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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 13:39

Le Gardasil a transformé nos rêves en cauchemars

 

Par Tracy Andrews Wolf, 24 mai 2013.

 

Alexis-Gardasil-1.jpg

 

 

Six ans se sont écoulés depuis qu’Alexis a reçu ses trois vaccins Gardasil. Six années de souffrance sans raison valable. Maintenant, je vis dans la peur constante de ce qui pourrait arriver lors de la prochaine crise de ma fille.

 

C’est dans la panique que je me réveille tous les jours vers 5 heures du matin. Mon cœur s’emballe et je tente désespérément d’empêcher mon esprit de penser au pire, ne sachant jamais à quoi m’attendre. Certaines nuits, c’est à chaque heure qu’elle frappe à ma porte parce qu’elle fait tellement de crises qu’elle est totalement perdue. Elle présente sur le corps des taches sombres comme des contusions sans que nous sachions d’où cela la provient. Parfois, elle présente des gonflements sur la tête bien qu’elle ne se souvient pas de s’être cognée la tête quelque part. Quand elle fait une crise, le sang coule parfois de sa bouche parce qu’elle grince des dents qui s’abîment ou se déchaussent. Chaque matin, je me réveille dans la peur, en me demandant si Alexis est toujours avec nous.

 

Alexis et sa sœur Kimber sont très proches l’une de l’autre. J’ai demandé à Kimber de mettre sur papier ses sentiments par rapport à ce qui était arrivé à sa sœur. Voici ce qu’elle écrit :

 

« C’est terrible à neuf ou dix ans de voir sa sœur aînée se dégrader petit à petit et de réaliser que c’est quelqu’un de complètement différent qui a tout simplement pris sa place. C’est à peu de chose près la même chose que si j’avais vu un tueur à gage la tuer sous mes yeux, sachant que je ne la reverrais jamais plus. La seule chose qui diffère dans mon expérience c’est que tout s’est passé beaucoup plus lentement et que je ne comprenais pas ce qui lui arrivait. Je savais que je n’allais plus jamais la revoir comme elle était avant. Aujourd’hui, six ans plus tard je me suis fait une idée, je me suis habituée à ses crises, sa façon de vivre et à tout ce qui la concerne. C’est un peu comme si je ne l’avais jamais connue, comme si je n’avais fait qu’entendre parler d’elle. Je ne me rappelle que peu de chose de son authentique personnalité. Elle était ma sœur unique, ma meilleure amie. Ma sœur a perdu tous ses amis et amies. Personnellement j’ai gardé mes amies et mes amis mais ils n’ont jamais pu comprendre par quoi j’ai dû passer. Mes amis et mes amies ne viennent plus à la maison. Je suis assez gênée de les inviter à la maison à cause de la manière dont ma sœur réagit. On ne sait jamais ce qui va se passer et tant de gens ne peuvent pas comprendre. Elle me manque terriblement. Je suis bien triste quand je vois des sœurs qui s’embrassent. Ma sœur est ce que ma mère appelle un enfant, une petite vieille femme et une adolescente à la fois. Si le destin avait voulu que ma sœur ait à souffrir, j’aurais préféré qu’elle ne souffre pas mentalement ; j’aurais préféré la voir avec une sale blessure ou peut-être même avec un membre amputé, n’importe quoi sauf ce qu’elle doit vivre pour le moment. Elle n’est plus que l’enveloppe de la sœur que j’ai connue autrefois. »

  

Alexis-Gardasil-2.jpg

  Où pourrais-je retrouver ma meilleure amie ?

