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27 septembre 2016 2 27 /09 /septembre /2016 21:47

L’aluminium des vaccins provoque des dommages neurologiques

 

Par Jonathan Landsman, 19 septembre 2016

 

(Natural Health 365) La présence d’aluminium n’est pas naturelle dans le corps humain. Sa limite de sécurité n’est que de 25 mcg. Ayant cela à l’esprit, comment pouvoir expliquer que les fabricants de vaccins soient autorisés à administrer environ 5.000 mcg d’aluminium  dans les systèmes délicats de nouveau-nés jusqu’à l’âge de 18 mois ?

 

On considère que l’aluminium agit comme un « adjuvant » qui permet au vaccin d’agir à plus long terme dans le corps. Quand il est ingéré, l’aluminium peut être excrété assez rapidement, tandis que la forme injectable de l’aluminium qui est utilisée dans les vaccins se maintient dans le corps beaucoup plus longtemps. Il a été montré que l’aluminium avait un impact sur le système nerveux et y provoquait de nombreux dégâts.

 

L’aluminium est lié à des problèmes cognitifs et à des troubles moteurs

 

Les chercheurs ont injectés des quantités correspondantes d’aluminium dans le corps de souris pour voir ce qui se produirait. Les souris ont rapidement montré des effets négatifs sur leur santé, y compris des changements de comportement et des déficits moteurs. Les souris ont également présenté des problèmes cognitifs directement liés à l’injection d’aluminium.

 

L’autopsie des souris a montré des dommages importants aux neurones moteurs du cerveau et du système nerveux en général. Ces types de dommages sont des précurseurs de maladies telles la maladie de Parkinson, la maladie de Lou Gehrig et la maladie d’Alzheimer.

 

Voir la vidéo : 

Quand les chercheurs ont publié leurs résultats, ils s’attendaient à une forte réaction et à une action positive de la FDA et des fabricants de vaccins. Ils furent cependant accueillis par un silence total.

 

La FDA et les grandes sociétés pharmaceutiques montrent une tendance inquiétante à donner des réponses évasives, comme à ignorer les preuves.

 

Lorsque ces instances furent confrontées aux conclusions de l’étude du Dr Shaw, la réponse inquiétante de la FDA fut qu’ils ne croyaient pas que ce qui avait été mis en lumière nécessitait des recherches supplémentaires. (Qui peut croire pareille chose ?!) 

 

 Ingéré:

L'aluminium provoque des dommages neurologiques

Injecté :

L'aluminium provoque des dommages neurologiques

Le Dr Shaw explique comment tout s’est passé :

 

La toxicité de l’aluminium a déjà été liée à l’épidémie d’autisme.

 

Une étude de 2013 réalisée à l’Université de British Columbia a montré une forte corrélation entre les taux d’autisme chez les jeunes enfants comparativement aux enfants qui avaient reçu des vaccins adjuvantés à l’aluminium.

 

Le gouvernement des Etats-Unis connait la toxicité de l’aluminium, mais continue à favoriser les programmes de vaccination des enfants. En dépit de la flambée des taux d’autisme et la démonstration des problèmes liés aux vaccins adjuvantés à l’aluminium. Les autorités sanitaires continuent à promouvoir les programmes de vaccination, et ces vaccins continuent d’être injectés à la génération future du pays à un moment de leur vie où ils sont les plus vulnérables.

L'aluminium provoque des dommages neurologiques
L'aluminium provoque des dommages neurologiques

Jusqu’à 18 mois, les bébés reçoivent environ 5.000 mcg d’aluminium

 

Il est bon de rappeler que la limite de sécurité de l’aluminium injectable est de 25 mcg ou moins et de seulement 10 mcg pour les bébés prématurés ou pour les bébés souffrant de troubles rénaux. Pourtant, les nouveau-nés reçoivent tous systématiquement une injection du vaccin contre l’hépatite B immédiatement après la naissance, les exposant à 250 mcg d’aluminium dès leur premier jour.

 

Un mois plus tard, les bébés reçoivent leur second vaccin contre l’hépatite B. A l’âge de deux mois, les bébés reçoivent encore toute une série de vaccins. On estime que la quantité totale d’aluminium que les nourrissons reçoivent à l’âge de deux mois varie entre 300 mcg et 1.225 mcg.

