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2 juillet 2019 2 02 /07 /juillet /2019 08:32

Selon le Conseil de l'American Medical Association, les enfants matures de 12 ans peuvent consentir à la vaccination sans l’avis de leurs parents

Vaccine Impact 20 juin 2019

Vaccination des enfants de 12 ans, même sans le consentement des parents?

Selon l'AMA, les jeunes de 12 ans peuvent consentir à la vaccination sans l’avis de leurs parents – Cette mesure revient à éliminer la dernière barrière qui protège les enfants innocents de Big Pharma.

Lors de la réunion annuelle de l'American Medical Association (AMA) qui s'est récemment tenue à Chicago, les délégués de l'AMA ont adopté une nouvelle politique. Le puissant groupe professionnel a accepté d'élaborer un modèle de législation qui obligerait les législatures des États à autoriser les mineurs à «passer outre la volonté des parents opposés aux vaccinations».

En 2000, la Cour suprême a réaffirmé le droit fondamental des parents d’assumer les soins, la garde et la supervision de leurs enfants, droit reconnu par les États jusqu'à l'âge de 18 ans.

En ce qui concerne les vaccins, la loi nationale sur les dommages liés aux vaccins chez l'enfant, adoptée en 1986, oblige légalement les prestataires de soins de santé à distribuer des documents d'information sur les vaccins au parent ou au tuteur légal de tout enfant à qui il envisage d'administrer un vaccin, et ce, «avant l'administration du vaccin». Cela inquiète-t-il l'AMA que sa déclaration aille à l'encontre du précédent juridique ainsi que de la coutume sociale?

Les représentants de l’AMA, que l’érosion des droits parentaux ne semble guère débordent d’enthousiasme pour cette nouvelle politique de l’organisation.

Non seulement ils veulent que des mineurs de 12 ans puissent consentir à la vaccination quelles que soient les "convictions, soit disant, erronées" de leurs parents - tout en attendant que les parents continuent à payer pour les vaccins -, mais ils croient également que ce sont les médecins qui sont à même de déclarer qu’un  enfant «est suffisamment mature pour consentir à la vaccination ».

Toute personne familière avec l’histoire de l’AMA devrait se poser la question suivante: pourquoi aurions-nous confiance en l’AMA pour prendre des décisions aussi vitales à la place des parents?

Influence démesurée

Le nombre de membres de l’AMA s’est effondré au cours des dernières décennies.

Une analyse de 2011 des "problèmes" de ses membres a estimé que l’Association ne recrutait que 15% des médecins en exercice, contre 75% au début des années 1950. Les difficultés d’adhésion à l’AMA ne signifient pas pour autant que l’organisation manque de poids. En fait, l'AMA dispose d'une variété d'outils puissants pour s'assurer qu'elle «reste pertinente au niveau national».

Ces outils incluent un comité d'action politique et un vaste trésor de guerre de lobbying (plus de 20 millions de dollars dépensés en 2018), qui se traduisent tous par une influence démesurée sur la politique de santé et les perceptions du public.

Un rapport de 2016 sur les lobbyistes de Capitol Hill a classé l'AMA parmi les meilleurs «acteurs influents» à Washington, se classant parmi les «rares élus [qui] ont montré une capacité à faire avancer les choses ». Un ancien président de l'AMA l'a modestement admis, indiquant que :

"Ce que l'AMA a fait, et fait de mieux est dans le domaine du plaidoyer."

Une analyse des 20 principaux lobbyistes du secteur de la santé a révélé que l’AMA se classait au premier rang en termes de «dépenses de tous les temps» et au cinquième rang en termes de dépenses «parmi tous les lobbyistes, quel que soit leur secteur».

Les sociétés de lobbying embauchées par l'AMA sont souvent les mêmes que celles utilisées par l'industrie pharmaceutique.

La liste des membres de haut niveau de la table ronde d’entreprises de la Fondation AMA se compose presque exclusivement de membres de l’industrie pharmaceutique, y compris des quatre sociétés qui fabriquent tous les vaccins pour enfants aux États-Unis (Merck, GlaxoSmithKline, Pfizer et Sanofi). La publicité des sociétés pharmaceutiques domine également les pages de la revue phare JAMA de l’AMA, même si beaucoup concernent «les mêmes médicaments qui… tuent des dizaines de milliers d’Américains chaque année, selon les principaux chercheurs en sécurité des médicaments de la FDA».

L’AMA n’hésite pas non plus à fournir un «sceau d’approbation» pour les produits et les médicaments (générant des frais de publicité conséquents) «malgré le fait que l’organisation n’a pas la capacité de tester ces médicaments».

En 2011, Forbes a souligné que l’AMA obtenait d’énormes avantages financiers grâce à son système de codage des services médicaux de terminologie procédurale actuelle (CPT), utilisé par les prestataires de soins de santé et les payeurs aux États-Unis. Compte tenu de l’importance du système du CPT dans les grands programmes publics tels que Medicare, il s’agit essentiellement d’un "monopole accordé par le gouvernement" et d’une  véritable "manne".

En 2010, un quart des recettes totales de l’AMA était lié au CPT, soit le double de ce que l’organisation percevait des cotisations de ses membres. Ce "conflit d’intérêts gigantesque", selon l’éditorialiste de Forbes, fait de l’AMA "plus un outil des intérêts de Washington que celui des médecins".

L'AMA a également une histoire sordide de racket

L'économiste Milton Friedman a écrit il y a quelques années sur les attaques concertées de l'AMA contre les chiropraticiens et les médecins ostéopathes. Dans un procès de 1987 contre la concurrence, le juge a reconnu que l'AMA avait conspiré «pour contenir et éliminer une profession autorisée dans les cinquante États américains».  

Le juge a également condamné la «longue histoire de comportement illégal» de l’Association. Au début des années 2000, les tribunaux ont de nouveau condamné l’AMA (ainsi que les sociétés de gestion de soins) coupable de racket en manipulant le logiciel de codage de l’AMA.

Saper l’autorité des parents

Des efforts pour contourner la participation des parents aux soins de santé de leurs enfants sont en cours depuis un certain temps, notamment dans le domaine de la santé en matière de procréation.

Pour les services liés à la contraception et aux infections sexuellement transmissibles, les prestataires de santé ne sont que trop heureux de rejeter les objections des parents, affirmant que le besoin de services médicaux confidentiels chez les jeunes est «plus important» que le droit des parents à être informés de la condition de leur enfant.

À présent, les chercheurs sont en train de travailler pour présenter le même argument en faveur des vaccins.

En 2014, des experts de premier plan en matière de santé des adolescents ont décrit le consentement parental comme un «obstacle à la vaccination» et ont appelé à :

«Des stratégies qui faciliteraient la capacité des mineurs non accompagnés… à recevoir des vaccins dans le cadre de directives légales, éthiques et professionnelles».

L’infirmière zélée qui a récemment administré un vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) à un garçon de 11 ans sans consentement parental - tout en disant à la mère que tout ce qu’il avait eu était un sac de glace - avait-elle respecté les «directives légales, éthiques et professionnelles»? ?

Les détracteurs de l'AMA affirment que l'organisation a mené une campagne en faveur d'un «État de police pharmaceutique totalitaire» presque depuis sa création au milieu des années 1850.

Bien que ces critiques soient fortes, il semble clair que, sur les questions relatives aux vaccins, l'AMA n'est que trop disposée à définir une position politique draconienne. Après que l'AMA eut annoncé son intention d'ignorer les souhaits des parents, un écrivain conservateur a souligné ces contradictions:

"Alors que les individus doivent avoir au moins 21 ans avant de pouvoir boire, et 18 ans avant d’être autorisés à acheter des cigarettes et à élire un président, les enfants de tout âge peuvent prendre la décision de participer à la vaccination, quels que soient les risques suffisants pour justifier la nécessité d’un programme national d’indemnisation des dommages liés aux vaccins. "

Les législateurs tentés de suivre le mouvement de l'AMA pourraient réfléchir à deux fois avant de jeter les droits parentaux aux orties de manière aussi cavalière.