 

Comme Alexis m’avait entendu demander à sa sœur d’écrire un mot, elle décida elle aussi d’écrire ces quelques mots :

 

« Il y avait une fois une fille qui s’appelait Alexis Raley Wolf. Elle a été malade pendant six ans. Un peu long, vous ne trouvez pas ? Elle n’a pas bien pu dormir pendant ces six années… Que diable pouvons-nous faire ?J’espère que l’on pourra enfin trouver un remède et le plus vite possible. Vous comprenez ce que je veux dire ???J’espère aussi que ce ne sera pas aussi terrible qu’il y a six ans, mes chers amis que j’aime tant… C’est tout. Amicalement, Alexis Raley Wolf.Cher Seigneur de ma vie, s’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît faites que je puisse me sentir mieux. Je vous en prie. C’est tout ce que je veux vraiment, s’il vous plaît pour l’amour de Dieu ! Amicalement Alexis. »

 

Avec son « histoire » elle a aussi dessiné un cercle avec le « Gardasil » au centre et quantités de lignes transversales. J’ai un grand sac rempli de lettres/ d’histoires qu’Alexis a écrites au cours des années. Ce sont pratiquement toujours les mêmes ;

 

Notre vie avant le Gardasil :

 

Permettez-moi de vous ramener en 2007, lorsque j’ai été poussée à prendre la décision qui a changé nos vies à jamais.

 

En 2007, Alexis était une élève de 7ème, elle était très timide. Elle avait travaillé si dur à l’école qu’elle avait obtenu une distinction.- L’année qui précédait on lui avait diagnostiqué un diabète de type 1. Elle avait bien pris la chose et pensé que c’était une occasion d’informer ses camarades de classe sur la question. Elle a fait de nombreux travaux scolaires sur le diabète ; elle a donc appris pas mal de choses et a aidé ses camarades à comprendre ce que signifiait le fait de vivre avec cette maladie. Nous étions tous très fiers d’elle.

  

Alexis-Gardasil-2-parapluie.jpg

  Alexis en Allemagne

 

Pour la récompenser de son excellent travail à l’école, son grand-père l’a invitée à venir passer 4 semaines chez lui en Allemagne pendant les congés scolaires. J’étais un peu inquiète, mais elle avait le parfait contrôle de sa santé et savait s’administrer les quantités d’insuline nécessaires en cas de besoin et son endocrinologue avait lui aussi marqué son accord pour ce voyage. Pendant son séjour, on lui recommanda la série des vaccins Gardasil. On nous précisa que comme Alexis souffrait de diabète il était très, très important qu’elle soit vaccinée contre TOUT CE QUI ETAIT POSSIBLE parce que son système immunitaire était affaibli. Et, j’ai donné mon accord.

 

Est-ce que tous les parents ne veulent pas protéger leurs filles ? Alexis reçut sa première injection et on nous précisa que nous devions reprendre contact (avec les centres de santé ?) dès qu’Alexis serait rentrée d’Allemagne.

 

Alexis s’est merveilleusement bien amusée en Allemagne et nous est revenue après 4 semaines. Dès son retour, j’ai remarqué des choses étranges dans son comportement. Elle n’avait pas eu le « jet lag », mais avait cependant très peu dormi.

 

A son retour, on lui apprit que notre chien était mort. Après avoir appris cette nouvelle, elle a très fort essayé de pleurer. Elle n’avait jamais dû ESSAYER de pleurer.  Cette situation ne s’était jamais produite auparavant. D’habitude elle pouvait pleurer très facilement

 

Nous nous sommes donc rendus chez un médecin pour sa deuxième injection de la série. C’est alors que les choses ont commencé à mal tourner : la personnalité d’Alexis a été tout à fait modifiée. Au début, je pensais qu’elle sortait de sa timidité habituelle étant donné qu’elle revenait d’un voyage en Allemagne.

 

Le Gardasil commence à prendre le contrôle

 

Le lendemain de sa deuxième injection, son cœur a commencé à battre si vite et si fort qu’on avait l’impression qu’il allait sortir de sa poitrine. Nous sommes immédiatement retournés chez le médecin qui nous a envoyés consulter un cardiologue. Alexis a dû porter un moniteur cardiaque pendant 24 heures. Son rythme cardiaque était rapide, mais on n’a pas pensé que c’était un gros problème. Puis Alexis à commencé à vomir beaucoup et sans raison apparente. Elle nous disait aussi que les choses paraissaient effrayantes. Nous sommes donc retournés chez le médecin. Le gastroentérologue nous a dit de lui donner du Zantak et de revenir le mois suivant.

