Plusieurs personnes nous ont demandé s'il était normal qu'un média - particulièrement docile- comme la RTBF (et Vivacité, tout cela fait partie du même ensemble) diffuse de façon aussi répétitive une telle propagande en faveur de la vaccination contre la coqueluche, préconisée même aux femmes enceintes !
Le message tourne en boucle, à la télé, à la radio. Un message simpliste qui vise à faire peur pour pousser à accepter le vaccin. Problème: la stratégie vaccinale préconisée - et qui fait sourire les pharmas de plaisir- a été démontrée INEFFICACE depuis 2012 par une étude canadienne de grande ampleur, menée par des chercheurs de l'Université de Laval au Québec. Pour ceux-ci, la vaccination des parents, ados et adultes n'est PAS la solution à la recrudescence des cas de coqueluche chez les plus jeunes enfants.
Face à ce torrent d'inepties que vous déversent actuellement les médias sur cette vaccination anti-coquelucheuse, Initiative Citoyenne a décidé de vous concocter cet article-synthèse pour tout savoir sur le prétendu bienfondé de cette vaccination et vous permettre ainsi de vous faire une opinion par vous-mêmes (cf. encadré final qui vous fera gagner beaucoup de temps de recherche). Car il se fait qu'en Belgique, il n'existe absolument AUCUNE possibilité d'indemnisation des victimes de vaccins (enfants comme adultes), en dépit du fait que cet acte médical peut se solder par des morts subites, des encéphalopathies avec séquelles graves, des épilepsies, des apnées, des cas d'asthme chronique et grave, des diabètes, des fibromyalgies, des syndromes de fatigue chronique, des cas de myofasciite à macrophages avec incapacités définitives de travail etc. etc.
En fait, avant la vaccination généralisée, la coqueluche, maladie certes inconfortable, survenait très majoritairement chez des enfants d'âge primaire qui n'aboutissaient ainsi pas à l'hôpital et qui n'avaient pas plus de risque de décès. Il y avait des dizaines de milliers de cas chaque année (et donc nettement plus que les ridicules 409 cas survenus l'année passée en Wallonie) mais ceux-ci n'étaient absolument pas un risque de santé publique. La Nature faisant bien les choses, la maladie se développait statistiquement dans la tranche d'âge la plus sécurisée pour les enfants atteints, c'est à dire quasi tous.
Avec la vaccination, on a troqué une immunité naturelle plus forte et plus durable contre une immunité médiocre et nettement plus éphémère ce qui a eu pour conséquence de donner lieu à un déplacement d'âge de survenue de la maladie: les adolescents, les jeunes adultes et les mères n'ont plus de protection naturelle efficace et deviennent, de par leurs nombreuses vaccinations, une source de contamination des plus fragiles (les plus jeunes). Pas étonnant dès lors que vacciner de plus belle les aînés ne résolve absolument rien, les mêmes causes produisant les mêmes effets. Mais voilà, il y a un dogme en matière de vaccins. Des générations entières de médecins ont subi un véritable lavage de cerveau pendant toutes leurs études, on ne leur a jamais parlé que de ça. C'est devenu un réflexe pavlovien et il ne faut dès lors pas s'attendre à une analyse très fine ou élaborée de leur part. Ceux-ci vous resserviront donc pour la plupart les consignes venues d'en haut sur base d'arguments fallacieux et comme d'habitude inconsistants. D'autant que selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française, les vaccins sont un réel business pour les médecins: l'acte vaccinal représente 12,6% des revenus annuels des généralistes en moyenne et 33% des revenus annuels des pédiatres (et encore on ne compte donc pas dans ces chiffres les nouvelles consultations pour effets secondaires. Selon un rapport conjoint ONE/Provac de 2009, 5% des enfants au moins doivent consulter pour effets secondaires endéans les 48 heures qui suivent une vaccination donc combien endéans la semaine, les deux semaines, le mois?)
