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16 mars 2017 4 16 /03 /mars /2017 21:50

Nancy témoigne: « Notre enfant pleurait et hurlait comme si nous l’avions torturé»

 

Interview réalisé par Polly Tommey VAXXED, 14 février 2017 (Extraits) ​​​​​​​

Vaccins: Notre enfant hurlait comme si nous l'avions torturé

Je m’appelle Nancy. Je suis coordinatrice d’un groupe qui s’occupe d’améliorer le sort des enfants autistes et de soutenir les parents de ces enfants dans la région de San Diego.

 

La santé de mon petit garçon a été endommagée après les vaccins qu’il a reçus à trois mois. Il a fait une jaunisse et ses muscles se sont atrophiés. Il était pratiquement devenu impossible de le nourrir. Nous nous sommes vite rendu compte qu’il n’aurait jamais dû être vacciné.

 

Ayant toujours voulu être de bons parents, nous nous sommes fait un honneur de suivre les instructions de notre médecin. Notre petit a finalement fait une horrible réaction à ses vaccins de 3 mois. Il pleurait, criait d’une manière totalement incontrôlable comme si nous étions en train de le torturer. Ce calvaire a duré des jours et des jours.

 

Avant les vaccins, notre petit était toujours souriant, très actif. Un petit être adorable.

 

A ses douze mois, il n’a plus réagi à rien. Ma mère m’a fait la remarque qu’il ne réagissait même plus comme aurait fait un animal de compagnie ! Quand on l’appelait par son nom, il ne pouvait même plus tourner la tête ou répondre de quelque manière que ce soit. Il n’avait aucune conscience de qui rentrait, de qui sortait ou lui tenait compagnie. A 12 mois, il était en fait comme un bébé d’un mois.

 

On nous a alors recommandé de le placer dans une institution spécialisée parce que personne ne pouvait s’occuper de lui comme il aurait fallu. On nous a même conseillé de ne plus nous en occuper !

 

Il m’a fallu 7 ans pour lui apprendre à mâcher. Je lui préparais de la nourriture que je réduisais en purée. La nourriture était à peine dans sa bouche qu’il la vomissait.

 

Quand plus tard nous avons espéré qu’il puisse se nourrir seul, nous nous sommes rendu compte qu’il ne pouvait même pas trouver où se trouvait sa bouche. Chaque « repas » durait ainsi environ deux heures.

 

Aujourd’hui, il a dix ans et continue à souffrir  de faiblesses musculaires et de troubles moteurs. Il ne sait pas s’habiller seul. Il lui est très difficile de trouver où se trouvent ses manches. Il ne sait pas non plus se laver. Nous devons l’aider à se laver les dents.

 

Aucun médecin n’a voulu reconnaître la relation entre son état et les vaccinations et ne voulaient pas non plus le prendre en charge.

 

Quand nous lui coupions les cheveux, il hurlait tellement que les voisins auraient pu penser que nous le maltraitions. Notre fils ne supporte pas le bruit ; il ne supporte pas non plus de se trouver dans un groupe de personnes. Il se fatigue très vite.

 

Je crois personnellement que les cas d’autisme sont sous-estimés. Les parents ne peuvent généralement pas accepter que leur enfant reçoive l’étiquette d’autiste et ils font comme si de rien n’était…

Vaccins: Notre enfant hurlait comme si nous l'avions torturé
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commentaires