  

Alexis-gardasil-3-lit.jpg

  Où s’est envolée ma vie ?

 

Elle a commencé sa 8ème année, mais elle était incapable de rester longtemps assise parce qu’elle avait toujours envie de vomir. Les enseignants en sont arrivés à mettre une poubelle près de son bureau. Les enseignants me convoquaient pour me dire que ma fille dérangeait toute la classe et qu’il me fallait agir un peu plus. Je n’arrêtais pas de prendre rendez-vous sur rendez-vous chez les médecins et personne ne semblait comprendre ce qui se passait.

 

Alexis a commencé à voir et à entendre des choses qui n’existaient pas. Elle commençait à être méchante et même violente avec moi. Elle me criait dessus en me disant qu’elle voulait une autre famille. Elle continuait à crier sur moi en me demandant de la conduire dans un orphelinat pour que quelqu’un puisse l’adopter et l’emmener. J’avais tellement peur ! Dire que j’avais le cœur brisé ne peut décrire ce que je vivais. Je n’ai pas reçu d’aide de son père (mon mari). Il me criait aussi dessus en me précisant ce qu’il fallait dire aux médecins. J’avais l’impression que je perdais l’esprit.

 

A peu près à la même époque, Alexis sortait de la maison et allait frapper à toutes les portes de la rue pour dire qu’elle haïssait sa famille et qu’elle en voulait une nouvelle. Evidemment, les gens appelaient la police et il nous fallait leur expliquer des choses que nous ne comprenions pas nous-mêmes.

 

Les vacances arrivèrent…ce furent les plus terribles fêtes Noël et d’Halloween que nous ayons connues.

 

La troisième injection de Gardasil – le coup final pour Alexis

 

En janvier 2008, nous nous rendîmes chez le médecin pour sa troisième injection. J’ai demandé au médecin si le Gardasil pouvait avoir quelque rapport avec ces terribles symptômes. On me répondit que non, mais que si je ne terminais pas la série, cela pourrait provoquer plus de problèmes. C’est ainsi qu’Alexis reçut sa troisième injection.

 

Pour la première fois de sa vie, Alexis me dit qu’elle me haïssait et ne voulait plus faire partie de notre famille. Ca m’a fait tellement mal ! Je n’arrêtais pas de pleurer.

 

Quand je recommençais à pleurer, elle me regardait avec une telle haine… puis, comme si une mouche l’avait piquée, elle me regardait à nouveau et me disait : « ne pleure pas maman » !

 

Les vomissements et les hallucinations ont continué de s’aggraver. Nous avions déjà vu tant de médecins qu’il était difficile pour moi de tenir le coup. Aucun de ces médecins ne nous donnait de réponse valable.

 

Deux semaines après la troisième injection, Alexis dut être hospitalisée. Les médecins étaient préoccupés par son diabète et sa perte de poids. Ils ont fait des tests et m’ont dit : « Médicalement, il n’y a pas de problème avec votre fille ». Je n’ai évidemment pas manqué de leur dire qu’ils se trompaient.

 

Comme ils pensaient qu’Alexis faisait du théâtre, ils l’ont envoyée à un hôpital qui s’occupe des problèmes de comportement. Quel horrible endroit ! Ils ont traité Alexis comme un animal. Je lui rendais visite chaque jour. Elle y resta 5 jours. Le 4ème jour ils m’ont appelée pour me dire qu’elle sortait ses vomissures de la poubelle pour les manger !!!

