Le Collège Américain des Pédiatres met en garde contre les effets toxiques du vaccin Gardasil. Il sonne l’alarme sur la fraude scientifique massive qui a caché les effets toxiques du vaccin
Par Mike Adams, 21 février 2016
Dans l’esprit de nombreux parents inquiets, il n’y a pas de vaccin plus toxique et plus dangereux au monde que le vaccin Gardasil. Il y a eu plus d’enfants et d’adolescents qui ont été mutilés, hospitalisés, dont la santé a été endommagée et qui ont même été paralysés avec les vaccins contre le HPV qu’avec toute autre espèce de vaccins.
Aujourd’hui Le Collège Américain des Pédiatres – un groupe fortement pro-vaccins – tire la sonnette d’alarme sur la toxicité du Gardasil.
Les vaccins Gradasil pourraient être « associés à de très rares mais graves réactions comme l’insuffisance ovarienne prématurée (IOP) », précise l’American College of Pediatricians sur son site internet.
En outre, aucune des études scientifiques de pacotille concernant la « sécurité » vantée par l’industrie du vaccin n’a jamais porté sur les effets post-vaccination ayant trait à la santé des ovaires. Le Collège Américain des Pédiatres explique que « Les effets à long terme sur la fonction ovarienne n’ont pas été évalués que ce soit dans les études originales de sécurité sur les rats ou dans les essais cliniques des vaccins pour les humains.» En outre, du fait que les médecins sont l’objet d’une telle propagande agressive de la toute puissante industrie pharmaceutique, ils ne parviennent pas à réaliser que les vaccins contre le HPV puissent provoquer une insuffisance ovarienne.
Le Collège Américain des Pédiatres poursuit en expliquant que « la plupart des médecins généralistes ne sont probablement pas au courant d’un lien possible entre le HPV et l’IOP (Insuffisance Ovarienne Prématurée) ou les cas d’aménorrhée prolongée (absence de règles) Ils ne pensent donc pas à signaler ces cas au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System).
L’aluminium et le polysorbate 80 sont tous deux liés aux effets toxiques des vaccins
L’un des crimes de l’industrie du vaccin contre les enfants est l’utilisation continue d’adjuvants chimiques dans les vaccins. Ces produits toxiques comprennent l’aluminium, le glutamate monosodique (MSG) et le polysorbate 80. Ces produits sont intentionnellement ajoutés aux vaccins pour que ceux-ci puissent produire une réponse inflammatoire chez les victimes des vaccins.
Mais ces mêmes produits chimiques toxiques peuvent également provoquer, chez certains enfants, des réponses inflammatoires extrêmes avec des conséquences neurologiques. C’est ce type de réponse inflammatoire qui conduit précisément aux genres de dommages permanents diagnostiqués comme troubles du spectre autistique (entre autres effets secondaires neurologiques). Si la société recommande l’injection de pareils poisons chez les enfants, comment ne pas être surpris que la santé d’un certain pourcentage d’entre eux en soit endommagée ?
Comme l’explique le Collège Américain des Pédiatres :
Il a été postulé que les possibles mécanismes d’action aient comme base des associations auto-immunes avec l’adjuvant aluminium qui est utilisé et la toxicité sur les ovaires de rats d’un autre composant : le polysorbate 80.
En d’autres mots, la science connait déjà les mécanismes par lesquels ces ingrédients peuvent causer des dommages. Il ne s’agit pas d’un mystère, et il n’est même pas discutable que l’injection d’aluminium, de mercure, de MSG, de formaldéhyde et de polysorbate 80 ne puisse provoquer de graves dommages chez certains de ces enfants.
Quand j’ai testé les vaccins contre la grippe dans mon laboratoire en utilisant les techniques ICP-MS, j’ai trouvé que ces vaccins contenaient 25.000 fois plus de mercure que la limite légale de mercure autorisée pour l’eau potable.
Ceci est la raison pour laquelle la santé de certains enfants est à ce point endommagée par les vaccins qu’ils finissent pas souffrir de dommages permanents au cerveau. Il n’y a pas si longtemps, le gouvernement du Royaume-Uni a dû payer la somme de 90 millions de dollars pour dédommager les familles dont la santé des enfants avait été gravement endommagée par le vaccin contre la grippe. (Aux Etats-Unis, les fabricants de vaccins jouissent d’une immunité juridique absolue et ne peuvent être poursuivis devant les tribunaux habituels.)
Vous ne savez peut-être pas que ces ingrédients continuent d’être utilisés dans les vaccins aux Etats-Unis. Si vous en doutez, il vous suffit de consulter les documents du CDC qui admet que ces produits sont tous régulièrement utilisés dans les vaccins. Il ne s’agit ici nullement d’une éventuelle théorie conspirationniste. L’industrie du vaccin et le CDC le reconnaissent.
Il est choquant d’apprendre que 88% des problèmes de l’ovaire aient été attribués au Gardasil
Selon le College Américain des pédiatres, 88% des rapports d’effets secondaires comprenant l’insuffisance ovarienne ont été associés au seul vaccin Gardasil.
Depuis son autorisation de mise sur le marché en 2006, le Gardasil a fait l’objet de 213 rapports signalés au VAERS, et qui ont trait à l’aménorrhée, l’IOP ou une ménopause prématurée, dont 88% ont été associées au Gardasil.
Du fait que les médecins ne réalisent souvent pas que le Gardasil peut provoquer une insuffisance ovarienne, la grande majorité des cas d’insuffisance ovarienne ne sont jamais signalés à la base de données du VAERS.
Il est possible que le nombre réel de cas d’insuffisance ovarienne causés par le Gardasil puisse être 100 fois plus important que le nombre de cas signalés, ce qui voudrait dire qu’il pourrait y avoir 20.000 cas aux Etats-Unis pour la dernière décennie.