I
« Andrew Wakefield est évidemment de ces sujets tabous.... dans le monde pseudo-scientifique il représente un véritable totem que l'on est prié de révérer en bloc, mettant en berne tout esprit critique. Le traiter en humain comme les autres, considérer qu'il puisse présenter quelques défauts malgré ses énormes qualités ? Voilà qui relève de la transgression, déchaînant immédiatement des foudres théologiques. »<br /> Bin oui, c'est exactement ce que chacun peut observer ici. VOUS dites que dès qu'un vaccin est mis en cause, la réflexion s'arrête. Je mentionne le vaccin que Wakefield voulait breveter et VOTRE réflexion s'arrête.<br /> <br /> <br /> <br /> "Est-ce que les 2 effets Buchwald sont vrais ou faux et si oui, quels furent leurs impacts "<br /> <br /> Vous avez passé des centaines de lignes à nous expliquer pour quelle raison éradiquer la variole s'est révélé difficile et AUCUNE sur les preuves scientifiques de l'EXISTENCE de votre effet. Que faites-vous, en dehors de nous montrer des citations de l'époque qui signalent des problèmes concernant la notification et les mesures d'endiguement et que vous ponctuez de vos propres commentaires du style "mais ils n'ont pas compris la vraie raison que je connais moi" ? Sans plus de preuves que votre opinion personnelle, vous pourriez tout aussi bien dire "mais ils n'ont pas compris que c'est le jugement de dieu qui s'abat sur eux".<br /> <br /> J'ai décrit un peu plus bas un autre effet, qui se base sur l'efficacité de la prière. Les anecdotes de l'efficacité de la prière sont nombreuses. Votre effet est également un effet magique, dans la mesure ou il n'y a aucune donnée scientifique pour appuyer cette théorie. D'un point de vue scientifique, ma théorie vaut la votre.<br /> <br /> Vous affirmez que les avions ne peuvent pas voler, et vous nous demander de monter sur votre tapis volant. Entre les deux, il vous manque une étape, et ce n'est pas "j'ai acquis la conviction que les tapis peuvent voler".<br /> <br /> <br /> "j'ai acquis la conviction que les 2 effets Buchwald étaient la réalité"<br /> <br /> Grand bien vous fasse. Vous pouvez vous faire votre OPINION, vous ne pouvez pas vous faire vos propres faits. Ne tentez pas de faire croire que votre opinion est basée sur des faits, ce n'est pas le cas ici.<br /> <br /> <br /> Vous vous lancez ensuite dans une série d'attaques personnelles. Vous passez du sujet de la dispute que vous avez perdu, au débateur lui-même en attaquant sa personne, en application des préceptes du toujours très populaire "l'art d'avoir toujours raison". <br /> <br /> <br /> Que tout ceci ne vous fasse pas perdre de vue le point que vous voudriez qu'on perde de vue:<br /> <br /> Vous citez une étude qui vous contredit pour justifier une étude rétractée qui parle d'autre chose. En réponse à ces éléments factuels, vous dites que les auteurs savent et que vous savez que les auteurs savent, en dépit de ce que les auteurs disent. Vous dites que vous, vous connaissez la vraie vérité vraie au sujet de ces études, contrairement à tous ces fâcheux qui persistent à évaluer une étude en fonction de son contenu. Décrivez-nous donc à nouveau ce dogme que vous voyez. Chez les autres. C'est assez distrayant.
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B
Voici ce qu'écrit Romain Gherardi page 83 de son livre Toxic Story :<br /> « Le vaccin est évidemment de ces sujets tabous.... dans le monde médical il représente un véritable totem que l'on est prié de révérer en bloc, mettant en berne tout esprit critique. Le traiter en objet scientifique comme les autres, considérer qu'il puisse présenter quelques défauts malgré ses énormes qualités ? Voilà qui relève de la transgression, déchaînant immédiatement des foudres théologiques. »<br /> Bin oui, c'est exactement ce que chacun peut observer ici. Pour la vaccination antivariolique la grande question que je soulève ici est :<br /> Est-ce que les 2 effets Buchwald sont vrais ou faux et si oui, quels furent leurs impacts au cours des nombreuses campagnes de vaccination contre la variole et en particulier au cours de la campagne d'éradication ? Voilà le problème que je pose. Il est d'importance et chacun peut constater les procédés utilisés ici pour tenter d'en dénigrer celui qui a osé poser le problème ici.<br /> Je ne m'en cache pas, j'ai acquis la conviction que les 2 effets Buchwald étaient la réalité de la vaccination antivariolique et que les conséquences furent extrêmement graves pour les populations. Oui, c'est ce dont je suis convaincu, comme Wakefield est convaincu que le ROR donne l'autisme. Mais comme lui, je ne présente pas cela comme un dogme devant lequel chacun devrait s'incliner mais comme quelque chose qu'il faut continuer à étudier et à préciser sans avoir peur de ce que ces recherches révèleraient. Visiblement certains ont peur !
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B
Vous y allez fort, Maya !!! Il a aussi son utilité car c'est un bon chercheur de liens. Mais il est obsédé par les analogies ridicules qu'il cherche à hisser au niveau d'une méthode scientifique !!! <br /> Je l'avais rencontré sur un autre blog, sur un article qui s'intitulait "Comment savoir qui à tort ou raison dans un débat scientifique ?" Sous-entendu "quand on n'y connait rien". <br /> <br /> Bien entendu il est impossible de s'affranchir d'une vraie connaissance du sujet mais l'objectif caché était de se faire croire et de faire croire qu'en avançant des critères très secondaires, pour ne pas dire tertiaires, il deviendrait possible de participer valablement au débat.<br /> <br /> On a vu ce que ça donnait quand notre ami a voulu discuter sur les tests cas-témoins appliqués à des délais. Comme il n'avait rien compris à ce qu'était une étude cas-témoins qu'il confondait encore avec une étude exposé/non exposés pour laquelle les non exposés sont aussi nommés témoins, ce ne fut pas triste, c'est le moins qu'on puisse dire !!!<br /> <br /> Je pense qu'une telle démarche provient de "ratés de la science" qui, n'ayant pu faire une carrière de chercheurs, se sentent frustrés et tentent d'y participer par la bande et avec un investissement intellectuel réduit. Je ne dis pas en temps passé mais en qualité de réflexion.