 

Le lendemain matin, ils m’ont rappelée pour me dire qu’elle était plus stable et que je devais la reprendre. Elle était bien loin d’être devenue stable ! Ce jour là, j’ai dû appeler un médecin à l’aide. ! Ce médecin réussit finalement  à la faire admettre dans un autre hôpital pour enfants.

 

Quand nous sommes arrivés pour la voir, les membres du personnel nous ont dit : « Nous réalisons que ses problèmes ne relèvent pas du comportement ; nous allons essayer de la faire dormir pendant le week-end. » Ils lui ont donné d’importantes doses de Trazadone pour l’aider à dormir, mais ça n’a jamais marché.

 

Le lundi suivant quand le médecin entra dans la chambre, je lui ai expliqué tout ce qui se passait. Elle a répondu que selon elle, Alexis faisait des convulsions !!!

  

Alexis-Gardasil-4-hopital.jpg

 

Le médecin demanda un électroencéphalogramme. Enfin, on put trouver ce qui n’allait pas !! Alexis faisait quantité de convulsions dans le lobe frontal du cerveau.

 

Les six mois qui suivirent, les tests n’ont pratiquement pas arrêté. Alexis est restée à l’hôpital de mars à juillet. Tous les tests effectués se sont avérés normaux, sauf les électroencéphalogrammes.

 

Finalement, après avoir effectué une deuxième ponction lombaire, on put déterminer qu’Alexis avait dû être exposée à un virus qui avait provoqué une encéphalite, un traumatisme crânien, des lésions cérébrales et des troubles épileptiques. Elle dut subir une thérapie par voie intraveineuse, une plasmaphérèse et une chirurgie pour permettre la plasmaphérèse. Elle a passé son 15ème anniversaire accrochée à une machine.

 

Certaines fois quand j’allais lui rendre visite, je la trouvais attachée au lit pour ce qu’elle avait  dû faire à une infirmière ou à une gardienne. Alexis aurait dû avoir quelqu’un près d’elle en permanence par ce qu’elle essayait de manger ce qu’elle trouvait dans les poubelles. Elle s’exprimait en langage grossier, essayait de frapper les gens, elle crachait sur les gens, jetait des choses à gauche et à droite…Ma douce et timide petite fille était devenue quelqu’un que je ne reconnaissais plus.

 

Peut-on se faire une idée de ce que peut représenter pour des parents une visite à leur fille à l’hôpital et la retrouver attachée aux 4 coins du lit ???

 

Elle nous a suppliés et a supplié l’infirmière de la ramener à la maison. Elle me disait aussi que je n’étais plus sa mère parce qu’elle en avait trouvé une meilleure.

 

Quand l’hôpital ne fût plus à même de s’occuper d’elle, ils se sont arrangés pour que l’on transporte Alexis à Austin (Texas) pour une réadaptation neurologique. Elle ne pouvait de toute manière pas rester là-bas que 2 mois vu que notre assurance ne voulait plus payer. On me suggéra de contacter la sécurité sociale et Medicaid. On m’a demandé de signer des papiers, chose dont je n’avais jamais entendu parler…. Et qu’est-ce que tout cela voulait dire ?

 

Nous voici 6 ans plus tard. – qu’est-ce qui est donc arrivé à notre fille ???

 

Alexis aura 20 ans en juin 2013. Elle a l’âge d’une fille de 3ème. On ne peut la laisser seule à cause de ses violentes convulsions. Elle a été mise sous différentes sortes de médicaments anticonvulsifs pendant tout ce temps et rien n’a semblé marcher.

 

En 2010, on lui a mis un implant VNS au niveau de la poitrine. Cela ressemble à un pacemaker. Cet objet est mis sous la peau dans la région entre le sein droit et l’épaule et relié à son nerf vague. L’appareil envoie continuellement des impulsions en vue d’arrêter les convulsions. Ca n’a pas eu l’air de marcher non plus.