© 2019 Children’s Health Defence, Inc.

Source : Vaccine Impact

Vaccination des enfants de 12 ans, même sans le consentement des parents?
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13 mars 2019 3 13 /03 /mars /2019 12:17

Dans l’Iowa, l’industrie du vaccin s’associera désormais à la police et surveillera les élèves pour des contrôles trimestriels obligatoires de « santé et bien-être »

Lance D. Johnson, 27 février 2019, Natural News

Iowa (USA): association police-Big pharma pour la surveillance santé des élèves!

Après que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ait qualifié « l’hésitation face à la vaccination » comme représentant une menace mondiale pour la santé en 2019, la conformité par rapport à la vaccination est devenue la priorité absolue de chaque gouvernement  dirigé par Big Pharma. Le commissaire de la FDA, Scott Gottelieb, a appelé les Etats à limiter les exemptions relatives aux vaccins et à priver les parents de leurs droits. La guerre visant à atteindre des taux maximum d’adhésion aux vaccins se déplace vers une situation de plus en plus ferme.

L’Etat vise maintenant les familles qui font l’école à domicile. Nombre de ces familles ne respectent pas la totalité du calendrier vaccinal du CDC. Certaines familles essayent d’échapper à tous les vaccins. La représentante de l’Etat d’Iowa, Mary Mascher,  a lancé un projet de loi destiné à viser  les gens chez eux en vue de faire respecter la loi. Le texte HF 272 obligerait les familles d’Iowa, et qui font l’école à domicile de fournir la preuve du carnet de vaccination de leurs enfants, tout en les soumettant à des contrôles de sécurité trimestriels «de santé et de bien-être». Ces contrôles pouvant être effectués par des fonctionnaires du Département des services de santé et des services sociaux accompagnés par la police.

Le HF 272 est la directive la plus intrusive de cet Etat vaccinal. Aux lignes 22 à 24, le projet de loi demande à tous les parents qui font l’école à domicile de fournir au district les preuves que l’enfant a bénéficié des vaccinations «requises en vertu de l’article 139A.8». De plus, les parents seraient tenus de présenter un document complet concernant l’écolage de l’enfant, y compris « un aperçu du programme d’études » de toutes les matières abordées, de tous les plans de cours, ainsi que d’un registre chronologique pour chaque domaine d’étude. Ce projet de loi  est à la fois intrusif et malhonnête. Même les parents qui envoient leurs enfants dans une école publique peuvent choisir de ne pas recevoir l’un des vaccins recommandés par le CDC. Dans cet état, les exemptions religieuses et médicales existent cependant toujours !

Les districts scolaires «organisent des visites trimestrielles à domicile en matière de santé et de sécurité » pour les enfants du district et peuvent engager les forces de l’ordre si les parents ne donnent pas leur consentement.

Pour appliquer les nouvelles règles, le projet de loi demande au conseil d’administration du district scolaire de « procéder à des visites trimestrielles à domicile pour vérifier la santé et la sécurité » des enfants du district. Le projet de loi prévoit des fonds suffisants pour que le district scolaire puisse contrôler les familles qui pratiquent l’enseignement à domicile. Les visites doivent être effectuées à domicile et inclure l’observation de l’enfant, ainsi qu’un entretien avec ce dernier.

Si les parents ne donnent pas leur consentement, le district peut alors obtenir du tribunal pour mineurs une clause qui leur permettrait d’entrer de force dans le foyer et de procéder à leurs observations et entretiens. Le surintendant du district scolaire doit « désigner une personne pour exécuter ces tâches ». Cette personne est désignée comme « rapporteur obligatoire ».

Le plus révoltant : le district scolaire pourra collaborer avec le département des services sociaux, ainsi qu’avec les « services locaux du comté, et avec les agents régionaux pour entrer dans les maisons et procéder aux examens requis.

Etant donné le fait que les agents sont tenus de « faire leur travail », ils pourront se montrer très critiques pour que les parents intimidés ouvrent leurs portes et soumettent leur enfant à l’examen intrusif, ainsi qu’aux exigences en matière de vaccination. Si les parents ne coopèrent pas et ne présentent pas les preuves de vaccinations, il sera très facile pour les services de protection de l’enfance de retirer les enfants de la famille, de les faire vacciner et de les envoyer vivre dans une autre famille.

En Oregon, les législateurs veulent imposer le respect du calendrier vaccinal dès que les parents ramènent leur nouveau-né de la maternité ou de l’hôpital. Selon une proposition faite en Oregon, chaque nouveau parent, y compris les parents adoptifs devraient recevoir deux ou trois fois la visite d’une infirmière ou d’un professionnel de santé. Ces visites ont pour objectif de mettre les parents en contact avec les médecins de premier recours, de les filtrer, ainsi que de les programmer pour une myriade de vaccinations.

Ces projets de loi intrusifs donnent un aperçu de la voie que l’Etat autoritaire s’apprête à prendre pour forcer les gens à obéir et à se conformer aux exigences vaccinales. Les familles qui enseignent à domicile doivent s’apprêter à tenir leurs représentants élus responsables afin de ne pas permettre aux entreprises pharmaceutiques de créer des lois qui, rendues obligatoires, se retourneront contre le bon peuple.

Source : Naturalnews

Voir aussi :

Un rapport du Sénat français de 2007 mentionne que les pharmas sont "les partenaires naturels" des autorités...

(France): 20 examens de santé désormais obligatoires avant 16 ans

Vaccination : l’Italie opte pour la menace “pas de vaccin, pas d’école”

Tyrannie vaccinale généralisée en Argentine

L'OMS dévoile son projet de création d'un "département de santé" numérique

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10 mars 2019 7 10 /03 /mars /2019 23:25

La Belgique se prépare à une pandémie de grippe: "C'est nécessaire" selon les experts

Emmanuel Dupond et Regjep Ahmetaj, publié le 02 février 2019

capture d'écran vidéo RTL

capture d'écran vidéo RTL

La ministre de la santé veut préparer notre pays à une épidémie mondiale de grippe. Maggie De Block annonce que la Belgique va participer à un marché public européen. Son but: garantir la disponibilité de vaccins en cas de pandémie.

En 2009, plus de 70 pays à travers le monde doivent faire face à une pandémie grippale. Le virus AH1N1 fait près de 17.000 victimes. Notre pays n’est pas épargné : 17 belges sont mortellement touchés. Problème, les vaccins sont insuffisants.

Yves Van Laethem, président section vaccin au conseil supérieur de la santé: "En 2009, la dernière pandémie, on sait que certains pays n'ont pas eu la quantité de vaccins qu'ils souhaitaient, ou l'ont eu trop tard par rapport à l'arrivée du virus dans le territoire et donc on craignait qu'en cas de pandémie plus sévère, plus mortelle que celle de 2009, le même genre de scénarios se reproduise..."

Depuis trois ans, une quinzaine de pays européens se sont regroupés pour lancer un appel d’offre à plusieurs firmes pharmaceutiques. Objectif: obtenir la garantie qu’elles puissent fournir des vaccins à temps. Maggie De Block a annoncé hier qu’un accord allait être signé avec deux sociétés.

Maggie De Block, ministre de la santé: "On s’est inscrit dans ce projet Européen de fourniture de vaccins, ce qui nous permettra d’obtenir 6 millions de vaccins en cas de pandémie de grippe".

La Belgique va débourser deux millions d’euros par an pendant 4 ans, pour avoir l’assurance d’obtenir ces vaccins. Un budget important, mais une assurance nécessaire pour certains experts.

Yves Van Laethem, président section vaccin au conseil supérieur de la santé: "C'est permettre surtout d'assurer notre sécurité sanitaire, et comme c'est les firmes pharmaceutiques qui font les vaccins, il n'y a pas d'autre solution. Il n'y a pas de laboratoire d'état qu'il le fait. Il faut bien payer quelqu'un pour, à la fois, financer la recherche et fournir la capacité de production rapide si nécessaire."

