Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 juillet 2016 3 20 /07 /juillet /2016 10:33

« L’hésitation à vacciner »  serait-elle une nouvelle maladie mentale qui pourrait être « soignée » ?

 

John P. Thomas, Health Impact News, 24 juin 2016

« L’hésitation à vacciner »  serait-elle une nouvelle maladie mentale qui pourrait être « soignée » ?

Par John P. Thomas, Health Impact News, 23 juin 2016

 

Il y a une nouvelle maladie qui menace la population mondiale. Cette affection est si récente qu’elle n’a pas encore été officiellement déclarée comme maladie, mais l’organisation Mondiale de la Santé (OMS) et les bioéthiciens agitent déjà le drapeau rouge en signe d’avertissement.

 

Souffrez-vous de « l’hésitation à vacciner » ?

 

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est très préoccupée par le problème que représente « l’hésitation à vacciner » qui, selon eux, représente une menace par rapport à l’efficacité de leur programme de vaccination dans le monde entier.

 

En bref, certains parents n’autorisent pas automatiquement que l’on vaccine leur bébé, alors même que les services de vaccination sont accessibles. Ces parents hésitent, réfléchissent, et dans beaucoup de cas, s’en vont avec leur bébé dans les bras, fuyant les seringues vaccinales qui seront utilisées pour d’autres enfants. Il y a aussi des adultes qui ne répondent pas aux appels à se faire vacciner, alors qu’ils sont cependant libres.

 

Comme toujours, l’OMS est à la recherche d’une conformité à 100% avec tous les calendriers vaccinaux. L’OMS avertit le monde  que « l’hésitation à vacciner » provoque des maladies et des décès inutiles. L’OMS croit que, chaque année, 1,5 millions d’enfants meurent chaque année de maladies qui pourraient être évitées par les vaccins. [1,2]

 

Le communiqué de presse de l’OMS du 18 août 2015 a stipulé :

 

S’ils sont utilisés, les vaccins ne peuvent qu’améliorer la santé et prévenir les décès. Les programmes de vaccination doivent être en mesure d’atteindre et de maintenir des taux élevés de vaccination. Le problème de « l’hésitation à vacciner » devient de plus en plus une question importante pour les programmes de vaccination des différents pays. [3]

 

Le communiqué de presse de l’OMS précise :

 

Il n’y a pas de solution magique ou de stratégie qui pourrait fonctionner pour tous les cas d’ « hésitation à vacciner ». L’ampleur des problèmes et leur règlement varient. Ils doivent être diagnostiqués pour chaque cas particulier pour permettre d’élaborer des stratégies sur mesure pour faire accepter les vaccins.[4] (Souligné par l’auteur).

 

L’OMS  travaille à construire l’image dans l’esprit du public que « l’hésitation à vacciner » est un état, une pathologie qui nécessite un diagnostic. C’est un peu comme s’il s’agissait d’une maladie, d’une maladie mentale qu’ils ont l’intention de traiter  par le biais  de diverses stratégies de contrôle de l’esprit.

 

Bien sûr, ils n’utilisent pas des mots tels que "manipulation" et "contrôle de l’esprit" – ils utilisent uniquement des mots politiquement corrects et respectueux pour décrire leurs projets. Les documents de planification de l’OMS parlent toujours de la promotion du bien de l’humanité, de l’amélioration de la condition des plus pauvres, de résoudre l’inégalité du traitement des femmes et des filles, de la protection de l’environnement par rapport aux dégâts que peut lui infliger l’activité humaine. Ils incarnent en fait le Big Brother qui nous aidera tous à vivre dans une utopie de leur conception et création.

 

L’OMS ne nous dirait jamais : « nous allons vous harceler jusqu’à ce que vous changiez d’avis par rapport à l’acceptation des programmes vaccinaux. Au lieu de cela, ils disent: « une communication efficace est essentielle pour dissiper les craintes, répondre aux préoccupations et promouvoir l’acceptation de la vaccination [5] Mais le résultat est toujours le même : ils suivent un plan délibéré pour éliminer toute opposition à la vaccination.

 

L’OMS fera tout ce qu’il faut pour obtenir la coopération avec leur programme de vaccination parce qu’ils ne croient pas que quiconque devrait être autorité à interférer avec leur ordre du jour. Dans le paragraphe suivant émanant de l’OMS, ils parlent des personnes qui hésitent comme des gens qui sont « affectés » par l’hésitation à vacciner. Ils parlent de cette hésitation à vacciner comme s’il s’agissait d’une maladie qui nécessite un traitement. Veuillez, s’il vous plaît, noter les mots que j’ai mis en italique.

