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1 janvier 2018 1 01 /01 /janvier /2018 22:57

TURQUIE : Plus de 10.000 familles rejettent les vaccinations pour leurs enfants 

 

Meltem Ozgenç

 

Daily News, Ankara, 26 décembre 2017

TURQUIE : Plus de 10.000 familles rejettent les vaccinations pour leurs enfants

Selon le Prof. Dr Mehmet Ceyhan chef de l’hôpital universitaire pédiatrique de Haceteppe, Unité « maladies », le nombre de familles qui refusent de faire vacciner leurs enfants en raison de la rumeur non fondée que l’aluminium des vaccins pourrait conduire à la maladie d’Alzheimer est passé à plus de 10.000 par an.

« Les analyses menées dans notre pays ont montré que les vaccinations ont permis d’éviter 14.296 décès par an. Si nous abandonnons les vaccinations, il est clair qu’il y aura des milliers de morts », a déclaré M. Ceyhan, ajoutant que le taux d’aluminium utilisé comme catalyseur dans certains vaccins est « trop faible pour affecter la santé humaine. »

Ces derniers jours, il y a eu des professeurs d’université qui ont publié dans des organes de presse des déclarations contre divers vaccins. Nous n’en connaissons pas la raison, mais ils ont néanmoins laissé l’impression qu’ils essayaient de se faire entendre. Malheureusement, pareilles déclarations causent de graves dommages aux soins de santé de notre pays », a-t-il dit.

Ceyhan a déclaré que les vaccins se sont révélés efficaces contre les maladies. Ils ont permis une diminution de 98% des maladies. Certaines maladies ayant même complètement disparu grâce aux vaccins, mais il y a eu une « augmentation sérieuse du refus de vaccinations » à la suite de rumeurs infondées.

« Par exemple, le nombre de familles qui ont refusé la vaccination pour leurs enfants en 2011 était de 183, 913 en 2013, 5091 en 2015 et plus de 10.000 en 2016. En conséquence, nous constatons malheureusement une augmentation de certaines maladies » a dit Ceyhan, en se référant à l’augmentation des cas de coqueluche au cours des trois dernières années.

« En dehors de cela, certaines personnes fournissent au public de fausses informations comme celles qui colportent que les vaccins contiennent du mercure. Dans notre pays, les vaccins ne contiennent pas de mercure, étant donné qu’ils sont actuellement administrés en doses uniques », a-t-il ajouté.

L’unité des maladies infectieuses pédiatriques de l’hôpital universitaire de Haceteppe a vu des enfants non vaccinés mourir de méningite à pneumocoques et des handicapés, a ajouté M. Ceyhan, précisant «qu’un nombre important d’enfants » sont morts du fait qu’ils n’ont pas reçu le vaccin contre la grippe. »

« Il ne faut pas oublier que les vaccins sont la méthode la plus efficace et la moins coûteuse pour protéger des millions de personnes de la mort et de l’invalidité. Cette pratique qui a été initiée dans les années 1700 s’est répandue dans le monde entier ».

Par ailleurs, le ministre de la Santé a déclaré dans un communiqué au quotidien Hürriyet que l’aluminium utilisé dans les vaccins « n’a pas entraîné d’effets secondaires graves ou de maladie à long terme. »

«  L’aluminium a été utilisé dans divers vaccins à raison de plus de trois milliards de doses. Aucun autre effet secondaire n’a été signalé, si ce n’est qu’une exposition à long terme à l’aluminium en grande quantité pourrait entraîner une faiblesse des os. D’autre part, les niveaux d’aluminium dans les vaccins sont très bas. Dans notre pays, aucun des vaccins contre la grippe ne comprend d’aluminium », a déclaré le ministère.

Source : Hurriyetdailynews

Voir aussi (de quoi comparer les mensonges repris par les officiels dans cet article à la réalité des faits, autrement moins glorieux pour les vaccins…) :

Des enfants récemment vaccinés répandent la coqueluche partout

Coqueluche : la bactérie a muté à cause du vaccin… encore un fiasco vaccinal de plus !

Coqueluche : grosse baisse d’efficacité après la 5e dose

Coqueluche : l’échec cuisant de la vaccination « cocoon »

La moitié des cas de coqueluche surviennent chez des sujets vaccinés

Les vaccins antigrippaux triplent les risques d’hospitalisation chez les enfants

Pneumocoques : échec retentissant de la vaccination

Pneumocoques : le vaccin Prevenar est-il sûr et sans danger ?

Prevenar de 7 à 13 : le marketing vaccinal dans tous ses états

Méningite C : le vaccin plus risqué que la maladie (les chiffres sont là !)

Nouvelle étude sur la toxicité de l’aluminium vaccinal en pédiatrie

Une nouvelle étude du MIT incrimine l’aluminium vaccinal, y compris dans l’autisme

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31 décembre 2017 7 31 /12 /décembre /2017 22:16

Vaccins, quand la justice contredit les autorités sanitaires

Pierre Bienvault , le 27/12/2017

 

La cour administrative d’appel de Nantes vient d’ordonner l’indemnisation d’une secrétaire dentaire estimant être tombée malade à cause de l’aluminium contenu dans un vaccin. Cette décision, qui n’est pas isolée, intervient alors que les autorités sanitaires et la majorité des scientifiques réaffirment l’innocuité de l’aluminium.

Gino Santa Maria - stock.adobe.com

Gino Santa Maria - stock.adobe.com

Pourquoi, dans certains dossiers vaccinaux, la justice prend-elle parfois des décisions semblant aller contre les données scientifiques majoritaires ? La question se pose après un arrêt rendu vendredi 22 décembre par la cour administrative d’appel de Nantes.

Celui-ci donne raison à une secrétaire d’un cabinet dentaire estimant être victime d’effets secondaires liés à l’aluminium dans un vaccin contre l’hépatite B. Les juges ont condamné l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) à lui verser 190 000 €. Cette décision intervient alors que doit entrer en vigueur, le 1er janvier, l’extension de l’obligation vaccinale décidée par le gouvernement.

À la demande de son employeur, cette secrétaire avait été vaccinée contre l’hépatite B en 1994. Dans les semaines suivantes, elle a développé des douleurs musculaires et une fatigue généralisée. Elle a alors saisi l’Oniam, estimant être atteinte d’une myofasciite à macrophages. Une maladie que certains scientifiques, minoritaires, relient à la présence d’aluminium dans les vaccins. Ce que contestent fermement le ministère de la santé ou l’Inserm.

« Ce n’est pas une première »

Avocat de la secrétaire médicale, Me François Jégu se refuse à commenter cette décision de Nantes à la demande de sa cliente, qui souhaite rester discrète. « Mais ce n’est pas une première. À plusieurs reprises, notamment à Versailles et Caen, j’ai obtenu gain de cause pour des personnes ayant développé une myofasciite à macrophages après un vaccin. Et le Conseil d’État nous a soutenus, estimant que le lien de causalité, sans être certain, était plausible », souligne MeJégu, qui défend des membres de l’association E3M, opposée à l’aluminium dans les vaccins.

En juin, le tribunal administratif de Caen a ainsi condamné l’Oniam à verser 367 418 € ainsi qu’une rente annuelle de 9 900 € à une infirmière ayant présenté des problèmes de santé neuf ans après avoir été vaccinée contre l’hépatite B.