La grippe pandémique n’est pas une grippe saisonnière. La dernière épidémie remonte à 2009. Notre pays peut décider dans 4 ans de renouveler le contrat, ou d’y mettre fin.

Source : RTL.be

Affligeant. Surréaliste, écœurant... la même clique (et ses conflits d'intérêts) recommence le pitoyable scénario du "c'est nécessaire", "au cas où", "il faut se préparer" et blablabla. On remarquera que l'on a de nouveau droit à une même litanie de mensonges, sans que les journalistes n'apportent le moindre démenti ou la moindre information contradictoire correctrice, le champ est de nouveau laissé complètement libre aux fieffés menteurs de service qui prétendent agir au nom de la santé publique! Oser dire que les vaccins étaient insuffisants en 2009 confine littéralement au délire merdiatique le plus pur, alors que des millions de doses périmées ont été détruites, quand les autres ont été écoulées inutilement aux malheureux Africains, comme s'en indignait à l'époque le Pr Gentilini, infectiologue et membre de l'Académie de Médecine...

 

Il faut le dire et le redire: cet affairement au sujet des pandémies n'est pas normal. L'OMS avait modifié ses critères de pandémie en 2009, très peu avant que la fausse pandémie ne soit déclarée et les vaccins décrétés indispensables et "salvateurs". On a hélas vu ce qui s'est produit avec les nombreux effets secondaires, comme la narcolepsie, à tel point que même le Commissaire européen à la Santé a déclaré que toute une série d'enfants souffrent d'effets secondaires "terrifiants" suite à ces vaccins... Les pays comme la Pologne, qui ont tenu bon et refusé d'acheter ces vaccins expérimentaux hasardeux, n'ont pas eu proportionnellement plus de cas et ont fait au passage de fameuses économies.

 

Mais voilà, il fallait éviter à l'avenir ce genre de "vilain petit canard" permettant ce genre de contraste dérangeant et dès lors concevoir un modèle d'achat européen aliénant toujours plus les Etats-membres à ce modèle contre-productif et iatrogène à souhait, à l'exclusion évidemment de tout autre approche intelligente, naturelle, qui respecterait les souhaits d'une large partie de la population et le plus élémentaire bon sens, tout simplement. Il faut dire qu'il existe des plans mondiaux de vaccination et tout un agenda pour assommer de plus en plus les populations par des batteries de plus en plus fournies et incessantes de vaccins, qui sont, à l'évidence, une des hontes les plus flagrantes de la médecine, devenue en réalité un si triste pharma-business.

 

L'OMS crée une "nouvelle maladie X" comme cadre d'accueil des prochaines pandémies tant attendues et aussi si bien annoncées à longueur d'année par des gens comme Bill Gates (un des plus grand contributeur privé au budget de l'OMS). Il est donc plus que grand temps de se réveiller, le piège étant de nouveau béant. Mais c'est bien connu, plus c'est gros, plus ça passe. Le H1N1 n'était en réalité qu'un exercice grandeur nature, une phase de test en vue d'une suite... histoire de toujours mieux rôder la désinformation, la coercition et la manipulation.

10 ans après le H1N1, l'Etat belge recommande 6 millions de vaccins pandémiques!
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21 janvier 2019 1 21 /01 /janvier /2019 13:05

Pas de vaccination ROR sur les enfants sans consentement parental, ordonne la Haute Cour de Delhi

Manu Sebastian, 16 janvier 2019

Pas de vaccination ROR sur les enfants sans consentement parental, a ordonné la Haute Cour de Delhi

La Haute Cour a établi que la vaccination ne peut être administrée qu’après le consentement informé des parents ou des gardiens.

La Haute Cour de Delhi a suspendu hier la campagne de vaccination du gouvernement de Delhi contre la rougeole et la rubéole, qui prévoyait la vaccination obligatoire des enfants même sans le consentement de leurs parents ou tuteurs. L’ordonnance a été adoptée à la suite d’une pétition de parents de six enfants qui contestaient l’instruction donnée par le gouvernement de Delhi, le 19 décembre et qui concernait toutes les écoles de Delhi, comme celles de la région de la capitale nationale qui avait mis en œuvre un programme de vaccination obligatoire des enfants âgés de 9 mois à 15 ans, ayant débuté le 16 janvier 2019.

Selon les pétitionnaires, les instructions du gouvernement de Delhi sont contraires aux instructions du Ministère de la Santé et du Bien-être de la Famille de l’Union, selon lesquelles le vaccin ne serait pas injecté de force aux enfants sans en informer les parents en vue d’un possible consentement. Le juge Vibhu Bakhru a suspendu les instructions après avoir constaté que le dossier des requérants était fondé. La Haute Cour a donc estimé que la vaccination ne pouvait être administrée qu’avec le consentement éclairé des parents ou des tuteurs. Il a également enjoint le gouvernement de diffuser des informations (annonces) par divers moyens, y compris les quotidiens nationaux, expliquant le vaccin et ses avantages, afin de permettre aux personnes de donner leur consentement en connaissance de cause.

L’avocat des requérants, Abhinav Mukherjee, a affirmé que la vaccination forcée sans consentement éclairé violait « l’autonomie corporelle » et la « confidentialité des informations », qui sont considérées comme des facettes du droit fondamental à la vie privée, et ce, en vertu de l’article 21 de la loi, conformément à la décision du CS dans l’affaire Puttaswamy.

« C’est ce principe bien établi que le choix d’un individu, même en cas de traitement médical vital, constitue un élément indissociable de la dignité humaine qui doit être protégé ;…

La loi et la procédure, autorisant toute forme d’atteinte à la liberté individuelle, au droit et au respect de la vie privée, doit également être juste, équitable et non pas arbitraire, fantaisiste et oppressante», a précisé la pétition. Elle a également mis en exergue les reportages sur les décès d’enfants au Gujarat, au Punjab, au Maharashtra, ainsi qu’en UP en 2018 après l’administration d’un nouveau vaccin MR.

Après de tels rapports, la Food and Drug Administration (FDA) a enjoint aux responsables d’arrêter immédiatement certains lots de vaccins. Le nouveau vaccin MR s’ajoute au vaccin déjà répandu contre la rougeole, la rubéole et les oreillons (ROR), administré depuis plusieurs années.  Les pétitionnaires n’ont pas fourni d’informations sur la nécessité d’une « dose supplémentaire » de vaccin.

Dans ce contexte, les étudiants ont affirmé qu’une information adéquate sur les essais cliniques et les effets indésirables du nouveau vaccin devrait être fournie pour apaiser les craintes légitimes concernant sa sécurité et son efficacité.

Source : Livelaw.in

Voilà qui devrait faire réfléchir Mme Buzyn, l’ONE et combien d’autres tyrans, aux Etats-Unis, en Argentine, en Italie, ou plus près de chez nous…

 

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1 janvier 2019 2 01 /01 /janvier /2019 18:52

Comme pour le Levothyrox, un dossier dans lequel, là encore, la composition officielle indiquée dans la notice ne correspondait pas à ce qui fut retrouvé après analyse de laboratoire indépendante (le tout couvert par l'Etat au nom du "secret des affaires"...), on a donc affaire ici à une nouvelle fraude de la part de l'industrie pharmaceutique mafieuse et des autorités de santé qui en sont complices. On vend donc aux gens un triple mensonge: que la vaccination protégera de maladies (alors qu'on ne retrouve pas trace des antigènes dans le vaccin, donc de la substance même censée "vacciner"), que la vaccination est bien étudiée et qu'elle n'entraînera pas de risque. La réalité est hélas tout autre: les vaccins entraînent des risques graves à une fréquence inacceptable, et quand on voit la soupe chimique incommensurable qu'ils peuvent contenir, comment  franchement s'en étonner..... Comme l'avait déjà dit il y a quelques années le Dr Marcia Angell, ex rédactrice en chef du New England Journal of Medicine (NEJM), "Il n'y a plus de confiance qui tienne" !!

 

Vaccingate: L'Italie découvre une fraude massive liée aux vaccins

Vaccingate: la notice du vaccin Infanrix hexa ne vous dit pas la vérité!

