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24 septembre 2018 1 24 /09 /septembre /2018 22:48
Non à l'élargissement de la vaccination HPV (en médecine scolaire notamment): nos jeunes en danger avec la proposition de Mr Brotchi!

Des auditions ont eu lieu ce 24 septembre au parlement de la Communauté Française pour discuter de la pertinence de la proposition de résolution déposée par M. Brotchi et ses collègues le 12 juin dernier, visant à renforcer et élargir encore la vaccination HPV[1] (qui était déjà, depuis 2011, proposée gratuitement dans le cadre scolaire avec le vaccin Cervarix à toutes les jeunes filles de 2e secondaire en Communauté Française avec un taux d’acceptation d’environ 25-30% tout au plus contre plus de 80% en Flandre).

 

En résumé, cette proposition demande une extension des publics-cibles avec augmentation des tranches d’âges de vaccination (de 9 à 14 ans + rattrapage de 15 à 26 ans) et inclusion des jeunes hommes au nom de « l’égalité hommes-femmes » ainsi que des immunodéprimés, mais elle préconise également, au nom d’un prétendu « progrès » un changement de vaccin, en faveur du Gardasil 9 (plus cher) ; enfin, elle réclame un changement préoccupant de modalité vaccinale puisqu’elle demande de se calquer sur la Flandre et de « vacciner d’office » selon la règle du « Qui ne dit mot consent » (opting-out) plutôt que de ne vacciner que les jeunes dont les parents en auraient fait la demande (opting in).

Dans le cadre de cette proposition, Initiative Citoyenne a été contactée par mail en juillet dernier par le CDH qui disait chercher « une ou plusieurs personnes qui pourraient apporter une opinion divergente et sensibiliser les parlementaires aux dangers potentiels, voire avérés de cette vaccination ».Un conseiller politique nous a remerciés pour les noms d’experts et les infos données, les qualifiant de « très préoccupantes » et a fait part du souhait du parti d’avoir un « débat contradictoire et réellement démocratique ». Initiative Citoyenne avait également accepté d’intervenir lors de ces auditions mais compte tenu du peu de temps alloué par intervenant (15-20 minutes maximum normalement) et de la triste habitude des experts officiels à bloquer tout débat au nom de l’argument d’autorité (Ce serait eux et eux seuls les experts fiables et sérieux –comme on l’a vu avec le H1N1 notamment !), nous avions demandé des garanties pour que puissent être diffusés aux parlementaires présents deux extraits vidéos cruciaux (un extrait de « Médicaments sous Influence »[2], diffusé sur France 5 en 2015 et un autre diffusé sur Arte en 2017 sur « la fronde danoise contre le Gardasil »[3], pays qui a vu la couverture vaccinale par ce vaccin passer de 90% en 2010 à 23% suite aux effets secondaires conséquents et invalidants), garanties que nous n’avons pas reçues, car ces 27 minutes étaient soi-disant trop longues (sur 3H environ d’auditions et ce alors qu’il y aurait eu tout au plus 3 intervenants critiques sur la vaccination pour 7 autres en faveur !), raison pour laquelle nous avons décidé de décliner l’invitation estimant que le débat était biaisé d’avance. C’est d’ailleurs aussi la conclusion à laquelle est parvenu le Pr Romain Gherardi, du Centre des pathologies neuromusculaires du CHU Henri Mondor de Créteil, dont nous avions donné le nom au CDH. Celui-ci, a estimé : « après lecture attentive de l’ordre du jour de la réunion, tout est déjà verrouillé », et ne pas souhaiter « jouer les alibis d’un jeu pseudo-démocratique », ce que nous comprenons parfaitement.

Ces extraits vidéo que nous souhaitions voir diffuser au parlement, lors de ces auditions, sont cruciaux car ils donnent la parole à des experts de tout premier plan pour éclairer le véritable rapport bénéfices-risques de cette vaccination, des experts internationaux dont la Communauté française n’avait alors même pas à financer le voyage. Des gens qui savent ce qu’ils disent puisqu’ils parlent « de l’intérieur » du système. Parmi eux : le Dr Bernard Dalbergue, ex médecin de chez Merck qui a déjà dit précédemment que « Le Gardasil sera le plus grand scandale médical de tous les temps »[4] mais aussi le Dr Diane Harper qui a participé aux essais cliniques pré-commercialisation du Gardasil et a décrit comme « très effrayante » la stratégie commerciale de Merck qu’elle a découverte après coup et qui consisterait à « faire passer des lois » pour promouvoir aveuglément et pour tous ce vaccin lucratif. Autre personnalité à être interviewée, le Pr Carlos Alvares-Dardet, professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’université d’Alicante qui a lancé une demande de moratoire dès 2008 sur cette vaccination promue sans raison valable par des politiciens se faisant la voix des lobbys. 3500 personnes l’ont signé dont la moitié des spécialistes de santé publique du pays. Parmi les signataires se trouvait également Ildefonso Hernandez Aguado, Directeur général de la Santé publique espagnole de 2008 à 2011. Il a déclaré à France 5 : « Il était clair que, dès les premiers jours, des intérêts particuliers influençaient les décisions. » Il ajoute « Qui décide de l’agenda scientifique ? Les entreprises pharmaceutiques. Quand je suis arrivé au Ministère, c’est ce que j’ai constaté. L’agenda politique, qui était contrôlé par une série d’actions imperceptibles, qui semblent naturelles, comme si de rien n’était. Les entreprises influencent les politiques, chaque fois que c’est nécessaire. Ils disent qu’ainsi, ils contrôlent bien la situation mais en réalité, en agissant ainsi, ils influencent les politiques en touchant tous les niveaux du pouvoir, depuis le chef de l’Etat à tout en bas de l’échelle si nécessaire, c’est leur manière de faire. C’était visible, notamment à propos de gens que je connais personnellement et qui ont reçu des pressions directes pour changer leur opinion en faveur de l’industrie pharmaceutique ».