Effrayer la population parce que 409 cas de coqueluche sont survenus en Wallonie l'an passé est tout à fait indigne du rôle d'évaluation censé être opéré par un média pour éviter de banaliser les vraies alarmes et les mettre sur le même pied que les fausses. Dire que 81% des enfants atteints ont dû être hospitalisés ne donne pas non plus leur nombre en valeur absolue, cela consiste tout au plus à rappeler que les politiques effrénées de vaccination ont rendu proportionnellement les nouveau-nés plus vulnérables qu'avant en dépit de leur vaccination (50 % ont reçu une vaccination contre la coqueluche). Par ailleurs, on ne donne non plus aucun point de comparaison avec le nombre d'enfants qui sont hospitalisés chaque année ou qui décèdent suite aux effets secondaires des vaccins (et ceci que les parents aient pensé ou non à faire le lien!). Par conséquent, si on compare ces 409 cas de coqueluche qui ne laisseront pas de séquelles aux centaines de cas graves (adultes et enfants) avec séquelles qui sont causés chaque année par les vaccins, on se dit que la balance bénéfices/risques prétendument positive des vaccins relève bien davantage de l'idéologie que de la Science ou du bon sens!
Ces chiffres de 409 cas sont tirés d'un rapport de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui s'est déjà rendu coupable de PUBLICITE VACCINALE TROMPEUSE, "de nature à induire le consommateur en erreur" selon les termes de la décision du Jury d'Ethique Publicitaire car elle taisait complètement les risques graves tout en présentant l'efficacité et la nécessité de la vaccination de façon trop absolue. Comment dès lors accorder encore la moindre crédibilité à ce genre d'instance dans un domaine aussi important que la santé humaine??
Si vous souhaitez une information générale sur l'efficacité et les revers du vaccin contre la coqueluche (Boostrix ou autre) :
- Coqueluche: l'échec cuisant de la vaccination cocoon
- Coqueluche, l’obsession de la vaccination « cocoon »
- Coqueluche : l’efficacité ultra-limitée du vaccin
- La moitié des cas de coqueluche surviennent chez des sujets vaccinés
- Coqueluche: la vérité en face (et le vaccin à sa place)
- Coqueluche : culpabiliser pour mieux vacciner
- Coqueluche : la vérité sur le vaccin émerge enfin
- Coqueluche : propagande et désinformation vaccinales de la RTBF
- Coqueluche: le faux dilemme entre les deux vaccins au secours du business des pharmas
- La coqueluche déjoue le vaccin (mais la vieille garde continue d’y croire)
- Coqueluche : grosse baisse d’efficacité du vaccin après la 5° dose
- Les vaccins échouent à protéger les bébés contre la coqueluche
Si vous êtes enceinte ou qu’on a proposé à votre compagne de recevoir cette vaccination pendant sa grossesse (même au 3ème trimestre) :
- Un vaccin de plus recommandé… aux femmes enceintes !
- Mortalité fœtale : hausse de 4000% après la vaccination des femmes enceintes
- Vaccination des femmes enceintes : les officiels américains obligés d’avouer qu’ils ont menti
- Vaccination des femmes enceintes, inflammation et autisme
Si vous souhaitez connaître la composition du Boostrix (du moins pour les ingrédients déclarés car certains ne sont pas de déclaration obligatoire), reportez-vous à la page 62 de ce document-ci du Dr Jean Pilette.
Si vous souhaitez avoir une idée du potentiel cancérogène du formaldéhyde (= un des constituants du vaccin Boostrix contre tétanos-coqueluche-diphtérie- et des potentiels cancérogène et neurotoxique de l’aluminium (lui aussi inclus dans ce vaccin), visitez les liens suivants :
- Le formaldéhyde est un cancérigène certain
- L’aluminium est source de handicaps et source de cancers (reportage France 3)
- Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi
- Dr Jean-François Saluzzo (de Sanofi Pasteur): "on ne sait pas comment marchent les vaccins"
Si vous souhaitez avoir un exemple d’alternative (information non exhaustive) :
- Intérêt de la vitamine C dans les cas de coqueluche
- Vitamine C : extrêmement indiquée en cas de coqueluche (Expovaccins)
- Coqueluche et vitamine C : pourquoi c’est tabou (Expovaccins)