L’association pour la liberté de vaccination, Corvelva, fondée en 1993 et composée de scientifiques et de juristes, a annoncé avoir reçu un don de 10 000 euros de l’Ordre national des biologistes italiens le 26 octobre afin de tester la sécurité et l’efficacité des vaccins couramment utilisés pour la vaccination des enfants.

Le premier vaccin qu’ils ont testé de manière approfondie avec ce don est Infanrix Hexa, un vaccin six en un fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) qui est supposé contenir les antigènes suivants: toxoïdes du tétanos, de la diphtérie et de la coqueluche; souches virales 1-2-3 inactivées de la poliomyélite, antigènes  pour l'Haemophilius influenza de type b, et antigène de surface de l’hépatite B.

Corvelva n’a trouvé AUCUN de ces antigènes dans le vaccin, ce qui signifie qu’aucun anticorps ne serait créé contre les antigènes prévus.

Non seulement aucun antigènes vaccinaux n’ont été détectés, mais ils ont trouvé ce qui suit :

– Des traces de 65 contaminants chimiques dont 35% seulement sont connus, issus du processus de fabrication ou de contamination croisée avec d’autres chaînes de fabrication.

– Toxines chimiques.

– Toxines peptidiques bactériennes, des allergènes potentiels capables d’induire des réactions auto-immunes.

– Macromolécule insoluble et non digestible qui réagit au dosage des protéines, mais qui ne peut être reconnue par aucune base de données de protéines.

Vous pouvez trouver le résumé des premières analyses du vaccin Infanrix Hexa du groupe Corvelva sur leur site.

Ici, le rapport des premiers résultats détaillés d'analyse d'Infanrix hexa

Le 24 décembre, sur leur site, Corvelva a publié une mise à jour concernant les résultats d’analyses, débutées il y a quelques mois, du vaccin Priorix Tetra (rougeole-rubéole-oreillons-varicelle) fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK). Les analyses précédentes montraient des problèmes au niveau des mutations dans le génome des virus et au niveau des quantités absurdes d’ADN.

L’extension des analyses chimiques/protéines révèlent la présence de traces de composés de contaminants résiduels, dont des traces du médicament Vigabatrin et Gabapentine (antiépileptiques), d’un médicament expérimental anti-VIH, d’antibiotiques, d’herbicides, d’acaricides (insecticides), de métabolites de la morphine, de Viagra, … !!

La présence d’ADN fœtal en grande quantité a aussi été confirmée (1,7 µg dans le premier lot et 3,7 µg dans le deuxième lot), soit environ 325 fois la limite maximale fixée à 10 nanogrammes et 325 000 fois supérieur à la limite minimale de 10 picogrammes. Les cellules issues de bébés avortés font partie de la composition des vaccins, c’est connu et utilisé depuis les années 60.

Source : Corvelva

Conclusion: Les enfants reçoivent des vaccins qui ne contiennent pas ce que les notices indiquent (pour cause d'obligations vaccinales car bien des parents ne sont évidemment pas très enclins, et on les comprend!), les enfants sont donc des cobayes forcés et cela est inacceptable. Si les parents acceptent cela, ils sacrifient alors sciemment l'intégrité physique de leurs enfants et ils ouvrent la porte à ce qui suit, c'est-à-dire ce qui se constate déjà en Argentine, une dictature vaccinale, également pour les adultes, où Big Pharma et/ou l'Etat aura le pouvoir de vous administrer sous n'importe quel prétexte fumeux (d'urgence, fausse pandémie etc.) n'importe quel produit chimique. Il est temps de se réveiller et de prendre conscience que l'acceptation par trop de gens du principe de l'obligation vaccinale a ouvert la voie à des abus dont il ne faut pas penser naïvement qu'ils sont "réversibles", ponctuels, exceptionnels. Dans le domaine pharmaceutique, toutes les preuves sont hélas là depuis longtemps pour montrer que les malhonnêtetés sont bien plus la règle que l'exception.... L'OBLIGATION VACCINALE N'A PAS, N'A JAMAIS EU ET N'AURA JAMAIS LA MOINDRE LEGITIMITE POSSIBLE, D'AUCUNE SORTE... NULLE PART DANS LE MONDE....

 

Ci-dessous, quelques captures d'écran pour se rappeler la non surprenante similarité de ce qui se produit au niveau pharmaceutique.... malgré l'évidence d'analyses indépendantes qui démontrent noir sur blanc les mensonges des notices, les firmes continuent de nier (avec la complaisance des Etats)....

Publié par France Bleu, le 14 juin 2018

Publié par France Bleu, le 14 juin 2018

Publié par Mediacités, le 4 octobre 2018

Publié par Mediacités, le 4 octobre 2018

Publié par le Capital (Capital.fr), le 5 octobre 2018

Publié par le Capital (Capital.fr), le 5 octobre 2018

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30 octobre 2018 2 30 /10 /octobre /2018 12:03

L'anesthésie générale peut être donnée pour forcer la vaccination chez les enfants aux besoins spécifiques

 

Erin Elizabeth, 30 septembre 2018

Vacciner les enfants sous anesthésie générale: la nouvelle proposition criminelle des idéologues de la vaccination pour les cas difficiles

En juin dernier, à l'occasion de la Conférence Nationale sur la Vaccination à Adelaïde, en Australie, Julie Leask, Professeure associée à l'Université de Sidney,a fait une déclaration dérangeante, annonçant que certains enfants "dont le cas est médicalement complexe" pourront nécessiter une sédation ou même une anesthésie générale afin de leur faire un rattrapage des vaccinations. Et, comme si cela n'était pas encore assez choquant, elle a aussi annoncé que les parents qui refuseront seront privés d'allocations familiales. 

 

Voici un extrait de sa présentation: 

Mais gardez à l'esprit que même l'anesthésie générale comporte ses propres risques; en réalité, une étude réalisée en 2015 a lié l'anesthésie générale à "une réduction de QI et à des changements dans la structure du cerveau". [1]

 

Voici quelques effets secondaires possibles de l'anesthésie générale tels qu'indiqués sur le site du Ministère de la Santé de l'Etat de Victoria [2]:

 

- Blessure au site d'injection

- Infection

- Troubles respiratoires

- Dommages nerveux à court terme

- Réactions allergiques (ex: crise d'asthme)

- Sensations et douleurs durant l'opération

- Dommages à la bouche, aux dents, aux lèvres et à la langue

- Dommages causés aux cordes vocales ou au larynx

- Lésions pulmonaires

- Attaque cardiaque

- Dommages cérébraux

- Accident vasculaire cérébral

- Insuffisance rénale

- Insuffisance hépatique

- Paraplégie

- Quadriplégie

 

Maintenant, puisqu'il ne s'agit ici que des risques liés à l'anesthésie générale, pouvez-vous imaginer ce qui pourrait se passer lorsque les vaccins sont administrés en même temps? Cela a-t-il déjà été étudié en termes de sécurité? Et peut-être aussi la question la plus importante de toutes: pourquoi ces enfants complexes sur le plan médical ne bénéficient-ils pas plutôt d'exemptions à la vaccination?

 

Bien que le Pr Leask n'ait pas expliqué en quoi consiste "un enfant médicalement complexe", il est prudent de supposer qu'il s'agit d'enfants atteints de troubles neurologiques, tels que l'autisme, qui peut d'ailleurs avoir été initialement causé par la vaccination. [3]

 

Quelle cruelle ironie dès lors! Nos pensées vont aux parents de ces enfants qui pensent ne pas avoir le choix. Nous ne pouvons pas imaginer une telle situation! 