 

Plusieurs autres vaccins sont encore administrés à quatre et six mois. Certains estiment que la quantité totale d’aluminium à laquelle les bébés sont exposés jusqu’à l’âge de 18 mois se rapproche des 5.000 mcg.

 

En un seul mot : l’injection d’aluminium toxique doit cesser ! Il y va de la santé, du bien-être et du futur de notre nation.

 

Source: NaturalHealth365

 

Voir aussi

 

Biopersistence and brain translocation of aluminum adjuvants of vaccines

 

Behavioral abnormalities in female mice following administration of aluminum adjuvants and the human papillomavirus (HPV) vaccine Gardasil

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commentaires

C
Adjuvants aluminiques des vaccins : analyse critique des études toxicocinétiques de référence :<br /> <br /> […] Ces faiblesses conceptuelles et méthodologiques rendent souhaitable la réalisation de nouvellesétudes toxicocinétiques expérimentales de long terme afin que soit garanti l’innocuité desadjuvants à base d’aluminium.<br /> <br /> http://www.hal.inserm.fr/inserm-01533332v1<br /> <br /> Soumis le : mardi 6 juin 2017<br /> François-Jérôme Authier 1 Christopher Exley 3 Romain Gherardi 1,
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I
Dans cette revue publiée dans le même numéro de la même publication que "Quelles Apps utiles sur mon smartphone de pharmacien clinicien ?" ( https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=28395874 ), les auteurs ont choisi arbitrairement de se concentrer sur trois études plutôt que de faire une revue systématique, ce qui aurait été méthodologiquement bien plus fiable. Cela aurait permis de ne pas tomber dans des biais de sélection comme cela semble être le cas ici. <br /> <br /> Par exemple, cette revue critique entre autres un suivi chez l'homme pendant deux ans et demi de l'isotope Al 26 [1]. Problème: L'un des auteurs, C. Exley a déjà abondamment critiqué cette étude auparavant [2], et ces critiques sont prises en compte dans une autre publication qui date de 2012 [3] qui de plus porte la durée du suivi à 8 ans, ce qui est complètement ignoré. L'étude n'est même pas citée.<br /> <br /> [1] "Human metabolism of aluminium-26 and gallium-67 injected as citrates." - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7779460<br /> <br /> [2] "Comment on "the biological behaviour and bioavailability of aluminium in man" Exley C."- https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15931428<br /> <br /> [3] "Long-term retention of injected aluminium-26." - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22549096<br /> <br /> Le fait que la revue ignore complètement les études ultérieures, particulièrement celles qui disent explicitement répondre aux critiques des auteurs, est étonnant et problématique. Il y un biais de sélection dans ce que les auteurs ont choisi de montrer et cette revue liste des incertitudes qui pour certaines au moins sont déjà levées.<br /> <br /> <br /> Notons que l'abstract commence par affirmer que les auteurs sont "dans le prolongement de la réflexion menée par l’Académie nationale de pharmacie", ce qui est particulièrement gonflé étant donné qu'elle a toujours conclu à l'absence de risque pour l'utilisation de l'aluminium dans les vaccin. Même si cette revue pouvait démontrer que les études initiales ne sont pas fiables, n'en demeurent pas moins que dans les faits, les effets indésirables sont extrêmement rares. Comme le remarque l'Académie de pharmacie, il y a à peine quelques mois dans un rapport qui confirme une fois de plus que le bénéfice-risque est positif, un seul nouveau cas de myofasciite à macrophages serait survenu depuis 2012, d’après les données de pharmacovigilance alors qu’environ 12 millions de doses de vaccins contenant un adjuvant aluminique sont administrées chaque année. - http://www.cespharm.fr/fr/Prevention-sante/Actualites/2016/Adjuvants-vaccinaux-aluminiques-l-Academie-de-pharmacie-fait-le-point<br /> <br /> <br /> Si je devais faire une prédiction éclairée, je dirais que cette revue, parce qu'elle est toute récente, va tourner en circuit fermé dans les cercles anti-science comme si c'était le nouveau-graal-cette-fois-c'est-vrai-c'est-la-bonne-c'est-sûr, avant que ce nouveau soufflé ne retombe lui aussi.<br /> <br /> Profitez de la nouveauté, Claude, et faites tourner.
C
