Beaucoup trop de médecins marchent comme de bons petits soldats. Hélas, en coulisses, c'est souvent la sinistre politique du "Faites ce que je dis, pas ce que je fais!" qui prévaut comme le montre noir sur blanc le résultat d'enquêtes au sein de la profession, officielles mais dérangeantes au point de ne pas être publiées! Il faut dire que selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française, les vaccinations représentent au minimum 12, 6% des revenus des médecins généralistes et 33% des revenus des pédiatres mais ces chiffres-là ne comprennent que le prix des consultations pour l'administration des vaccins et n'incluent donc pas toutes les rentrées qui découlent des nombreuses consultations pour effets secondaires de ces mêmes vaccins. Dans le business vaccinal, il y a donc les vaccins ET LEURS SUITES (qui elles ne sont jamais calculées) alors que de l'aveu même de l'ONE et Provac, au moins 1 enfant sur 20 (5%) est obligé de consulter endéans les 48H pour effets secondaires après les vaccins (cf. p 43/54). Et ceci, c'est donc pour la seule période des 48H post-vaccination mais donc combien de consultations évitables pour effets secondaires ont-elles lieu dans la semaine, dans les deux semaines, dans le mois ou même l'année après chaque vaccin??
"La vaccination, ce n'est pas un drame, ce sont d'innombrables drames. Des enfants gravement abîmés par un vaccin devront, jour après jour, leur vie durant, en supporter les conséquences. Bien souvent, à leur handicap physique, s'ajoutera la douleur morale de n'être ni compris, ni soutenu dans leur démarche de faire reconnaître ce vaccin comme la cause de leur drame. Omissions, mensonges ou tout simplement ignorance, se retrouvent dans les discours de certains défenseurs des vaccins, et tout cela est curieusement mélangé à des considérations philanthropiques. Pour ces défenseurs-là de la vaccination, l'obligation vaccinale est une nécessité. Etre obligé de subir une vaccination potentiellement dangereuse est inadmissible. Nous devons demander la suppression de l'obligation vaccinale. Nous devons exiger des pouvoirs publics la liberté de se faire vacciner ou de ne pas se faire vacciner. Que chacun puisse, après s'être informé des avantages et des inconvénients de la vaccination, décider, en âme et conscience, de se faire vacciner ou de ne pas se faire vacciner. Appliquons le premier principe d'Hippocrate: "Primum non nocere"- "D'abord ne pas nuire". (Dr Jean Pilette)
PS: Vous pourrez aussi remarquer, au niveau de la teneur des commentaires sous cette vidéo de Youtube, que la plupart des gens manquent l'essentiel, ils manquent toutes ces considérations les plus importantes sur les effets réels et parfois différés de tous ces cocktails vaccinaux qu'ils ne connaissent en réalité pas du tout; à la place, ils se focalisent sur le fait que la petite fille semble "courageuse", qu'elle ne pleure pas, etc. Derrière les apparences toutefois, et compte tenu de cette expérimentation à l'insu de la petite fille (première intéressée), il y a toutefois plus que jamais de quoi pleurer.
Voir aussi les deux articles suivants du blog Expovaccins :
Cinq tactiques psychologiques utilisées par les médecins pour vacciner vos enfants
Non à la survaccination des nourrissons… sachez compter les vaccins !