 

Références

 

[1] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

[2] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

[3] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

 

Sources: Healthnutnews & Australian Vaccination Network (AVN)

 

Commentaire additionnel d'Initiative Citoyenne:

Il ne faut, du reste, pas oublier non plus que l'anesthésie générale comporte, en elle-même, des effets d'immunosuppression (bien connus et préoccupants, notamment en matière de chirurgie oncologique puisqu’on peut notamment lire dans des publications médicales à ce sujet, nous citons : « La chirurgie carcinologique est à l’origine d’un chaos immunologique périopératoire, favorable à la prolifération de cellules cancéreuses » ; que « Les agents hypnotiques de l’anesthésie ont un effet sur l’activité des cellules NK. » (NB : les « NK » = « natural killers » = un type de globule blancs particulier) ou encore : « Les opioïdes ont un effet direct et un effet indirect sur la prolifération de cellules cancéreuses, in vitro. L’effet résultant serait en faveur d’une immunosuppression des défenses de l’hôte. ».) ; cela signifie donc qu'à l'instar de divers médicaments très connus (ex: cortisone), l'anesthésie et ses effets sur l'oxygénation du corps constitue un stress particulier pour le système immunitaire, lequel est justement celui mis à contribution au 1er chef avec les vaccinations, qui déjà, constituent un stress très supérieur à ce que serait celui occasionné par une infection naturelle, non seulement parce que l'organisme, dans la nature, ne sera pas exposé à tous ces germes à la fois, mais aussi parce que ces germes entreront par des voies précises, harmonieuses et progressives (en commençant par la barrière cutanéo-muqueuse que la vaccination court-circuite allègrement). Diverses études ont déjà montré que la vaccination induit une immunodépression dans ses suites (inversion du rapport des lymphocytes T4/T8, comme ce que qui se passe en cas de SIDA mais de façon plus temporaire, pendant parfois plusieurs semaines, expliquant de facto pourquoi les sujets vaccinés sont nettement plus vulnérables que les non vaccinés à quantité d'infections opportunistes dans leurs suites, certaines pouvant hélas s'avérer mortelles).

Conclusion: on va solliciter ici un système immunitaire immature, mis en état de stress maximum alors que tant l'anesthésie que les vaccins vont provoquer un effondrement immunitaire relatif, imposant dès lors aux organismes déjà fragilisés des injonctions contradictoires (faire travailler le système immunitaire et le faire taire)... une fois encore, bonjour les dégâts!

 

Voir aussi:

 

La vaccination des patients à risque? Encore plus risquée!

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 22:01

POLOGNE : premier projet de loi citoyenne pour la liberté de choix en matière vaccinale

POLOGNE : premier projet de loi citoyenne pour la liberté de choix en matière vaccinale

Les premiers représentants d’un comité appelé Association nationale pour la connaissance de la vaccination ont obtenu 121.000 signatures de parents déterminés à présenter au Parlement polonais un projet de nouvelle loi. C’est le 3  octobre 2018 que la première lecture du projet a lieu.

Le projet de loi vise principalement à supprimer les vaccinations obligatoires, à instaurer la vaccination volontaire, ainsi qu’à renforcer les moyens pouvant assurer la sécurité des enfants.

Une qualification médicale précise, destinée à prévenir les réactions indésirables. Le médecin doit s’interroger non seulement sur la santé en général, mais aussi sur les allergies, l’asthme, les maladies immunitaires et neurologiques, ainsi que sur les effets indésirables de vaccinations antérieures tant chez la personne vaccinée que dans sa famille.

Une information écrite donnée avant la vaccination par rapport aux risques possibles.

Une information sur les types de vaccins, ainsi que plus spécialement sur les vaccins produits à partir de lignées de cellules humaines issues d’un avortement.

Un compte-rendu médical précis après la vaccination afin de pouvoir enregistrer les réactions indésirables.

La possibilité, pour les parents, de signaler les réactions indésirables post-vaccinales, ainsi qu’un contrôle judiciaire de leur enregistrement.

Possibilité de consultation publique des modifications du calendrier vaccinal.

Le projet laisse la possibilité d’introduire des vaccins en cas d’épidémie, comme dans les pays où il n’y a pas de vaccinations obligatoires et où les parents ont le choix. La vaccination continuera à être financée par le gouvernement, mais les parents devront être traités comme des partenaires et non comme des esclaves du système.

Le rassemblement des signatures a été l’aboutissement de la manifestation internationale contre la vaccination obligatoire qui s’est déroulée le 3 juin à Varsovie, ainsi qu’à la suite de manifestations dans d’autres pays du monde.

Le 3 octobre 2018, le Parlement polonais entendra pour la première fois le projet de loi qui sera lu par la représentante de la Commission, Justyna Socha qui est également présidente de STOP NOP.

Le même jour, une grève des familles a eu lieu à Varsovie et la manifestation se déroulera sur le site du Parlement. Les parents qui luttent pour un choix libre en matière vaccinale se rassembleront pour une manifestation. Parmi eux, se trouveront beaucoup de personnes ayant présenté des effets indésirables au sein de leur famille après la vaccination, comme aussi des personnes qui en ont payé le prix fort : la santé ou la vie même d’un enfant.

La mobilisation a été annoncée à travers tout le pays.

L’Association STOP NOP compte sur le fait que, comme promis par le gouvernement actuel, aucune initiative législative ne sera rejetée, et que le Parlement approuvera le projet pour une procédure ultérieure.

A la suite de cette initiative de parents polonais conscients, nos frères italiens de Liberta di Scelta Proposta Legge di Initiativa Popolare, ont emboîté le pas et ont engagé le combat pour la liberté. Ils ont recueilli 100.000 signatures en un temps record. Ces signataires font appel au gouvernement pour qu’il respecte les décisions parentales. Nous leur souhaitons bonne chance, ainsi qu’un examen positif rapide par le Parlement de Rome de leur projet citoyen. Nous espérons que de nombreux autres pays suivront ces exemples.

S’il existe un risque, le libre choix s’impose.

POLOGNE : premier projet de loi citoyenne pour la liberté de choix en matière vaccinale
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24 septembre 2018 1 24 /09 /septembre /2018 22:48
Non à l'élargissement de la vaccination HPV (en médecine scolaire notamment): nos jeunes en danger avec la proposition de Mr Brotchi!

Des auditions ont eu lieu ce 24 septembre au parlement de la Communauté Française pour discuter de la pertinence de la proposition de résolution déposée par M. Brotchi et ses collègues le 12 juin dernier, visant à renforcer et élargir encore la vaccination HPV[1] (qui était déjà, depuis 2011, proposée gratuitement dans le cadre scolaire avec le vaccin Cervarix à toutes les jeunes filles de 2e secondaire en Communauté Française avec un taux d’acceptation d’environ 25-30% tout au plus contre plus de 80% en Flandre).

 

En résumé, cette proposition demande une extension des publics-cibles avec augmentation des tranches d’âges de vaccination (de 9 à 14 ans + rattrapage de 15 à 26 ans) et inclusion des jeunes hommes au nom de « l’égalité hommes-femmes » ainsi que des immunodéprimés, mais elle préconise également, au nom d’un prétendu « progrès » un changement de vaccin, en faveur du Gardasil 9 (plus cher) ; enfin, elle réclame un changement préoccupant de modalité vaccinale puisqu’elle demande de se calquer sur la Flandre et de « vacciner d’office » selon la règle du « Qui ne dit mot consent » (opting-out) plutôt que de ne vacciner que les jeunes dont les parents en auraient fait la demande (opting in).