 

Le communiqué de presse signalait : l’hésitation à vacciner n’est pas seulement un problème des pays à revenu élevé, mais est un problème mondial complexe en évolution rapide et qui varie considérablement d’un pays à l’autre. Les entrevues avec les responsables de la vaccination des régions où l’OMS a accès  révèlent que  certains cas particuliers de minorités ethniques rurales, ou de communautés isolées ont été touchées alors que dans d’autres régions urbaines plus riches, les communautés ont exprimé leurs préoccupations sur la sécurité des vaccins. Dans certaines régions, les préoccupations sont le fait de sous-groupes d’objecteurs religieux ou philosophiques. [6]

 

En d’autres termes, certaines personnes sont « touchées » par la maladie de ‘l’hésitation à vacciner ». Un symptôme de la maladie est le fait d’être « préoccupé par la sécurité des vaccins ».Un commun dénominateur de la maladie est de faire partie d’un groupe de personnes concernées par le problème qu’ils baptisent du nom « d’objecteurs ». Donc, si vous remettez en question l’innocuité des vaccins et l’objet de leur utilisation, vous devez alors savoir que l’OMS est en train d’élaborer un programme de traitement juste pour vous !

 

Les bioéthiciens ciblent l’allaitement et la parenté « naturelles »

 

Deux bioéthiciens de l’Université de Pennsylvanie, Jessica Martucci et Anne Barnhilkl sont préoccupés par les enfants qui ne reçoivent pas les vaccins. Dans un de leurs derniers articles, ils n’utilisent pas l’expression «  hésitation  à vacciner », mais recommandent que les professionnels de santé éliminent le mot « naturel » de leur vocabulaire en guise de stratégie pour rendre plus facile l’acceptation des parents à faire vacciner leur enfant.

 

Dans leur article qui a été publié dans le numéro d’avril de Pediatrics, ils décrivent l’influence puissante que le mot « naturel » peut exercer. Ils cherchent aussi à identifier les groupes de personnes qui sont les plus susceptibles d’être influencées par ce mot. Ils déclarent :

 

Le mot « naturel » évoque un sentiment de pureté, de bonté et d’innocuité. Par contre, les substances synthétiques, produits et technologies de masse produits par l’industrie (notamment les vaccins) sont considérés comme « contre nature » et risquent souvent d’éveiller soupçons et méfiance. Une partie de ce système de valeurs est la perception que ce qui est naturel est plus sûr, plus sain et moins risqué. Cet intérêt pour le « naturel » par rapport à ce qui est « contre nature » apparait dans une série de questions scientifiques et médicales contemporaines au-delà de la vaccination, y compris dans le rejet d’aliments génétiquement modifiés.

 

On observe une préférence pour les aliments biologiques cultivés de manière traditionnelle, et un rejet des technologies de reproduction assistée, comme aussi tout ce qui a trait au domaine des toxines environnementales et à la fluoration de l’eau. Une grande partie de l’intérêt pour les médecines complémentaires et alternatives repose également sur le fait que « les idées et techniques naturelles paraissent plus sûres, plus douces et bénignes. » Dans certains cas, cependant, ce point de vue que le « naturel » est synonyme de « mieux » peut contrer des objectifs spécifiques de santé publique [7] (souligné par l’auteur) Il est assez facile de comprendre les auteurs qui disent que les parents qui veulent nourrir leur bébé avec le lait naturel de la mère, qui se nourrissent de produits biologiques, utilisent des produits naturels, puissent tirer des conclusions déraisonnables quand ils envisagent de faire vacciner leurs enfants.

 

Leur préoccupation d’utiliser des produits naturels pourrait faire croire que les vaccins ne sont pas naturels et devraient donc être évités.. Les auteurs exhortent ceux qui diffusent des programmes de santé de cesser d’utiliser le mot « naturel » dans l’espoir de favoriser des taux plus élevés de vaccination.