Il est clair que c’est une fois encore ce dont il est question aujourd’hui : une poussée de plus de l’industrie pharmaceutique qui instrumentalise les députés pour arriver à ses fins. Le même phénomène se passe aussi actuellement en France où une proposition étrangement proche de celle de Mr Brotchi a été déposée cet été demandant même l’inclusion de cette vaccination HPV parmi la liste des vaccinations obligatoires[5]. Le processus est toujours le même à la base : on grossit un problème en le transformant en « grave problème de santé publique » car, comme Merck a répondu à la chercheuse Diane Harper « la peur fait vendre » ! Dans les années 90’ déjà, lors de la folle campagne de vaccination anti-hépatite B qui a consisté à vacciner la moitié du pays (sans aucune baisse des complications graves liées à la maladie en bout de ligne), une note interne de Sanofi Pasteur disait textuellement : « Sur le marché des vaccinations, les adolescents sont un segment très porteur, il faut dramatiser »[6].

Pas un mot non plus, bien entendu, dans la proposition de M. Brotchi sur les risques graves possibles qu’on va faire encourir aux jeunes en les vaccinant de façon aussi systématique. En 2008, Mme Fonck s’était déjà positionnée en défaveur d’une vaccination scolaire[7] puisque ce cadre est évidemment très peu propice au respect du droit du patient à un consentement réellement libre et éclairé. L’association Vie Féminine s’était, elle aussi, préoccupée de cette question, déplorant dès 2012, la partialité inquiétante des informations diffusées par Provac[8]. Le médecin scolaire sera-t-il réellement en mesure (et est-il seulement même au courant ?) d’informer les jeunes sur le risque de paralysie ? De maladies auto-immunes ? D’infertilité[9] ? De décès[10] ? Car tous ces risques hélas sont bien réels ! En témoignages les statistiques des registres d’effets secondaires (VAERS), les actions en justice, les protestations et manifestations de rue dans plusieurs pays (Colombie, Irlande, Japon, etc.), les publications scientifiques.

Il faut tout de même savoir que le vaccin Gardasil 9 contient deux fois plus d’aluminium que l’ancienne version du vaccin, l’aluminium étant une substance neurotoxique, qui va se stocker dans le cerveau sans plus pouvoir en ressortir. Des chercheurs de l’Institut National de Cardiologie mexicain ont publié en 2017 dans Clinical Rheumatology[11], en indiquant notamment les subterfuges utilisés par les firmes pour biaiser leurs données d’étude sur la « sécurité » des vaccins. Ils y expliquent notamment que sur les 16 essais randomisés du vaccin HPV, seuls 2 ont recouru à un placebo salé inerte, les 14 autres ayant impliqué soit un autre vaccin à base d’aluminium, soit une solution d’aluminium seule (neurotoxique en elle-même) et que la firme s’est arrangée pour grouper volontairement les résultats de ses groupes « solution saline » et « aluminium seul », de façon à diluer le contraste énorme entre la solution neutre et le Gardasil évalué et présenter son vaccin comme prétendument sûr. Ces chercheurs ont également mis en lumière d’autres informations accablantes et alarmantes qui ne peuvent tenir du hasard : a) 2,3% des jeunes filles vaccinées (ou ayant reçu l’injection d’aluminium seul) ont développé des indicateurs de maladies auto-immunes dans les 6 mois de l’évaluation. b) En Espagne, l’incidence des effets secondaires liés au vaccin HPV est dix fois supérieure à celle des autres vaccins. c) Taux anormalement élevé de visites aux urgences dans les 42 jours qui suivent la vaccination. La « réponse » des autorités sanitaires officielles est toujours une attitude de déni (« pas de relation de causalité »). Comme rapporté à Arte par le médecin danois Dr Jesper Mehlsen, directeur de recherche à l’hôpital de Frederiksberg, qui a investigué les effets secondaires du Gardasil dans son pays, il ne s’attendait nullement à ce que l’Agence Européenne du Médicament/EMEA (financée à 80% par des redevances de l’industrie pharmaceutique) effectue une analyse objective, estimant que les dés étaient pipés d’avance. Le Dr Mehlsen a été auditionné par l’EMEA mais  a affirmé : « Tout était déjà décidé avant qu’on arrive ». La Collaboration Cochrane, qui  a mis la main sur un rapport confidentiel, interne à l’EMEA prouvant que l’Agence Européenne a balayé toute voix discordante ».

En 2011, Initiative Citoyenne s’était déjà adressée aux directions d’écoles secondaires et aux associations de parents pour les alerter sur cette vaccination dans un cadre scolaire. En 2013, nous leur avions réécrit pour leur faire notamment part de la décision japonaise, en 2013 de suspendre la recommandation officielle de la vaccination anti-HPV[12].