Aluminium adjuvants and vaccine safety<br /> <br /> https://www.hippocraticpost.com/pharmacy-drugs/aluminium-adjuvants-vaccine-safety/<br /> <br /> Professor Chris Exley | 2nd October 2016 <br /> <br /> […] Our research suggests that the loading of aluminium into viable cells offers a mechanism whereby significant amounts of aluminium, a known neurotoxin, might be translocated throughout the body and even across the blood-brain barrier and into the central nervous system.<br /> <br /> There are no clinically-approved aluminium adjuvants only clinically approved vaccines which use aluminium adjuvants. This makes it imperative that all vaccine trials which use aluminium salts as adjuvants must not use the aluminium adjuvant as the control or placebo. This has been common practice for many years and has resulted in many vaccine-related adverse events due in part or in entirety to aluminium adjuvants being unaccounted for in vaccine safety trials. […]<br /> <br /> Research at Keele University led by Professor Christopher Exley aims to understand the toxicity of aluminium adjuvants in vaccinations and their latest findings are published in Nature’s ‘Scientific Reports’ (http://www.nature.com/articles/srep31578 ).
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I
C. Exley, dans l'étude que vous citez juste au dessus, Claude affirme que l'étude de la diffusion de l'aluminium faite sur un modèle animal (des lapins) ne prouve rien, alors que lui-même ici base ses affirmations sur une étude in-vitro. C'est un double standard. <br /> <br /> Dans la hiérarchie des preuves scientifiques, les études in-vitro sont les moins fiables. Moins fiables que les études sur l'animal, moins fiables que toutes les autres preuves convergentes de l'utilité et de la sureté de l'aluminium qui existent par ailleurs. <br /> <br /> En 2013 le HCSP publiait un rapport en ce sens. <br /> En 2016 l'Académie nationale de pharmacie publiait un rapport en ce sens.<br /> <br /> Ces rapport prennent en compte l'ensemble des données existantes, et non pas une étude unique, in-vitro qui plus est. Une étude de ce genre, est parfois un point de départ, ce qui dans la majorité des cas ne donne rien de concret malgré un résultat significatif dans l'éprouvette, ce n'est jamais une conclusion. <br /> <br /> En clair: On ne peut pas extrapoler les résultats d'une étude in-vitro au modèle humain et les personnes qui tentent de vous convaincre avec des preuves aussi ténues n'ont aucune idée du fonctionnement de la méthode scientifique et/ou cherchent à vous embobiner.<br /> <br /> https://en.m.wikipedia.org/wiki/In_vitro#Disadvantages
C
- Aluminium adjuvants and vaccine safety<br /> <br /> https://www.hippocraticpost.com/pharmacy-drugs/aluminium-adjuvants-vaccine-safety/<br /> Professor Chris Exley | 2nd October 2016 <br /> <br /> […] Our research suggests that the loading of aluminium into viable cells offers a mechanism whereby significant amounts of aluminium, a known neurotoxin, might be translocated throughout the body and even across the blood-brain barrier and into the central nervous system.<br /> <br /> There are no clinically-approved aluminium adjuvants only clinically approved vaccines which use aluminium adjuvants. This makes it imperative that all vaccine trials which use aluminium salts as adjuvants must not use the aluminium adjuvant as the control or placebo. This has been common practice for many years and has resulted in many vaccine-related adverse events due in part or in entirety to aluminium adjuvants being unaccounted for in vaccine safety trials. […]<br /> <br /> - Insight into the cellular fate and toxicity of aluminium adjuvants used in clinically approved human vaccinations<br /> http://www.nature.com/articles/srep31578<br /> <br /> Matthew Mold, Emma Shardlow & Christopher Exley - Published online: 12 August 2016
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I
