ATTENTION : Les dommages dus au Gardasil peuvent avoir un impact permanent
Par Annette, Melbourne, 4 décembre 2014
J’écris l’histoire de ma fille pour donner à tous une idée de l’impact permanent que les dommages dus au Gardasil peuvent avoir sur la vie d’une jeune-fille. Il y a maintenant 5 ans et demi que ma fille lutte par apport aux dommages de santé que lui a provoqués le Gardasil. Merci de prendre un peu de temps pour lire son histoire.
Avant que notre fille ne tombe malade, elle réussissait parfaitement ses études, elle était membre active du conseil des étudiants, participait aux activités des Guides et était une excellente joueuse de hockey. Elle est tombée malade après avoir reçu 2 injections de Gardasil au début de l’année 2009.
Ses dommages de santé sont apparus après le vaccin. On a diagnostiqué un syndrome de fatigue chronique, de l’hypotension, de la tachycardie qu’on appelle aussi syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP) ;
A l’heure actuelle, elle souffre encore tous les jours de fatigue extrême, de maux de tête (surtout en fin de journée), ses mains sont douloureuses. Elle souffre aussi tous les jours de douleurs articulaires et musculaires. Elle éprouve également des problèmes auditifs, a toujours les pieds froids, et c’est loin d’être tout…
Ses symptômes varient d’une semaine à l’autre, parfois d’un jour à l’autre. Un horrible mal de tête peut apparaître en quelques minutes.
Au cours des 5 dernières années, de grandes fatigues l’ont plusieurs fois contrainte à garder le lit. Une fois, elle n’a pas quitté le lit pendant 6 mois. Elle a aussi eu d’atroces maux de tête qui ont duré deux ans et demi. Elle a également souffert de maux de gorge, de gonflement des ganglions, de douleurs thoraciques, d’étourdissements, de faiblesse dans les jambes qui lui rendaient la marche sans aide impossible. Elle se plaignait aussi de douleurs abdominales, musculaires, de « cerveau embrouillé », de troubles de concentration et de mémoire, de problèmes gastro-intestinaux. Toutes les 4 à 5 semaines, elle ramassait tous les microbes qui traînaient et faisait des températures élevées.
Après avoir été malade pendant deux ans et demi (alors que les médecins et les spécialistes ne savaient plus quoi faire pour l’aider), sa santé s’est à ce point détériorées que nous avons failli la perdre. (Mi 2011). Elle était alors trop faible pour parler ou même boire et manger. Son corps était tellement intoxiqué que ses organes ne fonctionnaient plus normalement. Chaque matin, pendant des mois, nous avions peur de rentrer dans sa chambre…
L’ostéopathie, la désintoxication, l’apport de suppléments alimentaires et plusieurs autres traitements alternatifs ont finalement contribué à améliorer sa santé.
Nous avons obtenu de bons résultats jusqu’à ce qu’une nouvelle rechute se produise. Sa santé s’est brusquement détériorée l’obligeant à rester au lit en septembre et octobre. Chaque fois qu’une rechute se produit, la remontée est pénible et difficile.
Suite à tous ses problèmes de santé, notre fille a dû manquer l’école pendant 3 ans. Elle voudrait pouvoir se rendre à l’école, mais son corps ne le lui permet pas. Elle en est très déçue. […]
En plus des problèmes scolaires, il y a aussi sa vie sociale qui est bouleversée. Elle a cependant la chance d’avoir quelques amis qui viennent la voir de temps en temps, mais beaucoup de personnes ne peuvent comprendre ce qu’elle est obligée de vivre. Elle se tracasse parce que beaucoup de ses connaissances ne peuvent comprendre ses limites. Elle est parfois tellement épuisée qu’elle doit, en toute dernière minute, renoncer à une rencontre prévue.
Elle a maintenant 18 ans. Elle suit une partie des cours à l’école, mais ne sait toujours pas faire de sport ou participer à une activité qu’elle aime. Elle n’est pas en mesure d’obtenir un emploi régulier qui lui permettrait de gagner un peu d’argent comme le font ses copines.
En plus de sa maladie physique, le stress de ne pas savoir si elle guérira un jour pour avoir enfin une « vie normale », toutes ces déceptions ont un impact énorme sur sa jeune sœur, mon mari et moi-même. Le Gardasil a complètement bouleversé nos vies. Nous avons appris à apprécier les petites choses de la vie.
Nous devons dire que nous sommes très fiers de notre fille. Nous admirons beaucoup le courage avec lequel elle aborde tous ces problèmes. […] Nous continuons à nous battre pour que sa santé puisse s’améliorer en continuant d’espérer que ses périodes de rémission puissent durer plus que quelques mois. Nous croisons les doigts pour qu’elle puisse accomplir tout ce dont elle rêve…
Nous espérons que grâce à l’histoire de notre fille que nous avons voulu partager, de plus en plus de personnes prendront la peine de se renseigner avant de dire « oui » à ce vaccin inutile. Nous avions voulu faire confiance au système en pensant que nous faisions vraiment la bonne chose, mais nous avons été déçus.
Quand une chose pareille arrive à votre enfant, personne ne veut prendre ses responsabilités. Ce système de solutions « passe-partout », de « solution unique pour tous » doit absolument changer.
Consultez www.sanevax.org, les groupes Facebook des familles qui ont été touchées par le Gardasil. De grâce, faites vos propres recherches avant de décider que le Gardasil est un bon choix.
Source : SaneVax
USA (VAERS)
Rapports d’effets secondaires des vaccins contre le HPV
Mise à jour des chiffres au mois d’octobre 2014
VAERS : Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA
Description | Total |
Infirmes | 1.235 |
Décès | 180 |
N’ont pas récupéré | 7.447 |
Frottis du col anormaux | 587 |
Dysplasies du col de l’utérus | 257 |
Cancers du col de l’utérus | 97 |
Cas où le pronostic vital a été engagé | 665 |
Visites aux urgences | 12.116 |
Hospitalisations | 3.854 |
Séjours hospitaliers prolongés | 260 |
Effets secondaires graves | 5.167 |
Effets secondaires | 37.228 |
PS: Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés