Le Dr Suzanne HUMPHRIES, M.D. sur la sécurité des vaccins :
Ils ne veulent pas voir l’autre face !
Résumé de la conférence qu’a donnée le Dr S.Humphries en Suède sur la sécurité des vaccins – Health Impact News, 7 octobre 2014 (+ Vidéo)
Le Dr Suzanne Humphries est médecin spécialisé en néphrologie et médecine interne. Elle a de nombreuses années d’expérience dans le traitement de maladies résultant de dommages vaccinaux, en particulier des insuffisances rénales. Il est très peu probable que vous l’entendiez jamais interviewée dans les médias grand public parce que ces médias ne présentent jamais qu’une face de la médaille en ce qui concerne la sécurité des vaccins.
Le Dr Humphries a cependant été interviewée en Suède. Chaque personne aux Etats-Unis et tout spécialement les médecins et les vaccinateurs devraient pouvoir avoir accès aux informations qu’elle partage dans cette vidéo de 22 minutes.
Bien qu’ayant étudié le problème des vaccins pendant de nombreuses années, je dois avouer que la présentation du Dr Humphries est la meilleure que j’aie jamais eu l’occasion d’entendre sur la « sécurité « des vaccins. Dans ce documentaire-vidéo, le Dr Humphries explique que les virus des vaccins entrent dans le corps d’une manière tout à fait différente de ce qui se produit lors d’une infection naturelle. Elle donne l’exemple de la rougeole. Le virus de la rougeole est inhalé sous sa forme naturelle, tandis que le vaccin qui est injecté dans les tissus permet un contact beaucoup plus rapide et direct avec le système nerveux que s’il avait été inhalé naturellement. Elle veut aussi souligner que les vaccins contiennent plus que des virus. Les autres composants chimiques d’un vaccin comprennent des éléments comme l’aluminium, le mercure, le polysorbate 80 et le formaldéhyde.
Les vaccins maintiennent-ils la population en bonne santé ?
L’interviewer a demandé au Dr Humphries si elle pensait que les vaccins agissaient pour maintenir les populations en bonne santé. Sa réponse a été très révélatrice :
« Il convient tout d’abord de définir le verbe « agir ». Pour certaines personnes « agir » voudrait dire ici que vous supprimez une maladie dans une population déterminée. Certains vaccins agissent selon cette définition.
Mais aucun vaccin ne contribue à améliorer la santé d’une population. Il n’y a rien dans les vaccins dont nos corps aient réellement besoin…. Aucun vaccin ne possède des qualités nutritives. Je ne crois donc pas que les vaccins contribuent à créer de la santé dans une population donnée. Je crois qu’il y a de bien de meilleurs moyens de faire face à des maladies que de vacciner tout le monde. ».
Le Dr Humphries explique ensuite qu’il existe un manque de preuves historiques qui montreraient que les vaccins auraient éradiqué quelque maladie que ce soit. La plupart des gens aujourd’hui ne réalisent pas que l’affirmation « les vaccins sont responsables de l’éradication de certaines maladies » n’est pas validée scientifiquement, tout simplement parce que cette phrase au sujet de l’histoire de la vaccination ne peut pas être prouvée scientifiquement. Il s’agit d’une croyance fondée sur certaines données. Le Dr Humphries se penche sur des données réelles plutôt que sur des croyances à propos de données.
Le Dr Humphries donne des exemples clairs où les données montrent exactement le contraire de ce qu’on affirme généralement. Dans certains cas, par exemple, le taux de maladies à commencé à baisser à partir du moment où on a arrêté de vacciner. Elle montre également que le CDC et autres organismes manipulent les données pour pouvoir appuyer leur point de vue sur les vaccins.
Le calendrier vaccinal actuel est-il dangereux ?
L’interviewer a demandé au Dr Humphries s’il y avait un danger à vacciner des populations comme nous le faisons aujourd’hui. Sa réponse a été très astucieuse :
« C’est une question compliquée. Je dirais que la recherche adéquate n’a pas été faite. Ce que nous devrions faire serait de comparer une population vaccinée à une population non-vaccinée. Et pas seulement pour un seul vaccin.
Les pro-vaccins vous diront que ces études ont été effectuées, mais il s’agissait d’un seul vaccin. Pour eux, on peut parler d’une étude de vaccinés par rapport à des non vaccinés, quand, dans tout le calendrier vaccinal, un seul vaccin n’a pas été effectué.
Ce seul vaccin non effectué permet, selon leur définition, de classer les personnes qui n’ont pas reçu ce vaccin dans le groupe des non vaccinés.
Il n’est donc pas possible de faire une étude pour laquelle on vaccine la moitié d’un groupe à la naissance et on ne vaccine pas l’autre moitié. Pareille étude ne serait jamais acceptée par les autorités.