Dans le cadre de cette proposition, Initiative Citoyenne a été contactée par mail en juillet dernier par le CDH qui disait chercher « une ou plusieurs personnes qui pourraient apporter une opinion divergente et sensibiliser les parlementaires aux dangers potentiels, voire avérés de cette vaccination ».Un conseiller politique nous a remerciés pour les noms d’experts et les infos données, les qualifiant de « très préoccupantes » et a fait part du souhait du parti d’avoir un « débat contradictoire et réellement démocratique ». Initiative Citoyenne avait également accepté d’intervenir lors de ces auditions mais compte tenu du peu de temps alloué par intervenant (15-20 minutes maximum normalement) et de la triste habitude des experts officiels à bloquer tout débat au nom de l’argument d’autorité (Ce serait eux et eux seuls les experts fiables et sérieux –comme on l’a vu avec le H1N1 notamment !), nous avions demandé des garanties pour que puissent être diffusés aux parlementaires présents deux extraits vidéos cruciaux (un extrait de « Médicaments sous Influence »[2], diffusé sur France 5 en 2015 et un autre diffusé sur Arte en 2017 sur « la fronde danoise contre le Gardasil »[3], pays qui a vu la couverture vaccinale par ce vaccin passer de 90% en 2010 à 23% suite aux effets secondaires conséquents et invalidants), garanties que nous n’avons pas reçues, car ces 27 minutes étaient soi-disant trop longues (sur 3H environ d’auditions et ce alors qu’il y aurait eu tout au plus 3 intervenants critiques sur la vaccination pour 7 autres en faveur !), raison pour laquelle nous avons décidé de décliner l’invitation estimant que le débat était biaisé d’avance. C’est d’ailleurs aussi la conclusion à laquelle est parvenu le Pr Romain Gherardi, du Centre des pathologies neuromusculaires du CHU Henri Mondor de Créteil, dont nous avions donné le nom au CDH. Celui-ci, a estimé : « après lecture attentive de l’ordre du jour de la réunion, tout est déjà verrouillé », et ne pas souhaiter « jouer les alibis d’un jeu pseudo-démocratique », ce que nous comprenons parfaitement.

Ces extraits vidéo que nous souhaitions voir diffuser au parlement, lors de ces auditions, sont cruciaux car ils donnent la parole à des experts de tout premier plan pour éclairer le véritable rapport bénéfices-risques de cette vaccination, des experts internationaux dont la Communauté française n’avait alors même pas à financer le voyage. Des gens qui savent ce qu’ils disent puisqu’ils parlent « de l’intérieur » du système. Parmi eux : le Dr Bernard Dalbergue, ex médecin de chez Merck qui a déjà dit précédemment que « Le Gardasil sera le plus grand scandale médical de tous les temps »[4] mais aussi le Dr Diane Harper qui a participé aux essais cliniques pré-commercialisation du Gardasil et a décrit comme « très effrayante » la stratégie commerciale de Merck qu’elle a découverte après coup et qui consisterait à « faire passer des lois » pour promouvoir aveuglément et pour tous ce vaccin lucratif. Autre personnalité à être interviewée, le Pr Carlos Alvares-Dardet, professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’université d’Alicante qui a lancé une demande de moratoire dès 2008 sur cette vaccination promue sans raison valable par des politiciens se faisant la voix des lobbys. 3500 personnes l’ont signé dont la moitié des spécialistes de santé publique du pays. Parmi les signataires se trouvait également Ildefonso Hernandez Aguado, Directeur général de la Santé publique espagnole de 2008 à 2011. Il a déclaré à France 5 : « Il était clair que, dès les premiers jours, des intérêts particuliers influençaient les décisions. » Il ajoute « Qui décide de l’agenda scientifique ? Les entreprises pharmaceutiques. Quand je suis arrivé au Ministère, c’est ce que j’ai constaté. L’agenda politique, qui était contrôlé par une série d’actions imperceptibles, qui semblent naturelles, comme si de rien n’était. Les entreprises influencent les politiques, chaque fois que c’est nécessaire. Ils disent qu’ainsi, ils contrôlent bien la situation mais en réalité, en agissant ainsi, ils influencent les politiques en touchant tous les niveaux du pouvoir, depuis le chef de l’Etat à tout en bas de l’échelle si nécessaire, c’est leur manière de faire. C’était visible, notamment à propos de gens que je connais personnellement et qui ont reçu des pressions directes pour changer leur opinion en faveur de l’industrie pharmaceutique ».

Il est clair que c’est une fois encore ce dont il est question aujourd’hui : une poussée de plus de l’industrie pharmaceutique qui instrumentalise les députés pour arriver à ses fins. Le même phénomène se passe aussi actuellement en France où une proposition étrangement proche de celle de Mr Brotchi a été déposée cet été demandant même l’inclusion de cette vaccination HPV parmi la liste des vaccinations obligatoires[5]. Le processus est toujours le même à la base : on grossit un problème en le transformant en « grave problème de santé publique » car, comme Merck a répondu à la chercheuse Diane Harper « la peur fait vendre » ! Dans les années 90’ déjà, lors de la folle campagne de vaccination anti-hépatite B qui a consisté à vacciner la moitié du pays (sans aucune baisse des complications graves liées à la maladie en bout de ligne), une note interne de Sanofi Pasteur disait textuellement : « Sur le marché des vaccinations, les adolescents sont un segment très porteur, il faut dramatiser »[6].

Pas un mot non plus, bien entendu, dans la proposition de M. Brotchi sur les risques graves possibles qu’on va faire encourir aux jeunes en les vaccinant de façon aussi systématique. En 2008, Mme Fonck s’était déjà positionnée en défaveur d’une vaccination scolaire[7] puisque ce cadre est évidemment très peu propice au respect du droit du patient à un consentement réellement libre et éclairé. L’association Vie Féminine s’était, elle aussi, préoccupée de cette question, déplorant dès 2012, la partialité inquiétante des informations diffusées par Provac[8]. Le médecin scolaire sera-t-il réellement en mesure (et est-il seulement même au courant ?) d’informer les jeunes sur le risque de paralysie ? De maladies auto-immunes ? D’infertilité[9] ? De décès[10] ? Car tous ces risques hélas sont bien réels ! En témoignages les statistiques des registres d’effets secondaires (VAERS), les actions en justice, les protestations et manifestations de rue dans plusieurs pays (Colombie, Irlande, Japon, etc.), les publications scientifiques.

Il faut tout de même savoir que le vaccin Gardasil 9 contient deux fois plus d’aluminium que l’ancienne version du vaccin, l’aluminium étant une substance neurotoxique, qui va se stocker dans le cerveau sans plus pouvoir en ressortir. Des chercheurs de l’Institut National de Cardiologie mexicain ont publié en 2017 dans Clinical Rheumatology[11], en indiquant notamment les subterfuges utilisés par les firmes pour biaiser leurs données d’étude sur la « sécurité » des vaccins. Ils y expliquent notamment que sur les 16 essais randomisés du vaccin HPV, seuls 2 ont recouru à un placebo salé inerte, les 14 autres ayant impliqué soit un autre vaccin à base d’aluminium, soit une solution d’aluminium seule (neurotoxique en elle-même) et que la firme s’est arrangée pour grouper volontairement les résultats de ses groupes « solution saline » et « aluminium seul », de façon à diluer le contraste énorme entre la solution neutre et le Gardasil évalué et présenter son vaccin comme prétendument sûr. Ces chercheurs ont également mis en lumière d’autres informations accablantes et alarmantes qui ne peuvent tenir du hasard : a) 2,3% des jeunes filles vaccinées (ou ayant reçu l’injection d’aluminium seul) ont développé des indicateurs de maladies auto-immunes dans les 6 mois de l’évaluation. b) En Espagne, l’incidence des effets secondaires liés au vaccin HPV est dix fois supérieure à celle des autres vaccins. c) Taux anormalement élevé de visites aux urgences dans les 42 jours qui suivent la vaccination. La « réponse » des autorités sanitaires officielles est toujours une attitude de déni (« pas de relation de causalité »). Comme rapporté à Arte par le médecin danois Dr Jesper Mehlsen, directeur de recherche à l’hôpital de Frederiksberg, qui a investigué les effets secondaires du Gardasil dans son pays, il ne s’attendait nullement à ce que l’Agence Européenne du Médicament/EMEA (financée à 80% par des redevances de l’industrie pharmaceutique) effectue une analyse objective, estimant que les dés étaient pipés d’avance. Le Dr Mehlsen a été auditionné par l’EMEA mais  a affirmé : « Tout était déjà décidé avant qu’on arrive ». La Collaboration Cochrane, qui  a mis la main sur un rapport confidentiel, interne à l’EMEA prouvant que l’Agence Européenne a balayé toute voix discordante ».