En dépit de ce délai très long, le tribunal a estimé que l’existence d’un lien de causalité entre ce vaccin contenant de l’aluminium et la fatigue, les douleurs articulaires et les troubles cognitifs de cette infirmière « n’est pas exclue et revêt une probabilité suffisante pour que ce lien puisse, sous certaines conditions, être regardé comme établi ». Ce qui va donc à l’encontre du constat de la très grande majorité de la communauté scientifique.

Le même phénomène s’est déjà produit ces dernières années dans des dossiers judiciaires de soignants victimes d’une sclérose en plaque liée, selon eux, à un vaccin contre l’hépatite B. Alors même que, là encore, aucun lien de causalité n’est prouvé, pour les autorités sanitaires internationales.

Des « indices graves, précis et concordants »

En juin dernier, la Cour de justice de l’Union européenne a marqué les esprits dans un dossier de ce type. Elle a estimé que, même en l’absence de consensus scientifique, des juges nationaux pouvaient donner raison à une personne s’estimant victime de ce vaccin, à condition qu’elle présente des « indices graves, précis et concordants » pouvant permettre de conclure à un lien de causalité entre la vaccination et une maladie.

Suivant cette logique, ces dernières années, des juges français ont, malgré l’absence de certitude scientifique, accordé des indemnisations à des requérants ayant juste apporté la preuve que leur sclérose en plaque s’était développée peu de temps après une vaccination et en l’absence d’antécédents familiaux de la maladie.

Pierre Bienvault

Source: La Croix

Voir aussi

Vaccin hépatite B: la Cour Européenne reconnaît le lien avec la sclérose en plaques

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17 décembre 2017 7 17 /12 /décembre /2017 08:27

Comme vous le savez, cela fait maintenant des années qu'Initiative Citoyenne se bat pour la défense du pluralisme thérapeutique, c'est-à-dire du droit élémentaire de tout patient (et aussi de tout praticien...) de (se) soigner dans le respect du consentement éclairé, donc du choix, et aussi de toutes les alternatives possibles disponibles, que celles-ci résident au sein de la médecine jugée "académique" ou non. Et ceci en vertu de lois sur les droits du patient dûment votées (2002).

 

Le témoignage que vous allez voir démontre une fois encore les dangers très importants, mortels même, d'une médecine autoritaire qui prétend éliminer tout doute alors que l'incertitude, la prudence et l'ouverture devraient pourtant être des vertus cardinales d'une médecine humaine, efficace et responsable. Nous laissons à présent la parole au chirurgien-dentiste français Vincent Alberteau qui raconte ce qui est arrivé à son fils, mais aussi à toute leur famille... Merci dès lors à lui d'offrir ainsi une chance supplémentaire au public de comprendre les enjeux de ce qui se passe actuellement en médecine.... parce que ce qui leur est arrivé aurait pu arriver à n'importe quel autre enfant, à n'importe quelle autre famille!

 

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2 décembre 2017 6 02 /12 /décembre /2017 22:42

La vidéo suivante est absolument sine qua non si vous voulez COMPRENDRE les raisons absolument non médicales et non scientifiques sous-jacentes aux obligations vaccinales dans divers pays du monde. Loin de l'enfumage sur la prétendue gravité énorme de la rougeole dans nos pays, il se trouve en fait que le but de vaccination mondiale incessante est tout autre.... Suite à cette vidéo de Maxence Layet, assistant parlementaire de l'eurodéputée écologiste Michèle Rivasi, nous fournissons des liens et vidéos complémentaires qui aident à poser le décor réel de la dictature vaccinale qui, bien entendu, ne peut être adéquatement combattue sans en connaître suffisamment les tenants et les aboutissants. 

Le virus de la rougeole comme une aubaine pour développer des tas d'autres vaccins à fourguer aux populations mondiales (cf. à partir de la 13e minute):

"Si on fait un bon travail avec les vaccins et les techniques de procréation médicalement assistée, on pourra espérer réduire la population mondiale de 10 à 15%", dixit Bill Gates, le prétendu philanthrope lors d'une conférence TED2010 de Longbeach en Californie, lui qui ne cesse d'annoncer les futures pandémies tant attendues et si bien préparées: 

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11 novembre 2017 6 11 /11 /novembre /2017 10:36

Les Pr Joyeux et Montagnier contre la « dictature vaccinale »

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29 octobre 2017 7 29 /10 /octobre /2017 23:04

Pendant que des enfants sont détruits à la pelle par les vaccins et leurs familles doublement punies (de ne pouvoir aider leurs enfants ainsi démolis, sans parler des conséquences sociales, financières, etc...), voici que les députés français viennent de voter une loi d'obligation vaccinale sans même rien savoir pour la majorité d'entre eux, des conséquences pénales que cela aura sur les courageux parents qui auront à coeur d'éviter à tout prix ces vaccins meurtriers sur leur progéniture. Mais dans quel monde ou plutôt quel enfer est-on? Que retiendront les générations futures de ces heures particulièrement noires de l'Histoire?

 

Pour que les députés se rendent mieux compte de leur attitude désastreuse, hautement anti-démocratique, mais surtout avec le souci encore et toujours d'épargner un maximum de vies, de santés et de familles en informant toujours mieux sur les véritables enjeux de la vaccination, nous allons commencer cet article par la DURE REALITE DES FAITS qui se joue au quotidien derrière les murs feutrés des cabinets médicaux, avant de montrer alors ensuite le contraste saisissant avec l'ignorance coupable des députés qui ne savent ainsi même pas ce qu'ils votent, grâce à l'enquête de Prévention Santé.

 

Témoignage de Nini Leroux, maman qui s'exprime via Facebook:

 

« Voilà ce que ma fille a eu à ses 4 mois juste après le couple infernal infanrix hexa et prevenar 13 ... le syndrome de Stevens-Johnson ... pourquoi refuser la sérologie pré vaccinale ? Pourquoi ne pas parler des dangers possibles de la vaccination et de faire passer celle-ci comme une prise de doliprane...

J'ACCUSE, OUI J'ACCUSE la plupart des professionnels de santé de ne se poser aucune question sur l'anamnèse de leurs patients et de leur famille! De ne pas se renseigner, s'informer de manière indépendante sur la composition, les contre- indications! De ne pas avoir le courage de signer une contre- indication! De n’avoir pas le courage d'être au côté de leur patient tout simplement! OUI À LA LIBERTÉ VACCINALE QUI DOIT ÊTRE UN CHOIX! »

(Photo prise sur le net mais c’est exactement ce qu’elle a eu... à l’époque tellement choquée je n’ai pas pensé à amener mon portable pour prendre des photos).

Quelles seront les conséquences pénales pour les médecins et les députés qui infligeront cela aux enfants?!!

Quelles seront les conséquences pénales pour les médecins et les députés qui infligeront cela aux enfants?!!