<br /> <br /> Il est bien certain que les bons chercheurs ont autre chose à faire que de venir sur ce blog pour y tenir le rôle qu'il y tient, avec le temps très important qu'il doit consacrer pour répondre comme il le fait et écrire des articles sur son site. Il doit passer beaucoup de temps à cette activité ce qui rend impossible de conduire simultanément une recherche. Il n'a pas du tout le profil intellectuel et la motivation pour cela, c'est à dire se passionner pour un vrai sujet. Je lui avait dit dès le début. Le dommage est pour lui. <br /> <br /> Ses interventions sont pour moi une occasion de donner ici, sur un site sans doute beaucoup plus fréquenté que mon blog, des informations et analyses qu'il ne me serait pas possible de proposer autrement. Finalement, il me manquerait.<br /> <br /> Plus généralement, je suis convaincu depuis longtemps que plus il sera fait de pub en faveur des vaccinations et plus nous trouverons d'opportunités pour montrer qu'il ne s'agit que de pub. Nous n'avons pas les moyens de créer une vague puissante comme peut le faire '' le pouvoir vaccinal'' mais nous pouvons surfer sur elle, utiliser son énergie pour avancer en se jouant de la vague.
M
Je partage les propos d'Hervé. Étant prof de Physique je suis effaré du niveau de votre interlocuteur qui ne cherche, comme vous le dites si bien plus loin, Bernard, qu'à trouver un os pour le ronger. Une fois qu'il croit en avoir trouvé un, il ne le quitte plus ! Il ferait mieux de rejoindre sa niche pour y retrouver son maître.
H
OK Bernard, on a bien compris !<br /> <br /> Vos interventions judicieuses et pertinentes le font se révéler. Même si on avait compris depuis longtemps et vu de quelle graine il s'agissait, il peut être utile de voir la graine s'expliciter. Là c'est plus que très clair !!! C'est même à peine croyable tant c'est excessif et révélateur. Il n'a plus qu'à rentrer dans sa tanière pour y écrire un nouvel article qui ne nuira qu'à lui-même.
B
Selon son habitude, notre ami manipule les mots pour mieux se boucher les yeux devant les faits. On devrait croire que ce serait cela être rationnel !!! En faisant allusion à notre discussion sur l'étude Earl il relance celle sur la variole. <br /> <br /> C'est pourtant simple, il y a un fait qu'il n'a jamais voulu voir et je profite de l'occasion pour lui mettre sous ses yeux : c'est l'accroissement considérable du nombre de cas en Inde en 1973-1974 suivi de la disparition de la variole en Inde en mai 1973. Plus précisément, voici les nombres de cas notifiés en Inde à partir de 1967 jusqu'en 1975 avec le dernier cas en mai :<br /> <br /> 84902  ;  36179 ;  19281  ;  12773  ;  16190 ; 27407 ; 88114 ; 188003 ; 1436 <br /> <br /> Il serait évidemment très important de comprendre ce qui a pu se produire pour d'abord observer à partir de 1967 une diminution constante et très importante du nombre de cas notifiés jusqu'en 1970 inclus puis pour observer par la suite un accroissement très marqué des cas notifiés en 1971 et 1972 puis une flambée considérable en 1973 (88114 cas notifiés) mais qui va encore s'amplifier comme jamais en 1974 (188003 cas notifiés) pour chuter ensuite très rapidement et disparaître en mai 1975 !<br /> <br /> Bien sûr la première hypothèse avancée fut la sous-notification. Explication commode mais dont l'OMS et le directeur du programme d'éradication Donald Henderson n'avaient pu se satisfaire. On lit en effet dans les REH de l'époque (voir mon article [1] pour les liens) :<br /> <br /> Février 1973 « d'importantes épidémies éclatent en ce moment à Calcutta ainsi que dans d'autres régions de l'Inde et au Bangladesh. Ce sont les plus étendues qu'on ait jamais enregistrées au cours des dix dernières années  »<br /> <br /> « on peut s'attendre pour 1973 à un nouvel accroissement qui tiendra en majeure partie, non à une amélioration de la notification mais à une hausse marquée de l'incidence en Inde et au Bangladesh » <br /> <br /> « On s'inquiète tout particulièrement de l'épidémie majeure, telle qu'on n'en avait pas observé depuis plus de 10 ans, qui sévit à Calcutta. »<br /> <br /> « «En Inde les principales régions d'endémicité continuent à déclarer plus de cas qu'elles ne l'ont jamais fait depuis plus d'une décennie. De nouveaux foyers d'endémie sont encore détectés et un certain nombre d'épidémies se sont produites récemment dans les États de l'Est et dans d'autres régions jusque là exemptes de la maladie. En outre il est décevant de constater à ce jour l'échec des efforts d'endiguement entrepris »<br /> <br /> « On peut attribuer une partie de l'augmentation globale de 1973 au fait que la notification a été plus complète. »<br /> <br /> Mais cela n'explique pas tout :<br /> <br /> «  Toutefois il apparaît aussi que les épidémies de variole au Bangladesh, dans les États contigus de l'Inde septentrionale et orientale et au Pakistan dans les provinces du Sind et du Balouchistan ont été plus sévères que les années précédentes. »<br /> <br /> « Une fraction de cet accroissement peut être attribué à l'introduction en octobre 1973, dans une grande partie de l'Inde et du Pakistan, d'un nouveau système de surveillance remarquablement plus efficace grâce auquel la notification est devenue pratiquement complète dans la plupart des régions. En même temps des épidémies explosives se sont produites dans l’État indien de Bihar.. »<br /> <br /> Ce fut pire encore en 1974, au point que l'OMS titrait que 1974 avait été l'année noire pour la variole en Inde. Pourtant elle s'évanouira quelques mois plus tard.<br /> Il faut admettre qu'on a le droit de chercher une explication à un phénomène aussi étrange. Il en existe une explication qui était d'ailleurs la rumeur publique en France en 1870 et que les experts de l'époque avaient rejetée d'un revers de main, ce sont ce que j'appelle les 2 effets Buchwald, du nom du médecin allemand qui, le 2 février 1970, en pleine épidémie d'importation dans l'hôpital de Meschede, les affirma avec force à la télévision nationale allemande :<br /> <br /> La rencontre chez un même individu du virus de la variole et du virus de la vaccine (virus vaccinal) <br /> 1- aggrave la variole si cette personne n'est pas immunisée<br /> 2- peut déclencher la variole chez une personne précédemment immunisée par une ancienne vaccination ou une ancienne variole.