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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 22:15

Voici un article paru dans Le Quotidien du Médecin qui a franchement de quoi écoeurer ET alarmer... mais l'Histoire n'est-elle pas un éternel recommencement ?

 

Lire ce qui suit puis l'analyse que nous en faisons ensuite, c'est comprendre pourquoi il est nécessaire et urgent de soutenir des investigations et des prises de position citoyennes comme les nôtres mais c'est aussi reconquérir son pouvoir réel de citoyen ayant la capacité de dire "NON, STOP, JE NE VEUX PLUS DE CETTE DANGEREUSE MASQUARADE!" le moment venu car il est absolument sûr que ce moment arrivera....

 

(en fluo jaune, les informations nécessitant un certain "décryptage", cf l'encadré ci-dessous!)

 

Un candidat vaccin contre H7N9 en phase 2 aux États-Unis

 

19/09/2013

   

Des chercheurs américains ont commencé les essais d’un candidat vaccin contre la grippe aviaire à H7N9, associé ou non à deux types d’adjuvants.

 

Les deux études de phase II, se déroulant sur 9 sites aux États-Unis et supervisées par le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases) américain, vont réunir des informations sur la sécurité et la réponse immunitaire, d’un candidat vaccin élaboré à partir d’une souche de H7N9 inactivé isolée à Shanghai en 2013 (développé par Sanofi-Pasteur).

 

Les adjuvants

 

Le vaccin va être testé avec ou sans adjuvant. Les recherches antérieures sur les virus influenza H7 ont suggéré que deux doses de vaccin sans adjuvant pourraient ne pas produire une réponse immunitaire adéquate. Les adjuvants sont utiles dans les situations de pandémie comme facteur d’économie des doses de vaccins, rappellent les spécialistes du NIAID.

 

Il est prévu d’inclure des sujets de 19 à 64 ans en bonne santé. La première étude (Mark Mulligan, Emory University, Atlanta), va faire inclure 700 participants qui vont être divisés en 7 groupes, pour tester différents dosages (3,75 µg, 15 µg, 7,5 µg, et 45 µg), avec deux administrations à 21 jours d’intervalle. Cinq groupes vont recevoir le produit avec un adjuvant nommé MF59, développé par Novartis. Cet adjuvant fait partie de la composition des vaccins contre la grippe saisonnière utilisés en Europe et au Canada.

 

Mille participants

 

La deuxième étude (Lisa Jackson, Seattle) va faire enrôler 1000 participants, et cet effectif va être divisé en 10 groupes. Les mêmes dosages vont être administrés, en deux injections séparées de 21 jours. Là, un autre adjuvant va être évalué, AS03 (développé par GlaxoSmithKline), qui a été utilisé dans le vaccin contre H1N1 en Europe (pandémie de 2009-2010).

 

Les conclusions de ces deux études sont prévues pour être rendues en décembre 2014. Les cas humains d’infection par le H7N9 ont commencé en Chine en février 2013. Au mois d’août, 135 cas confirmés et 44 décès ont été enregistrés par l’OMS. La plupart des cas sont survenus chez des personnes en contact avec de la volaille. Il n’y a pas eu de cas recensés à l’extérieur de la Chine et la transmission entre les individus n’est probablement pas importante. Mais les autorités de santé se préoccupent de mutations possibles, pouvant changer la donne en termes de menace pour la santé publique.

 

Dr BÉATRICE VUAILLE

 

Comment décrypter cette information importante? Quels sont les points-clés d'un tel article, à la lueur, bien entendu, du précédent de la fausse pandémie de H1N1??

 

loupe 

1°) On était à des essais cliniques de vaccin H7N9 en phase 1 il y a quelques semaines encore et nous voilà déjà à la phase suivante, ce qui est donc dire la rapidité et le bâclage de ces tests (comme ils furent tout autant bâclés avec les vaccins anti-H1N1 et on a vu ce que ça a donné avec les narcolepsies post-vaccinales qui n’étaient en réalité que la pointe émergée de l’iceberg !!)

 

2°) Le nombre de sites d’évaluation est assez élevé : 9 sites. Pourquoi une telle obstination ? Une telle répartition ? Donner l’impression qu’il y a eu plusieurs évaluations qui se recoupent ?

 

3°) Un autre point important, c’est le nombre bien sûr ridiculement faible et insuffisant de sujets enrôlés dans les essais cliniques : 700, 1000. C’est nettement trop faible. Pour vous donner une plus juste idée du problème, il faut par exemple savoir qu’il faut en réalité des dizaines et mêmes des centaines de milliers de sujets pour valablement pouvoir évaluer le risque d’effets secondaires plus rares mais très graves et qui risquent donc d’être quantitativement non négligeable en cas de vaccination massive.  C’est un « aveu », une constatation qu’a notamment faite la Revue du Praticien de novembre 2011 qui est une revue professionnelle.

 

4°) Important également à relever, le fait que les sujets enrôlés sont tous en bonne santé et que ce ne sont que des adultes (dont l’âge ne dépasse pas 64 ans). Cela pose de nombreux problèmes car on recommande pourtant en priorité ce genre de vaccination aux gens dits « fragiles » (les malades chroniques, les femmes enceintes, les enfants aussi parfois) ! On va donc une fois encore faire un « chèque en blanc » aux gens en leur jurant que ces vaccins furent bien évalués alors qu’ils ont en réalité les plus grandes chances du monde d’altérer leur santé de multiples manières (fausses couches, décès prématuré, aggravation des pathologies sous-jacentes avec hospitalisations conséquentes etc.) et que les pseudos experts n’auront aucun retour d’expérience des dégâts possibles sur des publics encore plus sensibles !

 

5°) On nous refait aussi le coup des adjuvants, avec le discours habituel qu’ils sont une aide bien utile en cas de pandémie, de façon à pouvoir économiser les antigènes (= substance-même du vaccin) et donc produire suffisamment de vaccins pour tous. C’est donc le fameux principe « Dépêchez-vous, il n’y en en aura pas pour tout le monde » qui sous-tend ce genre de discours (ce qui est rare ou susceptible de l’être étant perçu, parfois à tort comme précieux ou indispensable…). Avec le H1N1, on a bien vu qu’un pays comme la Pologne qui n’avait pas vacciné, a eu proportionnellement moins de cas et de décès et le contraste a évidemment été très fort avec les pays qui avaient acheté des tonnes de vaccins qu’ils ont dû revendre à la hâte ou « donner à l’OMS » (pour de fausses « bonnes actions » dans les pays pauvres), de façon surtout à sauver la face à leurs différentes opinions publiques.

 

6°) Les adjuvants utilisés sont les mêmes que ceux qui furent utilisés dans les vaccins expérimentaux H1N1, c'est-à-dire à base de squalène (MF59, AS03) et qui sont extrêmement périlleux par rapport au risque d’induire des maladies auto-immunes, cette substance, le squalène, faisant naturellement partie de notre propre organisme. Sous ces noms de code ésotériques pour certains se cache ainsi ce même type d’émulsion « huile dans l’eau » qui est entre autre la cause des narcolepsies survenues après la vaccination H1N1. Il faut tout de même se rappeler que cette relation causale a été évaluée par plusieurs études convergentes et aussi que la narcolepsie est une maladie neurologique et auto-immune extrêmement invalidante et pour laquelle il n’existe toujours aucun traitement curatif !

 

7°) Le corollaire du point précédent, c’est évidemment la question de l’éthique qui sous-tend ces essais en cours : les cobayes humains qui ont été enrôlés dans ces essais ont-ils correctement été informés que les adjuvants utilisés sont ceux qui ont déjà déclenché des narcolepsies et d’autres maladies auto-immunes ou bien ne leur signale-t-on que ces noms de codes opaques qui ne leur disent sans doute rien ?

 

Les cobayes humains auraient-ils accepté, même contre rémunération, d’encourir ce genre de risque pour évaluer des vaccins contre des grippes qui pourraient être nettement mieux prévenues et traitées par des méthodes naturelles moins iatrogènes ? 