  

Alexis-Gardasil-5-lettre.jpg

  C’est ce que pense Alexis du Gardasil

 

Alexis doit porter des couches pour adultes par ce qu’elle ne peut pas toujours contrôler sa vessie ou ses intestins quand elle fait une crise. Elle fait plus de cent crises par jour ; certaines sont fortes et violentes ; pour d’autres elle reste prostrée avec un regard fixe et de nombreuses contractions musculaires du visage. Au cours de l’une de ces crises, elle a perdu une dent. Plusieurs autres dents ont aussi été abîmées. Elle dispose maintenant d’un appareil qui lui protège la bouche. Nous devons garder tous les aliments dans des armoires fermées à clé parce que la nuit elle pourrait prendre l’une ou l’autre nourriture qui l’entraînerait dans un coma diabétique.

 

Quand la crise est terminée, elle pense qu’elle meurt de faim, même si elle vient de terminer un repas peu de temps avant.

 

Tous ses amis et amies l’ont tout à fait abandonnée. C’est clair que personne n’aime être l’ami de quelqu’un qui fait sans cesse des crises, vomit et doit porter des couches…

 

Alexis avait des projets, elle voulait devenir institutrice dans une école spéciale. Malheureusement, ça n’arrivera jamais.

 

Nous avons dû, avec elle, nous rendre chez un juge pour que je puisse avoir la tutelle vu qu’à 18 ans, elle était incapable de prendre des décisions en ce qui la concernait.

 

Grâce au Gardasil, Alexis ne pourra jamais :

 

- Avoir un diplôme universitaire comme les amies de sa classe

- Se marier et fonder une famille

- Avoir son permis de conduire

- Aller au bal

- Avoir un emploi

- Prendre une douche sans qu’il n’y ait quelqu’un qui soit présent à ses côtés

- Se promener dans un centre commercial avec des amis

- Sortir, s’amuser et prendre sa place

- Porter des habits normaux… et la liste s’allonge et s’allonge…

 

Le Gardasil a tout bouleversé ! Nos belles vies parfaitement normales ont à jamais été transformées en cauchemar vivant.

 

S’il vous plait, tirez des leçons de ce qui nous est arrivé !!

 

Ne permettez pas que votre enfant soit un cas de plus à cause du Gardasil.

  

Source: SaneVax

 

Rapports du VAERS* officiel Américain jusqu’à avril 2013 concernant les effets secondaires des vaccins HPV

 

Description

Total

Handicapés

942

Décès

136

N’ont pas pu récupérer

5.919

Frottis anormaux

522

Dysplasie cervicale

62

Vies mises en danger

557

Recours aux urgences

10.404

Hospitalisations

2.992

Hospitalisations prolongées

230

Cas graves

4.009

Effets secondaires divers

29.680

 

VAERS (Vaccine Adverse Effects Reporting System). On estime que les rapports spontanés qui parviennent au VAERS représentent de 1 à 10% des effets secondaires des vaccins. (Source : Sanevax)

 

LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT ET MADAME OBAMA

 

 

AU SUJET DES DANGERS ET DES EFFETS SECONDAIRES POSSIBLES DES VACCINS HPV

 

26 OCTOBRE 2010

 

 

Chers Président et Madame Obama,

 

Nous venons à vous afin d’implorer votre aide. Les vies de toute une génération de jeunes femmes et d’hommes sont en balance.

 

Ce n’est pas de la guerre, de la violence, de crimes ou de drogues illégales que je veux vous parler. Je veux vous parler des vaccins HPV. Oui, exactement les vaccins HPV, Gardasil et Cervarix !  A la date d’aujourd’hui, on a comptabilisé 20.101 rapports de dommages, ainsi que 84 décès. Parmi ces décès, on relève celui d’un  bébé âgé de 40 JOURS, qui a été exposé au Gardasil au travers du lait de sa mère.