Autre témoignage de Marie Mostenne, sur Facebook également:

 

« Ma petite fille Noame s'est retrouvée avec un cancer foudroyant du fémur après un vaccin à sa cuisse, elle est restée gonflée et rouge (au départ on n'a pas pensé à ça) mais c'est une infirmière de France qui m'a demandé si elle n'avait pas eu un vaccin avant et, en effet, elle avait eu un vaccin et la petite est restée rouge et gonflée et 2 mois après verdict cancer foudroyant, ce qui lui a valu l'amputation de sa petite jambe . Il n'y a rien de bon dans les vaccins. »

 

>> Question d'Initiative Citoyenne: Le baratin/déni habituel consistant à affirmer, pour se tirer d'affaire, que " lien temporel n'équivaut pas à causalité", rendra-t-il sa jambe à cette petite fille?! Combien d'autres enfants seront encore estropiés au nom de ce dogme vaccinal insensé?

 

Et maintenant, voici le contenu édifiant de l'article paru sur le site de Prévention Santé, média indépendant (ce qui est de nos jours, plus que fondamental....) sur l'attitude des députés qui fait littéralement la HONTE de la "démocratie" française qui n'est plus qu'une vaine et piteuse étiquette.....

 

Vaccins obligatoires : Les députés sont-ils manipulés et par qui ?

L'horreur: des députés français votent l'obligation vaccinale sans RIEN SAVOIR des conséquences pénales qui vont avec!

Les députés ont voté l’obligation vaccinale pour 11 vaccins à une  écrasante majorité (63 pour et 3 contre sur 75 présents) sans même connaitre les conséquences pénales de leur vote.

Dans les trois jours qui ont précédé le scrutin, Prévention Santé s’est livré à un petit sondage express auprès d’eux.

Le résultat est édifiant. La quasi-totalité d’entre eux ignore les sanctions pénales qui vont accompagner cette obligation.

L’Article 34 qui prévoit l’obligation pour 11 vaccins du nourrisson avait auparavant   été voté en commission .Il était  passé  comme une lettre à la poste.

Ce qui est presque incroyable c’est que la question des sanctions n’a pas été abordée de manière explicite et les députés ont cru voter pour une suppression des sanctions alors que dans les faits celles-ci vont s’alourdir.

Les députés n’ont pas conscience de cet alourdissement des sanctions.

En effet l’article 34 prévoit la suppression des sanctions spécifiques du Code de Santé publique sur le refus de vacciner (Article L3116-4 du Code de Santé Publique). Cet article  prévoit 6 mois de prison et 3750 euros d’amende pour « refus de se soumettre aux obligations de vaccination ».

C’est donc désormais l’article plus général du Code Pénal qui va s’appliquer (Article 227). Celui-ci prévoit 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende pour « soustraction (des parents) aux obligations légales ».(voir notre précédent article)

Un petit sondage édifiant

Sur 20 députés interrogés ces trois derniers jours :

La totalité ignore les sanctions pénales qui vont peser sur les parents

11 pensent qu’il n’y aura pas de sanctions « comme l’a dit la ministre »

6 ne savent pas

3 pensent que les sanctions pénales seront plus lourdes.

Les députés sont-ils instrumentalisés ?

Qui sait parmi eux que dans le texte de l’article 34, les mots « Les articles L. 3116-2 et L. 3116-4 sont abrogés » signifient en réalité que c’est désormais le Code Pénal qui s’appliquera avec ses 2 ans de prison et 30 000 € d’amende ?

La question n’a pas été traitée de manière à éclairer leur vote.

Le texte est présenté par le gouvernement donc rédigé par lui.

https://www.prevention-sante.eu/wp-content/uploads/2017/10/capture-decran-2017-10-27-a-13.19.01-352x170.png

La ministre de la santé  ayant elle-même dit devant la Commission des Affaires sociales et sur tous les plateaux de télévision qu’il n’y aurait pas de sanctions pénales les députés l’ont crue sur parole acceptant de fait la sanction radicale de la privation d’école.

Seule l’euro-députée Michèle Rivasi est montée au créneau pour dénoncer ce qu’elle appelle « une dangereuse manipulation des députés et du public » elle dénonce une « extension vaccinale menée au pas de charge. »

La Ministre de la Santé n’a pas encore réagi à cette mise en cause.

Avant le vote en hémicycle la question des sanctions n’a pas été non plus évoquée. Sur 75 députés présents, 63 ont voté pour l’obligation des 11 vaccins, et 3 seulement ont voté contre.

Ils méritent donc d’être cités pour avoir défendu la liberté fondamentale de l’être humain de protéger son intégrité physique: Blandine Brocard (LREM), Eric Alauzet (LREM) et Nicolas Dupont-Aignan (non inscrit).

Le texte sera maintenant débattu au Sénat. Les Sénateurs seront-ils mieux informés ?

Source : Prévention Santé

Et maintenant quelle suite au Sénat, reste-il de l'espoir?

Et s'agissant cette fois des sénateurs français, il nous semble vraiment capital de rappeler la teneur exacte des propos (tristement lumineux) issus d'un rapport du rapport n°476 du 28 septembre 2007 de ce même Sénat au sujet des relations entre l'Etat et l'industrie pharmaceutique:

« Au-delà de son objectif de court terme d'améliorer le taux de couverture de la population, la politique vaccinale doit, à plus long terme, être en mesure de répondre aux besoins en matière de recherche et de production nationales de vaccins et aussi de jouer un rôle moteur dans l'aide aux pays les plus pauvres. Pour relever ces défis, les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics, en raison des moyens humains, techniques et financiers qu'ils mobilisent. En effet, le marché mondial du vaccin est en constante expansion, avec une augmentation des ventes de 13 % à 14 % chaque année, soit deux fois plus que les médicaments traditionnels. » [Lire le rapport du Sénat, p17]

Voir aussi

A lire AVANT de voter la loi sur l'extension de l'obligation vaccinale!

"Vaccination obligatoire: les sanctions seront plus lourdes!"

Vaccins: énormes aveux sur le site du Sénat français!!

Angela Merkel se déclare opposée à l'obligation vaccinale

Pourquoi la Suède refuse les obligations vaccinales: des raisons dérangeantes pour Big Pharma!

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

Mary Holland, Prof de Droit à l'Université de New York interpelle les Nations-Unies sur les politiques vaccinales qui violent le Code de Nuremberg

Dr Saluzzo (de Sanofi Pasteur): "On ne sait pas comment marchent les vaccins"!

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

Vaccins hexavalents & oedèmes cérébraux mortels du nourrisson

Sécurité des vaccins: on se fout carrément de vous!

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27 octobre 2017 5 27 /10 /octobre /2017 22:04

À lire avant de voter la loi sur l’extension de l’obligation vaccinale

Senta Depuydt

Article paru dans le journal Alternative Santé nº 50

À lire AVANT de voter la loi sur l’extension de l’obligation vaccinale!!

Nous relayons une tribune qui a été rédigée pour informer les parlementaires des enjeux autour de la loi sur la vaccination qui sera très prochainement voté: il résume des réalités trop souvent occultées dans les débats publics autour de la vaccination. 
 

Ce texte est signé par

INFO VACCINS France, la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, le REVAHB (association des victimes du vaccin Hépatite B), Senta Depuydt, Dr Nicole Delépine, Dr Michel de Lorgeril, Lucienne Foucras, Bernard Guennebaud, Jean-Pierre Eudier, Thierry Fenoy, Lucie Michel (Les Mamans courage), Raphaël Sirjacobs & Béatrice Dupont (Parents de Stacy), Patrice Maillard.

Pour trouver le député de votre circonscription et lui transmettre toutes ces informations essentielles par mail, vous pouvez vous rendre sur ce site. 

