Nous tenons, à titre informatif, à signaler un extrait fort important du texte paru le 21 avril 2011 dans le New England Journal of Medicine, sous la plume du Dr Aaron Kesselheim:
"Beaucoup de médecins et d'organisations de santé ont salué la décision de la Cour suprême dans l'affaire Bruesewitz VS Wyeth (une famille avait attaqué la firme Wyeth car sa fille était devenue épileptique et attardée mentale après la troisième dose du vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche de Wyeth; la Cour suprême a débouté la famille!) estimant qu'elle contribuera à assurer la disponibilité et le bon usage des vaccins infantiles. D'autres s'inquiètent de ce que ça signifie pour les droits du patient. La sécurité des vaccins est une question de santé publique épineuse parce que les vaccins occupent une position unique sur le marché. Quand d'autres biens de consommation sont défectueux, y compris de par des défauts de fabrication, leurs fabricants sont généralement pleinement responsables pour les dommages qui en résultent. La pleine responsabilité est fortement favorable aux plaignants parce que les fabricants sont responsables pour tout type de dommages causés par leurs produits, indépendamment du niveau de précautions prises. Ce standard, cette généralité constitue une incitation pour les producteurs, afin qu'ils produisent des produits de consommations suffisamment sûrs. Mais les produits médicaux- comprenant les vaccins, les médicaments et certains actes et services médicaux- sont inhabituels dans le sens où les mêmes composants qui les rendent efficaces peuvent aussi occasionner de graves effets secondaires. Donc, il n'est pas possible de concevoir des versions (vaccinales) plus sûres sans perdre du même coup leur fonction essentielle. Les experts légaux influents s'accordent pour dire que "les fabricants de ces "produits inévitablement dangereux" devraient être exemptés de la pleine responsabilité pour ces produits, aussi longtemps que les consommateurs sont adéquatement informés au sujet de ces risques. Ce principe permet ainsi à de tels produits de rester sur le marché, à partir du moment où ils apportent une contribution essentielle en matière de santé publique. Au début des années 80 cependant, l'approvisionnement en plusieurs vaccins pédiatriques essentiels a été remis en question par les producteurs qui estimaient que le coût de poursuites judiciaires persistantes dépassaient les bénéfices financiers que ces produits pouvaient leur rapporter. Plus particulièrement, les fabricants étaient tenus responsables, même pour les effets secondaires supposés de vaccins, même lorsque de telles associations n'étaient pas scientifiquement étayées. Les fabricants ont déclaré que le menace que faisait reposer sur eux une telle responsabilité rendait impossible pour eux le fait de contracter une assurance et donc de pouvoir maintenir leurs opérations de production. En réponse (aux fabricants), le Congrès a fait passer la loi nationale sur les effets secondaires des vaccins infantiles" ("National Childhood Vaccine Injury Act"), laquelle officialise un système de compensation sans faute ("un tribunal en matière vaccinale") pour les enfants lésés par des effets secondaires consécutifs à l'administration de vaccins pour autant qu'il puisse être reconnu que le problème a été causé par le vaccin Ce système dépend des experts et il n'y a pas de procès devant un jury.[...]"
Chose intéressante, c'est que le Dr J.B Classen, un scientifique parmi d'autres, déplorait en 1999 dans le British Medical Journal que le public n'était pas assez informé des effets graves et également des effets à long terme des vaccins. Depuis lors, on aperçoit assez mal en quoi cette "information" du public s'est-elle améliorée?
A noter également que la famille Bruesewitz dont il était question dans la publication ci-dessus a fait appel de la décision de cette " cour vaccinale" parce que celle-ci n'avait pas reconnu le lien entre les dommages de leur fille et la vaccination. Et si cette "cour vaccinale" n'a pas voulu reconnaître le lien entre la vaccination et les convulsions de l'enfant, c'est parce que le Département d'Etat à la Santé avait retiré ces troubles de la liste des maladies éligibles à une compensation administrative. Une attitude troublante quand on sait que l'agence de presse Reuters publiait le 4 mai 2010 un communiqué intitulé "Les vaccins peuvent provoquer le début précoce de l'épilepsie infantile" ("Vaccine may trigger early start of infant epilepsy").
Dans ce communiqué, on pouvait notamment lire que d'après une étude de l'Université de Melbourne (étude de Mc Intosh & al.) "Les vaccins infantiles peuvent provoquer l'émergence d'une forme sévère d'épilepsie infantile" mais étrangement, les chercheurs concluaient que ce désordre était ultimement dû "à des gènes défectueux et que ces enfants (aux gènes défectueux) devaient tout de même pouvoir bénéficier de ces vaccins protecteurs." Le Dr Wiznitzer de Cleveland (Ohio) qui a commenté cett étude à quant à lui déclaré qu'"une information et une communication précise et efficace" pourrait aider à maintenir la confiance du public dans les vaccins.
Plutôt que de tenter de dépister avant ces enfants plus vulnérables qui risquent ainsi de devenir épileptiques pour le restant de leurs jours suite à l'administration de ces "vaccins protecteurs", il semble que la priorité des officiels soit avant tout de "maintenir la confiance du public dans les vaccins." Le sacrifice des uns pour le soi-disant Bien de tous....