"Beau" tour de force d'une nouvelle publication scientifique publiée relativement récemment dans le British Medical Journal (revue ayant pignon sur rue) au sujet de la prétendue sécurité des vaccins anti-HPV.
L'étude a été menée dans les pays du Nord de l'Europe (Suède, Danemark). Elle a porté sur un groupe total de 997 585 jeunes femmes âgées de 10 à 17 ans dont 296 826 ont reçu au moins une dose de vaccin anti-HPV Gardasil.
Parmi ces 296 826 jeunes femmes ayant reçu la vaccination anti-HPV, seuls 80% de ce nombre ont reçu une deuxième dose et à peine plus de la moitié ont été jusqu'au bout des 3 doses prévues (ce qui en dit évidemment long sur la très mauvaise tolérance du vaccin!). Les autres jeunes filles ont évidemment reçu déjà au cours de leur vie différents autres vaccins, hormis le vaccin HPV.
L'étude évalue la survenue d'effets secondaires endéans les 6 mois suivant chacune des injections soit une période ne dépassant pas 1 an après la première dose de vaccination. Un des problèmes malgré ce délai plus élevé que les quelques jours sur lesquels portent les essais cliniques pré-commercialisation, c'est que de nombreux patients atteints de maladies chroniques errent parfois pendant de nombreux mois avant qu'un diagnostic ne tombe.
L'étude conclut qu'il n'y a pas plus de maladies auto-immunes, neurologiques et thrombo-emboliques chez les jeunes femmes vaccinées contre le HPV. Dans sa newsletter n°21 de novembre, la revue Vaxinfo (financée à 100% par GSK) fait référence à cette étude comme une donnée "rassurante". Mais cette étude signale toutefois quand on la lit bien un taux significativement accru de maladie de Raynaud, de diabète de type 1 (= insulino-dépendant) et de maladie de Behcet chez les jeunes filles vaccinées contre le HPV. Bien sûr, comme d'habitude, on sort toutes sortes d'excuses pour essayer de noyer le poisson et de dire que cela ne prouve pas grand chose. Mais s'il s'agissait de complications de maladies chez des non vaccinés, les mêmes s'empresseraient sûrement d'utiliser cet argument pour vacciner encore plus.
Faites attention, renseignez-vous bien avant d'accepter une vaccination car il est manifeste que ceux qui vous conseillent les vaccins n'assumeront nullement les conséquences possibles de leurs bons conseils.
Si vous voulez vraiment vous renseigner sur la vaccination, ce n'est certainement pas en lisant votre journal du dimanche ou en croyant comme parole d'Evangile votre médecin traitant "que vous trouvez sympa" que vous arriverez à glaner les informations les plus essentielles à mettre en balance pour effectuer une décision éclairée.
Il se peut aussi que ces données brutes vous semblent trop compliquées, trop rebutantes et que vous trouviez "plus confortable" de faire aveuglément confiance à tel ou tel...Alors dans ce cas, personne d'indépendant ne pourra rien pour vous et il y a peu de chances que ce site puisse vous être de la moindre utilité! Continuez donc à suivre votre médecin traitant dont 12,6% des revenus découlent au minimum de la vaccination (sans parler des suites) selon un rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française.