Vous pouvez également trouver et contacter votre sénateur sur ce site

 

L’obligation vaccinale n’est pas une nécessité de santé publique. Tandis que la Suède a déclaré cette pratique non constitutionnelle plus tôt dans l’année, Angela Merkel vient de se prononcer contre une telle mesure et de rappeler l’importance du libre choix des citoyens sur cette question.


Ci-dessous, plusieurs choses à savoir avant d'engager votre responsabilité sur une loi imposée dans la précipitation et sans concertation.   

Effets secondaires non rapportés et dommages neurologiques graves pour les vaccins soumis au vote de l’Assemblée.


ROR (Priorix – laboratoire GSK)


Une collaboration Cochrane de 2012 souligne le caractère « largement inadéquat» des tests d’évaluation de sûreté, après avoir constaté que le vaccin ROR augmentait le risque de survenue de méningite non infectieuse (aux conséquences parfois létales) par 14, même si certaines études parlent d’un risque multiplié par 25 (études concernant 15 millions d’enfants). (1)


Vaccins combinés : Infanrix Hexa (GSK) + Prevenar (Wyeth-Pfizer). 
Le risque de dommages neurologiques graves liés à l’administration simultanée de ces deux vaccins est multiplié par 3 ! (2)


Infanrix Hexa (Hexavalent GSK)

Le rapport de suivi de 2011 de GSK à l’AEM a dénombré plus de 825 effets secondaires : 503 effets secondaires, dont 56 effets secondaires graves, n’avaient pas été déclarés avant la mise sur le marché du vaccin. (3a) 

Vaccin Hépatite B 

Les données de la Commission nationale de pharmacovigilance faisaient état chez l’enfant de moins de 15 ans, en 2010, de 117 notifications d’affections démyélinisantes centrales (dont 67 cas de sclérose en plaque) et de 24 cas d’atteintes périphériques (Syndrome de Guillain-Barré) après la vaccination hépatite B. Malgré les demandes des associations, ces données chiffrées ne sont pas accessibles sur la période ultérieure (3b).


En outre, tous vaccins confondus « seuls 1 à 10 % des effets secondaires graves seraient rapportés », d’après notamment La Revue du praticien (4, 5).


Il est urgent de mener une évaluation sérieuse de la sécurité des vaccins pédiatriques, notamment concernant les risques de dommages neurologiques graves. Sinon, il est impossible de déterminer une quelconque balance bénéfices/risques.

Décès par vaccins pédiatriques 


Hexyon – Hexavac (Sanofi)


Mis sur le marché en 2000 et retiré en 2005 suite à une augmentation élevée du nombre de décès dans les deux jours suivant la vaccination. (6) Le vaccin Hexyon qui le remplace semble être identique à part un taux d’aluminium plus élevé. Est-il plus sûr ? 


Infanrix Hexa : 


- D’après le rapport de suivi de 2011, on peut dénombrer 73 cas de décès depuis la mise sur le marché du vaccin en 2000. (7, 8)


- Un nombre de décès, pourtant signalés dans le 16e rapport de suivi de GSK à l’Agence Européenne du Médicament, ont disparu de la « comptabilité » du 19e rapport par des jeux d’écriture. En minimisant ainsi le risque de décès suivant la vaccination, le rapport contrevient à un devoir de transparence. Cette nécessaire transparence aurait pu conduire à son retrait du marché, comme ce fut le cas pour l’Hexavac. (9). 


Suite à un nombre élevé de décès rapportés pour le vaccin pentavalent, l’OMS a modifié les critères de notification des effets secondaires en abandonnant la « classification de Brighton », un standard international créé en 2000 pour évaluer la sécurité des vaccins. En pratique, il est depuis devenu presque impossible de notifier des décès post-vaccinaux. (10)


Il est urgent de mener des études sérieuses sur l’administration des vaccins hexavalents et la mort subite du nourrisson. 

 

L’éradication de la rougeole a peu de chances d’être atteinte, même avec 100 % de couverture vaccinale.

- Le vaccin ROR est peu efficace. Seuls 25 % des vaccinés sont encore immunisés après 10 ans. (11). L’immunité vaccinale est largement inférieure à l’immunité naturelle acquise par la maladie et la durée de l’immunité par la vaccination ne cesse de décliner. (12, 13)

- Entre 2 et 10 % des personnes ne « répondent pas à la vaccination», quel que soit le nombre d’injections administrées (raisons génétiques) (14).

- Le virus de la rougeole circule aussi de manière silencieuse, sans présentation de signes cliniques manifestes de la maladie. Cette circulation silencieuse existe chez les vaccinés et les non-vaccinés. (15) Il est inutile de calculer les taux de couverture vaccinale requis pour l’élimination d’une maladie, si la vaccination n’est pas entièrement efficace et que celle-ci circule de manière invisible. Ce fait extrêmement important a été présenté dans la communication de Mr Bernard Guennebaud, mathématicien, au Congrès d’Épidémiologie de la Sfsp-Adelf à Amiens, le 6 octobre dernier. (16).


En diminuant l’immunité générale à long terme, la vaccination a aussi augmenté le risque et la gravité de la rougeole pour les catégories plus fragiles. Les nouveau-nés courent de plus grands risques, car les mères n’ont plus l’immunité solide acquise par la maladie naturelle. La rougeole à l’âge adulte entraîne des complications plus importantes. (17, 18, 19, 20).Dans quelques années, nous risquons de voir la première génération de seniors n’ayant pas eu la rougeole naturelle. Que se passera-t-il pour eux ? Ces faits résultent de la vaccination.


Selon les rédacteurs de la revue Vaccine :

« En réalité, on ne peut savoir si l’élimination de la rougeole peut effectivement être atteinte et maintenue. Il y a des limites de l’approche en termes d’immunité collective, qui ignore la variabilité individuelle dans la réponse immunitaire et la disposition génétique des uns ou des autres à réagir à la vaccination ou à souffrir d’effets indésirables » (21). 


Faible efficacité des vaccins pédiatriques 

- Le vaccin contre les oreillons. Les épidémies dans les campus américains l’ont confirmé, car tous les sujets affectés avaient été vaccinés : l’immunité a disparu et le risque s’est déplacé vers l’âge où la maladie entraîne plus de conséquences lourdes (stérilité). (22)

- Le vaccin contre la coqueluche. Le bacille Bordetella pertussis mute vers des souches plus virulentes. Les épidémies circulent malgré une forte couverture vaccinale.(23, 24)

- Le vaccin contre la polio. Toutes les épidémies de polio actuelles sont dues à des virus vaccinaux qui ont muté et retrouvent leur virulence. (25) En Inde, la campagne polio Pulse a fait 50 000 cas de paralysie flasque aiguë. (26). Tout comme pour la rougeole, une éradication de la polio est peu probable.

- Le vaccin contre les pneumocoques n’est actif au mieux que sur quelques-unes des 100 souches. Après avoir constaté l’augmentation des cas suite aux campagnes avec Prevenar 7, on est passé à un vaccin avec 13 souches. (27a).

- Le vaccin contre l’hépatite B n’est pas pertinent pour les nourrissons. D’une part parce que le virus se transmet principalement par voie sanguine ou sexuelle. D’autre part parce que de nombreuses études constatent non seulement une disparition des anticorps anti hépatite B 5 à 15 ans après l’acte vaccinal, mais aussi parfois une moindre efficacité du vaccin lors des rappels à l'adolescence, période où il serait le plus nécessaire (27b).