 

Dans le résumé de leur article, ils déclarent :

 

Quelle que soit l’éthique de faire appel à la nature quand il s’agit de la promotion de l’allaitement maternel, il convient de se rendre compte que cette manière de voir les choses soulève des préoccupations pratiques. L’option « naturel »  ne correspond pas toujours aux objectifs de santé publique. Si ce qui est « naturel » est considéré comme « mieux » en ce qui concerne l’allaitement maternel, comment pouvoir s’attendre à ce que des mères puissent ignorer cette vision du monde puissante et profondément convaincante quand il est question de vacciner leur enfant ? Si la promotion de l’allaitement maternel fait sous-entendre que ce qui est « fabriqué en usine » est risqué ou insalubre, que risquent de conclure les parents quand il s’agira de choisir entre des vaccins fabriqués en usine et la stimulation « naturelle » de l’immunité ? Il nous faudrait réfléchir à deux fois avant d’utiliser le mot « naturel » dans la promotion de l’allaitement maternel. [8]

 

Je me demande vraiment si ceux qui ne veulent pas des vaccins sont vraiment si faibles d’esprit et si facilement persuadés que la suppression du mot « naturel »  va soudainement leur faire perdre toute hésitation par rapport aux vaccins. J’en doute beaucoup !

« L’hésitation à vacciner »  serait-elle une nouvelle maladie mentale qui pourrait être « soignée » ?

L’hésitation à vacciner pourrait-elle devenir une maladie mentale ?

 

Je me demande combien de temps il faudra avant que l’OMS intensifie son programme de vaccination et finisse par déclarer que « l’hésitation à vacciner » est une maladie mentale. Il y a déjà des gens qui croient que le souci d’éviter de la nourriture  génétiquement modifiée, qui ont le désir de manger une nourriture riche en nutriments, une nourriture naturelle et bio, constituent déjà autant de signes d’une maladie mentale. Ils appellent cette maladie Orthorexia nervosa. [9] (je suis vraiment sérieux !).

 

Bien sûr, les troubles alimentaires peuvent être de graves problèmes. Je ne veux nullement minimiser la souffrance de ceux qui sont pris au piège d’habitudes alimentaires incontrôlables. Mais, le choix de manger des aliments non transformés  et qui ne sont pas imprégnés de produits chimiques toxiques ou d’ingrédients OGM, ne constitue pas en soi un trouble alimentaire ou une maladie mentale. De la même manière, le choix d’éviter les vaccins ne devrait pas être considéré comme une déficience mentale qui devrait être traitée par les programmes de propagande de l’OMS.

 

L’OMS a peut-être besoin d’une autre expression que « hésitation à vacciner ».

 

A mon avis, avant que l’expression « hésitation à vacciner » ne soit prise au sérieux par les gouvernements du monde, il sera nécessaire de trouver une meilleure expression. Peut-être faudrait-il l’appeler Immunorexia Nervosa ? Peut-être des expressions comme phobie vaccinale familiale, Hystérie au sujet des produits injectables, pourraient attirer l’attention des dirigeants du monde entier ? Parmi toutes ces expressions, il y en a une qui aurait ma préférence : trouble oppositionnel  de méfiance et d’insécurité antivaccinaliste (TOMIA).

 

« L'hésitation à vacciner » est vraiment une expression trop simple qui manque de piquant. Avec une expression aussi fade et inoffensive, les campagnes de marketing de l’OMS ne parviendront guère à susciter la peur. Donner un nom qui suggère une maladie grave pourrait créer la peur et la haine dans l’esprit des populations et pourrait inciter les pays à faire don de millions de dollars pour le traitement de cette nouvelle maladie mentale. Peut-être que l’OMS pourrait faire un accord avec l’Association Psychiatrique Américaine pour insérer TOMIA dans leur prochaine version du Manuel diagnostic des troubles mentaux, de sorte que les personnes qui choisissent de ne pas vacciner pourraient être officiellement étiquetées comme étant atteintes d’une maladie mentale.

 

Peut-être avez-vous besoin d’un médicament pour traiter TOMIA ?

 

L’OMS pourrait aussi peut-être s’arranger avec Big Pharma, et voir s’il ne serait pas possible de créer un médicament pour traiter la maladie.

 

L’OMS pourrait lancer de grands sondages à la télévision. « Avez-vous peur de faire administrer des vaccins à vos enfants ? » Vous êtes peut-être atteints de TOMIA ? Consultez votre médecin qui saura trouver le médicament adéquat. »

 

Le CDC américain pourrait créer une base de données obligatoire qui contiendrait les noms de tous les parents qui ne veulent pas faire vacciner leurs enfants. Cette liste pourrait être communiquée au Département des services sociaux pour travailleurs. Ce Département pourrait exiger des parents qui se trouvent sur la liste, soit de prendre le médicament adéquat pour leur maladie mentale, soit abandonner leurs enfants à l’état.