<br /> <br /> En admettant la propriété 2 on peut alors énoncer ce que j'appelle le théorème de Buchwald : après un<br /> <br /> Démonstration :<br /> <br /> Une importation de variole se produit dans une population immunisée à 100% par une vaccination. Ce malade contamine 10 personnes. Si on ne fait rien il n'y aura pas d'épidémie. Si on les vaccine ''à chaud'', cela fera 10 malades vu l'hypothèse faite. Chacun contamine 10 personnes soient 100 contaminés immunisés. Si on ne fait rien l'épidémie s'arrêtera. Si on les vaccine ''à chaud'' cela fera 100 malades …<br /> <br /> Cette hypothèse que le vaccin antivariolique utilisé avait l'effet Buchwald n°2 permet d'expliquer l'amplification considérable des épidémies en 1973-74 car ce fut à cette époque que la vaccination des contacts fut très systématiquement pratiquée, y compris chez d'anciens varioleux et d'anciens vaccinés. Tout cela est avéré et j'en apporte les preuves dans mon article. L'effet Buchwald n° 1 permet d'expliquer l'accroissement de la mortalité qui fut aussi constaté.<br /> <br /> Je ne dis pas que ces faits démontrent les effets Buchwald pour la vaccination antivariolique, je dis que ces 2 effets permettent d'expliquer ce qui fut observé. Pourrait-on trouver une autre explication ?<br /> Je ne peux pas allonger ce commentaire, j'ai donné beaucoup de détails et de liens dans mon article [1] mais j'ajoute que les expérimentations sur les singes sont pour moi de peu d'importance par rapport à ce qui s'est produit au cours de la campagne d'éradication et j'ai une très bonne raison pour cela :<br /> ces études et l'étude Earl en particulier, ont été réalisées sur des singes non préalablement immunisés. Elles ne permettent donc pas de démontrer sur eux la réalité de l'effet Buchwald n°2 même si on peut constater le n°1 sur les données publiées (mais que les commentaires des auteurs ne font pas ressortir). Or c'est cet effet n°2 qui m'intéresse tout particulièrement pour expliquer l'amplification considérable des épidémies simultanément à cette vaccination systématique des contacts.<br /> <br /> Il y a là un fait fondamental auquel notre ami n'a jamais voulu s'intéresser (on comprend pourquoi !!!) préférant discutailler indéfiniment pour tenter d'emmener son interlocuteur et les lecteurs dans une éternelle promenade en bateau … Nous en avons l'habitude mais nous avons tous mieux à faire !<br /> <br /> [1] http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2012/02/03/23430717.html <br /> <br /> La variole au 19ième siècle en France : compilation par moi-même :<br /> <br /> http://p5.storage.canalblog.com/56/75/310209/68965169.pdf
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I
"Notre ami est allé chercher une publication plus récente"<br /> <br /> Je suis allé chercher LES VRAIS CHIFFRES, dans le rapport qui date de 1965. Les vrais chiffres sont CONNUS DEPUIS LE TOUT DÉBUT. La fiction ad-hoc de "correction" que vous avez imaginé ne cadre pas avec les faits, inutile donc d'en coller des tartines. - http://wp.me/p7rQDb-374#3_4<br /> <br /> <br /> "ces chiffres publiés à l'époque par l'OMS qui ne pouvait les tenir que des autorités anglaises [...] il ne lui en fallait pas plus pour crier à la manipulation avec mes chiffres qui ne pouvaient qu'être faux."<br /> <br /> J'ai montré qu'IL N'EXISTE PAS DE CHIFFRES AVANT 1965, date à laquelle les statistiques sont collectées pour la première fois alors que vous avancez des chiffres pour les années 1962 à 1964. <br /> <br /> J'ai montré que là ou vous affirmez qu’il s’agit d’un nombre total de vaccinations, on constate qu’en réalité CES CHIFFRES NE CONCERNENT QUE LES ENFANTS. <br /> <br /> Mais surtout, j'ai montré que le fait de savoir que vos chiffres sont faux et mal étiquetés n'est pas une raison suffisante pour que vous cessiez de vous y accrocher mordicus. Est-ce là votre "contribution à mieux comprendre ce qui s'est produit" ? Dire en somme "J'vous jure, j'avais la feuille sous les yeux !" et ignorer ce que ces vrais chiffres impliquent pour votre démonstration "scientifique" ? On a plutôt une très forte impression d'avoir affaire à un "personnage qui se fiche éperdument de comprendre les choses mais cherche seulement à [nous faire] bouffer de l'antivaccin".<br /> <br /> Vous vous lancez ensuite dans une diatribe victimaire censée nous convaincre que parce que vous nous avez conté à plusieurs reprises le même scénario que vous avez imaginé en guise de réponse, scénario contredit par les faits, le débat serait clos et qu'il serait de bon ton de passer à autre chose. Vous avez tort. Il est rationnel de montrer que vous êtes capable de nier l'existence même des faits qui vous contredisent. Il est rationnel de montrer que votre approche est PSEUDO-scientifique. Votre empathie pour Wakefield est compréhensible, tant le parallèle est flagrant.<br /> <br /> <br /> <br /> "Je sais depuis l'origine, sur le blog de Sham, que ce n'est pas du tout votre objectif qui pourrait se résumer par "casser de l'anti-vaccin"".<br /> <br /> Ne montez pas sur vos grands chevaux. Ici vous citez 9 chiffres et renvoyez vers un lien ou il n'y en a que 5 dont 4 qui sont différents. Les deux années sur lesquelles vous vous appuyez n'y figurent même pas. Vous auriez affirmé qu'il y a sept jours dans la semaine en citant une source qui ne parle que du lundi que je vous aurais rappelé à l'ordre de la même façon. Si vous aviez chanté les louanges des vaccins, il aurait été d'autant plus important que je le fasse.<br /> <br /> Et ne venez pas fanfaronner avec votre "fait fondamental" auquel vous voudriez que je m'intéresse, pour ensuite vous la jouer caliméro quand je le fais.<br /> <br /> Et CITEZ vos mises en cause. Ne dites pas juste "Son objectif est de manger des bébés", dites "Son objectif est de manger des bébés, parce qu'il dit ...". Nous pourrons constater que la distance que vous prenez avec la réalité s'exerce également dans ce domaine.<br /> <br /> <br /> <br /> Que tout ceci ne vous fasse pas perdre de vue le point que vous voudriez qu'on perde de vue:<br /> <br /> Vous citez une étude qui vous contredit pour justifier une étude rétractée qui parle d'autre chose. En réponse à ces éléments factuels, vous dites que les auteurs savent et que vous savez que les auteurs savent, en dépit de ce que les auteurs disent. Vous dites que vous, vous connaissez la vraie vérité vraie au sujet de ces études, contrairement à tous ces fâcheux qui persistent à évaluer une étude en fonction de son contenu. Décrivez-nous donc à nouveau ce dogme que vous voyez. Chez les autres. C'est assez distrayant.