Les concepts de couverture vaccinale et d’immunité collective ne sont pas pertinents pour le vaccin contre le tétanos (non contagieux). En outre toutes les maladies contagieuses ont disparu grâce à l’hygiène, l’eau potable, la nutrition et leur cycle d’évolution naturel. Dans certains cas, comme la variole, le succès a été obtenu par une politique efficace de détection et d’isolement des cas et de leurs proches. (Rapport de l’OMS sur la variole) (Voir les ouvrages de Michel Georget détaillant ceci pour toutes les maladies.) (28)


Il est indispensable de réévaluer l’utilité de la vaccination pour ces maladies et de développer des stratégies alternatives visant à renforcer l’immunité naturelle de la population.

 
La jurisprudence récente évolue en faveur des victimes


La Cour Suprême des États-Unis a estimé que les vaccins sont « inévitablement risqués » (« unavoidably unsafe ») (29). Entre 1988 et 2011, le gouvernement américain a ainsi dû payer 3,5 milliards de dollars en compensation de 16 600 cas d’accidents vaccinaux (pour 1 300 d’entre eux, des problèmes cérébraux) et 1 200 morts liées aux vaccins. (30)

La Cour de Justice de l’Union européenne a refusé d’exclure le lien entre sclérose en plaques et vaccination contre l’hépatite B, et rendu un jugement de principe selon lequel un faisceau d’indices « graves, précis et concordants » peut suffire en l’absence de consensus scientifique. (Vaccin hépatite B de Sanofi) (31). 

Ce jugement confirme qu’il n’est plus acceptable d’imposer toute la charge de la preuve aux plaignants s’ils ne peuvent s’appuyer que sur des éléments susceptibles d’être produits par la partie adverse. 


Il est urgent d’évaluer en termes humains et financiers l’ensemble du coût des campagnes de vaccination et montants d’indemnisation pour dommages subis et de le comparer au coût du traitement des maladies. Supprimer l’obligation permettrait de renvoyer la responsabilité juridique et financière auprès des fabricants. 

Conflits d’intérêts au sein des instances pilotant les politiques de santé
 


Les avis du Center for Disease Control américain sont repris par l’Organisation mondiale de la santé et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, et ensuite transmis dans les recommandations nationales. 

Le CDC (Center for Disease Control aux États-Unis, relayé par l’ECDC en Europe) a un chiffre d’affaires annuel de 4 milliards de dollars en vaccins et détient des brevets sur près de 30 vaccins. Une majorité des experts du comité de recommandation du calendrier vaccinal a des liens d’intérêts avec l’industrie (65 % déclarent des liens officiels), ou même des dividendes sur certains vaccins (Paul Offit, co-inventeur d’un vaccin contre le rotavirus fabriqué par Merck et ancien membre du Comité Consultatif sur les Pratiques d'Immunisation du CDC, a fait 30 millions de dollars de bénéfice sur le brevet RotaTeq, par exemple.) (32).

L’Organisation mondiale de la santé est financée et dirigée en ordre d’importance par : les États-Unis, la fondation Bill Gates (lui-même actionnaire de l’industrie pharmaceutique), la Grande-Bretagne et l’Alliance GAVI (un partenariat privé-public avec l’industrie). La contribution des autres États membres représente à peine 20 % (voir l’émission d’Arte L’OMS dans les griffes de lobbyistes). (33) 

Les obligations vaccinales ont été au cœur de la campagne présidentielle américaine. Le président Donald Trump s’est opposé à l’extension des obligations, car il a été témoin de dommages vaccinaux graves chez un de ses enfants. Sa première déclaration politique a été son intention de créer une commission d’enquête sur la sûreté des vaccins. Si Trump y parvient, tout peut basculer d’un instant à l’autre. Le 12 octobre dernier, 5 millions d’Américains ont introduit une demande officielle pour obtenir de vraies études sur la sûreté des vaccins avant d’introduire une action collective contre le responsable de l’Institut Nationale de la Santé. (34)

En Italie, le chef du cabinet de la ministre de la Santé siège au conseil d’administration de la fondation SmithKline Beecham. Le même laboratoire GSK a investi un milliard d’euros dans de nouvelles usines de production de vaccins. 

L’extension des obligations crée un chaos en Italie 


Les recours contre le décret italien imposant l’extension de l’obligation vaccinale et les procès pour dommages vaccinaux se multiplient. Le président honoraire de la Cour suprême de cassation italienne Ferdinando Imposimato, ancien héros de l’opération « mains propres » qualifie la loi de mafieuse et de contraire à la Constitution et appelle à la désobéissance civile. Loin d’instaurer la confiance, la loi divise et radicalise. L’Ordre des Médecins italien traque les praticiens pour les radier. Certains parents de victimes ont agressé des médecins refusant de reconnaître les dommages après un vaccin. Les mères de famille résistent et paralysent le système médical, scolaire et administratif.


La Vénétie a refusé l’application du décret et exigé un moratoire sur l’obligation vaccinale. Le 22 octobre 2017, la Vénétie et la Lombardie ont tenu un référendum où les citoyens se sont massivement prononcés en faveur d’une plus grande autonomie, notamment en matière de santé. (35)


Il est urgent d’analyser les conséquences politiques et juridiques de l’imposition accélérée des obligations dans un contexte similaire à celui de la France et d’en tirer les leçons. 


Risques pour la santé non ou peu évalués pour les vaccins 


- La question des adjuvants aluminiques et du préservant à base de mercure. (36)
- La présence de nanoparticules cytotoxiques contaminant tous les vaccins. (37)
- La présence de rétrovirus contaminant la majorité des vaccins.
- On ne connaît pas leurs effets sur la fertilité ou leurs risques cancérigènes.
- Les vaccins ne sont pas testés contre placebo, ni en administration combinée, ni sur le moyen ou le long terme.


Rappelons que 60 millions de personnes ont été contaminées par le virus de singe SV40 présent dans les vaccins anti-polio, soupçonné d’être associé à de nombreux cancers et au lymphome de Hodgkin. (38) 


Le vaccin Hexavac a dû être retiré du marché, Hexyon est-il plus sûr ? 
Le vaccin Infanrix est toujours en circulation alors que des décès pourraient être évités. 


Il n’y a pas d’urgence à vacciner, ni à passer cette loi. 


De plus en plus de vaccins bénéficient d’une procédure accélérée de mise sur le marché. Celle-ci signifie que moins de tests sont réalisés que pour la procédure normale d’approbation des médicaments. Face au risque accru que cela implique, on ne devrait rendre ces vaccins obligatoires que dans des circonstances exceptionnelles. 

Imposer un acte médical ou un médicament dont on ne peut prouver la sécurité revient à de l’expérimentation médicale forcée. Prendre ce risque à l’échelle collective est un acte d’inconscience.


Il est nécessaire de demander un moratoire sur la vaccination et d’évaluer l’utilité, l’efficacité et les risques associés à chaque vaccin. Tout comme il faut réévaluer la «balance bénéfices-risques » en termes de coût humain et financier.


