La Belgique se prépare à une pandémie de grippe: "C'est nécessaire" selon les experts
Emmanuel Dupond et Regjep Ahmetaj, publié le 02 février 2019
La ministre de la santé veut préparer notre pays à une épidémie mondiale de grippe. Maggie De Block annonce que la Belgique va participer à un marché public européen. Son but: garantir la disponibilité de vaccins en cas de pandémie.
En 2009, plus de 70 pays à travers le monde doivent faire face à une pandémie grippale. Le virus AH1N1 fait près de 17.000 victimes. Notre pays n’est pas épargné : 17 belges sont mortellement touchés. Problème, les vaccins sont insuffisants.
Yves Van Laethem, président section vaccin au conseil supérieur de la santé: "En 2009, la dernière pandémie, on sait que certains pays n'ont pas eu la quantité de vaccins qu'ils souhaitaient, ou l'ont eu trop tard par rapport à l'arrivée du virus dans le territoire et donc on craignait qu'en cas de pandémie plus sévère, plus mortelle que celle de 2009, le même genre de scénarios se reproduise..."
Depuis trois ans, une quinzaine de pays européens se sont regroupés pour lancer un appel d’offre à plusieurs firmes pharmaceutiques. Objectif: obtenir la garantie qu’elles puissent fournir des vaccins à temps. Maggie De Block a annoncé hier qu’un accord allait être signé avec deux sociétés.
Maggie De Block, ministre de la santé: "On s’est inscrit dans ce projet Européen de fourniture de vaccins, ce qui nous permettra d’obtenir 6 millions de vaccins en cas de pandémie de grippe".
La Belgique va débourser deux millions d’euros par an pendant 4 ans, pour avoir l’assurance d’obtenir ces vaccins. Un budget important, mais une assurance nécessaire pour certains experts.
Yves Van Laethem, président section vaccin au conseil supérieur de la santé: "C'est permettre surtout d'assurer notre sécurité sanitaire, et comme c'est les firmes pharmaceutiques qui font les vaccins, il n'y a pas d'autre solution. Il n'y a pas de laboratoire d'état qu'il le fait. Il faut bien payer quelqu'un pour, à la fois, financer la recherche et fournir la capacité de production rapide si nécessaire."
La grippe pandémique n’est pas une grippe saisonnière. La dernière épidémie remonte à 2009. Notre pays peut décider dans 4 ans de renouveler le contrat, ou d’y mettre fin.
Source : RTL.be
Affligeant. Surréaliste, écœurant... la même clique (et ses conflits d'intérêts) recommence le pitoyable scénario du "c'est nécessaire", "au cas où", "il faut se préparer" et blablabla. On remarquera que l'on a de nouveau droit à une même litanie de mensonges, sans que les journalistes n'apportent le moindre démenti ou la moindre information contradictoire correctrice, le champ est de nouveau laissé complètement libre aux fieffés menteurs de service qui prétendent agir au nom de la santé publique! Oser dire que les vaccins étaient insuffisants en 2009 confine littéralement au délire merdiatique le plus pur, alors que des millions de doses périmées ont été détruites, quand les autres ont été écoulées inutilement aux malheureux Africains, comme s'en indignait à l'époque le Pr Gentilini, infectiologue et membre de l'Académie de Médecine...
Il faut le dire et le redire: cet affairement au sujet des pandémies n'est pas normal. L'OMS avait modifié ses critères de pandémie en 2009, très peu avant que la fausse pandémie ne soit déclarée et les vaccins décrétés indispensables et "salvateurs". On a hélas vu ce qui s'est produit avec les nombreux effets secondaires, comme la narcolepsie, à tel point que même le Commissaire européen à la Santé a déclaré que toute une série d'enfants souffrent d'effets secondaires "terrifiants" suite à ces vaccins... Les pays comme la Pologne, qui ont tenu bon et refusé d'acheter ces vaccins expérimentaux hasardeux, n'ont pas eu proportionnellement plus de cas et ont fait au passage de fameuses économies.
Mais voilà, il fallait éviter à l'avenir ce genre de "vilain petit canard" permettant ce genre de contraste dérangeant et dès lors concevoir un modèle d'achat européen aliénant toujours plus les Etats-membres à ce modèle contre-productif et iatrogène à souhait, à l'exclusion évidemment de tout autre approche intelligente, naturelle, qui respecterait les souhaits d'une large partie de la population et le plus élémentaire bon sens, tout simplement. Il faut dire qu'il existe des plans mondiaux de vaccination et tout un agenda pour assommer de plus en plus les populations par des batteries de plus en plus fournies et incessantes de vaccins, qui sont, à l'évidence, une des hontes les plus flagrantes de la médecine, devenue en réalité un si triste pharma-business.
L'OMS crée une "nouvelle maladie X" comme cadre d'accueil des prochaines pandémies tant attendues et aussi si bien annoncées à longueur d'année par des gens comme Bill Gates (un des plus grand contributeur privé au budget de l'OMS). Il est donc plus que grand temps de se réveiller, le piège étant de nouveau béant. Mais c'est bien connu, plus c'est gros, plus ça passe. Le H1N1 n'était en réalité qu'un exercice grandeur nature, une phase de test en vue d'une suite... histoire de toujours mieux rôder la désinformation, la coercition et la manipulation.
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