 

Seriez-vous déjà atteints par la maladie TOMIA ?

 

Comment pourriez-vous savoir si vous n’êtes pas déjà atteints ? J’ai établi toute une série de questions qui pourraient vous permettre d’établir votre propre diagnostic de TOMIA. Il s’agit de questions que les responsables OMS de la vaccination pourraient bien nous poser dans le futur. Combien de ces questions pourraient décrire votre position ? Si vous pensez que la plupart de ces questions font allusion à votre cas personnel, alors méfiez-vous ! Vous pourriez bientôt être ciblés, surtout si vous avez encore des enfants à votre charge.

 

  1. Vous méfiez-vous de la FDA, du CDC, de Big Pharma et des associations médicales allopathiques, et pensez-vous que le programme de développement de vaccins n’est nullement dans votre meilleur intérêt ?
  2. Souhaitez-vous pouvoir vivre votre vie sans penser aux programmes de vaccinations forcées prévues pour vous et vos enfants ?
  3. Est-ce qu’il vous semble impossible  de garder la bouche fermée quand des amis ou des membres de votre famille parlent avec enthousiasme de l’importance de se faire vacciner ?
  4. Eprouvez-vous des difficultés à contrôler votre colère quand vous voyez dans les pharmacies et les grands magasins des affiches qui vous incitent à vous faire vacciner contre la grippe, ou quand vous apprenez que certaines écoles font vacciner les enfants sans autorisation parentale ?
  5. Etes-vous scandalisé quand vous apprenez qu’un enfant est décédé ou handicapé à vie après avoir reçu un vaccin ?
  6. Vous sentez-vous injustement attaqué quand des gens vous critiquent ou vous blâment pour la propagation de la rougeole ou d’autres maladies, parce que vous ne croyez pas à la vaccination et que vous ne faites pas vacciner vos enfants ?
  7. Avez-vous l’impression d’avoir le contrôle sur votre vie si vous vous sentez capable d’éviter les vaccinations pour vous-même et pour vos enfants ?
  8. Pensez-vous que le naturel est préférable et que votre famille se portera nettement mieux si vous ne mangez pas de la nourriture qui contient des OGM et des produits chimiques toxiques, si vous ne recevez pas de vaccins qui contiennent des substances toxiques comme le mercure, l’aluminium et présentent de nombreux dangers ?
  9. Etes-vous fiers d’être anti-vaccins et vous demandez-vous comment il est possible que d’autres personnes puissent envisager de se faire vacciner étant donné tous les éléments de preuves de dommages que les vaccins peuvent causer ?
  10. Vos efforts pour éviter les vaccins pour vous-même et votre famille sont-ils susceptibles de mettre en péril votre vie de famille, votre joie de vivre et vos activités créatrices ?

 

Je dois avouer ne pas faire très belle figure dans ce genre de test. J’ai répondu OUI à toutes les questions sauf aux deux dernières.

 

Conclusion : « La folie vaccinale » est bien réelle

 

Jusqu’au jour sombre où la vaccination deviendra obligatoire  pour tout le monde, je vais continuer à vivre avec maladie. Je voudrais ne pas avoir à souffrir de TOMIA, mais tout cela est hors de mon contrôle. Je suppose que cette toute dernière déclaration confirme bien le fait  que je souffre vraiment de TOMIA. Tous ceux qui sont atteints de la maladie devraient célébrer la chose parce qu’ils ne sont pas tombés dans le mensonge, dans les tromperies et la manipulation de Big Pharma et de l’OMS.

 

TOMIA est bien sûr une maladie fictive, mais la folie des vaccins est malheureusement bien réelle ! C’est cette folie vaccinale qui contrôle tout le programme de vaccination de l’Organisation Mondiale de la Santé et les programmes de recherches de Big Pharma  qui envisagent  d’ajouter des centaines de nouveaux vaccins au cours des prochaines années.

 

Le fait d’utiliser tout le potentiel de notre intelligence pour évaluer les dommages possibles que font courir les vaccins ne mérite pas d’être étiqueté comme une maladie qui nécessiterait un traitement mis au point par l’OMS.

 

L’hésitation à vacciner n’est pas un problème à résoudre ou une maladie à guérir, mais un signe que le château de cartes que Big Pharma a construit commence à s’effondrer. Les gens  qui se soucient de leur santé et de celle de leurs enfants devraient justement hésiter à vacciner ! Il s’agit ici du signe d’un esprit qui est capable de penser librement, d’un esprit qu’il n’est pas facile de manipuler.