Entre-temps, de nouveaux éléments fondamentaux sont encore venus s’ajouter, et notamment, le fait gravissime que cette vaccination accroît en réalité le risque de cancer invasif du col pour les vaccinées, ce qui est un comble ! Comme le montrent les données officielles dans plusieurs pays qui ont massivement vacciné (Australie, Suède, Norvège, etc…), le cancer du col de l’utérus qui avait tendance à baisser avant la vaccination, principalement grâce au frottis de dépistage, non seulement ne baisse plus, mais a commencé à réaugmenter trois à cinq ans après le début des campagnes, sans que cette hausse ne concerne toutefois les femmes plus âgées qui ont échappé à la vaccination. C’est ce que le Dr Gérard Delépine, chirurgien oncologue et statisticien explique, données officielles à l’appui dans plusieurs articles et qu’il appelle « l’effet Titanic du Gardasil »[13]. Alors que l’histoire de ces cancers est une histoire longue (sur 10, 15, 20 ans pour qu’il se développe), les excès de cancers du col liés à la vaccination HPV sont déjà observables dans les 3 à 5 ans qui suivent le lancement des campagnes, lesquelles incluent aussi pour des raisons de business, les jeunes filles ayant déjà commencé leur vie sexuelle et ayant donc déjà pu être contaminées précédemment par des HPV sans le savoir (ce qui n’empêche pas Mr Brotchi, peu soucieux de cette efficacité négative, de préconiser cependant un « rattrapage pour les 15 à 26 ans » !).

Pour conclure, nous voudrions rappeler simplement quelques chiffres qui donnent le tournis : 430 décès de jeunes après vaccination anti-HPV déjà enregistrés au système américain VAERS au 15 juillet dernier, depuis la commercialisation initiale en 2006, et près de 60 000 effets secondaires dont plus de 8600 graves (en sachant que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont comptabilisés dans ce genre de système)[14]. 200 millions au moins de jeunes femmes déjà vaccinées dans le monde et 100 milliards de dollars déjà dilapidés pour ces vaccins n’ayant encore aucunement apporté la preuve qu’ils avaient été en mesure d’éviter le moindre cas de cancer invasif du col[15]. La santé de nos jeunes devra-t-elle être broyée dans cette machine commerciale ? Il est clair qu’il appartient maintenant surtout aux médias et aux associations de parents (bien plus qu’aux politiciens dont on n’a plus grand-chose à attendre, selon nous) de diffuser ces informations essentielles et de ne pas embrayer dans le tournant autoritaire et si peu libéral que Mr Brotchi souhaite promouvoir avec une vaccination aussi agressive et indistincte. Le modèle flamand qui plaît tant à Mr Brotchi et « son secret » en termes de docilité et de censure médiatique se trouve résumé de façon simple et directe par le Pr Marc Van Ranst, virologue et épidémiologiste à la KUL : « Dans les régions dont les habitants peuvent se permettre de questionner le risque d’épidémie et l’utilité des vaccins, les critiques de la vaccination trouvent en effet plus d’écho. Les réseaux sociaux, qui relaient considérablement les messages, quels qu’ils soient, jouent aussi un rôle prépondérant. Nous pouvons nous estimer heureux que nos médias flamands soient responsables à ce sujet et n’essayent pas de marquer des points au moyen de nouvelles sensationnelles sur le bien-fondé ou les dangers des vaccins »[16].

 

[2] Cf. entre temps 40’00’’ et 1H00’ au lien suivant : https://www.youtube.com/watch?v=BFUlfr2lRuQ&t=3599s

[9] Plusieurs cas d’insuffisance ovarienne ont été recensés. Des plaintes en justice ont été déposées à ce sujet et des communications scientifiques établies. Une publication de 2018 mentionne une baisse des taux de natalité aux Etats-Unis, possiblement en lien avec la vaccination HPV : de 118 pour 1000 femmes en 2007 chez les femmes de 25 à 29 ans (au début de la vaccination HPV) chez les femmes de 25 à 29 ans à 105 pour 1000 dans la même catégorie en 2015. 60% environ des femmes n’ayant pas reçu le vaccin HPV ont été enceintes au moins une fois, alors que seulement 35% des femmes qui avaient reçu le vaccin avaient pu concevoir. Pour les femmes mariées, 75% d’entre elles qui n’avaient pas été vaccinées ont pu concevoir, tandis que seulement 50% des femmes vaccinées ont pu être enceintes. Si 100% des femmes avaient été vaccinées contre le HPV, il y aurait eu jusqu’à 2 millions de naissances en moins… Voir les liens suivants à ce sujet :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29889622

http://casereports.bmj.com/content/2012/bcr-2012-006879.abstract

http://initiativecitoyenne.be/article-devenues-steriles-apres-le-gardasil-deux-soeurs-deposent-plainte-123111010.html

Voir aussi les extraits vidéos suivants, essentiels pour protéger sa santé et celle de ses enfants. Ces extraits vidéos que la Communauté Française n'a pas souhaité voir diffuser aux parlementaires au motif fumeux que ça aurait été trop long...  27 petites minutes pour sauver combien de vies et de santés d'une cynique et cruelle arnaque commerciale. A voir, à partager un maximum avant que leur folle campagne vaccinale agressive et partiale ne vienne encore mettre un peu plus de vies en danger.... NB: ce jour au Parlement de la Communauté Française, Céline Danhier, Directrice de Sida'Sos, a déclaré qu'il y aurait tout un gros travail à faire pour déconstruire les discours et fake news du lobby anti-vaccinal pour augmenter encore et toujours cette couverture vaccinale à tout prix... Nous laissons aux lecteurs, jeunes et moins jeunes, le soin de comparer les explications des experts internationaux interviewés par France 5 et Arte au ton et à la rigueur de la communication simpliste et partiale de cette association, sur base d'une capture d'écran de leur site.