 

Les statistiques ne semblent peut-être pas impressionnantes, mais quand on considère que : a) seuls 1 à 10% de tous les dommages dus aux vaccins sont officiellement enregistrés et que b) le Gardasil et le Cervarix ont été mis sur le marché depuis seulement quelques années, les chiffres commencent à apparaître stupéfiants ! En tant que parents de deux jeunes filles qui se trouvent en âge d’être vaccinées, vous devez absolument être informés.

 

Ces jeunes personnes sont atteintes de paralysies, d’attaques, de thromboses, d’irrégularités cardiaques, de problèmes stomacaux, de syncope, de grande fatigue, de vertiges, de problèmes menstruels, de cécité temporaire, de troubles de la vessie, des reins, de la vésicule, de pertes de mémoire, de problèmes de concentration et la liste continue. La vie de ces jeunes est parfois bouleversée pour toujours. Puis-je vous prier de prendre quelques minutes pour lire les histoires de certaines de ces victimes. Des filles comme Zéda qui a souffert d’une encéphalite provoquée par le vaccin. Elle a malgré tout pu faire quelques progrès : elle parvient maintenant à tourner la tête et à remuer quelques uns de ses doigts. Des filles comme Ashlee  qui ne peut plus prendre de repas sans vomir ou Lauren qui a  soudainement développé un lymphome (non Hodgkin), ou Victoria qui a souffert de pertes de mémoire, ne savait plus qui elle était, ou Brittney, 20 ans qui a été dans l’incapacité de suivre ses cours parce qu’elle perdait soudainement le contrôle de ses jambes ou faisait tellement de crises par jour qu’il lui était impossible de quitter la maison. Des filles comme Holly qui courait de 9 à 15 kilomètres par jour et qui finit pas ne plus pouvoir traverser le living sans assistance ! Il ne s’agit malheureusement ici que de quelques exemples.

 

Il y a aussi ces filles qui nous ont quittés : Megan Hils, Amber Kaufman, christina Tardell, Brooke Petkevicus, Mosehella Roberts, Jenny Tetlock, Santana Valdez, Jessica Ericzon, Jasmin Soriat et Annabelle Morin. Et, malheureusement, la liste continue. Jamais plus ces jeunes filles ne pourront encore rire, dire à leurs parents qu’elles les aiment. Elles ne pourront plus jamais atteindre les buts qu’elles s‘étaient fixés dans la vie parce qu’elles ont été enlevées beaucoup trop tôt – tout cela de la faute d’un vaccin. Pensez-y bien, chacune de ces histoires est déchirante ; chaque vie perdue ou dévastée représente un vrai désastre.

 

Vous pourriez vous demander ce que ces jeunes filles qui étaient en parfaite santé avaient en commun ? La réponse est simple : un vaccin HPV. L’un de ceux-ci est le Gardasil dont le développement a été bâclé (« fast-tracked ») et  autorisé beaucoup trop rapidement. S’il vous plaît, Monsieur le Président et Madame Obama, First Lady, veuillez prendre un peu de temps, nous vous demandons de faire une recherche, de lire ce qui arrive à ces jeunes filles et ces jeunes hommes innocents. Ils ont besoin de vous !

 

Je vous écris au nom de milliers et de milliers de jeunes gens, ainsi que de leurs parents.

 

Marian Greene, maman d’une jeune fille dont la vie a été brisée par le Gardasil

 

http://www.free-press-release.com/news-president-obama-please-save-our-children-1288049290.html

 

   

VACCIN GARDASIL

 

Peut-on vacciner ?

USA

Philippines/Thaïlande

En cas de maladie ?

OUI

NON

En cas de grossesse ?

OUI

NON

Avec un système immunitaire affaibli ?

OUI

NON

Avec d’autres vaccins simultanément ?

OUI

NON

En cas d’asthme ?

OUI

NON

En cas d’allergies ?

OUI

NON

Possibilité de se retourner  c/ fabricant ?

NON

OUI

 

http://deathbyvaccination.com/

 

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