 

Je continue à prier pour que la folie qui a saisi l’Organisation Mondiale de la Santé, les organismes de Santé publique et Big Pharma puisse rapidement guérir.

 

Qu’ils le sachent ou ne le sachent pas, nous devons aussi rappeler à tous que les vaccins provoquent des dommages.

 

Je vais continuer à prier jusqu’à ce que le tollé public contre les vaccins ait atteint un niveau où le cartel mondial du vaccin commence à reculer. Je vais continuer à vivre un style de vie naturel et sain et continuer à faire de mon mieux pour vivre avec TOMIA.

 

Références   

 

[1] “WHO Wants to Market Vaccines Like Burgers and Soda,” Marco Cáceres, National Vaccine Information Center, March 9, 2016.

[2] “Vaccine hesitancy: A growing challenge for immunization programmes,” World Health Organization, August 18, 2015. Retrieved 3/19/2016.

[3] IBID.

[4] IBID.

[5] IBID.

[6] IBID.

[7] Jessica Martucci, Anne Barnhill; “Unintended Consequences of Invoking the “Natural” in Breastfeeding Promotion,” Pediatrics, April 2016.

[8] IBID.

[9] “Orthorexia Nervosa,” National Eating Disorders Association, Retrieved 3/17/2016.

 

Source: Vaccine Impact

Partager cet article
Repost0

commentaires

B
"L'hésitation vaccinale" à l'Académie de médecine et dans les congrès.<br /> <br /> Le mercredi 3 février 2016 l'Académie de Médecine organisait un colloque prestigieux avec une intervention de Madame la Ministre puis de François Bricaire, Daniel Lévy Bruhl etc. Il y eut aussi celle de Jocejyn Raude (EHESP - Ecole des hautes études en santé publique) sur « l'hésitation vaccinale » [1] :<br />  <br /> « … en dépit d’une amélioration considérable de l’accès à la connaissance, le niveau de culture scientifique n’augmente guère dans nos sociétés... On observe en particulier … le maintien d’un taux très élevé d’innumérisme, y compris dans les élites socio-économiques ».<br /> L'innumérisme étant illettrisme pour les nombres c'est sans doute très juste mais ce qu'on peut observer en lisant l'ensemble de son intervention, c'est qu'il cherche à lier ''hésitation vaccinale'' avec ''innumérisme'', cette caractéristique fonctionnelle étant elle-même associée à une certaine lacune scientifique.<br /> En un mot, si on est en harmonie avec la démarche scientifique, alors plus aucune hésitation … Ce pourrait d'ailleurs être vrai car, ayant moi-même une formation scientifique qui devrait me mettre à l'abri de l'innumérisme (mathématicien), je ne ressens aucune hésitation (smile ...)<br /> <br /> Par ailleurs j'avais assisté (et participé par une communication poster et plusieurs interventions orales depuis la salle) au congrès Sfsp-Adelf de Bordeaux les 17-19 octobre 2013. Une intervenante du CTV parle des réticences de certains adolescents vis-à-vis de la vaccination. Cette réticence est liée, selon cette intervenante, au mal être qui les habite. Il faut intervenir auprès d'eux en ce sens afin de leur faire comprendre que quand ils seront « bien dans leurs baskets » (expression authentique que j'ai retenue) alors ils accepteront sans hésitation de se faire vacciner.<br /> Vous voyez que là on n'est pas loin de considérer cette hésitation comme une maladie ou du moins comme un syndrome à traiter.<br /> [1] Jocelyn Raude l'hésitation vaccinale http://pressentinelle2.blogspot.fr/2016/02/lhesitation-vaccinale-une-perspective.html?spref=bl
Répondre
I
"L’OMS travaille à construire l’image dans l’esprit du public que « l’hésitation à vacciner » est un état, une pathologie qui nécessite un diagnostic."<br /> <br /> L'article voudrait faire croire que l'OMS cherche à diagnostiquer les opposants.<br /> La lecture de la source montre que l'OMS cherche à diagnostiquer un problème.<br /> <br /> Absolument rien ne cantonne ce mot au registre médical, bien au contraire il est utilisé absolument partout ou il est question d'identifier une cause quelconque. Pensez-vous que les dizaines de publicités pour un diagnostic gratuit que tout le monde reçoit dans sa boite aux lettres tombent sous le coup de l'exercice illégal de la médecine ? Vous pouvez taper "diagnostic" dans votre moteur de recherche pour vous faire une idée de la proportion des cas ou le contexte n'a absolument rien de médical.