Pour légitimer une limitation des libertés individuelles au nom de la santé publique, une loi doit répondre aux principes de nécessité et de proportionnalité. Au vu de ce qui précède, ces deux conditions ne sont pas réunies.

Références :

 
1. "Vaccines for measles, mumps and rubella in children", 15 février 2012, Cochrane Database Systematic
Review,  http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/14651858.CD004407.pub3/full
2. Infanrix + Prevenar                                                                             
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-20-dec.-2012.pdf
3a. Infanrix Hexa 

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-6-dec.-2012-_doc-confidentie.pdf  
3b. http://pediablogdlh.blogspot.fr/p/le-vaccin-la-myeline-et-lenfant.html
4. 1 à 10% effets secondaires : Revue du Praticien « La pharmacovigilance des vaccins », 27/10/2011, p715. 


5. Hazell L, Shakir S « Under-reporting of adverse drug reactions. A systematic review. Drug saf. 2006, 29 : 385-96

6. Hexavac von Kries R et al. « Sudden and unexpected deaths after the administration of hexavalent vaccines (diphtheria, tetanus, pertussis, poliomyelitis, hepatitis B, Haemophilus influenzae type b): is there a signal? Eur J Pediatr. 2005 Feb »; 164(2):61-9. Epub 2004 Dec16.

7.http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-6-dec.-2012-_doc-confidentie.pdf et http://initiativecitoyenne.be/article-infanrix-hexa-le-document-confidentiel-accablant-113251207.html
8. Zinka, B.; Rauch, E.; Buettner, A.; Ruëff, F.; Penning, R. Unexplained cases of sudden infant death shortly after hexavalent vaccination. Vaccine 2006, 24, 5779–5780.
9. J. Puliyel et al. « Infanrix and Sudden Death : a Review of the Periodic Safety Update Reports Submitted to the European Medical Agency », Indian Journal of Medical Ethics, 7 sep. 2017. 

10. J. Puliyel, A. Phadke, « Deaths following Pentavalent Vaccine and the Revised AEFI Classification », Indian Journal of Medical Ethics, Vol. 2, n04, 2017. 
11. Le Baron “Persistance of measles antibodies after 2 doses of measles vaccine in a postelimination environment”, PMID, 17339511

12. D.I. Levy, “The future of Measles in Highly Immunized Populations : A Modelling Approach”, American Journal of Epidemiology, vol. 120, n°1, July 1984, pp. 39-48.

13. Davidkin, Diminution de l’immunité, 1998, Pubmed9815205
Coqueluche 
14.“Personalized vaccines: the emerging field of vaccinomics” (Expert Opin Biol Ther. 2008 Nov ; 8 (11) : 1659–1667.), Gregory A Poland, Inna G Ovsyannikova, Robert M Jacobson
15. Diane Ninkam Nghemning “Souches africaines du virus de la rougeole : étude de l’interaction virus-cellule et analyses phylogénétiques” thèse doctorale en faculté de biologie à l’Université J. Fourier, Grenoble 1, 9 juillet 2002

16. Bernard Guennebaud “Sur des fautes méthodologiques et leurs conséquences, l’évaluation d’actions de santé publique” sur questionvaccins.canalblog.com
17.Perte de l’immunité chez le nourrisson, Lennon 1986, PMID 3701511
18. Comparaison avec l’immunité naturelle, Itoh 2002, Pubmed, 11980952. 
19. Aggravation chez la femme enceinte et le bébé, Aaby 2003, 12505179
20. Rapport sur les épidémies de rougeole en France, BEH n°33-34 du 20 septembre 2011, p. 356.W. Moss, P. Strebel

21. G.A Poland and R. Jacobson « The Re-emergence of measles in developed countries : time to develop the next Generation Measles Vaccines » (Vaccine, 30, 2012, p. 103-104)

22. www.cdc.gov/mumps/outbreak.html
23. C ; Gill, « The relationship between mucosal immunity, nasopharyngeal carriage, asymptomatic transmission and the resurgence of Bordetella pertussis », F1000Research 2017, 6, 1568

24. C. Weber et al « Polymorphism of Boredetella pertussis Isolates Circulating for the last 10 years in France, where a Single Effective Whole Cell Vaccine Has Been Used for More than 30 Years », J. Clin. Microbiol. 2001, 39 (12) : 4296-4403

25. F. Delpeyroux et al. «Éradication de la poliomyélite et émergence de poliovirus pathogènes dérivés du vaccin. De Madagascar au Cameroun ».

26. J. Puliyel, N. Vashisht,V. Sreenivas « Trends in Non-Polio Acute Flaccid Paralysis Incidence in India 2000-2013 », Pediatrics, 2015 Feb. 135, sup. 1 :S16-7 et Excellence in Pediatrics, Dubai, 6 December, 2014

27a. Impact de la vaccination par le vaccin pneumococcique conjugué 13-valent sur l’incidence des infections invasives à pneumocoques, Epibac et CNR des pneumocoques (réseau CNR-ORP).

27b.http://pediablogdlh.blogspot.fr/2016/03/vaccin-hepatite-b-quelle-protection.html)
28. Michel Georget, La vaccination, vérités indésirables, Dangles. 

29. “Unavoidably safe” Bruesewitz v.Wyeth LLC, 131 S. Ct. 1068, 179 L. Ed. 2d 1 (2011)
30. Institute of Medicine of the National Academies. Adverse Effects of Vaccines, 2011. www.hrsa.gov/vaccinecompensation/resources/adverseeffects.pdf
31. Hepatite B. Communiqué de presse 66/17 du 21 juin 2017. Affaire C-621/15 N.W vs Sanofi Pasteur

32. Robert Kennedy Jr., https://worldmercuryproject.org/mercury-facts/merc... 

33.  “L’OMS dans les griffes des lobbyistes”, Enquête de 2016 menée par Jutta Pinzler et Tatjana Mischke pour la chaîne allemande NDR. Reportage diffusé sur Arte
34. Informed Consent Action Network 
www.icandecide.com
35www.comilva.org et http://tg24.sky.it/politica/2017/09/27/referendum-autonomia-lombardia-veneto.html
36. Travaux du prof. Romain Gherardi et « Toxic Story », Actes Sud, 2016.
37. Serge Rader, Antonietta Gatti et Stefano Montanari “Vaccins, oui ou non ?”, éd. Talma, 2017

38. CIF Vaccinologie 2011 « Fabrication et contrôle des vaccins » cours dispensé à l’Institut Pasteur par Jean-François Saluzzo, directeur de production des vaccins viraux et chef de recherche pour les vaccins anti-SIDA, conseiller à l’OMS. Voir aussi S. Kops « Debate on the Link between SV40 and Human Cancer Continues », Journal of National Cancer Institute, vol. 94, n°3, Feb. 6, 2002, p. 229-230.

Source: Alternative Santé

Voir aussi

Onze vaccins obligatoires: débat sensible en vue à l'Assemblée

Vaccins obligatoires: les sanctions seront plus lourdes

Michel Georget, agrégé de biologie sur la manière dont la "sécurité" des vaccins est "testée"...