B
Notre ami nous dit :<br /> « Souvenez-vous que si nous n'avions pas cherché les vrais chiffres, malgré vos réticences multiples, vous continueriez à propager d'autres informations erronées. »<br /> <br /> Ce propos de notre ami se rapporte à des données sur les nombres de vaccinations antitétaniques pratiquées sur des enfants en Angleterre. La discussion à ce sujet n'a pas eu lieu ici mais sur mon blog. J'avais été contraint de fermer la page car il n'arrêtait pas de polluer la fréquentation avec des dizaines de ''visiteurs'' simultanés (à une minute près), l'un venant de Corée, un autre du Brésil, un autre de Russie etc, tous à la même heure vers 6h30 du matin en France, tous avec le même moteur de recherche et le même libellé d'accès … Cela s'appelle de la manipulation.<br /> <br /> L'Angleterre avait débuté la vaccination antitétanique des enfants en 1961 (de mémoire). J'avais disposé, il y a 40 ans, des statistiques OMS qui m'avaient été envoyées par un correspondant qui les avait prises directement au siège de l'OMS à Genève et j'en avais fait un article pour le compte d'une association. Je n'avais pas conservé ces données mais j'avais conservé l'article et j'avais récemment publié ces données sur mon blog. Elles montraient qu'au début la vaccination antitétanique des enfants anglais était très limitée pour prendre sa vitesse de croisière quelques années plus tard.<br /> <br /> Notre ami est allé chercher une publication plus récente indiquant pour ces premières années de vaccination antitétanique chez les enfants anglais, une couverture vaccinale beaucoup plus élevée que ne l'indiquaient les chiffres dont je disposais. C'est très bien de faire cela. Mais il ne lui en fallait pas plus pour crier à la manipulation avec mes chiffres qui ne pouvaient qu'être faux. Ce précipiter ainsi, c'est beaucoup moins bien.<br /> <br /> Je n'avais pas de raison pour douter de ces chiffres publiés à l'époque par l'OMS qui ne pouvait les tenir que des autorités anglaises. La bonne attitude était de chercher à comprendre ce qui avait pu se produire. J'ai proposé une explication à la fois simple et très vraisemblable : par la suite il y aurait eu des rattrapages de vaccination pour les premières classes d'âge qui avaient été très peu vaccinées dans un premier temps. En clair, pour un enfant né en 1961, il a pu être vacciné en 1965 et mentionné comme vacciné dans sa classe d'âge née en 1961, d'où un accroissement très important du nombre de vaccinés en 1961 alors que cette année là il y en avait eu très peu. Cette correction réalisée a posteriori est très compréhensible car une fois le rythme de croisière atteint, les enfants vaccinés en 1966 par exemple avant l'âge de 2 ans, donnaient pratiquement la couverture vaccinale définitive pour cette classe d'âge alors que c'était faux pour les premières années.<br /> <br /> On peut donc tout à fait comprendre que les services anglais aient pu effectuer cette correction. Je n'en ai pas de preuve formelle bien sûr, mais lui non plus. Mais, comme à son habitude, il fera la sourde oreille pour maintenir que mes chiffres ne pouvaient être que faux alors que je sais qu'ils venaient directement de l'annuaire des statistiques de l'OMS.<br /> <br /> Je raconte cela pour que les lecteurs qui viendraient jusqu'ici se rendent comptent du fonctionnement de ce personnage qui se fiche éperdument de comprendre les choses mais cherche seulement à ''bouffer de l'antivaccin''.<br /> <br /> Une fois qu'il pense avoir trouver un os à ronger, plus rien ne saurait le détourner de cette occupation pour le moins malsaine et anti-scientifique tout en se parant à chaque instant de rationalité (il évite généralement le mot scientifique, on comprend pourquoi !). Il exprime, sous une de ses formes les plus médiocres, cet activisme vaccinale forcené dont Romain Gherardi fait état dans son livre (j'ai donné une citation plus haut dans cette discussion) ainsi que Andrev Wakefield et bien d'autres.<br /> <br /> La meilleure antidote contre ce genre de procédés est d'en démonter les mécanismes. Il fréquente Initiative Citoyenne depuis suffisamment longtemps pour que ses méthodes puissent être éventées. Je ne cherche nullement à lui répondre, je l'ai fait patiemment pendant suffisamment de temps, mais à expliquer aux lecteurs son fonctionnement très particulier, et fort heureusement assez rare, afin qu'ils puissent s'en protéger intellectuellement et émotionnellement.
B
Voilà, j'ai pu, après quelques difficultés, mettre en ligne sur mon blog, pour quelques jours seulement, les extraits utiles des tableaux du rapport OMS de 1980. Je ne peux pas dépasser un certain nombre de KO, sinon c'est le KO pour l'article, OK ! Alors j'ai fait au plus léger. <br /> De toutes façons, les caractères sont très petits et je ne peux les grossir sans les rendre illisibles. On peut ainsi comprendre pourquoi ces tableaux n'ont pas été publiés dans la version en ligne. Ils avaient été réalisés avec les moyens de l'époque.<br /> <br /> C'est bien de vouloir disposer soi-même des données mais ce serait beaucoup mieux si c'était dans un but constructif, c'est à dire essayer de contribuer à mieux comprendre ce qui s'est produit au cours de la campagne d'éradication. Je sais depuis l'origine, sur le blog de Sham, que ce n'est pas du tout votre objectif qui pourrait se résumer par "casser de l'anti-vaccin".<br /> <br /> C'est dommage, surtout pour vous, car vous vous enfermez vous-mêmes dans une sorte de ghetto intellectuel qui vous interdit d'être créatif et vous fait tourner en rond dans vos idées préconçues ou du moins dans les dogmes que vous avez décidé de défendre envers et contre tout et d'abord au détriment de la santé des populations. Je sais que vous continuerez car vous n'avez pas d'autres choix. Je ne regrette pas le mien qui ici est de profiter des opportunités que vous m'offrez sur un plateau pour passer des informations aux lecteurs qui passeraient par là.<br /> <br /> http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2017/03/23/35086505.html
B