C. Exley, dans l'étude que vous citez juste au dessus, Claude affirme que l'étude de la diffusion de l'aluminium faite sur un modèle animal (des lapins) ne prouve rien, alors que lui-même ici base ses affirmations sur une étude in-vitro. C'est un double standard. <br /> <br /> Dans la hiérarchie des preuves scientifiques, les études in-vitro sont les moins fiables. Moins fiables que les études sur l'animal, moins fiables que toutes les autres preuves convergentes de l'utilité et de la sureté de l'aluminium qui existent par ailleurs. <br /> <br /> En 2013 le HCSP publiait un rapport en ce sens. <br /> En 2016 l'Académie nationale de pharmacie publiait un rapport en ce sens.<br /> <br /> Ces rapport prennent en compte l'ensemble des données existantes, et non pas une étude unique, in-vitro qui plus est. Une étude de ce genre, est parfois un point de départ, ce qui dans la majorité des cas ne donne rien de concret malgré un résultat significatif dans l'éprouvette, ce n'est jamais une conclusion. <br /> <br /> En clair: On ne peut pas extrapoler les résultats d'une étude in-vitro au modèle humain et les personnes qui tentent de vous convaincre avec des preuves aussi ténues n'ont aucune idée du fonctionnement de la méthode scientifique et/ou cherchent à vous embobiner.<br /> <br /> https://en.m.wikipedia.org/wiki/In_vitro#Disadvantages
I
"Sa limite de sécurité n’est que de 25 mcg. Ayant cela à l’esprit, comment pouvoir expliquer que les fabricants de vaccins soient autorisés à administrer environ 5.000 mcg d’aluminium dans les systèmes délicats de nouveau-nés jusqu’à l’âge de 18 mois ?"<br /> <br /> Cet article ne fournit absolument aucune justification pour ces chiffres, tout est absolument infondé. Cette fameuse "limite de sécurité", dont on ne sait absolument pas d'ou elle vient est probablement de la même nature que n'importe quelle limite de ce type. Elle ne s'exprime donc pas en mcg, mais plutôt en MICROGRAMMES PAR KILOGRAMME DE MASSE ET PAR JOUR.<br /> <br /> Dans sa comparaison, cet article "oublie" ce que l'on sait de l'élimination de l'aluminium: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22001122<br /> <br /> C'est ce qui l'autorise à faire des affirmations aussi irrationnelles que:<br /> <br /> <br /> "Concernant le lait, la limite de sécurité n'est que de 0.2 litres (par kilogramme de masse et par jour). Ayant cela à l'esprit, comment pouvoir expliquer que les mamans soient autorisées à administrer plus de 500 litres de lait dans les systèmes délicats de nouveau-nés jusqu’à l’âge de 18 mois ?"
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C
David Granda : " L'alu oral et celui injecté sont 2 notions distinctes. Si l'alu présent dans nbx produits alimentaires est éliminé en très grande partie dans le bol fécal à condition que les villosités intestinales soient en bon état et qu'il n'existe pas des tunnels de passage dus à l'action des MMP sur leur collagène, intoxiqués par les métaux lourds type mercure, ou par l'action des perturbateurs endocriniens, il en est tout autrement de l'alu injecté. <br /> <br /> L'infanrix Hexa par ex, renfermant 2,4 mg de sels d'alu sous forme d'hydroxyde et de phosphate soit 0,82 mg = 820 µg d'Al+++, injecté en même temps que le Prévenar et c'est 945 µg d'Al+++ en tout qui est injecté en même temps dans 1 cm3 (0,5 + 0,5) des 2 vaccins !!!! A rapprocher des 25 µg/ litre max tolérés dans les liquides pour perfusions ou des 10 µg pour les solutés à dialyse. Et qui passent directement dans la circulation quand, comme c'est souvent le cas, le pédiatre pique directement dans un capillaire au lieu de repiquer....alors qu'un vaccin est contre-indiqué en vasculaire...."
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I
"des propos de Serge Rader, peu importe le site sur lequel ils sont repris"<br /> <br /> Biba dit que Claude cite David qui cite Serge qui cite des chiffres qu'il est inutile de vérifier croyez les sur parole.<br /> Initiative Rationnelle demande à Biba de demander à Claude de demander à David de demander à Serge d'ou viennent ces informations orphelines.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> "le rapport de Jean Pilette vous apportera des informations (plus de 1700 ref citées) qui, confrontées à l'article que vous citez (1 ref)"<br /> <br /> Vous faites une confusion entre deux approches distinctes et votre comparaison est donc invalide.<br /> <br /> Citer une étude est une approche légitime. Il n'y a aucune interprétation, juste la constatation factuelle de ce qu'est la conclusion de cette étude. <br /> <br /> Dans son rapport, M. Pilette fait des interprétation et tire des conclusions. Il fait un travail de recherche sans la rigueur ni les garanties de qualité indispensables à ce genre de travaux. Il fait une étude tout en refusant de se soumettre au processus de de validation de la méthode scientifique. C'est, par définition, de la pseudo-science.