En 2011, Initiative Citoyenne s’était déjà adressée aux directions d’écoles secondaires et aux associations de parents pour les alerter sur cette vaccination dans un cadre scolaire. En 2013, nous leur avions réécrit pour leur faire notamment part de la décision japonaise, en 2013 de suspendre la recommandation officielle de la vaccination anti-HPV[12].

Entre-temps, de nouveaux éléments fondamentaux sont encore venus s’ajouter, et notamment, le fait gravissime que cette vaccination accroît en réalité le risque de cancer invasif du col pour les vaccinées, ce qui est un comble ! Comme le montrent les données officielles dans plusieurs pays qui ont massivement vacciné (Australie, Suède, Norvège, etc…), le cancer du col de l’utérus qui avait tendance à baisser avant la vaccination, principalement grâce au frottis de dépistage, non seulement ne baisse plus, mais a commencé à réaugmenter trois à cinq ans après le début des campagnes, sans que cette hausse ne concerne toutefois les femmes plus âgées qui ont échappé à la vaccination. C’est ce que le Dr Gérard Delépine, chirurgien oncologue et statisticien explique, données officielles à l’appui dans plusieurs articles et qu’il appelle « l’effet Titanic du Gardasil »[13]. Alors que l’histoire de ces cancers est une histoire longue (sur 10, 15, 20 ans pour qu’il se développe), les excès de cancers du col liés à la vaccination HPV sont déjà observables dans les 3 à 5 ans qui suivent le lancement des campagnes, lesquelles incluent aussi pour des raisons de business, les jeunes filles ayant déjà commencé leur vie sexuelle et ayant donc déjà pu être contaminées précédemment par des HPV sans le savoir (ce qui n’empêche pas Mr Brotchi, peu soucieux de cette efficacité négative, de préconiser cependant un « rattrapage pour les 15 à 26 ans » !).

Pour conclure, nous voudrions rappeler simplement quelques chiffres qui donnent le tournis : 430 décès de jeunes après vaccination anti-HPV déjà enregistrés au système américain VAERS au 15 juillet dernier, depuis la commercialisation initiale en 2006, et près de 60 000 effets secondaires dont plus de 8600 graves (en sachant que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont comptabilisés dans ce genre de système)[14]. 200 millions au moins de jeunes femmes déjà vaccinées dans le monde et 100 milliards de dollars déjà dilapidés pour ces vaccins n’ayant encore aucunement apporté la preuve qu’ils avaient été en mesure d’éviter le moindre cas de cancer invasif du col[15]. La santé de nos jeunes devra-t-elle être broyée dans cette machine commerciale ? Il est clair qu’il appartient maintenant surtout aux médias et aux associations de parents (bien plus qu’aux politiciens dont on n’a plus grand-chose à attendre, selon nous) de diffuser ces informations essentielles et de ne pas embrayer dans le tournant autoritaire et si peu libéral que Mr Brotchi souhaite promouvoir avec une vaccination aussi agressive et indistincte. Le modèle flamand qui plaît tant à Mr Brotchi et « son secret » en termes de docilité et de censure médiatique se trouve résumé de façon simple et directe par le Pr Marc Van Ranst, virologue et épidémiologiste à la KUL : « Dans les régions dont les habitants peuvent se permettre de questionner le risque d’épidémie et l’utilité des vaccins, les critiques de la vaccination trouvent en effet plus d’écho. Les réseaux sociaux, qui relaient considérablement les messages, quels qu’ils soient, jouent aussi un rôle prépondérant. Nous pouvons nous estimer heureux que nos médias flamands soient responsables à ce sujet et n’essayent pas de marquer des points au moyen de nouvelles sensationnelles sur le bien-fondé ou les dangers des vaccins »[16].

 

[2] Cf. entre temps 40’00’’ et 1H00’ au lien suivant : https://www.youtube.com/watch?v=BFUlfr2lRuQ&t=3599s

[9] Plusieurs cas d’insuffisance ovarienne ont été recensés. Des plaintes en justice ont été déposées à ce sujet et des communications scientifiques établies. Une publication de 2018 mentionne une baisse des taux de natalité aux Etats-Unis, possiblement en lien avec la vaccination HPV : de 118 pour 1000 femmes en 2007 chez les femmes de 25 à 29 ans (au début de la vaccination HPV) chez les femmes de 25 à 29 ans à 105 pour 1000 dans la même catégorie en 2015. 60% environ des femmes n’ayant pas reçu le vaccin HPV ont été enceintes au moins une fois, alors que seulement 35% des femmes qui avaient reçu le vaccin avaient pu concevoir. Pour les femmes mariées, 75% d’entre elles qui n’avaient pas été vaccinées ont pu concevoir, tandis que seulement 50% des femmes vaccinées ont pu être enceintes. Si 100% des femmes avaient été vaccinées contre le HPV, il y aurait eu jusqu’à 2 millions de naissances en moins… Voir les liens suivants à ce sujet :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29889622

http://casereports.bmj.com/content/2012/bcr-2012-006879.abstract

http://initiativecitoyenne.be/article-devenues-steriles-apres-le-gardasil-deux-soeurs-deposent-plainte-123111010.html

Voir aussi les extraits vidéos suivants, essentiels pour protéger sa santé et celle de ses enfants. Ces extraits vidéos que la Communauté Française n'a pas souhaité voir diffuser aux parlementaires au motif fumeux que ça aurait été trop long...  27 petites minutes pour sauver combien de vies et de santés d'une cynique et cruelle arnaque commerciale. A voir, à partager un maximum avant que leur folle campagne vaccinale agressive et partiale ne vienne encore mettre un peu plus de vies en danger.... NB: ce jour au Parlement de la Communauté Française, Céline Danhier, Directrice de Sida'Sos, a déclaré qu'il y aurait tout un gros travail à faire pour déconstruire les discours et fake news du lobby anti-vaccinal pour augmenter encore et toujours cette couverture vaccinale à tout prix... Nous laissons aux lecteurs, jeunes et moins jeunes, le soin de comparer les explications des experts internationaux interviewés par France 5 et Arte au ton et à la rigueur de la communication simpliste et partiale de cette association, sur base d'une capture d'écran de leur site.

 

Voir tout d'abord ici, du temps 40'00'' au temps 1H00'  (Médicaments sous influence, France 5, 2015): 

Reportage d'Arte sur la Fronde danoise contre le Gardasil (2017): 

Le triste précédent de la vaccination anti-hépatite B, vendue aussi dès les années 90 à la jeunesse française à coup de mensonges gros comme des maisons ("ça se transmet par la salive" etc.). Non seulement ce vaccin n'a pas permis de réduire le moins du monde les complications graves de l'hépatite B mais il a considérablement augmenté les cancers du foie chez l'homme (et ce malgré la baisse de la consommation d'alcool...). Faire peur pour vendre, comme on le voit dans ce reportage diffusé au JT de France 2: 

Et maintenant le "sérieux" de l'association Sida'Sos résumé en une image sur leur site: 

Un lobby "pro pénis" ou... pro Big Pharma? Qui devra démontrer en quoi Drs Dalbergue, Harper, Carlos Alvares-Dardet et tous les autres seraient dans les "fake news" avec leurs mises en garde!

Un lobby "pro pénis" ou... pro Big Pharma? Qui devra démontrer en quoi Drs Dalbergue, Harper, Carlos Alvares-Dardet et tous les autres seraient dans les "fake news" avec leurs mises en garde!

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23 juin 2018 6 23 /06 /juin /2018 08:11

Comment j’ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Aplanetruth info, 15 janvier 2018

Comme nous venons d’accueillir notre troisième enfant, c’est pour moi l’occasion d’expliquer pourquoi nous ne les avons pas fait vacciner, et aussi pourquoi ils sont en parfaite santé.

Je voudrais aussi évoquer les réactions hostiles et négatives que nous avons dû essuyer quand nous avons consulté des pédiatres à la suite de notre position sur les vaccins.

Nous avons cependant réussi à mettre l’un d’eux dans l’embarras pour finalement le remettre à sa place quand il a tenté de nous provoquer.