 

Voir tout d'abord ici, du temps 40'00'' au temps 1H00'  (Médicaments sous influence, France 5, 2015): 

Reportage d'Arte sur la Fronde danoise contre le Gardasil (2017): 

Le triste précédent de la vaccination anti-hépatite B, vendue aussi dès les années 90 à la jeunesse française à coup de mensonges gros comme des maisons ("ça se transmet par la salive" etc.). Non seulement ce vaccin n'a pas permis de réduire le moins du monde les complications graves de l'hépatite B mais il a considérablement augmenté les cancers du foie chez l'homme (et ce malgré la baisse de la consommation d'alcool...). Faire peur pour vendre, comme on le voit dans ce reportage diffusé au JT de France 2: 

Et maintenant le "sérieux" de l'association Sida'Sos résumé en une image sur leur site: 

Un lobby "pro pénis" ou... pro Big Pharma? Qui devra démontrer en quoi Drs Dalbergue, Harper, Carlos Alvares-Dardet et tous les autres seraient dans les "fake news" avec leurs mises en garde!

Un lobby "pro pénis" ou... pro Big Pharma? Qui devra démontrer en quoi Drs Dalbergue, Harper, Carlos Alvares-Dardet et tous les autres seraient dans les "fake news" avec leurs mises en garde!