L’escroquerie scientifique des vaccins : les essais cliniques ont utilisé le polysorbate 80 et l’aluminium comme « placebos » pour camoufler les effets secondaires toxiques du vaccin.
Comme les lecteurs de Natural News le savent déjà bien, presque tous les bouts de « science » auxquels se réfère l’industrie du vaccin relèvent de la fraude. Les essais cliniques du Gardasil ne sont pas différents : ils ont mis de l’aluminium et du polysorbate 80 dans les placebos pour s’assurer que les deux groupes, le groupe placebo et le groupe traité (avec le vaccin) présentent le même nombre d’effets secondaires toxiques. En procédant de cette manière, les chercheurs frauduleux s’autorisent à proclamer que les essais cliniques ont pu démontrer que le Gardasil était sans danger, étant donné qu’il ne provoquait « aucune augmentation des effets indésirables ».
Le Collège Américain des Pédiatres explique que « pour les essais cliniques du Gardasil, les chercheurs ont utilisé un placebo qui contenait du polysorbate 80, de même que l’adjuvant aluminium.» Il ne s’agit pas d’un accident. Cela a été fait expressément pour camoufler les dommages provoqués par les ingrédients du vaccin.
Il faut bien noter que l’industrie du vaccin n’est jamais dans la science, étant donné qu’elle devrait comparer, par exemple, des injections d’aluminium et de polysorbate 80 à des injections qui ne comprennent rien d’autre qu’une solution saline. Si ces essais cliniques étaient effectués selon les exigences de la science, ils ne pourraient que révéler la toxicité grave et à long terme causée par l’aluminium et le polysorbate 80 (pour ne pas mentionner le mercure, le MSG, le formaldéhyde et autres ingrédients toxiques qui sont délibérément ajoutés aux vaccins.) […]
Ce qui se passe au cours de ces essais ne relève nullement de l’accident. L’industrie du vaccin conçoit régulièrement et systématiquement ses essais cliniques pour dissimuler les preuves de préjudices causés par les vaccins.
L’industrie du vaccin recourt à la fraude scientifique pour éviter que la vérité émerge
Maintes et maintes fois, l’industrie du vaccin a recours à une science frauduleuse pour dissimuler la vérité. En voici deux exemples :
Selon le scientifique et lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson, le CDC savait depuis une dizaine d’années que la vaccination des enfants avait provoqué une augmentation significative du risque d’autisme chez les garçons afro-américains. Le Dr Thompson et autres scientifiques du CDC ont conspiré activement pour modifier les données de l’étude afin de pouvoir éliminer pareilles corrélations. Il y a deux ans, le Dr Thompson a admis publiquement avoir pris part à cette fraude scientifique.
L’ENSEMBLE des grands médias – sans exception – ont étouffé cette histoire et refusé d’en parler. Personne au Congrès n’a jamais invité le Dr Thompson à venir témoigner de la fraude du CDC au sujet du vaccin.
En 2010, deux virologues de Merck ont déposé plainte pour fausses allégations, affirmant que la direction de Merck les avait en quelque sorte obligés à commettre une fraude scientifique en mélangeant des échantillons d’anticorps à des anticorps animaux. La chose devait être réalisée pour frauder la FDA en lui faisant croire que les vaccins ROR permettaient de prévenir les maladies, alors qu’en réalité ils n’étaient pas efficaces du tout. […] Merck a sciemment falsifié les résultats de ses tests sur le vaccin oreillons pour « fabriquer » un taux d’efficacité de 95%.
- Pour ce faire, Merck a dopé le test sanguin avec des anticorps d’origine animale afin de gonfler artificiellement l’apparition d’anticorps dans le système immunitaire.
- Merck a ensuite utilisé les résultats de l’essai falsifié pour escroquer le gouvernement des Etats-Unis pour des centaines de millions de dollars pour un vaccin qui ne fournit pas une protection adéquate.
- La fraude de Merck (oreillons) au sujet du vaccin a contribué à répandre les oreillons à un plus grand nombre d’enfants à travers l’Amérique.
- Merck s’est servi de la fausse allégation de « 95% d’efficacité » pour monopoliser le marché des vaccins et éliminer d’éventuels concurrents.
- La fraude de Merck s’est poursuivie depuis les années 1990, disent les virologues de Merck.
- Les tests effectués sur le vaccin Merck n’ont jamais été dirigés contre le virus sauvage des oreillons que l’on retrouve dans la nature. Les résultats des tests ont simplement été falsifiés pour obtenir le résultat souhaité.
- Cette fraude a été connue et fut approuvée par la haute direction de Merck
- Selon les documents judiciaires, les chercheurs de Merck » ont été les témoins directs de la falsification des données qui avait pour objectif de gonfler artificiellement les résultats ayant trait à l’efficacité du vaccin. La violence vaccinale dirigée contre les enfants est en fait couverte par les institutions en place aux Etats-Unis. […]
Source: Naturalnews
Mise à jour du 10 mars 2016: Alors que partout dans le monde, ces vaccins HPV aux effets secondaires gravissimes sont de plus en plus dénoncés, la revue médicale Nature déclare en effet (comme une profession de foi, rien de scientifique) nous citons : «Le monde DOIT ACCEPTER que le vaccin anti-HPV est sûr». Cela est tout à fait affligeant, et c'est d'ailleurs un très mauvais exemple pour les jeunes scientifiques ainsi incités à avoir une image religieuse et dogmatique de la science en lieu et place d'une science qui doit, par définition, être curiosité et ouverture...
Affiche colombienne de mise en garde contre les ravages que les vaccins HPV ont déjà fait dans ce pays aussi...