Une petite fille de 5 ans décède à cause du vaccin ROR
Rougeole-Oreillons-Rubéole
D’après l’article d’Augustina Ursino, 24 septembre 2015
A la douce mémoire de Holly Marie Stavola
Décédée d’encéphalite aiguë après le vaccin ROR
Robin Stavola est la maman de la petite Holly qui est décédée tragiquement après avoir reçu la seconde dose du vaccin ROR qui était exigé pour que Holly puisse fréquenter l’école gardienne (dans le New Jersey).
Après que Holly ait fait une réaction grave au vaccin qui a entraîné des convulsions, des dommages cérébraux et une réanimation intensive, les médecins ont expliqué aux parents que Holly ne pourrait pas guérir et resterait le restant de ses jours dans un état végétatif. Les parents de Holly se sont sentis perdus et ont, le cœur brisé, finalement dû accepter que les appareils qui maintenaient artificiellement leur petite fille en vie soient débranchés.
Après le décès de Holly, la maman Robin, a reçu un dédommagement après qu’il ait été déterminé que le vaccin ROR avait provoqué chez la petite fille une encéphalopathie aiguë.
Dans la suite, Robin a voulu se battre pour faire modifier la loi sur les dédommagements qui sont octroyés après des accidents vaccinaux
Alors que Holly a souffert pendant 65 heures dans les deux hôpitaux où elle avait été transférée, son pédiatre n’a même pas daigné venir la voir. Il arrive que certains pédiatres qui poussent les parents à faire vacciner les enfants ne se présentent même pas à l’hôpital pour prendre soin de ces enfants qu’ils ont vaccinés quand ceux-ci présentent des complications après les vaccins. Même l’aumônier de l’hôpital ne s’est guère montré sincère quand Holly se battait pour survivre. Les membres des familles en deuil ont tendance à croire que les aumôniers des hôpitaux sont là pour aider les affligés, mais certains d’entre eux seraient effectivement payés pour aider à accroître le nombre de dons d’organes.
« Nous avons cru les médecins quand ils nous ont dit que les vaccins étaient sans danger »
En l’honneur de la petite Holly, la maman nous raconte :
« Holly est née le 18 janvier 1995. Elle est née à terme ; il n’y a eu aucune complication. Le bébé était en parfaite santé. Nous avons fait confiance aux médecins et avons fait administrer à notre petite les vaccins recommandés par le programme de vaccinations.
On ne m’a pas donné de document informatif qui m’aurait permis de connaitre les réactions graves qui peuvent, dans certains cas, se produire après les vaccins. Holly a reçu, à temps, son premier vaccin ROR et le vaccin HiB à 16 mois.
Après avoir reçu ces vaccins, elle a fait de la fièvre, est devenue léthargique, n’avait plus d’appétit. Elle pleurait beaucoup plus que d’habitude, elle avait des maux d’oreille, ainsi qu’une toux qui a duré sept semaines consécutives. Pendant trois semaines, nous n’avons pas dû consulter le pédiatre. Nous sommes retournés à sa consultation une semaine et demi plus tard quand Holly recommença à faire de la fièvre et avait à nouveau perdu l’appétit. Nous avons encore dû reconsulter le pédiatre parce que la fièvre ne baissait pas.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, onze jours après ces séries de visites chez le médecin parce que Holly était MALADE, le médecin décida de lui administrer le vaccin polio oral (OPV) et son quatrième DTCa.
On me raconta que Holly avait réagi normalement aux vaccinations précédentes et dès lors que l’on pouvait poursuivre les vaccinations. Le médecin ne sembla nullement préoccupé par le problème. Aucun médecin ne me fit remarquer que Holly ne devait plus recevoir de vaccins vu qu’elle aurait pu réagir de manière plus grave encore.
Jusqu’alors, j’avais totalement fait confiance à mon pédiatre et n’avais jamais entendu parler de réactions aux vaccins jusqu’en 1996. Au moment où les problèmes se sont présentés, nous n’avons pas eu l’occasion de contacter d’autres parents et de nous rendre compte de l’importance des effets secondaires qui se produisaient.
Le 18 janvier, 2000, Holly a célébré son cinquième anniversaire.
Le 25 janvier 2000, donc une semaine plus tard, je me suis rendue avec Holly à la visite pédiatrique de ses 5 ans. Holly y a reçu un autre vaccin contre la polio (vaccin oral). Ce vaccin ne fut plus recommandé à partir de janvier 2000. Holly le reçut de toute manière avec le ROR, le DTCa et le test tuberculinique. Le jour où Holly a reçu ses vaccins au cours de la visite médicale de ses 5 ans, ELLE N’ETAIT PAS MALADE !! […]
Holly s’est retrouvée aux soins intensifs
« Après la visite, nous sommes rentrés à la maison et Holly a commencé à se plaindre de douleurs au bras. Je ne me suis pas inquiétée outre mesure étant donné ce que j’avais lu dans les documents d’information. On me conseilla donc de ne pas m’inquiéter. A l’époque, je ne savais même pas que les enfants pouvaient faire de graves réactions après avoir reçu des vaccins. Comme on me l’avait seriné maintes et maintes fois, je croyais que les vaccins étaient sans danger.