Mais ce que l’on peut faire est d’étudier des populations qui n’ont jamais été vaccinées, qui vivent dans un même environnement, qui ont autant de caractéristiques identiques que possible à ceux qui sont vaccinés. Et, si vous avez un groupe suffisamment important, il deviendra possible de faire la différence entre les groupes par rapport aux différents taux de maladies.
Mais aujourd’hui, les vaccins sont-ils sûrs ? Non. Même la Cour Suprême des Etats-Unis a jugé l’année dernière qu’il existe un manque inhérent de sécurité une partie du temps. Et, parce que l’on sait que des effets indésirables peuvent se produire, un système de dédommagement a été mis en place pour indemniser les personnes chez lesquelles ces effets secondaires se sont produits. Mais malheureusement le système en place ne dédommage pas toutes les personnes qui souffrent d’effets secondaires. En fait, seule une infime minorité de plaintes aboutissent pour obtenir un dédommagement .
Rien qu’avec les quelques informations que je vous ai données, pouvez-vous encore croire que les vaccins sont sûrs ?
Je puis dire que personne ne m’a jamais prouvé que les vaccins étaient sûrs. Je puis aussi dire que j’ai de bonnes raisons scientifiques de croire qu’il est un fait que les composants des vaccins agissent sur le système immunitaire, qu’il existe un potentiel de problèmes auto-immuns, de cancers et de troubles neurologiques. Il est donc évident que je ne puis nullement dire ou garantir que ces vaccins sont sûrs. Même pas un seul d’entre eux. Que dire alors de toute la série des autres vaccins du programme qui sont administrés de plus en plus tôt et qui sont de plus en plus nombreux.
Les promoteurs de vaccins ne veulent pas que vous entendiez un autre son de cloche.
Dans la vidéo on peut entendre le Dr Humphries donner cet avis :
« Les gens qui veulent à tout prix vacciner sont souvent très agressifs et ils ne veulent pas entendre parler de l’autre face du problème. Rien que cela devrait faire s’allumer un voyant rouge. Pour quelle raison ne veulent-ils pas que j’entende un autre son de cloche ? Pourquoi ne veulent-ils pas que j’entende les deux versions pour je puisse prendre ma propre décision ?
Personnellement, je ne vous dirai jamais de ne pas vacciner. Mais ils vous diront toujours de vacciner pour tout. Cela seul, je crois devrait vous faire comprendre qu’il s’agit d’un véritable « drapeau rouge ». Moi, je vous dis de vous informer de tous les aspects du problème pour pouvoir ensuite choisir en connaissance de cause. Ce que vous faites est de votre propre responsabilité. Ce n’est pas là ce que recommandent ceux qui soutiennent les campagnes agressives de vaccinations. Ce qu’ils veulent c’est tout le temps, de plus en plus de vaccins pour les petits bébés. »
L’interviewer demande ensuite au Dr Humphries de parler des méthodes autoritaires qui sont utilisées pour faire comprendre aux gens qu’ils doivent se faire vacciner.
L’interviewer s’attarde sur une diapositive qui est une citation reprise du New York Times. Citation du Dr Lance Rodewald, Directeur de la division des services de vaccination au CDC où il déclare : « Effrayer les parents sur les conséquences de la non vaccination de leurs enfants fera très probablement partie de la campagne. Pour atteindre cet objectif, la méningite à méningocoques est idéale. »
Le Dr Humphries explique que l’utilisation de la peur pour inciter les parents à faire vacciner leurs enfants a été pratiquée de longue date. Elle remarque qu’aucune alternative aux différents vaccins n’a été proposée ou même suggérée. Elle parle surtout du vaccin contre la grippe, par exemple, parce que ce vaccin contre la grippe n’est pas très efficace. En plus de la peur, ils utilisent beaucoup de « désinformation », comme de la rétention d’information concernant les moyens naturels qui pourraient être utilisés pour lutter contre les maladies et renforcer le système immunitaire.
La vidéo montre ensuite une autre partie de la conférence du Dr Humphries au cours de laquelle, elle présente une série de diapositives du Dr Jocobson de la Clinique Mayo. Il s’agit d’une présentation de diapositives destinées à former les médecins sur la manière de s’y prendre avec les patients qui présentent des objections à la vaccination. Voir le diaporama sur l’article original en anglais.
En résumé : Persuader plutôt qu’informer […]
Le Dr Humphries explique que même les médecins sont peu conscients des dangers que représentent les vaccins. Elle évoque le cas d’un médecin dont la fille a connu des problèmes de santé à la suite du vaccin contre le HPV. Ce médecin ignorait qu’il y avait des risques. Le Dr Humphries estime que tous les parents doivent connaître les risques possibles, peu importe leur importance. Elle estime qu’au lieu de recevoir une information équilibrée, les parents reçoivent une information très partiale sur les vaccins et leur innocuité. Comme le montre le diaporama, les médecins sont formés pour persuader plutôt que d’informer les parents sur les vaccins et leur sécurité.
