Le cauchemar d’une famille après une série de vaccinations
Interview de Polly Tommey, VAXXED, 13 mai 2017 (Résumé)
LA MAMAN : j’ai reçu le vaccin DTCa quand j’étais enceinte et ne me suis posée aucune question. A la naissance, mon petit Austin était en parfaite santé. On lui a ensuite injecté de la vitamine K, ainsi que le vaccin contre l’hépatite B. Il a immédiatement commencé à faire de l’eczéma qui, dans la suite, n’a fait qu’empirer au fur et à mesure qu’il recevait les autres vaccins. A cette époque, nous ne nous rendions pas compte que les vaccins pouvaient être en cause.
Nous avons dû mettre des gants à notre petit garçon et l’habiller d’une manière toute particulière, faute de quoi, il saignait d’un peu partout. Quand, exceptionnellement, il nous est arrivé d’oublier de mettre ses gants et ses habits spéciaux, nous retrouvions le lit rempli de sang. Il se grattait tellement qu’il finissait par saigner d’un peu partout.
A 7 mois, il a dû subir une opération chirurgicale qui a été suivie de plusieurs complications. Rentrés à la maison, nous avons dû l’alimenter par sonde gastrique. Cette époque a été la pire expérience de notre vie.
Dans la suite, il a finalement pu se rétablir et vivre sans onde gastrique. Tout allait maintenant bien et nous avions pensé que notre cauchemar était terminé quand nous avons célébré son premier anniversaire.
Trois jours plus tard, nous l’avons fait vacciner (ROR- Grippe – varicelle – hépatite A) Très peu de temps après, il a fait de fortes fièvres et a arrêté de manger.. Il a évidemment perdu beaucoup de poids et était déshydraté. Dans la suite quand il a pu quelque peu récupérer, son comportement nous a paru tout à fait anormal. Il n’arrêtait pas, par exemple, de lécher la vitre de la porte en un va et vient incessant!
Il a aussi commencé à être plus anxieux et beaucoup plus nerveux. Nous ne pouvions pas le laisser une seule minute livré à lui-même. A cette époque, nous n’avions pas encore compris qu’il s’agissait des effets secondaires des vaccins. C’est la raison pour laquelle nous avons accepté qu’on lui administre ses vaccins de 15 mois (Pneumocoque, grippe, Hib, et DTCa) en une seule séance. Nous pensions évidemment bien faire en croyant le protéger ! Après quelques jours, nous avions peine à le reconnaitre tant son comportement avait changé. Il dormait aussi énormément. Quand il est sorti de son sommeil, il a commencé à vomir partout. Ce scénario a duré pendant 10 mois ! Nous ne pouvions rien comprendre à ce qui se passait car il n’avait jamais vomi auparavant. Alors qu’il était une nouvelle fois en train de vomir j’ai brusquement réalisé : « Mais, mon Dieu, ce sont les vaccins ! »
Un des derniers médecins consultés nous a expliqué que les vaccins lui avaient probablement provoqué un reflux acide. Austin a continué de régresser et à ne plus savoir parler comme avant. Il entrait cependant dans des épisodes de rage incontrôlée et nous frappait.
Comme nous ne trouvions pas de solution à ses problèmes et que sa santé continuait à se dégrader, j’ai commencé à effectuer de plus importantes recherches.
Les maux d’estomac, les vomissements et les diarrhées ont continué à se produire comme avant. Comme il recommençait à perdre du poids, nous avons, à nouveau, dû le nourrir grâce à une sonde gastrique.
Toutes nos recherches, comme les nombreux contacts que nous avons eus avec des parents qui avaient vécu pareilles situations nous ont intimement convaincus que tout ce que notre petit garçon avait dû vivre était bel et bien du aux vaccins.
Avec tous les problèmes neurologiques dont il souffrait, nous nous sommes finalement rendu compte que notre petit Austin était devenu autiste.
On a finalement dû, à nouveau, l’opérer d’urgence. Mais son état s’est encore aggravé après l’opération.
Nous voudrions conseiller aux parents d’approfondir personnellement leurs recherches, comme de vérifier tous les ingrédients des vaccins que l’on veut injecter aux enfants. La plupart de ces produits sont des poisons et les médecins sont loin de tout savoir à ce sujet.
Tout ce que nous avons fait pour récupérer notre petit, l’énorme temps que nous passons à préparer sa nourriture (toute spéciale), à consulter quantités de médecins, tous ses traitements, ses compléments alimentaires, tout cela nous a complètement RUINES, et a contribué à perturber gravement notre vie de famille. Tous les jours, nous sommes en guerre contre l’autisme. Nous sommes bien décidés à ne pas nous taire. Nous n’arrêterons jamais de dire : de grâce, sauvez votre bébé ! A aucun prix, nous ne voulons que d’autres parents aient à subir l’enfer que nous vivons.