Les autorités de Santé de l’Utah interdisent le vaccin Gardasil
Health Impact News Editor, 6 déc. 2013 (et pas 2016, il y a eu erreur dans la date initialement postée même si cela ne change pas le fond/le contenu sur ces vaccins de plus en plus contestés...)
Le journal « The Salt Lake Tribune « a rapporté aujourd’hui que le médecin qui dirige le Département de la Santé de l’Utah (Sud-Ouest) a décidé d’exclure le vaccin Gardasil des cliniques de Santé publique.
Au cours d’une émission télévisée cette semaine, Katie Couric a évoqué le fait que le vaccin Gardasil faisait l’objet de controverse, affirmation pour laquelle elle a été largement critiquée et attaquée par les grands médias qui ont prétendu qu’il n’existait pas de controverse au sujet du Gardasil. Cette histoire suggère clairement que même aux Etats-Unis, le soutien du Gardasil par les médecins n’est pas aussi unanime que voudraient nous faire croire les médias traditionnels.
Il est aussi intéressant de noter de cette nouvelle de l’Utah n’est même pas nouvelle du tout parce que « la décision d’exclure ce vaccin des cliniques de Santé publique dans les comtés de Beaver, Iron, Garfield, Kane et Washington a déjà été prise il y a plusieurs années… »
Le Dr David Blodgett, Directeur du Département de la Santé a, dans « Salt Lake Tribune » donné les raisons pour lesquelles les autorités ont décidé de ne pas stocker le vaccin Gardasil controversé : les réactions violentes par rapport au Gardasil ont été à ce point importantes qu’il n’y avait pas de raison d’en tenir compte. Personne ne veut de ce vaccin ; il est en outre beaucoup trop cher si les autorités de Santé ne décident pas à le rembourser. »
Blidgett évoque d’autres problèmes liés au Gardasil, notamment qu’il a fait l’objet d’une procédure accélérée grâce à la Food and Drug Administration (FDA) et qu’il existe une croyance que les bénéfices du vaccin ont été surestimés par le fabricant.
« Il ne s’agissait pas d’une science correcte… Des médecins de notre communauté ont fait valoir qu’il n’y avait pas lieu de rendre ce vaccin disponible, a précisé Blodgett.
Il ne s’agit donc pas de l’avis d’un médecin isolé qui aurait exprimé ses doutes à propos du Gardasil; il s’agit du fruit de la réflexion de nombreux médecins de la communauté .
Le Dr Blodgett a aussi évoqué les préférences du public. « Quand ce dernier évalue les risques, il ne veut pas du vaccin, a maintenu le Dr Blodgett. En outre ce problème contribue à éroder la confiance du public dans les programmes de vaccination. »
Donc, une partie de la motivation à ne pas stocker le vaccin Gardasil trouve son origine dans le fait que le public n’en veut pas et que tout le programme de vaccination était en danger. Ceci représente à peine un commentaire pour une personne qui est contre les vaccins !
On pouvait s’y attendre, The Salk Lake Tribune a publié une opinion contradictoire émanant d’un pédiatre local qui a commenté : « il est déloyal de se laisser dissuader et de ne pas stocker des vaccins pour une question de coût, pour une faible demande de la part du public, surtout pour des personnes qui ont des responsabilités dans la protection de la Santé publique ».
Tout ce qui a trait à l’information sur les vaccins commence à devenir dangereux : ce que veut le public ne semble plus avoir d’importance; c’est à nous les médecins à prendre les décisions à la place du public parce que nous savons mieux.
Ce genre d’attitude ouvre la voie à des vaccinations obligatoires et à la tyrannie médicale. C’est cela qui est en train de se passer partout aux Etats-Unis. Il reste à espérer que l’on trouvera de plus en plus de médecins comme le Dr Blodgett qui pourront s’opposer à Big Pharma et feront passer en tout premier lieu les droits et la sécurité des patients. Toute cette histoire pourrait lui coûter sa carrière de Directeur du Département de la Santé ou même sa carrière tout court.
Source: Health Impact News