Les chiffres de mon article sur la variole en 1974 étaient ceux du REH n°2 du 14 janvier 1972. Ils ont été corrigés par la suite (avec une hausse modérée) pour être mentionnés dans le document OMS de 1980 sur la Certification pour l'éradication de la variole que j'ai eu en l'an 2000 en version papier (il n'était pas en ligne à l'époque). Il y a à la fin en annexe la liste des nombres de cas notifiés de variole pour tous les pays du monde, classés par zones OMS , de 1920 à 1979. Je les ai actuellement sous les yeux. Ce sont ces chiffres que j'avais repris ici hier soir et non ceux du REH de 1972 qui évidemment n'allait pas jusqu'en 1975 ! Les légères différences ne changent absolument rien à mon propos.<br /> Ce document a été mis en ligne en 2010-2011 http://whqlibdoc.who.int/publications/a41464_fre.pdf<br /> Malheureusement ces dernières pages n'y figurent pas. Les tableaux occupaient d'ailleurs 2 pages en sens inversé et c'est peut-être pour cette raison qu'ils n'ont pas été mis dans la version en ligne. Je pourrais essayer d'en mettre sur mon blog après en avoir scanné afin que chacun puisse vérifier leur existence et les chiffres. Vous auriez grand tort si vous essayiez d'insinuer que je me serai amusé à inventer ces chiffres<br /> Dans les archives du REH il y avait aussi, à l'époque où j'avais rédigé cet article, début 2012, un accès aux archives REH depuis 1926 jusqu'à 1995. En allant à l'instant sur le site OMS j'ai constaté que la ligne archives 1926 1995 n'était plus active. Je ne vérifie pas tous les jours tous les liens qu'il y a dans mes nombreux articles !<br /> http://who.int/wer/archives/fr/<br /> C'est sans doute provisoire. On peut penser que la gestion de ces archives posait des problèmes (c'est vrai, ce n'était pas simple du tout !) et qu'ils sont en train de reprendre tout cela. C'est à surveiller pour voir ce qu'il en adviendra.<br /> Désolé mais je n'ai évidemment rien inventé, ni les chiffres, ni les citations ni les liens. Nous le savons tous, cela arrive malheureusement souvent que des liens soient cassés mais le fait que la ligne archives 1926-1995 soit restée en place laisse supposer que ce n'est que provisoire.
I
Il y a une phrase qui, pour raison inconnue, est restée dans l'encrier comme disait l'instit quand j'étais jeune:<br /> <br /> Même s'il y a peu de chances que je cela serve à qui que ce soit, ayez un peu de rigueur et mettez à jour les étapes de votre jeu de piste. Les liens que vous fournissez dans le lien que vous fournissez ne pointent sur rien, ce qui empêche qui que ce soit de vérifier vos dires. De plus, vous donnez ici le nombre de cas notifiés en Inde sur 9 années alors que le lien que vous fournissez n'en donne que 5. Sur ces 5 années, 4 des 5 chiffres avancés sont différents de ce que vous affirmez ici. <br /> <br /> Ça ne présage rien de bon quant à la suite. Souvenez-vous que si nous n'avions pas cherché les vrais chiffres, malgré vos réticences multiples, vous continueriez à propager d'autres informations erronées. - http://wp.me/p7rQDb-374#3_2
B
On peut faire sur l'autisme d'autres réflexions autrement plus intéressantes et prometteuses que de se gargariser avec des analogies à la noix et des attaques médiocres contre d'authentiques chercheurs comme Montagnier, Wakefield, Gherardi ... Aussi, je reproduis ici des extraits relatifs à une publication très récente (15 mars 2007) sur l'action de diurétiques sur les troubles autistiques, ce indépendamment de toute recherche de liens entre vaccination et autisme mais seulement pour montrer qu'il est possible de placer la réflexion à un autre niveau que celui auquel certains voudraient la maintenir.<br /> <br /> "Les résultats de l’étude de phase II visant à déterminer la dose de diurétique la plus favorable pour améliorer les symptômes de jeunes autistes viennent d’être publiés dans Translational Psychiatry [1]. L’hypothèse de départ – particulièrement originale – reposait sur l’idée qu’un taux anormalement élevé de chlore dans les neurones peut être responsable de ces troubles du comportement.<br /> <br /> Sous la houlette de Yehezkel Ben-Ari, les chercheurs ont évalué l’effet du diurétique chez 88 jeunes autistes âgés de 2 à 18 ans, subdivisés en 4 groupes pour recevoir, en aveugle, pendant 3 mois, soit du bumétanide (0,5 ; 1,0 ; 2,0 mg deux fois par jour), soit un placebo. Les résultats montrent que le score de la Childhood Autism Rating Scale (CARS), échelle de référence d’évaluation du comportement dans l’autisme infantile, a été significativement augmenté chez les 73 jeunes autistes qui ont reçu le diurétique sur toute la durée de l’étude (p=0,015),<br /> Si elle n’apporte pas LA réponse aux troubles autistiques – par ailleurs très hétérogènes –, l’étude confirme l’intérêt de la piste – décriée et peu soutenue malgré des résultats positifs sur une très petite échelle – consistant à proposer un diurétique chez certains jeunes autistes.<br /> <br /> Il y a un an, une équipe française montrait l’intérêt d’un traitement par un diurétique dans le traitement des troubles autistiques. L’hypothèse reposait sur l’idée qu’un taux anormalement élevé de chlore dans les neurones peut être responsable de ces troubles du comportement. Restait cependant à le démontrer. C’est désormais chose faite dans deux modèles murins, toujours sous la houlette de l’équipe du Dr Eric Lemonnier (Brest) et celle de Yehezkel Ben-Ari à l'Inserm. Les résultats de leurs travaux expérimentaux, publiés dans la revue Science, valident l’administration d’un diurétique dans l’autisme et justifient la poursuite du programme d’essai clinique chez l’enfant et l’adolescent.<br /> Le chlore est-il impliqué dans l’autisme comme il l’est dans l’épilepsie et comme les effets paradoxaux du diazépam (Valium) dans cette pathologie le laisse penser.<br /> Le rôle de l’ocytocine, hormone de l’accouchement, est de mieux en mieux connu. « L’ocytocine agit comme un véritable chef d’orchestre qui déclenche le travail, a des effets protecteurs et même des propriétés analgésiques » déclare le chercheur. Dans cette étude, l’équipe a testé l’effet d’un antagoniste de l’ocytocine chez les souris gestantes et montré qu’il reproduit chez la descendance la totalité du syndrome autistique, à la fois sur les aspects électriques et comportementaux. De fait, l’ocytocine agit comme le diurétique via la baisse de la concentration en chlore et son action est cruciale au moment de l’accouchement. « C’est la première fois que l’on démontre qu’un phénomène se déroulant pendant l’accouchement a une action plusieurs semaines plus tard » affirme Yehezkel Ben-Ari.<br /> <br /> Sans être miraculeux, le traitement par diurétique améliore le comportement des jeunes patients dans 75% des cas. Un résultat pour le moins encourageant dans une pathologie où la prise en charge reste compliquée et controversée. Ces travaux sont porteurs d’espoir quant à une meilleure compréhension des mécanismes autistiques et de leur traitement."<br /> Les implications de ce travail sont multiples. D’un point de vue épidémiologique, ces résultats auraient tendance à conforter les données (encore controversées) tendant à montrer que les césariennes programmées (de même que la prématurité) pourraient accroître l’incidence de l’autisme."