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commentaires

G
Initiative Citoyenne avait évoqué le Dr Deirdre Little dans un de ses commentaires ci-dessous. <br /> <br /> Voici ce qu'elle en disait : "Déjà en 2007, les témoignages de jeunes filles concernées par ces symptômes affluaient sur les blogs et sites américains, il ne fallait pas être épidémiologiste pour s'étonner que X années après, des gynécologues comme le Dr Deirdre Little publient ce qu'elle a publié dans le British Medical Journal sur l'insuffisance ovarienne avec ménopause précoce chez une jeune fille de 16 ans vaccinée par Gardasil.... "<br /> <br /> (le Dr Little est aussi une source d'inspiration pour la propagande anti-Gardasil de M. De Lorgeril (comme je l'ai démontré ci-dessous)).<br /> <br /> IC fait donc référence aux témoignages de jeunes filles américaines et aux publications du Dr. Little pour affirmer que le Gardasil engendre bien plus d'effets secondaires (graves) que ce qui admis dans l'immense majorité du corps médical.<br /> <br /> Ce n'est pourtant pas à IC que je dois apprendre qu'avant et dès le début de sa commercialisation, les pires rumeurs ont circulé à propos de ce vaccin, accusé de tous les maux de la Terre (et ces rumeurs persistent encore aujourd'hui, grâce, notamment, à la propagande féroce de IC). Il n'est pas étonnant que des jeunes filles, rencontrant des problèmes de cycle, s'effraient des supposés effets secondaires graves largement relayés.<br /> <br /> Les témoignages, qui plus est sur internet, et qui plus est provenant de jeunes filles (qui possèdent à priori peu ou pas de connaissances médicales) ne sont absolument pas une référence crédible sur laquelle il serait raisonnable de se baser (ce serait même carrément dangereux de s'y fier).<br /> <br /> De manière générale, en sciences (pas uniquement concernant les vaccins, mais dans plein de domaines) les témoignages sont considérés comme l'une des pires preuves à cause de leur caractère possiblement extrêmement biaisé.<br /> <br /> Venons-en à Mme Deirdre Little. Il s'agit d'une intégriste catholique, membre du comité de conseillers d'un groupe catholique anti-avortement australien. Dans ce groupe, ils accusent le Gardasil de favoriser la promiscuité. Promiscuité qui favorise des relations sexuelles hors mariage notamment. <br /> <br /> Ce groupe propage notamment de la propagande antivaccination, négationniste du lien VIH/SIDA, anti-contraception, etc.<br /> <br /> Selon une étude de cas (déjà évoquée plus bas par mes soins), dont l'auteur principal est Deirdre Little, le cycle menstruel d'une fille est devenu rare et irrégulier après la vaccination. Elle a refusé de prendre les contraceptifs oraux, initialement prescrits pour l'aménorrhée, et souffrait d'une insuffisance ovarienne prématurée.<br /> <br /> Le Dr Little disait ceci dans son rapport : "Bien que la cause soit inconnue dans 90% des cas, les principales causes identifiables restantes de cet état ont été exclues. Une insuffisance ovarienne prématurée a ensuite été notifiée comme effet indésirable suite à cette vaccination".<br /> <br /> La Thérapeutic Goods Administration (TGA) ne pense toutefois pas qu'il y a lieu de surveiller à long-terme la fonction ovarienne chez les filles et les femmes vaccinées.<br /> <br /> "La TGA n'a pas identifié de signal de sécurité relatif à une insuffisance ovarienne prématurée suite à une vaccination," d'après une ministre australienne. "En outre, la TGA ne considère pas plausible biologiquement un lien de causalité entre l'administration du vaccin Gardasil et la survenue d'une insuffisance ovarienne prématurée".<br /> <br /> La ministre déclare que l'oligoménorrhée et l'aménorrhée sont des évènements fréquents chez les adolescentes et les jeunes femmes, et peuvent avoir de nombreuses causes possibles.<br /> <br /> Sur les 6,7 millions de doses de Gardasil distribuées en Australie entre 2006 et fin 2012, le cas rapporté par le Dr. Little était le seul incident dont la TGA avait été informée et qui impliquerait un lien possible entre vaccin et insuffisance ovarienne prématurée.<br /> <br /> "La TGA considère que les preuves d'un signal de sécurité concernant le Gardasil sont insuffisants pour justifier un suivi spécifique à long-terme de la fonction ovarienne d'un panel de filles et de femmes vaccinées."<br /> <br /> Au total, la TGA a déclaré avoir été informée de 1983 évènements indésirables présumément faisant suite à la vaccination Gardasil, dont 1585 où le Gardasil était le seul vaccin administré. <br /> <br /> La TGA a constaté que la majorité des effets indésirables étaient bénins et bien connus : près d'un sur cinq concernait des maux de tête, 18,4% des ecchymoses, une douleur, un gonflement ou une éruption cutanée au site d'injection, 15% étaient des nausées, 14% des vertiges, 11% de la fatigue et 10,6% de la fièvre.<br /> <br /> Le vacciné s'est évanoui dans 167 cas (9,1%) et 19 réactions anaphylactiques ont été signalées.<br /> <br /> La TGA indique qu'il n'y a aucune preuve que l'incidence des troubles démyélinisants, tel que la sclérose en plaques, est plus élevée après la vaccination par Gardasil.<br /> <br /> La faible incidence d'effets indésirables rapportés après la vaccination Gardasil (moins de 0,03%) fait germer l'espoir que les verrues génitales pourront bientôt être éliminée grâce au traitement.
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I
Ben voyons, tout ce qui vous gêne est toujours dépassé, marginal, sans valeur, vous tournez en rond. Dernier rappel: TOUS LES MESSAGES postés sans avoir encodé une adresse email accessible à la modération seront systématiquement effacés. Vous voilà prévenus. Et ça vaudra désormais pour tout post (pro comme contre), voilà qui est dit donc!
G
