONIAM.JPG

 

* ONIAM= Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux.

CRCI: Commissions Régionales de Conciliation et d'Indemnisation des Accidents Médicaux.

 

En Belgique... rien ne semble prévu, comme rien n'a d'ailleurs jamais été prévu pour les victimes de vaccinations obligatoires, contrairement à la France où certaines procédures existent pour les victimes de vaccinations obligatoires. Chez nous, en 1979, le député socialiste Ernest Glinne dont tout le monde a pleuré le décès, avait en fait déposé une proposition de loi pour permettre l'indemnisation des victimes du vaccin obligatoire anti-polio. Cette proposition n'a jamais abouti en Belgique, terre de GSK.

 

Peu avant l'arrivée du vaccin, la Ministre belge de la Santé, Laurette Onkelinx, avait déclaré à la télévision que le vaccin Pandemrix, acheté à grand frais et en vertu d'un contrat léonin, avait été testé sur des milliers de sujets et "qu'il n'y avait pas eu de problèmes". C'est en réalité tout à fait faux puisqu'il y eut en réalité pas moins de 7 décès sur 2000 patients dans les essais cliniques du Pandemrix. Interrogée par une députée sur la possible réaffectation des flacons d'adjuvants restants à l'occasion d'une future pandémie à la lumière des données nouvelles sur le lien prouvé entre cet adjuvant et des cas graves de narcolepsies (soit une des questions de notre courrier recommandé resté sans réponse à Laurette Onkelinx sur la nouvelle grippe H7N9), Mme Onkelinx a répondu avec un manque total de scientificité:

 

« Aucune substance n'est bonne, aucun médicament n'est bon, aucun adjuvant n'est bon. On n'en prendra pas comme petit déjeuner, mais uniquement en cas de nécessité absolue. »

 

Un poison peut donc en cacher un autre, et certains experts peuvent donc décider à votre place de vous infliger un second danger (autre que le virus en cause) en prétendant vous prémunir du premier, et tout en oubliant fort commodément que peu de gens sont vraiment dépourvus d'un système de défense immunitaire gratuit et performant. Le dogme du vaccin a la vie dure (intérêts commerciaux obligent!) et l'immense majorité de la classe politique continuera donc d'accepter à se faire hypnotiser par le dogme du vaccin absolument incontournable, comme seule solution possible à l'exclusion de toute autre.

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