<br /> <br /> En suivant votre logique, d'après le titre du document de l'OMS ("A growing challenge") il est très clair que le but à peine voilé de l'OMS serait plutôt de rendre la population mondiale obèse.<br /> <br /> <br /> "L’OMS croit que, chaque année, 1,5 millions d’enfants meurent chaque année de maladies qui pourraient être évitées par les vaccins"<br /> <br /> Cet article, qui est extrêmement pointilleux sur l'usage du vocabulaire, a lui même un vocabulaire particulier. S'il dit que l'OMS CROIT qu' 1,5 millions d'enfants décèdent chaque année, est-ce que cela veut dire que l'auteur a des informations qui montrent que ces enfants ne sont pas vraiment morts ?<br /> <br /> <br /> "Bien sûr, ils n’utilisent pas des morts tels que manipulation et contrôle de l’esprit – ils utilisent uniquement des mots politiquement corrects et respectueux pour décrire leurs projets."<br /> <br /> (beau lapsus: vous avez écrit mort au lieu de mot)<br /> <br /> "Ils" vont donc jusqu'à être correct et respectueux. "Ils" sont vraiment prêts à tout.
Répondre
I
@bernard, malgré votre propension à converser en dehors des clous, je continuerai à répondre sous le message original afin qu'il soit plus facile au lecteur de suivre la conversation.<br /> <br /> Le présent article à pour origine une communication de l'OMS sur l'hésitation à vacciner.<br /> L'article affirme que cette communication montre que l'OMS cherche à pathologiser le phénomène.<br /> Mon commentaire montre que le contenu de cette communication ne permet pas de faire cette conclusion. L'affirmation est infondée.<br /> <br /> Vous tentez, à l'aide de DEUX AUTRES exemples de me montrer que mon intervention n'est pas pertinente. C'est une erreur. Que vos exemples soient réels ou erronés, ils ne peuvent changer l'erreur qui a été relevée: Le présent article se base sur un document précis de l'OMS pour faire une affirmation qui ne peut pas être déduite de ce document. L'affirmation est infondée.<br /> <br /> <br /> D'autre part, et c'est une remarque annexe puisque cette intervention par construction ne peut réfuter mon message, je vous signale deux erreurs supplémentaires:<br /> <br /> Votre premier exemple n'émane pas de l'OMS et concerne "l'innumérisme". Ce texte s'articule autour de l'idée que "l'hésitation à vacciner" a une composante pédagogique. Il n'y a donc aucun rapport avec la supposée pathologisation dénoncée ici.<br /> <br /> Votre second exemple est une "expression authentique que vous avez retenu". Une anecdote donc, qui n'a rien à faire dans une argumentation rationnelle.
C
"Les cons ça ose tout et c'est même à ça qu'on les reconnaît"<br /> je n'en dirai pas plus sur l'OMS, tout est dit dans cette phrase
Répondre
A
S'ils veulent que la peur des vaccins diminue, il leur suffira de nationaliser les grands laboratoires. Il est aberrant la production de médicaments soit soumise à des objectifs de rentabilité alors qu'elle devrait être un bien socialisé. Bon, ce n'est certainement pas aux USA, pays où les lobbies financent ouvertement la campagne des présidents, que l'on verra du changement. Et bientôt du bœuf aux hormones et du poulet désinfecté à l'eau de javel dans nos assiettes en prime. Qu'il est beau l'avenir du tout chimique.
Répondre
F
L'anticonformisme et le franc-parler considérés comme des maladies mentales :<br /> <br /> Est-ce que l'anticonformisme et le franc-parler sont une maladie mentale ? <br /> Selon la dernière édition du DSM-V(Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) oui.<br /> <br /> Ce manuel identifie une nouvelle maladie mentale appelée « trouble oppositionnel avec provocation » ou TOP. Cette maladie est définie comme un « schéma continu de désobéissance, d’hostilité et de provocation » et les symptômes incluent la remise en question de l’autorité, la négativité, la défiance, la contradiction, et le fait d’être facilement agacé.<br /> <br /> http://initiativecitoyenne.be/article-la-non-conformite-et-la-libre-pensee-considerees-comme-maladies-mentales-125434989.html
Répondre

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA