Le parlement suédois déclare que les politiques de vaccination obligatoires et coercitives violent les droits constitutionnels -
Lettre d’information n°159 de Judy Wilyman, PhD, 12 mai 2017 (Extraits)
Le Parlement suédois a récemment déclaré (10 mai 2017) que l’adoption de politiques de vaccinations obligatoires ou coercitives contrevenait aux droits constitutionnels du public, et que la Suède n’utilisera pas la coercition pour imposer des vaccins dans les politiques gouvernementales. Si tel est le cas pour la Suède, la chose devrait devenir évidente pour tous les pays. La Suède a reconnu l’influence que les sociétés pharmaceutiques exercent sur la recherche académique et le journalisme traditionnel grâce à des arrangements sur le plan financier, ainsi qu’à des règlementations professionnelles pour les médecins et autres professionnels de santé. La situation actuelle est aussi le résultat de conflits d’intérêts que de nombreux politiciens ont avec les compagnies pharmaceutiques…
Ma thèse de doctorat fournit les preuves scientifiques, ainsi que les arguments qui démontrent, sans équivoque, que les vaccins n’ont pas été capables de créer l’immunité de groupe pour lutter contre les maladies infectieuses. Ce fait historique a également été souligné par le professeur Fiona Stanley. (*)
Le Professeur Fiona Stanley est également membre de l’Académie australienne des Sciences (AAS). Dans le chapitre 7 de ma thèse de doctorat intitulée « La preuve qui sous-tend les allégations concernant les vaccins », j’ai fait allusion au manque de preuves fournies par l’AAS pour appuyer ses allégations concernant la sécurité, l’efficacité et la nécessité du calendrier vaccinal recommandé par le gouvernement. En outre, les preuves scientifiques montrant les liens de causalité plausibles entre les vaccins et l’autisme ne peuvent plus être ignorées, ni non plus les fausses affirmations des politiciens, comme de certains universitaires de l’UOW.
Si des mesures coercitives dans la législation gouvernementale, telles des incitations financières utilisées dans les gouvernements australiens comme le «No jab no pay » sont utilisées pour rendre obligatoires, pour des personnes en bonne santé, des vaccins dont l’innocuité, l’efficacité et la nécessité ne sont pas complètement démontrées, dans ce cas nous avons affaire à un crime contre l’humanité.
Dans ma précédente lettre d’information (158), j’ai reproduit des citations de la recherche de Fiona Stanley pour prouver que les vaccins ne contrôlaient pas les maladies infectieuses, et que par conséquent, il n’était pas légitime pour la santé publique de rendre des vaccins obligatoires. C’est particulièrement le cas lorsque les gouvernements n’assument aucune responsabilité pour les décisions qu’ils prennent au sujet des vaccins et des médicaments. C’est aussi le cas quand le gouvernement australien se permet d’ignorer le Code de Nuremberg qui a été conçu pour empêcher que des gouvernements expérimentent des médicaments sur leur population. […]
En matière de vaccination, le consentement éclairé est inexistant si les médecins sont empêchés de signaler les risques des vaccinations qui sont pourtant repris dans les journaux médicaux, et s’ils ne fournissent pas aux parents des informations sur les composants des vaccins avant de vacciner leurs enfants.
(*)Référence: Stanley FJ. 2001. Centenary Article: Child Health Since Federation. In Yearbook Australia 2001. Canberra: Australian Bureau of Statistics [ABS Catalogue No. 1301.0]. pp368-400.
Dr. Judy Wilyman (Educator and Health Researcher) Bachelor of Science, University of NSW.
Voir aussi:
Sweden votes down mandatory vaccination (Age of Autism)
Suède: une mobilisation citoyenne empêche l'obligation vaccinale