tony24 propose un article concernant le "Collège américain des Pédiatres" ("American College of Pediatricians"). Ce collège émet des préoccupations au sujet du vaccin Gardasil. Préoccupations dont j'ai déjà largement démontré via mes commentaires ci-dessous qu'ils sont très largement exagérés par la communauté antivax.<br /> <br /> Ceci dit, il faut sensibiliser le lecteur au fait que le American College of Pediatricians a un nom qui pourrait être celui d'une institution officielle. En fait, ça ne l'est absolument pas. Il existe bien une institution officielle qui porte comme nom "American Academy of Pediatrics (AAP)". La possibilité de confusion est volontaire.<br /> <br /> Ce collège à idéologie intégriste catholique, promeut une opposition à l'adoption par les couples homosexuels, à l'obligation du vaccin HPV, à l'avortement et à l’euthanasie, au soutien des adolescents homosexuels à l'école, aux transgenres. Il promeut l'abstinence comme éducation sexuelle et promeut les châtiments corporels.<br /> <br /> Ceci étant dit, il faut rappeler que les préoccupations (en ce qui concerne le vaccin HPV au minimum) que ce collège émet sont totalement dépassées.
T
Enseignements tirés au Japon des réactions indésirables au vaccin contre le VPH : perspective de l'éthique médicale.<br /> <br /> Dans cet article, nous passons en revue les réactions indésirables consécutives à la vaccination contre le virus du papillome humain (VPH) au Japon et les mesures prises par le ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être ( 1 ) pour retirer la recommandation active du vaccin. <br /> Ces mesures ont déclenché une controverse nationale et internationale. Nous discutons également de divers problèmes survenus lors du développement, de la promotion et de la distribution du vaccin; les pièges rencontrés dans la surveillance des événements indésirables et la vérification épidémiologique; et l'influence de la grande industrie pharmaceutique sur les politiques et la recherche en matière de santé.<br /> <br /> http://ijme.in/articles/lessons-learnt-in-japan-from-adverse-reactions-to-the-hpv-vaccine-a-medical-ethics-perspective/?galley=html<br /> http://ijme.in/articles/lessons-learnt-in-japan-from-adverse-reactions-to-the-hpv-vaccine-a-medical-ethics-perspective/?galley=pdf<br /> Indian Journal of Medical Ethics Vol II No 2 April-June 2017
T
Collège américain des Pédiatres : « Nouvelles préoccupations concernant le vaccin contre le virus du papillome humain HPV ».<br /> <br /> Le Collège a récemment appris qu'un des vaccins recommandés pourrait éventuellement être associé à la maladie très rare mais grave d'insuffisance ovarienne prématurée, également appelée ménopause prématurée. <br /> <br /> Certaines préoccupations légitimes doivent être traitées : <br /> <br /> (1) la fonction ovarienne à long terme n'a pas été évaluée dans les études initiales d'innocuité chez le rat, ni dans les essais sur les vaccins humains.<br /> <br /> (2) la plupart des médecins de soins primaires ne sont probablement pas au courant association possible entre HPV4 et POF (échec ovarien prématuré) et ils peuvent ne pas envisager de signaler les cas de POF ou d'aménorrhée prolongée (règles manquantes) au système de déclaration des événements indésirables liés au vaccin (VAERS).<br /> <br /> (3) des mécanismes d'action potentiels ont été postulés sur la base d'associations auto-immunes avec l'adjuvant en aluminium utilisé et la toxicité ovarienne chez des rats d'un autre composant, le polysorbate 80.<br /> <br /> Bien qu'il n'y ait pas de preuves solides d'une relation de cause à effet entre HPV4 et le dysfonctionnement ovarien, ces informations devraient être connues du public pour les médecins et les patientes envisageant l'utilisation de ces vaccins.<br /> <br /> New Concerns about the Human Papillomavirus Vaccine<br /> http://www.acpeds.org/the-college-speaks/position-statements/health-issues/new-concerns-about-the-human-papillomavirus-vaccine<br /> American College of Pediatricians - January 2016.
T
La vaccination est sans risque. Vraiment ?<br /> Les auteurs d’une étude publiée dans une revue d’immunologie terminent par le message suivant :<br /> <br /> « • Des réactions auto-immunes nuisibles peuvent accompagner les vaccinations préventives et thérapeutiques.<br /> • Les réactions croisées entre les antigènes vaccinaux et les protéines humaines peuvent être à la base des réactions auto-immunes nocives.<br /> • L’utilisation de peptides uniques aux agents pathogènes et absente dans les protéines humaines peut conduire à des vaccins sûrs et efficaces ».<br /> <br /> La vaccination est sans risque. Vraiment ?<br /> http://hippocrate-et-pindare.fr/2017/10/23/la-vaccination-est-sans-risque-vraiment/<br /> 23. octobre 2017<br /> <br /> From HBV to HPV: Designing vaccines for extensive and intensive vaccination campaigns worldwide.<br /> https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27490205<br /> https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1568997216301756?via%3Dihub<br /> November 2016
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T
Gardasil©, la catastrophe approche<br /> <br /> https://aimsib.org/2018/09/30/gardasil-la-catastrophe-approche/<br /> <br /> par Dr Vincent Reliquet, Dr Michel deLorgeril | 30 Sep 2018
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G
Le monde (im)pitoyable de la galaxie de sites antivax a encore frappé.<br /> <br /> Je ne me concentre que sur une affirmation des auteurs. <br /> Ils disent ceci :<br /> "Ménopauses précoces, triplement des cas de fausses-couches (17), dégénérescences testiculaires et ovariennes, foetopathies diverses, oligospermies, la liste n’est pas exhaustive, les signalements sont nombreux particulièrement aux USA, et pourtant rien ne semble bouger à l’intérieur des agences gouvernementales."<br /> <br /> Impressionnant comme affirmation. On suppose que cela est soutenu par des preuves solides. Vérifions cela. Le lecteur est renvoyé vers la source N°17 de l'article.<br /> <br /> Cette source est en fait un lien vers le site "Sanevax", site à propagande anti-vaccins. Ce site affiche par exemple en permanence les chiffres d'effets secondaires du VAERS. Chiffres qui n'ont aucune pertinence et qui constituent un élément pour le moins anxiogène quand on parcourt ce site. <br /> <br /> Le lien en question est celui-ci : https://sanevax.org/fda-approved-gardasil-9-malfeasance-or-stupidity/<br /> Le titre du lien, qui fait la part belle au sensationnalisme, est un article en anglais qui explique en quoi l'approbation par la FDA du Gardasil est malfaisant, cruel et est une insulte. Rien que ça.<br /> <br /> A affirmation "extraordinaire", on réclamera des preuves "extraordinaires". Des preuves étayées, sourcées, études de qualité à l'appui, etc.<br /> <br /> Dans cet article il est notamment dit ceci : "There is increasing evidence of premature ovarian insufficiency and infertility in connection wih HPV vaccines (3),(4)"<br /> <br /> Je suppose que c'est sur cette phrase que repose l'affirmation de M. De Lorgeril.<br /> Pour appuyer cette phrase, il y a un bout d'interview du Dr. Deirdre Little (déjà citée par Initiative Citoyenne dans un de ses commentaires ci-dessous - je reviendrais peut-être sur son cas).<br /> Et le lecteur est renvoyé vers les sources 3 et 4. Un vrai jeu de pistes.<br /> <br /> Du coup, on regarde d'abord la source 3. Il s'agit d'une étude de cas du Dr Deirdre Little justement. Trois cas de jeunes filles qui souffrent d'insuffisance ovarienne. Une étude de cas, en sciences, est beaucoup moins probante qu'une étude scientifique dans la hiérarchie des preuves de la recherche médicale. On s'éloigne donc déjà lamentablement des "preuves extraordinaires" que réclament une affirmation extraordinaire.<br /> <br /> Si le Dr. Little fait le lien entre insuffisance ovarienne et vaccin HPV, c'est en fait parce qu'elle n'a pas trouvé d'autres explications. Ayant échoué à expliquer les cas autrement que par la vaccination Gardasil, alors elle en conclut que c'est le vaccin Gardasil qui est la cause. Cela est d'autant plus grotesque, que problématique du Gardasil exclue, l'insuffisance ovarienne touche 1% des femmes de moins de 40 ans, sans que l'on puisse pointer une cause en particulier dans la majorité des cas (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16722528).<br /> <br /> Cette source ne constitue donc absolument pas une preuve "extraordinaire". En fait, elle ne constitue même pas une preuve.<br /> <br /> Si on regarde la source 4, il s'agit d'un article rédigé par un avocat. Celui-ci fait sa publicité pour inviter toute personne qui aurait reçu la vaccination Gardasil et qui souffre d'insuffisance ovarienne ou de toute autre maladie à le contacter.<br /> <br /> Une fois encore, cet article est loin, très loin de constituer l'aube d'un début de commencement de preuve.<br /> <br /> <br /> Tout ceci pour en venir où finalement ? J'invite le lecteur à prendre ses précautions et à ne pas prendre pour argent comptant les affirmations reprises dans cet article. Si il est exact que je ne me suis concentré que sur une seule affirmation des auteurs, et qu'il serait donc exagéré de ma part (sur base de ce seul élément) de rejeter en bloc l'article, j'invite le lecteur a être vigilant. Et d'autant plus vigilant que les deux auteurs aiment flirter avec la pseudo-science.<br /> <br /> Malheureusement, la propagande anti-vaccinale monopolisant 99% des recherches Google sur la vulgarisation de la problématique vaccinale, j'invite le lecteur inquiet des informations anxiogènes émanant de la communauté antivax, non pas à entamer ses propres recherches via Google, mais bien à poser ses questions sur le groupe Facebook "vaccins France - informations & discussions".
T
Petite info sur les maladies auto-immunes :<br /> <br /> - Diabète de type 1, sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante, psoriasis, lupus érythémateux disséminé, vitiligo, maladie de Crohn, syndrome de Guillain-Barré… <br /> <br /> Ces maladies apparemment bien différentes ont un point commun : elles sont dues à un dérèglement du système immunitaire qui se met à "attaquer" l'organisme qu'il doit normalement protéger. <br /> Appelées maladies « auto-immunes », elles touchent environ 5 millions de personnes en France et constituent le troisième groupe de maladies en terme de morbidité et de mortalité dans les pays industrialisés, après les cancers et les maladies cardiovasculaires. Aujourd’hui, si des traitements permettent de freiner leur évolution, elles restent inguérissables.<br /> https://www.pasteur.fr/fr/journal-recherche/dossiers/maladies-auto-immunes-quand-nos-defenses-nous-attaquent<br /> 27.03.2018<br /> <br /> - Une dynamique préoccupante des maladies auto-immunes :<br /> <br /> On estime aujourd’hui que 5 à 8% de la population mondiale est touchée par une maladie auto-immune. Si quelques-unes d’entre elles sont aussi fréquentes chez les hommes et les femmes (comme le diabète de type 1), 80% des cas concernent des femmes.<br /> L’âge de survenue de ces maladies est très variable. Pour un certain nombre d’entre elles, l’âge auquel survient la maladie a cependant diminué au cours des dernières décennies : pour exemple, si le diabète de type 1 était une maladie de l’adolescent ou du jeune adulte, il n’est désormais pas rare de le diagnostiquer dès les premières années de vie. <br /> Par ailleurs, le nombre de maladies auto-immunes n’a cessé de croître depuis les années 1970 : on en recense actuellement environ 80.<br /> https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/maladies-auto-immunes<br /> 13.07.18
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I
Chaque fois, essayer de noyer le poisson: au motif que la susceptibilité aux maladies auto-immunes comporte une dimension multifactorielle, vous essayez de diluer ou nier la responsabilité des vaccinations qui affectent le système immunitaire au premier chef, dérégulant notamment le rapport Th1/Th2 en faveur de ces dernier (allergies etc). Vous pouvez essayer de nier, il existe plusieurs données qui plaident clairement en faveur d'un lien entre vaccination et maladies auto-immunes, cela signifie que dans bien des cas, les vaccins peuvent constituer la triste goutte d'eau qui fera déborder le vase et sans laquelle des millions de personnes auraient très bien pu passer leur vie durant sans qu'elles ne se déclenchent jamais malgré leurs autres sensibilités sous-jacentes ou préexistantes!! Au plus on vaccine, au plus on tourne cette roulette russe et on majore le risque de survenue de diverses maladies auto-immunes graves. Sauf évidemment pour les idéologues qui essayeront envers et contre tout, au besoin à l'aide du trolling (dont vous êtes un merveilleux exemple) de faire avaler aux gens l'inavalable et de nier les faits et constatations empiriques les plus évidentes:<br /> http://initiativecitoyenne.be/2015/05/scientifiquement-prouve-les-vaccins-causent-l-auto-immunite-et-ne-font-donc-pas-que-la-reveler.html<br /> http://initiativecitoyenne.be/article-maladies-auto-immunes-vaccins-un-lien-incontestable-109115896.html<br /> http://initiativecitoyenne.be/article-le-public-devrait-etre-averti-que-les-vaccins-peuvent-avoir-des-effets-secondaires-a-long-terme-71003313.html<br /> http://initiativecitoyenne.be/article-le-vaccin-hib-provoque-le-diabete-de-type-1-l-etude-du-british-medical-journal-115353367.html<br /> <br /> ps: vu la surcharge de modération induite par le trolling, les messages sans adresse email fournie (invisible aux lecteurs) seront supprimés d'office désormais. Nous espérons que ça ne vous gêne pas...cela se fait ainsi partout du reste!