J’ai personnellement travaillé pendant 10 ans dans l’industrie pharmaceutique en tant que scientifique. J’ai aussi mené des recherches approfondies sur les vaccins et leurs différents constituants.

Le pédiatre qui nous recevait n’était pas au courant de ces derniers éléments.

Avant que je ne fasse état de toutes mes objections, ce pédiatre a commencé à m’agresser verbalement en voulant me faire comprendre que nous tuions nos enfants en ne les faisant pas vacciner. Il a poursuivi en me disant que l’autisme soi- disant provoqué par les vaccins était une théorie totalement démentie et démystifiée , et que cette théorie n’était basée que sur des études frauduleuses. Il me disait ces choses alors que je n’avais même pas abordé le thème de l’autisme. Nombreux sont les pédiatres qui se précipitent sur ces fausses conclusions. Ils estiment que l’autisme n’est pas causé par les vaccins parce que c’est ce que disent et redisent les grands médias.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Entre nous, je pense qu’il y a bel et bien une corrélation entre les vaccins et l’autisme.

Comme j’ai vite pu réaliser que la discussion ne mènerait à rien avec ce pédiatre, j’ai décidé de changer l’orientation de la discussion.

Comme je l’ai dit au début, j’ai remis ce pédiatre à sa place quand il a fini par avouer ne pas avoir approfondi la question. Je lui ai finalement dit que mes inquiétudes ne concernaient pas que l’autisme, mais bien les troubles auto-immuns.

Dans chaque vaccin, il y a des adjuvants. Ces éléments font partie des vaccins dans le but de sur-stimuler le système immunitaire.

Les vaccins qui ne contiendraient que l’antigène spécifique à telle ou telle maladie, ne peuvent pas engendrer une réponse immunitaire suffisante permettant de créer un nombre suffisant d’anticorps. Les producteurs de vaccins reconnaissent la chose, et c’est la raison pour laquelle ils ajoutent des adjuvants.

Ces adjuvants stimulent le système immunitaire de façon aveugle et non sélective pour qu’il puisse produire une réponse suffisante aux antigènes des vaccins et ainsi créer une protection.

La véritable clé de compréhension réside dans le fait que ces adjuvants sur-stimulent de manière non sélective le système immunitaire. Cela veut dire que quand ces adjuvants sont introduits dans le corps, celui-ci produit une réponse immunitaire SYSTEMIQUE, c’est-à-dire une réponse qui se répercute sur l’ensemble du corps, et au cours de laquelle les anticorps pourraient ne pas exclusivement se retourner contre l’antigène du vaccin, mais contre d’autres types de cellules du corps. Les inquiétudes portent sur le fait que les adjuvants pourraient susciter des réponses immunitaires dirigées contre, par exemple, d’autres protéines du corps, provoquant ainsi l’auto-immunité.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Si vous suivez les nouvelles, vous aurez appris que les maladies auto-immunes sont en progression. Les Instituts nationaux de santé américains estiment que 23 millions d’Américains souffrent de maladies auto-immunes, et que, chaque année, leur nombre augmente. 

En 1962, nous stimulions le système immunitaire avec 5 doses de vaccins. Aujourd’hui en 2017, le système immunitaire est stimulé 72 fois.- Devons-nous, dès lors, nous étonner d’avoir tant de troubles auto-immuns quand le corps attaque ses propres cellules ?

Une étude s’est penchée sur la comparaison entre des enfants vaccinés et des enfants non vaccinés.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

L’image montre clairement combien les personnes vaccinées sont susceptibles de faire davantage de maladies.

A titre d’exemple, nous voyons que dans le domaine des allergies et notamment dans les rhinites allergiques, les personnes vaccinées ont 30,1 fois plus de risques de faire une rhinite allergique que les non vaccinés.

Quand j’ai expliqué ces choses au pédiatre, il a immédiatement cessé d’avoir une attitude hostile et négative. Il s’est immédiatement placé en « mode de défense ». Il n’a plus osé m’attaquer en me disant que j’allais tuer mes enfants etc. Il n’était plus à l’aise du tout !

Dr Bob Sears, M.D., pédiatre explique :

Vous pourriez penser que la FDA a étudié tous ces ingrédients, ainsi que leur action sur les enfants afin de s’assurer que chacun d’entre eux était sans danger. Et bien… cette étude n’a jamais été effectuée !

 

 

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14 juin 2018 4 14 /06 /juin /2018 09:16

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Dr Jacob PULIYEL, 26 mai 2018

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Le prestigieux journal Nature Medicine, rapportait dans son numéro de février, que le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) devait faire l’essai clinique d’un vaccin antitétanique (TT) associé à une hormone de grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG). Ce vaccin devait être étudié sur 120 femmes indiennes.

Ce « vaccin » contre la grossesse a été développé par le Dr G.P. Talwar en 1972. L’idée était de faire produire des anticorps contre l’hormone de grossesse, pour que les femmes ne puissent pas être en mesure de mener à terme une grossesse normale. Les femmes enceintes devaient avorter, et celles qui ne l’étaient pas devaient devenir stériles. Le rapport est en effet troublant. Quelques mois plus tôt, un article intitulé « HCG trouvé dans le vaccin de l’OMS au Kenya contre le tétanos a suscité des inquiétudes dans les pays en voie de développement » Cet article a été publié par Oller et collègues dans l’ « Open Access Library Journal ».

Le rapport Oller décrit des jeunes femmes au Kenya qui ont été vaccinées avec ce vaccin Talwar » sous prétexte de prévenir le tétanos maternel et néonatal. Un grand nombre d’échantillons du vaccin contre le tétanos qui ont été testés positifs à l’hCG provenaient du Sérum Institute of India.

Le programme de vaccination qui a été promu par l’OMS et le gouvernement du Kenya a été financé par la Fondation Gates. Les futures mères ont été encouragées à prendre le vaccin pour prévenir le tétanos chez leur bébé à naître, sans qu’on leur dise que le vaccin empêcherait le bébé à naître. Le rapport Oller souligne certains aspects intéressants de la campagne. Les vaccins utilisés au cours de cette campagne n’ont pas été stockés localement, mais ont été distribués directement à partir de Nairobi. Ces vaccins ont, en outre, été gardés par la police. Chaque flacon de vaccin utilisé a été retourné à Nairobi sous escorte militaire et à des frais considérables. – Il a été conseillé que le vaccin soit administré cinq fois à six mois d’intervalle. Cette façon de faire diffère complètement du calendrier de l’anatoxine tétanique partout dans le monde. Il s’agit en fait du calendrier recommandé pour le « vaccin Talwar ».

Les publications de l’OMS décrivent apparemment un objectif à long terme de réduction de la croissance démographique dans les « pays moins développés » instables et travaillent sur un vaccin anti-fertilité plus puissant, en utilisant de l’ADN recombinant.

Dans le contexte de ces rapports sur l’utilisation non éthique de « vaccin Talwar » au Kenya, fabriqué par le « Serum Institute of India », les nouvelles de l’étude de l’ICMR sont alarmantes. On prétend que l’effet du vaccin n’est pas permanent, mais il n’existe aucune preuve claire que les femmes seront capables de concevoir à volonté, après avoir été immunisées avec ce vaccin.

La crédibilité de l’OMS et de la Fondation Gates a été irrémédiablement entachée par cette stérilisation non éthique des femmes du Kenya. Il est important que l’ICMR, qui a déjà été critiqué par le 72ème Comité parlementaire permanent sur la santé et le bien-être familial pour sa participation à l’essai HPV, reconsidère sérieusement la nécessité de ce nouvel essai clinique. Le Parlement et le public doivent chercher à savoir qui ou quoi a incité l’ICMR à étudier ce vaccin développé et abandonné en Inde, il y a 45 ans.

Jacob Puliyel est pédiatre. Les opinions exprimées sont les siennes.

 

 

 

 

Source : Sunday Guardianlive

 

Voir aussi: 

Eugénisme et vaccination: qu'en penser?

Kenya: des médecins dénoncent la vaccination antitétanique des seules femmes en âge de procréer

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