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I
Vous dites vouloir placer la réflexion à un autre niveau, je crois que cela rassurerait beaucoup de monde que vous précisiez que votre intention est de vous diriger vers le haut.<br /> <br /> Voulez-vous que je vous donne le nom de la personne qui a unilatéralement choisi de placer la réflexion au niveau anecdotes + études préliminaires mal citées ? Le message se trouve un peu plus bas. Nous pourrions le montrer du doigt et nous moquer de lui tous ensemble. <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> "des analogies à la noix et des attaques médiocres contre d'authentiques chercheurs"<br /> <br /> Assumez vos erreurs, mon vieux. Les attaques sont contre VOUS. C'est VOUS qui trahissez le contenu des études que VOUS citez. Je n'ai rien de particulier contre l'étude que vous avez précédemment cité et mes commentaires concerne ce que VOUS en dites. De même, je n'ai rien de particulier contre cette nouvelle étude que vous mettez en avant. (Je connais en revanche plusieurs personnes ici même qui feraient probablement une conférence de presse pour dénoncer un scandale intolérable si une étude ayant trait aux vaccins se fendait d'une telle déclaration d'intérêts)<br /> <br /> <br /> L'analogie est un outil de réfutation tout à fait valide. Cependant les analogies de cette conversation sont un bonus, pour mettre en exergue le ridicule de vos arguments. La réfutation, quant à elle, n'est pas contenue dans l'analogie. Elle est distincte. N'hésitez pas à y répondre. Une réponse rationnelle, s'entend, pas une énième redite de "les faits me donnent tort mais je sais que j'ai raison".<br /> <br /> - VOUS faites des affirmations sur la base d'une étude qui VOUS contredit.<br /> <br /> - VOUS utilisez cette étude qui VOUS contredit pour justifier une étude rétractée qui porte sur autre chose.<br /> <br /> - VOUS dites que dès qu'un vaccin est mis en cause, la réflexion s'arrête. Je mentionne le vaccin que Wakefield voulait breveter et VOTRE réflexion s'arrête.<br /> <br /> <br /> Ironiser sur la forme semble être la stratégie du moment pour ne pas avoir à vous exprimer sur VOS lacunes.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Un peu comme un enfant boudeur qui dirait "t'es pas belle" à la maîtresse qui le gronde.
B
Il n'est pas nécessaire d'établir un lien entre une vaccination et l'autisme pour constater qu'il en existe un entre une infections intestinale et l'autisme. C'est ce que l'étude que je relatais ci-dessous établissait même si on peut toujours demander davantage de confirmations.<br /> On peut aussi noter qu'il est mentionné que les troubles intestinaux sont fréquents dans cette population d'autistes.<br /> <br /> "En raison de la forte prévalence des problèmes gastro-intestinaux chez ces enfants et de la corrélation entre ces symptômes et la sévérité de la maladie autistique, depuis quelques années la communauté scientifique est allée investiguer du côté du microbiote des jeunes autistes"<br /> <br /> Il a été constaté que le traitement intestinale améliorait le comportement des autistes. C'est très encourageant. On a quand même le droit de dire que Wakefield, aussi falsificateur qu'il pourrait être, selon ce que certains veulent dire, avait constaté cela il y a plus de 20 ans et que ce constat d'amélioration de l'état autistique par le traitement de l'intestin est indépendant des causes de cette infection intestinale. On est donc obligé de reconnaitre que la façon dont Wakefield a été traité a fait perdre 20 années précieuses pour améliorer les autistes. Pour protéger un vaccin on a négligé un moyen d'améliorer des malades et de réduire aussi le cauchemar des familles. C'est quand même très dommageable.<br /> <br /> Dès qu'un vaccin est mis en cause, la réflexion s'arrête. On le constate ici aussi sous couvert d'une soi-disant rationalité pure et dure.
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I
"ils font tous cela mais si on veut comprendre quelque chose il faut savoir regarder au delà des précautions oratoires des auteurs."<br /> <br /> Vous citez des études et ces études vous contredisent. En réponse, vous dites que les auteurs savent et que vous savez que les auteurs savent, en dépit de ce que les auteurs disent. Vous dites que vous, vous connaissez la vraie vérité vraie au sujet de ces études, contrairement à tous ces fâcheux qui persistent à évaluer une étude en fonction de son contenu. Décrivez-nous donc à nouveau ce dogme que vous voyez. Chez les autres. C'est assez distrayant.<br /> <br /> <br /> <br /> "Dans une étude il y a [...] les commentaires des commentateurs "autorisés" qui n'hésitent pas à fustiger les auteurs qui ne resteraient pas dans la ligne."<br /> <br /> L'ironie cinglante de cette réponse semble vous échapper, n'avez-vous pas lu le commentaire auquel vous répondez ? L'histopathologiste co-auteur de l'étude de Wakefield considérait que les biopsies ne montraient rien de particulier. Ces évaluations ont ensuite été soumises à un second examen, qui n'était pas prévu au protocole initial, et ont été réinterprétées. Par la suite l'étude sera rétractée et des spécialistes non impliqués dans l'étude vont confirmer ce qu'un spécialiste impliqué dans l'étude avait noté avant que son travail ne soit remis "dans la ligne". - http://www.bmj.com/content/343/bmj.d6979 - http://www.bmj.com/content/343/bmj.d6985 - http://www.bmj.com/content/340/bmj.c1127
B