Le samedi 30 janvier 2000, cinq jours après que les vaccins lui furent administrés, elle jouait dehors dans la neige, donc très peu de temps avant que l’effet indésirable ne se manifeste.
Holly s’est plainte de douleurs au bras pendant toute une semaine à la suite de cette visite chez le médecin. Bien que l’on m’ait assuré que tout était normal, ce n’en fut pas moins le début de l’horrible cauchemar par lequel il nous a fallu passer et qui a commencé sept jours après la visite chez le médecin.
Le 1er févier 2000, sept jours après avoir reçu son deuxième vaccin ROR, Holly faisait une température de 40° ; elle avait mal aux oreilles et avait mal à la gorge.
Nous nous sommes rendus chez le pédiatre uniquement pour qu’il nous prescrive des antibiotiques et n’avons pas pensé mentionner le ROR, Le vaccin oral polio, le cinquième vaccin DTCa et le test tuberculinique que Holly avait reçus sept jours avant. Le médecin ne sembla nullement se soucier des réactions qu’avait présentées Holly après le premier vaccin ROR.
Nous nous sommes rendus dans une pharmacie pour y acheter l’antibiotique Suprax (cefixitime) et je lui ai administré la première dose.
Sur l’heure de midi, Holly a fait une sieste de deux heures. A cette époque, Holly ne faisait plus aucune sieste, mais j’ai pensé qu’elle en avait besoin parce qu’elle ne se sentait pas bien. A part une infection, le pédiatre n’a pas pensé que quelque chose était inhabituel. C’est la raison pour laquelle, j’ai pensé qu’il n’y avait rien de bien grave. Mais tout a fini par changer.
J’étais assise sur le lit quand Holly s’est réveillée à huit heures. Elle s’est réveillée en faisant une crise d’épilepsie (grand mal) avec une température de 41,6. Ses yeux étaient révulsés et de la mousse sortait de sa bouche.
A partir de ce moment-là, les erreurs se sont accumulées. Ça a commencé avec l’opérateur du 911 qui était désagréable. Le délégué de l’EMS (Services médicaux d’urgence) n’a pas pu trouver notre maison. Finalement Holly fut conduite à l’hôpital.
Nous n’arrêtions pas de pleurer et de crier pour demander de l’aide. – Ils ont fait une ponction lombaire pour vérifier si Holly ne souffrait pas de méningite. Comme l’inflammation du cerveau ne cessait d’augmenter, cette ponction n’aurait pas dû être réalisée. Holly tremblait étant donné ce qu’on avait fait pour essayer de la refroidir après sa fièvre.
Holly fut ensuite transportée dans un autre hôpital qui n’a pas été capable de mieux s’occuper d’elle. Ma fille était nue en train de vomir ; elle pouvait à peine parler (ataxie), elle pleurait. Ses derniers mots furent : « Maman, aide-moi ! »
Elle avait été dans deux hôpitaux du comté de Monmouth. Les soignants s’y étaient montrés désemparés et incapables de prendre soin d’une enfant qui présentait une encéphalomyélite aiguë disséminée jusqu’à ce que moi, la maman me suis sentie obligée d’alerter les médecins et de leur signaler qu’elle avait reçu des vaccinations une semaine auparavant.
Au second hôpital, j’ai demandé au neurologue si Holly avait reçu des calmants. Je l’ai ensuite entendu demander à une infirmière de lui donner du Fentanyl. Le Fentanyl est un opioïde que l’on désigne parfois sous le nom de stupéfiant.
Après des heures de crises épileptiques (grand mal), de la fièvre élevée (41,6 à 42,2), après de nombreuses prises de sang, une plasmaphérèse, un forage fut réalisé à travers le front pour libérer la pression intracrânienne. Après avoir dû traverser cet enfer, on nous apprit que Holly ne retrouverait jamais plus son état normal, qu’elle ne se réveillerait pas, qu’elle serait comme un légume incapable à jamais de pouvoir respirer par elle-même.
J’ai prié le chapelet pendant 65 heures et n’ai plus pu manger ou dormir. Les médecins nous ont suggéré de la débrancher, et aussi insupportable que ce geste nous apparaisse, nous avons finalement été contraints d’accepter.
Ainsi, le 4 février 2000, Holly Stavola, notre petite fille est décédée tragiquement et inutilement d’une encéphalopathie aiguë, suite au second vaccin ROR. L’hôpital et le pédiatre ont finalement conclu par ce diagnostic. »
[…] Le pédiatre de Holly et son équipe ont totalement échoué dans leur tâche en ne nous informant pas des risques associés aux vaccins et en négligeant d’attribuer ses symptômes à une réaction possible de la vaccination, le jour où les graves complications ont commencé.
Vidéo en hommage de Holly réalisée par son petit frère:
J’ai finalement appris d’un pédiatre renommé que Holly aurait pu être sauvée si le personnel médical avait agi différemment.
Robin a été invitée à donner les organes de Holly
Lorsque Holly était aux soins intensifs, reliée à un respirateur et que le cerveau avait été déclaré cliniquement mort, sa maman fut approchée par l’aumônier qui lui a suggéré de donner les organes de Holly.
L’aumônier de l’hôpital semblait particulièrement attentionné et agréable jusqu’à ce que la maman de Holly lui dise qu’il n’était pas question du don des organes de sa petite fille. La maman Robin a trouvé la situation très étrange et a eu comme l’impression que l’hôpital venait de perdre une affaire.
La plupart des parents ne sont pas conscients que certains aumôniers seraient impliqués dans des affaires de trafic d’organes. Pour augmenter les chances de consentement pour les dons d’organes, certains aumôniers seraient embauchés par les hôpitaux pour aider à obtenir le consentement des parents et des proches pour le don d’organes.
Se servir d’aumôniers formés professionnellement dans un milieu hospitalier à aborder la question du don d’organes s’est avéré couronné de succès pour que davantage de familles donnent leur consentement au don d’organes.
Robin, la maman explique :
« Dans la situation que nous étions en train de vivre, il a été très décevant qu’une personne de plus, l’aumônier même de l’hôpital ne se soit pas montré sincère alors que nous vivions pareil cauchemar. L’aumônier était la dernière personne qu’on aurait pu soupçonner de manquer de sincérité.
Notre famille admire cependant toute personne en deuil qui fait le don d’organes de l’un de ses proches. Nous ne voulons pas être jugés pour la décision difficile que nous avons dû prendre trop rapidement à ce moment-là.» [… ]
Les échantillons de sang de Holly ont été rejetés sans autorisation
La maman Robin écrit :
« Je savais qu’après le décès de Holly, nous devions demander une autopsie. C’est ce que nous avons fait. Nous avons demandé à l’hôpital de « conserver les échantillons de sang ». Nous avons reproduit cette demande sur le formulaire de demande d’autopsie.
Nous avons aussi demandé, et nous avons formulé notre demande par écrit, que la tête de notre enfant ne soit pas rasée. C’est horrible de devoir mettre tout cela par écrit comme de parler de la tête de notre petite fille décédée pour une autopsie, mais nous voulions que rien ne soit laissé au hasard.
Il est incroyable que le pathologiste « ait oublié de conserver des échantillons de sang ». Nous n’avons rien pu faire à ce sujet. »
Les symptômes de Holly ont été causés par la vaccination
« Les médecins ont éliminé toutes les infections possibles, toutes les maladies bactériennes ou virales ; tous les symptômes de Holly étaient dus au vaccin ROR.
Avant que Holly ne reçoive sa dernière série de vaccins, elle était en parfaite santé, lumineuse, gentille et belle. Le jour où Holly a reçu ses vaccinations au cours de la visite médicale de ses 5 ans, ELLE N’ETAIT PAS MALADE !!
Les pédiatres tenteront de minimiser la réaction de Holly en affirmant que cette tragédie s’est produite parce qu’elle était malade. Cela ne pouvait pas être plus éloigné de la vérité.
Holly était une enfant en parfaite santé et n’était en aucune manière immunodéprimée.
L’encéphalopathie figure dans les tableaux de Département Américain de la Santé et des Services Sociaux (division HRSA). Cette complication peut se produire entre 5 et 15 jours après l’administration du vaccin comme figuré dans le tableau des complications. […]
Selon l’administration des ressources de santé, environ 74 pour cent des réclamations pour dommages/décès vaccinaux sont rejetées. »
Le vaccin ROR associé à des complications neurologiques
La maman de Holly explique :
« Les partisans des vaccins tiennent à préciser que la réaction de Holly représente « 1 cas sur un million de vaccinations ». La vérité est qu’un enfant sur 168 doit recourir aux services d’urgence après la vaccination.
La réaction de Holly n’était pas de nature allergique. L’information sur le ROR précise : « des réactions allergiques graves se produisent dans (moins d’un cas par million de doses), « cependant l’information précise « les convulsions (crises) provoquées par la fièvre se produisent dans un cas sur 3000 (doses reçues) ».
Les partisans des vaccins aiment aussi dire que même si la famille a reçu un dédommagement, cela ne prouve rien bien que le gouvernement fédéral ait admis que le décès de Holly était indemnisable en raison d’une vaccination.
Le « Vaccine Injury compensation Program » (VICP) a déjà, à ce jour payé plus de 3,18 milliards de dollars de dédommagements.
Source : Vactruth