Comment le Dr Humphries qui croyait aux vaccins est devenue l’avocate de la sécurité des vaccins
L’interviewer explique que le Dr Humphries a exercé la médecine pendant de nombreuses années. Elle croyait non seulement aux vaccins, mais les utilisait régulièrement. L’interviewer demande au Dr Humphries ce qu’elle a découvert dans sa recherche pour la faire changer d’avis.
Elle explique qu’elle était motivée pour faire de la recherche et pour découvrir ce qu’était vraiment la vérité parce qu’elle avait pris conscience qu’au cours de ses études médicales, elle avait été mal informée. Elle a aussi dû constater que des amis et des membres de sa famille avaient eu la santé endommagée par les vaccins.
Quand l’interviewer lui demande si elle s’est sentie trahie quand elle a appris la vérité sur les vaccins dont sa formation médicale l’a en grande partie privée, le Dr Humphries a donné une réponse assez incroyable. Quand on connaît le caractère et la motivation du Dr Humphries, sa réponse est assez révélatrice :
« Eh bien, je prends l’entière responsabilité de ce que je fais dans ma vie. Si quelqu’un m’avait poussé à faire des études de médecine et m’avait caché pas mal de choses, je me serais vraisemblablement sentie trahie. Mais j’ai choisi de faire des études de médecine et j’ai choisi de limiter mes lectures au programme qui m’était proposé. Je n’ai donc pas pu me sentir trahie. »
Le système médical : qui sont les vrais « charlatans » ?
Le Dr Humphries explique que les vaccins ne sont pas le seul domaine où elle n’a pas reçu une information complète. Elle a réalisé qu’une précieuse information n’est pas non plus donnée dans d’autres domaines de la médecine. Elle poursuit en parlant de la grande peur des promoteurs de vaccins qui craignent que les médecins eux-mêmes ne commencent à douter des informations qui leur sont données, ce qui créerait une situation de doute par rapport à l’ensemble du système médical. Elle explique que le financement à venir du système médical risque de limiter drastiquement et les connaissances et la pratique médicales.
Le Dr Humphries sait parfaitement et de première main ce qu’il en coûte d’aller à l’encontre du système médical, et de remettre en question l’autorité de ce système aussi puissant. Elle a fait la meilleure des citations concernant les seuls « charlatans » qu’elle ait jamais connus. :
« On nous dit que tant de choses relèvent du charlatanisme, alors qu’en fait je constate que ce que le système médical appelle « charlatanisme » sont précisément les choses qui peuvent apporter la plus grande aide. Je pense que le mot « charlatanisme » doit être complètement redéfini. Bizarrement, c’est quand je suis devenue « charlatan » que la santé de mes patients s’est vraiment améliorée; mes patients se sont sentis en bien meilleure santé que quand je n’étais pas « charlatan ».
La foi dans les vaccins
L’interviewer interroge le Dr Humphries sur une partie de son intervention quand elle a parlé de ses voyages à l’étranger où règnent certaines maladies pour lesquelles elle ne se fait pas vacciner. L’interviewer lui demande « pourquoi » ?
Voici sa réponse :
« Parce que je prends vraiment grand soin de mon système immunitaire, de mon corps. C’est toujours un choix. Il faut avoir la foi dans le choix qu’on a fait et il faut agir en conséquence. Si vous croyez aux vaccins, vous n’avez qu’à les faire.
Je ne crois pas aux vaccins. Je ne crois pas le moins du monde aux vaccins. Je pense qu’ils peuvent me faire du mal que je ne parviendrais pas à réparer. »
Censure dans les médias
Cette vidéo se termine par une citation de Catherine Sebelius, Secrétaire au Département de la Santé et des Services Sociaux et parue dans le Reader’s Digest. Cette citation blâme les personnes comme le Dr Humphries parce qu’elles donnent de l’information sur les problèmes causés par les vaccins. Du poste élevé qu’elle occupe, Madame Sebelius a demandé aux médias de ne pas donner la parole à des personnes du style du Dr Humphries.
Et les médias s’exécutent. Aujourd’hui, il n’est pas possible d’apprendre quoi que ce soit de valable dans les médias au sujet de la sécurité des vaccins. Mais il vous est possible de voir la vidéo sur Canal 2nd Opinion et de pouvoir apprécier l’excellent travail réalisé par ce groupe:
Regardez cette vidéo !! Si vous connaissez des médecins qui ont l’esprit ouvert sur les possibles dangers des vaccins, montrez-leur cette vidéo. Il nous faut informer les gens sur l’entièreté de la vérité en ce qui concerne les vaccins parce que le gouvernement et le système médical ne veulent pas que vous puissiez disposer de cette information, et aussi parce que les médias en général ne font pas leur vrai boulot à ce sujet.
Source : Health Impact News