G
Afin de ne pas laisser croire que les maladies auto-immunes sont une conséquence de la vaccination, voici certains extraits du second document proposé que vous avez omis (délibérément ?) de mentionner :<br /> <br /> [...]Dans leur grande majorité, les maladies auto-immunes sont multifactorielles : cela rend difficile — pour ne pas dire impossible — d’en déterminer l’origine exacte. A quelques exceptions près, on estime qu’elle repose sur l’association de facteurs génétiques, endogènes, exogènes et/ou environnementaux :<br /> Facteurs génétiques<br /> La majorité des maladies auto-immunes est considérée comme dépendante d’une susceptibilité génétique, c’est-à-dire que leur développement est favorisé par une ou plusieurs particularités génétiques (ou polymorphismes). [...]<br /> <br /> [...]Facteurs endogènes<br /> <br /> L’influence des hormones féminines sur les mécanismes de contrôle de l’auto-immunité pourrait expliquer pourquoi les femmes sont plus souvent affectées par ces maladies : le rôle des estrogènes et de la prolactine, sécrétée pour favoriser la lactation, a été confirmé par des travaux conduits dans différents modèles animaux.<br /> <br /> D’autres facteurs, tels que l’inflammation chronique ou la libération d’autoantigènes séquestrés (c’est-à-dire non présentés au système immunitaire en condition normale), peuvent aussi avoir une influence sur le risque de développer une maladie auto-immune.<br /> <br /> Enfin, les études expérimentales ou les données épidémiologiques décrivent clairement une association entre le microbiote intestinal, qui se situe à l’interface entre le système immunitaire et l’environnement, et la survenue d’une maladie auto-immune : la dysbiose, qui correspond à une modification qualitative et quantitative des différentes espèces colonisant notre système digestif par rapport aux conditions normales, est plus fréquente chez les malades que chez les personnes exemptes de maladies auto-immunes.[...]<br /> <br /> [...]Théorie de l’hygiène ou théorie du mimétisme ?<br /> <br /> Notre susceptibilité à développer des maladies auto-immunes découlerait en partie de l’évolution récente des interactions entre immunité et exposition aux microorganismes viraux ou bactériens. Pour expliquer ce phénomène, deux théories non exclusives sont avancées :<br /> <br /> La première correspond à la théorie hygiéniste qui suggère que la diminution de l’exposition naturelle aux agents infectieux (hygiène, alimentation…) et le recours croissant aux antibiotiques réduisent les capacités d’apprentissage et d’adaptation de l’immunité.<br /> <br /> La seconde, dite du mimétisme moléculaire, repose sur l’idée que les antigènes présentés par les pathogènes peuvent présenter des similitudes structurelles avec les antigènes du soi, favorisant les réactions croisées lors d’un épisode infectieux : cela permettrait l’initiation puis le maintien d’une réaction immunitaire chronique.[...]<br /> <br /> [...]Facteurs exogènes et environnementaux<br /> <br /> L’exposition à certains composants ou certains pathogènes semble associée au risque de maladies auto-immunes, sans qu’un lien de causalité soit parfaitement établi. Ainsi, l’épidémiologie décrit une fréquence supérieure des infections préalables par les virus Epstein-Barr ou le cytomégalovirus chez les personnes atteintes. Le tabagisme, actif ou ancien, est aussi surreprésenté parmi les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde, de sclérose en plaques, de dysthyroïdie auto-immune… Certains polluants environnementaux, les ultraviolets, le stress ou la nutrition sont aussi suspectés, mais leur rôle reste à démontrer.<br /> <br /> Récemment il a été démontré qu’une famille de médicaments anticancéreux modulant l’immunité constitue un facteur de risque potentiel d’auto-immunité : les inhibiteurs des points de contrôle immunitaires (atézolizumab, ipilimumab, nivolumab, pembrolizumab). Ces molécules ont été développées pour intensifier les défenses de l’organisme contre les cellules tumorales, mais les personnes qui ont été soignées par ces médicaments développent plus fréquemment des maladies auto-immunes (diabète, vitiligo, thyroïdite...). Il est maintenant nécessaire de déterminer s’ils déclenchent le processus d’auto-immunité ou s’ils ne font que favoriser son développement chez des sujets initialement prédisposés.[...]
G
Mon commentaire, faisant état de commentaires enlevés, a été lui-même supprimé.<br /> <br /> Je me pose de sérieuses questions là ...
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I
Bcp de paranos dans vos commentaires, le support/staff nous rapporte des problèmes techniques suites à nos demandes....
L
C'est ce qui s'appelle la censure. Dès que vous ne dites pas exactement ce que l'on veut que vous disiez, vos paroles sont supprimées.
G
A ma connaissance et à l'heure où j'écris, je ne vois plus de commentaires supprimés depuis 40 minutes ...
G
Mon commentaire en réponse à IC avait été supprimé. Je l'ai re-posté à 28/09/2018 13:59<br /> <br /> D'autres commentaires ont été supprimés tels que celui de vaccide (je crois) sur le SIDA, celui d'une personne renvoyant vers la vidéo 8 de TC [+ mon commentaire]

                    

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