Serge Rader, pharmacien sur les dangers des vaccinations

Dr Bernadine Healy, ex directrice du National Institute of Health, estimant que le lien vaccins et autisme n'a pas pu être valablement exclu compte tenu de la méthodologie inadaptée des études

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25 octobre 2017 3 25 /10 /octobre /2017 20:15

Merkel contre l’obligation généralisée de la vaccination

Angela Merkel se déclare opposée à l'obligation vaccinale

PresseAugsburg, 21 octobre 2017

La chancelière fédérale Angela Merkel s’est prononcée contre une obligation généralisée de la vaccination.

«  En tant que citoyennes et citoyens responsables et indépendants, comme cela nous parait tout à fait naturel en Allemagne, tout le monde devrait pouvoir peser sa décision », a déclaré Madame Merkel dans son podcast-vidéo du samedi. En outre, la chancelière a déclaré que les barrières étaient particulièrement hautes pour empêcher l’état de décider d’une obligation – et « pour de bonnes raisons ».

L’autodétermination de chaque citoyen pèse évidemment très lourdement dans la balance. Elle croit cependant personnellement que «  la vaccination permet d’éviter le risque de maladies graves, ce qui est beaucoup mieux que de risquer une intolérance au vaccin qui apparaît très, très faible.

Source: Presse-Augsburg.de

>> Avis à Mme Buzyn, à l'ONE et à combien d'autres partisans du totalitarisme vaccinal. Qu'ils sachent qu'il existe d'AUTRES EXEMPLES parlants dans le monde où l'obligation vaccinale (ou la recommandation officielle forte) est contestée, jugée inconstitutionnelle etc. Le Japon, la Colombie, la Suède,....

Voir aussi:

Pourquoi la Suède refuse les obligations vaccinales: des raisons dérangeantes pour Big Pharma!

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23 septembre 2017 6 23 /09 /septembre /2017 16:17

Les scientifiques de l’Université d’Oxford ont administré un vaccin contre la tuberculose à des bébés, alors que ce vaccin « ne marchait pas chez les singes »

 

                      Par Claire Newell et Edward Malnick, 3 septembre 2017

Un vaccin anti-tuberculeux pourtant inefficace chez les singes administré à des bébés par des scientifiques d'Oxford

L’Université d’Oxford est impliquée dans des problèmes éthiques après que des scientifiques furent accusés de conduite douteuse au cours de l’essai controversé d’un nouveau vaccin sur des bébés africains.

Le Professeur Peter Beverley, ancien recteur d’université, s’est plaint du fait que les scientifiques prévoyaient de tester un nouveau vaccin contre la tuberculose chez plus d’un millier de nourrissons, sans partager les données en leur possession. Ces données suggèrent que les singes qui avaient reçu les vaccins semblaient « mourir rapidement ».

Le Professeur Beverley a précisé qu’au cours de cette expérience, aucune preuve que ce soit n’avait été apportée que ce vaccin de rappel était efficace. Il a affirmé que l’information n’avait pas été donnée aux régulateurs, alors qu’une demande avait été introduite.

Dans l’étude sur les singes, cinq de ces six animaux infectés par la tuberculose et qui avaient reçu le vaccin expérimental sont devenus « très malades », et ont dû être abattus.

Une fiche informative distribuée aux familles d’Afrique du Sud et qui participaient au procès spécifiait que le vaccin avait été testé chez les animaux et les humains et qu’il était « sûr et efficace » chez les animaux.

Le Professeur Jimmy Volmink, doyen de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé de l’Université de Stellenbosch, a déclaré au « Telegraph » que la fiche d’information ne semblait pas refléter les preuves concernant l’étude sur les singes, ce qui n’était pas « juste ».

Il a précisé que les personnes touchées par la tuberculose étaient souvent pauvres et « peu instruites », ce qui rendait particulièrement important qu’on leur donne des informations « claires et compréhensibles».

Près de 1500 bébés d’Afrique du Sud ont reçu le nouveau vaccin et les parents ont reçu la somme de 10 £ pour leur participation.

Le régulateur Sud-Africain qui a approuvé le procès a admis que la fiche d’information donnée aux parents « pouvait être interprétée comme trompeuse », ce qui soulève des questions sur le fait de savoir si les familles étaient suffisamment informées.

Les scientifiques d’Oxford qui ont participé au procès soutiennent que le vaccin était sans danger pour les enfants, et que leur expérience avait été approuvée par plusieurs organismes de réglementation. Ils ont précisé que le développement des enfants avait été suivi pendant deux ans après la vaccination - laps de temps approuvé par les organismes de réglementation.

L’étude des singes qui inquiétait le professeur Beverley a débuté en novembre 2006 et la demande introduite pour tester le vaccin dans le « Western Cap » a été introduite 18 mois plus tard.

A cette époque, le professeur Beverley a déclaré qu’il avait appris que les animaux de l’étude avaient dû être euthanasiés « plutôt rapidement ».

Tous les singes ont été infectés par la tuberculose, mais un groupe avait reçu le vaccin BCG largement utilisé, un autre singe n’a reçu aucun vaccin, un troisième a reçu le BCG plus le nouveau vaccin.

L’essai sur les bébés a commencé en juillet 2009, et près de la moitié des 2.800 nourrissons ont reçu le nouveau vaccin. En 2013, les résultats du procès concernant les nourrissons ont permis de conclure que le nouveau vaccin ne conférait aucune protection accrue.

Le Professeur Beverley, chercheur principal de l’Université d’Oxford jusqu’en 2010, s’est plaint formellement à l’Université.

Une enquête a été lancée et a conclu que, bien qu’il n’y ait eu aucun acte répréhensible, il aurait été de bonne pratique que les réactions potentiellement négatives observées chez les singes soient signalée aux autorités de manière plus rapide.

Le Professeur Helen McShane, l’un des principaux scientifiques qui ont développé le nouveau vaccin, a déclaré que le but de l’étude sur les singes visait à « tester la livraison des aérosols » chez les animaux, et non de « produire des informations sur la sécurité ».

Elle a déclaré que l’expérience avait échoué parce qu’« il n’y avait pas de différence entre les groupes ».

Le professeur McShane a déclaré au « Telegraph » qu’il n’y avait pas eu de retard dans la fourniture des données aux régulateurs concernant l’expérience sur les singes.

Elle a déclaré qu’elle ne pensait pas que les familles d’Afrique du Sud auraient été exploitées, et que les régulateurs avaient signé la fiche d’information donnée aux parents.

Elle a ajouté que l’essai sur les singes portait sur un nombre « limité » d’animaux et que le professeur Beverley était « mécontent ».

L’organisme de réglementation « South African Medicines Control Council » a déclaré qu’un « grand nombre de données » - en dehors de l’expérience sur les singes et qui comprenaient des essais antérieurs sur des humains – avaient été considérées comme faisant partie du processus d’approbation.

Ils ont également déclaré que l’expérience sur les singes « ne constituait pas un essai du vaccin sur les singes »  et que l’on n’avait pas suggéré que le vaccin soit dangereux chez les singes ou qu’il ait causé une maladie ou la mort ».

Toutefois, lorsqu’on a posé des questions sur la fiche d’information distribuée aux parents, le régulateur a déclaré : « Avec du recul, on peut dire que l’information obtenue sur l’efficacité pourrait être interprétée comme trompeuse », malgré que, « dans les études antérieures sur les humains, la  preuve  de sécurité ait été signalée».