C'est très général, du moins très répandu, les auteurs de ce genre d'études savent qu'ils marchent sur des œufs, alors ils prennent des précautions oratoires. Wakefield lui-même avait précisé qu'il s'agissait d'une étude préliminaire qui demandait confirmation même si oralement il dit qu'il est convaincu qu'il y a un lien entre ROR et autisme.<br /> <br /> Montagnier aussi prend des précautions oratoires tout comme Gherardi et aussi Tardieu et ses collaborateurs quand ils ont publié le fameux résultat significatif d'octobre 2008 sur le lien entre la vaccination hépatite B et la sclérose en plaques chez les enfants dits "observants au calendrier vaccinal". Ils savaient à l'avance qu'ils marchaient sur des mines explosives. On pourrait aussi citer Earl et la vaccination antivariolique parmi ceux dont on a parlé ici.<br /> <br /> C'est clair, ils font tous cela mais si on veut comprendre quelque chose il faut savoir regarder au delà des précautions oratoires des auteurs. <br /> <br /> Dans une étude il y a les données dont les auteurs disposaient, celles qu'ils ont publiées qui n'en sont qu'une partie, la façon dont les auteurs ont traité ces données, les résultats qu'ils ont obtenus, les commentaires qu'ils ont fait sur ces résultats, les commentaires des commentateurs "autorisés" qui n'hésitent pas à fustiger les auteurs qui ne resteraient pas dans la ligne. <br /> <br /> Il peut y avoir des différences importantes entre ces différentes phases et ces différences peuvent être révélatrices de l'ambiance qui règne dans ce qu'on appelle "la santé publique" qui n'est qu'un système se disant au service de la santé du publique alors qu'il n'est qu'au service de lui-même.<br /> <br /> Tout indique aujourd'hui que ce systèmes est aux abois comme on le constate en direct sur ce blog avec les initiatives désespérées d'un maniaque de l'analogie fumeuse promue au rang d'une démarche scientifique !!! L'analogie ne peut être, au mieux, qu'un élément pédagogique à usage modéré et prudent. Quelle déchéance !
I
"Il n'est pas nécessaire d'établir un lien entre une vaccination et l'autisme pour constater qu'il en existe un entre une infections intestinale et l'autisme."<br /> <br /> Ce constat est abusif. Les auteurs de l'étude, à juste titre, vous contredisent: "Étant donné qu'il s'agit d'une étude ouverte, l'effet sur les symptômes gastro-intestinaux et les symptômes des troubles autistiques est susceptible d'être soumis à des effets placebo et devrait être interprété avec prudence et considéré comme préliminaire."<br /> <br /> Je vous épargne la liste complète de toutes les autres limitations de cette étude, fournie par les auteurs eux-mêmes, et que vous n'avez probablement pas pris la peine de lire. ( Il est également possible que vous ayez lu cette étude, avant de décider d'en ignorer des pans entiers. Ce ne serait pas la première fois: http://wp.me/p7rQDb-Nq )<br /> <br /> Vous imaginez que cette étude représente un fait établi "même si on peut toujours demander davantage de confirmations". Vous avez tort. Les auteurs de l'étude vous contredisent sur ce point.<br /> <br /> <br /> <br /> "Wakefield, aussi falsificateur qu'il pourrait être, selon ce que certains veulent dire, avait constaté cela [un lien entre infection intestinale et autisme] il y a plus de 20 ans"<br /> <br /> À nouveau, vous faites erreur. Affirmer cela, c'est imaginer que l'étude de Wakefield se résume à: "Chez ces enfants qui nous ont été adressés avec des troubles intestinaux, l'étude montre qu'ils ont des troubles intestinaux"<br /> <br /> Dans son étude frauduleuse, Wakefield décrit ce qui est présenté comme un nouveau syndrome, Ileal-lymphoid-nodular hyperplasia (9 cas sur 12) associé à des troubles autistiques (10 cas sur 12). ( Notons qu'un co-auteur indique dans des études antérieures qu'il s'agit en fait d'une affection connue, bénigne et extrêmement répandue, même chez des enfants n'ayant aucun symptôme - http://briandeer.com/wakefield/ileal-hyperplasia.htm . De plus, rappelons que pour cela Wakefield se base sur des rapports qui selon les spécialistes, et même certains de ses co-auteurs, étaient en réalité "tout à fait normaux" - http://www.bmj.com/content/343/bmj.d6979 - http://www.bmj.com/content/343/bmj.d6985 - http://www.bmj.com/content/340/bmj.c1127 )<br /> <br /> L'étude que vous citez s'intéresse à : "abdominal pain, reflux, indigestion, diarrhea, and constipation". Pas une seule fois dans cette étude, l'hyperplasie redécouverte par wakefield ne sera mentionnée. - https://microbiomejournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s40168-016-0225-7<br /> <br /> Vous prenez la partie pour le tout, ce qui est un sophisme: <br /> <br /> - Il dit qu'il a mal au ventre et qu'il a été enlevé par des extra-terrestres. <br /> - Or des millions de gens ont eux aussi mal au ventre.<br /> - C'est la preuve qu'il avait raison.<br /> <br /> <br /> <br /> "On est donc obligé de reconnaitre que la façon dont Wakefield a été traité a fait perdre 20 années précieuses pour améliorer les autistes."<br /> <br /> Mais bien sûr. S'il y a une personne, au coin de la rue, avec une pancarte qui dit "la fin est proche" et qu'un avion lui tombe pile dessus faisant des centaines de victimes, direz vous également "On est donc obligé de reconnaitre que la façon dont a été ignoré ce pauvre homme a fait perdre des années précieuses pour améliorer la sécurité aérienne" ?<br /> <br /> Vous auriez déjà tort d'affirmer qu'en secret, la nuit, des lutins repeignent l'herbe en vert. Vous auriez tort que l'herbe soit verte ou pas. Mais en l'occurrence, ici vous affirmez que Wakefield, pris la main dans le pot de peinture en train de tout repeindre en bleu et rémunéré par le Blue Man Group, avait raison d'affirmer que l'herbe est verte. Parce que bleu plus jaune, ça fait vert. Vous prenez la partie (bleu) pour le tout (vert), ce qui est un sophisme - https://en.m.wikipedia.org/wiki/MMR_vaccine_controversy#1998_The_Lancet_paper<br /> <br /> <br /> <br /> "Dès qu'un vaccin est mis en cause, la réflexion s'arrête."<br /> <br /> Merci de confirmer mes propos. Wakefield affirme n'avoir jamais tenté de breveter un vaccin concurrent alors qu'il existe des documents incontestés qui montrent qu'il ne dit pas la vérité. Mais dès qu'un vaccin est mis en cause, la réflexion s'arrête. C'est probablement la raison pour laquelle il a encore aujourd'hui des adeptes sur lesquels ce point aveugle factuellement réfutable dans la minute glisse comme si c'était un superfluide. N'hésitez pas à faire redémarrer la réflexion. - http://briandeer.com/mmr/1998-vaccine-patent.pdf

                    

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