<br /> <br /> https://initiativerationnelle.wordpress.com/2016/06/03/lequivoque/<br /> <br /> <br /> Quand ce que fait M. Pilette, en amateur, est effectué par des spécialistes du domaine qui soumettent leurs travaux à un comité de lecture pour que d'autres spécialistes du domaines évaluent, critiquent et éventuellement proposent des corrections avant publication, le résultat est ce qu'on appelle une "revue systématique". Comme celle ci, par exemple:<br /> <br /> "We found no evidence that aluminium salts in vaccines cause any serious or long-lasting adverse events" - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14871632 - "Adverse events after immunisation with aluminium-containing DTP vaccines: systematic review of the evidence."<br /> <br /> Cette revue systématique aura finalement impliqué plusieurs centaines de spécialistes ce qui, confronté au rapport de M. Pilette que vous citez (une personne) permet de douter de la valeur de vos doutes.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> "Quant aux travaux de Miktus, fortement influencés par les industriels, ils sont loin d'être partagés par tous les scientifiques. Si vous regardez les différentes publications sur le sujet, vous constaterez que depuis 20 ans les données vont largement vers la remise en question de la sécurité de cet adjuvant des vaccins."<br /> <br /> C'est une étude pharmacocinétique sur le devenir de l'aluminium dans le contexte de la vaccination. C'est exactement ce que vous réclamiez quand vous imaginiez que cela n'existait pas. Souvenez vous, c'est la raison pour laquelle vous affirmez à tort: "on ne sait absolument pas ce que deviennent les ingrédients des vaccins dans l'organisme après injection". À présent que je vous ai fait constater que l'on connait le devenir de l'aluminium dans l'organisme, vous changez de stratégie.<br /> <br /> Vous dites à présent que cette étude est contredite par d'autres études depuis 20 ans. Vos argument sont contradictoires: Est-ce qu'on ne sait rien, ou est-ce qu'on sait que c'est mauvais ?<br /> <br /> Si vous dites qu'on ne sait rien, l'étude ici permet de constater que vous avez tort. Si vous dites qu'on sait, vous ne pouvez pas simplement faire des affirmations sans fondement, vous DEVEZ présenter ces études, de préférence pharmacocinétiques, qui montrent le danger de l'aluminium depuis 20 ans. Idéalement ce qu'il vous faut, c'est une méta-analyse comme celle que je cite plus haut et qui contredit vos affirmations.<br /> <br /> D'autre part vous dites que cette étude est "influencée par les industriels", ce qui est également une affirmation infondée. Lorsque que vous présenterez vos études pour appuyer ce qui pour le moment ne sont que des affirmations infondées de votre part, vous devrez évidemment expliquer comment vous savez que vos études ne sont pas "influencées par les industriels" et comment vous savez que l'étude que vous dénigrez ici est "influencée par les industriels".
B
IR : les données évoquées par Claude sont des propos de Serge Rader, peu importe le site sur lequel ils sont repris. Et concernant l'aluminium des vaccins, le rapport de Jean Pilette vous apportera des informations (plus de 1700 ref citées) qui, confrontées à l'article que vous citez (1 ref) méritent effectivement que l'on se pose de sérieuses questions sur la sécurité de l'aluminium des vaccins. Quant aux travaux de Miktus, fortement influencés par les industriels, ils sont loin d'être partagés par tous les scientifiques. Si vous regardez les différentes publications sur le sujet, vous constaterez que depuis 20 ans les données vont largement vers la remise en question de la sécurité de cet adjuvant des vaccins. Bien cordialement.
I
Non pas que la citation d'une personne se décrivant comme "accompagnateur en montagne féru de plantes médicinales et de cristaux" soit sans intérêt, on s'attend cependant à ce qu'elle soit appuyée par des faits concrets quand elle entend contredire des études publiées comme celle-ci <br /> <br /> "Updated aluminum pharmacokinetics following infant exposures through diet and vaccination": https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22001122

                    

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