Source: The Telegraph

Ce qu’il faut bien comprendre ici : la désinformation des parents dont cet article fait état est en réalité d’application pour tous les vaccins, dans tous les pays et pour tous les enfants. L’Afrique du Sud, et plus généralement les pays pauvres ne sont pas les seuls concernés. Quand, dans nos pays, les médecins de l’ONE ou de PMI affirment aux parents que les seuls effets secondaires des vaccins se résument à un peu de fièvre et/ou à une douleur ou une rougeur au point d’injection alors que les fabricants eux-mêmes listent plus de 800 effets secondaires susceptibles d’affecter tous les systèmes du corps (dont de nombreux effets gravissimes et irréversibles d’ordre neurologique, auto-immuns etc.), il s’agit d’une attitude dolosive, d’une tromperie délibérée et d’une mise en danger d’autrui évidente. Face aux aveux irréfutables des firmes, il est surréaliste que les instances officielles puissent impunément continuer leur propagande mensongère que certains enfants et adultes payeront pourtant irréversiblement (et sans aucune indemnisation) dans leur chair, au détriment de la collectivité tout entière...

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10 septembre 2017 7 10 /09 /septembre /2017 11:53

LEICESTER :

Haut lieu historique de la résistance à l’idéologie vaccinale

 

Le Dr Suzanne Humphries MD, néphrologue, et auteur de nombreux documents sur les dangers de la vaccination s’est fait un honneur de se rendre, un peu comme en pélerinage, à LEICESTER, haut lieu historique de la Résistance à l’idéologie vaccinale, et la ville la moins vaccinée de toute la Grande Bretagne.

« La population de cette ville de 1873 à 1894 représentait les deux tiers de l’armée britannique pendant la même période. Les décès par variole dans l’armée et la Navy s’élevèrent à 37 par million, tandis que les décès enregistrés dans la ville de Leicester s’élevèrent à moins de 15 par million »  J.T. Biggs « Leicester : sanitation versus vaccination ».

Leicester, en Angleterre: haut lieu de la résistance à l'idéologie vaccinale

Le Dr S. Humphries est photographiée ici devant la prison de Leicester dans laquelle ont été incarcérés de nombreux parents considérés comme des criminels et qui avaient, avant tout, voulu protéger leurs enfants des suites souvent dramatiques de la vaccination. Ces parents refusaient d’empoisonner leurs nouveau-nés ou n’avaient pas pu payer les lourdes amendes pour refus de vaccination antivariolique rendue obligatoire, après avoir souvent vu leurs propres biens confisqués.

«  Nous voici devant le prison de Leicester, c’est un lieu historique. Très peu de gens savent ce qui s’est passé ici même en relation avec les suites dramatiques de la vaccination antivariolique : les manifestations de masse, les grandes marches, les nombreux rassemblements populaires.- La première loi vaccinale fut promulguée en 1840. En 1853, la vaccination antivariolique était devenue obligatoire. Les parents devaient vacciner leurs enfants de 3 mois avec du « pus » vaccinal.

En 1869, il y eut une telle tempête de protestations au sujet des graves problèmes causés par la vaccination que l’on vit pleuvoir les amendes, les confiscations de biens, ainsi que les emprisonnements. Malgré toutes ces mesures, la majorité de la population était décidée à passer outre pour éviter la dégradation de la santé des enfants.

C’est en 1869 que la Ligue Antivaccinale fut crée à Leicester. En 1867, soit deux années avant la création de la Ligue, 94% de la population était vaccinée. En dépit de ces taux très élevés de vaccination, Leicester enregistra des taux très importants de décès, tant chez les non vaccinés que chez les vaccinés.

C’est en 1871 que la ville de Leicester connut la pire des épidémies de variole jamais vue avec des taux énormes de mortalité. Cette catastrophe fut décisive pour ébranler la croyance de la population dans la vaccination. La révolte s’était implantée partout. »

En 1885, on a évalué à 80.000 personnes le nombre des protestataires faisant partie du cortège de plus de 3 kilomètres qui traversait la ville au milieu des applaudissements enthousiastes d’une immense et sympathique population. Les devises inscrites sur les bannières exprimaient dans un langage énergique, le mépris dans lequel on tenait le dogme de la vaccine, ainsi que l’inébranlable détermination du peuple à reconquérir, à n’importe quel prix, sa liberté médicale.

Au milieu de toutes, se faisait remarquer la magnifique bannière de nos amis de Belgique avec cette devise : « Ni les amendes, ni la prison ne peuvent empêcher la vaccine d’être un poison, et les faits de la vaccination une infamie. » Elle passait haute et fière, avec sa frappante vérité, au milieu des cris d’admiration de tout le monde.

Après le retour de la vaste procession à la place du marché, où des résolutions contre la tyrannie de la vaccination furent votées à l’unanimité, on brûla publiquement et solennellement les actes de la vaccination sur l’estrade, en présence des notables de la ville et au milieu des applaudissements frénétiques de l’immense assemblée. » Le nombre des arrestations fut tel que les autorités perdirent le contrôle de la situation ! (William Tebb de Londres 2ème rapport au Congrès international des médecins de Charleroi, 26, 27, 28 juillet 1885.)

A ce même Congrès, les propositions de M. Keuchénius de La Haye furent adoptées à l’unanimité. Ce même M. Keuchénius devait, au cours de son discours, s’écrier : « Oui ! Ce vaccin-vérole, c’est le comble de l’infamie ! Il faut que toutes les mères sachent l’affreuse vérité. »

 En Angleterre, le nombre des décès dus à la maladie passa de 2620 en 1870 à 23.126 en 1871 et à 19.000 en 1872.

Après ces marches de protestation, le taux de vaccinations tomba de 94% à 10 ou 15% avec un nombre très peu élevé de malades dû aux mesures sanitaires et d’hygiène finalement mises en place.

Leicester, en Angleterre: haut lieu de la résistance à l'idéologie vaccinale

La ligue Universelle des Antivaccinateurs réunissait essentiellement des médecins opposés à la vaccination et à son obligation. Elle organisa quatre Congrès internationaux à Paris, Cologne ; le troisième à Berne (Suisse) et le quatrième à Charleroi les 26, 27 et 28 juillet 1885, avec à sa tête Hubert Boens. Ce dernier avait élevé la voix avec véhémence pour défendre les opposants aux vaccinations :

« Oui, il y a des antivaccinateurs ; il y en a eu : il y en aura, aussi longtemps que les gouvernements et les administrations locales n’auront pas résolument déclaré que la vaccine, comme la saignée, comme toute médication thérapeutique, palliative ou préventive, qui s’adresse à l’individu exclusivement, doit être absolument libre et indépendante des caprices de la Faculté et le l’arbitraire des gouvernements. »

Le compte rendu de ce quatrième Congrès de Charleroi, dont est extrait ce passage, a fait l’objet du livre célèbre édité au Canada par le Dr CHEVREFILS en 1965 sous le titre : «  Les vaccins, racket et poisons ? »

« Les pro-vaccins ont considéré qu’il était incroyable et impossible que la ville de LEICESTER non vaccinée puisse, même pour une seule année, et encore moins pour une période de plusieurs années, résister avec succès à des attaques de variole nombreuses et répétées. Il s’agit cependant bien de faits têtus et irrécusables. »  J.T. Biggs (1912)

Leicester, en Angleterre: haut lieu de la résistance à l'idéologie vaccinale
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