 

8°) Agiter le spectre de la mutation est habituel, c'est très commode et ça permet ainsi de façon assez simple d'inverser complètement le sens et la logique du "principe de précaution". C'est d'ailleurs aussi ce qui avait été exploité pour pousser des tas de gens dont des éleveurs de volaille de commencer à se faire vacciner contre la grippe saisonière en 2005, quand on parlait de la grippe aviaire, du risque de recombinaison etc. etc. Il ne faut pas non plus oublier à cet égard que les vaccins peuvent aussi en eux-mêmes favoriser des mutations et d'autres perturbations des équilibres de divers microbes: vacciner peut donc créer une "pression sélective" qui peut par effet domino sélectionner d'autres variants encore plus virulents. Ces phénomènes compensatoires sont fréquents et bien documentés. Cela s'est déjà passé avec des souches de méningocoques, avec des souches de pneumocoques (d'où que le Prevenar a eu un effet contre-productif et qu'une nouvelle version a vu le jour uniquement pour maintenir les profits de Pfizer car il s'agit du vaccin le plus lucratif de toute l'histoire des vaccins en valeur absolue) et cela se passera aussi avec les vaccins anti-HPV qui vont sûrement provoquer des modifications compensatoires des divers sérotypes également, et plusieurs données le laissent déjà clairement entrevoir à l'heure actuelle!

 

Mais le pire finalement dans tout ça, c'est que ces mêmes autorités officielles qui disent redouter ces mutations, financent en fait avec les deniers publics de dangereux chercheurs (qu'on devrait plutôt appeler "apprentis-sorciers") qui créent de toutes pièces en laboratoire ces mutations pour soi-disant mieux les prévenir et mieux fabriquer de nouveaux vaccins efficaces.

 

9°) La question finale que pose un tel article est incontestablement la suivante: jusqu'où la population acceptera-t-elle de se faire berner avec les mêmes ficelles aussi grossières? Jusqu'où le public se permettra-t-il de négliger la chance possible de tirer les leçons des expériences passées?? Certaines personnes seront malheureusement encore capables de foncer dans le mur malgré ce genre de "preuve par 9"...

 

  

baettig.JPG

Nous ne saurions vous conseiller assez de lire en complément de cet article, les propos de Dominique  Baettig, psychiatre et ex conseiller régional suisse, à l'occasion de la défaite lors de la votation suisse (sorte de referendum) du 22 septembre dernier relative à la révision de la loi sur les épidémies:

 

« Tous ceux qui ont aimé la manière dont la grippe porcine a été traitée, la fameuse épidémie H1N1 il y a quelques années, vont adorer la suite, parce que ça va venir !

 

Et puis maintenant, il y aura la légitimité augmentée de l’Office Fédéral de  de la Santé Publique de dicter des directives, des normes, des mesures peut-être coercitives, en tout cas incitatives. Le travail sera encore beaucoup plus facile pour les autorités à l’avenir que ça a été le cas il y a de cela quelques années.

 

C’est vraiment dommage, dans ce pays, que l’on fasse comme cela d’abord une confiance aveugle à la bureaucratie fédérale, et puis ensuite aux instances internationales qui dictent les normes, les règles et les imposent ensuite aux nations souveraines. C’est, à mon avis très risqué, très dangereux. […] Le vaccin doit rester une option individuelle conseillée par le médecin traitant, et ne doit en tout cas pas être imposée par l’Etat. Le peuple a aussi assez de bon sens pour savoir s’il faut se faire vacciner ou pas. On n’a pas besoin de l’intervention de bureaucrates et de gens qui sont largement influencés par les pharmas et par les organisations internationales de la Santé.

 

Quand vous avez des campagnes tendancieuses, on alarme les gens. On met en évidence des incidents disproportionnés pour les pousser à se faire vacciner. On est quand même dans une forme de contrainte morale, disons une sorte de harcèlement psychologique qui induit les gens à se faire vacciner, alors qu’il n’y aurait pas de raison de le faire.

 

Je crois que les gens savent s’ils doivent avoir recours à un vaccin ou pas. On n’a pas besoin de l’Administration Fédérale ni des recommandations des experts liés aux pharmas pour savoir ce qu’il faut faire.

 

Il n’y a pas encore une analyse assez approfondie de ce qui se passe derrière ces grandes instances internationales. C’est dommage que le peuple suisse fasse comme cela une confiance aveugle aux grandes institutions internationales. Il lui faudra peut-être encore un peu de temps pour se rendre compte que ce n’est pas forcément du bon argent qu’on leur vend.

 

Il faut toujours rester méfiant vis-à-vis de la bureaucratie et des grandes institutions internationales ; toujours garder sa liberté d’appréciation et de décision. »

 

Source: RTS

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